À la tête de la marque japonaise Tenga, Koichi Matsumoto s’attaque à un tabou tenace : le bien-être sexuel des hommes. Depuis vingt ans, il milite pour une sexualité décomplexée, loin de la honte et des clichés, où le plaisir personnel a toute sa place dans notre équilibre quotidien.
Bouger, bien dormir et rester zen sont désormais des piliers incontournables pour se sentir bien. Pourtant, le plaisir sexuel reste souvent relégué au second plan, comme s’il n’avait aucun lien avec notre santé. Or, même si l’on parle aisément de sport ou de nutrition, on préfère généralement garder pour soi ce qui touche au plaisir intime. Et pourtant, avouons-le, nous y pensons tous, non ?
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Parler de bien-être sexuel est encore un tabou, notamment entre hommes. Selon une étude de LELO, moins de la moitié d’entre eux osent en discuter avec leurs amis, et le sexe en solo est encore plus discret. Pourtant, nombreux sont ceux qui utilisent des sextoys sans jamais l’avouer. C’est précisément ce que Tenga souhaite changer.
Depuis 20 ans, son fondateur, Koichi Matsumoto, milite pour une sexualité assumée, débarrassée de toute honte ou malaise. Pour lui, se faire plaisir est aussi naturel que manger. En deux décennies, Tenga a largement contribué à faire évoluer les mentalités au Japon. En effet, tandis qu’en 2005 très peu d’hommes utilisaient des masturbateurs, ils sont aujourd’hui près de 40 % à avoir testé un produit de la marque. De plus, au Japon, l’offre se concentre majoritairement sur les sextoys masculins, contrairement au Royaume-Uni, où ceux-ci restent rares en magasin.
Explorer la sexualité autrement grâce aux sextoys signés Tenga
Selon Matsumoto, l’Occident accuse encore un certain retard sur la question de la masturbation masculine. Heureusement, la pandémie a servi de catalyseur : confinés, beaucoup ont redécouvert leur sexualité et les bienfaits du plaisir en solo. Ainsi, les ventes de sextoys ont explosé un peu partout dans le monde.
Dans ce contexte, Matsumoto souhaite repenser entièrement la conception des sextoys. Pour lui, il est grand temps de sortir des stéréotypes et de proposer des objets accessibles à tous, qui ne soient pas exclusivement centrés sur les organes féminins. Son but est d’aider chacun à affirmer son désir sans culpabilité, grâce à des produits à la fois simples, pratiques et ludiques.
Chez Tenga, chaque création possède son univers propre. Certains s’inspirent de jouets d’enfants. D’autres misent sur des formes originales et des couleurs douces. Tout est pensé pour surprendre, faire sourire et surtout, inviter chacun à explorer sa sexualité avec légèreté.
La réalité virtuelle évolue vite, et beaucoup ont été particulièrement intrigués par le Bigscreen Beyond 2. Son suivi oculaire précis, son scan facial sur mesure et sa légèreté ont interpellé de nombreux utilisateurs. Au fait, ce casque pourrait bien redéfinir notre façon d’expérimenter la VR. Mais est-ce vraiment le futur, ou juste un joli gadget ? Je vous partage mon analyse de ses innovations et ce que ça signifie pour la réalité virtuelle.
Bigscreen Beyond 2 : Une nouvelle façon de vivre la VR
Pourquoi Bigscreen Beyond 2 attire tous les regards ?
Pour être honnête, ce qui m’a le plus frappé avec Beyond 2, c’est sa stratégie technologique ambitieuse. Le suivi oculaire, par exemple, n’est pas nouveau, mais la précision et la rapidité avec lesquelles il est intégré ici changent tout. Ce n’est plus un gadget secondaire, mais un pilier de l’expérience immersive. De plus, le scan facial permet d’ajuster le casque au millimètre près, ce qui promet un confort inégalé. Clairement, Bigscreen mise sur une ergonomie intelligente qui pourrait faire oublier les lourdeurs habituelles des casques VR.
La VR en 2025, entre promesses et stagnation
En 2025, la réalité virtuelle a franchi de nombreuses étapes, mais je trouve que le secteur reste encore limité par certains freins. Beaucoup de casques sont puissants, mais lourds et inconfortables, ou bien manquent d’interactions naturelles. Les innovations sont souvent techniques mais pas toujours centrées sur l’utilisateur. Bigscreen Beyond 2 arrive dans ce contexte comme une bouffée d’air frais. Il met la barre sur ce qui compte vraiment : la sensation d’immersion et le confort prolongé.
Eye-tracking et scan facial, immersion ou intrusion ?
Le suivi oculaire est-il un gadget ou un vrai game-changer ?
Au départ, je voyais le suivi oculaire comme un simple gadget marketing. Mais après avoir testé Beyond 2, j’ai réalisé que c’est bien plus que ça. Le casque adapte les graphismes selon où vous regardez, ce qui améliore la qualité visuelle sans sacrifier les performances. En plus, cela rend les interactions beaucoup plus naturelles, comme si le casque « comprenait » vos intentions. Pour moi, c’est clairement un vrai game-changer, qui pourrait transformer non seulement le gaming mais aussi la formation, la médecine, et bien plus encore.
Le scan facial sur mesure, la fin du « one-size-fits-all » ?
Ce qui m’a particulièrement marqué, c’est le scan facial qui permet au casque de s’ajuster parfaitement à votre morphologie. Fini le casque qui serre ou qui glisse, vous bénéficiez d’un confort sur mesure. Cette personnalisation change complètement la donne, surtout pour les longues sessions VR où le moindre inconfort peut vite gâcher l’expérience. Je trouve que c’est une vraie avancée qui devrait inspirer les autres fabricants à revoir leurs standards.
Ce que cela change concrètement pour les joueurs et créateurs de contenu
Pour les joueurs, cela signifie une immersion plus réaliste et moins de distractions liées au confort ou à l’ergonomie. Pour les créateurs, le scan facial permet de capturer des expressions plus fidèles. Des expressions qui ouvrent la voie à des avatars hyper-réalistes ou des interactions sociales bien plus riches en VR. Personnellement, j’ai hâte de voir comment ces outils vont transformer non seulement le jeu, mais aussi la communication et la création dans les mondes virtuels.
Moins de 200 grammes : Le pari de la légèreté extrême
Pourquoi le poids compte (plus que vous ne le pensez) ?
Quand j’ai vu que le Bigscreen Beyond 2 pesait moins de 200 grammes, j’ai d’abord cru à une erreur. Un casque VR si léger, ça paraît presque trop beau pour être vrai ! Pourtant, c’est bien réel, et à mon avis, ça change tout en termes de confort et d’expérience utilisateur. Le poids, souvent sous-estimé, est en fait un critère important pour profiter pleinement de la VR sans fatigue.
Au fait, lors de longues sessions, un casque lourd devient vite une source de gêne, voire de douleurs cervicales. Avec Beyond 2, la légèreté extrême permet de porter le casque plus longtemps sans ressentir cette fatigue. Ça donne vraiment l’impression de « flotter » dans l’univers virtuel, plutôt que de porter un poids sur la tête.
Comparaison avec les poids lourds du marché
J’ai comparé Beyond 2 avec les casques les plus populaires aujourd’hui, comme le Meta Quest Pro ou l’Apple Vision Pro, et la différence est flagrante. Ceux-ci pèsent souvent entre 500 et 600 grammes, soit trois fois plus ! Cela ne veut pas dire qu’ils ne sont pas performants, mais sur le plan du confort, Bigscreen marque un point décisif. En particulier pour les utilisateurs sensibles au poids ou ceux qui veulent simplement profiter de la VR sans contrainte.
Le vrai avantage de Beyond 2 c’est le confort
Ce qui me séduit vraiment, c’est que ce poids plume ne sacrifie rien à la qualité. Le casque reste stable, bien équilibré, et la sensation de légèreté contribue à réduire la fatigue oculaire et corporelle. Pour moi, c’est un vrai pas vers une VR plus accessible et plus agréable au quotidien. Je suis convaincu que cette légèreté va devenir un critère incontournable pour les futurs casques.
Que vaut vraiment Beyond 2 en termes de tech specs, compatibilité et performances ?
Des specs à la hauteur de ses promesses ?
Sur le papier, Beyond 2 propose deux écrans micro-OLED avec une résolution de 5120 x 2560 pixels. Pour faire simple, c’est net, fluide et sans l’effet « porte-moustiquaire » qu’on trouvait encore sur pas mal de casques il y a peu. J’ai été bluffé par la finesse de l’image, et surtout par la densité de pixels. Les noirs sont profonds, les couleurs sont éclatantes, et la latence est quasi inexistante. Ce casque n’a certainement pas à rougir face aux ténors du marché.
Quelle compatibilité avec les plateformes et accessoires existants ?
Là, j’avoue que j’avais un peu peur. Un casque aussi « custom » pouvait facilement tomber dans le piège de l’écosystème fermé. Heureusement, Beyond 2 est compatible avec SteamVR, ce qui ouvre la porte à des centaines d’expériences, jeux et applis. Par contre, il n’intègre pas de tracking inside-out ni de contrôleurs fournis. Il faut donc déjà posséder ou acheter des stations de base et manettes compatibles. C’est un frein pour certains, mais pour ceux qui sont déjà équipés (comme moi), c’est un non-problème.
La hype est-elle justifiée ? Premiers retours et benchmarks
Les premiers testeurs (et moi aussi, je dois dire) sont globalement très enthousiastes. Les performances sont stables, la qualité visuelle est au top, et l’expérience est fluide même dans les jeux gourmands. Mais attention, pour en profiter pleinement, il faut un PC assez musclé. Ce casque s’adresse clairement aux passionnés exigeants plus qu’aux curieux du dimanche. La hype est donc méritée, mais elle s’accompagne d’un certain niveau d’exigence technique et financière.
Bigscreen Beyond 2 : Pour qui, pour quoi ?
Grand public ou niche élitiste ?
Soyons honnêtes, Beyond 2 n’est pas un casque tout-en-un prêt à l’emploi comme un Meta Quest 3. Il s’adresse plutôt à des passionnés de VR, des gamers exigeants ou des pros de la création 3D. Entre le scan facial obligatoire, le besoin d’un bon PC VR et l’absence de contrôleurs inclus, on sent qu’il cible une niche… élitiste, oui, mais bien assumée. Moi, ça me parle ! Je préfère un casque ultra-spécialisé qu’un produit tiède censé plaire à tout le monde.
VR gaming, cinéma immersif, productivité : Les usages envisagés
J’ai testé Beyond 2 aussi bien dans des jeux que dans des applis de cinéma immersif, et c’est impressionnant. Grâce à la qualité d’image et au confort, on peut regarder un film ou jouer pendant des heures sans fatigue. Pour ceux qui utilisent la VR pour travailler (modélisation, design, prototypage) le suivi oculaire et le rendu visuel précis sont aussi de vrais atouts. Ce n’est pas un jouet, c’est un outil de haute précision avec une expérience utilisateur peaufinée.
Tarifs, disponibilité, et options de personnalisation
Là, on entre dans le vif du sujet ! Le casque coûte environ 1 300 $, et ce, sans les stations de base ni les manettes. Ajoutez à ça un PC suffisamment puissant, et on monte vite à un budget sérieux. Mais il faut aussi noter un point très rare : chaque casque est fabriqué sur mesure après le scan de votre visage, ce qui explique en partie le prix. C’est un luxe, certes… mais un luxe fonctionnel. Perso, je trouve que c’est cher mais pas délirant vu la qualité proposée.
Le futur de la VR passe-t-il vraiment par Bigscreen Beyond 2 ?
Les concurrents doivent-ils s’inquiéter ?
Franchement, oui, du moins ceux qui visent le haut de gamme. Apple, Meta ou HTC proposent de très bons casques. Mais aucun n’offre à la fois ce niveau de personnalisation, cette légèreté extrême et un tel souci du détail. Beyond 2 n’est peut-être pas une « menace grand public », mais il pousse clairement les limites, et ça pourrait forcer les gros acteurs à revoir leurs priorités. Je vois ça comme une saine pression pour le marché.
Les limites encore présentes : Autonomie, champ de vision, accessoires
Tout n’est pas parfait, évidemment. Le champ de vision est correct, mais pas révolutionnaire. Il manque encore certains éléments tout-en-un (pas de batterie, pas de tracking intégré), et il faut une configuration PC solide. Si vous cherchez la simplicité, ce casque n’est pas fait pour vous. Et perso, même si je suis conquis, je pense qu’on aurait pu aller un peu plus loin côté FOV ou modularité. Il reste des marges de progression.
Viture dévoile quatre nouvelles lunettes d’affichage. Cela inclut un modèle haut de gamme nommé The Beast, pensé comme une réponse directe à Xreal. Ces lunettes bénéficient d’un champ de vision élargi, d’une luminosité impressionnante et d’une résolution plus fine que celle des concurrents.
Viture est aujourd’hui le numéro deux mondial des lunettes d’affichage, juste derrière Xreal. En décembre, ce dernier a lancé sa gamme Xreal One. Ce mois-ci, Viture contre-attaque avec ses propres nouveautés, bien décidée à ne pas rester en retrait.
Viture vient de présenter quatre nouvelles lunettes d’affichage à savoir Luma, Luma Pro, Luma Ultra et The Beast. Chaque modèle vise un public différent, du curieux au passionné de réalité mixte. Luma est le modèle d’entrée de gamme, simple et accessible, mais sans suivi de mouvements intégré. Ce gadget est proposé à 400 $ dès septembre.
Luma Pro ajoute une caméra couleur centrale pour du suivi 6DoF basique via l’appli maison SpaceWalker. Il est déjà disponible à 500 $. Ce produit se défend très bien face à la Xreal One. Toutes deux utilisent des écrans microOLED avec des lentilles spéciales. Mais la Luma Pro brille un peu plus, avec une luminosité de 1 000 nits contre 600 nits, et une résolution légèrement meilleure, 1920×1200 pixels par œil contre 1920×1080.
Luma Ultra, plus haut de gamme, embarque des caméras fisheye en noir et blanc pour un suivi 6DoF plus précis, compatible avec Windows, Mac ou via le Viture Pro Neckband. Ce petit bijou de la technologie arrivera en août à 600 $. Qu’en est-il de The Beast ?
Viture présente The Beast son modèle star aux performances impressionnantes
The Beast, c’est le modèle star de Viture. Son nom annonce la couleur. Prévue pour octobre à 550 $, cette lunette d’affichage combine plusieurs atouts. Elle propose un champ de vision diagonal de 58° et une luminosité de 1 250 nits, soit les meilleures valeurs de la gamme.
Elle intègre aussi la 3DoF en natif, tout comme la Xreal One. En plus, elle embarque une caméra couleur centrale pour activer un suivi 6DoF de base via l’appli SpaceWalker. En revanche, pas de caméras fisheye latérales comme sur la Luma Ultra. Ce modèle mise tout sur l’efficacité, sans s’encombrer de gadgets.
Avec ces quatre nouveaux modèles, Viture montre clairement qu’elle compte bien rester dans la course et séduire tous les profils. Le marché des lunettes d’affichage ne manque pas de surprises cette année.
Profitez vite des promotions estivales pour vous offrir le Meta Quest 3S à prix réduit ! Actuellement, ce casque de réalité virtuelle bénéficie d’une belle remise allant jusqu’à 70 €. Mais attention, cette offre ne durera pas.
« Que vous restiez au frais chez vous cet été ou que vous ayez envie de vous évader sans bouger, c’est le moment idéal pour se lancer dans la réalité virtuelle avec le Meta Quest 3S. Les modèles 128 Go et 256 Go sont actuellement en promotion, avec des réductions attractives. Vous pouvez même incarner le légendaire Chevalier Noir directement sur meta.com. Attention toutefois : ces offres spéciales ne durent que quatre jours et prendront fin le 24 juillet. », peut-on lire sur le blog officiel de Meta.
Les Meta Quest Summer Savings ou Promotions estivales Meta Quest offrent des réductions sur une sélection de jeux et d’applications pour les casques VR Meta Quest. Les réductions vont jusqu’à 75% sur des titres populaires et des packs.
Cet été, le très populaire Meta Quest 3S bénéficie tout particulièrement de belles réductions. Le modèle 256 Go est proposé à 369,99 € au lieu de 439,99 €, soit une économie de 70 €. De son côté, la version 128 Go est disponible à 279,99 € au lieu de 329,99 €, ce qui représente 50 € de remise.
La promotion estivale Meta Quest propose Batman, Horizon+ et des accessoires en promo
Meta confirme que les bonus classiques du Quest 3S restent valables : Batman: Arkham Shadow et 3 mois d’Horizon+ sont inclus. Enfiler le costume du Chevalier Noir, c’est une belle façon de découvrir tout ce que le Meta Quest 3S a à offrir. Dans ce jeu, on explore la ville en vue subjective, on mène l’enquête comme le plus grand des détectives, on surprend les criminels depuis les ombres et on leur règle leur compte avec des enchaînements bien placés.
Une fois la mission terminée, place à d’autres aventures grâce à l’abonnement Horizon+. Trois mois d’essai sont inclus avec le casque, pour accéder directement à une bibliothèque de plus de 30 jeux à télécharger. A cela s’ajoute des réductions spéciales, deux jeux offerts chaque mois à conserver, et de nombreuses expériences en réalité mixte.
Les Promotions estivales Meta Quest, ce n’est pas que le casque qui est en réduction. Les accessoires du Quest 3 et 3S aussi profitent de bons prix. On trouve notamment la sangle Elite avec batterie, la sangle Elite classique, ainsi que des étuis rigides ou compacts pour transporter tout ça facilement.
En quelques décennies, les MMORPG en réalité virtuelle a atteint un niveau d’immersion remarquable ces dernières années. Ces jeux combinent magistralement la profondeur des mondes persistants traditionnels avec l’interaction physique propre à la VR. Ils créent ainsi des expériences uniques où chaque geste compte. Voici cinq titres gratuits qui se distinguent par leur approche innovante et leur qualité technique.
Bienvenues dans l’univers des MMORPG VR
Un MMORPGVR ou Massively Multiplayer Online Role-Playing Game en Réalité Virtuelle représente l’évolution la plus immersive du jeu en ligne. Il combine les principes traditionnels des MMORPG avec les technologies de réalité virtuelle. L’ensemble crée une expérience interactive où les joueurs ne contrôlent plus simplement un avatar, mais l’incarnent physiquement. En format classique, les interactions se limitent à des commandes clavier-souris ou manette.
Une version VR plonge les joueurs dans un monde persistant en trois dimensions. Chaque mouvement, chaque geste et chaque regard influence directement l’expérience de jeu. Cette immersion totale repose sur l’utilisation d’un casque VR comme le Quest 3s, le Valve Index ou le PlayStation VR2. Elle se amtérialise également par des contrôleurs manuels capables de détecter les mouvements précis des mains, des bras et parfois même du corps entier.
Une autre dimension grâce à la réalité virtuelle
Techniquement, un MMORPG VR fonctionne comme un serveur en ligne. Il héberge un monde virtuel persistant, accessible simultanément par des centaines, voire des milliers de joueurs. La différence majeure réside dans la manière dont les joueurs interagissent avec cet univers. Dans un MMORPG traditionnel comme World of Warcraft, les actions se résument à des clics ou à des combinaisons de touches. En VR, ces interactions deviennent physiques.
Ainsi, tirer à l’arc nécessite de véritablement tendre la corde, manier une épée demande des mouvements réalistes. La communication avec les autres joueurs passe par la reconnaissance vocale ou les gestes naturels. Cette dimension physique ajoute une couche de profondeur inédite aux mécaniques de jeu classiques, comme les combats, l’artisanat ou l’exploration.
L’aspect social du gaming reste intact
L’un des aspects les plus révolutionnaires des MMORPG VR réside ainsi dans leur approche du social. Dans un jeu traditionnel, les interactions entre joueurs se limitent du texte ou à des émotes prédéfinies. En VR, les joueurs peuvent donc discuter naturellement grâce au micro intégré. Ils utilisent aussi leurs mains pour pointer des objets ou faire des gestes.
Les participants peuvent même interpréter des expressions faciales si le casque est équipé de suivi oculaire. Certains jeux, comme Freeland VR, poussent cette dimension sociale encore plus loin et permet aux joueurs de créer des économies virtuelles dynamiques. Chaque participant peut carrément se spécialiser dans un métier (forgeron, commerçant, guérisseur) et contribuer activement à l’écosystème du jeu.
Différents modes de jeu au choix
Contrairement aux jeux VR solo, une plateforme MMORPG VR doit gérer des centaines de joueurs en temps réel. Elle doit maintenir une latence minimale pour éviter le « motion sickness » (mal des transports virtuel). Les développeurs doivent également optimiser les graphismes pour que le jeu reste fluide malgré la haute résolution requise par les casques VR.
Des solutions comme le « cross-play » (compatibilité entre différentes plateformes) et le « cloud gaming » (streaming du jeu pour réduire la puissance requise) sont utilisées pour élargir l’accessibilité. Les MMORPG VR gratuits, comme Zenith: The Last City ou OrbusVR, adoptent généralement un modèle économique basé sur les cosmétiques (skins, vêtements virtuels) plutôt que sur le « pay-to-win« , afin de préserver l’équité entre joueurs. Certains proposent des extensions payantes. Ils ajoutent du contenu substantiel (nouvelles zones, quêtes, classes), mais le cœur du jeu reste accessible sans investissement financier.
5.A Township Tale, un sandbox artisanal immersif
A Township Tale est en accès anticipé depuis 2019, et bien qu’il ne soit pas encore totalement sorti, il a connu de nombreuses évolutions. Le jeu se distingue par son approche unique, où l’artisanat et la survie coopérative sont au cœur de l’expérience. En 2024, le jeu a introduit une mise à jour majeure, permettant aux joueurs de s’adonner à l’élevage d’animaux, ajoutant une nouvelle dimension à l’interaction avec l’environnement et aux mécanismes de jeu.
Les développeurs d’A Township Tale ont également continué à travailler sur des améliorations constantes, notamment en termes de gameplay coopératif, de physique réaliste et d’interaction dans le monde virtuel. L’une des caractéristiques uniques de ce MMORPG est la construction physique et la nécessité de maîtriser des gestes précis pour réaliser des tâches comme forger des armes, récolter des ressources, ou même marteler le métal.
4. OrbusVR – le pionnier réinventé
D’abord sorti initialement en 2017 par Ad Alternum, OrbusVR a marqué l’histoire comme l’un des premiers MMORPG VR complets. Sa refonte en 2022 sous le nom OrbusVR: Reborn lui a offert un nouveau souffle avec un moteur graphique modernisé et des mécaniques de jeu repensées. Disponible sur SteamVR et Oculus, ce titre se distingue notamment par son système de sorts révolutionnaire. Les joueurs doivent tracer des runes précises dans les airs pour lancer leurs incantations. Cette mécanique demande donc pratique et précision.
Avec un level cap fixé à 30, l’endgame se concentre sur des raids exigeants pour 10 joueurs. Des mécaniques complexes comme la destruction d’objets environnementaux permettent d’affaiblir les boss. Le système de classes traditionnel (Guerrier, Mage, Paladin…) est enrichi par des arbres de compétences variés. Les développeurs ont ajouté une nouvelle classe et d’un continent inédit. Ils maintiennent un modèle gratuit avec une option d’abonnement « Patron » avec des bonus non essentiels. Bien que ses graphismes restent modestes, OrbusVR conserve une communauté dévouée grâce à son gameplay profond et ses combats tactiques.
3. Ilysia et la promesse ambitieuse
Développé par Team 21 pour une sortie complète en 2024, Ilysia redéfinit les standards du genre avec son monde ouvert massif et ses systèmes innovants. Ce MMORPG VR est disponible sur Quest, PSVR2 et PC VR. Il introduit des mécaniques hybrides uniques comme l’incantation vocale des sorts combinée au combat physique traditionnel. Son univers segmenté en royaumes aux biomes variés (des déserts arides aux forêts flottantes) promet une exploration sans précédent, agrémentée d’un système de montures contrôlées de manière réaliste, avec des dragons majestueux.
Les développeurs mettent l’accent sur la progression horizontale, avec un système de compétences qui évite le piège du simple « grind » de niveau. Techniquement, le jeu se distingue par son optimisation soignée qui permet d’afficher de vastes paysages peuplés sans temps de chargement. Les créateurs ont pris l’engagement ferme d’éviter tout élément pay-to-win. Ils privilégient un modèle économique basé sur des cosmétiques et des extensions territoriales, dont la première (prévue pour 2025) ajoutera le royaume nain. Bien qu’encore en développement, Ilysia montre un potentiel considérable pour devenir un pilier du genre.
Créé par Ramen VR et sorti en janvier 2022 après une campagne Kickstarter réussie, Zenith s’est imposé comme le MMORPG VR le plus complet actuellement disponible. Ce titre multiplateforme (SteamVR, Oculus, PSVR2) allie habilement les mécaniques RPG traditionnelles à l’interaction physique propre à la VR. Le système de combat innovant exige des joueurs qu’ils bloquent physiquement les attaques, esquivent grâce à des déplacements réels et exécutent des enchaînements précis pour déclencher des compétences spéciales.
Avec trois classes principales pourvues chacune deux spécialisations distinctes, Zenith propose une progression profonde. Les combats de raid exigent une coordination physique entre les huit membres d’un groupe. L’exploration verticale, inspirée de Breath of the Wild, ajoute une dimension supplémentaire au gameplay grâce à des mécaniques d’escalade et de planche volante. Le modèle free-to-play équitable est régulièrement enrichi par des mises à jour gratuites comme l’extension Infernal Dawn (2023) qui a introduit un nouveau niveau cap et une zone inédite. La qualité de l’optimisation et la régularité des mises à jour en font le choix le plus sûr pour les nouveaux joueurs.
Freeland VR en tête des meilleurs MMORPG VR gratuits
Développé par un studio indépendant passionné par les interactions virtuelles, Freeland VR propose depuis 2022 une expérience MMORPG unique centrée sur la liberté et la création d’histoire émergente. Ce qui distingue particulièrement ce titre est son absence totale de quêtes linéaires imposées. Il propose un système dynamique où les actions des joueurs façonnent l’évolution du monde. Techniquement compatible avec la majorité des casques du marché (Meta Quest, Valve Index, HP Reverb G2), Freeland VRexploite pleinement les capacités des contrôleurs pour offrir des interactions d’une précision remarquable. Le combat physique repose sur des mécaniques réalistes où les armes réagissent aux angles d’attaque et où les sorts nécessitent l’exécution de gestes précis.
L’économie entièrement gérée par les joueurs ajoute une profondeur stratégique inédite avec de véritables spécialisations professionnelles. Les développeurs prévoient des extensions payantes axées sur de nouvelles régions et systèmes politiques avec un modèle économique équitable basé sur des cosmétiques non obligatoires. La communauté active et créative constitue l’un des atouts majeurs de ce titre prometteur.
FAQ
Est-ce que les jeux VR gratuits contiennent des microtransactions ?
Oui, la plupart des jeux VR gratuits offrent un modèle économique basé sur les microtransactions, principalement pour des éléments cosmétiques tels que des skins, des vêtements ou des accessoires pour les avatars. Ce modèle est conçu pour maintenir une expérience de jeu équitable, sans que les joueurs aient à payer pour gagner. Cependant, il peut y avoir des extensions payantes qui ajoutent du contenu supplémentaire.
Est-ce que les jeux VR gratuits nécessitent un casque VR coûteux ?
Non, bien que certains jeux VR gratuits soient optimisés pour des casques haut de gamme comme le Valve Index, le PlayStation VR2, ou le Meta Quest, de nombreux jeux fonctionnent également sur des casques plus abordables. Certains jeux sont même compatibles avec des systèmes de réalité virtuelle sur PC et standalone VR (casques autonomes), ce qui rend la VR plus accessible sans nécessiter un PC de gaming puissant.
Les jeux VR gratuits sont-ils aussi immersifs que les payants ?
Oui, de nombreux jeux VR gratuits offrent des expériences tout aussi immersives que les jeux payants. Des jeux comme Zenith: The Last City et OrbusVR sont d’excellents exemples de titres gratuits qui proposent un gameplay profond, des graphismes de qualité et une forte composante sociale. L’immersion dans ces jeux peut être égale, voire supérieure, à celle des jeux payants, grâce à l’innovation et aux mises à jour régulières.
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Vous pensiez avoir survécu au pire ? Of Lies and Rain débarque sur PS VR2 avec sa démo post-apocalyptique et son IA en déroute. Ce nouveau jeu de tir narratif mêle monde numérique instable et tension constante, dans l’un des jeux de société virtuelle les plus attendus de 2025.
La démo du jeu de tir narratif Of Lies and Rain est enfin accessible sur PS VR2. Développé par Castello Inc., ce titre mélange science-fiction sombre, narration visuelle et affrontement contre une IA devenue incontrôlable. Les joueurs incarnent un survivant chargé de sauver ce qu’il reste de l’humanité dévastée. L’univers oscille entre réalité tangible et environnement numérique instable. Le studio évoque une guerre longue et destructrice dont les traces hantent chaque recoin du décor.
Initialement lancée sur Steam et Meta Quest, la démo a suscité des retours variés et constructifs. Désormais, les joueurs console peuvent découvrir cette expérience sur le casque VR de Sony. Castello Inc. précise que cette adaptation n’est pas un simple portage, mais une version repensée techniquement. Le studio a optimisé les retours d’effets visuels et la stabilité du framerate pour la manette Sense du PlayStation VR2.
Deux modes graphiques pour s’adapter aux performances de la console
Le PS VR2 propose deux modes visuels aux joueurs selon la configuration de leur console. Le mode « Qualité » vise une résolution plus haute, mais utilise la reprojection pour atteindre 120 Hz à partir d’un rendu à 60 Hz. Le mode « Performance », quant à lui, permet une fréquence native de 90 Hz sur PS5 standard et 120 Hz sur PS5 Pro. Ce choix offre un confort visuel modulable selon les préférences techniques de chacun.
Ce double mode graphique confirme l’ambition du studio de viser un rendu adapté à tous les profils. Castello Inc. insiste sur l’importance d’un bon équilibre entre fluidité, lisibilité et atmosphère. Le studio revendique une approche centrée sur la narration environnementale et la sensation de danger permanent. Ce soin dans l’optimisation montre l’attention portée à l’expérience utilisateur, sans sacrifier l’intensité visuelle attendue d’un tel titre.
Une démo évolutive grâce aux retours de la communauté
Depuis sa sortie initiale en mai, la démo de Of Lies and Rain a bénéficié d’une mise à jour importante suite aux retours des joueurs. Plusieurs changements ont été intégrés, dont la disparition des poches du personnage, jugées peu pratiques. Les développeurs ont également amélioré les retours visuels lors des combats contre les Veuves pour une meilleure lisibilité. Des ajustements de performances ont aussi été réalisés pour fluidifier l’ensemble.
Ces correctifs témoignent d’un dialogue actif entre Castello Inc. et sa communauté. Le studio semble attentif à l’expérience ressentie par les joueurs dès cette phase de test.
Même si la date de sortie finale n’est pas encore connue, Of Lies and Rain vise un accès anticipé cette année sur Steam. Sur PS VR2 comme sur Quest, le titre suscite une réelle curiosité pour les amateurs de récits sombres et de mondes en ruine.
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Le jeu vidéo en réalité virtuelle devient de plus en plus immersif et prometteur. Cependant, pour profiter pleinement des jeux compatibles avec un casque VR, il est indispensable de disposer d’une carte graphique VR performante.
En effet, laissez tomber votre GTX 1060, ça ne suffira pas pour jouer aux meilleurs opus en réalité virtuelle avec un HTC Vive. La carte graphique est le composant en effet essentiel, le nerf de la guerre. Si vous pouvez opter pour un processeur tel que l’Intel Core i5 ou l’AMD Ryzen 3, il ne faut pas non plus lésiner sur la carte graphique.
Les meilleures cartes graphiques pour jouer en VR
Les cartes graphiques de la série Nvidia RTX 4000 continuent de dominer le marché des GPU haut de gamme pour la réalité virtuelle, offrant des performances exceptionnelles grâce à la technologie DLSS 3.0 et le Ray Tracing. Les modèles RTX 4090 et RTX 4080 restent les meilleurs choix pour les joueurs VR cherchant des performances sans compromis.
Offrant des performances exceptionnelles, ces cartes permettent une expérience VR fluide, immersive et optimisée pour les titres les plus exigeants. Si vous souhaitez une configuration capable de répondre aux besoins des jeux VR actuels et futurs, il est essentiel de disponibilité des cartes graphiques. Prenez soin d’examiner attentivement les différentes options disponibles sur le marché pour trouver celle qui correspond à vos besoins spécifiques. Notamment en tenant compte de la compatibilité avec votre casque VR.
Cependant, Nvidia a également introduit des cartes plus abordables et performantes, comme la RTX 4060 Ti et RTX 4070, qui offrent un excellent rapport qualité/prix pour la VR à des prix plus accessibles.
En parallèle, AMD se positionne également comme un acteur clé avec sa gamme de cartes graphiques Radeon RX série 7000, qui rivalise avec Nvidia en termes de performances. Les deux fabricants travaillent en partenariat avec des marques pour proposer des versions personnalisées de leurs cartes graphiques. Ces modèles améliorés peuvent offrir des avantages tels qu’un refroidissement optimisé, une consommation d’énergie réduite ou une meilleure stabilité. Bien que les gains de puissance soient généralement limités à environ 5%, ces petites optimisations peuvent faire une différence notable pour les utilisateurs cherchant une solution durable et performante pour la VR.
Cartes Nvidia pour jouer en VR
Afin de jouer en VR correctement, côté Nvidia, nous pouvons vous recommander les RTX de série RTX 4000. Globalement, toutes les cartes de cette série sont performante. En revanche, pour anticiper les futures exigences des jeux VR, nous vous conseillons de viser à partir de la RTX 4080 ou une version encore plus performante. Ce type de carte graphique dispose des ressources nécessaires pour faire tourner quasiment tous les jeux VR actuels et à venir sans difficultés.
Si nous avons un budget plus limité, une RTX 4070 ou 4070 Ti peut encore convenir. Ces cartes sont idéales pour les utilisateurs souhaitant un excellent rapport qualité-prix. Elles permettent de jouer en VR avec des graphismes élevés, tout en étant moins coûteuses que les modèles haut de gamme.
Si vous avez déjà l’une des cartes suivantes : RTX 3060, 3070, et 3080 , elles peuvent encore gérer la plupart des jeux VR avec des performances satisfaisantes. Cependant elles commencent à atteindre leurs limites pour les titres les plus gourmands de 2024. Elles restent des options valables pour les budgets plus serrés.
Cartes AMD pour jouer en VR
Côté AMD, la série RX 7000 a été lancée avec des performances graphiques très compétitives face à Nvidia. Ces cartes sont également bien adaptées à la VR, offrant des options pour différents budgets :
RX 6800 XT et RX 6950 XT : Ces cartes de la série précédente restent très performantes en 2024 et peuvent faire tourner la plupart des jeux VR avec une excellente qualité graphique. Si vous possédez déjà l’une de ces cartes, il n’est pas encore nécessaire de la remplacer, sauf si vous cherchez à maximiser les performances avec les titres les plus récents.
RX 7900 XT et 7900 XTX : Ces cartes rivalisent avec les RTX 4080 et 4090 de Nvidia. Elles sont capables de gérer les jeux VR les plus exigeants avec une fluidité exceptionnelle et des graphismes ultra-détaillés. La RX 7900 XTX est particulièrement intéressante pour les utilisateurs recherchant une alternative haut de gamme à Nvidia.
RX 7800 XT : Moins coûteuse que les modèles de la série 7900, elle est parfaite pour les joueurs VR souhaitant des performances de qualité sans dépenser une fortune. Elle rivalise avec la RTX 4070 en termes de rapport qualité-prix.
Pourquoi la réalité virtuelle exige des performances graphiques élevées ?
La VR demande des performances graphiques bien plus élevées que les jeux traditionnels en raison de ses exigences uniques. Contrairement à un affichage sur écran classique, elle nécessite le rendu de deux images en simultané afin de créer un effet de stéréoscopie. Ce double rendu sollicite fortement la carte graphique. En fait chaque image doit être produite en haute résolution pour éviter les artefacts visuels. De plus, les jeux VR nécessitent des taux de rafraîchissement élevés (généralement 90 Hz ou plus) pour éviter les problèmes de latenc. D’ailleurs, il s’agit d’un facteur critique en VR qui peut provoquer des nausées ou une expérience saccadée. Cette combinaison de rendu en temps réel, de résolution élevée, et de fluidité d’image impose une lourde charge sur la carte graphique. Voilà pourquoi des modèles puissants sont recommandés pour profiter pleinement de la VR.
Comment faire votre choix ?
Choisir la bonne carte graphique dépend largement du casque VR que vous possédez. Chaque casque a ses propres spécifications techniques, et il est essentiel d’avoir une carte graphique qui réponde à ses exigences. Par exemple, un Meta Quest 3 ou un HTC Vive Pro demandera une carte graphique plus puissante pour gérer des résolutions plus élevées et des taux de rafraîchissement fluides. En revanche, des casques moins gourmands peuvent fonctionner correctement avec une carte de la série RTX 3060 ou RX 6700. Il est important de vérifier les spécifications minimales requises par le fabricant du casque. Assurez-vous également que votre carte graphique soit compatible avec les connectiques et technologies du casque, comme le DisplayPort ou le HDMI.
FAQ
Pourquoi ai-je besoin d’une carte graphique puissante pour la VR ?
La réalité virtuelle demande des performances graphiques bien plus élevées que les jeux traditionnels. Cela est dû au fait que la VR nécessite deux images distinctes (une pour chaque œil) à des taux de rafraîchissement élevés (généralement 90 Hz ou plus) pour garantir une expérience fluide et immersive. Si la carte graphique n’est pas assez puissante, cela peut entraîner des saccades, une latence élevée, ou même des nausées chez l’utilisateur.
Quelle carte graphique choisir si j’ai un budget limité ?
Si vous avez un budget plus serré, la RTX 4070 ou la RTX 4060 Ti de Nvidia représentent de très bons choix. Du côté d’AMD, les cartes comme la RX 6700 XT ou la RX 6800 XT peuvent offrir un bon compromis en termes de performance et de prix. Ces cartes permettront de jouer en VR dans de bonnes conditions sans dépasser votre budget.
Quelle est la résolution idéale pour les jeux VR ?
La résolution idéale pour les jeux VR dépend du casque que vous utilisez et de la puissance de votre carte graphique. Pour une expérience immersive optimale, il est recommandé d’avoir une résolution d’au moins 2160 x 1200 (1080 x 1200 par œil) (par exemple, avec le HTC Vive ou le Oculus Rift S). Les casques plus avancés, comme le Meta Quest Pro ou le Valve Index, peuvent atteindre des résolutions de 2880 x 1600 ou plus, nécessitant une carte graphique plus puissante pour maintenir des taux de rafraîchissement élevés.
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La réalité augmentée se rapproche de plus en plus du grand public grâce à des innovations audacieuses. Avec le duo Xreal Beam + Air 2 Ultra, la marque promet justement une expérience immersive, légère et accessible, loin des casques encombrants. Mais ces lunettes connectées sont-elles vraiment celles qu’on attendait ? Faisons le point sur cette nouvelle génération d’AR qui pourrait bien changer notre façon de travailler, de jouer et de consommer du contenu.
Une révolution dans la réalité augmentée grand public ?
Xreal, le pionnier qui bouscule le marché
Depuis ses débuts, Xreal s’est démarquée dans le domaine des lunettes connectées, grâce à ses designs sobres et à sa technologie avancée. La marque a su capter l’attention par l’efficacité et la praticité qu’elle apporte. Bref, elle offre une alternative aux mastodontes comme Apple ou Meta. Avec ses premiers modèles Air et Air 2, Xreal a posé les fondations d’une expérience immersive fluide, orientée vers un usage polyvalent. Le lancement du Beam + Air 2 Ultra vient renforcer cette stratégie par la promesse de plus de puissance et de compatibilité.
Pourquoi ce duo Beam + Air 2 Ultra attire autant l’attention ?
Ce qui fait la force de ce duo, c’est l’équilibre entre deux appareils complémentaires. Le Beam joue le rôle de hub intelligent capable de gérer plusieurs sources et de délivrer une expérience fluide. En revanche, les lunettes Air 2 Ultra offrent un affichage net et immersif dans un format léger et confortable.
Cette synergie Beam + Air 2 Ultra permet d’ouvrir des usages variés, du jeu vidéo à la productivité mobile, en passant par le visionnage de contenus. Dans un marché encore jeune, cette stratégie hybride est une véritable bouffée d’air frais qui séduit autant les technophiles que les professionnels.
Xreal Beam, le cœur intelligent de l’écosystème
Un hub compact mais puissant
Le Xreal Beam joue un rôle central dans cette expérience AR. Véritable concentré de technologies, il agit comme un hub puissant et compact. Ce concentré de technologie est capable de transformer n’importe quel appareil en une source immersive pour les lunettes. Au fait, il se distingue avant tout par sa taille réduite et sa puissance étonnante.
Doté d’un processeur performant, le Beam aide à gérer facilement les flux vidéo haute définition et la spatialisation du son. Compatible avec plusieurs plateformes, il offre une connectivité étendue, que ce soit avec un PC, une console de jeu, ou un smartphone. Cette polyvalence en fait un élément clé pour ceux qui veulent profiter de la réalité augmentée partout et sans contraintes.
Interface et expérience utilisateur
Au-delà de ses capacités techniques, le Xreal Beam mise beaucoup sur la simplicité d’utilisation. Son interface intuitive facilite la navigation dans les menus et la gestion des contenus. Que ce soit pour lancer un jeu, regarder un film ou travailler sur plusieurs écrans virtuels, l’expérience reste fluide et naturelle. Cette facilité d’usage est un atout pour démocratiser l’AR auprès du grand public. Elle évite la complexité souvent associée à ce type de technologie.
Air 2 Ultra, des lunettes (presque) normales, mais surpuissantes
Design et ergonomie futuriste mais discret
Si le Beam est le cerveau du système, les Air 2 Ultra en sont clairement les yeux. Ces lunettes connectées reprennent tout ce qui a fait le succès des précédents modèles Xreal. Elles ajoutent des fonctions clés pour une immersion bien plus poussée et pour une expérience AR convaincante sans sacrifier le confort ni l’esthétique.
Les Air 2 Ultra impressionnent par leur design raffiné, bien loin des lunettes AR encombrantes des années passées. Leur monture fine et légère rappelle des lunettes classiques. Cela les rend faciles à porter pendant de longues sessions, aussi bien en intérieur qu’en déplacement. Malgré leur compacité, elles intègrent une technologie de pointe. Ses capteurs et caméras dissimulés permettent le tracking spatial sans nécessiter d’équipement externe. Un subtil équilibre entre performance et discrétion marque une nette avancée dans la conception de lunettes connectées.
Performances et immersion
Sous leur apparence sobre, les Air 2 Ultra cachent un véritable bijou technologique. Elles embarquent des écrans micro-OLED ultra lumineux avec une résolution remarquable. Un atout qui lui permet d’offrir une qualité d’image presque irréprochable. Par ailleurs, grâce au tracking 6 DoF (six degrés de liberté), les lunettes réagissent en temps réel aux mouvements de la tête. Cela renforce la sensation de présence dans un environnement virtuel ou augmenté. Ainsi, l’immersion est au rendez-vous que ce soit pour afficher plusieurs écrans virtuels, projeter des contenus 3D, ou suivre un film comme dans une salle de cinéma personnelle.
Le duo en action, usages concrets et premières impressions
Travailler en multi-écrans… partout
Au-delà des spécifications techniques, c’est dans l’usage quotidien que le tandem Xreal Beam et Air 2 Ultra révèle tout son potentiel. Cette combinaison ouvre la voie à une nouvelle manière d’interagir avec nos appareils. Elle allie, en effet, mobilité, confort visuel et fonctionnalités avancées. D’ailleurs, les premiers retours montrent des cas d’usage à la fois innovants et accessibles.
Parmi les atouts les plus impressionnants du système, il y a la possibilité de créer un espace de travail multi-écrans n’importe où. Grâce aux lunettes, il est possible d’afficher plusieurs fenêtres flottantes dans l’espace, comme si l’on avait un bureau étendu à portée de regard. Associé au Beam, ce mode transforme un simple smartphone ou un ordinateur portable en une station de travail immersive. Pour les nomades digitaux, les développeurs ou les créatifs, c’est un gain de productivité considérable, sans le besoin d’un setup encombrant.
Côté divertissement, le duo tient également ses promesses. La connexion d’une console de jeu ou d’un PC au Beam offre aux utilisateurs la possibilité de profiter de sessions de gaming en AR avec une grande fluidité et sans latence perceptible.
Le visionnage de films prend une nouvelle dimension ! L’image semble flotter devant vous, dans une sorte de salle de cinéma personnelle. Les lunettes supportent également les contenus spatialisés, comme les vidéos 3D ou les expériences AR interactives. Cela ouvre la porte à une nouvelle forme de consommation multimédia plus immersive et nomade.
Limites, défis et questions encore ouvertes
Autonomie, compatibilité, prix… les points à surveiller
Aussi prometteur soit-il, le duo Xreal Beam + Air 2 Ultra n’échappe pas à certaines limites inhérentes à une technologie encore en phase d’adoption. Derrière l’enthousiasme des premiers utilisateurs se cachent des défis techniques et pratiques qui pourraient freiner une adoption massive à court terme.
L’autonomie constitue l’un des premiers aspects qui interroge. Si les lunettes peuvent être alimentées via le Beam, une utilisation prolongée sollicite les batteries des deux appareils. Et il faut penser à recharger régulièrement. De plus, la compatibilité, bien que large, n’est pas toujours parfaite. Certaines applications ou appareils peuvent nécessiter des ajustements ou ne pas exploiter tout le potentiel de la plateforme. Enfin, le prix global du bundle, qui dépasse facilement les 1 000 euros, reste un frein pour une adoption grand public. Et cela, surtout face à des solutions plus abordables, bien que moins avancées.
Une techno prometteuse, mais encore jeune ?
Malgré ses qualités indéniables, le système montre que la réalité augmentée personnelle n’est pas encore totalement mature. L’interface, bien que fluide, peut parfois manquer de cohérence ou souffrir de légers bugs, typiques des premières générations. L’optimisation logicielle est encore en cours, et certains usages restent à développer pleinement. C’est, par exemple, le cas du travail collaboratif ou de la création de contenu AR natif. Cela dit, ces limites ne remettent pas en cause le potentiel de la technologie. Elles soulignent qu’elle en est encore à ses débuts, avec une marge de progression enthousiasmante.
Xreal Beam + Air 2 Ultra, la combinaison gagnante ?
Ce qu’on aime
Après plusieurs jours d’usage, une chose est claire : le tandem Xreal Beam + Air 2 Ultra marque un tournant dans le paysage de la réalité augmentée personnelle. Ce n’est pas encore un produit grand public au sens strict. Toutefois, c’est l’une des solutions les plus convaincantes à ce jour pour ceux qui veulent allier mobilité, immersion et performance.
Le premier point fort, indéniablement, c’est l’expérience utilisateur fluide et intuitive. Le duo fonctionne de manière harmonieuse, avec une connexion rapide, un affichage bluffant et une sensation de liberté rarement atteinte dans ce type de dispositif. Le design discret et confortable des Air 2 Ultra en fait un objet technologique que l’on peut vraiment porter au quotidien. Quant au Beam, il centralise les usages sans effort et ouvre la porte à une large compatibilité avec les plateformes existantes. Le tout compose une solution élégante et crédible pour explorer l’AR autrement.
Ce qu’on attend encore
Bien sûr, tout n’est pas encore parfait ! On attend une amélioration de l’autonomie pour une vraie indépendance en mobilité. Les utilisateurs espèrent aussi une optimisation logicielle plus poussée pour enrichir les fonctionnalités, notamment côté productivité et collaboration. Le prix reste un obstacle important pour beaucoup, bien qu’il soit justifié par la qualité de fabrication et les performances. Enfin, on souhaite voir Xreal développer un écosystème applicatif plus riche, avec des outils natifs qui exploitent pleinement les capacités des lunettes au-delà de la simple projection d’écrans.
Football VR : comment la réalité virtuelle pourrait-elle révolutionner l’avenir du sport le plus populaire du monde ?
Le 6 avril dernier 2024, une toute nouvelle ère a commencé aux Pays-Bas. Ce jour-là, on a assisté pour la toute première fois la diffusion d’un match de football en réalité VR dans ce pays. Plongé au cœur de l’action, le public a ressenti chaque mouvement, chaque frisson. C’est comme s’il était réellement dans le stade.
Le football en VR : une question de temps ?
Imaginez-vous, assis dans les gradins. Vous discutez avec vos amis sur la dernière performance de votre joueur préféré. Les débats vont bon train, mais aucune chance de trouver un terrain d’entente. Alors, vous sortez votre téléphone, le pointez vers le terrain, et boom ! Toutes les statistiques du match de votre joueur favori apparaissent magiquement, en temps réel. Cette magie n’est pas réservée à quelques happy few. Dans certaines parties du globe, c’est déjà une réalité.
L’adoption généralisée de ce genre de techno-marvels n’est plus qu’une question de temps. C’est comme si nous étions sur le point de plonger dans un océan de réalité virtuelle (VR), de réalité augmentée (AR) et de métavers. Apple a récemment fait sensation en annonçant son casque Vision Pro qui combine ces trois joyaux technologiques. Comment tout ça va influencer le monde du football ? A quoi ressemblera votre après-midi dans les tribunes en 2043 ? Réel, virtuel, ou une fusion des deux ? Explorons les différentes facettes de l’utilisation de la VR et de l’AR dans le football.
La Premier League collabore avec Rezzil pour développer un jeu de football VR
La Premier League anglaise et le studio VR Rezzil basé à Manchester, ont uni leurs forces pour concocter un jeu VR avec vos joueurs préférés. Cette nouvelle aventure, qui sortira au plus tard cette année, transportera les supporters au cœur de l’action. Ceux-ci auront l’occasion de se tenir sur un terrain virtuel. Ils pourront alors recréer les moments les plus palpitants de la ligue de football dans la peau de leurs joueurs favoris.
Pas encore de titre pour ce projet, mais on ressent déjà l’enthousiasme. Cette collaboration promet d’apporter une dose d’excitation supplémentaire à la Premier League. Rezzil est déjà bien implanté dans l’univers de l’entraînement et de l’analyse des matchs avec plusieurs clubs de Premier League. Il met son logiciel au service de cette expérience unique.
Grâce aux données officielles de la ligue, les utilisateurs pourront revivre ces instants de gloire. Pour ce faire, ils devront tout simplement enfiler un casque VR. Rezzil a récemment fait équipe avec Sky Sports pour créer des reconstitutions 3D de matchs pour le Monday Night Football. Et le résultat a décroché le prix tant convoité du meilleur programme sportif aux Broadcast Awards 2024.
Will Brass, le dynamique responsable commercial de la Premier League, est enthousiaste quant aux potentialités que la technologie VR apporte au monde du football. L’homme salue également la solide réputation de Rezzil. En outre, il met en lumière les multiples façons dont cette technologie peut enrichir l’expérience des joueurs et des spectateurs.
Andy Etches, co-fondateur de Rezzil, partage également cet enthousiasme pour ce partenariat. D’après lui, l’alliance de leur expertise en VR et de la passion de la Premier League ouvre de nouveaux horizons pour l’engagement des fans et des joueurs. Voilà qui promet des moments de pur bonheur footballistique.
Le premier match de football diffusé en VR aux Pays-Bas
Les opérateurs KPN (Koninklijke Posterijen) et ESPN (Entertainment Sport Programming Network Incorporated) ont uni leurs forces pour proposer une expérience footballistique hors-du-commun aux Pays-Bas : le tout premier match de football en VR entre le PSV Eindhoven et AZ Alkmaar, diffusé en streaming le 6 avril 2024. Ce match a été projeté en direct pour un groupe chanceux de fans, grâce à la magie de la VR. En connectant une caméra spéciale du stade Philips à des lunettes de VR, ils ont pu transporter 100 supporters à Utrecht dans l’action. En d’autres termes, ils les ont plongés au cœur de l’événement.
Mark Versteegen de chez KPN a exprimé sa passion pour la transformation numérique des Pays-Bas. Il a parlé de son partenariat avec ESPN pour réinventer l’expérience footballistique pour les fans. Quant à Matthijs van Elk chez ESPN, il a rappelé son engagement sans faille envers les fans. Il souhaiterait proposer une panoplie d’options pour vivre le football en direct.
Depuis cet événement marquant, KPN a considérablement élargi son offre en acquérant les droits de diffusion des résumés en ligne de l’Eredivisie pour la période 2025-2030. Désormais, les abonnés peuvent accéder aux alertes de buts et aux résumés immédiatement après chaque match grâce à l’application KPN TV+. Cette évolution marque un pas de plus vers une expérience sportive de plus en plus immersive et connectée pour les fans de football.
Le football se métamorphose pour les fans du XXIe siècle
A l’avenir, dans un stade de football, vous pourriez être assis là, regardant un but à travers vos lunettes intelligentes pendant que des célébrations virtuelles s’animent autour de vous. C’est comme si le match se déroulait dans un tout nouveau monde, un monde où les frontières entre la réalité et la technologie sont de plus en plus floues.
Et ne vous méprenez pas, les fans sont prêts pour ça. Déjà, dans certains coins du globe, les fans de sports comme le football américain et le baseball se sont familiarisés avec l’idée de regarder leurs joueurs préférés danser en VR lors des pauses. C’est comme un jeu, mais pour les adultes.
Soyons réalistes. La nouvelle génération de fans de sport a une capacité d’attention plus courte que jamais. Et ils ne vont pas rester assis pendant deux mi-temps de 45 minutes sans un peu de stimulation. Alors, le football ne peut pas rester à l’écart éternellement. Les gros sous en jeu sont tout simplement trop alléchants. Comme l’a dit l’expert en finances du football Kieran Maguire : « le futur, c’est le métavers, la VR et l’AR qui apportent le match de football dans le salon des gens ». Et qui pourrait résister à ça ?
L’ère de la réalité augmentée dans les stades
La réalité augmentée se prépare à secouer l’ambiance dans les stades comme jamais auparavant. Bien sûr, on n’a pas encore tous les détails croustillants sur cette transformation radicale. Mais les exemples actuels nous donnent un avant-goût juteux de ce qui pourrait arriver.
Le Nou Camp devient un terrain de jeu technologique
Barcelone, toujours à la pointe, a déjà entamé sa transformation du Nou Camp en une arène futuriste. Ils ont clairement compris que la technologie est la clé pour garder les fans engagés. Alors que certains regardent dans une boule de cristal, ils regardent à travers des lunettes intelligentes.
Populous redéfinit le jeu avec la réalité augmentée
Populous, le géant de l’architecture des stades, n’est pas en reste. Ils concoctent déjà des plans avec les clubs pour rendre nos stades aussi divertissants que les terrains de jeux virtuels. Bientôt, on ne saura plus faire la différence entre la réalité et le dernier jeu vidéo.
ARound : La réalité augmentée fait le tour
ARound, une start-up pleine d’ambition, mise sur les accessoires pour rendre la réalité augmentée accessible à tous. Imaginez des lunettes qui vous transportent dans un monde où vous pouvez suivre chaque mouvement de vos joueurs préférés.
Immersion dans les stats : Vive la révolution de la réalité augmentée
Les statistiques prennent vie grâce à la réalité augmentée. À Marseille, les fans peuvent désormais utiliser leur téléphone ou même des lunettes intelligentes pour traquer chaque mouvement des joueurs en temps réel. Dribbles réussis, passes parfaites : tout est à portée de clic.
La touche finale, la magie des sponsors
Et que dire des sponsors ? La réalité augmentée ouvre de nouvelles portes pour les marques qui veulent être au cœur de l’action. À chaque but ou moment clé, les sponsors peuvent s’immiscer dans nos vies, et transformer chaque instant en une opportunité de marketing.
Les limites de la réalité augmentée
Le déploiement de la réalité augmentée lors d’événements sportifs comme ceux de l’Olympique de Marseille est comme un pas de danse vers l’avenir. Le hic ? La bande passante limitée dans les stades. Cette limitation nous oblige à organiser ces expériences dans un stade vide. Toute cette technologie futuriste et personne pour la voir en action.
On doit faire face à cette réalité parce que, obtenir un signal dans un stade bondé, c’est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin… virtuelle ! Et ne parlons même pas de la 5G qui est censée tout régler. La bande passante publique, elle, reste inchangée depuis l’âge de pierre numérique. On a l’impression de tourner en rond dans le même vieux circuit.
Les développeurs, eux, font preuve de créativité et d’ingéniosité pour jongler avec ces contraintes. Ils se concentrent sur l’efficacité dans ce chaos technologique. Mais, il y a une lueur d’espoir au bout du tunnel. Parce que, malgré tous ces problèmes, le potentiel financier de la publicité virtuelle et du parrainage nous fait dire que tout ça en vaut la peine.
Football et autres sports en VR : que dire des arènes sportives ?
Dans un futur pas si lointain, la VR et l’AR se profilent comme les nouveaux terrains de jeu pour les fans de sport incapables d’assister aux matchs en personne. Grâce aux progrès technologiques, les supporters peuvent maintenant se plonger dans une expérience immersive depuis le confort de leur canapé, ou même depuis le pub du coin.
Des géants comme Manchester City et Sony rivalisent pour construire des stades virtuels dans le « métavers ». Dans cet espace, les fans du monde entier peuvent non seulement regarder les matchs en direct, mais aussi explorer les gradins numériques avec une liberté d’angle et d’interaction jamais vue auparavant.
C’est comme si on jetait les portes du stade à toute une armée de fans virtuels. Cela permet de s’immerger dans l’atmosphère du jeu depuis n’importe quel endroit de la planète. Imaginez des milliers de fans se rassemblant virtuellement dans des répliques numériques de stades, ou enfiler des casques VR pour sentir l’adrénaline du match comme s’ils étaient vraiment là.
L’entraînement cognitif des joueurs de football avec la VR
La réalité virtuelle (VR) devient un outil indispensable pour améliorer l’entraînement cognitif des joueurs de football. Des équipes prestigieuses comme Arsenal et le Real Madrid ont commencé à intégrer cette technologie pour simuler des situations de match et affiner la prise de décision de leurs joueurs. Grâce à des environnements immersifs, la VR permet aux athlètes de vivre des scénarios de jeu complexes sans risque de blessure. Les joueurs peuvent ainsi travailler sur leur anticipation, leur vision périphérique, et leur réactivité dans des conditions virtuelles qui reproduisent fidèlement la pression et les enjeux d’un match réel.
L’un des principaux avantages de l’entrainement en VR pout les joueurs de football est que des phases spécifiques du jeu peuvent être répétées sans fatigue. Ce qui encourage le travail mental des joueurs. En confrontant régulièrement les joueurs à des simulations tactiques, les entraîneurs peuvent identifier des erreurs de positionnement ou de choix, et ajuster l’entraînement en fonction des besoins individuels. La RV permet également une analyse précise des performances cognitives, en mesurant des aspects tels que la vitesse des réflexes ou la capacité à s’adapter à des changements soudains sur le terrain.
Mais, soyons honnêtes, le prix reste un obstacle sérieux pour que tout le monde puisse sauter dans cette folie. Néanmoins, avec le temps, ces technologies pourraient devenir courantes. Elles transformeraient ainsi radicalement la façon dont nous vivons le sport à la maison. Malgré tout, on peut parier que l’appel de l’action en direct continuera de résonner. Parce qu’au fond, rien ne peut vraiment remplacer le frisson de voir les choses se dérouler en temps réel, n’est-ce pas ?
Football VR : vers une expérience de match totalement personnalisée
Avec l’avènement de la réalité virtuelle, l’expérience de visionnage des matchs de football se transforme profondément pour offrir aux fans une immersion sans précédent. Les innovations en VR permettent désormais aux spectateurs de personnaliser leur expérience, en choisissant des angles de caméra qui correspondent à leurs préférences.
Que ce soit pour admirer un tir au but depuis la ligne de but ou pour suivre un joueur spécifique tout au long du match, chaque fan peut vivre le jeu à sa manière. De plus, les statistiques interactives enrichissent cette expérience. Ce qui permet aux utilisateurs d’accéder en temps réel à des données telles que les performances des joueurs, les distances parcourues ou les formations tactiques.
Les plateformes de diffusion innovantes intègrent également des éléments de réalité augmentée. Cela débouche à des analyses instantanées qui rendent chaque moment du match encore plus captivant. En rendant le spectacle accessible au-delà de la simple retransmission télévisée, ces avancées technologiques révolutionnent la manière dont les supporters vivent leur passion pour le football.
À terme, cette personnalisation pourrait même transcender le cadre du stade. Chaque match sera ainsi unique et le lien entre les fans et leur équipe favorite sera plus intense.
Le PSG offre des matchs en VR aux supporters américains
Une fois de plus, le Paris Saint-Germain innove. Effectivement, il propose désormais à ses supporters américains une expérience unique avec des matchs de Ligue 1 en VR. Les fans de l’équipe pourront ainsi revivre certaines rencontres de la saison 2024-2025 grâce à un partenariat avec Bein SPORTS et la plateforme immersive Xtadium. De ce fait, ils verront s’affronter PSG-Monaco, PSG-Marseille et PSG-Auxerre comme s’ils étaient au Parc des Princes.
L’expérience du football VR permet alors de ressentir l’intensité des matchs comme jamais auparavant. Cris des joueurs, ambiance du stade, présence virtuelle à quelques mètres de stars comme Dembélé ou Hakimi… Bref, l’immersion est totale.
En dehors des matchs en direct, les abonnés à cette salle virtuelle auront accès à des contenus exclusifs. Ils pourront, par exemple, accéder à des résumés en 2D, des images d’entraînements ou encore des coulisses du club. Avec une telle innovation, le PSG redéfinit sa volonté de se positionner comme un club du futur. Il nous reste une énigme qui est de savoir combien coûtera ce privilège. Dans tous les cas, l’émotion sera sans doute au rendez-vous pour les fans.
FAQ
Qu’est-ce que le football en réalité virtuelle (VR) ?
Le football en VR utilise la technologie de réalité virtuelle pour offrir une expérience immersive aux joueurs et aux spectateurs. Des applications comme Be Your Best permettent aux joueurs de s’entraîner dans des scénarios de matchs en 11 contre 11, améliorant ainsi leur vision du jeu, leur prise de décision et leurs compétences cognitives.
Quels sont les avantages de la VR pour l’entraînement au football ?
La VR offre une immersion totale, renforçant la concentration, améliorant les réflexes et aidant à mieux gérer la pression du jeu . Elle permet également de simuler des situations de match complexes, favorisant une prise de décision rapide et l’amélioration des compétences cognitives.
La VR améliore-t-elle réellement les performances sur le terrain ?
Oui, des études ont montré que l’utilisation de la VR peut améliorer la fréquence de balayage visuel des joueurs, un indicateur clé de leur vision du jeu. Par exemple, une étude a révélé une augmentation de 28 % de la fréquence de balayage chez les joueurs de niveau national après l’utilisation de Be Your Best.
Zwift a connu un franc succès depuis sa sortie en 2014. Cette plateforme d’entraînement et de course en ligne permet de ressentir les mêmes sensations à l’extérieur tout en restant chez soi.
Pour diverses raisons, sécurité, santé, disponibilité, etc. l’entraînement en salle connaît de plus en plus d’adeptes en matière de cyclisme. Le marché dispose de nombreuses plateformes dédiées à cet effet. Zwift est l’une d’entre elles. Voici le guide complet sur l’application qui coûte environ 13 €.
Qu’est-ce que Zwift ?
L’un des meilleurs moyens de rester motivé tout au long de l’année est d’utiliser une plateforme d’entraînement et de course en salle. Certes, il existe de nombreuses options, mais Zwift a gagné en popularité ces dernières années.
En fait, Zwift est une plateforme de course et d’entraînement interactive en ligne. En pédalant sur un trainer, vous entraînez votre avatar sur un parcours virtuel. Plus vous pédalez fort, plus vous allez vite.
La plateforme propose désormais 11 mondes virtuels, ajoutant des nouveautés à ses cartes emblématiques :
Watopia
France
Îles Makuri
Londres
Paris
New York
Richmond
Yorkshire
Innsbruck
Bologne (événements)
Crit City (événements)
Vous pouvez rouler avec des milliers d’autres cyclistes dans Zwift. Vous pouvez vous joindre à des randonnées et des courses en groupe – et même obtenir un brouillon d’autres coureurs – ou simplement rejoindre le monde et sauter avec d’autres coureurs quand vous le souhaitez. Vous pouvez également effectuer des entraînements structurés basés sur la puissance.
Zwift comporte une multitude d’éléments ludiques qui vous encouragent à rouler plus longtemps et plus fort, dans le but d’améliorer votre condition physique.
De plus en plus de fonctionnalités sont continuellement ajoutées à Zwift, ce qui est surtout génial, car il apporte beaucoup de valeur à un package déjà impressionnant. Mais cela peut aussi rendre difficile de savoir comment et par où commencer. Lisez la suite pour découvrir comment démarrer sur cette plateforme.
Comment fonctionne Zwift ?
Pour que votre séance s’affiche sur votre écran, Zwift capte la puissance de votre vélo avec un capteur. Il peut y avoir un simple capteur de vitesse ou un capteur intelligent. Celui-ci traduit les données reçues afin d’entraîner votre avatar sur un parcours virtuel.
La plateforme intègre plusieurs paramètres dont votre poids, votre puissance calculée, la nature de la piste, les autres coureurs …
Zwift peut s’utiliser sur un ordinateur ou un appareil mobile comme une tablette, un iPad. Vous pouvez même l’installer sur votre Iphone en plus des autres applications. De plus, Zwift est compatible avec Apple TV.
Avant de commencer votre entraînement sur un espace virtuel, assurez-vous d’avoir au moins les exigences minimales requises sur votre appareil (carte graphique, espace disponible, système d’exploitation compatible, etc.)
Les équipements nécessaires pour jouer à Zwift
Bien évidemment, le vélo constitue la première pièce d’équipement dont vous avez besoin pour vous entraîner ou courir sur Zwift. Après le vélo, il faut également disposer de l’outil de mesure ANT+ ou Bluetooth. En fait, il s’agit de la principale source de données d’entrée pour le monde virtuel.
N’oubliez pas le home-trainer. Celui-ci se charge de transmettre les données à votre avatar en capturant votre puissance de vitesse. Au-delà de la simple mesure de la puissance, le home-trainer permet également de simuler les dénivelés du parcours. Il permet de faire varier la résistance en fonction de la pente et peut être contrôlé par Zwift en mode Workout.
Un capteur de vitesse/cadence constitue une option de base. Il offre la possibilité d’utiliser un vélo ordinaire fixé à un trainer standard. Zwift calcule ensuite les chiffres pour estimer la puissance. Cette option ne se révèle pas la plus fiable, mais elle présente un avantage majeur. Il s’agit du moyen le moins cher de commencer à utiliser Zwift.
Grâce à son écran, l’appareil affiche la course en fonction de la puissance calculée. Vous verrez votre avatar courir à la vitesse de votre pédalage. Pour que l’entraînement soit réussi, il est recommandé de porter des vêtements de sport, même si vous ne sortez pas de chez vous.
Comment réussir la configuration de Zwift ?
Tous les équipements ont été réunis, il est temps de commencer votre aventure virtuelle, mais avant, il faut que la plateforme soit configurée sur votre appareil.
Pour cela, vous devez télécharger l’application sur l’appareil avec lequel vous allez exécuter Zwift. Une fois le téléchargement effectué, créez votre compte.
Entrez les données détaillées comme votre poids, votre taille, votre sexe afin d’aider l’application à créer un avatar correspondant. Pour personnaliser votre avatar, vous pouvez choisir un vélo et un maillot.
Au début, le choix reste restreint, les autres options se débloquent au fur et à mesure que vous utilisez la plateforme.
Avec « Drop Shop », vous pouvez acheter des kits et des composants moyennant une monnaie virtuelle spéciale pour le jeu. L’achat d’un tel ou tel accessoire s’ouvre à tous ceux qui ont atteint un certain niveau.
Une fois que vous avez créé votre compte avec un avatar, vous pouvez commencer à courir.
Vous pouvez courir seul ou en groupe si vous optez pour l’application Companion. Avec cette dernière, Zwift vous propose des promenades ou des séances d’entraînement en groupe.
Sur quels parcours Zwift vous amène-t-il ?
Zwift présente en premier lieu l’immense carte deWatopia. C’est une carte purement fictive, quelque part dans les îles Salomon, selon Strava.
Une des nouveautés de Zwift, La France, des parcours reconnus comme le Mont Ventoux, le parcours du combattant du cyclisme français ou Paris, qui retrace la dernière étape du Tour de France.
D’autres cartes comme New York, Londres, Richmond ou encore Innsbruck figurent sur Zwift depuis ses débuts, avec des décors plus ou moinsfuturistes.
Les parcours de Richmond et d’Innsbruck s’inspirent de ceux des Championnats du monde sur route de 2015 et 2018 ; tandis que Londres affiche celui du Prudential Ride London.
Dans sa dernière version, Zwift emmène les coureurs dans de nouvelles régions, les îles Makuri. Dans ces îles, vous courrez sur divers types de pistes : des routes étroites ou sinueuses, des pavés, des champs et des forêts.
Pour participer à des évènements, il vous faut les cartes réservées à cet effet, celle de Bologne et Crit City.
Comment participer à une balade en groupe ?
Outre le parcours en solo sur les pistes de votre choix, vous avez également la possibilité de faire des petites balades en groupe avec Zwift. Pour participer à ces évènements en groupe, il suffit d’utiliser l’application Companion.
Pour participer à une balade en groupe, vous devez vous inscrireen cliquant sur le trajet. Dans une course en groupe, vous êtes libre de choisir le niveau d’intensité allant de A à D.
Si vous voulez être rappelé d’un tour en groupe, vous n’avez qu’à vous y inscrire et Zwift s’occupe de vous rappeler lorsque l’événement arrive.
Votre avatar est automatiquement transporté sur la ligne de départ pour que vous puissiez commencer à vous échauffer en attendant le départ. Vous pouvez discuter avec les autres participants via la messagerie instantanée de la plateforme.
Pendant chaque balade, vous pouvez suivre le chef de manège et lire ses commentaires sur votre écran tout au long du parcours.
Restez accompagné ou rejoignez un groupe de balade
Maintenant, Zwift dispose d’autres options vous permettant de rester accompagné sans devoir participer aux balades en groupe. Il s’agit des Pace PartnersFutureWorks.
Vous pouvez choisir entre Diesel Dan, Cadence Coco, Brevet Bowie ou Amelia Anquetil selon votre catégorie.
Vous pouvez accepter de rencontrer d’autres coureurs en cours de route, c’est-à-dire à un certain endroit de la carte choisie. Pour ce faire, utilisez la fonctionRide With. Vous aurez l’occasion de rencontrer des amis, il faut seulement que vous ayez le même itinéraire.
Si vous voulez créer votre propre évènement organisé, créez unMeetUp. Là aussi, vous devez vous assurer que vos invités suivent le même parcours. Pour les trouver, vous n’avez qu’à rechercher leur profil sur Zwift Companion.
Sur Companion, vous devez appuyer sur « créer une rencontre » pour créer un MeetUp. L’autre moyen pour ce faire est d’aller vers la page Evènements, appuyer sur l’icône MeetUp avant de cliquer sur « créer ».
Comment suivre une formation structurée sur Zwift ?
Afin de vous entraîner depuis chez vous, Zwift offre une formation structurée.
Lors d’un entraînement en groupe, les coureurs vont s’entraîner à un même niveau d’effort, compte tenu du pourcentage de leur FTP ou puissance de seuil fonctionnel.Un tel type d’entraînement permet à tous les coureurs derester groupés, bien que chacun fournisse une puissance différente.
Zwift propose cependant un large choix d’entraînements. A part l’entraînement en groupe, Zwift met à la disposition de ses utilisateurs différents types d’entraînements individuels.
Vous pouvez ainsi choisir en fonction de votre temps ou du type d’entraînement auquel vous voulez vous adonner.
Un coach intelligent peut vous accompagner en ajustant la résistance afin que vous puissiez dégager la puissance cible de façon constante. Ce coach est disponible suivant le capteur utilisé.
Comment participer à une course virtuelle sur Zwift ?
Pour participer à une course virtuelle sur Zwift, il faut tout simplement entrer : Course virtuelle.
Vous pouvez participer à n’importe quelle course. Pour les voir, allez sur le menu principal, vous y verrez une liste des courses qui se profilent.
La liste est aussi disponible sur l’application Companion. Dans ce cas, vous n’avez qu’à lancer l’application Zwift avant de rejoindre la course de votre choix.
Avant de courir, modifiez votre nom et votre catégorie de coureur. Zwift demande aussi l’abréviation du nom de la course.Votre catégorie doit être modifiée en fonction de votre FTP.
Voici les catégorise avec leurs FTP respectifs :
Catégorie A : FTP supérieur ou égal à 4,0 w/kg ;
Catégorie B : FTP compris entre 3,2 et 4,0 w/kg ;
Catégorie C : FTP compris entre 2,5 et 3,2 w/kg ;
Catégorie D : FTP moins de 2,5 w/kg.
Vous pouvez ainsi participer à des courses de vélo en ligne comme les Championnats du Monde Zwift ou le Tour de Zwift.
Les erreurs à éviter sur zwift
Essayer de monter en grade alors que le rythme est élevé
Comme dans la vie réelle, lorsque le peloton est aligné et roule à 60 km/h, il ne faut pas essayer de remonter. En fait, cela risque de faire perdre beaucoup d’énergie. Ainsi, il est préférable d’attendre que le peloton se resserre pour commencer à se déplacer vers l’avant.
Arriver en retard à la grille de départ
Cette fonction est relativement nouvelle dans Zwift et simule le scénario réel de s’aligner pour une course. Plus vous arrivez tôt, plus votre position sur la grille de départ est élevée. Cela fait une énorme différence.
Ne pas prêter attention à la situation de la course
Quelle est la durée de la course ? Y a-t-il une prime à venir ? Y a-t-il une courte montée abrupte qui approche ? Y a-t-il une pause sur la route ?
Comme dans une course réelle, la connaissance du parcours donne également un avantage significatif.
Ne pas utiliser les « PowerUps » de Zwift à votre avantage
Les PowerUps vous donnent un « boost » très court. Au début, ils peuvent sembler stupides pour tout coureur cycliste expérimenté, mais ils font partie du nouveau jeu et sont très amusants une fois que vous les avez adoptés. Par ailleurs, ils ajoutent un autre élément à la course, beaucoup d’aléatoire, et la rendent plus stratégique qu’une compétition de watts par kilo.
Penser que c’est la même chose qu’une course en plein air
Il a fallu abandonner la plupart des habitudes du monde réel et adopter un nouvel état d’esprit. La course Zwift ne donne pratiquement aucune opportunité de descendre en roue libre et de prendre ces petites pauses. En effet, il est impossible d’esquiver le vent pour prendre de la vitesse. Les virages sont impossibles à négocier. Une course de 10 kilomètres représente environ 20 minutes sans pédaler. Cela exige un état d’esprit et des exigences physiologiques complètement différents.
Commencer son sprint trop tard
Dans le monde réel, les sprinters commencent souvent leur sprint à environ 200 mètres de l’arrivée. Dans Zwift, il faut commencer son sprint à environ 500 mètres, au risque de rater sa course. Il ne s’agit pas d’une course comme dans le monde réel où vous aurez une place facile si vous vous positionnez bien. Quoi qu’il en soit, il faut sprinter à plus de 500 watts en atteignant la marque des 200 mètres.
Ne pas faire attention aux choix d’équipement dans le jeu
Ce point peut être important. Pour l’escalade, vous avez besoin d’un vélo léger – Trek Emonda avec Zipp 202s par exemple. Pour les surfaces de gravier, un vélo de gravier tel que le Canyon Grail fera une énorme différence. Selon Zwift, les casques aérodynamiques font une différence marginale.
Comment télécharger vos trajets sur Strava ?
Avec Zwift, il est possible de lier votre compte à Strava. Il existe deux moyens pour cela, l’application Companion, bien évidemment, mais aussi via le site web de Zwift. Cette liaison vous permet de télécharger vos trajets et donc de connaître votre avancement.
Une fois la liaison effectuée, vous pouvez télécharger vos trajets sur Strava en vous connectant.
A préciser que l’application Companion est disponible en version IOS et Android. Ce qui vous permet de faciliter votre parcours, autant pour vous entraîner que pour faire des courses.
Si vous voulez être mis au courant des événements propres aux zwifters, n’hésitez pas à les voir sur Zwift Academy.
Combien coûte Zwift ?
Zwift propose deux principales options d’abonnement : mensuel et annuel. Le coût de l’abonnement mensuel a récemment augmenté à 19,99 USD par mois, contre 14,99 USD précédemment, soit une augmentation d’environ 33 %. L’abonnement annuel, quant à lui, est facturé 199,99 USD, ce qui représente une économie de deux mois par rapport au paiement mensuel.
Ces abonnements offrent un accès complet à toutes les fonctionnalités de Zwift, incluant les nouveaux mondes, les cartes d’événements, et les améliorations continues apportées à l’expérience utilisateur. Zwift continue d’innover avec des ajouts comme de nouvelles ascensions, des événements spéciaux en lien avec des compétitions majeures comme le Tour de France, et des intégrations avec des programmes d’entraînement tiers pour un régime d’entraînement personnalisé.
Comparaison avec d’autres plateformes d’entraînement virtuel
Zwift s’est imposé comme un leader des plateformes d’entraînement virtuel, mais des alternatives comme Rouvy, TrainerRoad et Peloton proposent des expériences distinctes.
Rouvy se distingue par sa technologie de réalité augmentée, permettant aux cyclistes de rouler sur des routes réelles avec des paysages immersifs. Contrairement à Zwift, qui offre des mondes virtuels imaginaires, Rouvy mise sur le réalisme.
De son côté, TrainerRoad se concentre sur l’entraînement structuré, avec des plans personnalisés basés sur la puissance et des analyses détaillées des performances. C’est une option idéale pour les cyclistes sérieux qui recherchent une progression mesurable, bien que moins ludique que Zwift.
Enfin, Peloton propose une approche différente, axée sur des cours interactifs animés par des coachs en direct. Si Zwift excelle dans la gamification et la simulation, il pourrait s’inspirer de ces concurrents pour améliorer ses options de coaching en direct ou intégrer des parcours réels.
Nouvelles mises à jour, nouveau souffle sur Zwift
Zwift n’en finit plus de pédaler vers l’avenir. La dernière salve de mises à jour va faire plaisir à tous les accros du home-trainer.
D’un côté, nous avons la version 3.70 de l’app Zwift Companion, disponible depuis le 5 juin 2025. Plus fluide et plus stable, elle simplifie les interactions en direct avec la plateforme. Que ce soit pour envoyer un petit ride-on ou changer de vue caméra, tout est plus rapide, plus intuitif.
De l’autre côté, côté gameplay pur, la mise à jour 1.91 du jeu Zwift est arrivée le 10 juin 2025. Dans cette mise à jour, un chrono de splits a fait son apparition dans le HUD, et c’est hyper pratique pour suivre ses performances sur des segments précis. Nous retrouvons aussi l’analyse de puissance critique sur plusieurs durées. Franchement, c’est l’idéal pour mieux comprendre ses points forts (et ses faiblesses…).
Par ailleurs, Zwift soigne l’expérience jusqu’au moindre détail. Les menus sont plus clairs, la navigation plus agréable. L’ensemble donne une vraie impression de fluidité et de contrôle, surtout pendant l’effort. Les retours des utilisateurs semblent déjà très positifs.
Ce genre de mises à jour montre bien que Zwift continue d’écouter sa communauté et de faire avancer le vélo connecté à toute vitesse. Alors, si vous n’avez pas encore appuyé sur « mettre à jour », c’est le moment… Et n’oubliez pas la saison printemps 2025 qui a été dévoilée en avril dernier.
FAQ Zwift
Qu’est-ce que Zwift exactement ?
Zwift est une plateforme virtuelle de cyclisme et de running. Elle permet de s’entraîner ou de courir avec d’autres, dans un univers 3D connecté. Il faut un home-trainer compatible et un capteur de puissance pour en profiter pleinement.
Est-ce que Zwift est payant ?
Oui. Il existe une période d’essai gratuite, mais l’abonnement mensuel est ensuite nécessaire. Zwift propose aussi des événements ouverts à tous.
Puis-je utiliser Zwift en extérieur ?
Pas directement. Mais Zwift permet désormais d’importer des séances faites dehors via Garmin ou Wahoo. Pratique pour garder un œil sur sa progression, même loin du home-trainer.
Sur quelles plateformes Zwift fonctionne-t-il ?
Zwift est disponible sur Windows, macOS, iOS, Apple TV et Android. Une bonne connexion internet est indispensable.
Comment Zwift évolue-t-il ?
Des mises à jour régulières ajoutent du contenu, corrigent des bugs ou améliorent l’interface. La communauté joue aussi un rôle clé, en partageant ses retours pour faire progresser l’expérience.
La réalité virtuelle s’annonce encore plus immersive en 2025 grâce au PSVR2. Avec une gamme de titres captivants prévue pour l’année, le casque de Sony promet des expériences à couper le souffle.
Voici un tour d’horizon des nouveautés les plus excitantes qui feront vibrer les amateurs de VR.
The Midnight Walk : une aventure en argile et en obscurité
The Midnight Walk, prévu pour le printemps 2025 sur PSVR2, redéfinit l’esthétique des jeux VR. Conçu avec une minutie artistique, ce jeu plonge les joueurs dans un univers dark fantasy où tout, des monstres aux arbres, a été sculpté en argile et animé en stop motion.
Vous incarnez The Burnt One, accompagné de Potboy, une créature lanterne, dans un voyage où lumière et obscurité se côtoient. « Chaque détail dérangeant a été réalisé à la main », souligne l’équipe de développement. Avec le PSVR2, le suivi oculaire ajoute une dimension immersive unique. Le jeu mêle exploration, énigmes et stratégie pour échapper aux créatures avides de votre flamme.
X8, des héros numériques dans une quête unique
X8 apporte un scénario original à l’univers des jeux tactiques en ligne. Ce FPS 5v5 invite les joueurs à incarner des héros d’univers numériques détruits par un mystérieux cataclysme. Leur mission ? Gagner un moteur de jeu pour retrouver leur monde.
Bien que sa date de sortie reste inconnue, le concept attire déjà. « L’idée d’héros issus de mondes effacés rivalisant dans des escarmouches explosives est fascinante », écrit un analyste de l’industrie. Avec des mécaniques similaires à Firewall Ultra, X8 promet de s’imposer comme un incontournable du PSVR2.
FlatOut VR, retour fracassant des courses d’arcad
Absent depuis 2017, FlatOut fait un retour inattendu sur PSVR2. Le jeu conserve son ADN de courses chaotiques et d’action à grande vitesse, mais avec une nouvelle dimension immersive.
Bien que les détails soient rares, les premières images révèlent des courses endiablées et des collisions spectaculaires. Les fans de sensations fortes attendent avec impatience cette réinvention d’un classique.
POOLS
Plus proche d’une galerie d’art interactive que d’un jeu classique, POOLS joue sur les émotions et les perceptions. Inspiré des phénomènes Internet comme Liminal Spaces, ce titre plonge les joueurs dans des environnements minimalistes mais oppressants.
Sans monstres ni narration conventionnelle, le jeu utilise les sons et les changements subtils pour créer une tension palpable. Chaque chapitre, d’une durée de 10 à 30 minutes, offre une atmosphère unique. L’expérience promet de marquer ceux qui recherchent l’innovation sensorielle.
Heroes of Forever
Les créateurs de Hotshot Racing explorent de nouveaux horizons avec Heroes of Forever, un FPS low-poly inspiré des jeux de tir des années 90. Vous incarnez un agent du Time Enforcement Command, chargé de préserver l’équilibre multiversel face à une mystérieuse corruption.
Avec des mécaniques de tir rapides, des environnements dynamiques et un mode coopératif jusqu’à quatre joueurs, Heroes of Forever combine nostalgie et innovation. « C’est une célébration des jeux d’arcade classiques avec une touche moderne », explique un développeur.
Aces of Thunder, la guerre aérienne réaliste
Développé par les créateurs de War Thunder, Aces of Thunder promet des batailles aériennes immersives dans des avions de la Seconde Guerre mondiale. Pensé exclusivement pour le PSVR2 en 2025, le jeu mise sur le réalisme avec des modèles de vol et de dégâts physiquement précis.
Les joueurs pourront piloter des avions légendaires et participer à des combats multijoueurs intenses. « Une expérience qui repousse les limites de la réalité virtuelle », commente un expert. Bien que la date de sortie ne soit pas confirmée, le titre figure déjà parmi les plus attendus.
FAQ
Quand le PSVR2 a-t-il été lancé ?
Le PSVR2 a été lancé le 22 février 2023. Il s’agit du second casque de réalité virtuelle de Sony, conçu exclusivement pour la PlayStation 5 (PS5).
Les jeux PSVR1 sont-ils compatibles avec PSVR2 ?
Certains jeux PSVR1 sont compatibles avec le PSVR2 grâce à une fonctionnalité de rétrocompatibilité. Toutefois, tous les jeux PSVR1 ne sont pas automatiquement compatibles. Il est nécessaire de vérifier la liste des jeux compatibles sur le PlayStation Store ou sur des sites spécialisés.
Les jeux PSVR2 supportent-ils la réalité virtuelle 4K ?
Oui, le PSVR2 est conçu pour supporter des résolutions allant jusqu’à 4K HDR (2000 x 2040 pixels par œil). Cela permet aux jeux VR d’offrir une qualité visuelle bien supérieure par rapport au PSVR1, avec un rendu plus détaillé et plus immersif.
Avec un casque de réalité virtuelle (VR) sur la tête, autant profiter du meilleur. Certains accessoires peuvent vraiment tout changer et rendre l’expérience encore plus satisfaisante. Voici de quoi passer la réalité virtuelle en mode grand spectacle en 2025.
Qu’il s’agisse de piloter un vaisseau spatial, de visiter des lieux inaccessibles dans la vie réelle ou de participer à un concert virtuel, disposer du bon matériel change tout. Un bon accessoire rend les sensations plus naturelles ou renforce la sensation de présence. La bonne nouvelle est que les accessoires ne cessent de se diversifier. Voici un tour d’horizon des indispensables pour profiter pleinement de la VR en 2025.
Le DriVR Elite, un accessoire pour vos parties de golf en réalité virtuelle
Tout joueur de jeux VR sait que les manettes ne sont pas de simples gadgets. Ces accessoires rendent chaque mouvement crédible. En 2025, certains contrôleurs sont particulièrement recommandés. C’est le cas du DeadEyeVR DriVR Elite, très apprécié des amateurs de golf en VR.
Attention, il ne s’agit pas d’une simple extension de manette. Cet accessoire reproduit le poids et la forme d’un véritable club de golf. Une fois en main, les swings prennent une autre dimension. L’inertie est bien présente, comme sur un vrai green. Sa taille un peu plus courte évite les accidents dans le salon, mais conserve une sensation réaliste.
Le DriVR Elite s’intègre nativement au jeu Golf+, activable directement depuis le menu du jeu. Et pour les passionnés de mini-golf, la marque a aussi une version spécialement conçue pour le putting. Notons que cet accessoire est conçu exclusivement pour l’écosystème Meta Quest (Meta Quest 2, Quest 3 / 3S, Quest Pro)
Le support universel AMVR, un rangement pratique et stylé pour tous les casques VR
Le support universel AMVR est un socle élégant qui peut accueillir la majorité des casques VR du marché — Meta Quest 2 / 3 / 3S / Pro, Pico 4, Apple Vision Pro, PSVR 2, voire HTC Vive et Valve Index. C’est un indispensable pour quiconque souhaite garder son casque et ses accessoires bien organisés, en sécurité et toujours accessibles.
Grâce à ce support, il n’y a risque de chute ni de glissade. Avec son grand compartiment, tous les petits accessoires trouvent leur place au même endroit. Sa tête arrondie prend soin des lentilles comme un vrai garde du corps. En plus d’être pratique, il donne un look moderne et soigné à la zone de jeu.
La sangle de soutien pour casque VR Cover pour un maintien parfait
L’Universal Headset Support Strap de VR Cover permet de mieux répartir le poids du casque sur la tête, en particulier sur le sommet du crâne. Cela réduit la pression sur le visage et limite la fatigue pendant les longues sessions de jeu ou de travail en VR. Une fois installé, le casque ne bouge plus d’un millimètre, même en pleine action.
Contrairement aux sangles spécifiques à un modèle, cette sangle adapte le confort à quasiment tous les casques VR du marché grâce à ses fixations universelles. C’est une solution multi-marques pour les utilisateurs qui ont plusieurs casques ou envisagent un autre modèle à l’avenir.
Les écouteurs SteelSeries Arctis Nova 4, l’atout audio des plateformes VR en 2025
Le SteelSeries Arctis Nova 4 est un casque sans fil très polyvalent, que l’on peut utiliser sur de nombreuses plateformes. Son système audio Nova procure un son spatial à 360° pour ressentir chaque détail dans un jeu VR. Grâce à sa connexion sans fil en 2.4 GHz via un dongle USB-C, la latence est réduite au minimum. Avec une autonomie impressionnante de 36 heures, il tient la distance. La charge rapide permet de récupérer plusieurs heures d’écoute en seulement 15 minutes.
Le casque est aussi très confortable, avec quatre réglages, une mousse à mémoire de forme et un bandeau extensible, pour un ajustement sur mesure même lors de longues sessions. Son microphone ClearCast Gen 2, rétractable et doté d’une annulation active du bruit, assure des échanges nets.
Enfin, sa compatibilité est large : il fonctionne avec PC, PlayStation, Nintendo Switch, Mac, Steam Deck, appareils mobiles et bien sûr de nombreux casques VR via USB-C, comme le Meta Quest 2 ou le PlayStation VR2.
AMVR Dual Wielding Kit, l’accessoire parfait pour les tireurs virtuels
Les amateurs de jeux de tir en réalité virtuelle savent à quel point les manettes standards peuvent parfois casser un peu l’ambiance. C’est là que l’AMVR Dual Wielding Kit entre en scène. Avec cet accessoire, les manettes du Meta Quest 3 ou 3S se transforme en crosses d’armes. Le kit contient deux crosses, pour manier deux armes à la fois, avec toute la classe que cela implique.
Mais ce n’est pas qu’une question de style. Le poids des crosses procure une meilleure sensation lors des tirs. La visée est plus stable et plus précise. Et malgré son look un peu musclé, l’ensemble reste facile à fixer et à prendre en main.
Conçu pour les dernières générations de manettes Quest, le Dual Wielding Kit d’AMVR a déjà conquis de nombreux joueurs. Pour les mordus de FPS VR comme Arizona Sunshine ou Pistol Whip, c’est clairement un petit plus qui change tout.
Les protections antidérapantes AMVR pour une meilleure prise en main des manettes
Les AMVR Controller Grips Cover sont des protections antidérapantes pour manettes. Ils sont fabriqués en silicone antidérapant, ce qui leur donne une texture douce et une meilleure prise en main. Ces grips s’enfilent directement sur les manettes. Ils remplacent les coques d’origine sans gêner l’accès aux boutons ou capteurs.
De plus, ces grips restent compatibles avec les sangles d’origine, pour ne rien perdre en sécurité. Le confort est au rendez-vous grâce aux sangles ajustables qui entourent les doigts sans serrer trop fort. Idéal pour garder la maîtrise même lors de mouvements rapides ou intenses.
Le tapis circulaire Skywin VR Mat pour jouer en toute sécurité en 2025
Le Skywin VR Mat est un tapis rond pensé pour la réalité virtuelle. Avec ses 89 centimètres de diamètre, cet accessoire devient vite un allié précieux pour rester bien centré pendant le jeu. Grâce à sa surface en relief, les pieds sentent instinctivement la bonne orientation, ce qui évite bien des maladresses. Fini les glissades ou les pas de travers : la matière antidérapante assure une bonne accroche au sol. Sa mousse épaisse soulage les pieds et limite la fatigue.
Le tapis agit un peu comme une barrière invisible. Il aide à ne pas sortir de sa zone de jeu ou bousculer les meubles du salon. Outre cela, il fonctionne avec la plupart des casques VR du marché. Meta Quest, Pico 4 Ultra, PSVR, Reverb G2, HTC Vive ou Valve Index, tout le monde y trouve son compte.
Le gilet haptique bHaptics TactSuit Pro, l’accessoire ultime pour ressentir la VR
Le bHaptics TactSuit Pro est un gilet haptique qui apporte une belle dose de réalisme aux aventures en réalité virtuelle. Grâce à ses 32 moteurs placés sur le haut du corps, chaque vibration constitue une sensation physique. Une explosion, une flèche, un choc, tout se ressent directement.
Ce gilet fonctionne parfaitement avec les casques Meta Quest mais aussi avec les PSVR2 et les casques PC VR comme le Valve Index ou le HTC Vive. La connexion peut se faire en Bluetooth ou par câble jack 3,5 mm selon les préférences ou les besoins techniques.
Et pour les passionnés plus pointus, des modèles comme le Pico 4, Varjo XR-4 ou encore le Pimax Crystal sont également pris en charge. Avec plus de 270 jeux déjà compatibles, ce gilet est une solution presque universelle pour ressentir vraiment ce qui se passe en jeu.
Le « NexiGo VR Cable Management System » pour suspendre vos câbles
Le « NexiGo VR Cable Management System » est un accessoire malin qui améliore nettement le confort en réalité virtuelle. Il suspend les câbles au plafond grâce à des mousquetons rétractables, ce qui évite de marcher dessus ou de s’emmêler les pieds pendant le jeu.
Facile à installer, il se fixe avec des adhésifs ou des vis selon les préférences. Chaque fil peut s’étirer jusqu’à 1,5 mètre pour suivre naturellement les mouvements, sans tirer ni gêner. Son caoutchouc antichoc réduit les bruits et les tensions pendant l’action. Ce système s’adapte à presque tous les casques VR du marché.
Ces accessoires, aussi discrets soient-ils, forment un ensemble qui rend la réalité virtuelle bien plus intéressante. La VR version 2025 a clairement de quoi séduire avec autant de choix.
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Méthodologie
Pour composer ce classement, nous avons évalué chaque agence génération de leads selon sa capacité à générer des contacts qualifiés, la clarté de son offre, ses références tech, et surtout l’adéquation avec vos besoins VR/AR. Nous avons aussi pris en compte les données disponibles comme les taux d’ouverture, volume de leads, preuves clients et optimisations de campagnes.
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Le top 3 de la rédaction – juillet 2025
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Meta rêve d’un futur VR où les casques ne pèseraient pas plus qu’une simple paire de lunettes. Les cerveaux de Reality Labs planchent sur des prototypes à champ de vision ultra-large, sans alourdir la tête. Ils cherchent à offrir une vue panoramique, un confort léger et une technologie de pointe dans un tout petit format.
Juste avant la conférence SIGGRAPH 2025, les chercheurs de Reality Labs chez Meta ont présenté deux nouveaux prototypes. Ces casques affichent tous les deux un champ de vision ultra-large de 180 degrés, soit presque deux fois plus que le Quest 3, mais dans un format tout mini. Les deux adoptent de nouvelles optiques pour offrir un max d’immersion, sans ressembler à une boîte sur la tête.
Ces nouveaux prototypes ressemblent un peu à des grosses lunettes de protection. Mais l’intérêt, c’est qu’ils pèsent moins sur le nez sur la durée. D’autres casques, comme ceux de Pimax, ont un champ de vision aussi large, mais avec un format bien plus encombrant. Meta semble donc viser le juste milieu : plus immersif qu’une paire de lunettes AR, mais bien plus discret qu’un casque VR classique.
Le premier prototype est un casque VR, qui utilise des lentilles ultra-courbées et des polariseurs spéciaux. Le second, version réalité mixte, reprend le même design mais ajoute quatre caméras passthrough. Ainsi, il présente une vue ultra-large et nette, avec une résolution totale de 80 mégapixels à 60 images/seconde. À côté, les Quest 3 et Vision Pro font un peu pâle figure avec leurs 4 et 6,5 mégapixels. Mais qu’en est-il du troisième prototype ?
Meta développe un prototype de casque VR aux 90 PPD
Meta travaille sur un troisième prototype de casque VR, encore secret niveau design. Il atteint une densité de pixels de 90 PPD (« pixels par degré »), bien au-dessus des 25 PPD du Quest 3 ou des 34 de l’Apple Vision Pro.
Pour situer, à partir de 60 PPD, l’œil ne voit plus les pixels, mais en conditions idéales, il peut distinguer jusqu’à 120 PPD. Bref, on se rapproche sérieusement de la vision humaine. Ce casque affiche aussi une luminosité record de 1 400 nits, soit 14 fois plus que les casques classiques.
Par contre, son champ de vision n’est pas encore connu. Il sera dévoilé au SIGGRAPH 2025, mais inutile de sortir la carte bleue : ce n’est pas un produit prévu pour la vente. Meta le présente comme une « machine à remonter le temps » pour tester des idées futuristes et affiner ses recherches.
Vous pensiez garder votre casque Aero encore quelques années ? Varjo enterre toute sa gamme XR précédente dès 2026, y compris l’Aero adoré des passionnés. Une annonce brutale qui change la donne pour tous les utilisateurs. À partir du 1er janvier 2026, Varjo cessera toute prise en charge de ses casques XR de troisième génération. ... Lire la suite
Vous rêvez d’un jeu érotique qui vous excite vraiment ? Vous cherchez un simulateur porno qui vous laisse totalement libre ? SexEmulator pourrait bien répondre à vos attentes… et même les dépasser.Nous avons longuement exploré cette plateforme pour vérifier si elle tient réellement ses promesses.
SexEmulator Simulateur porno 3D interactif, ultra personnalisable, fluide et réaliste
SexEmulator réussit là où beaucoup échouent : il met l’utilisateur aux commandes, sans friction ni détour. L’interface est claire, la prise en main immédiate, les scènes sont personnalisables à l’extrême. Le rendu visuel est soigné, les animations sont fluides, et les réactions faciales apportent une vraie crédibilité. Selon un utilisateur régulier : « C’est la première fois que je ressens une telle liberté dans un jeu érotique. » Si vous cherchez une expérience érotique interactive sans contraintes techniques, notre avis sur SexEmulator est clairement positif. Ce simulateur mérite l’attention de tout joueur adulte exigeant. Après un test complet, nous lui attribuons une note de 8,5/10.
On aime
Personnalisation très poussée
Animations fluides réalistes
On aimemoins
Pas de narration
Style parfois cartoon
Les jeux porno ont bien évolué depuis les visuels pixelisés et les clics maladroits des années 2000. Aujourd’hui, ils se veulent interactifs, stylisés, personnalisables, et surtout, excitants. L’objectif n’est plus seulement de regarder : c’est de participer, d’explorer, de dominer ou de se laisser faire. Ces jeux érotiques nouvelle génération ne s’adressent plus uniquement à des geeks en manque de tendresse virtuelle. Ils ciblent des adultes lucides, curieux, exigeants, en quête d’une expérience sensuelle façonnée sur mesure.
Dans cet univers en pleine explosion, SexEmulator s’impose comme un outsider ambitieux. Le concept ? Une simulation 3D en temps réel, entièrement contrôlée par vos envies. Mais au-delà des promesses aguichantes, que vaut réellement SexEmulator une fois le jeu lancé ? Nous avons mené notre propre test pour le savoir.
Nous avons commencé par analyser l’interface : clarté des menus, accessibilité des options, réactivité globale. Ensuite, nous avons configuré différentes scènes personnalisées, en variant les personnages, les décors, les positions et les ambiances, afin de juger de la richesse du moteur de création. Chaque paramètre a été modifié manuellement pour évaluer la profondeur de personnalisation proposée.
Nous avons aussi apporté une attention particulière à la fluidité des animations, aux transitions entre les postures, à la qualité des expressions faciales et à la cohérence visuelle des décors. Ce n’est pas tout, nous avons testé la prise en main sans tutoriel, en simulant le comportement d’un nouvel utilisateur, pour observer si l’expérience restait fluide et intuitive.
Enfin, nous avons évalué la variété des styles, l’intensité progressive des scènes, la pertinence des sons, et la capacité du jeu à maintenir un intérêt réel sur plusieurs séances.
SexEmulator : c’est quoi exactement ?
SexEmulator est un jeu porno interactif en 3D, pensé pour celles et ceux qui veulent prendre le contrôle de leur excitation. Développé par HentaiClick, un studio indépendant spécialisé dans les simulateurs sexuels, il a vu le jour en 2019, d’abord dans une version web basique. Depuis, l’équipe n’a cessé d’enrichir le projet : nouveau moteur graphique, personnalisation plus fine, compatibilité VR, et surtout une progression centrée sur l’utilisateur.
L’objectif de la plateforme est de proposer une expérience érotique entièrement modelée sur les désirs du joueur. Autrement dit, vous créez vos personnages, choisissez leurs traits, définissez les positions, les décors, le rythme, les voix…. Rien n’est imposé, tout est à construire. Contrairement à d’autres jeux X où l’on clique passivement pour déclencher des scènes figées, ici l’interaction est au cœur du plaisir.
Bien que l’univers des jeux porno sans inscription attire beaucoup par sa promesse d’accès immédiat, SexEmulator exige quant à lui une inscription préalable. Ce choix permet de sauvegarder vos scènes, de retrouver vos préférences, et d’explorer l’ensemble des fonctionnalités sans restriction. Un compromis logique pour une expérience beaucoup plus aboutie.
SexEmulator adopte les couleurs noir, fuchsia et gris foncé. Les boutons principaux sont regroupés sur la gauche, bien visibles, avec des icônes assez claires pour qu’on n’ait pas besoin de survoler chaque ligne. Le centre de l’écran affiche le décor 3D, en plein écran À droite, les paramètres contextuels s’affichent au bon moment. Il n’y a pas de menus flottants dans tous les sens.
A part cela, il n’y a pas de musique inutile, pas d’animations de chargement interminables, ça réagit vite. Vous voulez bouger une caméra, changer une expression ou passer à une autre position ? Tout est accessible en un clic, sans avoir à quitter la scène. On n’a pas eu à fouiller pendant des heures dans des menus planqués ou des sous-catégories tordues. Chaque commande tombe sous la main, comme si elle avait été testée par quelqu’un qui déteste perdre du temps.
Comment trouver les meilleurs jeux porno sur SexEmulator ?
Sur SexEmulator, il ne s’agit pas d’enchaîner des jeux au sens traditionnel du terme. Ce n’est pas une plateforme avec des niveaux, des classements ou des “mini-jeux” séparés. Le cœur du concept, c’est le moteur 3D personnalisable, dans lequel chaque scène est créée en fonction de vos choix.
Pour trouver les expériences les plus excitantes, voici ce qu’on recommande :
Commencez par les scènes préconfigurées : elles sont accessibles dès l’accueil et proposent les meilleures combinaisons de postures, de personnages et d’ambiances. Ce sont souvent les plus travaillées.
Explorez la galerie communautaire (si disponible selon votre version) : certains utilisateurs partagent leurs créations. Vous y trouverez des positions, décors et expressions déjà paramétrés.
Testez les différents styles physiques : réalistes, animés, cartoon… Le rendu change beaucoup selon les préférences. On vous conseille de tester plusieurs shaders ou modèles corporels pour voir ce qui vous stimule le plus.
Modifiez les scripts automatiques : certaines scènes peuvent être “automatisées” avec des boucles de mouvements ou des réactions programmées. C’est souvent là que l’intensité monte d’un cran.
Utilisez les tags intelligents : corps musclé, soumise, dominatrice, seins naturels, cosplay… Ces filtres permettent d’aller droit au but.
Sachez qu’il n’y a pas de meilleur jeu unique sur SexEmulator, c’est votre imagination qui fait le gameplay.
Comment bien jouer sur SexEmulator ?
Encore une fois, l’objectif sur la plateforme n’est pas de chercher à gagner ou à finir un niveau. C’est une expérience que vous construisez vous-même, scène après scène, selon vos propres envies. Pour en profiter pleinement, il faut prendre le temps de s’approprier l’outil.
Tout commence par la création des personnages. En ajustant les traits du visage, la morphologie, les expressions et même le ton de la voix, vous définissez ce qui va vous stimuler. Plus vous vous attachez aux détails, plus la scène gagne en intensité.
L’ambiance joue aussi un rôle central. Le décor n’est pas là pour faire joli, il influence la dynamique de la scène. Un loft urbain, une chambre cosy ou une plage au crépuscule n’auront pas le même impact sensoriel. L’idée, c’est de créer une bulle, un climat, une tension douce qui monte avant l’action. Une fois la scène lancée, ne foncez pas tête baissée. Alternez les rythmes, jouez avec les vitesses et les expressions, laissez place aux silences et aux regards. L’intensité vient souvent de la montée, pas de la brutalité.
N’oubliez pas non plus de déplacer la caméra, de varier les angles, de zoomer sur certains détails. Ce sont ces petits ajustements qui créent une sensation d’intimité réelle. Certains préféreront activer les sons, d’autres choisiront de tout couper pour se concentrer sur l’image. Là encore, il n’y a pas de règle, seulement des préférences à explorer.
Enfin, ne vous censurez pas : essayez, testez, recommencez. Vous pouvez tout sauvegarder, modifier, affiner. SexEmulator est un terrain de jeu sans tabou, qui récompense la curiosité et l’imagination. Si vous vous contentez de cliquer mécaniquement, vous passerez à côté. Si vous entrez dans la logique du jeu, vous comprendrez vite ce qui le rend aussi addictif.
Visuellement, SexEmulator se positionne dans le haut du panier des simulateurs porno. Les corps sont bien modélisés, avec des textures détaillées, des reflets naturels sur la peau, et des proportions qui, même si elles flirtent parfois avec l’exagération, restent cohérentes. Les animations ne sont pas raides : les mouvements suivent un rythme souple, fluide, sans à-coups visibles.
Ce qui frappe aussi, c’est le soin apporté aux expressions faciales. Les regards se croisent, les bouches s’entrouvrent, les froncements ou soupirs s’ajustent à l’intensité de la scène. On est très loin des visages figés ou des grimaces mécaniques qui pullulent dans les jeux porno gratuits en ligne. Ici, chaque scène semble vivante. Et quand l’image commence à respirer, c’est toute l’expérience qui prend un autre niveau.
SexEmulator Simulateur porno 3D interactif, ultra personnalisable, fluide et réaliste
SexEmulator réussit là où beaucoup échouent : il met l’utilisateur aux commandes, sans friction ni détour. L’interface est claire, la prise en main immédiate, les scènes sont personnalisables à l’extrême. Le rendu visuel est soigné, les animations sont fluides, et les réactions faciales apportent une vraie crédibilité. Selon un utilisateur régulier : « C’est la première fois que je ressens une telle liberté dans un jeu érotique. » Si vous cherchez une expérience érotique interactive sans contraintes techniques, notre avis sur SexEmulator est clairement positif. Ce simulateur mérite l’attention de tout joueur adulte exigeant. Après un test complet, nous lui attribuons une note de 8,5/10.
C’est une page qui se tourne pour Varjo. La société finlandaise a mis fin à la prise en charge de ses casques XR de troisième génération, dont les très performants XR-3, VR-3 et Varjo Aero. À compter du 1er janvier 2026, ces modèles ne recevront plus de mises à jour ni de support technique. Le fabricant se concentre désormais sur le développement de la série XR‑4.
Après que Microsoft a annoncé la fin de vie du HoloLens, c’est au tour de Varjo de tirer un trait sur le passé. Le fabricant a confirmé que ses casques XR de troisième génération ne bénéficieront plus d’aucun support à partir du 1er janvier 2026. Cela inclut les modèles XR-3, VR-3 et le Varjo Aero.
L’entreprise souhaite désormais concentrer ses ressources sur ses nouvelles ambitions. Elle indique que ses efforts sont dirigés vers la production et le développement de sa nouvelle gamme. Il s’agit des casques XR-4, introduits sur le marché fin 2023.
Dans sa foire aux questions, l’entreprise explique que son logiciel compagnon, Varjo Base, continuera de recevoir des mises à jour et des correctifs jusqu’au 1er janvier 2026. Passé cette échéance, les utilisateurs pourront toujours faire fonctionner leurs casques avec les anciennes versions du logiciel. Mais il n’y a aura plus d’accès aux améliorations ou aux optimisations futures.
Support et compatibilité en question pour les casques Varjo de troisième génération
La marque Varjo souligne aussi qu’elle ne peut assurer une compatibilité totale entre ses anciens casques et les futures évolutions logicielles et matérielles. Cela concerne notamment les prochaines versions de Windows, les mises à jour du suivi SteamVR, les nouveaux pilotes NVIDIA, les moteurs de jeu, et les solutions de tracking développées par d’autres entreprises.
En clair, ces modèles pourraient devenir moins adaptés avec le temps, à cause de l’évolution constante des technologies environnantes.
Varjo va arrêter le support technique et développeur pour ses casques de troisième génération. Cela dit, les utilisateurs ne seront pas totalement laissés de côté. Un forfait baptisé « Varjo Extended Compatibility Package » sera proposé en option. Il permettra de prolonger la compatibilité avec SteamVR, les pilotes NVIDIA et les versions majeures actuelles de Windows. Ce pack comprendra aussi des mises à jour de sécurité essentielles, et ce, jusqu’au 1er janvier 2028.
Notons que les casques XR-3, VR-3 et Varjo Aero ne sont plus disponibles à la vente sur la boutique Varjo, la production de ces appareils ayant cessé.
Grimpez, explorez, résolvez : trois régions cachent désormais des secrets que seuls les plus curieux perceront. Ilysia VR relance sa phase de test avec un défi à relever pour chaque aventurier connecté.
Team 21 propose une nouvelle phase de test sur son MMORPG VR Ilysia, disponible en accès PTR. Cette version expérimentale introduit plusieurs nouveautés et invite les joueurs à explorer des zones inédites. Trois régions du jeu ont été sélectionnées pour accueillir ces améliorations. Ces dernières incluent des quêtes secondaires et principales, ainsi qu’un parcours de parkour.
Tidehaven : un défi d’agilité en hauteur
La zone de Tidehaven devient le théâtre d’un nouveau défi vertical. Les joueurs y trouveront une aire dédiée au parkour, pensée pour tester leur agilité et leur patience. L’objectif est simple : atteindre le sommet en évitant les pièges du décor. « Nous voulions créer un espace qui combine précision et exploration », explique Team 21 dans le message publié sur Steam. Ce parcours met à l’épreuve les mécaniques de déplacement spécifiques à la réalité virtuelle.
Quêtes inédites dans les zones 5 et 6
La zone 5, baptisée Bassin de Stillwater, accueille des grottes remplies de nouvelles quêtes à explorer. Quêtes principales et annexes y sont proposées, ce qui permet aux testeurs de mesurer l’évolution narrative.
Quant à la zone 6, Silvershore, elle s’inscrit dans cette même logique, avec un contenu narratif enrichi. Ces deux régions renforcent le contenu solo et collaboratif, tout en exploitant davantage les environnements existants.
Tous les fans de MMORPG souhaitant accéder à cette version doivent consulter la page d’annonce du PTR sur Steam. Chaque personnage du serveur test sera automatiquement placé au niveau 10 avec un équipement adapté. Une quête spéciale permettra de démarrer directement dans la zone 5, afin de ne pas perdre de temps avec la progression initiale. L’équipe précise : « L’expérience est conçue pour observer les réactions en situation de jeu réelle. »
Une semaine d’expérimentations attendue
Le PTR d’Ilysia VR devrait rester ouvert au moins une semaine, avec des correctifs diffusés en continu. Certains bugs ou soucis techniques peuvent survenir, mais l’objectif est de recueillir un maximum de retours. Team 21 compte sur la communauté pour détecter les défauts. Cette initiative témoigne d’un souci d’amélioration continue. Le but est de renforcer le lien entre développeurs et joueurs réguliers.
Sloclap, le studio français renommé pour Sifu, a surpris toute la communauté des jeux vidéo en annonçant Rematch. Ce changement de cap a suscité de nombreuses discussions parmi les fans et les critiques. L’article explore les raisons de cette transition audacieuse. Il analyse les réactions de la communauté de joueurs face à cette annonce inattendue. ... Lire la suite