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Cooking Simulator 2 change de calendrier : la sortie bascule au 31 mars 2026, avec un prologue jouable en amont. Selon l’équipe, « il ne suffit plus de faire un bon jeu », d’où ce délai pour viser une expérience plus mémorable dès le premier service.
Cooking Simulator 2 : sortie décalée au 31 mars 2026
Le studio explique avoir pris cette décision après une longue phase de QA externe, de playtests et de sessions de focus menée depuis novembre. Les retours de la communauté ont déclenché des discussions internes et orienté les priorités. Objectif affiché : prendre le temps de peaufiner les systèmes clés plutôt que d’accélérer la livraison.
Parmi les chantiers cités : des améliorations de confort pour rendre le travail en cuisine plus fluide et plus lisible, l’optimisation du système de blueprints nouvelle génération permettant d’enregistrer et de partager des recettes pas à pas, le développement de Cooking Sense pour matérialiser visuellement des sensations comme le goût et l’odeur, ainsi qu’un comportement des clients plus varié et crédible.
Feuille de route avant la sortie
Les prochains mois incluront des tests réseau élargis, un Prologue jouable pendant le Steam Next Fest de février 2026, et des activités communautaires supplémentaires autour de ce prologue. Chaque élément de cette liste bénéficierait directement des retours des joueurs collectés depuis novembre.
L’équipe remercie la communauté pour sa patience et indique façonner le jeu avec les joueurs. Le rendez-vous est donc fixé au 31 mars 2026 pour l’ouverture officielle des cuisines.
GeForce NOW passe à un plafond de 100 heures par mois dès le 1er janvier pour tous les abonnés, rappel utile alors que la mesure, annoncée en 2024 pour les nouvelles souscriptions, s’étend désormais aux membres restés actifs.
GeForce NOW : 100 heures incluses, puis facturation par bloc de 15 heures
D’après un récapitulatif publié par l’utilisateur Reddit « appleroyales », deux paliers sont considérés : Performance à 10,99 €/mois avec 2,99 € par tranche supplémentaire de 15 heures, et Ultimate à 21,99 €/mois avec 5,99 € par tranche de 15 heures.
NVIDIA avait indiqué que la mesure concernerait les abonnés payants à partir de janvier 2026. En pratique, il faudra désormais surveiller précisément son temps de jeu. Jusqu’à environ 3h20 heures par jour, soit près de 100 heures par mois, le coût reste inclus dans l’abonnement de base. Au-delà, il faudra sortir la calculatrice.
Comparer au matériel dédié reste délicat
Le même post propose des comparaisons grossières avec l’achat d’un PC gaming haut de gamme, d’une PS5 Pro ou d’une hypothétique Steam Machine. Ces estimations ne tiennent pas compte de l’électricité, des tarifs régionaux, de la revente ou du réemploi de matériel.
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Un bel écran AMOLED et un puissant SoC Snapdragon 8 Gen 2, la console portable Retroid Pocket 6 est prochainement disponible pour sa deuxième campagne de pré-commande. Parmi toutes les consoles portables qui sont sortis ces dernières années, elle se distingue par un système d’exploitation Android 13 et fait la part belle aux jeux rétro.
Cette console Retroid Pocket 6 s’articule donc autour d’un SoC Snapdragon 8 Gen 2, comportant 8 cœurs (1 core Cortex-X3 à 3,2 GHz, 2 cores Cortex-A715 à 2,8 GHz, 2 cores Cortex-A710 à 2,8 GHz, et 3 cores Cortex-A510 à 2 GHz). Pour la partie graphique ça sera l’Adreno 740 à 680 MHz. Le refroidissement est assuré par un radiateur en aluminium et un ventilateur se charge d’évacuer la chaleur. Et l’écran bénéficie d’une dalle AMOLED de 5,5″ de diagonale en FullHD avec un taux de rafraichissement de 120 Hz.
Console Retroid Pocket 6, cinq coloris disponibles
Silver16bitBlackOrangeLight Purple
Pour compléter ce SoC Snapdragon 8 Gen 2 nous avons le choix entre 8 Go ou 12 Go de mémoire RAM LPDDR5X, et d’un stockage UFS 3.1 de 128 ou 256 Go de capacité. Et pour étendre la capacité de stockage un lecteur de carte microSD, sans précision de la capacité maximale supportée. La luminosité maximale de la dalle AMOLED atteint 550 nits, offre un rapport de contraste de 100,000:1, et couvre l’espace de couleur sRGB à 150%. Les dimensions sont de 20,55 cm de large, 8,05 de haut et 1,72 cm d’épaisseur.
Arrière, sobre
Du côté de la connectivité la Retroid Pocket 6 bénéficie d’une liaison sans-fil WiFi 7 et du Bluetooth 5.3. Un port USB-C 3.1 servira aussi bien pour recharger la console, le transfert de données, mais également de sortie vidéo 4K à 60 Hz. Le gameplay est facilité par la présence de tous les boutons, joysticks, déclencheurs, … que l’on retrouve de manière classique sur les consoles de jeu portables. Ici nous pouvons même échanger le joystick et le joypad en croix pour jouer selon ses envies et son style de jeu. La batterie de 6000 mAh permettra de jouer plusieurs heures sans souci, et se recharge en 27 W.
Refroidissement actifUn contrôle parfait
Avec son système d’exploitation Android 13 (On espère une mise à jour prochaine), il est possible de jouer à différents jeux de manière native, mais également de profiter des différents émulateurs compatibles. Elle est disponible en différents coloris : Silver, Black, 16bits, Orange et Light Purple. Quant au prix, la Retroid Pocket 6 est disponible en précommande à un tarif de 229 $ avec 8 Go de RAM, 279 $ pour la version 12 Go de RAM. Auquel il faudra ajouter 20 $ pour les frais de port (35 $ avec DHL) pour la recevoir chez vous. Les expéditions de la première précommande débuteront début janvier 2026, tandis que cette deuxième vague d’expéditions de précommandes débutera début mars 2026.
Virage net : Steam 64-bit devient la norme sur Windows, avec un client mis à jour daté du 19 décembre 2025 et désormais déployé sur Windows 11 et Windows 10 64-bit.
Steam 64-bit sur Windows : cap fixé, calendrier serré
Valve confirme la bascule et prévient que les systèmes en 32-bit continueront de recevoir des mises à jour pour une courte période. Le studio indique que les mises à jour du client Steam 32-bit se poursuivront jusqu’au 1er janvier 2026. Après cette date, le client pourra encore s’exécuter un temps sur Windows 32-bit, mais sans correctifs ni mises à jour de sécurité, et sans garantie de fonctionnement ni support en cas de problème lié à l’OS.
Cette échéance figure depuis des mois sur les pages d’assistance de Valve et l’update actée confirme que le calendrier ne bouge pas. Dernier bastion 32-bit encore officiellement pris en charge : Windows 10 32-bit, et seulement celui-ci. Selon la Steam Hardware Survey, il ne représente plus qu’environ 0,01 % des machines.
Valve résume la situation ainsi : « après le 1er janvier 2026, Steam pourra fonctionner un moment sur Windows 32-bit, mais sans mises à jour ni correctifs ». Le message est clair, la transition vers le 64-bit s’achève.
Ce qui change concrètement
• Client Windows 64-bit exigé sur Windows 11 et Windows 10 64-bit dès l’update du 19 décembre 2025. • Mises à jour pour Windows 10 32-bit maintenues jusqu’au 1er janvier 2026 seulement. • Au-delà, plus d’updates ni de sécurité, sans garantie ni support sur 32-bit.
RTX 5060 Ti 16GB : il semblerait que NVIDIA prépare une pause de production, en pleine tension sur la GDDR7. D’après des rumeurs relayées par Board Channels, la hausse des prix et un approvisionnement plus serré pousseraient les partenaires à privilégier les modèles RTX 5060 et RTX 5060 Ti 8GB sur le milieu de gamme.
RTX 5060 Ti 16GB en sursis, la GDDR7 au cœur du problème
Le modèle 16 Go s’avère coûteux à fabriquer quand la mémoire flambe : pour atteindre 16 Go sur un bus 128 bits, il utilise huit puces GDDR7, réparties des deux côtés du PCB. Un compte proche des cartes plus haut de gamme, alors que le segment 5060 Ti encaisse moins bien les hausses de coûts. À titre de repère, la RTX 5060 Ti 8GB n’emploie que quatre puces, tandis que la RTX 5070 en utilise six pour 12 Go.
Selon les mêmes bruits de couloir, la RTX 5070 pourrait prendre la place laissée par la variante 16 Go, poussant les acheteurs en quête de plus de VRAM vers un palier tarifaire supérieur. Benchlife est également cité : « les premières à voir leur allocation bouger seraient la GeForce RTX 5070 Ti et la GeForce RTX 5060 Ti 16GB », attribution Benchlife.
Connecteur 12v 2×6 16 broches sous surveillance : deux témoignages récents évoquent des dégâts sérieux, dont une fonte des deux côtés du câble. Le sujet revient alors que le standard 12V 2×6 s’impose chez NVIDIA et désormais chez AMD.
Connecteur 16 broches : deux incidents distincts, même alerte
Le 12V 2×6 est maintenant commun aux deux camps. Côté AMD, il gagne du terrain via Sapphire et ASRock sur certains modèles. Dans ce contexte, un représentant Sapphire a récemment défendu ce design tout en reconnaissant sa mauvaise image, affirmant que les cas connus seraient liés à l’alimentation ou à l’adaptateur, pas au GPU lui-même, avec référence à la série RX 9070 NITRO+.
Un nouveau signalement semble toutefois s’ajouter : un utilisateur indique un problème sur une Sapphire RX 9070 XT NITRO+ avec une Corsair RM850e, en montage 2×8 broches en pigtail, « inséré bien fermement », après environ huit mois d’usage. Si cela se confirme, il s’agirait d’un quatrième cas autour de cette série, d’après les éléments relayés.
Autre incident évoqué : une Gigabyte AORUS Master, parmi les cartes les plus coûteuses de sa catégorie. Le rapport décrit une fonte du câble et du connecteur des deux côtés, pas seulement un noircissement localisé.
Le propriétaire évoque une prise en charge sous garantie, mais les dommages seraient importants, touchant à la fois la carte graphique et l’alimentation, avec un câble 600 W fondu jusqu’au connecteur de l’ASRock Steel Legend SL-1000 W.
12V 2×6 : un standard à sécuriser davantage ?
La question revient : à quel moment les fabricants traiteront-ils le problème à la racine ? Faut-il un levier ou un verrou physique rendant l’insertion pleinement évidente ? Sommes-nous au-delà des explications par « erreur utilisateur » alors que des adaptateurs et câbles proches visuellement circulent, y compris fournis par les marques d’alimentations ? Comme le résume un témoignage : « inséré bien fermement », sans que cela n’empêche l’incident.
FSR 4 Redstone trébuche sur un point clé : le frame pacing. D’après les tests de Digital Foundry, la nouvelle brique MLFG d’AMD peut livrer des FPS en hausse mais avec des temps d’image irréguliers qui dégradent la fluidité perçue.
FSR 4 Redstone : du gain de FPS, mais des timings qui dérapent
AMD a enrichi FSR 4 avec des étapes d’inférence dédiées à la génération de trames, à la reconstruction du ray tracing et à l’accélération de l’éclairage via Radiance Caching. Le module de génération de trames par apprentissage automatique, MLFG, affiche un boost de FPS sur le papier. Mais selon Digital Foundry, cette avancée s’accompagne d’un comportement irrégulier : des taux d’images « en dents de scie » et une instabilité des temps de trame.
La cause pointée : AMD s’appuierait sur un pacing artificiel qui ne s’aligne pas sur le flip metering matériel du GPU. À l’inverse, NVIDIA DLSS 4 utilise un flip metering matériel pour caler précisément les trames générées. Digital Foundry résume le problème ainsi : « les nouvelles trames doivent être alignées pour ne pas ajouter de latence », un prérequis qui ferait défaut dans certains cas avec FSR 4 Redstone.
Industria 2 et God of War Ragnarok illustrent les limites
Sur Industria 2, Digital Foundry relève des temps de trame variant de 4 à 16 ms, avec une sensation visuelle de « déchirure » liée à des images qui ne restent pas affichées un temps constant. Sur God of War Ragnarok, FSR 4 MLFG reste fluide tant que la caméra ne bouge pas lentement. Dès que le mouvement ralenti s’installe, les soucis de pacing réapparaissent, à l’image d’Industria 2.
Un contournement provisoire existe : imposer un plafond de framerate strict et activer la v-sync pour reprendre la main sur la sortie « free-running » du GPU. Solution imparfaite, mais qui atténue le problème dans certains jeux, d’après les essais publiés.
Le constat ne rend pas les progrès de FSR 4 Redstone invalide sur le plan des fonctionnalités, mais souligne un réglage crucial à peaufiner sur le pacing. Les prochaines mises à jour devraient clarifier l’approche d’AMD face au flip metering et stabiliser l’expérience dans ces cas limites.
La situation devient suffisamment tendue pour pousser certains intégrateurs à revoir des fondamentaux pourtant intouchables. Chez Paradox Customs, la pénurie persistante de mémoire vive et la flambée des prix conduisent à une décision radicale : proposer des PC préassemblés… sans RAM.
Une option qui peut surprendre, mais que le spécialiste justifie par un contexte de marché sous tension, laissant aux clients le soin d’installer eux-mêmes leurs barrettes afin de contourner les ruptures et limiter l’impact financier.
Ce choix illustre jusqu’où la crise de la mémoire peut aller, au point de bousculer les standards du PC « clé en main » et de transformer une contrainte d’approvisionnement en compromis assumé.
PC préassemblé sans RAM : contournement malin ou faux bon plan ?
Selon Paradox Customs, l’ajout de l’option « no RAM » répond aux tensions d’approvisionnement qui bousculent habituellement un poste jugé stable chez les intégrateurs : inventaire prévisible, tarification maîtrisée, support standardisé. Quand la mémoire se raréfie, il faut soit absorber les surcoûts, soit relever les prix, soit retirer des kits du catalogue. Laisser le client apporter sa RAM contourne la chaîne d’approvisionnement, mais déporte aussi une partie du processus d’assemblage et de validation sur l’acheteur.
Due to ongoing RAM shortages and the price of ram skyrocketing, we are now providing the option to select no ram in the build section of our website!
If you already have RAM sticks or can source them elsewhere, feel free to use this option pic.twitter.com/rlGLPpfznC
La zone grise apparaît dès que la compatibilité mémoire déraille avec la carte mère : boucles de boot, instabilités, plantages aléatoires d’applications, voire ce classique « ça boote avec une seule barrette ». Qui prend en charge le tri des paramètres BIOS, la formation mémoire, l’EXPO ou l’XMP pour une RAM non fournie par l’intégrateur ? D’après la question soulevée par la source, il n’est pas clair si le client sera renvoyé vers le vendeur de mémoire. Comme le résume ironiquement l’auteur : « à un moment, un préassemblé ressemble à un kit avec un bouton d’alimentation ».
Support, stockage, et limites du modèle
S’affranchir du stockage est généralement plus facile à justifier. Remplacer un SSD reste une opération relativement maîtrisée, même si l’accès au premier slot M.2, parfois dissimulé sous la carte graphique, peut déjà rebuter certains utilisateurs. La mémoire vive, en revanche, joue un rôle bien plus critique. Elle conditionne le POST, la stabilité globale du système et le comportement des profils automatiques EXPO ou XMP. La retirer de l’équation revient à transférer au client une part non négligeable de la complexité technique.
Paradox Customs assume pourtant une approche pragmatique, dictée par la conjoncture actuelle. Proposer des configurations « sans RAM » permet de maintenir les livraisons malgré la pénurie et l’envolée des prix, plutôt que de bloquer des machines complètes pour un seul composant devenu rare. Reste une inconnue majeure : les acheteurs accepteront-ils ce compromis entre disponibilité immédiate et tranquillité d’esprit ?
La question mérite d’être posée plus largement. Paradox Customs est-il un cas isolé, une réponse ponctuelle à une tension exceptionnelle du marché, ou le premier pas vers un modèle que d’autres assembleurs pourraient être tentés d’adopter si la pression sur la mémoire devait s’installer durablement ?
Pas de keynote fleuve, pas de GeForce à la Une : NVIDIA CES 2026 se jouera dans un format plus ramassé, avec une « présentation spéciale » le 5 janvier à Las Vegas menée par Jensen Huang.
NVIDIA CES 2026 : une apparition ciblée, sans lancement GeForce annoncé
NVIDIA confirme un événement live distinct le 5 janvier, présenté comme une « présentation spéciale ». Aucun lancement officiel de produit n’est annoncé, ni par Jensen Huang ni par d’autres cadres. D’après les indices publics, la firme ne prépare pas de RTX 50 SUPER pour le salon. Les comptes sociaux GeForce n’ayant pas relayé l’annonce, il semblerait que l’actualité ne vise pas le hardware grand public.
Attendez-vous plutôt aux thèmes habituels côté IA et aux mises à jour datacenter que NVIDIA souhaite mettre en avant. Comme le résume l’annonce, « pas de keynote majeur, pas d’attentes pour RTX 50 SUPER », avec un focus probable sur l’écosystème logiciel et l’infrastructure.
Un CES 2026 dominé par les laptops
Le salon devrait surtout mettre en lumière les machines portables, avec les lancements attendus des Intel Core Ultra 300 et des Ryzen AI 400. Côté Intel, pas d’indice solide au-delà de rumeurs persistantes autour d’Arc. AMD, de son côté, est pressenti avec un programme d’annonces plus chargé.