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Si vous voulez maintenir les performances de votre Système vous devez le nettoyer régulièrement.
C'est comme la vie quotidienne dans une habitation : si vous ne la rangez pas, ne la nettoyez pas et ne jetez pas les déchets fréquemment, cela deviendra très compliqué pour vous. 😁
Je vous propose ce logiciel puissant qui a un nombre impressionnant de fonctionnalités.
Il est utilisable de Windows XP à Windows 11 et une fois installé il peut générer une version portable.
Je vous avais permis de télécharger la version 7.0.9 de Wise Care à la fin de l'année dernière, voici aujourd'hui la toute dernière la 7.2.7.
Attention, ce bon plan ne concerne que cette 7.2.7, refusez toute proposition de mise à jour.
Vous vous souvenez quand ChatGPT est sorti fin 2022 ? La panique dans les open spaces, les titres clickbait sur la fin du travail tel qu’on le connaît, votre vieux cousin qui vous expliquait pépouse que dans 6 mois tous les devs seraient au chômage ?
Bon ben voilà, Yale vient de publier
une étude qui remet les pendules à l’heure
. Et je vous spoile un peu : 33 mois après le lancement de ChatGPT, le marché du travail n’a toujours pas implosé.
Cette étude a pris le temps d’analyser les données au lieu de surfer sur la panique ambiante et Martha Gimbel et son équipe du Budget Lab de Yale ont ainsi passé au crible l’évolution de l’emploi américain depuis novembre 2022, et leurs conclusions sont plutôt rassurantes. Enfin, rassurantes dans un sens. Parce que si vous êtes un jeune diplômé en début de carrière, l’histoire est un poil différente. Mais j’y reviens après.
L’idée de départ de l’étude est assez simple. On a vécu des bouleversements technologiques majeurs par le passé tels que l’arrivée des ordinateurs au bureau dans les années 80, l’explosion d’Internet à la fin des années 90. Et à chaque fois, c’est la même apocalypse annoncée, la même angoisse collective… Du coup, les chercheurs se sont demandé : est-ce que cette fois c’est vraiment différent ? Est-ce que l’IA générative change le marché du travail plus vite que les révolutions technologiques précédentes ?
Pour répondre à ça, nos petits chercheurs ont utilisé un truc qu’ils appellent l’indice de dissimilarité. En gros, ça mesure à quel point la répartition des métiers dans l’économie change au fil du temps. Par exemple si 7% de travailleurs en 2002 devaient changer d’occupation pour retrouver la même répartition qu’en 1996, l’indice est de 7 points de pourcentage. C’est une façon de quantifier le bordel causé par une nouvelle technologie.
Et alors, résultat des courses ?
Et bien le marché du travail américain change effectivement un peu plus vite depuis ChatGPT qu’il ne changeait pendant les périodes de comparaison, mais vraiment pas de beaucoup. On parle d’environ 1 point de pourcentage de différence par rapport à l’époque de l’adoption d’Internet. Si vous regardez les graphiques, les courbes sont presque superposées donc vraiment de quoi déclencher l’état d’urgence.
Et quand les chercheurs y ont regardé de plus près, ils se rendu compte que cette accélération avait même commencé avant la sortie de ChatGPT. En fait, dès 2021, la répartition des métiers changeait déjà à ce rythme-là, donc attribuer ces changements à l’IA générative, c’est un peu hasardeux. C’était peut-être juste la reprise post-COVID, le télétravail qui a tout boulversé, ou une combinaison de facteurs qu’on ne comprend pas encore bien.
Les chercheurs ont aussi regardé secteur par secteur pour voir si certaines industries se faisaient plus défoncer que d’autres. Logiquement, si l’IA tape fort, ça devrait se voir dans les secteurs les plus exposés : l’information (journalisme, data processing), la finance, les services aux entreprises. Effectivement, ces secteurs ont connu des changements plus marqués que la moyenne.
Rien que le secteur de l’information (auquel j’appartiens) a vu son mix d’emplois pas mal bousculé mais quand on remonte dans le temps, on se rend compte que ce secteur en particulier a toujours été volatil. Ses emplois changent constamment, depuis bien avant l’IA générative car c’est un secteur qui se transforme en permanence. Maintenant, difficile de dire si l’IA accélère vraiment la tendance ou si c’est comme d’hab…
Et histoire de mettre encore un peu plus les choses en perspective, Jed Kolko de la Harvard Business Review
a démontré que les changements actuels du marché du travail
sont ridiculement faibles comparés à ce qu’on a connu dans les années 40 et 50. À l’époque, les bouleversements liés à la guerre et à la reconstruction faisaient bouger les lignes à une vitesse hallucinante mais aujourd’hui, on est sur une petite brise tranquille en comparaison.
Après il y a quand même un truc qui fait peur dans cette étude. Car même si globalement le marché du travail tient le coup, il y a une catégorie de travailleurs qui morfle… Ce sont
les jeunes diplômés en début de carrière
. Erik Brynjolfsson, un économiste de Stanford et spécialiste de l’IA, a publié en août dernier une étude complémentaire qui fait vraiment froid dans le dos.
En analysant les données de paie d’ADP (le plus gros fournisseur de logiciels de paie aux États-Unis), il a découvert que l’emploi des jeunes travailleurs (22-25 ans) dans les métiers les plus exposés à l’IA a chuté de 6% depuis fin 2022, pendant que l’emploi des travailleurs plus âgés dans les mêmes métiers augmentait de 6 à 9%.
C’est énorme comme écart… Ça représente une baisse relative de 13% pour les débutants par rapport aux seniors. Et dans certains secteurs comme le dev logiciel et le service client, la chute est encore plus brutale. C’est environ 20% de baisse pour les juniors entre fin 2022 et juillet 2025, alors que les seniors voyaient leur emploi progresser.
Brynjolfsson explique pourquoi les jeunes sont plus touchés, et c’est plutôt logique quand on y pense. En fait, les grands modèles de langage comme ChatGPT sont entraînés sur des livres, des articles, du contenu trouvé sur Internet. C’est exactement le genre de connaissances théoriques qu’on acquiert à l’université avant d’entrer sur le marché du travail, du coup, il y a un gros chevauchement entre ce que savent les LLM et ce que savent les jeunes diplômés tout frais démoulus de la fac.
Alors que les travailleurs expérimentés, eux, ont autre chose à offrir. Des années de pratique, des soft skills, une compréhension fine des dynamiques d’entreprise, un réseau professionnel…etc. Bref, des trucs qu’un LLM ne peut pas (encore) reproduire (mais votre tour viendra aussi, soyez en certains).
Résultat, les entreprises gardent ou embauchent des seniors et utilisent l’IA pour combler le gap qui était traditionnellement comblé par des juniors.
Par contre, dans les métiers où l’IA vient juste assister les travailleurs sans les remplacer, on ne voit pas cette différence entre les jeunes et les vieux.
Les chercheurs de Yale n’ont donc trouvé aucune corrélation entre l’exposition à l’IA (données OpenAI/Anthropic) et les changements d’emploi. Les métiers très exposés ne perdent pas plus d’emplois que les autres.
Il y a également une autre étude intéressante qui est sortie récemment. OpenAI a analysé
1,5 million de conversations
de ses 700 millions d’utilisateurs actifs par semaine et en juin 2024, 47% des échanges concernaient le travail. Un an plus tard, ce chiffre est tombé à 27% ce qui fait que 73% de l’usage de ChatGPT est personnel, et pas professionnel.
Alors peut-être que l’IA générative trouve plus facilement sa place dans nos vies perso (aide aux devoirs, recettes de cuisine, conseils de voyage) que dans le monde du travail où les process sont plus complexes, les enjeux de sécurité plus importants, et l’intégration plus difficile, je ne sais pas… Ou peut-être que les entreprises sont juste plus lentes à l’adopter. C’est difficile à dire.
Mais bon, maintenant on sait que pour le moment, ça ne sert à rien de paniquer car les métiers changent, oui, mais pas plus vite que lors des précédentes révolutions technologiques. Et surtout, les changements qu’on observe ont commencé avant même ChatGPT, donc difficile de tout mettre sur le dos de l’IA.
Par contre, si vous êtes un étudiant qui s’apprête à entrer sur le marché du travail, vous devez être conscient que la compétition est plus rude qu’avant car l’IA ne vole peut-être pas tous les jobs, mais elle semble voler des points d’entrée traditionnels dans certains métiers.
Quoiqu’il en soit, les chercheurs de Yale prévoient de mettre à jour leur analyse régulièrement pour suivre l’évolution car une photo à un instant T ne suffit pas pour prédire le futur, et les effets pourraient s’accélérer. Ou pas. On verra bien…
En attendant, voici mes quelques conseils à deux balles… Si vous êtes en début de carrière, ne misez pas tout uniquement sur vos connaissances théoriques. Développez des compétences pratiques, construisez un portfolio de projets concrets, apprenez à bosser en équipe, améliorez votre communication (les fameux soft skills). Bref, lancez vous dans tout ce qui vous différencie d’un LLM. Et paradoxalement, apprendre à bien utiliser l’IA pourrait aussi être un énorma plus. Si tout le monde a accès à ChatGPT mais que vous savez l’utiliser mieux que les autres, ça peut faire la différence !
Et si vous êtes une entreprise, peut-être qu’il faut réfléchir à deux fois avant de shooter tous les postes juniors. Car oui, l’IA peut faire certaines tâches de base et vous faire économiser du temps et du pognon, mais former des petits jeunes c’est aussi investir dans votre pipeline de futurs seniors. Hé ouais…
Parce que si demain, tout le monde arrête d’embaucher des débutants, dans 10 ans, il n’y aura plus d’experts…
Vous vous rappelez ce gamin chauve dans Matrix qui plie des cuillères avec son esprit ? Il balance OKLM au petit Neo que “La cuillère n’existe pas”…
Eh bien, les chercheurs de
Google DeepMind
viennent de créer une IA qui applique exactement ce principe à Minecraft. Dreamer 4 (c’est son nom) n’a jamais touché au jeu, jamais cliqué, jamais bougé, jamais miné… (comme moi quoi…). Mais par contre, elle a regardé d’autres jouer, s’est construit son propre Minecraft mental, et s’est entraînée dans son imagination. Du coup, cela fait d’elle la première IA à atteindre les diamants en mode offline pur. Plus de 20 000 actions maîtrisées sans jamais poser un doigt (virtuel) sur le clavier.
“Minecraft n’existe pas” pourrait dire le petit chauve…
Bref, ce que Danijar Hafner et son équipe ont réussi à faire, c’est de créer ce qu’on appelle un “world model”… une simulation mentale du jeu. L’IA observe des vidéos de joueurs, comprend les règles implicites de l’univers, puis s’entraîne dans cette version simulée qu’elle s’est construite dans sa “tête”. Aucune interaction avec le vrai jeu. Juste de l’imagination pure.
Et le truc surprenant (et c’est pour ça que je vous en parle), c’est que ça marche mieux qu’avec les approches traditionnelles.
De base, les IA classiques apprennent par essai-erreur dans un environnement réel. Elles testent des milliers d’actions, se plantent, recommencent, ajustent. C’est long, c’est coûteux en calcul, et dans certains domaines comme la robotique, ça peut carrément casser du matériel.
Dreamer 4 contourne donc tout ça en apprenant dans sa simulation interne, un peu comme un sportif de haut niveau quand il visualise mentalement sa performance avant de la réaliser.
Au-delà du jeu, faut imaginer à termes des robots qui s’entraînent dans leur tête avant de manipuler des objets fragiles par exemple. Ou des NPCs dans les jeux vidéo qui apprennent de nouvelles stratégies sans grinder pendant des heures. Même des simulations médicales qui testent des traitements sans expérimentation animale ou humaine… Tout ça et plus encore devient possible avec cette approche.
Et pour info, j’ai demandé à mes enfants et ils m’ont bien confirmé que les diamants dans Minecraft, c’est pas de la tarte. Il faut enchaîner plus de 20 000 actions souris-clavier dans le bon ordre… couper du bois, fabriquer des outils, miner des ressources spécifiques, éviter les dangers, descendre dans les profondeurs. C’est l’un des objectifs les plus complexes du jeu, et Dreamer 4 y arrive sans jamais avoir interagi avec l’environnement réel.
Voilà, si ça vous intéresse, sachez que tout est détaillé dans
ce document sur arXiv
si vous voulez creuser. Mais l’idée principale est simple : Et si l’imagination était plus efficace que la mise pratique ? On dirait que c’est une sorte de loi de l’attraction appliquée aux machines…
Bref, pendant qu’on se demande si l’IA va nous piquer nos jobs, elle, elle apprend à faire des trucs sans y toucher…
Vous savez ce moment où vous regardez votre historique Git et vous vous demandez qui est le débile qui a écrit ce code dégueulasse ?
Ah bah ouais, c’était vous il y a 3 mois ^^. Eh bien
GitType
a trouvé la meilleure des thérapies qui est de vous faire retaper tout ça, lettre par lettre, comme une punition de primaire version développeur, totalement gamifiée avec des points, un chrono, et la possibilité de mesurer à quel point vos doigts sont devenus flasques depuis que Copilot fait tout le boulot à votre place.
Le tagline du projet, c’est “Show your AI who’s boss: just you, your keyboard, and your coding sins”. Et c’est pas une blague, c’est un manifeste car pendant que Copilot, ChatGPT, Claude Code et compagnie écrivent du code à notre place, GitType vous fait faire exactement l’inverse… il vous force à retaper du code pour redevenir bon !
Et contrairement aux tests de frappes classiques comme
Ttyper
ou
tt
qui vous font taper du texte générique, GitType utilise du VRAI code source. Votre code, celui de vos repos préférés, ou des repos trending de GitHub. Comme ça, vous ne vous entraînez pas sur du “the quick brown fox jumps over the lazy dog” à la con, mais sur vos propres merdes spaghettico-syntaxiques en Rust, TypeScript, Python ou Go.
Le jeu vous propose plusieurs modes. Y’a le mode Normal pour vous échauffer tranquillement, le Time Attack quand vous voulez vous mettre la pression, et des niveaux de difficulté de Easy à Zen pour ceux qui veulent méditer en tapant du code. Le tout avec un tracking en temps réel de votre WPM (words per minute) et de votre précision. Comme ça, plus vous progressez, plus vous montez dans le ranking avec des titres de développeur qui évoluent.
GitType supporte plus de 15 langages de programmation et propose plus de 15 thèmes visuels en mode Dark ou Light, avec possibilité de personnaliser le vôtre. L’installation est simple…
Ou via Brew, ou avec un téléchargement direct de binaires. Ça prend 30 secondes chrono. Autre truc sympa aussi, vous pouvez cloner n’importe quel repo GitHub directement depuis le jeu pour vous entraîner dessus.
Comme ça, vous pourrez réaliser votre fantasme le plus humide, à savoir retaper le code de Linus Torvalds !
Cet outil va comme ça l’air de rien vous réapprendre à taper du code vous même, parce que faut bien le reconnaitre, depuis que tout le monde s’est mis au vibe coding, c’est difficile de dire à nos doigts et nos cerveaux de s’y remettre. Avec GitType, vos doigts retrouvent leurs réflexes, vous mémorisez mieux la syntaxe, vous devenez plus rapide au clavier, votre haleine redevient fraiche et vous chopez enfin des matchs sur Tinder, c’est SÛR !!
Ce projet est dispo en
open-source sous licence MIT
et franchement, vu comment nos IA nous assistent de partout, c’est pas plus mal de garder un peu de muscle mémoire au cas où…
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Je vous ai présenté récemment la version 4.10 de Rufus.
Une nouvelle version, la 4.11, vient d'être publiée le 2 octobre, pour ajouter une fonctionnalité mais surtout corriger quelques bugs.
Pour rappel, Rufus est le soft le plus facile à utiliser et le plus complet en termes de fonctionnalités pour créer une Clé USB bootable pour installer un Système.
Il permet d'installer d'installer Windows quelle que soit votre configuration et de contourner les restrictions qu'a mis en place Microsoft pour l'installation de Windows 11.
Intel a levé le voile sur ses prochaines architectures CPU via la 59e édition de son ISA Extensions Reference. Les futurs Core Ultra 400 Nova Lake et Xeon 7 Diamond Rapids bénéficieront de nouvelles générations de cœurs haute performance et basse consommation. Ces puces, attendues pour 2026, marquent une étape clé dans la feuille de route d’Intel avec une refonte des P-Cores et E-Cores.
Intel Nova Lake : Coyote Cove et Arctic Wolf confirmés
La gamme Nova Lake, prévue pour le second semestre 2026, intégrera :
Des P-Cores Coyote Cove, successeurs des Cougar Cove.
Des E-Cores Arctic Wolf, évolution des Darkmont.
Ces processeurs viseront à améliorer l’IPC (instructions par cycle), tout en optimisant le rapport performance/watt.
Côté serveurs, Diamond Rapids, déja découvert via aida64, exploitera des P-Cores Panther Cove, une évolution des Cougar Cove. Ces processeurs ne proposeront pas de SMT (Simultaneous Multithreading), choix qu’Intel prévoit de corriger avec la génération suivante, Coral Rapids.
Détails techniques
Jusqu’à 256 cœurs.
Lancement prévu au 2e semestre 2026.
Possibilité d’une déclinaison Panther Cove-X pour stations de travail (rumeur en cours).
Autres confirmations : Wildcat Lake en entrée de gamme
Intel a également annoncé Wildcat Lake, qui remplacera Twin Lake sur le segment d’entrée de gamme. Ces puces embarqueront des Cougar Cove P-Cores et des Darkmont E-Cores pour une offre plus accessible.
Historique des cœurs Intel récents
Famille CPU
P-Core
E-Core
Alder Lake
Golden Cove
Gracemont
Raptor Lake
Raptor Cove
Gracemont
Meteor Lake
Redwood Cove
Crestmont
Arrow Lake
Lion Cove
Skymont
Panther Lake
Cougar Cove
Darkmont
Nova Lake
Coyote Cove
Arctic Wolf
Diamond Rapids
Panther Cove
–
Conclusion
Avec Nova Lake et Diamond Rapids, Intel prépare une génération charnière entre performance brute et efficacité énergétique, avec des cœurs redessinés et un support plateforme renouvelé. L’année 2026 marquera un tournant majeur, aussi bien pour les PC grand public que pour les datacenters, avec des architectures qui redéfiniront la hiérarchie du marché.
Utilitaire en français permettant d'exécuter vos programmes dans un espace isolé (littéralement "bac à sable") permettant d'empêcher ces programmes d'effectuer des changements sur votre ordinateur...
Utilitaire gratuit, en français et portable permettant de répertorier les points d'accès Wi-fi/WLAN que votre ordinateur capte, ainsi que la puissance précise du signal...
Alors qu’Elon Musk vient tout juste d’annoncer un potentiel concurrent pour Wikipedia, et après avoir été dépassée par ChatGPT, l’encyclopédie se voit contrainte de se démarquer pour rester dans la course. Mais si l’encyclopédie libre est riche de près de 120 millions de contenus, son exploitation par les modèles de langage restait limitée à des […]
NZXT a présenté aujourd’hui sa nouvelle génération d’alimentations et de refroidisseurs AIO, pensés pour les utilisateurs recherchant des performances élevées à un prix maîtrisé. Cette annonce comprend la nouvelle gamme d’alimentations Gold Core, ainsi que la nouvelle série de refroidisseurs Kraken Core – toutes deux venant enrichir l’écosystème NZXT.
Série d’alimentations NZXT Gold Core PSU
La série d’alimentations NZXTGold Core s’adresse aux joueurs et assembleurs soucieux de la performance, mais aussi du prix. Conçues pour gérer sans effort les composants PC les plus récents, elles sont compatibles ATX 3.1 / PCIe 5.1 et offrent des certifications 80+ Gold et Cybenetics Platinum, garantissant un équilibre optimal entre performance, efficacité et coût.
Elles intègrent un ventilateur silencieux, une conformité ATX 3.1, ainsi qu’une garantie de 7 ans. Compatibles avec les cartes graphiques AMD et NVIDIA modernes comme plus anciennes (1 à 3 connecteurs PCIe 8-broches ou 12V-2×6), elles s’adaptent facilement aux configurations. On y retrouve également des condensateurs hautes performances (105 °C) et une protection complète dans un format compact et entièrement modulaire.
Le NZXTKraken Core RGB apporte un refroidissement performant et abordable à tous, qu’il s’agisse de monteurs débutants ou de passionnés aguerris. Il met en avant une efficacité thermique élevée, un fonctionnement silencieux et une personnalisation simple, le tout à un prix compétitif. Facile à installer, personnalisable et durable, il s’intègre parfaitement dans n’importe quel PC.
Caractéristiques principales :
Refroidissement haute performance (jusqu’à 3100 RPM en silence)
Ventilateurs PWM pour un contrôle précis
Pales optimisées
Connexion directe à la carte mère (pas de hub externe)
Keychron a lancé une campagne de financement participatif pour le Q16 HE 8K, un clavier magnétique entièrement en céramique unique sur le marché qui associe un corps et des touches en céramique à une détection magnétique TMR pour une saisie de précision.
Dans un marché où les claviers haut de gamme convergent souvent vers les mêmes métaux et plastiques, l’innovation en matière de matériaux est au point mort alors même que les attentes des utilisateurs augmentent. De nombreux créateurs, joueurs et professionnels veulent de la vitesse, un contrôle personnalisé et un nouveau langage de conception qui donne une sensation sculpturale sur le bureau. La céramique offre une surface durable avec un toucher frais et lisse et une finition raffinée. Cela change également l’expérience de frappe elle-même, produisant une acoustique qui offre un profil tactile et auditif distinct, contrairement au métal ou au plastique.
De bons claviers doivent être rapides, avoir un son agréable et ressembler à des objets qui valent la peine d’être conservés », a déclaré Paul Tan, directeur de l’exploitation chez Keychron. « Avec le Q16 HE 8K, nous avons exploré la céramique pour un usage quotidien, puis nous l’avons associée à la détection magnétique et aux performances 8K afin que les utilisateurs bénéficient à la fois d’une nouvelle expérience matérielle et d’une vitesse d’élite. »
Principales caractéristiques du clavier magnétique Keychron Q16 HE 8K :
Switches magnétiques Ultra-Fast Lime avec capteurs TMR : la conception personnalisée de Keychron repose sur la magnétorésistance à effet tunnel pour une précision élevée, une efficacité énergétique et un actionnement rapide, offrant une entrée plus précise que les switches à effet Hall typiques.
Taux d’interrogation de 8 000 Hz : traite les entrées toutes les 0,125 ms, soit 8 × plus rapidement que les claviers de jeu standard de 1 000 Hz, offrant un délai d’entrée pratiquement nul.
Vitesse de balayage jusqu’à 256 000 Hz et sensibilité de 0,01 mm : la détection fine prend en charge l’actionnement réglable et la profondeur analogique pour un contrôle personnalisé.
Touches en céramique Cherry Profile : durables et sculpturales avec un toucher lisse et frais.
Au-delà de la vitesse brute, le clavier magnétique Q16 HE 8K est conçu pour une fiabilité au quotidien. L’extérieur en céramique résiste à l’usure pour maintenir une finition propre pendant de longues sessions de travail et de jeu. L’encombrement compact de 65 % libère de l’espace sur le bureau tout en préservant les touches essentielles. Les utilisateurs peuvent adapter la profondeur et l’actionnement analogiques pour s’adapter à tout, des tapotements légers pour les jeux de rythme aux pressions délibérées pour l’édition de précision.
Compatible avec l’application Web Keychron Launcher, les utilisateurs peuvent débloquer une personnalisation approfondie sans installer de logiciel supplémentaire. Grâce à l’interface basée sur un navigateur, ils peuvent ajuster le comportement du clavier magnétique par touche, remapper les switches, créer des macros et façonner des profils d’éclairage en quelques minutes. Pour les utilisateurs expérimentés qui partagent leur temps entre des suites créatives et des titres concurrents, la possibilité de changer de profil à la volée et de déployer des macros personnalisées offre un contrôle confiant.
« L’innovation matérielle n’a d’importance que si les performances sont au rendez-vous », a poursuivi M. Tan. « Le Q16 HE 8K prouve qu’il est possible d’avoir les deux. La céramique améliore considérablement l’expérience de frappe, tandis que la détection magnétique et la réactivité 8K offrent la vitesse attendue par les utilisateurs sérieux.
Le clavier magnétique Q16 HE 8K est disponible dès maintenant en deux coloris (Bleu cétacé et Blanc menthe) à partir du prix de préinscription de 219,99 USD sur Kickstarter. La date de livraison estimée du clavier magnétique Q16 HE 8K pour les commandes Kickstarter est décembre 2025.
Kingdom Come Deliverance pourrait prochainement bénéficier d’un remaster, dont la sortie est évoquée pour début 2026, selon des rumeurs en ligne. Sortie prévue entre janvier et avril 2026 Ce bruit émane de l’utilisateur Reddit bertik11, qui a mentionné sur le sous-forum Leaks and Rumors que le premier opus de Warhorse Studios serait mis à jour […]
Que valent les Aether Standing Light Bars de Razer ?
Razer continue de montrer ses accessoires pour bureau et a là encore de quoi habiller votre setup pour l’automne. Après la barre lumineuse Aether Monitor Light Bar, qui se positionne clairement sur le segment premium, vendue en moyenne autour de 150 €, on se retrouve pour le test des Aether Standing Light Bars. D’ailleurs si vous l’avez raté, le test de l’Aether Monitor Light Bar est ici.
Nos barres lumineuses du jour se trouvent elles au prix de 100$ sur le store US de la marque. Alors, ici, simple gadget ou must-have ? Place au test !
Unboxing
La boîte des Aether Standing Light Bars adopte le style sobre aux couleurs noirs et vertes propres à Razer. La face avant montre clairement les deux barres en action dans un setup coloré, accompagnées du logo Chroma RGB. À l’arrière, on retrouve les principales fonctionnalités mises en avant, avec un accent sur la synchronisation et l’immersion lumineuse. Les côtés indiquent les caractéristiques techniques essentielles, tandis que le dessus affiche le nom du produit et le dessous regroupe les mentions légales et codes-barres.
Caractéristiques techniques
Dimensions de l’article L x l x H
32 x 440 x 32 millimètres
Marque
Razer
Couleur
Noir
Facteur de forme
Barre
Position de la pièce
Partie frontale
Composants inclus
Razer Aether Light Stand
Poids de l’article
800 Grammes
Niveau de résistance à l’eau
Non étanche
Nombre de pièces
1
Type d’adaptation
Ajustement universel
Fonctionnalités
Double éclairage frontal et rétroéclairage réversible pour PC avec un éclairage orienté vers l’utilisateur ou projeté sur le mur pour la battlestation : éclairez votre PC en un tour de main pour plus d’immersion ou d’ambiance – orientez-le vers vous pour profiter pleinement des effets de jeu intégrés, ou améliorez l’esthétique de votre installation en le projetant sur le mur.
Personnalisez l’éclairage des bars pour des effets de jeu RGB vraiment sur mesure : personnalisez les couleurs de chaque barre, même si elles présentent les mêmes effets Razer Chroma RGB – jouez avec d’innombrables combinaisons pour créer un éclairage de battlestation vraiment unique.
Un seul câble d’alimentation USB-C pour une configuration PC simple et rationalisée : alimentée par un seul câble USB-C pour une Battlestation épurée et minimaliste sans avoir besoin d’un adaptateur d’alimentation supplémentaire.
Alimenté par Razer Chroma RGB pour plus d’atmosphère et d’immersion : avec 16,8 millions de couleurs et une gamme d’effets lumineux, vous pouvez créer l’ambiance lumineuse souhaitée ou créer un environnement immersif qui répond à votre divertissement.
Compatible avec Matter pour une intégration transparente dans tous les écosystèmes domestiques intelligents : grâce à la nouvelle norme universelle pour la connectivité des maisons intelligentes, les appareils Razer Gamer Room sont conçus pour fonctionner avec tous les autres appareils et contrôleurs de maison intelligente pris en charge par Matter.
Fonctionne avec l’application Razer Gamer Room pour un contrôle unifié : personnalisez les paramètres et créez des routines automatisées grâce à un outil simple mais puissant qui unifie tous vos appareils Razer Gamer Room en un seul écosystème intégré
Contenu
Razer Aether Light Stand
Petit guide
Installation
Installer les Standing Light Bars est simple et rapide. Les socles se fixent facilement, les barres tiennent bien en place et peuvent être disposées aussi bien verticalement qu’horizontalement selon la configuration souhaitée. Leur format compact permet de les placer derrière un écran, de chaque côté d’un bureau ou même sur une étagère pour créer une ambiance plus diffuse.
L’alimentation en USB-C simplifie l’intégration, et comme toujours, la gestion logicielle passe par Razer Synapse. Un choix qui ravira les habitués de l’écosystème Chroma, mais qui peut rebuter ceux qui préfèrent le plug-and-play.
Test & Application
Après avoir présenté l’Aether Monitor Light Bar, Razer complète sa nouvelle gamme d’éclairage connecté avec les Aether Standing Light Bars, deux colonnes lumineuses conçues pour accompagner vos sessions gaming, vos films et même vos moments de détente. Le but est simple : offrir une meilleure immersion grâce à un éclairage dynamique et personnalisable, tout en s’intégrant parfaitement dans l’écosystème Razer Chroma RGB.
Positionnées comme des concurrentes directes des Philips Hue Play, ces Standing Light Bars veulent séduire les joueurs déjà conquis par l’univers Razer et ceux qui cherchent une solution élégante pour transformer l’ambiance de leur bureau. Mais tiennent-elles leurs promesses ?
Côté éclairage, force est de constater que Razer a soigné son travail. La lumière diffusée est homogène, fluide et puissante sans jamais être agressive. Le diffuseur adoucit parfaitement les transitions de couleurs, ce qui évite l’effet « néon trop marqué » que l’on retrouve parfois chez des concurrents moins haut de gamme.
En duo, les barres placées derrière un moniteur ou de chaque côté de l’écran apportent une véritable sensation d’ambi-light, renforçant l’immersion dans les jeux et les films. La synchronisation avec Chroma RGB est l’un des gros points forts : vos barres peuvent s’illuminer au rythme de vos périphériques Razer, ou réagir en temps réel à certains jeux compatibles. Explosion de couleurs dans un MMO, rouge sanglant pour un survival-horror, ou encore ambiance douce orangée pour une soirée cocooning : les possibilités sont quasi infinies.
L’intérêt ne se limite d’ailleurs pas au gaming. Les Standing Light Bars peuvent aussi être utilisées en lumière d’ambiance, par exemple en mode blanc chaud pour lire ou travailler, ou en lumière tamisée pour accompagner une playlist chill. Leur polyvalence permet de passer d’un bureau de travail sobre à une salle gaming immersive en un clic.
Cependant, comme souvent avec Razer, le prix est le premier frein. Les Aether Standing Light Bars se positionnent clairement dans le haut de gamme, au niveau voire au-dessus des Philips Hue Play, qui dominent déjà le marché. On paie ici le design soigné, la qualité de fabrication et l’intégration poussée à l’écosystème Chroma.
L’autre contrainte reste la dépendance à Synapse. Sans le logiciel, les barres fonctionnent, mais impossible de profiter pleinement de la personnalisation, de la synchronisation ou des effets dynamiques. Pour les utilisateurs déjà équipés Razer, ce n’est pas un problème, mais pour ceux qui cherchent une solution simple et universelle, cela peut être un frein.
Enfin, si l’effet immersif est excellent, la surface couverte reste limitée. Deux barres suffisent pour un bureau ou un petit salon, mais pour un rendu plus panoramique, il faudra multiplier les éléments de la gamme Aether.
Conclusion
Les Razer Aether Standing Light Bars sont une réussite. Design premium, installation simple, qualité d’éclairage impeccable et immersion au rendez-vous : elles remplissent parfaitement leur rôle et vont bien au-delà d’un simple gadget RGB. Dans un setup déjà équipé de périphériques Razer, elles trouvent immédiatement leur place et renforcent la cohérence de l’ensemble.
Leur prix élevé et la dépendance à Synapse les réservent cependant à un public déjà conquis par la marque ou prêt à investir dans un écosystème complet. Si vous cherchez une solution accessible et universelle, il existe des alternatives moins coûteuses. Mais si vous voulez le nec plus ultra de l’éclairage gaming-cocooning, les Standing Light Bars sont un choix presque incontournable.
NVIDIA a dévoilé sa sélection pour GeForce NOW pour le mois d’**octobre 2025**. Ce programme est riche en contenu, incluant presque tous les grands jeux **PC** annoncés ce mois-ci, tels que **Battlefield 6**, **Vampire: The Masquerade – Bloodlines 2**, et **The Outer Worlds 2**. Voici l’ensemble des titres à venir : King of Meat (Nouvelle […]
MSI confirme que ses cartes mères AM5 800-series seront compatibles avec la prochaine génération Ryzen Zen 6, garantissant au moins trois générations sur le socket AM5. Cette compatibilité, annoncée en 2025, prépare la plateforme à l’arrivée des processeurs Zen 6 attendus pour la deuxième moitié de 2026.
MSI indique que ses cartes 800-series sont « Future CPU Ready », une précision apportée via son support communautaire et destinée à rassurer les assembleurs et intégrateurs.
Pourquoi cette confirmation change la donne pour AM5
La mention « Future CPU Ready » signifie que les cartes mères AM5 800-series intègrent déjà des éléments matériels et firmware pour supporter les évolutions à venir des CPU Ryzen. Le socket AM5, lancé avec les Ryzen 7000 basés sur Zen 4, a déjà accueilli les Ryzen 9000 sur Zen 5 ainsi que les APU Desktop Ryzen 8000G, couvrant plusieurs générations sur une même plate-forme.
Pour les consommateurs, cela réduit le risque d’obsolescence rapide et protège l’investissement dans une nouvelle carte mère .
Quels changements techniques sont attendus et observés
Des indices matériels ont déjà été repérés sur des modèles à venir, comme la MSI B850I EDGE TI EVO WIFI, où des modifications de conception semblent préparées pour Zen 6. Parallèlement, AMD aurait envoyé des échantillons précoces de CPU Zen 6 à ses partenaires, permettant aux fabricants de cartes mères d’effectuer des validations de compatibilité et de stabilité.
MSI travaille également sur des solutions pour gérer l’augmentation de la taille des firmwares. La série « MAX » intègre un générateur BCLK externe et une ROM BIOS étendue de 64 Mo, facilitant le maintien de plusieurs versions de microcode et le support de nouvelles puces sans manquer d’espace mémoire.
Quelle signification pour le marché et les fabricants
La confirmation de MSI consolide la stratégie d’AMD autour d’AM5 : offrir une plate-forme durable qui prend en charge au moins trois générations. Pour les fabricants de cartes mères, cela implique des cycles de développement plus longs et la nécessité d’anticiper des exigences matérielles et logicielles accrues.
Pour les assembleurs et les revendeurs, la promesse d’une compatibilité future peut encourager les ventes de cartes mères AM5 800-series aujourd’hui, car l’investissement devient sensible sur le long terme.
Conséquences pour les acheteurs et recommandations
Si vous achetez une carte AM5 aujourd’hui : privilégiez un modèle 800-series ou ultérieur et vérifiez que le fabricant propose des mises à jour BIOS aisées.
Pour les intégrateurs : planifiez des tests de compatibilité dès réception des premiers échantillons Zen 6 pour éviter des retards.
Pour AMD : maintenir une communication claire sur les exigences microcode et les dates est crucial pour l’écosystème.
Conclusion
MSI a confirmé en 2025 que ses cartes mères AM5 800-series sont prêtes pour des CPU futurs, y compris les Ryzen Zen 6 attendus pour la deuxième moitié de 2026. Cette annonce rassure sur la pérennité d’AM5, mais la prudence reste de mise : la compatibilité finale dépendra des BIOS et des tests de validation.
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AMD a ajouté la fonctionnalité Fast Motion Response à AFMF 2.1 via la version PyTorch on Windows Preview 25.20.01.14 (déployée en 2024), apportant deux options distinctes – Repeat Frame et Blended Frame – pour mieux gérer les scènes à mouvement rapide sur GPU RX 7000 et RX 9000.
La nouveauté vise à réduire les artefacts ou à améliorer la fluidité selon le choix du joueur, en complément des modes Search et Performance de l’édition Adrenalin 25.9.2.
Qu’est-ce que Fast Motion Response et pourquoi c’est important ?
AFMF, pour AMD Fluid Motion Frames, est la technologie de frame generation d’AMD. Jusqu’à la version Software : Adrenalin Edition 25.9.2, AFMF proposait principalement Search Mode et Performance Mode, avec la limitation de désactiver la génération de frames lorsque le mouvement est trop rapide.
Fast Motion Response répond directement au problème : quand les scènes sont très rapides, la génération de nouvelles images peut produire des artefacts ou du flou excessif. Cette option propose deux approches pour traiter ces situations et offrir soit une conservation de la qualité, soit une fluidité accrue.
Repeat Frame vs Blended Frame – quelles différences ?
Repeat Frame : répète la dernière image disponible au lieu de forcer la génération d’une image approximative. Objectif : éviter le ghosting et le smear en conservant la netteté.
Blended Frame : fusionne deux images pour estimer le mouvement manquant et produire une transition plus fluide, au prix d’un possible flou dans les actions très rapides.
Ces modes s’expriment différemment selon le scénario. Repeat Frame favorise la fidélité visuelle sur des scènes où les artefacts sont inacceptables. Blended Frame privilégie la perception de fluidité, utile dans des jeux où la sensation de mouvement prime.
Comment activer Fast Motion Response et compatibilité
La fonction n’apparaît pas dans l’édition classique Software : Adrenalin Edition 25.9.2. Pour y accéder, il faut installer PyTorch on Windows Preview 25.20.01.14, version distribuée en 2024 et actuellement compatible avec les GPU RX 7000 et RX 9000.
Les notes de version officielles de PyTorch 25.20.01.14 n’ont pas listé explicitement ce changement, mais l’option apparaît dans le panneau AFMF une fois la preview installée.
Analyse critique : quelle portée pour le marché et les joueurs ?
La nouveauté est pertinente à deux niveaux. D’un point de vue expérience utilisateur, elle apporte un contrôle fin entre qualité et fluidité, ce que les modes précédents ne permettaient pas en scènes rapides. D’un point de vue marché, AMD démontre qu’elle affine sa pile logicielle pour rivaliser avec les solutions de frame generation concurrentes.
Cependant, plusieurs questions restent ouvertes : l’impact sur la latence, la compatibilité avec les implémentations en jeu et les performances CPU/GPU dans des scénarios extrêmes. Les tests indépendants seront nécessaires pour mesurer précisément les gains et les compromis.
Conséquences pratiques pour les développeurs et les joueurs
Pour les joueurs : plus d’options pour adapter la sortie visuelle selon le type de jeu et la tolérance au flou.
Pour les développeurs et studios : nécessité de tester les effets de frame-gen sur l’animation et la physique, et d’intégrer des profils recommandés pour leurs titres.
Pour AMD : un levier supplémentaire pour valoriser l’écosystème logiciel et différencier l’offre hardware.
En synthèse, Fast Motion Response est une amélioration ciblée qui comble une lacune claire d’AFMF 2.1, mais son efficacité réelle dépendra des tests terrain et de l’adoption par les joueurs et développeurs.
Perspectives et recommandations
Nous recommandons aux utilisateurs intéressés d’installer PyTorch Windows Preview 25.20.01.14 sur une machine de test et de comparer Repeat Frame et Blended Frame selon leurs jeux préférés. Les sites de benchs devraient publier des mesures de latence et de qualité d’image à court terme.
Enfin, AMD pourrait intégrer ces options dans une future mise à jour d’Adrenalin si les retours sont positifs, rendant la fonctionnalité accessible au plus grand nombre.
Conclusion
Fast Motion Response pour AFMF 2.1 offre dès maintenant deux stratégies claires pour gérer les scènes rapides : conserver la qualité ou maximiser la fluidité. La fonctionnalité, disponible via PyTorch Windows Preview 25.20.01.14, mérite des tests approfondis mais représente une évolution logique et utile de la suite logicielle d’AMD.