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La plateforme de jeux en ligne Roblox propose une multitude d’expériences captivantes aux joueurs du monde entier. Parmi elles, on compte Meme Sea, qui se démarque par son originalité et son dynamisme. Ce jeu mêle en effet exploration, combats épiques et quête de trésors sur fond de mèmes amusants et populaires. Je vous invite à le découvrir en détail.
Meme Sea invite à l’aventure
Exclusivement disponible sur Roblox, Meme Sea est un jeu de rôle (RPG) où les participants affrontent des monstres et ennemis conventionnels, mais aussi des personnages célèbres issus de mèmes. Tout le long du parcours, le but principal est d’acquérir les meilleurs fruits qui offrent des pouvoirs spéciaux aux personnages. Ils permettent de gagner en puissance pour affronter des ennemis qui deviennent encore plus redoutables au fil des niveaux. Lancé le 17 juillet 2022 sur Roblox, Meme Sea est maintenant à sa quatrième version. Ce titre inspiré de Blox Fruits totalise 520 millions de visites.
Les joueurs explorent la terre ferme, naviguent en mer ou flottent dans les airs pour affronter divers adversaires. Ils résolvent également des quêtes pour monter en level. Cela dit, ce sont surtout les récompenses variées et attractives qui rendent ce titre si captivant, car chaque partie propose des défis inédits et des trésors à découvrir. Ce RPG met l’accent sur l’amélioration continue des capacités du joueur pour gravir les échelons de la chaîne des mèmes. Les participants peuvent d’ailleurs utiliser des codes pour obtenir des récompenses telles que des gemmes et de l’argent virtuel, ce qui facilite leur progression dans le jeu.
Outre le mode solo, le jeu encourage les interactions et le travail d’équipe à travers différentes fonctionnalités sociales, comme la possibilité de rejoindre une équipe via Discord. Ainsi, Meme Sea représente plus qu’une aventure solitaire. C’est aussi un lieu d’échanges et de stratégies partagées entre les membres de sa communauté. Cette dimension sociale renforce l’engagement et permet de créer des alliances essentielles pour progresser dans le jeu.
Fiche technique
Nom du jeu : Meme Sea
Plateforme : Roblox
Genre : Jeu de rôle (RPG)
Date de création : 17 juillet 2022
Version actuelle : 4 (aout 2024)
Visites : Plus de 520 millions
Objectif principal : Acquérir des fruits rares pour obtenir des pouvoirs spéciaux
Monnaies du jeu : Gemmes, Cash
Système de récompenses : Codes promotionnels
Mécanique de jeu : Exploration, combats, personnalisation de l’avatar, amélioration des compétences
Les fruits les plus convoités
Un aspect central de Meme Sea est la quête avide des différents types de fruits présents dans le jeu. Bien qu’il y ait une multitude de fruits, certains se démarquent particulièrement grâce à leur rareté et aux pouvoirs spectaculaires qu’ils confèrent, ce qui attire l’attention des joueurs les plus ambitieux. Parmi eux, le fruit Dragon se distingue comme l’un des plus recherchés. Il octroie une immense puissance de feu, mais transforme aussi l’avatar du joueur en une redoutable version draconique. Cette métamorphose peut facilement inverser le cours d’une bataille, en plaçant votre personnage au sommet de la chaîne alimentaire du jeu.
D’autres fruits ne sont pas en reste. Le fruit Phénix, par exemple, offre une régénération miraculeuse, ce qui rend ses détenteurs presque invincibles face aux ennemis moins équipés. La capacité de renaître littéralement de ses cendres procure un avantage indéniable lorsque le joueur est au cœur d’une bataille intense. Par ailleurs, le fruit Ombre mérite également d’être mentionné. Grâce à lui, les joueurs ont accès à des capacités furtives, les transformant en chasseurs invisibles qui arpentent silencieusement les terrains les plus hostiles. Ceux qui maîtrisent cet art peuvent infliger des attaques-surprises dévastatrices à leurs adversaires. Ils consolident ainsi leur statut de véritables prédateurs dans les recoins obscurs de l’arène.
Au sommet de cette pyramide se trouvent les fruits dits S-tier, réputés pour leurs forces phénoménales. Ce sont surtout eux que visent la majorité des participants aguerris. En revanche, des fruits communs peuvent être choisis selon des circonstances spécifiques ou la préférence personnelle d’un joueur qui cherche à exceller dans une discipline plutôt que la force brute systématique.
Un système marchand propre au jeu
Dans Meme Sea, le système marchand joue un rôle clé dans l’évolution des joueurs. Les objets tels que les fruits et les équipements voient leur valeur fluctuer selon l’offre et la demande. Pour acquérir des pouvoirs rares, les joueurs utilisent des gemmes obtenues par des codes ou des activités en jeu, via un système gacha. Pour rappel, ces gemmes permettent d’obtenir des pouvoirs spéciaux augmentant les capacités de combat ou de défense.
Outre les gemmes, le cash constitue une monnaie importante pour acheter des équipements ou participer à des événements spéciaux. Des codes de réduction, comme 100KActive, offrent des récompenses comme 1 million de cashs et 1 000 gemmes, ce qui permet aux joueurs d’améliorer rapidement leur inventaire. Si l’idée de gagner de l’argent en jouant vous intéresse ? Cliquez ici.
Les joueurs doivent élaborer des stratégies de négociation pour échanger ces ressources efficacement et ainsi renforcer leur position dans le jeu. Rejoignez des plateformes communautaires pour bénéficier de précieux conseils et mises à jour, ce qui vous permettra d’optimiser vos échanges et de maximiser vos gains. De bonnes décisions concernant les ventes ou les achats possèdent l’effet domino nécessaire pour atteindre rapidement de nouveaux sommets. Une économie vivace rehausse donc le sentiment d’immersion globale dans cet univers. Cela renforce à la fois la satisfaction personnelle et celle collective.
Les codes les plus récents
Meme Sea, comme beaucoup de jeux modernes, offre aux joueurs des codes promotionnels qui débloquent des récompenses exclusives. Ces codes peuvent fournir divers bonus, comme des points d’expérience supplémentaires, des devises de jeu, ou même des objets rares. Ils permettent d’améliorer ses performances rapidement sans avoir à accumuler des ressources de manière traditionnelle. Relayés sur des sites spécialisés, ces codes encouragent les joueurs à rester actifs et informés des mises à jour et événements spéciaux. En les utilisant de façon stratégique, il est possible de gagner un avantage en équipant rapidement des améliorations. Les codes les plus récents pour Meme Sea sur Roblox incluent plusieurs options qui offrent des récompenses telles que des gemmes et de l’argent.
Pour échanger un code dans Meme Sea, commencez par ouvrir le jeu sur Roblox. Dirigez-vous ensuite vers le coin inférieur gauche de l’écran et cliquez sur l’icône en forme de roue dentée pour accéder aux paramètres. Une fois dans les paramètres, faites défiler jusqu’à la section « Redeem Codes« . Entrez ou collez le code dans le champ dédié. Pour finir, appuyez sur le bouton en forme de triangle gris pour valider le code. Cette procédure vous permettra de bénéficier des bonus et récompenses offerts par les codes promotionnels, améliorant ainsi votre expérience de jeu.
Les codes 100KActive, 100KFavorites et 100KLikes sont particulièrement populaires. Chacun d’eux offre respectivement 1 million de cashs et 1 000 gemmes pour 100KActive, et 500 gemmes pour 100KFavorites et 100KLikes. Les joueurs peuvent aussi obtenir et échanger 100MVisits, 70KActive ainsi que Update4. Ces codes sont disponibles pour être réclamés en janvier et février 2025.
Pour profiter pleinement de Meme Sea
Commencez par explorer différentes îles pour accumuler des récompenses et améliorer vos compétences. Utilisez les codes promotionnels fréquemment partagés sur des sites spécialisés pour obtenir des gemmes et du cash, ce qui vous permettra d’acquérir des pouvoirs spéciaux et des équipements rares. Les codes offrent des bonus significatifs qui facilitent votre progression. Personnalisez d’ailleurs votre avatar et améliorez vos compétences en utilisant les fruits rares que vous trouvez. Ces fruits confèrent des pouvoirs uniques qui peuvent transformer votre style de jeu et vous donner un avantage sur vos adversaires.
Participez aux événements spéciaux et aux mises à jour régulières pour découvrir de nouveaux contenus et défis, comme de nouveaux styles de combat, armes et accessoires. Engagez-vous avec la communauté de joueurs pour échanger des astuces et des stratégies. Les plateformes communautaires sont une excellente source d’informations pour optimiser vos échanges et maximiser vos gains.
Pour trouver les îles secrètes, recherchez des endroits comme l’île de Popcat, où vous pouvez obtenir des armes spéciales. Améliorez vos compétences de combat en recherchant des maîtres de compétences tels que Mr. Nugget sur l’île de Popcat. Participez aux événements réguliers pour découvrir de nouveaux défis. Utilisez des outils d’automatisation comme Tiny Task pour accomplir des tâches répétitives et maximiser vos gains.
Meme Sea sur Roblox est un jeu qui mélange l’univers de One Piece avec l’humour des memes, ce qui crée une expérience exceptionnelle. L’idée de combattre avec des pouvoirs basés sur des memes de chats ou de chiens est amusante et originale. Les graphismes, bien que simples, sont colorés et attrayants, ajoutant une touche visuelle plaisante à l’expérience de jeu. L’obtention de gemmes et de cash via des codes, comme ceux de 100MVisits, 100KLikes et 100KActive, est un atout important pour progresser rapidement, surtout pour les nouveaux joueurs.
Cependant, le jeu pourrait bénéficier d’une plus grande variété de quêtes et de défis pour maintenir l’intérêt à long terme. Bien que le système de pouvoirs aléatoires soit intéressant, il peut aussi être frustrant si l’on recherche une capacité spécifique. L’interface pourrait être plus intuitive, notamment en ce qui concerne l’utilisation des pouvoirs. Malgré ces quelques points faibles, Meme Sea offre une expérience divertissante pour les fans de memes et de One Piece, surtout grâce à ses récompenses régulières via les codes.
Depuis le 26 mars, le PlayStation Store a lancé sa grande promotion de printemps. On pourra alors profiter de réductions allant jusqu’à 75 % sur une multitude de jeux et de contenus additionnels. Mais attention, ces bonnes affaires ne dureront pas éternellement. Alors, mieux vaut ne pas traîner !
PlayStation a lancé une offre spéciale pour le printemps, avec des prix réduits sur plusieurs jeux PSVR 2. La promotion a déjà commencé et elle durera jusqu’au 23 avril. Pendant cette période, il y a plus de 60 jeux compatibles avec le PS VR2 vendus à prix réduit. Parce qu’on le sait tous, personne n’apprécie de payer le prix fort quand il est possible de faire une petite économie.
The Walking Dead: Saints & Sinners – Chapter 2: Retribution
Until you fall
Vampire: The Masquerade – Justice
Vertigo 2
Il est à noter que certaines offres disparaîtront au profit de nouvelles lors de la mise à jour de la promo, prévue le 9 avril.
Promotion printemps PSVR 2 : Tirer le meilleur parti des abonnements PS Plus
Petit conseil rapide pour éviter de vous faire avoir lors de cette promotion de printemps sur le PSVR 2 : beaucoup de jeux en promo se retrouvent aussi dans les abonnements PS Plus Extra ou Premium. N’oubliez donc pas de vérifier avant d’acheter, ça pourrait vous éviter de vider votre porte-monnaie pour rien !
Par ailleurs, il est donc recommandé de consulter régulièrement le PlayStation Store pour ne pas manquer toutes les offres exceptionnelles sur les jeux VR.
Et n’oublions pas, le PlayStation VR2 bénéficie d’une réduction de prix permanente. Le prix du casque est passé de 599,99 € à 449,99 €, ce qui en fait une période idéale pour les joueurs qui souhaitent s’équiper.
Après avoir signé la trilogie Vader Immortal et Tales from the Galaxy’s Edge, ILM Immersive revient avec du lourd. Sur le blog de Quest, le studio a annoncé son prochain jeu : Star Wars: Beyond Victory. Ce sera une toute nouvelle aventure en réalité mixte, accessible uniquement sur les casques Met Quest 3 et Meta Quest 3S. Retrouvez ici tous les détails
ILM Immersive a fait une belle annonce : Star Wars: Beyond Victory. Il s’agit d’une toute nouvelle aventure en réalité mixte qui vous emmène une fois de plus dans l’univers Star Wars. Le jeu est toujours en développement et il n’y a pas encore de détails sur le gameplay.
« Nous sommes ravis de présenter un aperçu de cette nouvelle expérience à la formidable communauté Star Wars lors de la Star Wars Celebration cette année », explique le directeur José Perez III.
« Chez ILM, notre objectif a toujours été de satisfaire les joueurs, en proposant de nouvelles manières d’explorer les récits de Star Wars. En nous concentrant sur la réalité mixte, nous avons découvert de nombreuses possibilités pour renforcer l’immersion. Ainsi, nous apportons une galaxie lointaine, très lointaine, directement dans les foyers des joueurs comme jamais auparavant. »
L’histoire préquelle du jeu en réalité mixte est présentée dans une BD Marvel écrite par Ethan Sacks. Phil Noto a créé la couverture, tandis que Will Sliney, Steven Cummings et Shogo Aoki ont signé les dessins intérieurs.
Explorer Star Wars: Beyond Victory en réalité mixte à la Star Wars Celebration
L’expérience suit Volo Bolus, un pilote (et nouveau venu) pendant l’époque de Solo : A Star Wars Story. Il fait équipe avec Sebulba, toujours présent depuis ses méfaits dans La Menace Fantôme. Beyond Victory est une aventure rapide en réalité mixte pour raconter leur histoire. De plus, nous aurons le plaisir d’expérimenter différents modes dans le jeu.
Nous aurons l’occasion d’en savoir un peu plus le titre Star Wars: Beyond Victory lors de la Star Wars Celebration, qui se tiendra du 18 au 20 avril au Japon. Ceux qui assisteront à la célébration pourront s’essayer à Star Wars : Beyond Victory sur plus d’une douzaine de stations Quest, et bénéficier d’un premier aperçu avec un casque VR.
A noter que les participants pourront aussi tester des démos des jeux précédents d’ILM sur place.
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Préparez-vous à voler avec intensité : Aces of Thunder promet des combats aériens saisissants en VR. Inspiré des deux Guerres mondiales, ce simulateur dévoile une bande-annonce qui ravira les amateurs de manœuvres historiques et de dogfights endiablés.
Le studio Gaijin Entertainment, à l’origine de War Thunder, revient sur le tarmac avec Aces of Thunder. Ce simulateur de vol en VR vient de dévoiler une nouvelle bande-annonce de gameplay, plus intense que jamais. Chaque avion est modélisé avec une précision impressionnante, fidèle aux réalités physiques du vol et des dégâts.
Dans cette bande-annonce, les cockpits interactifs montrent tout le soin apporté au réalisme. Les virages serrés, les tirs de mitrailleuses et les collisions en plein ciel composent une ambiance électrisante. Les amateurs de simulations historiques y retrouveront des appareils emblématiques des fronts de l’Est, du Pacifique et de l’Europe de l’Ouest.
Des appareils légendaires pour des batailles intenses
Aces of Thunder proposera à son lancement plus de 15 cartes, réparties sur trois grands théâtres d’opérations. Les combats couvriront le front de l’Est, l’Europe de l’Ouest et la zone du Pacifique. Côté aviation, le jeu s’appuie sur un panel varié d’avions soviétiques, américains et allemands. La présence du Fokker DR.I du célèbre Baron Rouge illustre l’ambition du jeu de rendre hommage aux avions de légende.
Ces appareils de la Première Guerre mondiale se distinguent par leurs mitrailleuses montées sur le fuselage. En revanche, les avions de la Seconde Guerre mondiale présentent des configurations plus modernes. Cela apporte une grande diversité de styles de jeu. Gaijin Entertainment a d’ailleurs commencé à publier des reportages hebdomadaires pour dévoiler en détail certaines mécaniques.
Un lancement repoussé mais un contenu plus riche
Initialement attendu fin 2024, Aces of Thunder a vu sa sortie repoussée à 2025. Le studio justifie ce retard par la volonté d’intégrer davantage de contenu que prévu. Ce décalage laisse entrevoir des ajouts importants, sans pour autant donner de nouvelle date précise à ce jour.
Malgré l’absence de calendrier définitif, Gaijin confirme que le jeu sortira sur PlayStation VR2 et SteamVR. La bande-annonce, bien que muette sur la date, témoigne d’un jeu visuellement ambitieux et techniquement exigeant.
Vous cherchez à plonger votre entreprise dans le monde de la réalité virtuelle ? Les casques derniers cris de Varjo, à savoir le XR-4, le XR-4 Focal Edition et le XR-4 Secure Edition pourraient vous intéresser.
Récemment, la marque Apple a attiré l’attention médiatique avec son futur casque Vision Pro, qui sortira au début de l’année 2024. Mais les entreprises actuellement investies dans la réalité virtuelle qui ne peuvent pas attendre ce lancement, pourraient se tourner vers les nouveaux casques XR-4, XR-4 Focal Edition et XR-4 Secure Edition que Varjo vient de lancer. Grâce à ces dispositifs, cette entreprise de technologie finlandaise vise à fournir des expériences de réalité virtuelle et mixte si proches de la réalité qu’elles sont quasiment indiscernables de la vue naturelle. Explorons les particularités de la série XR-4 de Varjo.
La série Varjo XR-4, à qui est-elle destinée ?
Quoi de neuf sur la série Varjo XR-4 ? Eh bien, ces casques VR de quatrième génération sont bien différents des casques grand public. En effet, ils se focalisent principalement sur des performances visuelles haut de gamme pour répondre aux besoins exigeants des secteurs industriels. Les dispositifs conventionnels sont davantage orientés vers la productivité en 2D ou vers le gaming. Quant à cette série, elle ambitionne de fournir des expériences immersives en VR/XR.
A titre d’illustration, au sein d’une entreprise majeure de défense, un pilote travaillant pourrait s’en servir dans le cadre d’un entrainement via des simulations de réalité virtuelle. De même, un géomètre pourrait exploiter ses capacités pour cartographier des terrains sur de vastes chantiers de construction.
Grâce à cette série, il est facile pour les développeurs et les utilisateurs industriels de créer des environnements en réalité mixte extrêmement réalistes. Et pour cause, elle fonctionne avec les GPU Nvidia et intègre Nvidia Omniverse.
« Notre objectif n’est pas de vous divertir avec des films … Nous visons véritablement à recréer la réalité avec le plus haut degré de précision possible, pour vous permettre d’accomplir votre travail – des tâches que vous auriez normalement effectuées dans le monde réel – et que vous pouvez réaliser en réalité mixte », a expliqué Patrick Wyatt, responsable des produits chez Varjo.
Actuellement, 25 % des entreprises du classement Fortune 100 choisissent les casques audio de cette société pour des applications comme :
La formation de pilotes et d’astronautes
La modélisation 3D pour les architectes et les designers
La réduction des délais de production automobile.
Les caractéristiques générales du casque Varjo XR-4
A vrai dire, le casque Varjo XR-4 embarque des caractéristiques tout à fait impressionnantes :
Une résolution de 4K par œil avec une définition de 3 840 x 3 744 pixels.
Intégration d’un capteur LiDAR pour des fonctionnalités améliorées.
Utilisation de deux panneaux mini-LED de 3,59 pouces chacun.
Un taux de rafraîchissement de 90 Hz pour une expérience visuelle fluide.
Un impressionnant contraste de 1:10 000 avec gradation locale pour des images nettes et détaillées.
Une luminosité de 200 nits pour une qualité visuelle optimale.
Prise en charge des gammes de couleurs à hauteur de 98 % sRGB et 96 % DCI-P3 pour des couleurs vives et précises.
Un large champ de vision de 120 x 105 degrés pour une immersion totale.
Rendu de qualité avec 51 pixels par degré (ppd).
Deux caméras passthrough de 20 mégapixels pour une perception accrue.
Une faible latence de 22 millisecondes pour une réactivité maximale.
Connectivité via 1 port DisplayPort et 1 port USB-C pour une utilisation polyvalente.
Expérience audio enrichie grâce à l’audio spatial sur les haut-parleurs intégrés et possibilité de sortie audio via une prise jack 3,5 mm.
Deux microphones intégrés antibruit pour une clarté audio optimale.
Il est également à noter que le Varjo XR-4 ne dispose pas de fonctionnement autonome, contrairement à l’Apple Vision Pro. Pour l’utiliser, il faut un ordinateur équipé d’une carte graphique performante. En outre, ce casque est compatible avec Windows 10 et 11 et avec Steam VR. Il est aussi bon de souligner que cet appareil est l’un des casques les plus lourds. Sachez qu’il a un poids total de plus de 1 kilo (665 g pour le casque nu et 356 g pour la sangle).
Les particularités respectives des deux versions du Varjo XR-4
Ci-dessous, vous trouverez les spécificités des casques Varjo XR-4 Focal Edition et XR-4 Secure Edition.
XR-4 Focal Edition
Le XR-4 Focal Edition de Varjo vous permet de vivre une immersion virtuelle sans précédent. Mais en quoi se distingue-t-il réellement ?
Le XR-4 Focal Edition s’adapte à votre vision pour une immersion sans pareille
Le XR-4 Focal Edition intègre des caméras à mise au point automatique dirigées vers le regard de l’utilisateur. Ceux-ci identifient précisément où l’utilisateur dirige son regard. En fonction de cette information, elles ajustent automatiquement le plan focal de l’affichage pour correspondre aux objets du monde réel intégrés dans l’environnement virtuel.
Ce dispositif utilise également le passage vidéo pour fusionner le monde virtuel avec le monde réel. L’objectif est de reproduire le mécanisme de mise au point naturel de l’œil humain. L’utilisateur peut donc interagir avec les éléments virtuels de manière plus naturelle puisque la mise au point de l’affichage s’aligne de manière dynamique avec ce qu’il regarde.
Varjo XR-4 et Varjo XR-4 Focal Edition : Différences et similitudes
Le Varjo XR-4 Focal Edition possède une résolution plus élevée avec autofocus. Quant au Varjo XR-4 standard, il dispose d’une résolution inférieure. Il ne présente pas d’autofocus pour la caméra Passthrough. Toutefois, ces éditions partagent certaines caractéristiques. Effectivement, tous deux sont capables de fonctionner entièrement hors ligne. Ils sont extrêmement pratiques pour des environnements où la connectivité à internet est limitée ou non désirée pour des raisons de sécurité.
De plus, ces dispositifs sont conformes à la Trade Agreements Act (TAA), une loi américaine qui régit les achats du gouvernement fédéral des États-Unis. Enfin, ils sont non RF. Cela veut dire qu’ils ne génèrent pas de signaux radiofréquences. Notons qu’ils sont assemblés en Finlande.
XR-4 Secure Edition
Cette édition est conçue spécifiquement pour les clients gouvernementaux et de défense. Elle est développée en respectant strictement les exigences de sécurité établies par le gouvernement et les entreprises travaillant dans ce domaine. La priorité de cette édition est donc la sécurité. Elle respecte les mesures mises en place pour répondre aux normes de sécurité spécifiques auxquelles ces entités doivent se conformer.
La série Varjo XR-4, quelles différences avec la série Varjo XR-3 ?
Par rapport aux casques XR-3, les casques XR-4 bénéficient d’une série d’améliorations.
Un champ de vision amélioré
Les XR-4 disposent d’un champ de vision horizontal de 120 degrés et d’un champ de vision vertical de 105 degrés. Cela représente 50 % d’espace d’écran supplémentaire par rapport au XR-3.
Une résolution du panneau d’affichage augmentée
Les nouveaux appareils ont une résolution de 4k par 4k avec 28 millions de pixels. Par ailleurs, le XR-4 affiche une luminosité deux fois supérieure à son prédécesseur, atteignant 200 nits. La résolution LiDAR a également été accrue. Quant aux contrôleurs, conçus par Razer, ils sont inclus dans le prix du casque.
Un modèle plus lourd que la série XR-3
La série XR-4 d’appareils maintient la tradition des générations précédentes. En effet, elle exige une connexion à des PC pour exécuter des applications industrielles complexes. Ils sont aussi plus lourds que certains modèles orientés vers les consommateurs comme le XR-3. Cependant, ils sont généralement utilisés pour des périodes limitées, comme lors de sessions d’entraînement.
Une amélioration majeure du Passthrough
L’innovation majeure du XR-4 réside dans sa version Focal qui intègre une amélioration du Passthrough de réalité mixte. Cette caractéristique permet aux utilisateurs de visualiser le monde réel environnant grâce à des caméras et des capteurs intégrés au casque. Le XR-4 Focal offre une densité de pixels maximale de 51 ppd en mode Passthrough, dépassant les 33 ppd de l’unité de base. En comparaison, le Quest 3 propose environ 25 ppd pour cette fonction. Apple n’a pas encore divulgué les spécifications du Vision Pro dans ce domaine.
Selon Greengart, président et analyste principal chez Techsponential, l’intégration du Passthrough sur des appareils comme le XR-3 de Varjo et le Quest 3 de Meta est appréciable. Mais ces appareils ne parviennent pas à dissimuler complètement l’impression de regarder un écran à travers un casque.
Ayant utilisé le casque d’Apple, ce responsable indique que le Vision Pro d’Apple parvient à réaliser cette illusion, du moins lors de courtes démonstrations, ce que le XR-4 de Varjo promet également. Ce niveau d’immersion pourrait ouvrir de nouvelles perspectives pour des applications informatiques spatiales. C’est particulièrement le cas dans des domaines comme la conception automobile et la simulation de vol utilisant une instrumentation réelle.
Qu’en est-il du prix ?
Au niveau des prix, il y a eu des changements notables.
Le tarif du Varjo XR-4
Le modèle de base est fixé à 3 990 € (environ 4 350 $). Et c’est la moitié du prix de la génération précédente XR-3 vendue à 6 495 € (environ 7 000 $). Cette réduction le place dans la même fourchette de prix que le Vision Pro (3 499 $) de Microsoft et le modèle d’entreprise HoloLens 2 (3 500 $). De plus, Varjo a supprimé les frais d’abonnement annuels de 1 495 € pour les achats d’appareils XR-3.
Le coût du Varjo Focal Edition et du Varjo Secure Edition
Pour 9 990 € (environ 10 940 $), vous pouvez acquérir l’édition Focal. Et cela représente une économie substantielle par rapport à l’édition Focal XR-3, habituellement vendue à environ 17 000 € (environ 18 625 $). Bien sûr, il ne peut pas rivaliser avec le Quest 3 vendu à 549 euros. Il est plutôt en concurrence avec l’Apple Vision Pro. La société met à disposition des versions Secure Edition de ses deux casques, disponibles à des prix de 7 990 $ et 13 900 $ chacun.
Le modèle XR-4, une solution plus abordable
Varjo a lancé son nouveau modèle XR-4 comme une solution plus abordable pour étendre l’utilisation de la réalité mixte dans les entreprises. Il est à savoir que les casques Varjo étaient précédemment limités par leur prix élevé, excluant de nombreux acheteurs potentiels.
En plus de la réduction de prix, la tarification de la nouvelle série a été simplifiée. Le Varjo XR-4 ne nécessite plus de frais de maintenance logicielle. Outre cela, il élimine le besoin d’acheter séparément des contrôleurs ou des trackers Steam. Cependant, il faut prendre en compte des coûts supplémentaires, comme l’exigence d’une station de travail ou d’un PC de jeu haut de gamme.
Les préventes sont déjà accessibles, mais exclusivement pour les entreprises. Et les premières livraisons débuteront en décembre. Mais la société n’a pas encore fixé de date pour la mise à disposition du produit pour le grand public.
Accréditation du Varjo XR-4 dans le simulateur JTAC d’Inzpire
Avec le XR-4, Varjo continue de repousser les limites de la simulation et d’affirmer sa position de leader dans le domaine de la XR professionnelle. Le 25 mars 2025, Varjo a annoncé que son casque XR-4 a officiellement reçu l’accréditation de l’OTAN pour son intégration dans le simulateur JTAC. Cette validation marque une étape majeure dans l’adoption des technologies de réalité mixte pour les entraînements militaires avancés.
Rapellons-le, le Joint Terminal Attack Controller ou JTAC est développé par Inzpire. Il joue un rôle clé dans la coordination des frappes aériennes en temps réel. Le Varjo XR-4 dispose d’une haute fidélité visuelle, ainsi qu’une résolution proche de celle de l’œil humain. De ce fait, les opérateurs bénéficient d’une immersion totale et d’une précision impressionnante lors des simulations.
L’accréditation de l’OTAN souligne ainsi la capacité du XR-4 à offrir un environnement d’entraînement ultra-réaliste. Cela va permettre aux soldats d’améliorer leurs compétences dans des conditions proches du terrain.
Au regard de cette reconnaissance, nous pouvons confirmer le potentiel des casques de réalité mixte pour la formation militaire. Ce qui pourrait ouvrir la voie à d’autres applications stratégiques.
Les défis de la réalité virtuelle et des jeux AAA La réalité virtuelle suscite de grandes attentes, notamment autour de l’arrivée de jeux AAA spécialement conçus pour ces dispositifs. Pourtant, ces productions mettent du temps à se déployer. Les raisons sont multiples, qu’il s’agisse de contraintes techniques liées aux casques ou des enjeux économiques colossaux ... Lire la suite
WebVR est une plateforme permettant d’accéder à des expériences en réalité virtuelle depuis n’importe quel navigateur internet, sans même avoir besoin d’un casque de réalité virtuelle. Découvrez le fonctionnement, l’intérêt, les défauts et tout ce que vous devez savoir sur WebVR.
À l’heure actuelle, l’industrie de la réalité virtuelle grand public semble partagée par quatre leaders : Oculus/Facebook, HTC/Valve, Sony et Google. Ces quatre entreprises cherchent à dominer le marché de la réalité virtuelle en développant leur propre casque VR, ou leur plateforme logicielle. Malheureusement, cette attitude freine le développement de l’industrie dans son ensemble. C’est pour remédier à ce problème que WebVR a été créé.
Qu’est-ce que WebVR ?
Tout comme OSVR, WebVR est un standard ouvert de réalité virtuelle. Ce standard laisse aux développeurs la liberté de créer toutes sortes d’expériences immersives. Ces applications peuvent ensuite être lancées sur n’importe quel navigateur (ou presque) sans avoir besoin de procéder à une quelconque installation. Il suffit de se rendre sur un site web pour lancer l’expérience.
Bien entendu, les expériences WebVR sont beaucoup plus intéressantes lorsqu’on les essaye avec un casque de réalité virtuelle. Comme dans toutes les expériences VR, les mouvements de tête que l’utilisateur effectue au sein de l’environnement virtuel sont suivis et les images s’adaptent en fonction. En somme, les mouvements du joueur dans le monde réel correspondent à ses mouvements dans la VR. Toutefois, la plupart des applications WebVR peuvent être lancées sans casque VR. Il suffit donc d’un navigateur web pour profiter de WebVR.
Les navigateurs web compatibles avec WebVR sont : Mozilla Firefox, Microsoft Edge, Google Chrome et Chromium, sa version open source, Samsung Internet, Oculus Carmel, les navigateurs du Gear VR, et enfin Servo, le nouveau navigateur de Mozilla. Notons qu’un plus grand nombre d’expériences est disponible sur Google Chrome.
Si l’utilisateur choisit de ne pas utiliser de casque VR, l’image apparaîtra sur l’écran de son ordinateur ou de son smartphone. En bougeant son téléphone, l’utilisateur pourra explorer le monde virtuel sous toutes ses coutures. Les caractéristiques techniques requises pour expérimenter WebVR sur smartphone ne sont pas très élevées, et la plupart des smartphones Android et iOS récents sont donc compatibles.
À quoi sert WebVR ?
WebVR rassemble déjà à l’heure actuelle de très nombreuses expériences. La plupart sont des vidéos et des photos à 360 degrés. En effet, de nombreux artistes utilisent WebVR pour placer l’utilisateur au centre d’une photo ou d’une vidéo panoramique. Les vidéos à 360 degrés prolifèrent sur YouTube, mais WebVR est un autre portail d’accès aux créations de ce format novateur.
On trouve également de nombreux jeux vidéo WebVR. Google propose une sélection d’expériences WebVR permettant par exemple de jouer au tennis de table ou d’explorer Google Maps en réalité virtuelle. Il est aussi possible de dessiner ou de faire de la musique en VR. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter notre top des meilleures expériences WebVR.
Bien évidemment, en termes de graphiques, la plupart des expériences WebVR sont nettement moins abouties que les expériences disponibles sur Oculus Rift, HTC Vive ou même Samsung Gear VR. Toutefois, les applications WebVR s’améliorent sans cesse, et les développeurs échangent en permanence de nouvelles idées pour améliorer la plateforme.
Web VR : quels sont les principaux défauts ?
Les fonctionnalités proposées par les casques et plateformes de réalité virtuelle les plus avancés ne sont pas disponibles sur WebVR. À l’heure actuelle, seules quelques expériences récentes sont compatibles avec les contrôleurs à détection de mouvement. La grande majorité des jeux et applications WebVR n’exploitent que le head tracking et les commandes vocales.
Par ailleurs, en tant que standard ouvert, WebVR laisse une liberté totale aux développeurs. N’importe qui peut créer n’importe quoi sur la plateforme, et il n’y a aucune règle concernant la qualité ou le contenu des expériences. Par conséquent, certaines applications sont de piètre qualité, voire pire. Toutefois, cette liberté totale permet aussi aux développeurs talentueux de proposer des expériences originales et novatrices.
WebVR : comment l’utiliser ?
Si vous possédez un casque Oculus Rift, HTC Vive, PlayStation VR, ou Windows Mixed Reality, il vous suffit de vous rendre sur le site WebVR de votre choix à l’aide de votre navigateur favori et de lancer une expérience. La plupart de ces sites comportent un bouton ou une icône de casque VR permettant de lancer l’application.
Si vous utilisez un smartphone, le navigateur et le casque à utiliser dépendent principalement du modèle de téléphone. Si vous possédez un iPhone, vous pourrez accéder à de nombreuses applications WebVR depuis Safari, mais surtout Google Chrome. N’importe quel casque Google Cardboard fera l’affaire. Pour les smartphones Samsung, mieux vaut utiliser le Samsung Gear VR, avec le navigateur Oculus Browser. Pour le reste des smartphones Android, nous recommandons le navigateur Chrome avec un casque de réalité virtuelle de type Google Cardboard ou Google Daydream.
De par les nombreux avantages que propose WebVR, la plateforme représente le futur de la réalité virtuelle. Grâce à ce standard ouvert, il est possible d’accéder à la VR depuis n’importe quel navigateur web, sur n’importe quel appareil, sans avoir besoin de procéder à l’installation d’une application. Par conséquent, WebVR a le potentiel de démocratiser la réalité virtuelle et d’unifier l’industrie. Pour l’heure, malheureusement, cette plateforme n’en est encore qu’à ses balbutiements. Toutefois, elle se développe à grande vitesse, et le feedback apporté aux développeurs par la communauté des utilisateurs est une ressource précieuse qui stimule son évolution. D’ici quelques années, les expériences WebVR pourraient bien surpasser celles proposées sur les casques haut de gamme comme l’Oculus Rift et le HTC Vive.
WebVR : Les nouvelles perspectives à explorer en 2025
Les technologies WebVR permettent désormais des expériences immersives accessibles directement depuis les navigateurs web. En 2025, les utilisateurs peuvent explorer des environnements tridimensionnels complexes sans nécessiter de téléchargements préalables ou d’installations logicielles lourdes.
Les interfaces neurales commencent à révolutionner l’interaction avec les mondes virtuels. En effet, des dispositifs innovants autorisent une connexion plus intuitive et plus directe entre le cerveau humain et les espaces numériques. Le but est de réduire considérablement les barrières technologiques traditionnelles.
Les plateformes de réalité virtuelle sociale permettent également des interactions plus naturelles. Dans cette optique, les avatars hyperréalistes sont capables de reproduire des expressions faciales et des mouvements corporels subtils. Le monde professionnel adopte massivement ces technologies. Les réunions virtuelles sont devenues plus immersives, avec des espaces de collaboration tridimensionnels qui favorisent la créativité et réduisent les distances géographiques. Les formations et les présentations techniques utilisent des simulations complexes qui améliorent significativement la compréhension et la rétention des informations.
La sécurité et la confidentialité des données représentent enfin un enjeu majeur. De ce fait, de nouveaux protocoles de cryptage et de protection des identités numériques émergent pour garantir l’intégrité des utilisateurs dans ces nouveaux espaces virtuels.
La réalité augmentée ou AR est en ce moment de plus en plus présente dans notre quotidien. Elle s’utilise dans plusieurs secteurs, dont celui du jeu vidéo. Il s’agit d’une expérience 3D interactive qui vous permet de voir au-delà de ce que vous voyez dans le monde réel. Découvrez ici toutes les informations à connaître sur cette technologie.
Grâce à la technologie 3D, il est désormais possible de voir certains éléments dans le monde réel, alors qu’ils ne s’y trouvent pas pour de vrai. On parle ici d’une expérience 3D interactive qui n’est autre que la réalité augmentée. À noter que cette dernière est différente de la réalité virtuelle. Pour les profanes en la matière, voici tout ce qu’il faut savoir sur cette technologie.
Réalité augmentée : qu’est-ce que c’est ?
La réalité augmentée peut être définie comme une expérience 3D interactive combinant des éléments mis au point par ordinateur avec une vue du monde réel. En d’autres termes, avec l’AR, on peut de ce fait voir des éléments virtuels dans le monde réel comme s’ils y étaient pour de vrai.
Comme il a été dit précédemment, cette technologie 3D est différente de la réalité virtuelle ou VR. Pour faire simple, cette dernière désigne un environnement informatique complètement autonome.
L’AR, quant à elle, superpose des éléments informatiques parmi des objets réels. Il est à souligner que cela se fait en temps réel pour rendre l’expérience aussi réaliste que possible.
Comment peut-on voir les éléments générés par ordinateur en réalité augmentée ?
En réalité augmentée, les éléments mis au point à l’aide d’un ordinateur peuvent être vus dans le monde réel de différentes manières. Ils peuvent ainsi, entre autres, être aperçus à travers des lunettes AR.
Ces lunettes combinent donc des graphiques informatiques avec une vue de l’environnement naturel. Il est à noter que le marché regorge désormais de modèles de lunettes AR. Parmi les plus connus, on peut citer, par exemple,Microsoft HoloLens, Epson Moverio BT-200, Recon Jet et Meta 2.
En outre, il est également possible de voir les éléments mis au point par ordinateur sur un écran de Smartphone. Celui-ci fait ainsi la même chose que les lunettes AR. C’est grâce à son appareil photo qu’il peut voir et interagir avec le monde réel devant l’utilisateur.
Les points qui distinguent la réalité augmentée de la réalité virtuelle
On sait déjà que la réalité augmentée et la réalité virtuelle sont deux choses différentes, mais à quel point ? Beaucoup peuvent les confondre à cause de leur similarité, certes, mais si l’on entre dans les détails, il existe pas mal de points qui les diffèrent l’une de l’autre.
Pour faire simple, la réalité virtuelle crée un monde virtuel totalement artificiel dans un casque. Vous êtes de ce fait placé dans un environnement 3D. Vous pouvez ensuite vous déplacer et interagir avec des éléments entièrement mis au point à l’aide d’un ordinateur.
Pour ce qui est de l’AR, elle vous permet de ne pas bouger du monde réel bien que vous puissiez apercevoir certains éléments virtuels. Ceux-ci se superposent donc sur cet environnement réel comme une couche visuelle.
D’autres points qui différencient l’AR de la VR
Il est bon de savoir que quand les systèmes AR immersifs combinent des éléments du monde réel avec les éléments mis au point par ordinateur, la profondeur est tout à fait convaincante.
La perspective et les autres caractéristiques de rendu le sont d’ailleurs également. En somme, vous allez pouvoir profiter d’une expérience 3D hors du commun.
Il est aussi à souligner que pour parvenir à positionner les éléments artificiels pertinents dans l’environnement réel, le système AR essaie de bien le comprendre au préalable.
Zoom sur les secteurs qui utilisent le plus la réalité augmentée
Bien qu’elle reste encore floue pour beaucoup d’individus, la réalité augmentée est tout de même déjà présente dans un certain nombre de domaines. Voici donc les principaux secteurs qui recourent activement à cette technologie 3D.
Le commerce de détail
Les utilisateurs se servent sans nul doute le plus de l’AR dans les applications de vente au détail. Cela se révèle assez évident étant donné le nombre toujours croissant de consommateurs qui achètent à domicile.
La réalité augmentée permet ainsi à ces derniers de voir les différents produits en amont chez eux avant de les acheter. Cela simplifie grandement le processus d’achat.
Il est d’ailleurs à savoir qu’il existe déjà plusieurs applications qui vous permettent de placer des meubles et d’autres produits de manière virtuelle chez vous avant tout achat. On peut en citer, entre autres, Ikea, Houzz et Wayfair.
La cartographie et la navigation
La réalité augmentée est également présente dans les secteurs de la cartographie et de la navigation. L’application d’annuaire d’entreprises Yelp a été l’une des premières à l’adopter.Elle s’en servait doncavec sa fonctionnalité Monocle,qui a déjà été abandonnée.
Cette dernière a de ce fait superposé des renseignements sur les sociétés locales sur un écran de téléphone lors de la visualisation de l’environnement réel. Les légendes indiquaient ainsi, par exemple, l’emplacement des restaurants qui se trouvaient à proximité et des informations utiles, comme leur distance.
Mercedes-Benz a d’ailleurs présenté un véhicule qui superpose les informations de navigation sur le pare-brise, ce qui aide les conducteurs à mieux se concentrer sur la route. Il s’agit alors d’une variante de l’affichage tête haute ou HUD.
L’éducation
L’AR tient aussi en ce moment une place importante dans le domaine de l’éducation. Elle vient en effet améliorer les méthodes d’apprentissage classiques.
Les différents manuels peuvent, par exemple, être marqués avec des codes. Lorsque ceux-ci sont numérisés à l’aide d’un téléphone mobile, ils peuvent ainsi afficher du contenu supplémentaire.
Il est même possible d’afficher des visualisations 3D. Les étudiants peuvent de ce fait apprendre autrement pour mieux comprendre et retenir leurs divers cours.
La maintenance et l’industrie
En superposant des informations pertinentes dans le champ de vision d’un employé quand il exécute des tâches de maintenance ou autres, l’AR peut améliorer sa productivité. Elle peut également réduire en même temps la dépendance aux manuels techniques physiques.
Cette technologie 3D a donc un grand potentiel dans les domaines de la maintenance et de l’industrie. Il faut d’ailleurs savoir que les systèmes AR les plus sophistiqués peuvent comprendre le contexte pour afficher les bonnes informations, mais pas seulement.
Ils peuvent aussi permettre d’identifier les composants et les flux de travail.Les responsables peuvent de ce fait garder un œil sur l’avancement des différentes opérations au sein de leur entreprise, entre autres.
Les médias sociaux et le divertissement
La réalité augmentée est également très prisée dans le domaine du divertissement à l’heure actuelle. Magic Leap constitue un exemple concret. Cette entreprise de développement AR a en effet dépensé pas moins de 2,6 milliards de dollars pour le développement d’une plateforme technologique AR et de lunettes AR.
Il est d’ailleurs bon de savoir que l’application TikTok a récemment adopté des effets AR de marque. Les utilisateurs peuvent ainsi ajouter ces derniers à leurs vidéos.
Il ne faut pas non plus oublier que l’AR gagne actuellement du terrain dans le domaine du jeu vidéo. En somme, les développeurs tendent à créer des expériences de réalité augmentée toujours plus fascinantes qui brouillent la frontière entre le monde réel et celui virtuel.
Communication : Quand le virtuel transcende le réel en 2025
En 2025, la communication immersive brouille les frontières entre le monde numérique et l’environnement physique. La réalité augmentée et la réalité virtuelle transforment profondément l’interaction entre les marques et leurs consommateurs. Elles génèrent des expériences publicitaires totalement inédites.
La réalité augmentée s’impose comme un formidable outil stratégique marketing en 2025. Elle permet aux consommateurs de découvrir les produits selon des modalités radicalement nouvelles. Coca-Cola a illustré cette tendance au Royaume-Uni avec sa campagne TakeATasteNow. Dans ce cas, les utilisateurs ont la possibilité d’obtenir une bouteille numérique sur leur smartphone accompagnée d’un bon d’achat pour le produit réel. Ce phénomène crée ainsi une interaction mémorable qui stimule directement l’engagement commercial.
La réalité virtuelle pousse encore plus loin cette logique d’immersion et propose une plongée totale dans des univers entièrement créés. Les annonceurs exploitent désormais cette technologie pour générer des expériences publicitaires sophistiquées. Les consommateurs peuvent désormais visiter virtuellement des magasins, essayer des produits ou explorer des destinations de voyage depuis leur domicile.
Au-delà du marketing, ces technologies transforment fondamentalement la perception de l’interaction commerciale. Elles ne se contentent plus de présenter un produit mais créent une connexion émotionnelle et sensorielle entre le consommateur et la marque.
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Le 17 octobre 2017, Microsoft a fait son entrée fracassante sur le marché de la réalité virtuelle avec le lancement des premiers casques Windows Mixed Reality. Découvrez tout ce que vous devez savoir sur la plateforme de réalité mixte de Microsoft, sur son fonctionnement et sur les casques qui reposent sur cette plateforme.
Jusqu’à présent, on ne comptait que deux casques de réalité virtuelle pour ordinateur : l’OculusRift et le HTC Vive. Toutefois, depuis le 17 octobre 2017, de nombreux casques sont proposés par les différents constructeurs high tech comme Asus, Lenovo, Dell, HP, Samsung et Acer. Ces appareils fonctionnent sous la plateforme Windows Mixed Reality de Microsoft.
Qu’est-ce que Windows Mixed Reality ?
Windows Mixed Reality est le système de réalité mixte de Microsoft. Autrefois nommé Windows Holographic, ce système combine réalité virtuelle, réalité augmentée, et technologies holographiques. En fonction des appareils et des logiciels utilisés, la plateforme puise dans ces différents concepts. Ainsi, certaines applications seront totalement immersives, comme celles proposées sur Oculus Rift ou HTC Vive. D’autres proposeront plutôt de la réalité augmentée, à savoir la superposition d’éléments numériques sur les images du monde réel, comme le casque Microsoft HoloLens.
Windows MR est alimentée par Windows 10 et par la Universal Windows Platform (UWP). Il s’agit d’un système flexible qui peut s’adapter à tous les types de hardware. La plateforme fut annoncée en juin 2016 lors du salon Computex. Cependant, les premiers casques compatibles n’ont été présentés que récemment, en début d’année 2017, et sont disponibles depuis le 17 octobre 2017.
Comment fonctionne Windows Mixed Reality ?
Windows Mixed Reality est conçu comme une partie intégrante de Windows 10, accessible à tous les utilisateurs de l’OS. Selon la firme de Redmond, l’objectif de la plateforme est de surmonter les contraintes de la réalité virtuelle mobile, dans laquelle l’utilisateur reste statique, et celles de la réalité virtuelle filaire dans laquelle les mouvements de l’utilisateur sont traqués par des caméras ou des capteurs qui limitent la portée et l’espace de jeu.
Avec le tracking Inside-out de Microsoft, les capteurs de mouvements sont directement intégrés à l’appareil. Ainsi, l’utilisateur jouit d’une grande liberté. Microsoft nomme ce système de tracking « world scale », par opposition au « room scale » du HTC Vive. Malheureusement, pour l’heure, seul le HoloLens propose une liberté totale. Les autres casques Windows MR doivent être connectés à un PC, ce qui limite la liberté d’action et de mouvements. Malgré tout, ces casques reposent également sur un tracking Inside-out.
Quelle est la différence entre Windows Mixed Reality et HoloLens ?
Microsoft HoloLens peut être considéré comme un PC Windows 10 autonome à porter sur sa tête. Alimenté par un processeur Intel Atom, ce casque peut faire tourner la plateforme Windows 10 Holographic, mais son écran transparent ne propose que des applications en réalité augmentée. L’autre différence majeure entre le HoloLens et les casques Windows Mixed Reality est le prix. En effet, le HoloLens coûte environ 3000 dollars, un prix qui le destine davantage aux professionnels.
Au contraire, les casques Windows Mixed Reality sont tarifés à partir de 349 dollars, ce qui les rend plus abordables que la plupart des casques VR disponibles à l’heure actuelle. De même, les caractéristiques techniques requises sont très basses, et même un PC modeste peut les faire tourner. L’autre différence est que ces casques sont connectés à un PC par le biais d’un câble, et c’est l’ordinateur qui alimente le casque. La puissance n’est donc pas limitée à un processeur Intel Atom. Leur écran est opaque, comme les casques VR classiques.
Quels sont les casques Windows Mixed Reality ?
On compte actuellement six casques Windows Mixed Reality, fabriqués par Acer, Asus, HP, Dell, Lenovo et Samsung. Tous proposent des caractéristiques similaires. Ils embarquent deux écrans LCD de résolution 1440×1400, offrent un champ de vision de 95 degrés, un taux de rafraîchissement de 90Hz, une prise Jack, un câble HDMI et USB 3.0 de quatre mètres, et des capteurs pour le tracking Inside-out. Précisons que le casque de Samsung embarque un écran AMOLED de définition 1400×1600.
Ces casques sont compatibles avec tous les PC équipés d’un processeur Intel Core I5, de 8Go de RAM, d’un port HDMI, et d’un port USB 3.0. Les caractéristiques techniques requises sont donc relativement basses, et nettement inférieures à celles requises pour les casques Oculus Rift ou HTC Vive. Dans un avenir proche, il est probable que de nouveaux casques viennent s’ajouter à la liste.
Quelles sont les applications proposées par Windows Mixed Reality ?
La plateforme Windows Mixed Reality rassemble de nombreuses applications différentes. Il est possible de regarder des vidéos, de jouer à des jeux vidéo, ou encore de naviguer sur le web. En somme, toutes les possibilités offertes par Windows 10 sont également proposées par Windows 10 Mixed Reality. Toutes les applications compatibles Windows 10 peuvent être utilisées dans Windows 10 Mixed Reality. Windows 10 MR se veut d’ailleurs plus confortable, puisqu’il est possible d’épingler différentes applications autour de soi. Par exemple, l’utilisateur peut placer une fenêtre internet sur sa droite, et un document Word sur sa gauche. La plateforme se présente donc comme un environnement de travail propice à la productivité.
Il est également possible d’utiliser certaines applications HoloLens, comme le jeu RoboRaid, peuvent également être utilisées. En effet, Mixed Reality peut cartographier la pièce dans laquelle se trouve l’utilisateur, et ainsi proposer des applications de réalité augmentée. En revanche, les applications de réalité augmentée professionnelles du HoloLens ne sont pas compatibles avec la plateforme.Windows Mixed Reality est également compatible avec Steam VR, au même titre que le HTC Vive. La plateforme regroupe aussi des applications exclusives comme Halo : Recruit.
Voici la liste complète des jeux et applications disponibles au lancement :
Après avoir enfilé son casque de réalité mixte, l’utilisateur se retrouve immergé dans une grande maison luxueuse et moderne. Il s’agit du menu principal de Windows Mixed Reality, la Cliff’s House. L’utilisateur peut accéder à un bureau et un salon illuminés par la lumière du soleil qui passe à travers de grandes fenêtres. En utilisant le curseur virtuel, l’utilisateur se déplace librement.
Lors du lancement commercial de la plateforme, toutefois, davantage d’environnements seront certainement proposés. Tout comme sur le casque Microsoft HoloLens, l’utilisateur peut épingler les applications de son choix partout au sein du monde virtuel qui l’entoure. Il est ensuite possible d’ouvrir les applications d’un simple regard, ou à l’aide d’un contrôleur.
Comment contrôler la réalité mixte de Microsoft ?
Les casques Windows Mixed Reality sont fournis avec un contrôleur Xbox One. En effet, Microsoft a annoncé que la Xbox One X serait compatible avec Windows Mixed Reality. Le bouton Xbox permet d’ouvrir le menu Démarrer, et le bouton A fait office de touche entrée. L’interface Windows 10 est très similaire à celle du HoloLens, en un peu plus peaufinée.
L’utilisateur peut aussi utiliser son regard pour interagir, et un petit point lui permet de viser. Le bouton Y permet ensuite de se téléporter à l’endroit où le regard porte. Ces contrôles sont intuitifs et très bien pensés. Plus récemment, Microsoft a également dévoilé des contrôleurs à détection de mouvement, similaires en apparence aux Oculus Touch de l’Oculus Rift. Toutefois, ces contrôleurs sont directement suivis par le casque et ne nécessitent pas de capteurs externes.
Que vaut l’expérience proposée par Windows Mixed Reality ?
Windows Mixed Reality propose une expérience très impressionnante. Le fait que les casques Windows MR soient connectés à un PC permet d’exploiter toute leur puissance, tandis que le HoloLens ne repose que sur un processeur Intel Atom. Les performances sont donc nettement supérieures. Les applications s’ouvrent instantanément, et l’expérience est fluide et naturelle. Il est toutefois probable que différentes gammes de casques soient développées, et tous les modèles ne se vaudront pas, notamment en termes de résolution et fonctionnalités.
Il est difficile de garantir que tous les casques Windows MR seront confortables, mais le casque présenté par Acer est pour sa part très léger et agréable à porter. De plus, les personnes qui portent des lunettes pourront les garder avec le casque.
Quand est-ce que Windows Mixed Reality sera disponible ?
Les premiers casques Windows Mixed Reality sont disponibles depuis le 17 octobre 2017. Windows 10 est d’ores et déjà compatible avec la plateforme, mais il est nécessaire que les développeurs créent davantage d’applications. Microsoft souhaite en effet que les usagers puissent accéder dès le lancement à un large catalogue de jeux et d’applications.
Cette stratégie semble judicieuse, car le manque d’expériences de qualité est l’un des principaux points reprochés aux plateformes comme Oculus ou Steam VR. Quoi qu’il en soit, il est fort probable que cette plateforme mette plusieurs années à se démocratiser. De son côté, sur le long terme, Microsoft compte sans aucun doute proposer une expérience sans écran physique, reposant réellement sur de véritables hologrammes…
Découvrez les composants logiciels de Windows Mixed Reality en 2025
Windows Mixed Reality repose sur plusieurs composants logiciels essentiels qui assurent son fonctionnement. Le Mixed Reality Portal constitue l’élément central de cette expérience technologique. Pour les versions 1709 et 1803 de Windows 10, ce portail représente un composant clé du système d’exploitation, mis à jour régulièrement via Windows Update.
La configuration technique de Windows Mixed Reality présente des particularités importantes concernant sa compatibilité. Les appareils Windows Mixed Reality ne sont plus pris en charge avec Windows 11, version 24H2 et ses versions ultérieures. La prise en charge actuelle se limite à Windows 10, version 20H2, jusqu’à Windows 11, version 23H2. En 2025, les utilisateurs peuvent obtenir les mises à jour du Mixed Reality Portal via l’application Microsoft Store.
Un package de fonctionnalités à la demande (FOD) intervient également dans le processus. Ce package se télécharge et s’installe automatiquement lors de la première exécution du portail Mixed Reality. Son rôle consiste à optimiser le fonctionnement global de la plateforme.
Enfin, le pilote du casque et du contrôleur de mouvement, également connu sous le nom de pilote HoloLens Sensors, permet aux casques Windows Mixed Reality de fonctionner correctement. Ce package de pilotes se télécharge et s’installe automatiquement via Windows Update dès la première connexion du casque, avec des mises à jour régulières.
Sur Internet en général, on remarque cette confusion à propos de The Pokemon Company International (TPC). Beaucoup ne savent pas réellement ce que cette entreprise fait. Certains pensent qu’elle est Game Freak et/ou Nintendo. Bien qu’il existe une relation entre ces entreprises, TPC n’est ni l’une ni l’autre. A travers cet article, découvrez-en un peu plus sur cette organisation.
Pokémon est une série animée très appréciée par les enfants. Il met l’accent sur l’amitié, la compétition et l’aventure de créatures redoutables dans de minuscules petites boules. Cette franchise originale a conquis le cœur – et les portefeuilles – de millions de personnes dans le monde. La marque propose également plus d’une douzaine de films d’animation, un jeu de cartes à collectionner, des produits dérivés et une série de jeux vidéo.
Bien que Pokémon rassemble une vaste communauté, la plupart ne savent pas d’où elle vient. Des questions nous taraudent encore l’esprit concernant cette organisation. Quelles relations y a-t-il entre The Pokemon Company, Nintendo et Game Freak ? Quelles entreprises ont participé à la création de Pokémon ? Les paragraphes qui suivent vous apporteront quelques éclaircissements.
Quelles entreprises ont participé à la création de Pokemon ?
Game Freak (GF), Nintendo et Creatures étaient les entreprises impliquées. Game Freak a géré le développement. Nintendo était l’éditeur et Creatures était responsable de l’assistance. Ces trois sociétés sont devenues les propriétaires de Pokemon dans son droit d’auteur et sa marque. À ce jour, même après la création de The Pokemon Company, ils en sont les propriétaires.
Nintendo, GF et Creatures sont-ils The Pokemon Company ?
Nintendo, GF et Creatures sont des sociétés distinctes de TPC. Mais ils détiennent des actions sur TPC, chacune ayant plus de 30 %. C’est pourquoi TPC n’est pas une filiale. Effectivement, vous avez besoin de 51 % ou plus pour faire d’une autre société une filiale.
Avec les actions cependant, chaque société a un membre au conseil d’administration. Shuntaro Furukawa, président de Nintendo pendant 2 ans, a été le représentant de Nintendo au conseil d’administration de TPC pendant des années alors qu’il était encore chez Nintendo.
Actuellement, Shibata est le membre Nintendo du conseil d’administration de Te Pokemon Company. Nous connaissons d’autres cas où un employé de Nintendo fait partie du conseil d’administration d’une autre société pour laquelle Nintendo possède suffisamment d’actions. Nous ne savons pas qui de GF et Creatures a déjà été ou est au conseil d’administration.
Quelle est l’histoire de The Pokemon Company ?
En 1998, Nintendo, Creatures et Game Freak ont créé The Pokemon Center Company afin de gérer efficacement les magasins Pokémon Center au Japon. Suite à la popularité de Pokémon Gold et Silver, ils ont reçu de nombreuses propositions de merchandising du monde entier.
À cette époque, Tsunekazu Ishihara de Creatures était chargé d’approuver les produits sous licence. En raison du volume considérable de produits, Ishihara pensait qu’il y avait beaucoup de travail à gérer pour une seule personne. Dans le même temps, Ishihara souhaitait étendre davantage la franchise avec des objectifs à long terme, tels que la poursuite de la série animée et la sortie d’un film chaque année.
Il a alors été décidé qu’une nouvelle organisation était nécessaire afin de rassembler tous les volets de la gestion de la marque. Cela a conduit les trois sociétés à transformer The Pokemon Center Company en The Pokemon Company et à étendre davantage ses responsabilités et ses domaines d’activité.
A propos des licences
La succursale américaine (Pokémon USA, Inc.) a ouvert ses portes en 2001 pour gérer les licences à l’étranger. Nintendo Australia s’occupe de toutes les licences et de la commercialisation des produits Pokémon en Australie et en Nouvelle-Zélande. Notons que The Pokémon Company n’a pas de succursale australienne.
En octobre 2001, 4Kids Entertainment a acquis une participation de 3 % dans The Pokémon Company pour un montant non divulgué. Ils ont liquidé cette participation 4 ans plus tard pour 960 000 $ US. En 2006, Pokémon Korea, Inc. a été fondée pour gérer les opérations de l’entreprise en Corée du Sud.
En 2009, Pokémon USA et Pokémon UK ont fusionné pour devenir The Pokemon Company International, qui gère les opérations Pokémon américaines et européennes sous l’administration de Kenji Okubo. Les bureaux de la société aux États-Unis sont à Bellevue, Washington et ses bureaux au Royaume-Uni sont à Londres. Les opérations australiennes sont contrôlées par Nintendo Australie.
Quel est le rôle de Nintendo ?
Nintendo travaille principalement avec The Pokemon Company sur la production et la distribution de chaque jeu Pokémon. La chaîne de montage fonctionne comme ceci. Game Freak développe chaque jeu et donne la copie finale à Nintendo. Ce dernier la produit et l’expédie ensuite dans le monde entier. Nintendo gère également le marketing de chaque jeu.
« Nous sommes dans des bureaux différents. Nous sommes des entreprises différentes. Mais nous travaillons ensemble toute la journée. Nous voulons nous assurer que tout le monde soit satisfait et reste au courant de ce qui se passe », a déclaré le directeur du marketing grand public de la société, J.C. Smith.
L’étroite collaboration entre les entreprises conduit souvent à une confusion sur qui fait quoi. En utilisant l’application Pokémon TV – un service gratuit qui permet aux utilisateurs de regarder l’émission animée sur des appareils mobiles et des tablettes – à titre d’exemple, Rob Novickas, porte-parole de The Pokémon Company International a déclaré que les gens attribuent souvent à tort leur travail à celui de Nintendo.
« Il est intéressant qu’il existe cette entité distincte qui crée ces produits Pokémon dont beaucoup de gens ne se rendent pas compte qu’ils les créent », explique-t-il.
Quel est le rôle de Creatures ?
En dehors du développement de leurs propres jeux dérivés de Pokémon (comme Détective Pikachu), Creatures travaille sur les modèles de la franchise depuis plus d’une décennie avec sa propre division concentrée dessus. Cela dit, la société se concentre principalement sur la production de cartes pour le jeu de cartes avec The Pokemon Company.
Que fait Game Freak ?
Game Freak est responsable du développement de la série principale. Contrairement à ce que pensent certains fans sur Internet, ils ne sont pas responsables du budget, du financement ou de tout ce qui s’y rapporte. Ils ne sont l’éditeur d’aucun projet Pokémon. Comme Creatures et Nintendo ou toute entreprise du secteur, ils ne perçoivent des revenus que pour les projets auxquels ils participent.
Qui obtient le plus de revenus ?
The Pokemon Company obtient le plus de revenus, car il est impliqué dans tous les projets Pokémon. Il a été créé pour gérer l’ensemble de la franchise multimédia. Nintendo n’est impliqué que sur les jeux qu’ils publient sur console. Game Freak, quant à lui, ne développe que des jeux principaux et Creatures développe parfois des jeux. En dehors de cette source directe de revenus, en raison des actions qu’elles détiennent dans TPC, ces trois sociétés tirent leur part de l’argent du bénéfice global de TPC.
Que fait The Pokemon Company en dehors des jeux ?
Tout, de la licence à la gestion des magasins, Game Freak, Nintendo et Creatures assurent au mieux la supervision de quelques projets. Mais TPC gère tous les accords de licence. TPC ne fonctionne bien sûr pas seul, ce ne serait pas possible. Ils travaillent essentiellement avec les entreprises qui ont payé la licence, comme TV Tokyo, Shogakukan et OLM pour l’anime Pokémon (qui leur appartient) ou par Shogakukan avec Pokémon manga dont l’éditeur détient les droits d’édition.
Fondamentalement, toutes ces entreprises reçoivent de l’argent sur Pokémon. TPC travaille sur tout en dehors des jeux sur différents aspects, de la production à la gestion en passant par la supervision et la gestion des licences.
Qu’en est-il de la diffusion de la série ?
L’émission est disponible dans plus de 30 langues et diffusée dans environ 160 pays. En plus de la localisation de l’émission, TPC travaille avec des diffuseurs.
« The Pokemon Company concède sous licence du contenu animé à des partenaires médiatiques du monde entier, qu’il s’agisse de diffuseurs traditionnels comme Cartoon Network aux États-Unis, de Gulli en France ou des nouveaux partenaires VOD de Pokémon comme Netflix, Hulu et Amazon », a déclaré J.C. Smith.
« Du côté créatif, il y a un comité avec des membres de plusieurs sociétés partenaires de Pokémon qui décident de la direction que prendra l’animation et travaillent ensuite avec des partenaires de production pour développer le contenu ».
TPC travaille avec des « centaines » d’entreprises sur les films, ainsi que sur le merchandising, pour créer des jouets, des vêtements et plus encore.
Qui gère le jeu de cartes à jouer?
En ce qui concerne le jeu de cartes à collectionner, TPC travaille avec les développeurs Creatures et Game Freak. Ils définissent les mécanismes et la manière dont chaque personnage est représenté sur les cartes.
De plus, The Pokemon Company est en charge de l’impression des cartes et de leur expédition dans près de 70 pays différents dans leurs langues respectives. À l’exception des cartes de l’édition japonaise, chaque carte Pokémon dans chaque langue est créée aux États-Unis.
Comment créer un jeu Pokémon ?
Après quelques projets réussis avec Nintendo, Game Freak a montré à Nintendo les premières idées et versions de Pokémon. Elles ont été créées sur des unités de développement que Nintendo leur laissait essentiellement emprunter.
Game Freak ne savait pas exactement ce que le jeu était censé être depuis le début. Mais il voulait mettre l’accent sur la capture de monstres. Il souhaitait avoir de nombreux types de monstres différents. Mais tout le reste était une question d’essais et d’erreurs et d’expérimentations.
Le premier concept était une émulation de capture de bogues, et cela n’a pas beaucoup changé au fil des ans. Chaque jeu est différent, mais aujourd’hui, un nouveau jeu Pokémon commence son développement avec un thème et un design centraux.
« Quel genre d’expérience voulons-nous que les joueurs aient ? Quel type de nouvelles fonctionnalités de connectivité voulons-nous intégrer au jeu, ou de nouveaux modes de jeu ? Nous pensons à ces choses », souligne Junichi Masuda, co-créateur de Pokémon, concernant le point de départ du développement. D’autres éléments comme l’histoire et le lieu viennent plus tard.
Comment se déroule la conception?
Un élément important d’un jeu Pokémon est le Pokémon lui-même. Chaque génération de jeux ajoute de nouveaux monstres à la collection, qui compte désormais plus de 800 créatures. « Ce sont évidemment les graphistes qui finaliseront le look. Cependant, ce ne sont pas seulement les graphistes qui proposent des idées ou dessinent le Pokémon », déclare Masuda.
Parfois, de nouveaux Pokémon sont le produit de quelqu’un qui veut voir un animal spécifique représenté. Les scénaristes peuvent aussi avoir besoin d’un nouveau type de Pokémon pour une histoire spécifique. « Il n’y a pas vraiment de règles strictes sur les choses que vous ne pouvez pas faire. Mais une chose à laquelle nous prêtons toujours attention est de les traiter comme des créatures vivantes », explique Masuda.
Une conception de Pokémon supprimée tardivement dans le développement est rare. « Les idées ne sont pas souvent rejetées. Il s’agit plutôt de commentaires, comme vouloir les changer d’une certaine manière », ajoute-t-il. « Avec 20 ans d’histoire, à ce stade, tous ceux qui travaillent ici ont une bonne idée de ce qu’est un Pokémon et de ce qu’il devrait être dans un sens partagé. Il est devenu beaucoup plus facile de faire des conceptions qui fonctionnent de nos jours ».
The Pokémon Company et activisme social
Suite au tremblement de terre et au tsunami de Tohoku en 2011, The Pokemon Company a lancé la campagne « Pokémon with You » afin de collecter des fonds pour les enfants touchés par la catastrophe.
Cela a fait suite à l’annonce de Niantic qu’il ferait don de 5 millions de dollars américains provenant des ventes de billets « Pokémon GO Fest 2020 » pour financer de nouveaux projets de créateurs de couleurs de réalité augmentée, et d’organisations à but non lucratif américaines et l’annonce de The Pokémon Company International qu’il ferait un don de 100 000 $ au NAACP (National Association for the Advancement of Colored People / association nationale d’aide aux personnes de couleurs) et 100 000 $ au mouvement « Black Lives Matter ».
Au sujet de la concurrence
The Pokemon Company fait face à des concurrents de différentes industries. En termes de jeux vidéo, certains de ses concurrents sont Sony, Microsoft, Activision Blizzard et Electronic Arts. En termes de merchandising, ses principaux concurrents sont Konami et Hasbro. Nintendo, Sony et Microsoft sont les trois plus grands fabricants de consoles de jeux vidéo au monde. Ils publient également des jeux pour leurs consoles respectives, souvent exclusivement comme ce que fait Nintendo avec « Pokémon » et Sony avec « God of War » et « Spider-Man ».
Activision Blizzard et Electronic Arts fonctionnent spécifiquement en tant que développeurs de jeux. La première est est une société de jeux vidéo responsable de la création de jeux populaires tels que « Crash Bandicoot », « Call of Duty » et « Guitar Hero ». Quant à Electronic Arts, le développeur de jeux américain est surtout connu pour « The Sims » et « Need for Speed ».
The Pokemon Company fait face à la concurrence de Konami et Hasbro dans l’industrie du merchandising. Konami produit et distribue des cartes à collectionner, des dessins animés et des équipements de jeu. C’est le créateur de l’anime « Yu-Gi-Oh » et de son homologue de cartes à collectionner « Yu-Gi-Oh Trading Card Game » où 35 milliards de cartes ont été vendues rien qu’en 2021.
L’avenir de Pokémon
Nous ne savons pas exactement ce que l’avenir réserve pour Pokémon. Mais nous admettons qu’avec plus de 20 ans à son actif, la franchise est devenue un mastodonte surprenant qui ne semble que grandir, même lorsqu’elle est accusée d’être une mode expirante.
Sa dernière version, Soleil/Lune, a récemment dépassé la barre des 15 millions d’exemplaires vendus. Elle figure en tête de liste des jeux les plus vendus de Nintendo. Elle n’est devancée que par Pokémon X et Y pour les jeux les plus vendus de la 3DS.
Même Pokémon Go, qui a perdu un bon pourcentage de sa base de joueurs initiale après son lancement, compte toujours plus de 60 millions de joueurs actifs. Il est certain que la souris électrique jaune avec un vocabulaire limité et ses amis continuent d’enchanter le monde.
Explorez les nouveaux défis de la compagnie Pokémon en 2025
Lors du Pokémon Presents du mois de février 2025, une présentation riche en annonces et en nouveautés a généré une grande excitation dans la communauté des dresseurs. Le point fort de l’événement concernait les nouveaux jeux principaux de la série. La franchise a dévoilé son prochain opus, attendu pour la fin de l’année, qui se déroulera dans une région inspirée d’un territoire encore inédit. Cette nouvelle aventure promet des mécaniques de jeu innovantes et une approche renouvelée de la capture et de l’évolution des Pokémon.
Le jeu mobile Pokémon GO a également présenté sa feuille de route pour l’année, avec l’annonce de nouveaux événements, de Pokémon rares et de fonctionnalités communautaires améliorées. Les développeurs ont mis l’accent sur l’intégration de mécanismes de jeu plus dynamiques et sur l’enrichissement de l’expérience des joueurs.
Pokemon entreprise a fait une annonce sur l’anime Pokémon qui entamera un nouveau cycle narratif avec des personnages principaux différents en 2025. Cette nouvelle saison explorera des territoires inédits et proposera des intrigues plus complexes. Elle témoigne de l’évolution de la franchise vers des récits plus matures.
La conférence a également présenté des mises à jour pour Pokémon HOME, le service de transfert et de stockage de Pokémon. Ce dernier intégrera de nouvelles fonctionnalités de partage et de communication entre les différents jeux de la licence.
Le tant attendu F1 25 a enfin montré le bout de son nez avec une bande-annonce. Vous allez enfin pouvoir foncer sur la piste dès le 30 mai pour 60 euros. En prime, les joueurs PC pourront se lancer dans l’aaventure avec un support VR en option.
EA Sports a annoncé que F1 25, son nouvel épisode de jeu vidéo, sera disponible à partir du 30 mai 2025. A titre d’information, c’est ce Electronic Arts (EA) et Codemasters qui a développé ce jeu de course. En outre, il aura l’autorisation de la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA), l’organisation qui gère la Formule 1.
Les joueurs qui opteront pour l’édition Iconic auront trois jours d’accès anticipé. Le jeu sera disponible sur PS5, Xbox Series X|S et PC via Steam, Epic Games et EA Play. La version standard coûtera 60 euros et l’édition Iconic 80 euros. Vous avez F1 23 ou F1 24 sur l’une des plateformes où il sera accessible? Dans ce cas, vous pouvez obtenir 15 % de réduction sur votre achat.
Mais attention, ce jeu ne sera pas compatible avec les consoles de génération précédente, contrairement à ses prédécesseurs.
F1 25 : Des personnages plus réalistes et une expérience VR sur PC
A en juger par la bande-annonce, les graphismes de F1 25 semblent avoir pris du galon, surtout dans le mode « Braking Point » (Point de rupture). Ici, on voit des personnages plus détaillés. Ce bond visuel pourrait bien être dû au fait que Codemasters n’a plus à jongler avec les limites des anciennes consoles. Si ce nom ne vous dit rien, « Braking Point figurait » dans F1 23 avec une campagne scénarisée, des protagonistes exclusifs et des cinématiques immersives.
Qu’il s’agisse de l’intensité de l’intrigue de Braking Point ou de la lutte pour le titre mondial, chacun pourra choisir son propre parcours dans F1 25. Cette année, les opportunités d’affronter ses adversaires et de se connecter avec d’autres joueurs sont encore plus nombreuses.
La fiche technique du jeu mentionne simplement la prise en charge sur PC de la réalité virtuelle. Elle ne donne pas de précisions sur les performances requises. Seule une liste des casques compatibles est fournie. Cela inclut le HTC Vive Pro, le HP Reverb G2, le ValveIndex, le MetaQuest 3 + Link, le Meta Quest 2 + Link, l’OculusRift S et le HTC Cosmos.
Meta, autrefois davantage synonyme des cimes atteintes par les géants du web, s’illustre aujourd’hui par une série d’abandons spectaculaires dans l’univers de la réalité virtuelle. Parmi ces résolutions drastiques se trouve l’interruption du projet System Shock 2 VR, une tentative ambitieuse de redonner vie à ce classique du jeu vidéo à travers une expérience immersive. ... Lire la suite
Lors de la GDC 2025, le studio coréen Pearl Abyss a levé le voile sur le jeu Crimson Desert, un jeu d’action-aventure solo se déroulant dans un univers médiéval fantastique. Le titre se démarque par son moteur maison, BlackSpace, conçu pour offrir un réalisme graphique et physique sans précédent.
Ce nouveau moteur, distinct de celui utilisé dans Black Desert Online, reproduit avec une précision saisissante les éléments du monde réel, comme le vent, la lumière, l’eau ou même les tissus. Crimson Desert promet ainsi une immersion visuelle rarement atteinte dans l’univers du jeu vidéo.
Un monde ouvert vivant, réactif et spectaculaire
Dans Crimson Desert, vous incarnez Kliff, un mercenaire plongé dans les conflits qui secouent le monde de Pywel. Ce vaste continent ouvert prend vie grâce à un rendu dynamique et naturel des environnements, avec une gestion intelligente de la météo et de la gravité. D’ailleurs, les vêtements, cheveux, ombres ou objets réagissent aux variations de lumière ou de vent. Cela crée d’ailleursune cohérence environnementale bluffante. Chaque élément semble connecté aux autres. Cela renforce l’impression de réalisme dans l’exploration du jeu.
Un niveau de détail jamais vu dans un RPG
L’une des démonstrations les plus marquantes concerne la gestion des interactions avec l’eau. Pearl Abyss a montré un cheval traversant un ruisseau, et seul le bas de ses pattes devenait humide. Lorsqu’il sortait de l’eau, les zones restées au sec conservaient leur état, un niveau de précision rarement vu dans le jeu vidéo. Ce souci du détail va bien au-delà du simple rendu visuel. Il reflète une volonté du studio de proposer un univers crédible, immersif et vivant, capable d’enrichir l’expérience de jeu sans artifice. Chaque animation devient cohérente avec l’environnement.
Un moteur plus puissant et plus ambitieux que jamais
BlackSpace ne se contente pas d’être beau : il est conçu pour gérer une grande variété de conditions en temps réel, tout en assurant fluidité et richesse visuelle. Les développeurs exploitent tout le potentiel des consoles nouvelle génération et du PC haut de gamme. Crimson Desert ambitionne ainsi de repousser les limites établies par Black Desert Online. Ceci en proposant une expérience RPG solo enrichie par des technologies de pointe. L’accent est mis sur l’exploration, les combats et la narration dans un monde cohérent.
Une sortie prévue pour fin 2025 sur toutes les grandes plateformes
Le jeu est attendu sur Xbox Series X|S, PS5 et PC d’ici fin 2025, avec une promesse claire : plonger les joueurs dans un univers à la fois spectaculaire, crédible et détaillé. Pour les amateurs de RPG immersifs, Crimson Desert pourrait bien être l’une des plus grosses surprises de l’année. Pearl Abyss prouve qu’au-delà du gameplay, la qualité d’un moteur graphique peut profondément enrichir une expérience narrative. Reste à voir si le jeu tiendra toutes ses promesses une fois manette en main.
Les fans de Pokémon TCG Pocket peuvent se réjouir : la nouvelle extension, baptisée Réjouissances Rayonnantes est disponible depuis le 27 mars 2025. Ici, nous avons l’occasion de découvrir les Pokémon Shiny, qui sont extrêmement rares. On fait le point sur cette 5ème extension du jeu de cartes que vous aimez tant.
Bonne nouvelle pour les joueurs de Pokémon TCG Pocket : votre collection va pouvoir s’élargir avec la toute nouvelle extension Réjouissances Rayonnantes. Disponible à partir du 27 mars 2025, celle-ci fait suite à l’extension Lumière Triomphale, qui est sortie le 28 février 2025. Alors, que verra-t-on dans ce nouveau booster à thème ?
Les Pokémon shiny sont les vedettes de la nouvelle extension Réjouissances Rayonnantes. Pour ceux qui ne sont pas familiers, ces créatures ultra rares arborent des couleurs différentes de leurs semblables. Les Pokémon mis à l’honneur sur le booster incluent Dracaufeu, Pachirisu, Dardargnan, Lucario, Vromby et Triopikeau en shiny. Attendez-vous aussi à croiser des Pokémon de Paldea dans ce tout nouveau set.
En tout, le jeu comprendra 111 nouvelles cartes à collectionner (avec 72 classiques et 39 secrètes à dénicher). La bande-annonce de l’extension nous a déjà montré quelques pépites. Parmi elles, des versions EX de Pokémon emblématiques comme Dracaufeu, Pikachu et Giratina, sans oublier des variantes shiny éclatantes. Les Dresseurs ne sont pas en reste, avec des cartes dédiées à Mashynn et Red.
Une carte à ne pas manquer : la Poké Ball dorée, qui s’annonce comme l’une des rares pépites de l’extension. N’oublions pas aussi que les matchs classés arrivent dans cette nouvelle extension. La question que vous devez vous poser c’est : comment remplir votre collection de Pokémon Shiny plus rapidement ?
Obtenir un max de Shiny dans Réjouissances Rayonnantes
Pour obtenir des Pokémon Shiny dans la nouvelle extension Réjouissances Rayonnantes, il faut une belle réserve de Sabliers. Le hic ? L’extension Lumière Triomphale est encore toute récente, et vos réserves risquent déjà d’être au plus bas. Pour ne pas être pris de court avec l’arrivée des nouvelles cartes, mieux vaut s’organiser.
Gardez précieusement vos Sabliers obtenus via les événements et missions quotidiennes, ils seront bien utiles. N’oubliez pas non plus de terminer le mode solo, qui offre des Sabliers et des Tickets Boutique échangeables. Avec un peu de stratégie et quelques decks bien choisis, vous pourrez récupérer un maximum de boosters sans casser votre tirelire.
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Path of Fury revient avec une mise à jour qui frappe fort. Grâce à bHaptics, chaque coup porté ou reçu se ressent dans tout le corps.
Path of Fury: Episode I – Tetsuo’s Tower est sorti discrètement ce mois-ci sur la plateforme Meta Quest. Ce jeu de combat en VR s’inspire directement de l’intensité des films The Raid et de l’esthétique planante de Wong Kar-wai. Vous incarnez un combattant solitaire qui traverse une tour défendue par des vagues d’adversaires acharnés. Chaque étage est une arène où vous ne pouvez compter que sur vos poings et votre coordination.
Le jeu a été conçu par Leonard Menchiari, connu pour ses expériences cinématographiques interactives. Ici, l’action se déroule comme une chorégraphie rythmée, où chaque coup bien placé déclenche une montée d’adrénaline. Ce premier épisode frappe fort, même s’il repose sur des mécaniques déjà explorées dans d’autres titres VR. L’expérience reste fluide et engageante, portée par une direction artistique élégante.
Une compatibilité bHaptics qui ajoute du corps au combat
La grande nouveauté de cette mise à jour, c’est l’intégration complète des accessoires bHaptics. Grâce aux gilets, brassards et visières compatibles, chaque coup reçu ou porté devient une sensation tangible. Le joueur peut désormais ressentir physiquement les impacts pendant les combats.
Cette compatibilité avec les retours haptiques transforme l’expérience de jeu, en particulier pour les joueurs habitués aux environnements VR plus statiques. Le ressenti devient un élément central du gameplay. On ne se contente plus de voir les coups, on les vit. Cela ajoute une nouvelle couche de tension pendant les affrontements rapprochés.
Des défis compétitifs pour booster la communauté
En parallèle, deux défis hors ligne viennent d’être lancés pour dynamiser la communauté autour du jeu. Le premier consiste à réaliser le plus grand nombre d’éliminations dans l’arène infinie avant le 20 avril. Le second, organisé avec la plateforme Rival, invite les joueurs à partager leurs meilleures séquences vidéo jusqu’au 27 avril.
Ces événements viennent enrichir un contenu encore léger, mais solide dans sa construction. Ils permettent de pousser ses limites tout en partageant ses exploits avec d’autres combattants virtuels. Ce type de défi communautaire est bienvenu pour entretenir l’intérêt dans un jeu encore jeune.
Disponible à 10 dollars sur Meta Quest, Path of Fury pose les bases d’une série qui pourrait grandir avec ses joueurs. Le premier épisode se termine vite, mais il brille par la qualité de ses sensations. Il exige de la précision, de l’endurance et une bonne dose de sang-froid pour progresser étage par étage.
Certes, Path of Fury ne réinvente pas la roue du jeu VR, mais il maîtrise ses fondamentaux avec style. Et avec l’intégration de bHaptics, il franchit un cap en matière de ressenti physique. Pour les amateurs de combat nerveux, ce premier opus mérite déjà un essai.
Vous cherchez une expérience vraiment immersive ? Marre des vidéos classiques qui laissent votre imagination faire tout le travail ? Le porno VR POV vous place au cœur de l’action, pour des sensations plus réalistes que jamais. Voici notre comparatif des meilleures plateformes pour vivre vos fantasmes à 360°.
Vous cherchez le meilleur site POV VR Porn ?
Les sites de porno en réalité virtuelle sont nombreux en ligne, mais aucun n’égale VRPorn.com, qui trône en pole position de notre top des meilleurs sites de porn VR. Mieux encore, en cliquant sur le lien suivant, vous économiserez jusqu’à -78% sur le prix de l’abonnement. Alors, profitez-en !
Et si vous pouviez littéralement voir à travers les yeux de l’acteur ? C’est exactement ce que propose le site porno VR POV. Concrètement, l’utilisateur prend la place du protagoniste, comme s’il était vraiment au cœur de la scène, en face des actrices, avec une sensation troublante de proximité et de présence. Ce format séduit de plus en plus d’amateurs en quête de réalisme et d’évasion.
Mais avec l’explosion de la demande, les plateformes se sont multipliées. Il est de plus en plus difficile de trouver du contenu adapté à nos besoins. C’est pour cette raison que nous avons testé de nombreux sites et nous allons énumérer dans cet article le top 7.
Sur le marché du POV VR Porn, VRPorn.com joue la carte de la démesure. L’ambiance se pose dès la page d’accueil : visuels néon, actrices mises en scène façon pop culture, qualité 8K affichée fièrement. Mais derrière le style tape-à-l’œil se cache une véritable bibliothèque géante du porno VR. Avec plus de 31 000 vidéos référencées, la plateforme agit comme un hub centralisé, combinant studios partenaires, stars du X et catégories ultra-variées. Il convient de noter que VRPorn ne produit pas ses propres vidéos. En fait, les utilisateurs sont redirigés vers les plateformes créatrices. L’accès nécessite bien sûr une validation +18 explicite, et l’inscription gratuite permet de débloquer des fonctionnalités
Caractéristiques techniques
Langues supportées : Anglais (interface), quelques contenus traduits
Prix : inscription gratuite, contenus redirigés vers sites partenaires payants
Intégration : aucun player propriétaire, liens externes
Compatibilité : Meta Quest, Pico, PSVR, navigateurs classiques, casque mobile
SexLikeReal, alias SLR, s’impose comme la plateforme technologique par excellence dans l’univers du POV VR Porn. Avec plus de 41 000 vidéos en streaming, une appli dédiée et une compatibilité avancée (jusqu’à 8K, 120 FPS, 200° FOV), le site flirte avec la perfection technique. De plus, il bénéficie d’une mise à jour régulière (près de 1500 vidéos ajoutées sur 30 jours !) et d’une section de contenus exclusifs produits maison : les SLR Originals. L’expérience utilisateur est ultra-personnalisable, avec des catégories précises, du JAV au passthrough interactif. Et côté tarifs, c’est ultra-compétitif avec des offres long terme imbattables (à partir de 8,49 $/mois en annuel). Bref, SLR est une bête de course, taillée pour les puristes du porno VR immersif.
Ce pionnier du POV VR Porn mise sur une ambiance décomplexée, un ton direct et un catalogue conçu pour faire grimper la température. Sur cette plateforme, l’immersion est rendue possible grâce à des vidéos calibrées en 60fps, 180° et 360°, avec un vrai travail sur le son binaural. Le contenu monte vite en intensité, avec deux vidéos 8K ajoutées chaque semaine, et une sélection de plus de 600 performeuses déjà tournées. Mention spéciale pour leur approche “jeu vidéo” avec le simulateur VRLove, et la navigation pensée pour le fantasme immédiat. L’abonnement annuel est souvent soldé (jusqu’à -75 % pour la St-Patrick), ce qui en fait une option abordable pour ceux qui aiment la VR sans fioriture mais avec du plaisir brut.
Caractéristiques techniques
Langues supportées : Anglais, quelques vidéos multilingues
Prix : tarifs flexibles mensuels, annuels, avec promos régulières (ex. -75 %)
Intégration : plateforme propriétaire avec mini jeux (VRLove), scènes interactives
Compatibilité : Oculus, PSVR, navigateurs VR, 3D TV, casque mobile
VirtualTaboo : le jeu de rôle ultime du POV VR Porn
Avec VirtualTaboo, le mot-clé est “rôle-play”. En d’autres termes, chaque scène repose sur une mise en situation complète et une tension érotique très travaillée. La qualité visuelle est maîtrisée avec une production VR 7K, et l’abonnement propose un accès intégral à toutes les vidéos, sans surcoût caché. Le site est actif depuis 2015, primé par XBIZ en 2020, et offre un bon équilibre entre nouveautés fréquentes et archives solides.
Bangers est un peu le Hollywood de la réalité virtuelle porno pov avec ses dizaines de récompenses. Pour cette plateforme, chaque scène est pensée comme une production triple A : casting prestigieux (Angela White, Riley Reid, Anissa Kate…), scripts scénarisés au cordeau, et tournages en 8K ultra réaliste. Elle aligne plus de 960 expériences VR, mises à jour chaque mois, et propose aussi des vidéos interactives et du contenu exclusif en AR ou cosplay via des bundles.
Caractéristiques techniques
Langues supportées : interface en anglais, vidéos multilingues occasionnelles
Prix : 0,66 $/jour (mensuel), 0,27 $/jour (annuel), 250 $ à vie
Intégration : streaming + téléchargement, bundles AR et cosplay dispo
Compatibilité : tous casques VR, vidéos interactives, passthrough, mobile
BadoinkVR, c’est l’option “Netflix + bonus” du pov vr porn. Au programme : plus de 900 scènes tournées en 8K, avec les plus grandes actrices du moment (Angela White, Gianna Dior, Blake Blossom…) et un accès à 5 sites partenaires via leur Super Bundle. Le tout pour un prix ultra compétitif : 7,50 $/mois avec une semaine offerte sur d’autres plateformes comme VRCosplayX ou BabeVR. En bref, BadoinkVR joue la carte du confort, avec un écosystème bien huilé, taillé pour ceux qui veulent tout, tout de suite.
Caractéristiques techniques
Langues supportées : interface en anglais, scènes sous-titrées ponctuellement
Prix : 9,95 $/mois, 7,50 $/mois (annuel), 299 $ à vie, 1 $/accès unique
Sur WankzVR, chaque scène est pensée pour coller à la rétine et au corps, avec un processus de capture unique, mêlant couleurs saturées, 3D profonde et audio immersif. Nous sommes dans du 7K+ à 60fps, avec deux nouvelles vidéos ajoutées par semaine. L’accent est mis sur des expériences longues, bien rythmées, avec un champ de vision large et des actrices au top comme Lena Anderson ou Gina Valentina. L’interface propose des outils puissants de filtrage afin de cibler les fantasmes et les préférences dans le moindre détail.
Caractéristiques techniques
Langues supportées : interface multilingue, français disponible
Prix : abonnement mensuel ou annuel, avec essais possibles
Compatibilité : Oculus, Vive, PSVR, PC VR, Cardboard, réalité mixte
Notre méthodologie de classement
Nous avons pour objectif d’aller bien au-delà des slogans marketing et des belles promesses en testant chaque site comme un véritable spectateur exigeant. Notre grille d’analyse repose sur quelques critères essentiels :
L‘immersion visuelle : nous avons jugé chaque vidéo selon la qualité du rendu en pleine action, et surtout selon la crédibilité du point de vue subjectif. Certaines scènes donnent vraiment l’illusion d’être dans la pièce, d’autres non.
Le son et l’ambiance sonore : les gémissements, les dialogues, les bruits ambiants doivent venir au bon moment.
L’ergonomie de navigation en VR : certains sites proposent des applis dédiées, d’autres nécessitent des manipulations pénibles via un navigateur. Nous avons testé les interfaces, les menus, la recherche de contenus, le confort d’utilisation… parce que nous n’avons pas envie de galérer entre deux fantasmes.
La fréquence de mise à jour et d’exclusivités : nous privilégions un site vivant. Nous avons mesuré le rythme de publication des nouvelles scènes, la présence de contenus exclusifs ou de productions maison, et l’évolution des techniques (caméra 3D, profondeur dynamique, etc.).
FAQ
C’est quoi exactement le POV VR Porn ?
Le POV VR 4K Porn (Point of View Virtual Reality Porn) est un genre de porno filmé en réalité virtuelle, avec une caméra positionnée à la place du spectateur. Concrètement, cela signifie que vous vivez la scène à travers les yeux du protagoniste, comme si vous étiez vous-même en train d’interagir avec les acteurs ou actrices. Grâce à un casque VR, vous êtes plongé dans une bulle immersive en 180° ou 360°, avec une sensation d’intimité et de proximité rarement atteinte dans les formats classiques.
Est-ce que l’expérience change vraiment par rapport à une vidéo porno normale ?
Absolument. Le niveau d’implication est bien plus fort : les regards caméra, les distances corporelles, les angles de vue et même les mouvements sont pensés pour que vous vous sentiez dans la scène. En mode free POV VR Porn, vous n’êtes plus un simple spectateur, mais un participant silencieux, ce qui crée une stimulation mentale et physique bien différente. L’effet est encore plus fort si vous utilisez un bon casque et un casque audio immersif.
Quel équipement faut-il pour profiter pleinement du POV VR Porn ?
Un casque de réalité virtuelle est indispensable. Les modèles les plus courants comme Meta Quest 2 ou 3, Pico 4, Valve Index ou PSVR2 sont parfaits. Même les casques pour smartphone (type Cardboard) permettent une expérience d’entrée de gamme. Pour les vidéos 8K ou interactives, mieux vaut une bonne connexion internet, un navigateur compatible ou une appli dédiée. Certains sites permettent aussi le téléchargement pour éviter les lags.
Est-ce qu’il y a des risques pour la santé ou le confort ?
Comme pour tout usage de VR, une exposition prolongée peut provoquer une légère fatigue visuelle ou des nausées (motion sickness), surtout si la vidéo est mal calibrée. Il est conseillé de faire des pauses toutes les 20 à 30 minutes, de régler correctement la lentille du casque et de ne pas fixer l’image trop intensément. Globalement, le POV VR Porn est bien toléré s’il est consommé avec modération et dans un environnement confortable.
En tête des tendances technologiques du moment figurent la Blockchain et la réalité augmentée (AR). Cette dernière est une expérience 3D interactive combinant une vue du monde réel avec des éléments générés par ordinateur. Avec le temps, l’engouement pour cette innovation est grandissant. Ainsi, on estime que bientôt, elle sera plus accessible dans le monde entier.
L’application mobile Pokemon Go lancée en 2016 est probablement la technologie AR la plus célèbre. Dans le jeu, les joueurs localisent et capturent des personnages Pokemon qui apparaissent dans le monde réel – sur votre trottoir, dans une fontaine, et même dans votre propre salle de bain. La Blockchain, une autre technologie, a le vent en poupe depuis 2018. A priori, ces deux types d’innovations n’ont pas de rapport direct. Mais ces dernières années, de nombreuses entreprises ont su les marier.
La Blockchain, une technologie aux nombreux atouts
La Blockchain, aussi appelée chaîne de blocs, est une technologie sous-jacente à la monnaie cryptographique Bitcoin. Elle constitue un type spécifique de base de données. Elle est très différente de la base de données traditionnelle par la façon dont elle stocke les informations. En effet, la Blockchain enregistre les données dans des blocs qui sont ensuite enchainés. Au fur et à mesure que de nouvelles données arrivent, un nouveau bloc stocke celles-ci.
Dans le cas de Bitcoin, la Blockchain est utilisée de manière décentralisée afin qu’aucun groupe n’ait le contrôle. Tous les utilisateurs ont collectivement le contrôle. Les Blockchains décentralisées sont immuables. Cela signifie que les données saisies sont irréversibles. Pour les monnaies cryptées, les transactions sont enregistrées en permanence et visibles pour tout le monde. La Blockchain permet de transférer des actifs, s’assurer de la traçabilité d’un produit et exécuter automatiquement des smart contracts.
La Blockchain pour assurer l’authenticité de l’actif AR vendu
Imaginez un univers dans lequel les Pokémon que vous collectez sont vraiment uniques. Chacun d’eux aura ses propre capacités et caractéristiques distinctes. Vous chasserez et échangerez des Pokémon rares. Ceux-ci pourraient potentiellement être vendus ou échangés. La clé de ce paradigme est la technologie Blockchain. À travers cette dernière, les utilisateurs pourront vérifier l’authenticité de l’actif numérique vendu.
Un exemple en est Cappasity, un écosystème AR/VR décentralisé pour l’échange de contenu 3D. Cappasity permet des expériences d’achat immersives. Il vise à résoudre le problème de l’achat d’objets 3D réels basés sur des images 2D sur un site Web. Ici, le rôle de Blockchain est d’aider les créateurs de contenu 3D à produire, louer et vendre du contenu AR/VR via le marché Cappasity. Chaque actif se voit attribuer un code d’identification unique. Ce moyen préviendra la violation du droit d’auteur.
Une innovation pour protéger la propriété intellectuelle
Aujourd’hui, il est devenu un jeu d’enfant de copier une photo numérique que vous avez trouvée sur Internet. Il est souvent difficile de déterminer si une photo numérique est l’original ou simplement une version copiée. Blockchain fournit un moyen de protéger la propriété intellectuelle. Elle permet aux développeurs de créer des actifs numériques uniques ne pouvant pas être répliqués.
Le jeu CryptoKitties en est l’exemple. Dans ce divertissement, les joueurs ont pu créer et vendre des CryptoKitties uniques en ayant recours au réseau blockchain Ethereum. Pour les créateurs d’actifs numériques en VR et AR, la blockchain offre la possibilité de donner aux objets virtuels des propriétés uniques.
La Blockchain intéresse de plus en plus les entreprises basées sur la technologie AR
Beaucoup d’entreprises concentrées sur la technologie AR et VR étudient des moyens d’exploiter la technologie blockchain pour donner aux objets et aux actifs virtuels des propriétés et une valeur unique. Certains, comme Verses et Arcona, expérimentent la fusion de la technologie AR et blockchain pour vendre des biens immobiliers virtuels. D’autres, comme Lampix, travaillent sur l’utilisation de la vision par ordinateur et de l’AR ainsi que de la technologie blockchain pour suivre les données virtuellement représentées entre les utilisateurs et les entreprises comme les cafés, les bars et les restaurants.
En ce qui concerne les entreprises impliquées dans l’AR, Facebook travaille sur son propre projet de blockchain. Amazon a pris une longueur d’avance. Il a offert son soutien aux entreprises intéressées par les solutions Blockchain. En parallèle, les entreprises d’AR commencent à déployer leurs clouds AR. Lorsque ces deux technologies convergeront, il est tout à fait concevable que nous soyons dans une économie mondiale d’expériences de contenu immersives.
Quelques projets AR embarquant la technologie Blockchain
Le lien subtil entre Blockchain et AR saisi par de nombreuses sociétés, des projets combinant ces deux innovations ont vu le jour. Voici quelques-uns d’entre eux.
OVR
OVR est un écosystème alimenté par la réalité augmentée et la blockchain Ethereum. Il fournit aux utilisateurs, aux investisseurs et aux entreprises des outils pour créer leur propre réalité augmentée interactive dans le monde réel.
C’est l’infrastructure décentralisée pour le web spatial, fusionnant le monde physique et virtuel à travers la réalité augmentée, créant une nouvelle dimension où tout est possible.
Vibehub
VibeHub est l’une des premières plateformes de marché virtuelles et de réalité augmentée basées sur la Blockchain. Elle se concentre sur la possibilité de faire de la VR interactive. Grâce à sa technologie, elle crée des hologrammes d’enseignants, d’artistes, de musiciens et de comédiens. Elles diffusent ces hologrammes dans un cadre de réalité virtuelle.
Reality Clash
Reality Clash est un jeu en AR où vous participez à des batailles dans des environnements virtuels uniques. C’est un jeu de tir AR mobile qui intègre la blockchain, les cryptomonnaies et la technologie de géocartographie dans l’expérience de jeu qu’il offre. Le rôle de la blockchain ? En tant que registre intelligent et décentralisé, il se met constamment et instantanément à jour n’importe où et à tout moment. Il garantit que la propriété des éléments numériques par les joueurs est significative et que ces éléments sont limités en nombre et non reproduits ailleurs. Et, bien entendu, en plus de soutenir Reality Clash, la blockchain constitue le récit du jeu.
Applications de RA intégrées à la blockchain
La technologie blockchain et la RA permettent de créer de nouvelles formes d’interaction et d’offrir des expériences immersives. Cette alliance permet ainsi de poser les bases d’une économie numérique en constante évolution.
Effectivement, les applications de RA intégrées à la blockchain représentent une évolution passionnante dans la manière dont nous interagissons avec les objets numériques. Des plateformes populaires comme Google ARCore et MetaSpark explorent cette synergie en combinant RA, cryptomonnaie et NFT.
Ces applications permettent aux utilisateurs d’interagir avec des objets virtuels placés dans leur environnement réel. En même temps, ils ont la possibilité de gagner des récompenses en crypto-monnaies. Dans les chasses au trésor en RA, par exemple, les participants collectent des objets numériques, souvent des NFT. En y jouant, les utilisateur peuvent échanger les NFTs contre des actifs numériques ou de la cryptomonnaie.
Cette fusion entre le monde physique et les actifs numériques redéfinit l’expérience utilisateur. Elle ouvre la porte à des applications dans divers domaines, comme le commerce, le divertissement, l’éducation, ou même le marketing. En associant des objets virtuels à la blockchain, ces applications assurent également la sécurité et la traçabilité des transactions. Ce qui garantit une authentification et une propriété uniques des objets numériques collectés.
Nikeland promet d’emmener les visiteurs dans un univers immersif tout en faisant du sport. Avec son metaverse dédié au sein de la plateforme Roblox, Nike reproduit son siège social réel pour permettre aux adeptes de la marque de suivre la tendance technologique.
Sans conteste monde numérique fait déjà partie intégrante de la vie quotidienne. C’est pour cela que les grandes marques entreprennent une extension de leur activité à l’intérieur du metaverse. Bien que l’univers des jeux vidéo demeure le plus exploité, nous commençons à y apercevoir d’autres domaines à l’instar de la mode, de la cosmétique et même du sport. Récemment, c’est-à-dire vers fin 2021, Nike a lancé son propre metaverse, baptisé Nikeland, à l’intérieur de Roblox, l’une des célèbres plateformes de jeux immersifs. Aujourd’hui, il a enregistré plus d’un million de visites. Ce qui prouve que les gens s’y intéressent davantage. Néanmoins, il faut préciser qu’à part le fait de lancer sa marque dans le metaverse, Nike ambitionne également de rendre les visiteurs plus actifs dans la vie réelle. Faison le tour d’horizon de cet univers virtuel qui représente le point de départ d’une nouvelle aventure avec la marque Nike.
Qu’est-ce que Nikeland ?
Nikeland est le nom que la marque Nike a attribué à son monde virtuel à l’intérieur deRoblox. Les concepteurs se sont inspirés de son siège mondial réel pour créer la toile de fond du metaverse. Une conception qui part d’un esprit plus élargi, visant à « transformer le sport et le jeu en un style de vie ». Il en est de même pour les arènes et les bâtiments.
Dans ce monde, les visiteurs ont la possibilité de jouer à divers jeux, mais aussi de créer leurs propres mini-jeux. Dans ce cas, Nikeland met à leur disponibilité un ensemble d’outils contenant des matériels sportifs. Outre les jeux, cet espace web3 vise également à favoriser les activités physiques réelles. Pour cela, il faut utiliser un smartphone ou un appareil mobile équipé d’accéléromètre.
Mais par-dessus tout, lemetaverse de Nike est construit pour promouvoir la marque à travers ses produits à l’intérieur de Roblox. Ainsi, les utilisateurs peuvent se procurer des produits emblématiques de la marque tels que l’Air Force 1 et l’Air Max. En plus, les plus méritants dans les jeux obtiennent des Blue Ribbons et des Gold Medals en guise de récompenses. Avec ceux-ci, ils peuvent obtenir des matériaux de construction ou des produits virtuels servant à personnaliser leur avatar.
Comment fonctionne Nikeland ?
Bien que la promotion de la marque soit l’objectif principal de Nikeland, il y a quand même d’autres horizons à explorer. En réalité, le metaverse Nike fonctionne comme les autres metaverses de jeux :
Nikeland : Un monde et des jeux
A l’intérieur de Nikeland, chaque visiteur peut participer à des mini-jeux dont les champs et arènes s’inspirent de son siège mondial réel. Chacun peut librement personnaliser son avatar en utilisant les produits de la marque. Pour en profiter, il faut les gagner en jouant. Par ailleurs, les utilisateurs peuvent créer des mini-jeux en utilisant la boîte à outils Nikeland.
Une vie réelle plus active
En utilisant leurs appareils mobiles, les visiteurs peuvent traduire leurs activités physiques réelles dans le metaverse. Nike a agi ainsi dans le but de les rendre plus actifs dans la vie réelle. Bien que tout se passe dans un monde virtuel, ils peuvent effectuer des mouvements réels qui vont être recueillis par l’accéléromètre de leur appareil mobile. Ce qui permet de transformer Nikeland en quelque chose de plus qu’un simple espace 3D.
En effet, le fait d’accéder à un monde numérique peut sans doute diminuer les activités physiques réelles pour faire place à l’ordinateur. Mais avec un smartphone, le joueur peut faire du sport tout en explorant le metaverse. Les compétitions sportives diffèrent des autres compétitions virtuelles.
Un joueur peut affronter d’autres visiteurs tout en restant chez lui, mais cette fois-ci en effectuant de véritables des mouvements. Par exemple, les visiteurs peuvent faire des sauts en longueur ou des courses de vitesse en déplaçant leurs appareils mobiles ainsi que leur corps.
Un avatar personnalisé Nike
A l’intérieur de Roblox, il y a une salle d’exposition spécialement dédiée aux produits Nike. Tous les visiteurs du metaverse peuvent personnaliser leur avatar avec des produits Nike les plus prisés. Ils peuvent, par exemple, choisir le célèbre Air Force Fontanka, ajouté d’autres vêtements de la marque.
Des gains à remporter dans Nikeland
En plus de l’accès gratuit à Nikeland, les visiteurs peuvent également gagner des récompenses. Les Gold Medals débloquent des nouveaux produits swag. En revanche, les Blue Ribbons permettent d’acheter des matériaux et outils de construction.
Ceci permettent la construction de cours et jardins ou encore l’exploration du monde virtuel. Cependant, les utilisateurs peuvent également collecter des pièces leur permettant d’acheter de quoi personnaliser leur personnage virtuel. Pour en bénéficier, il faut donc participer aux différents événements sportifs organisés à l’intérieur de Nikeland. Notons que ces derniers sont gratuits avec des cadeaux à la clé.
Que trouver sur Nikeland ?
Comme nous l’avons dit, Nikeland est un monde sportif virtuel composé de plusieurs endroits à explorer. Il comporte, en tout, 6 zones dont le lobby, le basketball, le soccer, le showroom, le laboratoire de recherche et My PlayGround. Toutefois, il y a d’autres jeux ludiques où les visiteurs peuvent s’affronter tels que Floor is Lava ou Dodgeball ; il y a même de la place pour la natation. Nous allons voir en détail une à une ces 6 principales zones qui composent le metaverse Nike.
Le lobby
Dans cette zone, les visiteurs ont le temps d’interagir entre eux ou de se détendre après des heures d’errance dans le vaste monde virtuel. Ils peuvent ainsi passer du temps ensemble, visiter le magasin ou le centre d’information dans le but de se familiariser avec les jeux. A noter que le magasin renferme toute une panoplie d’articles destinés à personnaliser les avatars à l’instar des équipements sportifs. Il y a également des articles décoratifs avec lesquels les joueurs peuvent construire un beau jardin personnel.
Le soccer
La zone de soccer (football) permet de jouer au foot traditionnel, mais accompagné d’autres mouvements passionnants tels que les rebonds et les powerups. Pour le moment, il est difficile de savoir le sort de cette zone. Nike semble toutefois optimiste et promet d’améliorer le jeu au fur et à mesure. Nous y trouvons des classements divers comme les meilleurs buteurs ou les victoires quotidiennes.
Le basketball
Il s’agit d’une zone où les visiteurs peuvent jouer au basketball. Nikeland ouvre son monde aux grands amateurs de basket avec sa grande collection de baskets (Air Force, Air Max, etc.). Les joueurs ne sont pas forcément des pros pour relever les défis. Toutefois, les meilleurs verront leur nom affiché dans les classements (meilleurs rebonds, tireurs, etc.). Comme dans tous les jeux à l’intérieur de Nikeland. Les gagnants sont récompensés.
Le showroom
Dans le showroom, il y a des milliers d’articles virtuels de Nike exposés. Il y a également des mannequins habillés Nike de différentes façons. Cette salle d’exposition est la vitrine de Nikeland à travers laquelle il présente ses différentes gammes de wearables. A ne pas oublier qu’il abrite surtout les célèbres chaussures Nike tels que Lebron 19 Low Magic Fruity PEEBBLES et Mercurial Superfly 8.
Cependant, le showroom n’est pas uniquement pour les visiteurs du metaverse. Nous pouvons y acheter réellement des articles. Dans ce cas, ceux-ci sont envoyés via la poste.
My PlayGround Nikeland
Cet espace est spécialement dédié aux créateurs. Après avoir obtenu des outils de construction et des articles décoratifs, chaque joueur peut construire ses propres mini-jeux. My PlayGround est aussi appelé Yard. Cet espace est sans limite, à l’opposé du monde physique, il ne reste qu’à l’exploiter.
NPRL ou Laboratoire de Recherche Nike Play
Cette zone est la réplique virtuelle de la zone d’innovation située dans la « Maison de l’Innovation » ou HOI de Nike. La différence entre les deux ? Le NPRL n’affiche que les enregistrements des meilleurs scores et buteurs sous des aspects différents. Ainsi, il y est affiché le temps joué, les pièces gagnées, etc.
Utilisez votre téléphone et bougez
Comme nous l’avons déjà mentionné plus haut, l’utilisation d’un smartphone peut être bénéfique lorsque nous explorons Nikeland. Il suffit d’une application pour traduire les mouvements réels dans le jeu. De fiat, les joueurs peuvent être plus actifs tout en explorant le metaverse. Certains mouvements du téléphone vont être enregistrés par le jeu en tant que mouvements de saut ou de course.
Certes, l’essor du metaverse et du monde virtuel a baissé les activités physiques dans la vie réelle. Tout le monde semble rester cloué devant l’écran pendant des heures. Encore plus quand nous avons la possibilité de créer quelque chose. Nikeland est différent, il offre à ses utilisateurs l’opportunité de transpirer sans sillonner la ville.
Par ailleurs, les visiteurs peuvent créer aussi bien des jeux que des articles virtuels. Bien que cela se passe à l’intérieur d’un monde virtuel, Nike prévoit également de coopérer avec les visiteurs de Nikeland pour co-créer des articles qu’il pourrait réellement produire dans le futur.
Nikeland : Nouvelles fonctionnalités et mesures de sécurité renforcées pour une expérience immersive et sûre
Récemment, Nikeland a ajouté de nouvelles fonctionnalités pour enrichir l’expérience de ses utilisateurs. L’un des ajouts majeurs est le mini-jeu « Free Kick Frenzy ». Le jeu permet aux joueurs de tester leurs compétences en football à travers des défis de tirs au but. Il s’inscrit dans l’objectif de Nike de rendre l’expérience dans Nikeland encore plus dynamique et engageante.
En parallèle, Nike a mis en place des mesures de sécurité pour assurer un environnement sûr et agréable aux joueurs, en particulier pour les plus jeunes. Ces mesures englobent des filtres de chat pour éviter tout contenu inapproprié. Ceci, dans le but de limiter les interactions négatives ou nuisibles entre les utilisateurs.
Par ailleurs, Nikeland a intégré les contrôles parentaux pour offrir aux parents la possibilité de superviser les activités de leurs enfants dans le metaverse. Ces initiatives visent à garantir une expérience immersive et sécurisée pour tous les joueurs. En même temps, il demeure un espace virtuel où chacun peut s’amuser, apprendre et interagir dans un cadre sûr.
Nikeland Roblox au cœur de l’innovation marketing digital en 2025
L’univers virtuel de Nike attire plus de 21 millions de visiteurs depuis son lancement. Les utilisateurs découvrent un monde numérique interactif où les frontières entre le divertissement et l’expérience de marque s’estompent complètement. Les participants peuvent aussi explorer des environnements numériques directement inspirés des installations physiques de Nike, avec une liberté et une créativité sans précédent.
Au cœur de Nikeland, des mini-jeux sportifs permettent aux utilisateurs de vivre des expériences dynamiques et ludiques. Ces interactions ne se limitent pas à une simple exposition de produits mais offrent une immersion totale dans l’univers Nike. Les visiteurs peuvent en effet se déplacer, jouer, interagir avec des produits et des espaces de manière intuitive et divertissante.
Cette approche représente bien plus qu’une simple stratégie publicitaire. Nike transforme la relation avec ses clients grâce à un terrain de jeu virtuel où la marque devient une expérience vivante et interactive. Le métavers devient ainsi un nouveau territoire d’expression marketing afin de dépasser les limites traditionnelles de la communication commerciale.
L’initiative de Nike sur Roblox illustre parfaitement comment les marques contemporaines peuvent utiliser les technologies numériques pour créer des connexions émotionnelles plus profondes avec leur communauté. Nikeland roblox ne se contente pas de promouvoir des produits, il raconte une histoire. Il invite également à l’aventure et transforme la perception que les utilisateurs peuvent avoir d’une marque sportive.
Aujourd’hui, pour des millions de personnes dans le monde, il est de plus en plus fréquent d’utiliser des applications de Spatial Computing. Il peut s’agir de la reconnaissance vocale d’un assistant domestique virtuel ou d’un GPS. Cependant, cette technologie et son fonctionnement sont encore relativement nouveaux pour certaines personnes. Tour d’horizon à ce sujet.
Le terme « Spatial Computing » est devenu courant, avec une augmentation de l’intérêt et de la couverture médiatique dans le domaine de la réalité augmentée (AR), de la réalité virtuelle (VR) et de la réalité mixte (MR). Des entreprises telles que Facebook (avec Quest), Microsoft (avec HoloLens), Google (avec Google Glass) et de nombreuses startups s’y sont intéressées. Elles ont même développé des produits et des applications dans ce domaine.
La popularité croissante du jeu Pokémon Go a également contribué à faire connaître le concept auprès du grand public. Mais de quoi s’agit-il réellement ? Comment le Spatial Computing influe-t-il sur notre façon de vivre ? Comment Apple nous emmène-t-il dans l’ère de l’informatique spatiale ?
Spatial Computing : définition
Le Spatial Computing est aussi sous le nom d’informatique spatiale. Ce concept est le mélange de la réalité virtuelle et de la réalité augmentée. L’objectif est de créer une expérience informatique immersive et interactive. Il vise surtout à intégrer les informations numériques dans notre environnement physique. Dans ce cas, des technologies telles que les casques VR, les lunettes AR, les capteurs et les caméras sont nécessaires.
En termes plus simples, le Spatial Computing permet de superposer des éléments, à savoir les images, les vidéos, les modèles 3D ou les informations contextuelles, sur le monde réel que nous voyons. Cela signifie que nous pouvons interagir avec des objets virtuels dans un environnement réel. Mieux encore, nous pouvons les manipuler comme s’ils faisaient réellement partie de notre réalité.
En portant des lunettes AR, nous pourrions voir des indications de navigation superposées sur les rues lorsque nous marchons en ville grâce à cette technologie. Ou bien, nous pourrions utiliser un casque VR pour nous aventurer dans un monde virtuel où nous pouvons interagir avec des objets et des personnages numériques.
Comment fonctionne l’informatique spatiale ?
Le processus est assez simple. En fait, l’informatique spatiale utilise des données provenant de capteurs pour comprendre et cartographier l’environnement réel. Ces capteurs incluent des caméras, des capteurs de profondeur et des capteurs de mouvement. Les informations collectées sont exploitées pour créer une représentation numérique de l’espace physique. Ensuite, des éléments virtuels, comme les objets 3D, les images ou les informations, sont superposés sur cet espace numérique.
Ces éléments virtuels apparaissent alors dans le champ de vision de l’utilisateur à travers un dispositif tel qu’un casque AR. Et cet utilisateur peut interagir avec ces éléments virtuels en utilisant des gestes, des mouvements ou d’autres dispositifs d’entrée. Par conséquent, il sera possible de manipuler des objets virtuels avec les mains ou se déplacer dans un environnement virtuel en bougeant le corps.
Comment le Spatial Computing influe-t-il sur notre façon de vivre ?
Il existe plusieurs manières dont le Spatial Computing influe sur notre manière de vivre.
Des expériences plus immersives
Dans le domaine du divertissement, cette technologie est la source de possibilités passionnantes. A titre d’illustration, les jeux en VR ou en AR apportent une immersion complète dans des mondes virtuels interactifs. Ils font vivre une expérience plus réaliste. En outre, les parcs à thème et les attractions touristiques peuvent miser sur le Spatial Computing pour proposer des expériences uniques et captivantes aux visiteurs.
En ce qui concerne l’éducation, la technologie fournit des opportunités d’apprentissage. Imaginez des étudiants interagir avec des simulations et des modèles 3D pour mieux comprendre des concepts complexes. Les visites virtuelles de sites historiques ou de destinations géographiques leur permettent également d’explorer le monde sans quitter leur salle de classe.
Dans le secteur du tourisme, cette innovation est un moyen de découvrir virtuellement des destinations avant de s’y rendre réellement. Les agences de voyage ont la possibilité de proposer des visites virtuelles immersives pour aider les clients à choisir leurs destinations.
Et en matière de formation professionnelle ? Le Spatial Computing offre des simulations pratiques pour les employés dans divers secteurs tels que la médecine, l’aviation, la maintenance industrielle, etc. Les professionnels peuvent s’entraîner dans des environnements virtuels réalistes sans risquer de mettre en danger des vies ou d’endommager du matériel coûteux.
Une interaction plus naturelle
Le Spatial Computing favorise une interaction plus naturelle avec les technologies puisqu’il intègre des éléments virtuels dans notre environnement physique. Rappelons qu’il n’utilise pas des interfaces traditionnelles comme les claviers ou les écrans tactiles. Il se sert plutôt des capteurs et des dispositifs de suivi pour détecter les mouvements et les gestes de l’utilisateur. Il exploite aussi les systèmes de reconnaissance vocale pour interpréter les commandes vocales.
Une meilleure collaboration à distance
Le Spatial Computing permet de se rencontrer virtuellement dans des environnements partagés. Les participants se représentent alors sous forme d’avatars 3D personnalisés et se déplacent dans un environnement virtuel commun. Ils interagissent les uns avec les autres, partagent des idées, manipulent des objets virtuels et expriment des gestes et des expressions faciales grâce à des dispositifs de suivi des mouvements.
Lors d’une réunion professionnelle, les différentes parties peuvent se réunir dans un bureau virtuel et discuter face à face. Cela favorise une communication plus naturelle et une meilleure compréhension des expressions non verbales. Dans le cadre de projets de conception, les équipes peuvent visualiser et modifier des modèles 3D en temps réel, ce qui facilite la prise de décisions et la résolution de problèmes.
La transformation des industries
Le Spatial Computing a le potentiel de transformer de nombreuses industries. Dans le domaine de la vente au détail, il donne naissance aux essais virtuels de vêtements ou des meubles avant l’achat. Dans le secteur de la santé, il est nécessaire pour la formation des professionnels de la santé ou la simulation d’interventions chirurgicales. Et dans l’architecture et l’ingénierie, il facilite la visualisation des conceptions en trois dimensions.
L’accessibilité et l’inclusion
Le spatial computing améliore l’accessibilité pour les individus souffrant de limitations physiques ou sensorielles. A titre d’illustration, il fournit des informations visuelles ou auditives supplémentaires pour les personnes malvoyantes ou malentendantes. Outre cela, il crée des environnements virtuels adaptés aux personnes à mobilité réduite, leur permettant ainsi de vivre des expériences qu’elles ne pourraient pas avoir autrement.
Quelques exemples d’informatique spatiale
Voici des exemples de spatial computing :
Un réseau de caméras est utilisé pour modéliser automatiquement un processus de production automobile.
Des équipes visualisent et analysent les défauts de production en les reliant à des étapes spécifiques d’un processus de fabrication.
Des capteurs de présence et de mouvement sont utilisés pour détecter la présence d’un travailleur dans une zone spécifique du bureau.
Des programmes d’analyse ergonomique sont utilisés pour évaluer les interactions entre les utilisateurs et les interfaces virtuelles.
L’étiquetage de localisation sur les réseaux sociaux
L’utilisation du système GPS de votre voiture ou de votre téléphone
La reconnaissance vocale
La reconnaissance gestuelle
Le Spatial Computing, une technologie clé pour la création d’expériences dans le metaverse
Le Spatial Computing et le Metaverse sont deux concepts distincts mais étroitement liés. Le metaverse désigne un univers virtuel persistant et en constante évolution, accessible par le biais de la technologie. Il peut être considéré comme une extension de l’internet actuel, offrant une expérience immersive et interactive aux utilisateurs. Dans le metaverse, les utilisateurs peuvent interagir les uns avec les autres et avec des objets virtuels, créer du contenu, participer à des activités sociales et économiques, etc.
Le lien entre le Spatial Computing et le Metaverse réside dans le fait que le premier est une technologie clé pour la création d’expériences immersives dans le dernier. En utilisant des appareils AR ou VR les utilisateurs accèdent au Metaverse et interagissent avec son contenu de manière plus réaliste et immersive.
Dans un scénario de Metaverse, le Spatial Computing pourrait être utilisé pour afficher des informations contextuelles dans l’environnement réel des utilisateurs, leur permettre d’interagir avec des objets virtuels dans leur espace physique, ou encore de communiquer avec d’autres utilisateurs à travers des avatars virtuels dans des environnements partagés.
L’informatique spatiale selon Apple
Tout récemment, la firme de Cupertino, Apple, a fait sa grande entrée dans le Spatial Computing en présentant le Vision Pro, son premier casque de réalité mixte. Il s’agit d’un ordinateur spatial doté deux écrans ultra-haute résolution et une interface entièrement 3D. Le casque représente une vision au-delà des limites. En tant qu’appareil de Metaverse, il prend en charge les applications VR et AR. Et il permet à ses utilisateurs de se divertir et connecte les mondes virtuel et réel.
Sa particularité est qu’il est contrôlé par les mains, les yeux et la reconnaissance vocale au lieu d’utiliser des manettes ou une télécommande. Ce petit bijou de la technologie apporte un changement énorme dans le paysage informatique. Malgré son coût exorbitant de 3 500 euros, le Vision Pro promet une multitude de possibilités grâce à ses capacités inédites.
L’appareil fonctionne avec le nouveau système d’exploitation VisionOs. Ce dernier fournit un « espace sans limites pour les applications ». Et comme sur un bureau classique, l’utilisateur peut déplacer ces applications et les mettre à l’échelle. Il peut aussi transformer son salon en cinéma personnel avec un immense écran. Cet appareil démontre la confiance de l’entreprise dans le potentiel du metaverse, malgré les récents revers subis par Meta, Microsoft et Disney.
Les questions soulevées par le Spatial Computing
En effet, cette fusion de l’informatique et de l’environnement physique soulève plusieurs défis. Il faudra penser à certaines questions comme comment offrir une expérience utilisateur immersive et convaincante tout en évitant les problèmes de nausée, de fatigue visuelle ou de désorientation spatiale ? Quelles solutions pour assurer la sécurité des données et empêcher les abus potentiels liés au Spatial Computing ? Comment les gouvernements et les organismes de réglementation peuvent-ils élaborer des politiques efficaces pour encadrer le Spatial Computing et garantir la sécurité publique ? Comment s’assurer que les personnes handicapées bénéficient pleinement de cette technologie et qu’elle ne crée pas de nouvelles formes d’exclusion ? Est-il possible de faire en sorte que cette technologie soit plus abordable et accessible à un plus grand nombre de personnes ?
Iris² : La concurrence européenne à Starlink
Face à l’expansion rapide de Starlink, le service Internet par satellite d’Elon Musk, l’Europe se prépare à rivaliser avec sa propre constellation de satellites, Iris². Nous parlons ici d’une initiative ambitieuse qui vise à offrir un accès Internet haut débit à des régions éloignées et mal desservies. Notons toutefois que l’indépendance numérique de l’Union Européenne vis-à-vis des géants technologiques étrangers est toujours garantie. Ce déploiement marque alors l’adoption de solutions de Spatial Computing pour une connectivité encore plus immersive et dynamique.
Iris² devrait consister en plusieurs centaines de satellites en orbite basse pour permettre de couvrir l’ensemble du continent européen et au-delà. Le projet est fortement soutenu par une collaboration entre les gouvernements européens et des entreprises privées. Il bénéficie donc d’un financement public estimé à plusieurs milliards d’euros.
L’objectif est d’offrir une couverture complète et stable, tout en réduisant la dépendance aux services non-européens. Par ailleurs, il ambitionne de renforcer la souveraineté numérique de l’UE.
A notre humble avis, bien que Starlink soit déjà opérationnel, Iris² pourrait représenter une alternative plus contrôlée et souveraine pour les utilisateurs européens. Le lancement de cette constellation est prévu dans les années à venir. Ce qui pourrait bouleverser l’équilibre des pouvoirs dans l’Internet par satellite. L’introduction d’une dimension supplémentaire de Spatial Computing pour l’Europe pourrait ainsi améliorer la gestion des données et des connexions sur tout le territoire européen.
La franchise Ready Player One a vu le jour en 2011 en tant que roman de science-fiction. Depuis lors, ce dernier a fait l’objet d’une suite et d’adaptation cinématographique, et il s’est même invité en réalité virtuelle.
La franchise Ready Player One compte en ce moment deux livres, un film et toute une liste de jeux VR. Depuis ses débuts, elle a connu une popularité grandissante. Du roman au cinéma en passant par le contenu VR, le titre a ainsi fait de nombreux adeptes pour devenir ce qu’il est aujourd’hui. Voici tout ce qu’il faut savoir sur la fameuse franchise.
Ready Player One en livres
La franchise Ready Player One comprend donc deux livres de science-fiction : Ready Player One, et sa suite, Ready Player Two. Les deux romans ont connu un franc succès dès leur sortie.
Ready Player One
Le roman Ready Player One, publié chez Michel Lafon en France, est sorti aux Etats-Unis le 16 août 2011, en même temps avec un livre audio raconté par Wil Wheaton. C’est la première œuvre d’Ernest Cline, un « geek » et écrivain de science-fiction américain. Dès sa sortie, ce livre est déjà un best-seller. Il a même remporté le prix Prometheus 2012 du meilleur roman, et a obtenu un Alex Award de la Young Adult Library Services Association.
L’histoire se déroule donc dans les années 2040, où le monde est devenu insoutenable. À cause de cela, le jeune homme de 18 ans, Wade Watts, a décidé de se réfugier dans « l’Oasis ». Il s’agit d’un jeu de réalité virtuelle planétaire à la fois addictif et excitant, mais aux effets parfois ruineux.
Le créateur du jeu, James Halliday, est décédé, mais a laissé une vidéo. Celle-ci révèle ainsi que quiconque trouvera un easter egg ou œuf de Pâques caché dans l’Oasis héritera de sa société, Gregarious Simulation Systems, et de toute sa fortune. Wade part alors à la recherche de ce fameux œuf, et réussit à mettre la main dessus. À noter que le roman a été traduit dans pas moins de 20 langues différentes.
Ready Player Two
Ready Player Two est la suite de Ready Player One, et est toujours écrit par Ernest Cline lui-même. Ce nouveau livre a été annoncé en 2015, mais n’a finalement été publié que le 24 novembre 2020. Effectivement, Cline n’a commencé à l’écrire qu’à la fin de l’année 2017.
Malheureusement, Ready Player Two a fait l’objet d’une réception critique plutôt tiède, voire négative. Certains spécialistes ont affirmé qu’ils étaient déçus par la suite de l’histoire, car ce second volet n’a pas réussi à s’étendre de manière aussi passionnante que l’original.
Dans ce nouvel épisode, Wade Watts est informé de l’existence d’une tout autre technologie que James Halliday a mise au point. Il l’a baptisée ONI ou Oasis Neural Interface, qui veut dire Interface neuronale de l’Oasis. Celle-ci n’a jamais été révélée au grand public. Elle permet aux joueurs de se servir des cinq sens pour effectuer l’expérience de l’Oasis. Elle leur offre également l’occasion d’enregistrer toutes leurs expériences dans la vie réelle.
Ready Player One au cinéma
Tout comme certains romans, Ready Player One s’est aussi invité au cinéma. Il a donc fait l’objet d’une adaptation.
Le film
Le film Ready Player One est ainsi l’adaptation cinématographique du roman de science-fiction d’Ernest Cline. Réalisé par Steven Spielberg, il est sorti le 29 mars 2018 aux États-Unis, après que Warner Bros a acheté les droits du livre. Tout comme le livre original, il a bénéficié de critiques plutôt positives à son lancement.
Il reçoit, entre autres, une note moyenne de 7 sur 10 sur Rotten Tomatoes, et une moyenne de 64 % sur Metacritic. Le film obtient d’ailleurs une moyenne de 4,5 / 5 sur Allociné, en France. Il faut dire que les critiques sont généralement favorables.
En matière de box-office, il faut savoir qu’il a rapporté 137,7 millions de dollars aux États-Unis et au Canada en moins de 14 semaines. Pour les autres territoires, il a rapporté 445,2 millions de dollars, ce qui fait un total de 582,9 millions de dollars à l’échelle mondiale.
Différences entre le film et le livre
Bien que le film de Steven Spielberg soit une adaptation cinématographique du livre d’Ernest Cline, il existe tout de même certaines différences entre les deux œuvres. Ces différences sont surtout remarquées au niveau des références à la pop culture, du monde réel et de l’Oasis, des personnages, des diverses missions et de la chasse au trésor. On constate aussi un changement notable au niveau de l’histoire d’amour.
Parmi ces différences, il y a, entre autres, le fait que Spielberg n’utilise pas les mêmes citations au cinéma et aux jeux vidéo que Cline. Au lieu de piloter le X-Wing, un avion de chasse dansStar Wars, Wade Watts prend, par exemple, le volant de la DeLorean dans le film. Il s’agit bien sûr de la voiture dans Retour vers le futur. À noter toutefois que cette dernière est quand même présente dans le roman de Cline.
Dans tous les cas, les différents changements permettent au film d’environ 2 heures et 20 minutes et au livre de plus de 400 pages de se compléter. Une certaine cohérence émotionnelle est conservée.
Quid de la suite du film ?
Tout comme le livre, le film Ready Player One aura aussi une suite. En tout cas, c’est ce qu’a annoncé Ernest Cline. Effectivement, l’auteur du roman n’a pas manqué de révéler que Ready Player Two, le film, est déjà en cours de préparation.
Il a toutefois ajouté que ce dernier est encore à ses débuts, et qu’Hollywood est en ce moment dans les limbes. Bien qu’il ait trouvé que tout le monde s’est beaucoup amusé lors de la réalisation du premier film, il a donc affirmé qu’on ne sait jamais à Hollywood.
Dans tous les cas, il a déclaré qu’il ne laisse pas le film l’influencer. Il se concentre plutôt sur la manière dont il peut satisfaire les fans avec son livre.
Ready Player One en VR
A part les deux livres et le film, la franchise Ready Player One gagne aussi du terrain dans l’univers de la réalité virtuelle et des jeux VR. Parmi les titres existants, on compte ainsi Ready Player One : OASIS beta. Développé par Directive Games Limited, ce jeu d’action et d’aventure est disponible gratuitement sur Steam.
Lancé en mars 2018, il prend en charge les casques VRValve Index, HTC Vive, OculusRift et les casquesWindows Mixed Reality. Dans ce jeu, les joueurs ont l’occasion d’aller n’importe où, d’être n’importe qui et de faire tout ce qu’ils veulent.
Les fans de la franchise peuvent aussi profiter du Ready Player One VR Arcade. Il s’agit d’expériences de réalité virtuelle inspirées du film, spécialement conçues pour lui donner vie. Afin de mettre au point ces expériences, VIVE a travaillé aux côtés d’importants développeurs VR. Pour les découvrir, les fanatiques du titre doivent se rendre dans les salles d’arcade participantes.
« Ready Player One » devient réalité avec l’arrivée imminente de Readyverse
Le Readyverse est une plateforme immersive inspirée de l’univers de Ready Player One. Actuellement, il est en phase de développement avancé. Selon les informations disponibles, Readyverse devrait entrer en accès anticipé au cours du deuxième trimestre de 2025. Les premiers à y accéder seront les détenteurs de certains collectibles de personnages, notamment ceux de FLUF World et Party Bear, dès le mois d’avril 2025.
Rappelons que cette initiative est le fruit d’une collaboration entre Futureverse et Warner Bros. Discovery. Ensemble, ils ont fondé Readyverse Studios avec pour objectif de créer une plateforme interactive dynamique qui regroupe diverses expériences numériques interconnectées.
A l’heure où nous écrivons, le Readyverse n’est pas encore disponible au grand public. Toutefois, son lancement en accès anticipé est imminent, avec une ouverture progressive prévue à partir d’avril 2025 pour certains utilisateurs privilégiés.
Plongez dans l’inconnu avec No Man’s Sky, où la dernière mise à jour, intitulée « Relics », vous invite à revêtir le manteau de paléontologue spatial. Imaginez-vous, casque de réalité virtuelle bien ajusté, entrevoir l’horizon infini de mondes extraterrestres, en quête des vestiges d’une époque révolue. Les anciennes structures, disséminées à travers ces univers mystérieux, révèlent leurs ... Lire la suite
Grâce à la réalité virtuelle, il est désormais possible de se glisser dans la peau d’un boxeur mais sans risquer le moindre bleu. Que ce soit pour le plaisir ou pour brûler quelques calories, ces jeux vous transportent dans l’action. Et chaque fois, l’intensité vous fait transpirer… et peut-être même vous donner envie de crier « KO ! ». Nous vous présentons ici la liste des meilleurs jeux de boxe VR en 2025.
Les jeux de boxe en VR ont fait un énorme bond en avant. Et pour cause, les capteurs sont plus précis et les manettes toujours plus réactives. Les développeurs sont alors capables de créer des expériences qui donnent vraiment l’impression d’être sur le ring. Les coups fusent, les esquives s’enchaînent, et l’adrénaline est au rendez-vous ! Dans les lignes qui suivent, nous vous avons fait la liste de quelques-uns des meilleurs jeux de boxe VR du moment.
The Thrill of the Fight 2
Nous sommes tous d’accord, The Thrill of the Fight 2 est le meilleur dans son genre. Ce jeu est disponible en accès anticipé depuis le 21 novembre 2024 sur les plateformes Meta Quest 2, Meta Quest 3 et Meta Quest Pro. Pour le moment, il est exclusif à ces appareils. Mais les développeurs ont choisi de se concentrer sur cette plateforme pour optimiser le développement. Une sortie sur PC VR est envisagée ultérieurement. Alors, qu’est-ce qui rend ce jeu si spécial ?
Eh bien, ce jeu a introduit un mode multijoueur en ligne. De ce fait, les joueurs du monde entier ont le plaisir de s’affronter sur le ring. Notons que c’est une fonctionnalité absente du premier opus. Outre cela, l’expérience de jeu est très réaliste. Les graphismes sont de bonne qualité, les mouvements fluides et les environnements variés.
Boxing Underdog
Boxing Underdog est considérée comme l’expérience de boxe en réalité virtuelle la plus authentique sur la plateforme Meta Quest. Il a été développé par Monologic Games et il se murmure que cette pépite arrivera bientôt sur PSVR 2 et PC VR.
Dans Boxing Underdog, chaque mouvement est suivi avec une telle précision que vous aurez l’impression d’être un boxeur professionnel. Que ce soit pour éviter un coup de poing ou pour lancer un uppercut, chaque geste est pris en compte, comme si vous dansiez sur le ring avec votre adversaire.
On aime aussi la personnalisation du personnage, le mode multijoueur en ligne, le mode combat à mains nues et l’intelligence artificielle adaptative dans le jeu. Une fois que vous l’essayez, vous ne pourrez plus vous en passer !
Creed: Rise To Glory
Creed: Rise to Glory est un jeu de boxe en réalité virtuelle signé par Survios, lancé le 25 septembre 2018. Il est disponible sur plusieurs plateformes VR, comme HTC Vive et Meta Quest. Ce titre, qui s’appuie sur la franchise Rocky, a franchi le cap du million d’unités vendues sur toutes les plateformes VR. Et cela ne nous étonne pas.
En tant qu’Adonis Creed, vous allez affronter des rivaux de plus en plus forts, jusqu’à atteindre le combat décisif qui vous mènera vers la gloire. Dans ce jeu, on aime beaucoup la progression du personnage. Grâce au mode Carrière, on peut suivre son ascension. On apprécie aussi les modes de jeux variés, les animations réalistes ainsi que les combats intenses et tactiques. Les fans de la saga Rocky et Creed adorent particulièrement l’ambiance et l’atmosphère du jeu.
Punchfit
Impossible de ne pas inclure Punchfit dans le top 10 des meilleurs jeux de boxe VR. La communauté VR a bien accueilli ce titre (avec 84 % des 168 avis étant favorables sur la plateforme Steam). En vous lançant dans le jeu, vous allez boxer comme un pro en un rien de temps.
En effet, Punchfit compte plus de 50 séries d’exercices. Ici, vous allez maîtriser les directs, jabs, uppercuts et esquives. Les sessions varient entre 3 et 30 minutes. Au programme : des combinaisons de coups et des frappes pour devenir le champion du ring !
Punch Fit est disponible sur Meta Quest, et pour les fans de nouveautés, la version améliorée, Punch Fit – MR Edition, se trouve sur SideQuest avec des mises à jour régulières.
Virtual Fighting Championship
Virtual Fighting Championship (VFC) est un jeu de combat en réalité virtuelle. Développé par L&L Technology, avec Yang.L en tant que développeur principal, son objectif est de devenir le jeu de combat VR le plus complet. Le jeu a été initialement publié le 21 septembre 2018 sur Steam.
Aujourd’hui, VFC est aussi disponible sur plusieurs plateformes VR, notamment Meta Quest, Steam, Viveport et PICO Store. Alors que les simulateurs de boxe traditionnels suivent des règles strictes, VFC offre une expérience plus libre et sauvage.
Le jeu se concentre principalement sur le mode joueur contre joueur (PVP), où vous combattez d’autres joueurs. Le but est de devenir un jeu de combat emblématique, comme Street Fighter, mais en réalité virtuelle. L’intelligence artificielle (IA) du jeu est très intelligente. Elle change de style de combat. Ainsi, vous n’allez toujours pas affronter la même chose. Cela rend le jeu plus intéressant et difficile.
Les Mills BodyCombat
Les Mills Body Combat fait partie des meilleurs jeux de boxe VR du moment. Si vous appréciez les exercices exigeants qui vous permettent de vous défouler et de brûler des calories, vous trouverez ce jeu à votre goût. On y retrouve plus de 50 programmes adaptés aux débutants comme aux confirmés, avec des séances de 30 à 60 minutes.
On adore la dimension personnelle du jeu. Dans cette aventure en VR, vous serez encouragé par vos instructeurs virtuels. Ils vont vous fournir divers conseils pour mener à bien votre mission. En parcourant la toile, vous verrez que de nombreux utilisateurs partagent leur enthousiasme sur le jeu et le recommande comme l’une des meilleures applications d’entraînement VR.
Les Mills BodyCombat est disponible sur le Meta Quest Store, le PlayStation Store et les plateformes Pico.
Knockout League
Knockout League est disponible sur plusieurs plateformes de réalité virtuelle, notamment Meta Quest (Quest, Quest 2, Quest 3, Quest Pro), PlayStation VR, HTC Vive et Valve Index. On le considère est comme l’un des meilleurs jeux de boxe VR pour plusieurs raisons.
Son gameplay est dynamique et immersif. L’expérience est très physique et engageante. Il vous demande de vous déplacer, d’esquiver, de bloquer et de frapper. De plus, les commandes sont fluides et faciles à comprendre. Que vous soyez un débutant ou un boxeur professionnel, vous pouvez vous lancer rapidement sans frustration. Dans le jeu, on retrouve également une galerie de personnages uniques. Chacun d’eux utilise des styles de combat distincts. Par conséquent, l’expérience est excitante et challengeante au fil des niveaux.
Bien que simple, le style graphique cartoonesque est coloré et énergique, ce qui est vraiment amusant. Le jeu a reçu de bonnes critiques des joueurs et des sites spécialisés. La plupart ont salué sa capacité à offrir une expérience de boxe immersive, mais aussi son côté ludique et addictif.
Enfin, en étant un jeu de boxe VR, il pousse les joueurs à faire de l’exercice tout en s’amusant, ce qui le rend encore plus attractif pour ceux qui recherchent une activité physique dans leurs sessions de jeu.
Mutant Boxing League
Mutant Boxing League est l’un des meilleurs jeux de boxe VR les plus récents. Sorti le 5 avril 2024, il a été développé par Filmi Studios. Le titre est disponible sur Meta Quest, PSVR 2 et Steam. Dans cette aventure, l’objectif est de devenir un champion de boxe implacable. Pour y parvenir, il faudra enchainer les victoires.
Les principaux atouts de ce jeu ? Il est conçu pour s’adapter à tous les niveaux de compétences. On y retrouve des tutoriels pour maîtriser les techniques d’attaque, de défense et l’utilisation de gants spéciaux tels que le Power Glove et le Speed Glove.
Les joueurs progressent à travers des matchs pour débloquer de nouveaux adversaires, environnements et gants exclusifs. Vous apprécierez vous lancer dans ses mini-jeux, qui permettent de gravir les classements mondiaux et de débloquer des skins uniques pour les gants de boxe.
Box To The Beat
Box To the Beat est disponible sur Quest 3S, Quest 3, Quest Pro, Quest 2 et Pico. Vous devez suivre le rythme de la musique pendant que vous jouez. Le jeu propose une sélection de morceaux variés d’artistes populaires, ainsi que des DLC à prix raisonnables.
Ici, vous allez devoir utiliser vos bras et vos mouvements pour frapper, comme dans un vrai entraînement de boxe. Il faut que vous soyez rapide et précis. Ah il y a un petit dragon mignon pour vous accompagner dans votre aventure, avec un classement mondial pour chaque morceau de musique !
Avec tous ces jeux, vous allez transpirer, mais vous allez aussi vous amuser comme un fou ! Alors, prêt à enfiler vos gants et à vous lancer dans l’arène virtuelle ?
Le fabricant chinois Vivo a présenté son nouveau casque de réalité mixte baptisé Vivo Vision, dont l’apparence évoque fortement celle de l’AppleVision Pro. Entre matériaux similaires, design quasi identique et nom emprunté, l’annonce fait déjà polémique.
D’ailleurs, plusieurs observateurs notent que le Vivo Vision reprend de nombreux éléments esthétiquesdu modèle d’Apple. Il intègre une interface en tissu gris, une sangle arrière, une batterie externe et un connecteur quasiment identiques. Même le nom « Vision » a été conservé.
Un design troublant jusqu’aux moindres détails
La seule différence visuelle notable entre les deux casques concerne les branches latérales. Celles du Vivo Vision affichent une finition métallique, tandis que le casque d’Apple utilise du plastique blanc. Ce changement mineur ne suffit toutefois pas à masquer la forte inspiration. La visière du Vivo Vision semble un peu plus fine, et donc peut-être plus légère que celle de l’Apple Vision Pro. Cependant, sans spécifications techniques, il est difficile d’évaluer si ce design alléchant se traduira par un avantage fonctionnel réel.
Un casque encore très mystérieux sur le plan technique
Pour le moment, Vivo n’a dévoilé aucune caractéristique technique de son nouveau produit. On ne connaît ni la résolution des écrans, ni la puissance de calcul, ni les fonctionnalités prévues, ni même l’existence d’un prototype fonctionnel. De plus, aucun influenceur ou média spécialisé n’a pu essayer le casque. Il reste donc à vérifier si le produit présenté n’est encore qu’un concept de design, ou s’il s’agit déjà d’un modèle prêt pour la production.
Un lancement prévu en 2025 sans garantie d’exportation
Vivo annonce une commercialisation du Vivo Vision à la mi-2025, sans toutefois préciser si le casque sera vendu hors de Chine. L’absence d’informations sur l’OS, les capteurs ou les usages possibles ajoute encore à l’incertitude. Ce flou alimente les comparaisons avec d’autres marques chinoises, comme Play For Dream MR, qui s’inspirent elles aussi du Vision Pro pour leurs produits. La frontière entre l’inspiration et le clonage semble de plus en plus mince.
Innovation ou imitation ? Le débat relancé
La stratégie de Vivo interroge : s’agit-il d’une tentative de suivre la tendance haut de gamme initiée par Apple, ou d’un simple mimétisme destiné à capter l’attention du marché XR ? Dans un contexte très concurrentiel, l’originalité devient primordiale. Pour se différencier, Vivo devra prouver que son casque apporte de vraies innovations techniques et logicielles, et ne se contente pas d’un copier-coller esthétique. Le secteur XR attend de véritables alternatives, pas seulement des répliques.
Le porno virtuel rend les vidéos pour adultes beaucoup plus divertissantes et, bien sûr, plus excitantes. À côté, la pornographie classique est presque devenue insignifiante parce que la réalité virtuelle a la capacité de rendre toute expérience multimédia très réaliste.
Nous recommandons VRporn
VRPorn.com est selon nous le meilleur site de porno en réalité virtuelle. Il se positionne comme le plus complet du marché avec des nouvelles vidéos de grande qualité chaque jour. Le prix très attractif de la plateforme est un réel plus : moins de 8€/mois pour un abonnement à l’année, soit -78% sur le tarif normal.
Depuis le début de l’année, les recherches de contenus adultes en réalité virtuelle ont augmenté de 115 %. Il s’agit en effet de l’une des plus grandes utilisations de la technologie VR. Alors, si vous n’avez pas encore expérimenté le sexe virtuel, c’est le moment où jamais de le découvrir. Voici donc tout ce que vous devez savoir sur ce sujet bouillonnant.
En quoi consiste le porno virtuel ?
Comme son nom l’indique, le porno vr consiste à expérimenter les joies du divertissement adulte dans un espace virtuel. Plus précisément, le concept implique l’exploitation de la technologie de la réalité virtuelle. Autrement dit, il est question de regarder des vidéos XXX avec un casque VR.
Mais avec la réalité virtuelle, regarder une vidéo, ce n’est la même chose que sur un grand écran, un écran d’ordinateur et encore moins l’écran d’un téléphone. La VR permet de vivre une expérience totalement immersive. Au lieu d’être un simple téléspectateur, on a l’impression de participer à la scène. Mieux encore, on devient soi-même l’un des interprètes. Et pour rendre l’expérience encore plus réaliste, la technologie permet même de synchroniser des sextoys avec les vidéos.
Comme tous les divertissements multimédias, la pornographie évolue parellèlement avec la technologie. Les gens ont commencé par se masturber devant des photos de nus dans les magazines XXX avant de regarder des images animées avec le son. Désormais, le porno virtuel rend l’expérience encore plus proche de la réalité en offrant en plus de satisfaction visuelle et sonore une immersion physique, ou presque.
Quelle est la particularité du porno virtuel ?
Vous l’aurez compris, le porno virtuel est très différent des vidéos de charme habituels que vous regardez sur un ordinateur ou sur un téléphone. Certes, un des explications est que vous devez d’abord utiliser un casque. Mais il ne suffit pas non plus d’en enfiler un pour l’expérimenter.
En fait, même les contenus sont différents de ceux qu’on trouve habituellement sur les sites pour adultes. Pour mieux le comprendre, voyons les principaux éléments qui constituent la technologie du porno virtuel.
Le casque VR
L’appareil multimédia qui permet de lire les fichiers VR est le casque de réalité virtuelle. Notons déjà qu’il existe plusieurs types de casques qui permettent d’expérimenter le porno virtuel. La plus économique de toutes est le cardboard qui est généralement à base de carton. Il s’agit d’une conception très simple qu’on peut monter soi-même et qui permet de voir des vidéos VR avec un smartphone. De fait, c’est donc sur l’écran du smartphone que les vidéos s’affichent.
Ensuite, il y a les casques haut de gamme. Il s’agit de casques qui coûtent beaucoup plus cher que les cardboard, mais qui offrent aussi beaucoup plus. Leur différence est d’abord apparente dans le design étant donné que les cardboard n’utilisent qu’un matériau minimaliste. Il vous suffit par exemple de voir à quoi ressemble le Google CardBoard et le Meta Quest 2 pour comprendre.
Mais ce n’est pas seulement une question d’apparence. Ce qui rend vraiment les casques haut de gamme meilleurs, c’est la qualité des images et leurs nombreuses fonctionnalités.
Là encore, nous pouvons distinguer deux types de casques VR haut de gamme : les casques autonomes et ceux qui ne le sont pas. Un casque VR non autonome fonctionne avec un smartphone ou avec un ordinateur en étant rattaché à un câble. De fait, il utilise les applications ou les logiciels dans les autres appareils pour pouvoir accéder aux contenus comme le porno virtuel.
Vous aurez donc compris que les casques autonomes n’ont pas besoin de smartphone ou d’ordinateurs pour fonctionner. Ils ont leur propre navigateur et applications intégrés qui permettent d’aller directement sur d’autres plateformes en ligne.
Le tournage d’une vidéo pour le porno virtuel est aussi différent de celui des vidéos XXX habituels qui implique l’utilisation de plusieurs caméras. Ici, le studio utilise une seule caméra qui se trouve au niveau de l’un des interprètes donnant au téléspectateur l’impression d’être à sa place.
L’utilisation de la technologie 3D et de caméra 360 offrent l’illusion de la réalité virtuelle. Un casque VR est doté d’un système de suivi de mouvement. Ensemble, ces technologies permettent à l’utilisateur de voir la scène sous différents angles.
Comment accéder au porno virtuel ?
Le fait que les vidéos VR soient différentes signifie qu’ils ne se trouvent pas au même endroit que les contenus classiques. Il existe des sites qui proposent exclusivement du VR porn, mais aussi d’autres sites ordinaires qui incluent une section VR. Mais quitte à choisir, les sites dédiés sont certainement plus expérimentés en matière de réalité virtuelle. Autrement dit, ils offrent des contenus de meilleure qualité.
Notons également que les contenus ne sont généralement accessibles que sur un abonnement ou sur un paiement à la carte. Certes, certains sites proposent des extraits gratuits et Pornhub a même des vidéos complètes qui ne nécessitent aucun paiement. Mais la gratuité nous laisse souvent sur notre faim. Pour expérimenter le VR sex sans limite et avec une véritable immersion, rien ne vaut les offres premiums.
Porno virtuel : le visionnage
Rappelons donc que pour expérimenter le sexe dans la réalité virtuelle, il faut utiliser un casque VR pour lequel les vidéos sont optimisées. Mais il convient aussi de noter qu’il existe deux manières de visionner ces vidéos.
Tout d’abord, étant donné qu’elles se trouvent sur des sites, il est donc possible de les diffuser directement depuis le navigateur. Les vidéos sont au format WebVR, ce qui signifie qu’elles doivent être visionnées avec un casque VR sur internet.
D’autre part, pour ceux qui hésitent avec le streaming, il est aussi possible de télécharger les vidéos. Vous pouvez les stocker directement sur le casque ou sur un ordinateur. Cette deuxième option est généralement préférable pour regarder les vidéos dans une meilleure qualité.
Le porno virtuel : de la pornographie à haute définition
Maintenant que nous avons compris les bases du divertissement adulte en VR, voici quelques mots qui vous aideront à bien maîtriser le sujet.
Vidéo 3D
La principale différence entre les vidéos pour adultes habituels et les vidéos en VR est qu’avec la réalité virtuelle, les images sont en relief. Autrement dit, elles ajoutent la profondeur à la longueur et à la largeur (3D).
Vidéo à 180 ° et à 360 °
Pour que l’immersion soit totale, les images doivent aussi s’adapter au mouvement des utilisateurs. Cela signifie que s’il tourne la tête ou bouge son corps, la scène s’affiche sous différents angles.
Dans le domaine de la réalité virtuelle, il est souvent question de vidéo à 180 ou à 360 °. Avec une vidéo à 360 °, vous pouvez visionner la scène en faisant un tour complet. Appliqué au porno virtuel, cela permet de voir les interprètes de près ou de loin, et parfois même de se déplacer dans tous les sens. Pour les vidéos à 180 °, cette capacité est donc limitée à la moitié et vous ne verrez aucune image derrière vous.
HD vs 4K vs 5K ou plus
Au moment de télécharger une vidéo, le site demande de choisir une résolution. Le 4K est pris en charge par tous les casques VR, même les plus simples comme les Cardboard. La désignation de 4K correspond au nombre de pixels de largeur de l’image. La HD 1080p est la moitié de la résolution 4K et contient quatre fois moins de pixels.
Actuellement, la référence en termes de résolution est le 4K, mais il est parfois recommandé de choisir les versions HD pour les dispositifs moins puissants. Certains sites proposent aussi des vidéos de plus haute résolution, notamment de 5K et 6K voire même de 8K. Mais pour visionner les vidéos de ce niveau, il faut avoir un casque compatible.
POV vs Voyeur
Si vous êtes un grand consommateur de vidéos de sexe érotique hardcore, les termes POV et Voyeur ne vous sont peut-être pas nouveaux. Le format POV ou Point of View fait référence aux vidéos tournés du point de vue de l’homme ou de la femme à qui les interprètes font plaisir.
En revanche, le mode Voyeur signifie que vous ne participez pas directement à l’acte, mais que vous êtes un spectateur. Précisons, néanmoins que dans les deux cas, l’expérience est complètement immersive. Cela signifie que vous êtes virtuellement transporté sur le plateau de tournage.
Y-a-t-il un risque avec le porno virtuel ?
Avec le sexe virtuel, le divertissement pour adultes est donc passé au niveau supérieur. Mais comme avec toute technologie, il y a quelques points sur lesquels nous devons vous mettre en garde.
D’abord, pour ceux qui n’ont jamais utilisé de casque VR, il arrive parfois que la première expérience soit un peu désagréable. Par exemple, au bout de quelques minutes, vous pourriez avoir des nausées, des vertiges ou perdre votre équilibre. Cela peut aussi arriver parce que certains dispositifs sont moins confortables que d’autres.
Mais la seule véritable menace, c’est l’addiction. En fait, une fois que vous aurez goûté au porno virtuel, vous pourrez complètement perdre tout intérêt pour les autres formes d’expérience sexuelle dans l’espace numérique. Certains affirment même que l’expérience sexuelle en réalité virtuelle serait mieux qu’une véritable expérience physique. Là où ça pose problème, c’est que les accros risquent de perdre les notions de la réalité.
Mais en fin de compte, pour se divertir et se faire une petite branlette devant une vidéo chaude-bouillante, les vidéos de charme en VR est indéniablement la meilleure alternative.
Ça y est, on connait la date de la WWDC25. La marque à la pomme a révélé que cet événement se tiendra en ligne du 9 au 13 juin. En prime, un événement spécial au Apple Park permettra aux développeurs et étudiants de célébrer en personne le 9 juin. Découvrez tous les détails ici.
Apple vient d’annoncer les dates de sa 36e WWDC (la conférence annuelle d’Apple pour les développeurs). L’événement se déroulera en ligne du 9 au 13 juin 2025. Comme d’habitude, il sera possible de le visionner gratuitement. La conférence commencera par une keynote le 9 juin.
Au programme : des annonces de nouveautés, avec iOS 19, iPadOS 19, macOS 16, tvOS 19, watchOS 12 et bien entendu, le fameux visionOS 3. A titre de rappel, en 2023, lors de la WWDC, Apple a présenté le système d’exploitation visionOS et le casque Vision Pro.
Un an plus tard, à la WWDC 2024, la firme de Cupertino a présenté visionOS 2, une nouvelle version améliorée de son système. Et selon Mark Gurman, le journaliste spécialisé dans les informations sur Apple, visionOS 3 sera présenté à la WWDC 2025.
WWDC25 : des surprises en vue pour l’intelligence artificielle ?
Pour le moment, Apple n’a rien laissé filtrer sur ses prochaines révélations. Mais il est certain que la WWDC25 risque de faire parler d’elle, surtout sur le front de l’intelligence artificielle. Apple a parlé de ses ambitions IA en 2024. Et il y a fort à parier que cette année apportera son lot de nouveautés et de surprises.
« C’est avec enthousiasme que nous marquons une nouvelle édition mémorable de la WWDC aux côtés de notre communauté mondiale de développeurs », a affirmé Susan Prescott, vice-présidente des relations avec les développeurs chez Apple. « Nous avons hâte de présenter de nouveaux outils et technologies conçus pour stimuler leur créativité et favoriser l’innovation. »
Durant cette édition, il y aura des vidéos explicatives et des échanges en ligne avec les experts d’Apple. Les participants pourront suivre ces sessions sur l’application et le site Apple Developer, ainsi que sur YouTube.
Un « événement spécial » WWDC25 se tiendra en présentiel à Apple Park le 9 juin pour les développeurs et étudiants. Les informations pour candidater sont disponibles sur le site d’Apple, qui précise que les places sont limitées.
Les GAFAM se révèlent être au centre de toute activité numérique avec tous les avantages qu’il offre à ses utilisateurs. Il présente toutefois une face cachée qui, heureusement, peut être remédiée.
Les GAFAM profite bien à l’ensemble de la population mondiale, notamment dans les recherches et l’interaction avec le reste du monde. Dans cet article, vous allez découvrir le fonctionnement des GAFAM, les avantages et les inconvénients liés à leur utilisation. Nous ne manquerons pas de vous proposer des mesures alternatives pour que vous puissiez profiter d’internet sans que vos informations personnelles ne soient collectées à votre insu.
GAFAM : qu’est-ce que c’est ?
GAFAM est l’appellation qui englobe les géants américains de la technologie. Il s’agit de Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft.
Ces cinq sociétés ne sont pas uniquement les plus utilisées, ce sont aussi les plus cotées en bourse aux Etats-Unis. En effet, la capitalisation boursière pour les GAFAM s’élève à 4,5 milliards de dollars et ils sont tous côtés en NSADAQ.
Ici, on parle surtout de l’emprise de ces géants sur l’ensemble des secteurs d’activités en général. Les GAFAM à lui seul possède une mainmise sur la quasi-totalité des secteurs. Il possède même une grande influence sur le plan politique.
Plus connu pour sa grande capacité à collecter des données, les GAFAM semblent supplanter les gouvernements, même les plus puissants. D’où sa domination actuelle.
Ces géants de la technologie dominent par le numérique
Très récemment, le site de streaming Netflix est monté en puissance et a trouvé une place au sein de l’oligopole de la technologie.
Aussi, un nouvel acronyme, le FAANG, qui englobe Facebook, Apple, Amazon et Google, est né. Dans ce nouvel acronyme, Microsoft a cédé sa place à Netflix.
Netflix appartient cependant à un autre secteur, les services aux consommateurs. Une précision s’impose, Amazon, même avec son service de streaming Amazon Prime Vidéo, œuvre surtout dans le secteur du Cloud Computing et de l’e-commerce.
A côté du FAANG, un autre acronyme, le NATU : Netflix, Airbnb, Tesla et Uber, a gagné en popularité.
En Chine, on rencontre des firmes qui connaissent le même succès que les GAFAM, on parle du BATX : Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi.
Comment les GAFAM ont-ils conquis le monde ?
Le succès des GAFAM se traduit par la somme colossale qu’il représente, rien qu’en matière de cotation en bourse. Mais si cela est possible, c’est surtout grâce à l’acquisition de plusieurs sociétés, des startups notamment.
Voici quelques-unes de ces acquisitions qui ont fait les GAFAM ce qu’il est aujourd’hui :
Google
En 2005, Google a aussi acheté Android avec son système d’exploitation mobile pour 50 millions de dollars.
Google à lui seul a acquis plus d’une trentaine de sociétés d’IA, en l’occurrence DeepMind, en 2014 contre 625 millions de dollars. Dans le secteur du Cloud Computing, il a acheté Alooma, Looker, Elastifile et CloudSimple en une année.
Si Google se trouve à la tête de la cartographie numérique, c’est surtout grâce à l’acquisition de son principal concurrent Waze, en 2013. Sans parler de l’ensemble des outils inclus dans Google Drive qui résultent presque tous d’acquisitions.
Quant à YouTube, Google l’a acheté pour 1,6 milliard de dollars et ses revenus publicitaires résultent d’une acquisition d’une startup, Doubleclick.
Apple
Apple a acquis des entreprises spécialisées dans l’automatisation des logiciels et les assistants virtuels. À cet effet, la firme a acquis Siri en 2010. Le programme a été initié par le ministère de la Défense.
En moins d’une décennie, Apple a englouti 14 entreprises spécialisées dans l’IA, la reconnaissance faciale et le Machine Learning. L’acquisition de certaines sociétés proposant des services connexes fait également partie de sa politique d’expansion.
Par exemple, Apple a racheté Beats en 2014 pour une valeur totale de 3 milliards de dollars. Cela lui a permis de développer Apple Music, actuellement plus utilisé dans le secteur du streaming musical. Une telle acquisition a permis à ce géant de concurrencer Spotify.
En 2019, Apple a enregistré plus de 20 achats d’entreprises.
Facebook
Quant à Facebook (nouvellement Meta), ses débuts ont même commencé par le rachat de la société AboutFace dont le nom de domaine était « facebook.com ». Après cette acquisition, ce nom n’a pas changé et est devenu le réseau social le plus utilisé au monde.
Avec les 19 milliards de dollars que Marc Zuckerberg a dépensé pour acheter WhatsApp, Facebook a fait les plus grosses dépenses en matière d’acquisitions. Facebook a également entrepris d’autres achats comme celui d’Instagram en 2012 pour un milliard de dollars.
Snapchat est également dans son viseur bien que son fondateur, Evan Spiegel, ait refusé de le lui vendre pour 3 milliards de dollars. Les revenus publicitaires de Facebook résultent de deux achats, Atlas en 2013 et LiveRail en 2014.
La firme s’est également lancée sur le marché de la réalité virtuelle après l’acquisition d’Oculus (Meta actuellement) pour 2 milliards de dollars en 2014.
Amazon
Son histoire a commencé avec l’ouverture d’une librairie en ligne. Aujourd’hui, Amazon développe la plus grande plateforme d’achat qui rassemble des acheteurs du monde entier. L’acquisition de diverses entreprises du secteur, Zappos en l’occurrence, en est la première cause, mais pas seulement.
Amazon a conquis le secteur de l’alimentation en acquérant Whole Foods Market. L’achat a été réalisé avec 13,7 milliards de dollars. Si la firme a du succès dans le secteur de l’IoT grâce aux rachats d’entreprises de sécurité domestique et de routeurs. AWS, la branche de l’industrie du cloud d’Amazon résulte d’une série d’achats de startups. AWS a désormais atteint son apogée au niveau mondial.
Microsoft
Pour Microsoft, les plus connues des acquisitions sont celles de Skype et Bing.
Skype était, au départ, un service de messagerie instantané qui a réuni des millions d’utilisateurs. Il a été acheté par Microsoft, sans doute pour concurrencer Facebook Messenger et Google HangOut.
Aujourd’hui, Bing est devenu le moteur de recherche par défaut de Microsoft Bing. C’est ainsi le principal concurrent de Google. DuckDuckGo ou Dogpile ne possèdent qu’une faible part du marché.
Ce que les GAFAM savent de nous
Avec autant de violations de la vie privée, la plupart des internautes se demandent ce que les autres géants de la technologie savent vraiment sur eux.
Le site Security Baron a examiné les politiques de confidentialité des GAFAM, dont Facebook, Google, Apple, Twitter, Amazon et Microsoft. Il a créé une infographie pratique montrant les types de données que chacune de ces entreprises admet collecter. En fait, pour ces dernières, les données sont de l’argent.
Facebook se révèle être la plus gourmande en données. En effet, ce réseau social collecte diverses informations que ce soit sur le travail, les salaires, l’origine ethnique, les croyances religieuses. Il recueille également les données sur les publicités que l’utilisateur consulte, le numéro de téléphone de ce dernier, son adresse électronique, sa localisation voire le type d’appareil dont il se sert.
En revanche, Twitter est « relativement passif » en ce qui concerne la collecte de données. Le service de microblogging ne recense pas le nom, le sexe ou la date de naissance des utilisateurs. Toutefois, il enregistre leur numéro de téléphone, leur adresse électronique, leur fuseau horaire, les vidéos qu’ils regardent.
De leur côté, Google et Microsoft constituent les deux principaux acteurs de la collecte de données. Avec Cortana qui écoute et Gmail qui surveille tous les courriels, l’omniprésence de ces deux entreprises leur donne accès à une énorme quantité d’informations personnelles.
Une mainmise sur tous les secteurs
La plupart des révolutions politiques naissent de discussions sur Facebook et Twitter. Le printemps arabe, entre autres. Récemment, l’ancien président des États-Unis, Donald Trump, se retrouvait censuré des réseaux sociaux.
Puis, avec la crise sanitaire du covid -19, la distanciation sociale a amplifié le succès des GAFAM.
Facebook fait désormais figure de principal moyen de rencontre avec la famille. YouTube connaît son plus grand succès avec des millions d’abonnés qui y vont pour se divertir. Quant à la livraison d’articles, elle se fait facilement via Amazon.
Bien sûr, la majorité des appareils fonctionnant sous Windows, macOS, Android ou iOS.
Avec toutes les données collectées, ces géants connaissent le moindre mouvement et même les intentions les plus minimes. Ils peuvent les utiliser à des fins publicitaires ou pour influencer votre comportement d’achat.
De là à dire que les GAFAM sont devenus une arme redoutable pour prendre le pouvoir et que la crise du covid -19 n’a fait qu’accentuer sa domination.
La bataille entre Apple et Facebook se poursuit dans le métavers. Mark Zuckerberg prend aujourd’hui la tête de la bataille pour le métavers parce qu’il est déterminé à empêcher Apple de dominer l’après-smartphone. Selon la Silicon Valley, cette révolution sera un mélange de casques et de lunettes, d’applications de réalité mixte et de présence à distance.
Meta, anciennement connu sous le nom de Facebook, investit désormais massivement dans toutes sortes de matériels. Il s’agit d’appareils de réalité virtuelle, de réalité augmentée, de systèmes pour la maison intelligente et autres. Parmi les leaders de la GAFAM capables d’intégrer véritablement le métavers, Apple se distingue par sa capacité à initier les consommateurs sceptiques à de nouvelles méthodes informatiques. Apple s’apprête à prendre la tête du mouvement vers le métavers avec son propre appareil AR portable à la fin de l’année prochaine.
Si la migration vers le métavers a été lente, elle s’accélère. Parmi les concurrents de la GAFAM sur la piste de la virtualisation de tous se trouvent également Alphabet. Ce dernier intègre désormais la réalité augmentée dans son moteur de recherche Google. Amazon a également commencé à inclure des affichages de produits en AR dans certaines de ses offres de commerce électronique.
Comment se prémunir contre l’emprise des GAFAM sur le net ?
Sans conteste, cette oligopole ne va pas cesser d’étendre son empire. Il y a toutefois des alternatives afin d’y remédier.
L’idéal c’est de laisser de côté tous les produits des GAFAM afin d’éviter que vos échanges électroniques et vos conversations ne soient pas surveillés. Protonmail ou Tutanota offrent des services de messagerie cryptés.
Les outils de cryptage PGP permettent aussi de chiffrer vos conversations.
Pour sécuriser vos conversations via les messageries instantanées, utilisez plutôt Signal et optez pour Gab ou Parler à la place de Twitter et Facebook.
Quant au streaming vidéo, il est conseillé d’utiliser Odysee ou Rumble. Vimeo peut aussi héberger vos vidéos au lieu de YouTube.
Enfin, pour vos achats, privilégiez le commerce local. Non seulement les produits sont frais mais vous contribuez aussi au développement de l’économie locale. Tout cela en échappant à l’emprise des GAFAM.
L’Union Européenne face aux GAFAM
Ces géants américains de la technologie sont aussi sujets à controverse au sein de l’Union Européenne. Cette dernière s’oppose en particulier à l’utilisation du Big Data par les GAFAM en vue de renforcer leur pouvoir sur le marché mondial.
Pourquoi et comment l’Union Européenne s’oppose aux GAFAM ?
L’Union Européenne condamne la façon dont les GAFAM accaparent les marchés mondiaux. Raison pour laquelle ce vieux continent a intenté plusieurs procès contre les firmes du GAFAM.
L’Union Européenne a ainsi gagné au procès contre Microsoft pour des pratiques anticoncurrentielles. Ce dernier a été condamné à une peine d’amende de 2,2 milliards d’euros.
Le vieux continent a réprimandé Google pour avoir utilisé des informations personnelles à des fins commerciales. Google a été condamné à une peine d’amende de 50 millions d’euros.
Les amendes infligées à Google s’élèvent à 10 milliards de dollars depuis 2010 pour 3 procès différents.
Amazon est aujourd’hui mal-vu en Europe en raison de sa politique de restriction géographique et revendique l’uniformisation des produits dans tout le continent.
Quelle politique anti-GAFAM l’Union Européenne adopte-t-elle ?
Depuis 2020, l’Union Européenne envisage de concurrencer les GAFAM. Pour commencer, celle-ci va créer un « marché unique européen des données » qu’elle pense pouvoir mettre en place d’ici 2030.
Cette politique vise à faire circuler librement les données dans toute l’étendue de l’Europe. Ce qui va faciliter l’exploitation de ces données par toutes les entreprises et créer des géants européens de la technologie tout en assurant une concurrence saine.
Avec l’initiative « Open Data », l’Union Européenne envisage la réutilisation des données de grande valeur.
L’Europe va également établir une nouvelle infrastructure cloud qui prendra en charge cette phase de réutilisation en investissant 4 à 6 milliards d’euros.
Pour ce qui est de l’IA, 20 milliards d’euros par an vont être investis pour la décennie à venir à cette fin, tout en respectant l’éthique humaine et l’impartialité.
L’authentification biométrique reste encore loin d’être approuvée au sein du vieux continent.
Peut-on faire vaciller les GAFAM ?
Le succès de GAFAM est si grand que certains pensent qu’il est impossible de l’arrêter. Or, ces géants sont menacés par des concurrents chevronnés et présentent leurs propres vulnérabilités.
Par exemple, Google a été le premier et le seul moteur de recherche à atteindre une échelle massive. Cependant, il a accumulé une longue liste d’échecs, du smartphone Nexus aux Google Glass. Ses tentatives visant à défier les autres géants de la technologie ont échoué ou ont pris beaucoup de retard. Google+ n’a été qu’un défi éphémère pour Facebook, et Google Cloud reste loin derrière Azure de Microsoft dans la lutte contre Amazon Web Services.
Facebook, Méta, l’entreprise bénéficie du fait d’être le plus grand réseau social du monde, et a, pour la plupart, investi judicieusement en interne. Mais l’entreprise fait l’objet de critiques croissantes pour avoir contribué à la diffusion de fausses informations et de contenus haineux en ligne. Elle pourrait ainsi perdre sa crédibilité auprès des utilisateurs, des annonceurs et de la nouvelle génération de réseaux sociaux.
Amazon doit faire face non seulement à des opérateurs historiques établis, mais aussi à des start-ups ciblées, comme les producteurs de produits de consommation directe. Le commerce de détail reste un secteur difficile et très concurrentiel, avec des avantages durables limités.
Les GAFAM et les enjeux environnementaux
Les géants de la technologie jouent un rôle crucial dans l’impact environnemental global en raison de leur taille et de leurs opérations à grande échelle. Bien que ces entreprises aient initié des efforts significatifs pour réduire leur empreinte carbone, plusieurs défis restent à relever.
Google s’est engagé à fonctionner entièrement avec de l’énergie renouvelable, atteignant cet objectif pour ses opérations en 2017. Apple, quant à lui, utilise déjà 100 % d’énergie renouvelable pour ses installations mondiales et pousse ses fournisseurs à adopter des pratiques similaires. Microsoft a annoncé son ambition de devenir « carbone négatif » d’ici 2030, un objectif ambitieux qui inclut la suppression de tout le carbone que l’entreprise a émis depuis sa création en 1975.
Amazon, malgré ses initiatives comme le « Climate Pledge », fait face à des critiques pour l’empreinte carbone de son vaste réseau logistique et ses centres de données énergivores. Facebook (Meta) a également investi dans les énergies renouvelables, mais la consommation énergétique de ses centres de données et ses infrastructures reste une préoccupation majeure.
En somme, bien que les GAFAM aient pris des mesures pour atténuer leur impact environnemental, l’ampleur de leurs opérations présente des défis continus en matière de durabilité. Une vigilance accrue et des innovations constantes sont nécessaires pour aligner leurs pratiques commerciales avec les objectifs environnementaux mondiaux.
À quels défis les GAFAM font-ils face en 2025 ?
L’Union Européenne, avec le Digital Markets Act et le Digital Services Act, impose des contraintes significatives sur leurs pratiques commerciales en 2025. Ces régulations forcent les entreprises à repenser fondamentalement leur approche de la gestion des données utilisateurs et de la concurrence.
par ailleurs, la question de la protection de la vie privée devient de plus en plus centrale en ce début de l’année 2025. Apple, Google et Meta doivent constamment adapter leurs modèles publicitaires face aux demandes grandissantes de transparence et de contrôle des utilisateurs sur leurs données personnelles. Cette évolution impacte directement leurs revenus publicitaires et nécessite le développement de nouvelles solutions respectueuses de la vie privée.
De son côté, l’intelligence artificielle représente à la fois une opportunité et un défi majeur. Microsoft et Google investissent massivement dans ce domaine, mais doivent gérer les préoccupations éthiques et les risques associés au développement de l’IA. La course à l’innovation dans ce secteur intensifie également la concurrence pour les talents et les ressources.
En outre, les centres de données massifs des GAFAM sont scrutés pour leur impact écologique. Ils sont en effet amenés à accélérer leur transition vers des énergies renouvelables et à développer des solutions plus écologiques. Toutefois, la rétention des talents devient de plus en plus complexe.
La bataille des casques XR s’annonce musclée ! En effet, Vivo se lance dans la réalité mixte avec son tout nouveau casque, le Vivo Vision. Cet appareil a été dévoilé en Chine mardi, lors du Forum de Boao pour l’Asie 2025. Et il rappelle furieusement l’AppleVision Pro, sorti en 2024.
Vivo entre dans la course à la réalité mixte avec son tout premier casque, le Vivo Vision. Présenté lors du Forum de Boao pour l’Asie, l’appareil ressemble beaucoup à l’Apple Vision Pro (même le nom Vision a été repris). Pour l’instant, c’est juste une mise en bouche : la vraie annonce et la sortie sont attendues pour la mi-2025.
Le Vivo Vision affiche un look qui rappelle un masque de ski. Il présente une finition bleue et un bandeau avec une seule boucle. Comme l’Apple Vision Pro, il embarque une visière remplie de capteurs (probablement pour des expériences en AR et VR). Deux petits capteurs sous la monture pourraient même suivre les mouvements des mains et des doigts.
D’après l’entreprise, le lancement du Vivo Vision a pour objectif de renforcer le calcul spatial en temps réel en vue de son intégration dans la robotique grand public.
Vivo Vision : un futur rival de taille pour Meta, mais quel OS sous le capot ?
On s’intéresse particulièrement au système d’exploitation du Vivo Vision, notamment s’il tourne sous Android XR. Si c’est le cas, il devrait arriver après le casque Android XR de Samsung, prévu pour plus tard cette année. Mais s’il fonctionne avec un autre système, il pourrait bien être lancé avant celui de Samsung.
Malheureusement, pour l’instant, les spécifications techniques du Vivo Vision reste encore un mystère. On connaît son nom et son look, mais pour le reste, c’est le flou total ! Et personne n’a encore eu la chance de l’essayer en vrai.
Avant de le lancer à grande échelle, Vivo veut tester son casque de fond en comble. Des essais seront réalisés dans plusieurs villes chinoises pour peaufiner le produit et récolter des avis. Une décision plutôt maligne, car il vaut mieux être sûr de son coup que de risquer de vendre un produit pas encore au point !
Une chose est sûre : Si ce casque arrive à allier qualité et prix raisonnable, il pourrait bien faire de l’ombre à Meta là où le Vivo Vision et le Quest 3 seront en compétition.
Plongez dans l’univers réaliste et tactique d’Onward, qui dévoile sa mise à jour 2.0 tant attendue. Transportant les joueurs vers de nouvelles dimensions immersives, cette mise à jour ne se contente pas de simples retouches, mais améliore profondément l’expérience de combat. Imaginez vos armes dotées d’une précision graphique inégalée, chaque détail visuellement éclatant, transformant votre ... Lire la suite
Avec House of Erika, Erika Lust, reine de la pornographie féministe veut aller encore plus loin. Dans cette installation immersive, l’érotisme est une véritable œuvre d’art. Ici, on laisse de côté les préjugés. C’est une aventure sans filtres qui vous attend. On vous invite à découvrir comment se déroule l’expérience.
Erika Lust, c’est la pro de mélanger art et érotisme. Son projet House of Erika Lust (2024) est une installation immersive en VR et réalité augmentée, présentée à Barcelone. C’est une façon originale de se lancer dans l’univers du sexe, mais avec une belle touche artistique.
Les sites de porno en réalité virtuelle sont nombreux en ligne, mais aucun n’égale VRPorn.com, qui trône en pole position de notre top des meilleurs sites de porn VR. Mieux encore, en cliquant sur le lien suivant, vous économiserez jusqu’à -78% sur le prix de l’abonnement. Alors, profitez-en !
J’en profite
Dès l’entrée, on nous file un masque de bal et on nous dit de laisser nos tabous à la porte. La première salle, c’est l’éclate avec des films XConfessions, où ça chauffe un peu partout. Après, place à la réalité virtuelle : on se retrouve dans un manoir interactif, où chaque pièce cache son petit truc. Un portrait qui devient érotique, un miroir qui dévoile un couple en action… tout un programme !
L’exploration se fait avec une vingtaine d’autres visiteurs, chacun en avatar flou. Les pièces changent toutes les cinq minutes, et présentent toujours de nouvelles découvertes. Par exemple, une sculpture qui explose en scènes torrides ou un donjon avec une scène BDSM, où la dominatrice prend le temps de vérifier que son soumis va bien entre deux coups de fouet.
House of Erika Lust : trois Ambiances pour réinventer le porno
Les participants ont le choix entre trois ambiances : douce, audacieuse ou « surprenez-moi », chacune modifiant l’intensité des scènes. Après un tour en mode « doux », l’expérience se fait plus audacieuse avec des scènes plus osées. En mode « surprenez-moi », il n’y a pas beaucoup de surprises, mais l’interactivité reste amusante. La visite se conclut par une projection immersive des œuvres les plus artistiques de Lust. C’est un moment de réflexion partagée sur le porno en tant qu’art.
L’exposition House of Erika Lust transporte les visiteurs dans un tourbillon de genres et de sexualités. L’expérience est à la fois personnelle et partagée. Elle réveille l’esprit des projections publiques de l’âge d’or du porno, dans un monde où le contenu adulte est de plus en plus restreint.
Lust, à travers son œuvre, souhaite redonner à la pornographie son statut d’art, avec une valeur esthétique et conceptuelle. Son but ? Ne pas simplement plaire, mais aussi faire réfléchir. L’installation pousse chacun à aborder la sexualité de façon critique, sans tabous.