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Reçu aujourd’hui — 29 octobre 2025 1.2 🖥️ Tech. Autres sites

AMD prépare le Ryzen 5 7500X3D pour les gamers avec un bon rapport performance/prix

29 octobre 2025 à 12:36
AMD Ryzen CPU.
AMD semble préparer un nouveau processeur intégré avec 3D V-Cache pour les utilisateurs de la plateforme AM5, le Ryzen 5 7500X3D. Ce processeur, affichant six cœurs et 96 Mo de cache L3, a été repéré chez un site de ventes britannique sous le code OPN 100-000001904. Son annonce officielle pourrait avoir lieu lors du CES […]

John Romero: Discussions en cours avec plusieurs entreprises pour finaliser le jeu financé par Microsoft

29 octobre 2025 à 11:48
John Romero Discussions En Cours Avec Plusieurs Entreprises Pour Finaliser.jpeg
John Romero n’est peut-être pas un nom reconnu par les jeunes générations, mais il est une figure emblématique des débuts du genre des jeux de tir à la première personne. Co-fondateur d’id Software, il a créé des titres tels que Wolfenstein 3D, Doom, Hexen et Quake. Romero Games et son avenir Aujourd’hui, Romero développe des […]

REDSEC vs Warzone : Le Battle Royale de Battlefield Peut-il Rivaliser ? Verdict Après 20 Heures

Par :Wael.K
29 octobre 2025 à 11:40

Le 28 octobre 2025 restera une date marquante pour Battlefield. À 16h précises, EA et DICE lançaient REDSEC, leur réponse gratuite à l’hégémonie de Warzone. Un « shadow drop » audacieux, sans bêta préalable, directement dans l’arène impitoyable du battle royale. 20 heures plus tard, le constat est sans appel : REDSEC cristallise autant d’espoirs que de frustrations.

Un Démarrage en Fanfare… Puis la Douche Froide

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. En moins de 6 heures, REDSEC atteint les 500 000 joueurs. Les serveurs saturent, les streamers se précipitent sur Fort Lyndon, la communauté s’enflamme. Mais sur Steam, la réalité rattrape rapidement l’euphorie : après 6 heures, le score stagnait à 50% avec 760 avis. 20 heures plus tard, avec 2,201 évaluations, le verdict s’alourdit : seulement 40% d’avis positifs. La note « moyennes » de Steam traduit un accueil mitigé qui se dégrade

Battlefield 6 REDSEC sur Steam avis

Cette division n’est pas anodine. Elle révèle un jeu qui peine à convaincre au-delà de son pitch marketing, malgré des atouts indéniables sur le papier.

La Controverse qui Empoisonne le Lancement

Au-delà des considérations purement gameplay, c’est une décision commerciale qui met le feu aux poudres. Les joueurs ayant déboursé 70 euros pour Battlefield 6 découvrent avec stupeur que de nombreux défis du Battle Pass de la Saison 1 sont exclusivement liés à REDSEC. Impossible de progresser pleinement sans toucher au mode gratuit.

Battlefield 6 saison 1 Hero

« This is not why I bought Battlefield 6 » résume parfaitement le sentiment qui domine les forums. L’idée de forcer des joueurs ayant payé plein tarif vers un mode free-to-play pour débloquer du contenu passe très mal. Cette intégration forcée brouille la frontière entre les deux expériences et génère une frustration légitime chez une base de joueurs qui estimait avoir déjà payé son dû.

« Very Warzone Coded » : Le Consensus Accablant

Si un reproche revient en boucle dans les premières impressions, c’est celui-ci : REDSEC ressemble trop à Warzone. Le site Insider Gaming ne mâche pas ses mots dans son test publié 20 heures après le lancement : « C’est bon, mais je ne pouvais pas m’empêcher de sentir que je jouais à Warzone. Tout, des tokens Double XP à la structure du battle pass, des missions secondaires aux loadouts, REDSEC pue Call of Duty. »

CORSAIR x Call of Duty warzone Heroimg

Cette impression ne se limite pas aux critiques professionnels. Dans le chat Twitch du streamer LVNDMARK, les spectateurs débattent férocement : « this deadass is a warzone copy », « looks like cod wtf ». Les animations de rechargement des plaques d’armure ? Identiques à Warzone. Le système de loadout drops ? Calqué sur le modèle d’Activision. Les caisses au sol, les missions annexes, les mécaniques de seconde chance : tout évoque un jeu qu’on connaît déjà par cœur.

Certes, il n’existe que quelques façons de charger des plaques balistiques dans un porte-plaques, comme le défendent certains joueurs. Mais cette défense technique n’efface pas l’impression globale : REDSEC manque cruellement d’identité propre.

Des Animations Qui Plombent l’Expérience

Là où Warzone mise sur la nervosité et la réactivité, REDSEC hérite de la lourdeur caractéristique de Battlefield. Les personnages se déplacent avec une inertie qui évoque davantage le réalisme militaire que l’arcade compétitive. Pour un battle royale en 2025, c’est un handicap majeur.

Capture d’écran Battlefield RedSec F2P battle royale: 100 joueurs, grande carte; HUD GPU/CPU, FPS, latence, benchmark performance

Cette pesanteur dans les mouvements tue le dynamisme attendu du genre. Quand on passe de Warzone à REDSEC, le contraste est saisissant : on perd en fluidité, en réactivité, en sensation de vitesse. Le sprint tactique de Call of Duty, les glissades, les transitions rapides… tout ce qui fait le sel du genre arcade moderne semble bridé par une volonté de coller au réalisme Battlefield.

Les Problèmes Techniques S’Accumulent

Au-delà des choix de game design, REDSEC souffre de bugs bien concrets. DICE a d’ailleurs publié une liste officielle des problèmes identifiés : instabilité réseau provoquant des pertes de paquets et du rubber banding, gadgets qui cassent les Supply Drops, grenades fumigènes coincées en boucle sonore, problèmes d’affichage sur les véhicules.

Le plus gênant ? Le gadget Smoke Cover devient inutilisable en fin de partie, précisément quand il serait le plus stratégique. Sans compter les Upgrade Kits qu’un autre joueur peut vous voler pendant que vous les appliquez sur votre arme.

Ces bugs de lancement ne sont pas rédhibitoires pris individuellement, mais leur accumulation entache l’expérience globale. Difficile de rivaliser avec la polish de Warzone, fruit de cinq années d’itérations continues, quand on lance un produit avec autant d’aspérités techniques.

Le Cercle Mortel : Innovation ou Gadget ?

REDSEC tente pourtant de se démarquer avec son cercle de feu instantanément mortel. Contrairement aux zones de gaz qui infligent des dégâts progressifs, ici, un seul pas dans l’anneau rouge et c’est terminé. Aucune échappatoire, aucune seconde chance, aucune possibilité de traverser en sprint pour un repositionnement risqué.

Capture de Battlefield REDSEC montrant un affrontement sur Blackwell Field, mode battle royale à 100 joueurs en free-to-play.
Affrontement sur Blackwell Field

Cette mécanique radicale divise. Les puristes y voient un choix audacieux qui force une approche tactique plus rigoureuse. Les détracteurs pointent une punition excessive qui limite les options stratégiques. Après 20 heures, le verdict reste en suspens : innovation intéressante ou contrainte frustrante ?

Gauntlet : La Vraie Nouveauté ?

Ironiquement, ce n’est pas le mode Battle Royale principal qui suscite le plus d’intérêt, mais Gauntlet. Ce format en 32 joueurs propose des rounds de 5 minutes en élimination directe, avec des objectifs variables à chaque manche. Une formule qui rappelle davantage l’intensité d’Escape from Tarkov que le format classique du battle royale.

REDSEC Battle Royale Gauntlet

Ce mode structuré et frénétique pourrait bien être la vraie carte à jouer de REDSEC. Moins ambitieux que de concurrencer frontalement Warzone, mais potentiellement plus malin : créer une niche spécifique plutôt que de se perdre dans un océan de clones.

Le Camp des Défenseurs Existe

Malgré les critiques, REDSEC trouve ses supporters. Sur les forums Xboxygen, un joueur témoigne : « Beau travail. Ça reste du Battle Royal mais pas mal moins chaotique que Warzone. À ma première game on a fini deuxième. La map semble bien faite. »

GamesRadar adopte une ligne éditoriale plus positive : « Je suis soulagé de dire que le battle royale d’EA reste fidèle à Battlefield au lieu de trop copier Warzone ou Fortnite. » La destruction tactique signature de la franchise est bien présente, le système de classes apporte une profondeur stratégique, et Fort Lyndon impressionne par sa taille et sa diversité.

La carte californienne de REDSEC mélange plages, banlieues résidentielles et installations militaires secrètes à travers 9 points d’intérêt majeurs et 16 secondaires. Une variété environnementale qui contraste avec certaines maps plus monotones de la concurrence.

Le Spectre de Firestorm Plane

Impossible d’évoquer REDSEC sans mentionner Firestorm, le battle royale raté de Battlefield V en 2019. Lancé avec fracas, il avait attiré un million de joueurs avant de s’effondrer faute de support continu. Abandonné quelques mois après son lancement, Firestorm reste le symbole de l’incapacité d’EA à maintenir un battle royale dans la durée.

bfv firestorm sulis 2019

REDSEC porte ce fardeau. Chaque bug, chaque jour sans patch, chaque silence de DICE ravive cette peur légitime : et si l’histoire se répétait ? Le free-to-play est censé garantir un investissement long terme, mais les promesses d’EA pèsent peu face aux précédents.

Le Fossé Temporel Face à Warzone

Car voilà le véritable problème de REDSEC : il affronte un mastodonte qui a cinq années d’avance. Warzone ne s’est pas construit en un jour. Depuis mars 2020, Activision a peaufiné chaque mécanique, ajusté chaque vitesse de déplacement, équilibré des centaines d’armes, banni plus de 136 000 tricheurs en mode classé, créé et supprimé des cartes, écouté et réagi aux retours communautaires.

warzone jeux speed

Cette expérience accumulée se ressent dans chaque détail. Les transitions entre les animations, le sound design des armes, le feedback des impacts, la fluidité des menus : tout ce polish invisible qui fait qu’un jeu est agréable à jouer. REDSEC ne peut pas combler ce fossé en 20 heures.

Un Lancement Qui Pose Plus de Questions Qu’il N’apporte de Réponses

Après une journée d’existence, REDSEC se trouve dans une position inconfortable. Techniquement solide mais pas irréprochable, ambitieux dans son pitch mais timide dans son exécution, gratuit mais intrusif pour ceux qui ont payé Battlefield 6.

Les 50% de reviews positives sur Steam ne sont ni un triomphe ni un désastre. Ce sont le reflet d’un jeu qui divise, qui ne convainc pas pleinement mais ne déçoit pas totalement non plus. Un entre-deux dangereux pour un genre où il faut trancher : soit on devient incontournable, soit on disparaît.

Les prochaines semaines seront décisives. REDSEC doit rapidement corriger ses bugs, équilibrer ses mécaniques, et surtout prouver qu’il ne finira pas comme Firestorm. Le potentiel existe, la communauté est là, mais la confiance reste à gagner.

Conclusion

Pour l’instant, REDSEC est un battle royale correct qui arrive dans un écosystème saturé, face à des mastodontes installés. Est-ce suffisant ? Les 500 000 joueurs du premier jour semblent croire que oui. Mais dans six mois, combien resteront ? C’est la vraie question qui hante EA depuis que les serveurs de Firestorm ont fermé.

À vous de jouer maintenant ! Vous avez testé REDSEC ces dernières heures ? Dites-nous tout en commentaires : êtes-vous dans le camp des 50% satisfaits ou des 50% déçus ? Le cercle mortel instantané vous semble génial ou frustrant ? Vous êtes retourné sur Warzone ou vous donnez sa chance à REDSEC ? Partagez votre feedback, on lit et on répond à tous vos avis.

ASUS ROG GR70 : Ryzen 9 9955HX3D et fin du nom NUC pour ce mini PC gaming

Par :Wael.K
29 octobre 2025 à 10:33

ASUS n’a pas perdu le goût des mini machines survitaminées, mais cette fois, le géant taïwanais a dû se passer d’un nom mythique. Le tout nouveau ROG GR70 coche toutes les cases du concept NUC : format compact, puissance démesurée, composants haut de gamme, sauf qu’il a commis un péché impardonnable : adopter un processeur AMD Ryzen 9 9955HX3D. Et ça, du côté d’Intel, c’est un peu comme appeler son chien “NVIDIA” dans le jardin du voisin.

ROG GR70 : compact, musclé et officiellement hors gamme NUC

Car oui, depuis le transfert de la marque NUC à ASUS, le contrat semble clair : pas de processeur rouge sous un logo bleu. Officiellement, le ROG GR70 “ne fait pas partie de la famille NUC”, et officieusement, il incarne tout ce qu’un NUC devrait être… sans pouvoir le dire. Un mini PC de 3 litres seulement, bardé d’un APU Zen 5 à 16 cœurs, capable de rivaliser avec un portable gaming haut de gamme.

PC gaming compact ASUS ROG GR70 posé de biais, boîtier noir anguleux éclairé RGB, équipé d’un Ryzen 9 9955HX3D, sans marque N

En Chine, il s’appelle d’ailleurs ROG 9 Mini, preuve que le concept “Next Unit of Compute” n’est pas mort, juste rebaptisé pour raisons diplomatiques.

Vue de l’ASUS ROG GR70, mini PC gamer compact équipé d’un Ryzen 9 9955HX3D, éclairage RGB et façade aérée, image 3 sur 7.

Mémoire et configuration : plus de capacité, moins de vitesse

Par rapport au ROG NUC 2025, le GR70 accepte jusqu’à 96 Go de DDR5‑5600, quand le modèle Intel plafonne à 48 Go en DDR5‑6400. La capacité grimpe donc, mais la fréquence baisse. En pratique, ASUS ne commercialise pas de versions avec autant de RAM pour l’instant : le maximum vendu reste 32 Go.

Vue de l’ASUS ROG GR70 compact, PC gaming avec Ryzen 9 9955HX3D, châssis noir aéré, ports frontaux et éclairage discret.
ASUS ROG GR70, PC gaming compact
Vue du mini PC gaming ASUS ROG GR70, boîtier compact avec éclairage RGB, basé sur un Ryzen 9 9955HX3D, angle de trois-quarts.
ASUS ROG GR70, format compact
Vue du mini PC gaming ASUS ROG GR70, châssis compact noir, ports en façade, alimenté par Ryzen 9 9955HX3D, design sobre orien
ASUS ROG GR70, format compact gaming

ASUS n’a pas encore listé le GR70 sur ses pages internationales. En Chine, il apparaît à 14,910.63 CNY environ, soit autour de 1950 à 2000 € selon le taux du jour. Il semblerait qu’il se positionne au niveau tarifaire de la configuration Ultra 9 275H avec RTX 5070 côté Intel.

Source : VideoCardz

NVIDIA RTX 5090 Battlefield 6 : concours Reddit avec carte custom à gagner

Par :Wael.K
29 octobre 2025 à 10:22

Pas de version collector en série limitée cette fois, mais un concours malin : NVIDIA met en jeu une GeForce RTX 5090 affublée d’un habillage Battlefield 6, et il faudra montrer vos meilleurs frags pour tenter votre chance.

Une RTX 5090 « Battlefield 6 » à gagner sur Reddit

Plutôt que de multiplier les éditions spéciales comme la fameuse carte Cyberpunk, NVIDIA semble privilégier des wraps personnalisés. Les Founders Edition de la série RTX 50 offrant peu d’espace pour la fantaisie, un sticker bien pensé suffit à signer l’objet. D’après l’annonce relayée sur Reddit, la communauté Battlefield peut participer jusqu’au 31 octobre, avec un format qui demande un peu plus d’implication que d’ordinaire.

Nvidia RTX 5090 giveaway 01

Le principe est simple : soumettez une vidéo de moins de trois minutes, postée avec le flair « got clips ». Le clip doit être entièrement original et créé par la personne qui participe, pas récupéré ailleurs. Rien d’étonnant à ce que NVIDIA souligne la facilité d’enregistrement : « ShadowPlay enregistre en continu et permet de sauvegarder les dernières minutes » selon l’éditeur. Il reste donc deux jours pour capturer vos actions les plus spectaculaires, soldats.

Valeur estimée et modalités

NVIDIA évalue l’habillage BF6 à 600 dollars (6 dollars en vrai). Les conditions complètes figurent sur Reddit et dans les termes officiels de NVIDIA. Reste à voir si cette approche par stickers deviendra la nouvelle norme des « éditions spéciales » maison.

Bonne nouvelle : la France fait partie des pays éligibles ! Il ne reste plus qu’à passer derrière vos PC et créer vos plus belles scènes pour tenter de remporter la récompense.

Lire aussi : Battlefield REDSEC est disponible : le Battle Royale gratuit qui change tout !

Source : VideoCardz

PNY CS3250 Gen5 : un SSD M.2 jusqu’à 14,9 Go/s pour PC de pointe

Par :Wael.K
29 octobre 2025 à 10:09

Et si le goulot d’étranglement n’était plus le stockage ? PNY officialise le CS3250, un SSD M.2 NVMe PCIe 5.0 x4 qui revendique jusqu’à 14,9 Go/s en lecture et 14 Go/s en écriture, de quoi bousculer les PC haut de gamme orientés IA, jeu et création.

PNY pousse son NVMe Gen5 à 14,9 Go/s

Décliné en 1 To, 2 To et 4 To au format M.2 2280, le CS3250 s’appuie sur l’interface PCIe Gen5 x4 pour des débits séquentiels annoncés à 14 900 Mo/s en lecture et 14 000 Mo/s en écriture (selon capacité).

PNY CS3250 Gen5 SSD M.2 NVMe PCIe 5.0, vitesses jusqu’à 14,9 Go/s, dissipateur aluminium, stockage haute performance PC
PNY CS3250 Gen5 SSD M.2 NVMe PCIe 5.0, jusqu’à 14,9 Go/s, dissipateur compact, stockage haute performance pour PC

PNY le destine clairement aux charges de travail lourdes: generation d’images par IA, jeux AAA recents, montage et transferts volumineux. La marque met aussi en avant un controleur dote d’un revetement thermique cense maintenir les performances sous forte sollicitation et prolonger la duree de vie. L’OEM du controleur n’est pas precise, mais tout porte a croire qu’il s’agit d’un Phison E28.

Image 4 CS3250 Gallery 3

Le positionnement est assumé : « conçu pour gérer les applications d’IA modernes » selon PNY, avec l’objectif de réduire les temps de chargement, fluidifier le multitâche et limiter les saccades dans les jeux recourant au streaming d’univers. Rien d’étonnant à ce que le constructeur insiste sur la réactivité et la montée en charge, deux points souvent sensibles sur les SSD Gen5 en usage réel.

Caractéristiques, garantie et capacités

Au programme : interface NVMe PCIe Gen5 x4, format M.2 2280, capacités de 1 To et 2 To, et garantie limitée 5 ans ou endurance au TBW. PNY annonce aussi une version 4 To à venir, sans date précise. Côté expérience, le constructeur promet des chargements plus rapides et un streaming plus fluide en jeu, mais il faudra vérifier en pratique selon les moteurs et la gestion du DirectStorage.

PNY CS3250 Gen5 SSD M.2 NVMe, PCIe 5.0, jusqu’à 14,9 Go/s, dissipateur, stockage haute performance pour PC

Disponibilité et prix : lancement prévu le 28 octobre 2025 pour les modèles 1 To et 2 To. Les tarifs indicatifs sont de 125,99 dollars pour 1 To et 219,99 dollars pour 2 To, soit environ 129 et 219 euros TTC à titre estimatif. La déclinaison 4 To arriverait ultérieurement, d’après PNY.

PNY CS3250 Gen5 SSD M.2 NVMe PCIe 5.0, jusqu’à 14,9 Go/s, stockage haute performance pour PC gaming/desktop

Le dissipateur intégré ne suffira probablement pas à maintenir les pics de débit lors d’un usage soutenu, un travers courant des SSD Gen5. Heureusement, les cartes mères compatibles PCIe 5 disposent en général de tout le nécessaire pour refroidir efficacement ces bêtes. Sur le papier, le CS3250 coche néanmoins toutes les cases d’un stockage très haut débit pour stations créatives et PC gaming modernes.

Source : PNY

Razer Huntsman V3 Pro 8KHz : claviers e-sport ultra-réactifs avec switches analogiques Gen‑2

Par :Wael.K
29 octobre 2025 à 09:57

Razer pousse la réactivité un cran plus haut avec les Huntsman V3 Pro 8KHz, des claviers taillés pour l’e-sport qui misent sur des switches analogiques optiques de nouvelle génération et un polling à 8000 Hz.

Huntsman V3 Pro 8KHz et Tenkeyless : vitesse, précision, sensations

Deux modèles arrivent : un format pleine taille et une version Tenkeyless. Au centre de l’arsenal, les switches analogiques optiques Razer Gen‑2 associés au HyperPolling 8000 Hz. D’après la marque, l’ensemble offrirait des performances 11 % supérieures au concurrent le plus proche, avec une latence mesurée à 0,58 ms.

Clavier Razer Huntsman V3 Pro 8KHz — e-sport, switches analogiques Gen‑2, latence ultra-faible, USB, rétroéclairage RGB

Les interrupteurs proposent une course d’activation réglable de 0,1 à 4,0 mm, le mode Rapid Trigger et la fonction Snap Tap pour changer de direction quasi instantanément et accélérer les réinitialisations, des atouts taillés pour les FPS compétitifs.

Clavier Razer Huntsman V3 Pro 8KHz e-sport, switches optiques analogiques Gen‑2, latence ultra-faible, polling 8000 Hz

Razer précise un calibrage usine pour une gestion des zones mortes de référence, avec une précision de 0,1 mm et une exactitude annoncée 2,5 fois supérieure au plus proche rival. La durabilité grimpe jusqu’à 100 millions d’activations.

Razer Huntsman V3 Pro 8KHz, clavier e-sport, switches analogiques Gen‑2, polling rate 8000 Hz, latence ultra-faible

Côté construction, on retrouve un châssis supérieur en aluminium 5052, une mousse d’insonorisation dense et des stabilisateurs pré-lubrifiés. Les capuchons PBT double-shot texturés et un repose-poignet magnétique en similicuir complètent l’ensemble. L’objectif est clair : une acoustique feutrée et une frappe nette, supportant de longues sessions.

Razer Huntsman V3 Pro 8KHz : clavier e-sport, switches analogiques Gen‑2, polling 8000 Hz, latence ultra-faible

Les deux claviers intègrent une molette numérique cliquable et des boutons dédiés pour piloter médias, macros, hauteur d’activation ou sensibilité du Rapid Trigger à la volée. Un affichage LED embarqué fournit le retour visuel, et tous les réglages se sauvegardent directement dans la mémoire interne, sans logiciel requis.

Clavier gaming Razer Huntsman V3 Pro 8KHz, switches opto-analogiques Gen‑2, taux d’interrogation 8000 Hz, e-sport

Développés avec des pros, pensés pour la compétition

Razer indique avoir travaillé main dans la main avec des joueurs de haut niveau, dont Nikola « NiKo » Kovač, pour affiner la latence, la sensation de frappe et la constance des performances. « Le modèle 8KHz fait passer un cap en précision et fiabilité », résume NiKo. Même son de cloche chez la direction e-sport de Razer, pour qui ce V3 Pro « fixe un nouveau standard de vitesse et de précision ».

Razer Huntsman V3 Pro 8KHz — clavier e-sport, switches opto‑analogiques Gen‑2, polling 8000 Hz, latence ultra-faible

HyperPolling 8000 Hz, switches analogiques Gen‑2 et fonctions avancées comme Snap Tap ou Rapid Trigger composent une base technique ambitieuse. Reste à voir si, en pratique, cet ensemble délivrera un réel avantage mesurable en tournoi, mais il faut dire que la fiche technique coche les attentes des joueurs exigeants.

Razer Snap Tap donne en outre la priorité au dernier appui entre deux touches pour des changements de direction immédiats, sans devoir relâcher la première. Un détail qui peut faire la différence sur une prise de duel décisive.

Lire aussi : [Test] RAZER Huntsman V3 Pro TKL 1Khz : un clavier compact conçu pour les joueurs

Un clavier Esports haut de gamme à 249 €

Le Razer Huntsman V3 Pro Tenkeyless 8 KHz s’affiche à partir de 249 €, un tarif qui le place clairement dans le segment premium. Ce prix s’explique par ses switches optiques analogiques de 2ᵉ génération, son taux de polling de 8 000 Hz et sa conception en aluminium, le tout pensé pour la compétition Esports. Avec le format complet 100 %, le prix grimpe à 279 €. Les variantes blanches ou « Esports Green » ajoutent respectivement 10 € et 20 €.

Source : Razer

Minecraft: Un éditeur de jeux désormais leader, TikTok en véritable concurrent

29 octobre 2025 à 09:24
Minecraft Un Editeur De Jeux Desormais Leader Tiktok En Veritable.jpeg
Lors d’une interview en direct sur TBPN (Technology Business Programming Network), le PDG de Microsoft, Satya Nadella, a abordé la stratégie multiplateforme de l’entreprise dans le secteur des jeux. Activision Blizzard : Le Nouveau Leader Avec l’acquisition d’Activision Blizzard, Microsoft se positionne comme le plus grand éditeur de jeux en termes de revenus. Nadella a […]

90% des jeux Windows tournent maintenant sur Linux !

Par :Korben
29 octobre 2025 à 09:32

Vous vous souvenez quand jouer sous Linux, c’était une grosse blague ? Vous installiez votre distribution préférée, vous lanciez Steam , et vous vous rendiez compte que la moitié de votre bibliothèque était inaccessible… Alors vous deviez soit garder un dual boot Windows, soit accepter de ne jouer qu’à une poignée de titres pas ouf.

Et bien ça, mes amis, c’est du passé !

En effet, selon les dernières données de ProtonDB compilées par Boiling Steam , près de 90% des jeux Windows se lancent maintenant sur Linux. Pas 90% qui plantent au bout de 5 minutes hein mais vraiment 90% qui démarrent, qui tournent, et qui se jouent jusqu’au bout. C’est une progression de dingue si on compare avec encore il y a 5 ans, où on était plutôt autour de 50% de compatibilité.

Pour rappel, ProtonDB , c’est la base de données communautaire qui recense les rapports de compatibilité des joueurs Linux qui testent leurs jeux, notent ce qui fonctionne ou pas, et partagent leurs résultats. Le système de notation est d’ailleurs assez simple. “Platinum”, c’est le jeu qui tourne parfaitement sans rien toucher. “Gold”, ça marche presque out of the box mais il faut un peu bricoler. “Silver”, c’est jouable mais imparfait. “Bronze” se situe entre Silver et Borked. Et “Borked”, c’est mort de chez mort, le jeu refuse même de se lancer.

Et les derniers chiffres montrent que la catégorie Borked, c’est-à-dire les jeux complètement cassés, est tombée à environ 10%. Il y a 3 ans, on était encore à 20%. La catégorie “Platinum” a elle-même grimpé à 42% des nouvelles sorties en octobre dernier, contre 29% l’année précédente. Cela veut dire que presque la moitié des nouveaux jeux sortent avec une compatibilité parfaite sur Linux dès le premier jour ! Qui aurait pu prédire comme dirait l’autre ?

Quoiqu’il en soit, cette évolution, on la doit en grande partie à Proton, la couche de compatibilité développée par Valve, c’est-à-dire l’outil qui traduit les appels DirectX de Windows en Vulkan pour Linux. Proton s’appuie sur Wine, le projet historique qui permet de faire tourner des applications Windows sur Linux depuis des décennies, mais Valve a mis le super paquet pour optimiser tout ça spécifiquement pour ses jeux, surtout depuis le lancement de son Steam Deck en 2022.

Le Steam Deck, c’est la console portable de Valve qui tourne sous SteamOS qui est une distribution Linux. Du coup, Valve avait besoin que les jeux Windows fonctionnent parfaitement sur leur machine. La pari était risqué mais ils l’ont relevé avec succès en investissant massivement dans Proton. Ainsi, 80% des 100 jeux les plus populaires sur Steam tournent maintenant de façon quasi-parfaite sur Linux et croyez le ou non, certains jeux tournent même plus vite sur Linux que sur Windows, grâce à une gestion plus efficace des ressources système. Y’a le même phénomène sur ROG Xbox Ally d’ailleurs…

Et surtout Proton 10, la dernière version sortie cette année, apporte encore des améliorations folles et des correctifs spécifiques pour des jeux comme The Finals, Deadlock, Dune Awakening, ainsi que des optimisations pour VRChat (un monde virtuel assez populaire sur lequel je n’ai encore jamais mis les pieds… va falloir remédier à ça je pense).

Valve sort également des versions expérimentales et des hotfixes assez régulièrement pour résoudre les problèmes au fur et à mesure qu’ils sont signalés. C’est un travail acharné et continu de leur part et ça paye enfin !!

Concernant les jeux qui ne fonctionnent pas, le plus gros problème reste les anti-cheats, c’est-à-dire les logiciels de détection de triche utilisés dans les jeux en ligne. Easy Anti-Cheat et BattlEye, les deux plus populaires, supportent officiellement Linux depuis quelques années mais les développeurs doivent activer manuellement ce support pour chaque titre. C’est une case à cocher et malheureusement, beaucoup ne le font pas, soit par flemme, soit parce qu’ils ne considèrent pas Linux comme une priorité.

Je pense par exemple à March of Giants qui détecte Wine et Proton et refuse de démarrer ou encore Blade and Soul NEO qui nécessite des configurations spécifiques. Il y a aussi Sickly Days et Summer Traces qui demandent des overrides de DLL. Tout ceci, ce sont des blocages “intentionnels” et pas des incompatibilités techniques. Les dev pourraient activer le support Linux en 5 minutes, mais ils ne le font pas. Bouuuuh !

Les DRM, c’est-à-dire les systèmes de protection anti-copie, posent aussi des problèmes. En général, Denuvo fonctionne bien, mais certaines implémentations plantent sous Linux et certains éditeurs refusent de corriger ces problèmes parce qu’ils considèrent que le marché Linux est trop petit. C’est donc un cercle vicieux. Mais comme vous pouvez le voir, la situation évolue et le fait que Windows 10 arrive en fin de support pourrait aussi pousser pas mal de joueurs vers Linux.

Sans parler de Windows 11 qui impose des restrictions matérielles que beaucoup de PC ne remplissent pas, et comme tout le monde n’a pas envie de racheter une machine récente juste pour continuer à jouer, SteamOS est une planche de salut ! Bref, si vous de votre côté, vous vous sentez enfin chaud pour Linux, vous pouvez installer SteamOS sur un PC classique ou utiliser n’importe quelle distribution Linux avec Steam et Proton activé : Ubuntu, Fedora, Arch, peu importe. Steam détectera automatiquement que vous êtes sur Linux et proposera Proton pour les jeux Windows.

Vous cliquez sur Jouer, et ça marche. Ou pas, mais dans 9 cas sur 10, ça marche.

Et n’oubliez pas avant d’acheter un titre, d’aller sur protondb.com . Vous cherchez le jeu, et vous voyez si d’autres joueurs Linux l’ont fait tourner. S’il est Platinum ou Gold, pas de souci. S’il est Silver ou Bronze, lisez bien les commentaires pour voir quelles manips sont nécessaires. Et s’il est Borked, passez votre chemin ou attendez que quelqu’un trouve une solution…

Quoiqu’il en soit, je trouve que c’est une bonne nouvelle pour les gamers et pour les linuxiens. La progression est lente mais constante et comme Valve continue d’améliorer Proton, que les développeurs de Wine ajoutent du support pour les nouvelles APIs Windows, et que certains éditeurs commencent à activer le support anti-cheat pour Linux, on arrivera bientôt à du 100% et vous verrez, à un moment, la tendance s’inversera et certains jeux, demain, ne tourneront même plus sous Windows mais uniquement sous Linux…

Source

Désinstallez les programmes ainsi que tous leurs résidus oubliés (v 2.6.2)

29 octobre 2025 à 08:52

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.

Ce n'est pas un secret le désinstallateur de Windows est feignant !

Oui, lorsqu'il désinstalle un programme il laisse des résidus.

En vérité il ne laisse pas grand-chose, mais au bout de plusieurs centaines de désinstallation cela finit par engorger le disque dur !

Mais surtout, il faut savoir aussi que certaines traces laissées peuvent entrer en conflit avec un autre logiciel et même bloquer toute réinstallation du logiciel précédemment installé ! :wacko:

Quoiqu'il en soit, il faut le dire, pour une fois la faute n'incombe pas qu'à Microsoft.

Oui, le problème vient aussi des programmeurs qui ne se contentent que du minimum lors de la création de leurs désinstalleurs. Windows se contente de ne lancer que ce dernier sans chercher à savoir s'il y aurait des fichiers ou dossiers oubliés...

Revo Uninstaller dans sa version gratuite est déjà excellent, il va s'acharner à vérifier qu'il ne reste aucune trace du soft dont vous voulez vous débarrasser.

La dernière version dont je vous ai parlée est la 2.6.0 publiée en juin 2025.

Une nouvelle version estampillée 2.6 a été publiée hier 28/10/2025, je vous la propose donc.

Cet article Désinstallez les programmes ainsi que tous leurs résidus oubliés (v 2.6.2) est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name

Windows 11 - Comment activer la réparation automatique par le cloud

Par :Korben
29 octobre 2025 à 08:42

Bon, j’utilise plus vraiment Windows tous les jours, à part quand je veux faire des tests comme aujourd’hui mais je suis quand même encore traumatisé de ces moments horribles où mon PC refusait de démarrer, avec à l’époque, un écran bleu, qui s’enchaine sur une boucle de réparation automatique qui tourne en rond, et moi qui fait ma prière au Dieu de la Tech pour que ça reparte tout seul et que je ne flingue pas encore une journée de boulot.

Et bien Microsoft vient d’ajouter une fonctionnalité dans Windows 11 qui pourrait vous sauver la mise si vous avez la même phobie que moi. Ça s’appelle Quick Machine Recovery , et c’est un système de réparation automatique qui télécharge des correctifs directement depuis les serveurs de Microsoft.

Ainsi, quand votre Windows 11 refuse de booter, après plusieurs tentatives le système va automatiquement se connecter à Internet, envoyer des diagnostics à Microsoft, et télécharger un correctif spécifique pour votre problème. Tout ça sans que vous ayez à sortir une clé USB de récupération ou à appeler le support technique.

Quick Machine Recovery (qu’on va appeler QMR pour aller plus vite) fonctionne différemment selon votre édition de Windows. Sur Windows 11 Home, c’est activé par défaut alors que sur Windows 11 Pro et Enterprise, c’est désactivé par défaut et il faut donc le configurer manuellement.

Et il y a deux modes distincts dans l’outil. Le premier, c’est la réparation par le cloud (Cloud Remediation), c’est-à-dire que Windows va chercher des correctifs sur les serveurs Windows Update. Et le second, c’est la réparation automatique (Auto Remediation), c’est-à-dire que le système va tenter de se réparer tout seul plusieurs fois de suite sans vous demander votre avis.

Vous de votre côté, vous avez juste besoin de :

  • Windows 11 version 24H2 ou supérieure
  • Une connexion Internet (évidemment, sinon pas de cloud ^^)
  • Un compte administrateur pour modifier les paramètres

Ça prend 2 minutes pour s’activer, et entre 5 à 10 minutes en cas de réparation réelle.

Bref, quand votre PC plante au démarrage, voici ce qui se passe en coulisses. Après plusieurs échecs de boot, Windows entre automatiquement dans l’environnement de récupération WinRE (Windows Recovery Environment), c’est-à-dire ce mode minimal de dépannage qui se lance avant le système Windows complet. Le système établit alors une connexion réseau, envoie les données de diagnostic à Microsoft (type d’erreur, fichiers concernés, configuration matérielle), et recherche une solution spécifique sur les serveurs.

Si Microsoft connaît déjà ce problème et dispose d’un correctif, le fix est téléchargé et appliqué automatiquement et le PC redémarre pépouze. Mais si ça ne marche pas du premier coup, le processus se répète jusqu’à la résolution ou jusqu’à ce que le système abandonne et vous propose les options de récupération manuelles classiques.

Le cas d’usage parfait, si je devais en trouver un c’est l’incident CrowdStrike de juillet 2024. Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais une mise à jour défectueuse avait planté plus de 8 millions de PC Windows dans le monde. Les machines refusaient de booter et à l’époque si QMR avait existé, tous ces systèmes bloqués pendant 5 jours ou plus auraient été réparés en quelques minutes au lieu de nécessiter une intervention manuelle sur chaque machine.

Maintenant comment est ce qu’on active ça ?

Hé bien, ouvrez les Paramètres Windows avec la combinaison de touches Windows + I puis allez dans Système puis Récupération. Vous allez voir une section “Récupération machine rapide”.

Cliquez alors sur le bouton à côté de “Récupération machine rapide” pour l’activer. Le petit bouton passe au bleu, c’est bon, vous êtes un champion des nouvelles technologies \o.

Et voilà, c’est tout.

Sur ce coup-là, Microsoft a fait simple.

Maintenant si vous ne voyez pas cette option, c’est pas la peine de m’envoyer un email énervé. Vérifiez plutôt que vous êtes bien sur Windows 11 24H2 à minima. Tapez winver dans le menu Démarrer (ou appuyez sur Windows + R, tapez winver et validez) pour voir votre version exacte. Vous devriez voir “Version 24H2” ou supérieure.

Après par défaut, même avec la réparation par le cloud activée, Windows va vous demander une confirmation avant de tenter une réparation donc si vous voulez que le système se débrouille tout seul, vous pouvez aussi activer la réparation automatique.

Toujours dans Système > Récupération > Quick Machine Recovery, activez alors le bouton “Continuez la recherche si aucune solution n’est trouvée”.

Mais attention, une fois que cette option est activée, votre PC va tenter de se réparer seul sans vous consulter. C’est pratique si vous gérez plusieurs machines à distance notamment, mais ça peut être relou si vous ne vous y attendez pas. Le PC va redémarrer plusieurs fois de suite pendant qu’il cherche une solution.

Donc si vous hésitez, laissez cette option désactivée. La réparation seulement via le cloud suffit dans la plupart des cas.

Après QMR ne répare pas TOUS les problèmes du monde non plus… Si votre disque dur est HS, aucun correctif cloud ne va le ressusciter. Si votre RAM est défectueuse, c’est pareil. Et si votre femme et votre chien vous ont quitté, c’est pas non plus de son ressort. En fait, QMR cible uniquement les pannes logicielles : pilotes corrompus, fichiers système endommagés, conflits de mise à jour, registre cassé…etc

Gardez aussi en tête que QMR envoie des données de diagnostic à Microsoft donc si vous êtes dans un environnement où la confidentialité est critique (entreprise avec données sensibles, environnement réglementé…etc), vérifiez que votre politique de sécurité autorise ce genre de télémétrie avant d’activer la fonctionnalité.

Après si vous avez activé QMR et que votre PC continue de planter au boot malgré plusieurs tentatives de réparation, laissez le système essayer 3/4 fois et si après ça le problème persiste, Windows va normalement vous proposer les options avancées (Mode sans échec, Restauration système, Invite de commandes, c’est-à-dire la ligne de commande Windows).

Essayez alors le Mode sans échec, c’est-à-dire un mode de démarrage minimal qui charge uniquement les pilotes essentiels et si le système boote en mode sans échec, le problème vient probablement d’un pilote ou d’un logiciel installé récemment. Désinstallez alors toutes les dernières mises à jour ou pilotes ajoutés récemment.

Et si même le mode sans échec ne fonctionne pas, utilisez une clé USB de récupération Windows 11. Bootez dessus, allez dans Réparer l’ordinateur > Dépannage > Options avancées, et utilisez les outils en ligne de commande comme :

sfc /scannow (System File Checker, c’est-à-dire l’outil de vérification des fichiers système) pour réparer les fichiers système,

DISM /Online /Cleanup-Image /RestoreHealth (Deployment Image Servicing and Management, c’est-à-dire l’outil de maintenance de l’image Windows) pour réparer l’image Windows,

et chkdsk C: /f /r pour vérifier et réparer le disque.

Pour les admin sys qui gèrent un parc de machines, QMR peut également se configurer via Intune, c’est-à-dire l’outil de gestion Microsoft 365, ou les stratégies de groupe (Group Policy). La documentation Microsoft donne tous les détails pour un déploiement centralisé :

  • HKLM\SOFTWARE\Microsoft\Windows NT\CurrentVersion\Winlogon\CloudRemediationEnabled (valeur DWORD, c’est-à-dire un nombre entier 32 bits) = 1 pour activer la réparation cloud
  • HKLM\SOFTWARE\Microsoft\Windows NT\CurrentVersion\Winlogon\AutoRemediationEnabled (valeur DWORD) = 1 pour activer la réparation automatique

Attention, ces clés doivent être créées manuellement dans le registre si elles n’existent pas. Ensuite, vous devrez effectuer le petit redémarrage réglementaire après modification. Et faites bien une sauvegarde du registre avant toute modification (Fichier > Exporter dans regedit).

Voilà pour mon topo sur QMR. Sur le papier je trouve que c’est une excellente idée… Ça augmente bien le taux de réussite de récupération d’un PC et surtout, ça fait gagner du temps. Après en pratique, comme d’hab ça dépend de votre situation. En tout cas, ça ne mange pas de pain donc activez la.

Et quoi qu’il arrive, faites des sauvegardes régulières !

Bonne chance !

Source

Profitez d'un accès à vie à Windows 11 et Office 2021 à partir de 10 € chez Godeal24

29 octobre 2025 à 08:29

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Fnox - Le Fort Knox de vos secrets de dev

Par :Korben
29 octobre 2025 à 07:41

Vous connaissez Jeff Dickey ?

C’est le développeur derrière mise , un outil qui permet aux développeurs de gèrer leurs versions d’outils de dev et leurs variables d’environnement.

Et bien cette année, il a sorti fnox , un gestionnaire de secrets.

Si vous êtes développeur, vous savez que les secrets, c’est-à-dire les identifiants, les mots de passe, etc. sont soit stockés en chiffré directement sur le dépôt Git, soit à distance via un cloud provider comme AWS Secrets Manager.

Mais c’est pas très marrant à configurer et à utiliser et c’est pour ça donc que Fnox a été inventé. Fnox utilise un simple fichier de configuration TOML que vous placez dans votre dépôt Git et à l’intérieur duquel les secrets sont soit directement chiffrés soit pointent vers des références distantes sur des services comme : AWS, Azure, GCP, HashiCorp Vault et j’en passe… ou encore des gestionnaires de mots de passe comme 1Password et Bitwarden.

Il y a même possibilité de mettre tout ça en ocal dans le gestionnaire de clés de votre OS ou dans un fichier texte.

L’avantage de cette solution, en plus de sa flexibilité, c’est qu’elle peut être utilisée dans des environnements multiples, que ce soit pour du dev, du staging, de la prod. Et comme tout est stocké sur le Git, les équipes de dev peuvent récupérer le fichier et le déchiffrer de leur côté.

Voici comment ça se met en place :

# Installer via mise (recommandé)
mise use -g fnox

# Initialiser dans votre projet
fnox init

# Définir un secret (chiffré par défaut)
fnox set DATABASE_URL "postgresql://localhost/mydb"

# Récupérer un secret
fnox get DATABASE_URL

# Exécuter des commandes avec les secrets chargés
fnox exec -- npm start

# Activer l'intégration shell (chargement automatique lors du cd)
eval "$(fnox activate bash)" # ou zsh, fish

Comme vous pouvez le voir dans l’exemple ci-dessous, il y a une intégration Shell qui permet de charger automatiquement les secrets dès qu’on change de répertoire.

Le projet est open source, licence MIT, et vous trouverez le code sur GitHub. Si vous utilisez déjà mise, l’intégration est transparente et si vous ne l’utilisez pas, fnox fonctionne très bien tout seul (ça s’installe aussi avec Cargo : cargo install fnox ).

Avant la mise en place, je vous recommande quand même d’aller lire le guide de démarrage rapide sur leur site, puisque ça explique aussi comment mettre en place un chiffrement un peu plus costaud avec Age , ce qui est indispensable dans un environnement de prod ! Et y’a un super exemple de mise en place IRL si vous voulez voir quelque chose de plus concret.

Amusez-vous bien !

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