Une fuite révèle l’existence d’un AirTag 2 bourré d’améliorations
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
Crystal Dynamics vient de dévoiler une double annonce qui risque de marquer durablement l’histoire de la licence Tomb Raider. Pour célébrer les trente ans des aventures de Lara Croft, le studio prépare non seulement une réinterprétation moderne du tout premier épisode, mais également un nouvel opus présenté comme le plus vaste et le plus ambitieux […]
L’article Tomb Raider revient en force : un remake ambitieux en 2026 et un nouvel épisode majeur en 2027 est apparu en premier sur HardwareCooking.
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Ventoy permet de créer des clés USB bootables très simplement en effectuant un glisser-déposer des images ISO de son choix.
Alors que Rufus ne vous permettra de ne créer qu'une clé USB pour un seul OS à la fois, vous allez pouvoir déposer autant d'OS que vous le souhaiterez, dans la limite de la capacité de la clé bien entendu.
Son gros point fort c'est qu' il permet d'ajouter les images ISO... sans formater la clé !
Eh oui, nous avons de nos jours à notre disposition des clés USB de capacités de plus en plus importantes, et c'est dommage de bloquer, d'affecter une clé de 64 Go, 128 Go ou plus à cette unique tâche.
Une nouvelle version a été publiée le 8 décembre, la 1.1.08, je vous la propose donc en téléchargement.
Cet article Ventoy, un outil open source pour créer des clés USB bootables (v1.1.08) est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name
Ce tutoriel explique comment installer et configurer Glances sur Linux pour la supervision locale d'une machine directement avec le Terminal ou un navigateur.
Le post Linux : superviser votre système dans le Terminal avec Glances a été publié sur IT-Connect.
Pour bien préparer l'arrivée de l'offre Thunderbird Pro en 2026, Thunderbird Send a été audité : 2 vulnérabilités ont été patchées, et ce n'est pas tout.
Le post Un audit révèle 2 failles dans Thunderbird Send, un service clé dans la future offre Thunderbird Pro a été publié sur IT-Connect.
La fin d’année approche est là, et quoi de mieux qu’une sélection de jeux de cartes intelligents, compacts et fun pour occuper les enfants pendant les soirées d’hiver ou les vacances en famille ? Nathan propose cinq références aussi jolies qu’astucieuses, chacune autour d’un univers pensé pour stimuler mémoire, rapidité, stratégie… mais toujours avec humour et bonne humeur.
On les découvre ensemble !
Dans Bazar à la ferme, les enfants découvrent un univers agricole transformé en terrain d’acrosport farfelu. Les animaux se lancent dans une compétition où chacun tente de former la plus haute pyramide possible. Les joueurs piochent des cartes Tracteur, rapides mais risquées, ou des cartes Brouette, plus lentes mais avantageuses, et tentent d’équilibrer chance et stratégie. Grâce à ses illustrations colorées et à sa mécanique intuitive, le jeu stimule l’observation et apprend aux plus jeunes à évaluer le risque tout en s’amusant. On se laisse rapidement prendre au jeu et les enfants en redemandent, séduits par l’ambiance joyeuse qui se dégage de chaque partie.
Avec Monstro Grimaces, place à l’énergie et aux fous rires ! Ce jeu d’ambiance, qui s’adresse aux enfants dès 5 ans, repose sur un principe aussi simple que jubilatoire : répéter une série de gestes, y ajouter la nouvelle action tirée et crier “BOUH !” lorsqu’un monstre apparaît. Le premier à se tromper offre une carte à son adversaire, ce qui déclenche bien souvent une explosion de rires. Monstro Grimaces transforme un défi de mémoire en spectacle familial hilarant, où les joueurs — enfants comme adultes — enchaînent grimaces et petites chorégraphies improvisées. Un incontournable pour dynamiser un après-midi ou détendre l’ambiance à la maison.
Speed Pirates propose une aventure maritime palpitante dans laquelle les enfants embarquent pour une course effrénée à la découverte d’îles mystérieuses. Guidés par les indications d’un Poulpe malicieux, ils doivent suivre les directions dans le bon ordre tout en évitant tempêtes et vagues qui menacent leur progression. Pensé pour les enfants dès 5 ans, ce jeu mise sur la rapidité et la concentration, tout en maintenant une atmosphère pleine de suspense et de rebondissements. Chaque partie devient une véritable expédition où l’on rit de ses erreurs et où l’on tente aussitôt de prendre sa revanche.
Avec Licornes Party, direction un univers enchanté qui fait briller les yeux des enfants dès 4 ans. Le but du jeu est de se débarrasser de ses cartes en associant chiffres ou couleurs, mais les cartes spéciales viennent pimenter la partie : pour les poser, il faut prononcer la formule magique correspondante.
Ce petit détail féérique suffit à transformer une partie simple en véritable rituel enchanteur qui stimule la mémoire tout en favorisant l’expression orale et l’imaginaire. Son ambiance douce et sa prise en main immédiate en font un jeu idéal pour les moments calmes ou les instants de complicité avant le coucher.
Super-Méga Power revisite le classique jeu de la bataille en version super-héros, pour le plus grand plaisir des enfants dès 4 ans. Chaque joueur révèle une carte Héros et celui possédant le symbole le plus puissant remporte le combat.
Si la base est simple, plusieurs variantes permettent de complexifier les affrontements et d’ajouter une dose de stratégie en fonction de l’âge. Le thème super-héroïque, renforcé par des illustrations dynamiques, immerge immédiatement les enfants dans des duels épiques qu’ils réclament encore et encore. On redécouvre la bataille traditionnelle sous un angle moderne, nerveux et résolument amusant.
Cette nouvelle collection de jeux de cartes Nathan réussit le pari de combiner plaisir immédiat, apprentissage en douceur et univers irrésistibles. Chaque boîte, aussi compacte que colorée, promet des moments de complicité à partager en famille, que ce soit autour de la table après le goûter ou lors d’une soirée qui s’étire en rires.
À petit prix mais grande valeur ludique, ces jeux ont tout pour devenir les nouveaux incontournables des vacances de fin d’année… surtout qu’ils s’emportent partout du fait de leur format réduit.
Présentation – Nathan : 5 jeux de cartes malins pour animer vos fêtes a lire sur Vonguru.
AMD déploie FSR Redstone en recentrant totalement son écosystème sur RDNA 4 . Le pack, réservé aux Radeon RX 9000, introduit un socle unifié mêlant upscaling par apprentissage automatique, génération d’images, reconstruction de rayons et une nouvelle approche de l’illumination globale, même si cette dernière n’arrivera qu’en 2026.
Redstone marque ainsi la première étape d’une transition vers un rendu davantage piloté par le machine learning, avec des technologies livrées en plusieurs phases et une compatibilité pensée d’abord pour la nouvelle génération de GPU AMD.
AMD renomme officiellement son empilement « super resolution » : FSR ne se limite plus à l’upscaling. Le cœur du pack Redstone reprend FSR Upscaling (anciennement FSR 4), sans mise à jour annoncée, mais avec un changement majeur de périmètre.

Selon AMD, cette brique reste exclusivement compatible Radeon RX 9000 et s’insère en remplacement direct dans les jeux déjà compatibles FSR 3.1. Le constructeur estime ainsi pouvoir revendiquer un support dans 200+ jeux d’ici fin d’année.


Deuxième pilier, FSR Frame Generation (déjà présenté comme ML Frame Generation) rejoint Redstone. AMD vise des « framerates élevés et fluides » et précise que le réseau neuronal a été entraîné sur des scénarios exigeants afin de réduire les artefacts temporels et corriger des soucis d’ombres, comme montré sur F1 25. Le déploiement reste modeste : 30+ jeux d’ici fin d’année.

La brique FSR Ray Regeneration s’ouvre à davantage de titres prochainement mais demeure, pour l’instant, exclusive à Call of Duty Black Ops 7. AMD positionne cette reconstruction de rayons comme un équivalent conceptuel au DLSS Ray Reconstruction de NVIDIA, avec une implémentation au niveau du jeu, donc conditionnée par les studios.

Enfin, AMD Radiance Caching ne sera pas lancé avant 2026. Cette technique d’illumination globale met en cache l’éclairage indirect à des points échantillonnés pour réutilisation par interpolation, ce qui réduit le coût des rayons et des rebonds et accélère le rendu des rebonds doux, du bleeding de couleur et de la lumière indirecte, tant que les variations d’éclairage restent modérées entre les points.
AMD avance un gain « jusqu’à 3,3x en moyenne par rapport au 4K natif », en combinant super résolution et génération d’images. La société publie aussi le SDK FSR Redstone dès aujourd’hui, avec une intégration en DLL simplifiée, de quoi espérer une adoption plus rapide.

Redstone ne constitue pas un lancement « complet » : une des quatre composantes n’arrivera qu’en 2026, une autre reste limitée à COD Black Ops 7 pour le moment, et aucun support RDNA2/RDNA3 malgré des attentes entretenues par certains cadres d’AMD. La liste des jeux confirmés par AMD regroupe des titres qui n’embarqueront qu’une ou plusieurs fonctionnalités, pas forcément l’ensemble du stack.

D’après AMD, l’FSR Upscaling se greffe en remplacement dans les titres FSR 3.1 existants, tandis que la Frame Generation s’étendra à « 30+ jeux » d’ici fin d’année. Pour la Ray Regeneration, le déploiement au-delà de COD dépendra clairement de l’adoption côté studios.
Redstone n’arrive pas comme un successeur numéroté de FSR 3.1 mais comme une recomposition complète de l’écosystème FidelityFX. AMD réunit sous un seul nom des briques hétérogènes, dont certaines sont matures et d’autres encore en gestation. Ce choix brouille un peu la lisibilité mais traduit une réalité technique : AMD tente de structurer une réponse crédible au rendu neuronal qui s’impose désormais dans l’industrie.

Le point le plus notable reste cependant le verrouillage aux Radeon RX 9000. FSR avait bâti sa réputation sur l’ouverture et l’indépendance matérielle. Redstone prend la direction inverse. Cela suggère que les nouveaux modèles de reconstruction, en particulier la Frame Generation ML et la Ray Regeneration, exploitent des blocs spécifiques de RDNA 4, voire des chemins accélérés qui ne sont pas disponibles sur RDNA 2 et RDNA 3. AMD ne le dit pas explicitement, mais l’absence totale de rétrocompatibilité en est un indice clair.

Le lancement progressif montre également que la stratégie Redstone n’est pas encore stabilisée. Les quatre modules ne partagent pas le même niveau de maturité : l’upscaling ML est opérationnel, la Frame Generation ML suit un calendrier raisonnable, la Ray Regeneration dépend de la volonté des studios, et Radiance Caching ne sera pas exploitable avant l’an prochain. En pratique, Redstone 2025 est un pack incomplet dont la portée dépendra surtout de l’adhésion des développeurs.

L’engagement de certains studios, comme Fatshark, Codemasters ou la branche Xbox, montre toutefois que le modèle attire. L’intégration moteur est le véritable enjeu. Sur F1 25, l’association entre le moteur Ego et la Frame Generation ML donne des résultats convaincants, en particulier sur les zones rapides où l’algorithme analytique de FSR 3.1 générait encore des traînées. Dans Call of Duty Black Ops 7, la Ray Regeneration corrige une partie des pertes de détails typiques des débruiteurs traditionnels. Ces premiers tests servent de vitrine pour Redstone, mais ne suffisent pas à établir un standard durable.
À ce stade, Redstone est moins une rupture technologique qu’un pivot stratégique : AMD migre de l’amélioration algorithmique à la reconstruction neuronale, un terrain sur lequel Nvidia évolue déjà avec DLSS 4. Les choix de segmentation et le calendrier étalé montrent que la transition est en cours. La vraie mesure de Redstone se fera en 2026, lorsque Radiance Caching sera disponible et que les premiers moteurs adopteront pleinement l’ensemble du stack.
Lire sur le même sujet :

ENERMAX élargit sa gamme d’alimentations haut de gamme avec la nouvelle REVOLUTION III S 1000W Platinum, une référence pensée pour les configurations modernes et les futures générations de cartes graphiques. Le constructeur dévoile aujourd’hui un modèle ATX 3.1 entièrement modulaire, certifié 80 PLUS Platinum, Cybenetics Platinum et PPLP Platinum, disponible en versions noire et blanche. L’alimentation sera commercialisée en janvier 2026 avec une garantie de 13 ans.
La REVOLUTION III S adopte nativement le connecteur 12V-2×6, capable de fournir jusqu’à 600 W dédiés au GPU. Ce standard remplace définitivement l’ancien 12VHPWR et vise à améliorer la fiabilité des alimentations hautes puissances. ENERMAX annonce une pleine compatibilité avec les cartes graphiques récentes, mais aussi avec les générations à venir.


L’alimentation s’appuie sur une structure entièrement modulaire, permettant d’optimiser le câblage et le flux d’air dans les boîtiers compacts. Toutes les versions sont livrées avec des câbles gainés en mesh et un kit de peignes pour maintenir un agencement propre.
ENERMAX utilise des condensateurs japonais 105 °C, un choix habituel sur les modèles qui visent une grande durabilité. Le refroidissement est assuré par un ventilateur de 120 mm à roulement FDB. Sa gestion semi-fanless coupe complètement la rotation sous 60 % de charge ou lorsque la température interne reste basse, permettant un fonctionnement silencieux sur les usages courants.

Avec ses certifications Platinum, la REVOLUTION III S garantit un haut rendement énergétique, limitant les pertes et la dissipation thermique. Le format reste relativement compact (140 mm de profondeur) pour une alimentation de 1000 W, ce qui facilite son intégration dans des boîtiers de taille moyenne ou des configurations orientées silence.


Le lancement est prévu pour janvier 2026. Tarifs annoncés par ENERMAX :
Les prix peuvent varier selon la région et les revendeurs. ENERMAX indique une distribution via Amazon, Newegg et Wave selon les territoires.
La REVOLUTION III S 1000W se positionne comme une alimentation moderne, conforme aux dernières normes et prête pour les GPU énergivores. Son orientation haut rendement, son mode semi-passif et sa garantie longue durée en font une option à suivre pour les configurations puissantes ou évolutives.
![]()
![]()
![]()
![]()
ASUS a discrètement ajouté à son catalogue un nouvel écran pour joueurs exigeants : le ROG Strix 5K XG27JCG. Comme son nom le laisse entendre, il s’agit d’un moniteur capable d’afficher une définition 5K, soit 5 120 x 2 880 pixels. Sa particularité tient à son mode double qui permet de passer instantanément en 2 […]
L’article ASUS ROG Strix 5K XG27JCG : un moniteur gaming 5K 180 Hz en dual-mode est apparu en premier sur HardwareCooking.

On vit une époque formidable (non), car d’un côté, 5,6 millions de sites web bloquent maintenant le GPTBot d’OpenAI , 5,8 millions bloquent ClaudeBot alors que de l’autre côté, ce sont 13,26% des bots IA qui se contrefoutent royalement des robots.txt . Les webmasters sont tous en PLS, et plantent des pancartes “Propriété privée - IA interdit” partout… Mais je vous le donne en mille Émile, ça ne sert strictement à rien !
Il y a quand même des gens très intelligents qui se penchent sur le sujet et hier, c’est un nouveau standard qui vient de sortir pour dire stop à cette comédie ! Cela s’appelle Really Simple Licensing (RSL) 1.0 et ça propose quelque chose de radical : Arrêter de bloquer, et commencer à facturer ! Miam !
Concrètement, c’est un petit fichier texte pour passer du fuck-off à la négociation commerciale. Car oui on le sait, le problème avec le robots.txt, c’est que c’est comme demander poliment à des cambrioleurs de ne pas rentrer chez vous. Ça marchait en 1994 quand le web était rempli de gens bien élevés mais en 2025, avec OpenAI, Anthropic, Meta et compagnie qui aspirent notre contenu pour alimenter leurs modèles à plusieurs milliards de dollars, la politesse a ses limites. RSL, c’est donc le passage à l’âge adulte du web où si l’une de ces entreprise veut nos données, c’est possible mais va falloir allonger la moula.
Techniquement, RSL se présente comme un complément au Robots Exclusion Protocol (RFC 9309) où en gros, c’est un vocabulaire XML qui permet d’exprimer des règles de licence machine-readable. Le standard définit trois niveaux de permissions : ai-all (tout autoriser), ai-input (indexation uniquement), ai-index (utilisation limitée). Vous pouvez aussi définir une option “Contribution” pour les organisations non-commerciales qui voudraient utiliser votre contenu à des fins de recherche par exemple.
Le truc intelligent, c’est que RSL s’intègre partout où vous avez déjà l’habitude de mettre des métadonnées : robots.txt, headers HTTP, flux RSS, balises HTML. Pas besoin de réinventer la roue donc, mais juste d’ajouter quelques lignes qui disent “Mon contenu coûte X par requête” ou “Contactez-moi pour négocier”. Le standard supporte aussi d’autres protocoles complémentaires comme Open License Protocol (OLP), Crawler Authorization Protocol (CAP) ou Encrypted Media Standard (EMS).
RSL débarque avec les gros calibres derrière comme Cloudflare et Akamai , qui gèrent une bonne partie du trafic web mondial. L’idée initiale de Matthew Prince de Cloudflare est donc en train de prendre forme tout doucement. Et ils sont rejoints par l’Associated Press et Stack Overflow. Et surtout, il y a Supertab , un service de micropaiement qui teste le système depuis deux trimestres avec une douzaine de clients.
Leur modèle, c’est le “tab” à l’américaine. En gros, vous lisez des articles, ça s’accumule sur une ardoise virtuelle, et vous payez seulement quand vous atteignez 1$ ou 5$. Pas besoin comme ça de sortir la carte bleue pour chaque article à 50 centimes derrière l’un de ces paywalls de merde. Et ça semble bien fonctionner puisque le système a multiplié par trois le nombre de lecteurs payants , et que 10% de ceux qui ouvrent un “tab” finissent par s’abonner dans les 3-4 mois.
Supertab applique maintenant le même principe aux bots IA qui “consomment” le contenu. Ça s’accumule sur un compteur, et ils payent après sauf que contrairement aux humains qui peuvent oublier de payer leur note de bar, les robots ont un budget de scraping bien défini
Alors RSL ne va pas sauver le journalisme ni régler magiquement le bordel du droit d’auteur mais au moins, ça permet d’arrêter de faire semblant. Les créateurs de contenu sont devenus des fournisseurs d’API malgré eux, et RSL assume juste le modèle économique sous-jacent. Plus de 1500 organisations soutiennent déjà ce standard, mais est-ce qu’OpenAI, Anthropic, Google et les autres vont jouer le jeu ? On verra bien…
Pour en savoir plus, c’est par ici : rslstandard.org

Un groupe restreint de patients atteints d’une forme incurable de leucémie à cellules T vient de connaître une rémission spectaculaire grâce à une approche thérapeutique révolutionnaire. Le traitement repose sur des lymphocytes T provenant d’un donneur sain, modifiés en laboratoire pour identifier et éliminer les cellules cancéreuses. Contrairement aux thérapies personnalisées fabriquées à partir des ... Lire plus
L'article Une immunothérapie innovante repousse les limites de la leucémie réputée inguérissable est apparu en premier sur Fredzone.