Vue normale
-
Mac4Ever
- Pebble revient avec une bague connectée qui enregistre vos idées, et ne se recharge jamais !
Pebble revient avec une bague connectée qui enregistre vos idées, et ne se recharge jamais !
-
Mac4Ever
- Première mondiale : les réseaux sociaux sont interdits aux - de 16 ans dans ce pays ! Qui suivra ?
Première mondiale : les réseaux sociaux sont interdits aux - de 16 ans dans ce pays ! Qui suivra ?
-
MacG.co
- Ford choisit Renault plutôt que Volkswagen pour proposer des citadines électriques en Europe
Ford choisit Renault plutôt que Volkswagen pour proposer des citadines électriques en Europe
Si Ford reste un géant de l’automobile, le constructeur américain a beaucoup de mal à négocier le passage à l’électrique, au point de faire appel à d’autres constructeurs pour concevoir des véhicules adaptés à l’Europe. La Mustang Mach-E sortie à la fin des années 2010 est bien une voiture entièrement conçue en interne, mais elle vise davantage le marché américain. Pour notre continent, le constructeur a sorti l’Explorer puis le Capri, deux SUV plus compacts qui sont en réalité des variantes des ID.4 et ID.5 de Volkswagen.
Ford fait appel à Volkswagen pour l’Explorer, un SUV électrique taillé pour l’Europe
Ford retarde son électrification pour tenter de vendre des voitures électriques sans perdre d’argent
Cette stratégie semble convenir à Ford, puisque le constructeur a annoncé l’arrivée de voitures plus petites sur les marchés européens à l’aide d’un acteur local. Sauf que ce n’est pas Volkswagen qui a retenu son attention cette fois, mais Renault, comme l’annonce l’entreprise américaine sur son site. La plateforme Ampère1 créée par le groupe français et notamment exploitée par ses Renault 5 et Renault 4 servira de base à deux futures Ford qui seront elles aussi entièrement électriques et sans doute proches en termes de format.
La communication du jour se concentre sur l’annonce de l’accord, il n’est pas question de montrer des images de ces futures voitures et encore moins d’évoquer la fiche technique ou le prix. Tout ce que l’on sait, c’est que Ford compte prendre son temps : leur commercialisation n’est pas prévue avant 2028. Contrairement à ce que Nissan a fait avec sa nouvelle Micra, qui n’est qu’une version légèrement modifiée à l’extérieur et quasiment identique à l’intérieur de la Renault 5, le groupe américain compte ainsi changer en profondeur la base fournie par son homologue français. Il l’avait déjà prouvé avec ses deux véhicules basés sur la plateforme de Volkswagen d’ailleurs, avec un style bien différent dedans comme dehors et surtout un logiciel spécifique.
C’est vraisemblablement cet aspect qui demandera le plus de travail, même si le choix de Renault en faveur du système d’exploitation de Google pourrait simplifier la tâche de Ford, qui l’utilise aussi depuis 2021. Malgré tout, il faudra modifier de larges pans du logiciel américain pour l’adapter au matériel français et les deux entreprises vont ainsi travailler ensemble sur l’élaboration de ces deux futurs véhicules électriques.
Ford et Google signent un large accord sur la fourniture d'Android Auto
Le choix de Renault est une belle victoire pour le groupe français, qui a été privilégié à Volkswagen, évidemment dans la course lui aussi. Ford travaillait déjà avec le constructeur allemand et ce dernier a prévu une plateforme MEB+, plus petite pour sa future Polo électrique qui devrait arriver en concession l’année prochaine. On imagine que c’était la solution la plus évidente pour proposer un petit véhicule européen, mais ce n’est pas celle qui a été retenue.
Volkswagen dévoile l’ID. 2all, son idée pour une voiture électrique à moins de 25 000 €
Jim Farley, CEO de Ford, a expliqué devant la presse sans détour pourquoi Renault a été choisi et non Volkswagen, comme le rapportent nos confrères des Échos :
Nous connaissons très bien Volkswagen, sa supply chain et ses coûts. Nous avons fait une analyse très poussée, et c'est Renault qui est sorti en tête, pour de nombreuses raisons, dont le prix.
Un coup dur pour Volkswagen, même si Ford reste associé au constructeur allemand pour ses deux voitures actuelles et des véhicules utilitaires, et une réussite pour Renault, qui restera impliqué dans le processus et qui pourra même utiliser sa propre capacité de production pour les besoins de son nouveau partenaire. Les deux véhicules prévus par Ford seront en effet produits à Douai, dans le nord de la France, sur le même site que la Renault 5 et bien d’autres véhicules du groupe. Le groupe se félicitait la semaine dernière d’avoir produit 100 000 Renault 5 sur ces chaînes de production, signe du succès de la citadine électrique et de l’usine par la même occasion.
Si c’est moins concret pour le moment, les deux constructeurs ont aussi prévu de coopérer dans le cadre de leur accord sur de futurs véhicules utilitaires légers, également destinés au marché européen.
-
Le communiqué ne le dit pas explicitement, mais il s’agit très probablement d’AmpR Small, pas d’AmpR Medium qui sert de base au Scenic E-Tech et qui concurrence directement la plateforme MEB de Volkswagen que Ford a utilisée pour ses deux SUV européens. ↩︎
La carte bancaire cède toujours plus de terrain face à Apple Pay… lui même sous pression
Apple Pay et les autres wallets prennent une place croissante dans les paiements, aussi bien en ligne qu’en boutique. D’après une étude de Worldpay, ils comptaient en 2024 pour 53 % des paiements en valeur dans l’e-commerce au niveau mondial, contre 32 % pour les cartes bancaires (débit et crédit). En magasin, les cartes gardent l’avantage avec 47 % des paiements, les wallets représentant 32 %.
En France plus spécifiquement, les wallets ont pesé 34 % des paiements en ligne en 2024 (+ 6 points en un an), tandis que les cartes bleues reculaient à 21 % (– 4 points). Dans les boutiques, ils ont atteint 13 % (+ 4 points) contre 24 % pour les cartes (–5 points). Au vu de la tendance, les Apple Pay, Google Pay et autres Samsung Pay vont dépasser les cartes en plastique dans les magasins dans les prochaines années.
Apple Pay convertit mieux que la carte bancaire
En ligne, les wallets deviennent même incontournables pour une partie des clients. Selon une étude réalisée par OpinionWay pour le compte de Lyf Pay, 54 % des utilisateurs d’Apple Pay ou de Google Pay ont déjà abandonné un achat parce que le site ne proposait pas leur wallet préféré. Pourquoi ? « Grâce à l'authentification par biométrie, la transaction présente moins de friction qu'un paiement par carte bancaire qui nécessite de valider son achat dans son application bancaire », explique Antoine Guillotte, Chief Product Officer chez Cdiscount, interrogé par mind Retail. Même si le fait de devoir ouvrir une seconde app pour valider l’achat est entré dans les mœurs, cette étape continue malgré tout de provoquer des abandons de panier, indique-t-il.

« En termes de transformation, si l'on compare les gros volumes de transaction en dehors du BNPL [buy now pay later, paiement différé, ndlr], Apple Pay convertit le mieux, suivi de PayPal et des cartes bancaires », ajoute le responsable de Cdiscount, dont 80 % du trafic a lieu sur mobile. Le taux de transformation d’Apple Pay est 10 à 20 % supérieur à celui des cartes classiques, une différence « très significative. »
Le site marchand a intégré Apple Pay juste avant sa période de pic commercial. Cette mise en place lui a permis de recruter de nouveaux clients, plus jeunes et un peu plus urbains. Fort de ces résultats, Cdiscount prévoit de proposer Google Pay et Samsung Pay en 2026.
Wero veut attaquer les gros paniers
L’entreprise regarde aussi de près Wero, un wallet soutenu par plusieurs banques européennes qui a récemment fait ses débuts dans des commerces en ligne allemands. Contrairement à Apple Pay, il n’est pas adossé à une carte, mais directement au compte bancaire, ce qui change la donne pour les gros achats.
« L’intérêt du compte à compte est de réduire les abandons de paniers dus aux encours de cartes, détaille Antoine Guillotte, toujours auprès de mind Retail. Sur les paniers élevés, beaucoup d'échecs de paiement proviennent non pas d'un défaut de solvabilité, mais du plafond de la carte. Wero nous permettrait de proposer à certains utilisateurs d'aller au bout de leur commande là où ils n'auraient pas pu le faire via le wallet ou la carte traditionnelle. »

Wero doit arriver sur les sites français en 2026. Air France, Leclerc, Orange/Sosh, Veepee ou encore Dot ont déjà manifesté leur intérêt. Une extension vers les paiements en boutique est prévue en 2027, avec deux parcours : un paiement par QR code en grandes surfaces et un paiement NFC sur TPE pour les petits commerces. À terme, l'IBAN sera intégré pour un paiement instantané de compte à compte, comme en ligne.
Wero va pouvoir tirer parti de l’ouverture réglementaire de la NFC de l’iPhone en Europe pour proposer une fonction de paiement sans contact. PayPal exploite déjà cette possibilité en Allemagne avec une carte bancaire virtuelle accessible sur iPhone. Fin octobre, deux millions d’utilisateurs l’utilisaient en magasin, un décollage favorisé par l’option de paiement en quatre fois.
Apple avait lancé fin 2023 une option similaire aux États-Unis nommée Apple Pay Later, mais celle-ci a été abandonnée seulement huit mois plus tard. La Pomme a décidé de revoir sa stratégie dans le paiement fractionné en nouant des partenariats avec des acteurs spécialisés. C’est dans ce cadre que Klarna a annoncé aujourd’hui son intégration à Apple Pay en France.
Wero fourbit ses armes face à Apple Pay
-
Mac4Ever
- Votre batterie va-t-elle bientôt lâcher ? La nouvelle app d'iFixit vous donne (enfin) la réponse
Votre batterie va-t-elle bientôt lâcher ? La nouvelle app d'iFixit vous donne (enfin) la réponse
L’UE soupçonne Google d'entrainer illégalement son IA avec vos contenus !
-
MacG.co
- QuickNetStats surveille l’état de votre connexion à internet depuis la barre des menus de macOS
QuickNetStats surveille l’état de votre connexion à internet depuis la barre des menus de macOS
QuickNetStats (gratuit) est un utilitaire qui vient se loger dans la barre des menus de macOS et dont le rôle principal est de surveiller votre connexion à internet. Il sera surtout utile si vous perdez régulièrement votre accès à internet, puisqu’il pourra alors vous prévenir clairement et instantanément qu’il y a un problème. Il affiche aussi quelques informations supplémentaires, comme vos IPv4 publique et locale, et évalue en arrière-plan la qualité de la connexion à internet.
Cet utilitaire est loin d’être le premier sur ce segment, il existe déjà de nombreuses options dans le même esprit, à commencer par une app complète comme iStat Menus qui propose cette exacte fonctionnalité depuis bien longtemps. Néanmoins, QuickNetStats est une app gratuite et même open-source, l’intégralité de son code en Swift étant distribuée sur GitHub. Vous pouvez contribuer au projet si vous avez les compétences nécessaires, de quoi ajouter la gestion des modernes IPv6 en plus des antiques IPv4, par exemple.
Même si son interface est très simple, l’app propose déjà de multiples fonctionnalités. QuickNetStats distingue les différents types de connexion (Ethernet, Wi-Fi ou partage de connexion) et peut afficher des informations supplémentaires, comme le mode économie de données de macOS s’il est activé pour un réseau sans fil. La qualité de la connexion est mesurée sur trois niveaux et le développeur explique que sa priorité a été d’avoir un résultat aussi rapide que possible. C’est donc une estimation et non pas un test de débits en bonne et due forme, mais cela peut être suffisant à l’usage.
Les deux adresses IP peuvent être ajoutées au presse-papier d’un clic et l’app peut afficher le statut de la connexion directement dans la barre des menus (comme sur ma capture ci-dessous) ou bien se contenter d’une icône. Si QuickNetStats n’est pas traduite en français pour le moment, c’est typiquement une tâche qui pourrait être accomplie grâce à son code ouvert. Si vous voulez tester l’app, vous pouvez récupérer la dernière version depuis cette page ou bien passer par le gestionnaire de paquets Homebrew avec cette commande :
brew tap FI-153/tap && brew install quicknetstats
L’avantage de cette méthode, c’est que vous pourrez installer les mises à jour de l’app via Homebrew également. Il n’y a pas de dispositif de mise à jour intégré à QuickNetStats pour le moment. macOS 13 est nécessaire au minimum, même si le développeur recommande macOS 26 pour bénéficier de toutes les fonctionnalités.
Citroën s'allie à Decathlon pour créer cette voiture géniale (et 100% modulaire)
-
Mac4Ever
- La Nintendo Switch 2 + Mario Kart en promo à 434€, console seule à 399€ : le bon plan de Noël !
La Nintendo Switch 2 + Mario Kart en promo à 434€, console seule à 399€ : le bon plan de Noël !
-
Mac4Ever
- Attention à cette arnaque téléphonique : j'ai manqué tomber dedans, et c'est la faute de Free !
Attention à cette arnaque téléphonique : j'ai manqué tomber dedans, et c'est la faute de Free !
Apple TV se moque de Warner Bros et veut s'offrir les Golden Globes
Le paiement fractionné de Klarna s’intègre à Apple Pay
Klarna, un service qui permet de payer en plusieurs fois sans frais, s’intègre à Apple Pay en France et en Italie. L’annonce avait été faite récemment, et la disponibilité est maintenant effective. Les clients éligibles peuvent régler leurs achats en trois mensualités ou bien choisir de payer jusqu’à 30 jours plus tard. Pour les sommes importantes, Klarna propose un étalement plus long, cette fois assorti d’intérêts — c’est ainsi que l’entreprise fait son beurre.

Pour les paiements dans les boutiques physiques, il suffit de sélectionner la carte Klarna dans l’app Cartes de l’iPhone, comme une carte bancaire classique. La différence se trouve juste en-dessous : une option sous la carte permet de choisir le mode de paiement souhaité, par exemple le règlement différé.
Sur le web et dans les applications, l’intégration est un peu particulière : il faut toujours avoir ajouté sa carte Klarna dans Wallet au préalable, puis toucher « Autres cartes et options de paiement différé » lors du paiement via Apple Pay pour sélectionner celle-ci et le type de paiement fractionné.
La fintech suédoise, qui est récemment entrée en bourse, revendique 114 millions de clients à travers le monde grâce à sa présence sur de nombreux sites web (IKEA, GAP, Zara, Zalando, JD…). Ce partenariat avec Apple intervient dans le sillage de l’abandon d’Apple Pay Later.
Fan de e-Sport ? Mettez-vous à Microsoft Excel !
Microsoft Excel est un tableur graphique pour interface graphique, une nouvelle génération apparue avec le Apple Lisa, et Excel créé pour le Macintosh par nul autre que Bill Gates en personne, lui donnant aussi accès aux documentations internes du Macintosh qui une fois photocopiées ont donné lieu à Microsoft Windows.
![]()
Microsoft Excel est donc lié à la fois au Macintosh et à Windows ! Et après une longue guerre menée par Microsoft, devenu le tableur de référence, en ayant écarté tous les autres du marché par des moyens plus ou moins illicites...
Mais savez-vous qu'il existe une discipline de e-sport avec Excel, et son championnat mondial ?
Régulièrement gagnée par des responsables d'entreprises spécialisées dans les données, les nerds des nerds, cette épreuve se joue à la fois sur la vitesse, par élimination du plus lent à chaque 5 minutes, mais aussi et évidemment sur le résultat au bout de 30 minutes.
Je vous avouerais que j'ai été étonné en découvrant cela, puis en y réfléchissant posément, je me suis dit que oui c'était une véritable épreuve de e-Sport, et je me demande quand apparaitront les épreuves de bash ou zsh, et pour les plus pros celle de Emacs avec LateX...
Découvrez en plus avec cet ancien sujet de Kombo sur YouTube.
Et vous, êtes-vous un pro d'Excel ?
Fan d'e-sport ? Mettez-vous à Microsoft Excel !
Microsoft Excel est un tableur graphique pour interface graphique, une nouvelle génération apparue avec le Apple Lisa, et Excel créé pour le Macintosh par nul autre que Bill Gates en personne, lui donnant aussi accès aux documentations internes du Macintosh qui une fois photocopiées ont donné lieu à Microsoft Windows.
![]()
Microsoft Excel est donc lié à la fois au Macintosh et à Windows ! Et après une longue guerre menée par Microsoft, devenu le tableur de référence, en ayant écarté tous les autres du marché par des moyens plus ou moins illicites...
Mais savez-vous qu'il existe une discipline de e-sport avec Excel, et son championnat mondial ?
Régulièrement gagnée par des responsables d'entreprises spécialisées dans les données, les nerds des nerds, cette épreuve se joue à la fois sur la vitesse, par élimination du plus lent à chaque 5 minutes, mais aussi et évidemment sur le résultat au bout de 30 minutes.
Je vous avouerais que j'ai été étonné en découvrant cela, puis en y réfléchissant posément, je me suis dit que oui c'était une véritable épreuve de e-Sport, et je me demande quand apparaitront les épreuves de bash ou zsh, et pour les plus pros celle de Emacs avec LateX...
Découvrez en plus avec cet ancien sujet de Kombo sur YouTube.
Et vous, êtes-vous un pro d'Excel ?
-
Mac4Ever
- Free doit transformer des milliers d'installations fibre en urgence : vous êtes peut-être concerné !
Free doit transformer des milliers d'installations fibre en urgence : vous êtes peut-être concerné !
Amazon brade le MacBook Air M2 à 775€ : offrez-vous la qualité Apple au meilleur prix !
Eve Thermo 5 : un nouveau design pour la tête thermostatique Matter sur Thread
Eve a commercialisé une nouvelle génération de l’Eve Thermo, sa tête thermostatique connectée à Matter par le biais de Thread. Vendue uniquement sur le site du fabricant pour le moment, ce modèle est toujours affiché à 80 € l’unité, avec un prix dégressif si on en achète plusieurs : 220 € au lieu de 240 pour trois ou encore 360 € au lieu de 400 pour cinq. À ce tarif de base, il faudra encore ajouter 7 € de frais de port pour la France.
Ce n’est pas donné, surtout face au modèle précédent qui est couramment en promotion et alors que les changements d’une génération à l’autre semblent minimes. Le fabricant est toutefois étonnamment discret sur ce point et pour autant que je puisse en juger, seul le design évolue franchement. Alors que l’ancienne Eve Thermo était un rectangle allongé d’un côté et assez encombrante dans ce domaine, la nouvelle version est un carré d’environ 5,5 cm de côté aux bords arrondis. Cette cinquième génération perd un centimètre en hauteur et elle ainsi plus compacte, même si ce n’est pas une différence énorme.
Si cela reste un avantage pour les radiateurs placés bizarrement, ce changement ne devrait pas vraiment changer l’usage de l’appareil. Eve a repris son affichage discret sur le dessus ainsi que les deux petits boutons qui permettent d’ajuster la consigne. Deux piles AA (fournies) servent toujours à alimenter l’Eve Thermo et le fabricant ne fait toujours aucune promesse d’autonomie. Ce n’était pas un point fort de l’ancienne génération, avec moins de six mois d’autonomie réelle, et l’absence de chiffre annoncé n’est pas très rassurante.
Si vous cherchez une tête thermostatique compatible avec Matter via Thread, l’ancienne Eve Thermo est actuellement vendue à 50 € sur Amazon et c’est une meilleure option à mon avis. Quel que soit votre choix, vous aurez besoin d’un routeur de bordure Thread, ce qui veut dire un HomePod 2, HomePod mini ou Apple TV 4K avec Ethernet dans l’univers Apple. Les deux générations sont aussi compatibles avec l’Eve Thermo Control, un petit thermostat qui permet de mesurer la température et de modifier la consigne depuis un autre endroit dans la pièce.
Eve commercialise le Thermo Control, un thermomètre connecté qui peut ajuster la consigne de l’Eve Thermo
-
MacG.co
- Euria : Infomaniak lance un concurrent à ChatGPT, une IA hébergée en Suisse qui chauffe aussi des logements
Euria : Infomaniak lance un concurrent à ChatGPT, une IA hébergée en Suisse qui chauffe aussi des logements
Infomaniak annonce le lancement d’Euria, un chatbot basé sur un grand modèle de langage qui peut répondre à n’importe quelles questions et réaliser des tâches pour vous. C’est une intelligence artificielle générative qui vient directement concurrencer ChatGPT ou Gemini, avec toutefois l’approche spécifique de l’hébergeur suisse. L’entreprise n’a pas entraîné ses propres modèles de langage, elle utilise des LLM ouverts, dont Qwen 3, même si le communiqué de presse se contente d’indiquer que le système « s’appuie sur plusieurs modèles d’IA open source en fonction de la demande de l’utilisateur », sans préciser lesquels.
C’est assez logique au fond, Euria est un produit destiné au grand public, qui cherche à effacer toute la complexité liée à la sélection du bon modèle en fonction de la tâche. On se retrouve avec un champ de texte et on peut poser n’importe quelle question et obtenir une réponse. Comme dans toutes les solutions de ce type, il est possible de faire appel à une recherche sur le web et Infomaniak a prévu un mode automatique, assez similaire à celui de ses concurrents. Si l’utilisateur peut forcer le chatbot à faire une recherche sur internet, le système décidera en fonction de votre requête si elle est nécessaire.
Euria est accessible gratuitement et sans même avoir à créer de compte à cette adresse. S’il n’y a pas encore d’app pour desktop, on peut en revanche installer une app pour iOS et Android. Infomaniak met en avant la rapidité et la générosité de son offre gratuite et il lui faut en effet moins de dix secondes pour répondre à ma question avec demande de liens, pour forcer une recherche sur le web. Ce n’est pas nécessairement mieux que ChatGPT d’après mes tests, mais on ne parle pas des mêmes moyens mis en œuvre entre l’hébergeur suisse et le géant qu’est devenu OpenAI.
La générosité promise m’a moins impressionné. Après quatre ou cinq requêtes, Euria refuse de répondre à mes questions et me demande de créer un compte ou alors d’attendre un jour. S’il faut payer pour un usage plus intensif, Infomaniak n’a pas créé d’abonnement spécifique et l’accès à son chatbot repose sur ses offres my kSuite qui intègrent aussi une boîte mail, du stockage en ligne et des services annexes, comme un calendrier ou une solution de visioconférence. L’offre gratuite permet d’utiliser davantage Euria et l’option payante, facturée 1,9 € par mois ou 19 € par an, offre un accès encore étendu à l’IA. La version destinée aux entreprises kSuite Pro inclut elle aussi un accès à Euria.
Le choix de modèles ouverts permet à Infomaniak de les faire tourner sur ses propres infrastructures en Suisse. L’hébergeur met en avant le respect des données de ses clients, en notant que les échanges sont chiffrés et surtout que les données des utilisateurs ne seront pas utilisées pour entraîner des modèles de langage. Un mode éphémère est prévu pour les besoins encore plus sensibles : dans ce cas, tous les échanges sont immédiatement supprimés et les serveurs n’en garderont aucune trace. Enfin, Infomaniak met en avant ses arguments écologiques, en rappelant que ses centres de données servent à chauffer des logements, un sujet que l’entreprise connaît bien.
Une tech plus verte : comment Infomaniak veut chauffer Genève avec un data center
Ce sera d’autant plus le cas avec les gourmandes cartes graphiques qui sont indispensables pour faire tourner les grands modèles de langage qui servent de fondation à toutes les IA génératives. Le centre de données situé à Genève qui héberge Euria devrait ainsi permettre de chauffer jusqu’à 6 000 logements en hiver.
Infomaniak promet plusieurs évolutions de son offre à l’avenir : génération d’images, ajout d’une mémoire globale ou encore des agents pour réaliser des tâches spécifiques. L’intégration d’Euria au sein des offres kSuite devrait aussi être plus profonde, on imagine par exemple pour chercher des éléments dans une boîte mail ou dans les fichiers stockés dans le cloud.
L’iPad Air M3 de 13" dès 749 €, un tarif record chez un revendeur français
Le Black Friday est passé, mais les promotions ne sont pas terminées. Darty fait jusqu’à 14 % de remise sur l’iPad Air 13" de dernière génération. La version Wi-Fi avec 128 Go de stockage tombe ainsi à 749 € au lieu de 869 € chez Apple, un tarif record chez un revendeur français (Rakuten est à part avec ses exemplaires d’import…).
Vous avez en plus le choix entre les quatre couleurs et toutes les capacités de stockage sont en promo :
- Wi-Fi 128 Go : 749 € (- 14 %)
- Wi-Fi 256 Go : 879 € (- 12 %)
- Wi-Fi 512 Go : 1 129 € (- 9 %)
- Wi-Fi 1 To : 1 379 € (- 8 %)

Les modèles cellulaires bénéficient de rabais similaires :
- Wi-Fi + 5G 128 Go : 919 € (- 11 %)
- Wi-Fi + 5G 256 Go : 1 049 € (- 10 %)
- Wi-Fi + 5G 512 Go : 1 299 € (- 8 %)
- Wi-Fi + 5G 1 To : 1 549 € (- 7 %)
Introduit l’an dernier, l’iPad Air de 13" est vraiment bienvenu pour qui cherche une grande tablette sans avoir besoin des raffinements du modèle Pro. Cette grande ardoise est nettement plus abordable que l’iPad Pro de 13", qui démarre à plus de 1 400 € pour sa part (avec de 256 Go de stockage) !
L’iPad Air M3 surclasse largement l’iPad d’entrée de gamme en matière de puissance. Avec la puce M3, il n’y a pas de souci à se faire sur les performances pendant des années et des années. Il dispose en plus d’une bonne webcam et de la compatibilité avec le Wi-Fi 6E pour une connexion très rapide à domicile.
Test des iPad Air M3 : ils ne manquent pas d’air
Passer d'un Android à un iPhone (et inversement) sera bientôt un jeu d'enfant !
Fairphone améliore ses Fairbuds XL et prouve que son casque est vraiment évolutif
Le rachat de Warner Bros. par Netflix déjà remis en cause ?

Freebox OS Ultra Dashboard : une interface d’administration plus moderne pour les Freebox
Les Freebox disposent sans aucun doute du système d’exploitation le plus complet parmi les box fournies par les opérateurs. Mais son interface ne pourrait-elle pas être améliorée ? C’est l’avis d’un designer et d’un développeur qui se sont associés pour proposer une interface d’administration plus moderne.

Réalisée par Powlisher et Hugo Hérisson, Freebox OS Ultra Dashboard est une interface web alternative pour les Freebox Ultra, Delta et Pop qui permet de consulter en un coup d’œil de nombreuses informations. Là où le système d'exploitation impose plusieurs clics pour accéder aux téléchargements, aux débits ou aux appareils connectés, ce tableau de bord regroupe tout en une seule page, mise à jour en temps réel.
Ultra Dashboard n’altère pas Freebox OS, il s’agit d’une nouvelle porte d’entrée accessible depuis le web qui est permise grâce aux API de Free. Open source, l’interface est conçue avec la bibliothèque React et le framework Express. Son installation, qui nécessite de taper quelques commandes dans un terminal, est détaillée sur la page du projet. Comme il s’agit d’une bêta, des bugs ne sont pas à exclure.

« Côté évolutions, je suis actuellement en phase de test sur les Freebox Pop et Delta. L’idée est de pousser l’API Freebox OS au maximum et d’ajouter des fonctionnalités manquantes ou que j’ai pu "oublier" lors du premier jet », a fait savoir Hugo Hérisson à nos confrères de Next. Le développeur est maintenant en contact avec le responsable de Freebox OS, de quoi, peut-être, inspirer certaines améliorations officielles.