Spotify prépare une nouvelle augmentation de prix en 2026
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Vous vous souvenez du mod Skyrim qui remplaçait tous les dragons par Thomas le petit train ? Et bien le créateur vient de remettre ça avec Morrowind !
Kevin “Trainwiz” Brock, c’est son nom, est le game designer à l’origine de ce cauchemar ferroviaire apparu en décembre 2013. À l’époque, un pote lui avait filé des modèles 3D de Thomas récupérés d’un jeu iPhone pourrave, et il s’était dit “tiens, et si je les collais sur les dragons de Skyrim”. Ensuite, le mod a cartonné avec plus de 70 000 téléchargements et presque 600 000 vues sur Nexus Mods et depuis, les mods Thomas ont envahi absolument tout ce qui bouge dans le jeu vidéo : Elden Ring, Resident Evil 2, Monster Hunter World, Hogwarts Legacy…
Sauf que Mattel, le géant du jouet qui possède la licence Thomas, n’a vraiment, mais alors vraiment pas rigolé. Un cabinet d’avocats basé en Macédoine (oui, en Macédoine, c’est chelou…) a envoyé à Trainwiz, des mises en demeure en 2019 avec comme seul reproche officiel qu’il aurait “diminué” la marque Thomas en le montrant exploser. Par contre, pas un mot sur le fait que Thomas massacrait violemment des villageois de Bordeciel, hein ^^. Non, ce sont juste les explosions qui posent problème.
Au final, YouTube a fini par refuser de supprimer les vidéos, invoquant la loi sur la parodie, mais le mod Fallout 4 a disparu des sites de mods grand public à cause de la pression juridique.
Et maintenant ?
Et bien le mec vient de sortir un mod qui remplace les cliff racers de Morrowind par Thomas. Ce sont ces bestioles volantes insupportables qui vous attaquent non-stop et qui ressemblent maintenant à des dizaines de petits trains bleus qui vous foncent dessus en faisant hurler leur sifflet…
Bref, c’est horrible et sur la page consacrée à son mod , Trainwiz écrit : “Je ferai ça, peu importe le nombre de menaces juridiques, de menaces réelles, de vans noirs avec le logo Mattel dessus, ou de têtes de Barbie décapitées qu’on m’envoie par la poste”. Puis il ajoute : “C’est parce que j’ai des problèmes avec l’autorité, particulièrement l’autorité qui repose sur l’intimidation. J’ai botté les culs de pas mal de brutes quand j’étais gamin.”
Il dit aussi : “Je ne considère fondamentalement pas les PDG de boîtes de jouets ou de médias comme des êtres humains.”
Ahaha, il est fun lui ! Mais alors ce qui me tue dans cette histoire, c’est l’absurdité totale de la réaction de Mattel. On parle quand même d’un mod gratuit, fait par un passionné, qui transforme un vieux jeu de 2002 en délire surréaliste. Je vous rassure, personne ne va se dire “oh tiens, Thomas le petit train est devenu violent, je ne vais plus acheter les jouets à mon gamin”. Là, on assiste encore à un magnifique effet Streisand en puissance, car plus ils le poursuivent, plus tout le monde en parle, plus les gens téléchargent le mod par curiosité…
Notez que Trainwiz, en dehors de ses aventures juridiques avec les fabricants de trains en plastique, développe également son propre RPG spatial appelé Underspace , donc si vous voulez lui donner de la force, vous savez ce qu’il vous reste à faire !

Vous avez surement un vieux smartphone qui traîne au fond d’un tiroir, non ? Bah au lieu de le laisser pourrir ou de le balancer à la déchetterie, pourquoi ne pas en faire un vrai serveur web ?
Je sais ce que vous pensez… Ce mec est fou. Et pourtant, c’est exactement ce qu’a fait Louis Merlin avec son projet Far Computer . Son site tourne littéralement sur un Fairphone 2 posé dans un tiroir, avec PostmarketOS comme système d’exploitation. Le site affiche en temps réel les stats de la machine donc au moment où j’écris ces lignes, 5% de CPU, 280 Mo de RAM utilisés sur 1.8 Go disponibles… C’est presque de la puissance gâchée pour servir quelques pages statiques, mdr.
Ce projet s’inscrit dans cette mouvance du “sustainable computing” où l’idée c’est de donner une seconde vie aux appareils qu’on jette après 2-3 ans alors qu’ils ont encore plein de ressources à offrir. D’ailleurs, PostmarketOS est parfait pour ça puisque c’est une vraie distrib Linux basée sur Alpine, ultra légère, et qui supporte plus de 200 appareils différents, des vos vieux Nokia N900 aux tablettes en passant par les liseuses…
D’ailleurs le guide d’installation dispo sur far.computer/how-to est hyper bien fait si vous voulez vous lancer. En gros vous avez besoin d’un PC Linux (ou une VM), vous installez pmbootstrap, vous flashez le téléphone en mode bootloader, et hop, une fois PostmarketOS installé, vous vous connectez en SSH, vous configurez le WiFi avec nmcli, vous créez votre dossier /var/www/html/, vous lancez httpd et voilà. Votre vieux téléphone est devenu un serveur web.
Alors bien sûr, pour mon site avec son million de visiteurs uniques par mois, ça le ferait moyen et faudrait quand même coller un CDN devant pour encaisser la charge, mais pour un projet perso, un blog à faible trafic, une API interne ou juste pour le plaisir de dire aux inconnus dans la rue, “Hey bonjour, on ne se connait pas mais mon site tourne sur un téléphone”, c’est vraiment cool (et un peu creepy).
Certains vont même plus loin en montant des clusters Kubernetes avec plusieurs vieux smartphones . Quand on sait que ces machins ont souvent des specs supérieures à un Raspberry Pi et qu’ils consomment que dalle en électricité, je me dis qu’il y a vraiment un truc à explorer.
Point important à garder en tête quand même, évitez de laisser le téléphone branché en permanence sur le chargeur car les batteries n’aiment pas trop ça, et ça peut finir en feu de joie improvisé. Idéalement faut virer la batterie si c’est possible ou mettre en place une gestion de charge intelligente.
Le code source du projet Far Computer est dispo sous licence CC BY-NC-SA 4.0 donc vous pouvez vous en inspirer, le modifier, le partager… tant que c’est pas pour du commercial bien sûr et que vous gardez la même licence.
Voilà, vous savez ce qu’il vous reste à faire si vous avez des vieux smartphones qui prennent la poussière.

Vous le savez chez Vonguru, on adore tout ce qui est domotique et chez eufy, on a toujours le choix de ce côté-là ! Aujourd’hui, c’est la sécurité qui est mise en avant avec la caméra eufyCam S3 Pro ! Elle viendra compléter notre installation existante et rejoindra notre réseau HomeBase 3 !
Son prix oscille pas mal en ce moment, passant de 279 € hors promotion à 179 € au prix où ses lignes sont écrites, alors soyez vigilants ! Place au test !
Sur la face avant arborant le fond bleu bien caractéristique de la marque eufy, on retrouvera le nom de la marque, le modèle ainsi 3 principaux arguments marketing, un visuel de la caméra et on nous rappellera également ici qu’il n’y a pas d’abonnement à payer en supplément. À gauche, c’est cette même information qui nous sera détaillé en détails, et ce en anglais.
À droite, la marque a décidé de mettre en avant son application gratuite avec deux visuels, à nouveaux une liste non exhaustive des principales fonctionnalités de notre caméra du jour ainsi que les divers compatibilités et lien pour télécharger ladite app. À l’arrière bien sûr et comme toujours, c’est là que nous ferons le plein d’infos avec non seulement le contenu de la boîte mais également à nouveau les principaux arguments de notre S3 Pro, cette fois en 8 langues différentes.
| Marque | eufy Security |
| Nom de modèle | T8162 |
| Technologie de connectivité | Wi-Fi |
| Caractéristique spéciale | Résolution 4K améliorée couleur vision nocturne système de détection de mouvement Technologie SolarPlus 2.0 Sécurité locale, pas de frais mensuels, compatible avec Apple Home, Alexa et Google Assistant Résolution 4K améliorée couleur vision nocturne système de détection de mouvement Technologie SolarPlus 2.0 Sécurité locale, pas de frais mensuels, compatible avec Apple Home, Alexa et Google Assistant |
| Utilisation intérieure/extérieure | Extérieure |
| Source d’alimentation | Alimenté par batterie |
| Protocole de connectivité | Wi-Fi |
| Type de fixation | Montage arbre |
| Résolution d’enregistrement vidéo | 4k |
Ici, tout s’installe comme le kit 4 caméras solaire eufyCam S330, mais nous allons reprendre pour ceux qui n’auraient pas suivi.
Vous aurez dans la boîte la marche à suivre pour réaliser la configuration de la HomeBase 3. Commencez par installer votre disque dur si jamais vous en avez un. Si ce n’est pas le cas, sachez que notre produit du jour embarque 16Go de base. Branchez ce dernier à votre box internet ou à votre routeur et alimentez-le à une prise secteur. Ensuite, téléchargez l’application eufy security que vous retrouverez sur Android et iOS.
Ensuite, suivez le guide pas à pas. Il n’y a rien de compliqué, tout est intuitif. Vous aurez également à effectuer une mise à jour lors de votre première utilisation.
L’ajout de la caméra est tout aussi enfantin. N’oubliez pas de la recharger. Ici, c’est l’USB-C qui est de la partie, sans surprise. Vous pouvez donc réaliser leur recharge directement via le pro USB de la HomeBase ou bien sur n’importe quel autre chargeur.
Il vous faudra une perceuse adaptée pour percer vos murs extérieurs, bien sûr. Sinon, les vis et chevilles sont fournies dans le bundle. Ce n’est donc pas très compliqué à installer, si tant est que vous avez le bon matériel.
Ici encore, plus de câbles, deux vis, deux chevilles et le tour est joué. Bien sûr, il vous faudra une exposition au soleil, minimum deux heures par jour, mais grâce à cette technologie, on s’évite bien des tracas ! Et puis en cas de problèmes de recharge, ne sait-on jamais, il suffira de dévisser la caméra et d’aller la recharger via un câble USB-C, directement sur sa HomeBase ou bien sur n’importe quel chargeur.
Nous avons donc mis notre nouvelle caméra au niveau de notre abri à bois et notre composte, avec une vue sur l’abri à vélo.
L’installation est propre, rapide et esthétique. Nos caméras ne jurent pas sur nos façades et on adore !
Eufy revient avec une nouvelle caméra extérieure haut de gamme, la eufyCam S3 Pro, pensée pour ceux qui veulent la tranquillité d’esprit sans l’abonnement mensuel qui vient habituellement avec. Une caméra 4K, totalement sans fil, profitant de l’énergie solaire qui ne manque pas dans le Var pour tourner en continu, le tout adossé à l’écosystème HomeBase 3. Sur le papier, un cocktail de modernité et d’efficacité. Sur le terrain, une solution qui cherche clairement à s’imposer comme référence parmi les caméras extérieures premium. On a testé tout ça pour vous.
Dès le déballage, la S3 Pro donne le ton. Le design est dans la droite lignée de ce que propose Eufy depuis quelques années et nous rappelle bien sûr nos S330 : une coque blanc mat, arrondie, qui n’a rien d’un gadget et s’intègre facilement sur une façade, un portail ou un abri. Le panneau solaire intégré est presque invisible, parfaitement fondu dans la silhouette du produit.
La grande promesse, évidemment, c’est la surveillance 4K. Et sur ce point, la S3 Pro ne déçoit pas. Les images sont nettes, les couleurs fidèles, les détails suffisamment précis pour identifier un visage, une plaque d’immatriculation ou un colis posé devant votre portail. Le capteur 1/1.8 s’en sort très bien en pleine journée, mais c’est surtout la vision nocturne couleur qui marque des points. Grâce à la technologie maison MaxColor, la caméra peut restituer la scène de nuit en conservant un rendu naturel, sans vous obliger à activer un projecteur blafard. Même dans des environnements mal éclairés, la lisibilité reste excellente, un vrai confort pour la consultation des alertes. On notera cependant que la caméra peut avoir du mal à rendre une image nette la nuit par temps très humide ou quand il gèle.
La détection est un autre pilier de cette S3 Pro. Eufy ajoute ici un radar en plus du classique capteur PIR, permettant une identification plus précise des mouvements. Résultat : moins d’alertes inutiles, moins de « vent dans les feuilles », plus de vrais événements. L’IA embarquée peut distinguer un humain, un véhicule ou un simple mouvement ambiant, et les notifications arrivent rapidement, avec un résumé clair de ce qui est détecté. Le micro offre une captation propre, et l’audio bidirectionnel permet de répondre à un livreur ou de faire fuir quelqu’un en quelques secondes.
La partie solaire est évidemment au centre du concept. Sur le terrain, le principe fonctionne si la caméra est correctement exposée. Une bonne heure d’ensoleillement quotidien suffit en théorie à maintenir la batterie, mais dans la pratique, tout dépendra de l’emplacement, de l’orientation et du nombre d’événements enregistrés. Bien positionnée, la S3 Pro peut tourner des semaines sans broncher. Dans une zone plus ombragée ou très sollicitée, la batterie aura tendance à descendre un peu plus vite, mais l’autonomie reste largement supérieure à la majorité des caméras sans fil traditionnelles.
La présence obligatoire de la HomeBase 3 est un point central. C’est elle qui stocke les vidéos localement, évitant le passage par un abonnement cloud. L’ensemble est cohérent, simple à consulter et très réactif. L’écosystème Eufy reste l’un des plus agréables à utiliser du marché : interface claire, timeline fluide, options facilement accessibles et réglages fins de détection ou de zones d’activité.
Au quotidien, la caméra se comporte de manière stable, avec une connexion rapide et une consultation en direct assez fluide, même en 4K. La sirène intégrée est suffisamment puissante pour dissuader, sans être assourdissante. L’ensemble respire le sérieux et la volonté de proposer une alternative vraiment premium à des modèles concurrents souvent enfermés derrière des abonnements mensuels. Côté longévité, on espère que ce modèle aura une aussi bonne durée de vie que ses aînées.
La eufyCam S3 Pro se place donc comme une excellente solution pour ceux qui disposent déjà d’une HomeBase et qui veulent une caméra extérieure puissante, autonome et vraiment complète. Entre la 4K impeccable, la vision nocturne couleur, la détection radar et le solaire intégré, Eufy propose une caméra qui coche presque toutes les cases. Elle demande toutefois un emplacement bien réfléchi pour exploiter pleinement la recharge solaire, et l’obligation de passer par la HomeBase 3 augmente légèrement la facture finale (sauf si vous l’avez déjà). Mais une fois l’installation optimisée, difficile de ne pas apprécier le confort d’un système sans fil, sans abonnement et sans compromis sur la qualité d’image.
En résumé, une caméra premium qui assume son ambition et s’adresse clairement à ceux qui veulent équiper leur extérieur sérieusement, avec une solution durable, élégante et performante.
On rappellera que son prix oscille pas mal en ce moment, passant de 279 € hors promotion à 179 € au prix où ses lignes sont écrites, alors soyez vigilants !
Test – Caméra de surveillance eufyCam S3 Pro a lire sur Vonguru.
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Vous vous souvenez de Remix OS, de Phoenix OS et de tous ces projets qui promettaient ENFIN de faire tourner Android sur votre PC comme un vrai OS desktop ? Ouais, moi aussi je m’en souviens… Et ce dont je me souviens surtout, c’est de comment ça s’est terminé… Des abandons, des problèmes de mise à jour, du licensing foireux avec Google. Bref, un vrai carnage…
Hé bien cette fois c’est Google lui-même qui se lance dans l’aventure avec un projet baptisé Aluminium OS. Et attention, ce n’est pas juste une rumeur de plus puisque Rick Osterloh, le grand patron de la division Devices de chez Google, a officiellement annoncé le projet en septembre dernier au Snapdragon Summit de Qualcomm. Comme les deux boîtes bossent ensemble sur cette nouvelle plateforme, on devrait logiquement voir débarquer des machines sous puces Snapdragon.
Côté naming, Google reste fidèle à sa convention maison avec un nom de métal en “-ium”, vous savez, comme Chromium pour Chrome… Sauf qu’ils ont choisi la version britannique “Aluminium” plutôt que “Aluminum” nord-américaine. Ça sera aussi plus simple à retenir pour nous les français.
Aluminium c’est donc la fusion tant attendue entre ChromeOS et Android afin d’avoir un seul OS unifié pour les laptops, les tablettes détachables et même les mini-PC style Chromebox. L’objectif affiché c’est de mieux concurrencer l’iPad sur le marché des tablettes, mais aussi taper sur la tête de Windows et macOS côté PC. Et contrairement à ce qu’on pourrait craindre, Google ne compte pas limiter ça aux machines d’entrée de gamme pourries puisqu’ils prévoient trois segments : AL Entry (le pas cher), AL Mass Premium (le milieu de gamme) et AL Premium pour jouer dans la cour des grands.
Le truc qui change vraiment par rapport aux Phoenix OS et autres projets communautaires, c’est surtout que Google veut intégrer son IA Gemini au cœur du système. Bon ok, tout le monde fait ça maintenant, mais au moins ça prouve que c’est un projet sérieux avec de vraies ressources derrière.
Maintenant, si vous êtes actuellement utilisateurs de Chromebook (force à vous ! ^^), pas de panique puisque les machines existantes continueront à recevoir leurs mises à jour jusqu’à leur fin de vie. Les plus récentes pourraient même avoir droit à une petite migration vers Aluminium OS si elles sont compatibles. D’ailleurs, si on en croit les rapports de bugs internes, Google teste actuellement ce système sur des cartes de dev équipées de puces MediaTek Kompanio 520 et Intel Alder Lake 12e gen, donc si votre Chromebook tourne avec l’un de ces chipsets, vous avez peut-être une chance…
En interne, les ingénieurs parlent même déjà de “ChromeOS Classic” pour désigner l’ancien système, ce qui laisse penser que Google pourrait simplement renommer Aluminium en ChromeOS une fois leur truc mature.
Bref, le lancement de ce nouvel OS Made in Google est prévu pour 2026 et sera probablement basé sur Android 17. À voir maintenant si ça décollera plus que ChromeOS…

Notepad change de catégorie : Microsoft teste l’insertion de tableaux et des réponses IA en streaming dans Notepad, l’éditeur minimaliste de Windows 11. Une montée en gamme assumée, qui interroge.
D’après Microsoft, la nouvelle version de Notepad est en cours de déploiement auprès des Insiders Windows 11 dans les canaux Canary et Dev. Deux nouveautés dominent : un support natif des tableaux et une amélioration des outils d’IA avec des réponses diffusées en continu. « streaming responses », précise la note, une fonction qui s’affiche désormais directement dans l’éditeur.

La fonction Tables permet d’insérer des grilles simples via un bouton dédié dans la barre de mise en forme, ou par la syntaxe Markdown. Une fois le tableau posé, on peut ajouter ou supprimer des lignes et des colonnes depuis un menu Table ou le menu contextuel. Le tout reste basique, mais suffisamment pratique pour structurer des notes sans quitter Notepad.

Cette orientation continue d’étoffer Notepad en matière de mise en forme et d’options IA. En parallèle, Word demeure l’outil de référence pour l’édition complète de documents, et il faut dire que des alternatives comme Notepad++ gardent de solides arguments sur PC.
Le déploiement, limité pour l’instant aux canaux Canary et Dev, confirme la stratégie de Microsoft : enrichir un utilitaire historique sans le confondre avec Word. Reste à voir si l’IA en streaming et les tableaux deviendront des incontournables du bloc-notes, ou un simple confort ponctuel.
Source : blogs.windows.com
Sharkoon élargit sa gamme audio avec le SKILLER SGH40W, un casque gaming sans fil pensé pour la polyvalence. Grâce à son mode bi-mode, il peut fonctionner soit en connexion 2,4 GHz ultra-faible latence, soit en filaire via un câble TRRS classique. Cette flexibilité le rend compatible PC, consoles et smartphones, en s’adaptant facilement à chaque usage.

Le Sharkoon SKILLER SGH40W intègre des transducteurs de 53 mm capables d’offrir un rendu sonore riche, précis et immersif. Les médiums sont bien définis pour les communications en jeu, tandis que les basses profondes renforcent l’impact des explosions et des effets sonores. Le casque est optimisé pour les jeux compétitifs, les chats vocaux et les sessions multimédia.

Pour garantir une utilisation confortable sur la durée, Sharkoon a opté pour des coussinets hybrides combinant tissu respirant et cuir synthétique doux. L’oreillette protège de la chaleur tout en assurant un maintien agréable, et la structure du casque reste légère pour éviter la fatigue lors des longues sessions gaming.

Le microphone omnidirectionnel fourni avec le SKILLER SGH40W comprend un filtre anti-bruit permettant de supprimer les bruits de fond pour une communication claire. Il peut être retiré instantanément pour le transport ou pour profiter de musique en mobilité, sans perdre en praticité.
Pensé pour résister aux journées de travail comme aux nuits de jeu, le SKILLER SGH40W atteint jusqu’à 35 heures d’autonomie. Une performance idéale pour les marathons gaming, les sessions de streaming ou les appels professionnels prolongés.

Lorsqu’il arrive en fin de batterie, le casque se recharge simplement via le câble USB fourni. Sharkoon permet également une utilisation filaire via TRRS même en cours de charge, garantissant une expérience continue sans interruption.
Google travaillerait sur une fonction inspirée d’Apple qui faciliterait considérablement le partage de contenus copiés d’un terminal Android à un autre. Baptisée provisoirement Universal Clipboard, l’innovation devrait faire son apparition avec la prochaine mise à jour majeure du système d’exploitation mobile. De quoi offrir aux utilisateurs une expérience plus fluide et cohérente dans leur écosystème ... Lire plus
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Teammates est un court jeu à la première personne issu de l’équipe derrière la démo Neo NPC. Il n’est pas disponible au téléchargement, mais sert de banc d’essai contrôlé : une mission linéaire, des affrontements cadencés et des objectifs simples pour observer comment les joueurs utilisent la voix en pleine action, pas seulement dans des dialogues au calme.

Au cœur du dispositif, Jaspar, un assistant IA à la fois diégétique et présent dans l’interface. On peut lui demander de surligner ennemis et objets, de rappeler les objectifs, d’expliquer la lore, d’ajuster les éléments du HUD, de modifier des réglages visuels ou de mettre le jeu en pause, le tout en langage naturel. Selon Ubisoft, Jaspar lit l’état du jeu et le contexte avant de traduire la requête en actions concrètes, sans dépendre d’ordres figés. Un observateur compare déjà l’approche à « NVIDIA ACE powered PUBG Ally », même si la filiation n’est pas officialisée.

Les deux coéquipiers IA se mettent à couvert, concentrent leurs tirs, aident aux petits puzzles et répondent à des ordres non scriptés, comme « prends la plaque à gauche ». Ubisoft conserve des arbres de comportement classiques pour leurs capacités, mais ajoute une couche de modèle de langage qui décide quand et comment déclencher ces actions en fonction de la situation et des commandes du joueur.

L’éditeur dit avoir conçu une API interne avec garde‑fous : filtrage des hallucinations, des propos toxiques et des répliques incohérentes avec l’univers, avant toute sortie à l’écran. L’écriture reste cadrée par les auteurs : histoire, règles du monde, fiches de personnalité et « clôtures » à ne pas franchir, pour que l’improvisation ne vire pas au bavardage hors‑sujet. Comme le résume la source, « les scénaristes fixent les règles et les limites », un point crucial.
Le dispositif veut désengorger les roues de commandes et listes d’ordres préfabriquées au profit de requêtes naturelles. Reste à voir comment les joueurs tenteront de casser le système : « si quelque chose est aussi vieux que le jeu vidéo, c’est la triche », rappelle la source, et certains se consacreront à contourner les limites.
Pour l’heure, Teammates demeure un projet de recherche. Pas de date, pas de build public ; il s’agit d’évaluer l’ergonomie de la voix en plein combat, l’alignement des NPC et la robustesse des garde‑fous. Le futur du jeu ne se décidera pas en une démo, mais l’idée d’un contrôle vocal contextuel appuyé par un petit modèle a de quoi bousculer les habitudes, notamment dans les mondes ouverts où les NPC ressassent encore les mêmes lignes.
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Samsung accélère sur la GDDR7 : la firme produit déjà en volume des puces 24 Gb à 28,0 Gbps et, discrètement, a commencé l’échantillonnage de variantes plus rapides à 32,0 Gbps et 36,0 Gbps dans le même boîtier 266 FBGA. Chaque puce offre 3 Go, une capacité plus dense que les modèles 16 Gb, 2 Go qui équipent la première vague de cartes Blackwell RTX 50.
Sur le plan pratique, ces puces s’alignent parfaitement avec les configurations actuelles de stations de travail et cartes gaming haut de gamme. Un bus 512 bits peut atteindre 96 Go avec 32 packages, tandis qu’un design 256 bits grimpe à 24 Go avec huit puces. Autrement dit, même nombre de modules, mais densité et vitesse supérieures. Cela correspond, par exemple, à des cartes de type RTX PRO 6000 ou à des GPU RTX 5090 Laptop, sans refonte du nombre de boîtiers mémoire.

Il n’y a toutefois aucune confirmation publique que la RTX PRO 6000 utilise bien des puces Samsung 24 Gb. Les tests n’identifient pas de fournisseur précis et, d’après Gamers Nexus, les clichés du PCB ne donnent pas ce niveau de détail. On sait en revanche que le BIOS de la carte inclut des identifiants pour Samsung, SK hynix et Micron, offrant à NVIDIA et à ses partenaires la possibilité de basculer d’un fournisseur à l’autre selon les prix et la disponibilité.

Les modules GDDR7 24 Gb plus rapides pourraient, en théorie, alimenter un éventuel rafraîchissement RTX 50 SUPER. Il faut dire que la marge est là, avec des bins à 32,0 et 36,0 Gbps désormais en échantillons. Pourtant, selon les rumeurs, NVIDIA aurait repoussé ce calendrier en raison de tensions d’approvisionnement et de hausses de prix sur la mémoire.

Reste à voir si ces puces 3 Go deviendront la nouvelle norme sur les révisions à venir. Comme le résume la source, « le BIOS inclut déjà des IDs Samsung, SK hynix et Micron », un signe d’une filière d’approvisionnement pensée pour rester souple.
Source : VideoCardz
Les signes de tension permanente, souvent banalisés dans nos agendas saturés, pourraient traduire un profond décalage entre notre biologie et l’environnement que nous nous sommes construit. Deux anthropologues évolutionnistes, issus des universités de Zurich et Loughborough, avancent que notre organisme continue de réagir comme si chaque journée exigeait une mobilisation vitale. Selon leur analyse, les ... Lire plus
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