↩ Accueil

Vue normale

Reçu aujourd’hui — 31 décembre 2025 1.2 🖥️ Tech. Autres sites

LinuxDAW - Le catalogue qui prouve que faire du son sous Linux c'est enfin cool

Par :Korben
31 décembre 2025 à 18:40

Ceux qui ont déjà essayé de faire de la musique sous Linux savent de quoi je parle. Configurer JACK, gérer les latences ALSA, prier pour que le plugin VST fonctionne... C'était un peu l'enfer, non ? Perso, j'ai abandonné plusieurs fois avant que PipeWire vienne tout simplifier.

Du coup, quand je suis tombé sur LinuxDAW.org , j'ai eu un petit moment d'émotion. C'est un catalogue visuel et bien foutu qui répertorie plein de plugins audio disponibles sous Linux : VST2, VST3, CLAP, LV2, standalone, et même des modules VCV Rack. Le site a été créé par fractalf (le code est sur Codeberg ) qui explique l'avoir créé simplement parce qu'aucun des sites existants ne répondait vraiment à ses besoins quand il a switché vers Linux.

Et ce qui me plaît ici, c'est que ce n'est pas un site puriste open source. Y'a du FOSS bien sûr (et un filtre dédié pour les trouver), mais aussi les plugins commerciaux de u-he, Toneboosters, Kazrog et compagnie. Parce que oui, de plus en plus d'éditeurs supportent Linux nativement maintenant.

Après c'est vrai qu'en cochant le filtre FOSS, on voit nettement la différence de qualité d'interface avec les plugins payants. Vous le savez car je m'en plains souvent, mais niveau design, les projets libres ont encore du chemin à faire... Mais bon, ça reste fonctionnel et gratuit, donc on va pas cracher dessus.

Bref, si vous êtes musicien et que vous envisagez de passer sous Linux (ou si vous y êtes déjà et que vous cherchez des outils), LinuxDAW.org c'est exactement ce qu'il vous faut. Y'a plus quà digger tout ça ! Et si ça vous amusez, vous pouvez même contribuer en ajoutant des plugins qui manqueraient au catalogue.

SpotiFLAC - Comment fonctionne vraiment le piratage audio lossless

Par :Korben
31 décembre 2025 à 18:26

Si vous traînez dans les coins sombres de GitHub, vous êtes peut-être tombé sur SpotiFLAC, un outil qui promet de récupérer vos playlists Spotify en qualité FLAC.

Encore un truc qui va faire grincer des dents...

J'ai décortiqué le code source de ce projet pour comprendre techniquement comment c'était possible. Avec ce qu'a sorti Anna's Archive il y a quelques jours, j'étais curieux et je me suis dit que ça utilisait peut-être les mêmes ficelles. Alors j'ai récupéré les sources sur Github, et j'ai regardé ça d'un peu plus près.

Déjà, premier constat, SpotiFLAC ne cracke rien du tout. L'outil ne contourne pas directement le DRM de Spotify (qui, rappelons-le, proposait uniquement de l'Ogg Vorbis jusqu'en septembre 2025). Ce qu'il fait, en fait, c'est qu'il utilise l'API Spotify via des identifiants placés directement dans le code (oups) pour récupérer les métadonnées des morceaux, notamment les codes ISRC (International Standard Recording Code) qui servent à identifier chaque enregistrement.

Ensuite, via l'API song.link (un service légitime qui permet de trouver un morceau sur différentes plateformes), l'outil tente de retrouver le même morceau sur Tidal, Qobuz ou Amazon Music. Et c'est là que ça devient rigolo puisque le code contient également en dur des identifiants OAuth Tidal, et surtout des URLs vers des API tierces hébergées sur des domaines comme qqdl.site, yeet.su ou doubledouble.top.

Ces services tiers, c'est eux qui font le sale boulot. On ne sait pas exactement comment ils fonctionnent (comptes premium partagés ? Failles API ? Tokens détournés ?), mais SpotiFLAC n'est en réalité qu'un joli frontend qui leur envoie des requêtes et récupère des liens de téléchargement direct.

Niveau légalité, c'est donc évidemment un no-go complet, car utiliser des identifiants non autorisés, contourner des mesures de protection, télécharger du contenu protégé... Ça coche pas mal de cases du DMCA aux États-Unis et des directives européennes sur le droit d'auteur. Et non, le fait que vous ayez un abonnement Spotify ne change rien, malheureusement...

Je vous rappelle que Spotify a ENFIN lancé son audio lossless en septembre après plus de 4 ans d'attente depuis l'annonce de 2021 (fallait être patient... groumpf !). C'est donc du streaming FLAC intégré à l'app pour les abonnés Premium (dans la plupart des pays), ce qui veut dire qu'il n'y a plus vraiment de raison de pirater pour écouter vos playlists en haute qualité.

Puis si vous voulez aller plus loin dans le hi-res ou posséder vos fichiers, vous avez Qobuz qui existe depuis 1000 ans, qui coûte autour de 15€/mois, Tidal à environ 11€/mois, ou encore Apple Music qui propose du Spatial Audio et du lossless inclus dans l'abo standard. Bref, les alternatives légales y'en a, donc j'avoue que passer par ce genre de service c'est pas ouf... Et si c'est une question de fric, parce qu'on n'a pas tous les moyens, y'a toujours ce bon vieux torrent.

Après c'est quand même mieux je trouve d'aller choper directement vos albums sur Bandcamp ou sur les sites des artistes, ce qui leur permet de toucher une rémunération plus correcte... Puis ça vous permet de choper de vrais fichiers FLAC à vous. Ou alors vous achetez vos albums et vous les rippez pour ensuite sortir du FLAC avec XLD par exemple . Mais pirater via ce genre d'outils je vous conseille pas... Je préfèrerai cent fois mieux un outil qui exploiterait une faiblesse connue pour récupérer le fichier source, un peu comme on peut le faire avec Youtube-DL pour YouTube, que ce truc bizarre qui utilisent des identifiants premium tombés du camion via des sites proxy qui se trouvent on ne sait où...

Vous ne savez pas ce qu'il y a derrière, donc méfiance !

Ryzen 7 9800X3D : Hécatombe dans un cybercafé, faut-il s’inquiéter pour le nouveau roi d’AMD ?

Par :Wael.K
31 décembre 2025 à 20:22

C’est le processeur que tout le monde s’arrache, celui qui trône au sommet des benchmarks gaming. Pourtant, le Ryzen 7 9800X3D se retrouve aujourd’hui au cœur d’une polémique après un témoignage inquiétant sur Reddit.

Un gérant de cybercafé affirme avoir perdu 15 processeurs en quelques mois sur une flotte de 150 machines. Simple série noire ou défaut de conception ? Avec un taux de défaillance estimé à près de 10 %, l’affaire a en tout cas suffi à provoquer une vague de réactions et à soulever de nombreuses interrogations.

10 % de casse : un chiffre qui fait froid dans le dos

L’histoire commence sur Reddit, où un administrateur de parc informatique tire la sonnette d’alarme. Depuis le déploiement de ses nouvelles configurations en mars 2025, le bilan est lourd : un CPU lâche toutes les une à deux semaines.

Avec un taux de panne avoisinant les 10 %, on sort largement des statistiques habituelles du secteur. Dans le milieu du hardware, un composant est jugé « problématique » dès qu’il dépasse les 2 ou 3 % de retours SAV. Ici, la répétition du phénomène pose question.

Lire aussi : Deux Ryzen 7 9800X3D grillés sur une carte ASRock

Une configuration homogène, mais pas anodine

Selon le gérant, chaque PC repose sur une carte mère ASUS B650M-AYW WiFi, une alimentation Huntkey 850 W certifiée 80+ Gold et de la DDR5 cadencée à 5600 MT/s. Aucun overclocking revendiqué, pas de PBO activé, et des processeurs au format tray. Le BIOS utilisé daterait de septembre, sans mise à jour plus récente.

test ryzen 7 9800x3d Hero

Sur le papier, rien d’extrême. Dans les faits, cette homogénéité devient un facteur clé : lorsqu’un problème apparaît, il se répète mécaniquement à grande échelle.

Les commentaires mettent le feu aux poudres

Très vite, le fil s’est scindé en plusieurs camps. Premier suspect pointé du doigt : l’alimentation. La certification Gold ne garantit que le rendement, pas la qualité de régulation ni la tenue face aux pics transitoires. Plusieurs intervenants évoquent aussi l’alimentation du bâtiment lui-même, rappelant qu’un cybercafé concentre des dizaines de machines générant des appels de courant brutaux et simultanés.

D’autres élargissent le débat au BIOS et aux tensions mémoire. VSOC, VDD et VDDQ sont mentionnées à plusieurs reprises, certains estimant que des valeurs trop élevées, même sans overclocking explicite, peuvent fragiliser les CPU X3D sur la durée si les profils mémoire ne sont pas parfaitement maîtrisés.

Lire aussi : Ryzen 7 9800X3D en feu : un nouvel utilisateur Reddit témoigne

Un récit loin de faire l’unanimité

Face à ces accusations, des voix opposées s’élèvent. Des gérants de cybercafés et intégrateurs affirment exploiter des flottes entières de machines basées sur le même Ryzen 7 9800X3D, sans rencontrer la moindre panne matérielle. Différences notables mises en avant : cartes mères plus robustes, alimentations de marques reconnues, BIOS systématiquement à jour et réseau électrique étudié en amont.

Un autre argument revient souvent : la surreprésentation d’AMD sur le marché actuel. Avec une majorité de nouvelles configurations basées sur Ryzen, il serait statistiquement logique de voir davantage de CPU AMD passer par les ateliers de réparation, sans que cela traduise un défaut structurel du produit.

AMD et les précédents récents

Ce n’est pas la première fois que des processeurs X3D se retrouvent au centre de discussions similaires. Par le passé, AMD a évoqué des situations « complexes », liées à des implémentations BIOS ne respectant pas toujours strictement les recommandations de tension. Le fondeur a alors insisté sur l’importance des mises à jour de firmware et de profils mémoire conformes.

À ce stade, aucun élément ne permet d’établir un lien direct entre le Ryzen 7 9800X3D et un défaut intrinsèque. Aucune photo des processeurs défaillants n’a été publiée, aucun diagnostic matériel indépendant n’a été partagé.

Un signal faible, mais impossible à ignorer

Faut-il y voir un problème de CPU, de carte mère, d’alimentation ou de réseau électrique ? Probablement un mélange de plusieurs facteurs. Ce qui interpelle, en revanche, c’est le volume concerné et la régularité des pannes décrites. Dans un environnement aussi intensif qu’un cybercafé, la moindre faiblesse de conception ou de configuration est immédiatement amplifiée.

Pour l’instant, l’affaire reste un signal faible, mais suffisamment bruyant pour mériter l’attention. Si des preuves matérielles ou des analyses plus poussées émergent, le débat pourrait rapidement changer de dimension.

Test : AIO MSI MPG CORELIQUID P13 360

31 décembre 2025 à 19:54

  Aujourd’hui dans la Cuisine du Hardware, nous passons en test un AiO (watercooling tout-en-un) de chez MSI. En effet, nous avons ici sous la main le MPG CORELIQUID P13 360 qui utilise donc un radiateur 360 mm. Cette référence propose un écran, des ventilateurs CycloBlade 9, mais aussi un système de câble astucieux nommé […]

L’article Test : AIO MSI MPG CORELIQUID P13 360 est apparu en premier sur HardwareCooking.

Crise DRAM : les grands OEM PC servis en priorité, les petits à la peine

Par :Wael.K
31 décembre 2025 à 19:15

Crise DRAM ou simple rationnement stratégique ? D’après DigiTimes, Samsung et SK Hynix accorderaient désormais une priorité d’approvisionnement aux géants comme Apple, ASUS, Dell et Lenovo. Un tri qui laisserait des acteurs plus petits face à des stocks incertains.

Crise DRAM : priorité aux grands, pression sur le reste du marché

Le marché encaisse déjà des effets en chaîne : offres « apportez votre propre RAM » chez des assembleurs de PC sur mesure, rumeurs de report pour les prochaines consoles. Selon le média taïwanais, les fournisseurs de mémoire ajustent leur politique commerciale pour exploiter une capacité limitée, en réévaluant plus souvent les volumes et les tarifs. Une pratique qui favoriserait les marques grand public les plus visibles et leurs calendriers de lancement.

test lian li lancool 217 build 01

TechPowerUp rappelait récemment que les fabricants PC pourraient réviser prix, fiches techniques et dates de sortie d’ordinateurs portables et de smartphones. Les accords révisables recherchés par Apple, ASUS, Dell et Lenovo viseraient précisément à atténuer ces glissements. En filigrane, il semblerait que la priorité d’allocation accentue la fracture entre mastodontes et challengers. Comme le résume le rapport cité : « les fournisseurs réévaluent plus fréquemment les accords ».

Accords dynamiques et risque de pénurie pour les plus petits

D’après DigiTimes, ce pivot contractuel permet d’ajuster rapidement prix et volumes à la faveur des plus gros acheteurs, en priorité sur la DRAM. Conséquence probable : tension accrue pour les intégrateurs de niche, voire absence temporaire de modules mémoire à intégrer. Les offres BYO-RAM et les spécifications revues à la baisse pourraient se multiplier si la capacité reste contrainte.

Source : TechPowerUp

Organic Maps - Le GPS open source qui ne vous flique pas

Par :Korben
31 décembre 2025 à 16:08

Vous utilisez Google Maps pour vos balades ou vos trajets en bagnole, comme tout le monde. Sauf que vous savez aussi bien que moi ce que ça implique... Google qui sait où vous êtes, où vous allez, à quelle heure vous bougez, et combien de temps vous passez chez votre nouvelle voisine (pas assez longtemps à son goût).

Mais bonne nouvelle les amis, y'a une alternative qui existe depuis un moment et qui mérite vraiment qu'on s'y intéresse. Ça s'appelle Organic Maps et c'est exactement ce que son nom suggère : des cartes propres, sans pesticides publicitaires ni tracking chimique.

Le principe est simple. Vous téléchargez les cartes des régions qui vous intéressent, et ensuite vous pouvez naviguer en mode 100% offline. Pas besoin de réseau, pas de connexion data qui se vide à l'étranger, rien. Votre téléphone devient un vrai GPS autonome, comme au bon vieux temps des Tomtom, mais en mieux.

Côté vie privée, c'est le jour et la nuit avec les apps classiques. Zéro pub, zéro tracking et surtout l'app a été vérifiée par Exodus Privacy Project et TrackerControl, donc c'est pas juste du blabla marketing. Même pas besoin de créer un compte pour l'utiliser, vous installez et hop c'est parti.

Pour les randonneurs et cyclistes, c'est là que ça devient vraiment sympa puisqu'Organic Maps affiche les courbes de niveau, les profils d'élévation, les sentiers de rando et les pistes cyclables. Y'a même un mode navigation turn-by-turn avec guidage vocal, et depuis 2024 le support Android Auto est dispo pour l'utiliser en voiture.

Les cartes viennent d'OpenStreetMap, donc c'est collaboratif et parfois plus à jour que ce qu'on trouve chez Google, surtout pour les petits chemins et les POI un peu obscurs. Perso, j'ai déjà trouvé des trucs sur OSM qui n'existaient même pas sur Maps, genre des fontaines d'eau potable en pleine montagne ou des refuges paumés.

L'app est dispo sur iOS , Android (y compris sur F-Droid pour les allergiques au Play Store), et même sur Linux en Flatpak . C'est open source sous licence Apache 2.0, donc vous pouvez aller fouiller le code si ça vous chante. Le projet est financé par des dons et des fondations comme NLnet, et pas par la revente de vos données de localisation.

Après la recherche est moins puissante que Google Maps, ce qui est normal vu qu'ils ont pas des milliards à claquer en IA. Et les infos de trafic en temps réel, bah y'en a pas. Mais pour de la rando, du vélo, ou même des trajets quotidiens quand on connaît un peu le coin, c'est largement suffisant.

Bref, si vous en avez marre de sentir le regard de Google dans votre dos à chaque déplacement, ou si vous voulez juste une app GPS qui marche sans réseau, foncez sur Organic Maps . C'est gratuit, et ça fait le taf !

HiFidelity - Le lecteur audio macOS pour ceux qui en ont marre de Spotify

Par :Korben
31 décembre 2025 à 14:01

J'arrête pas de lire en ce moment des articles sur des Américains de moins de 25 ans qui découvrent les cassettes audio et qui nous en font des tartines en mode "c'est trop génial". Ils sont mignons car biberonnés à Stranger Things, ils deviennent nostalgiques de cette époque des années 80 qu'il n'ont pas connu. Je comprends, c’était cool mais moi j'ai connu et je peux vous dire que la cassette audio, ça vaut pas un bon vieux FLAC en termes de qualité audio.

Après Spotify même s'il propose du lossless depuis peu, c'est pas non plus le top parce que bah faut payer l'abonnement et puis la musique ne nous appartient pas vraiment. Alors peut-être que, finalement, la voie de la sagesse, c'est celle qui consiste à se faire une collection de FLAC comme on le faisait à l'époque avec nos vieux MP3.

Et c'est pour ça qu'aujourd'hui je vous parle de HiFidelity qui va probablement vous faire plaisir.

C'est un lecteur audio pour macOS, totalement gratuit et open source, pensé pour les audiophiles qui en ont marre des usines à gaz bardées de trackers et d'abonnements. Le truc fonctionne 100% hors ligne, ne collecte aucune donnée, et utilise la bibliothèque BASS (celle qu'on retrouve dans plein de players pro) pour une lecture bit-perfect. Ça veut dire que vos fichiers audio sont lus tels quels, sans conversion ni dégradation.

Côté formats, c'est la totale : FLAC, WAV, AIFF, APE, MP3, AAC, OGG, OPUS, M4A... bref tout ce qui traîne dans une bibliothèque musicale bien fournie. Et pour les puristes, y'a même un mode "Hog" qui prend le contrôle exclusif de votre périphérique audio. En gros aucune autre app ne viendra polluer votre écoute avec ses petits bips de notifications.

L'interface est propre, avec navigation par artistes, albums, genres, et une recherche super réactive grâce à SQLite FTS5 , recommandations automatiques... Ah et le mini-player flottant est vraiment bien foutu pour bosser avec sa musique sans encombrer l'écran.

Perso, ce qui me plaît, c'est l'approche "local first" et avoir un lecteur qui fait juste... lire de la musique, ça fait du bien. Y'a même la synchro des paroles en temps réel via lrclib et un égaliseur multiband pour ceux qui aiment tripatouiller les fréquences.

Pour l'installer c'est simple... soit via Homebrew avec

brew tap rvarunrathod/tap && brew install --cask hifidelity

Soit en téléchargeant directement depuis GitHub . Faut macOS 14 minimum par contre.

Bref, si vous cherchez un lecteur audio qui respecte vos oreilles ET votre vie privée, HiFidelity mérite clairement le coup d'oeil. Merci à Lorenper pour la découverte !

Password Tech 3.5.10

31 décembre 2025 à 15:12
Utilitaire gratuit, en français et portable permettant de générer des mots de passe aléatoires et complexes...

Seamonkey 2.53.23 Fr

31 décembre 2025 à 15:10
Suite internet gratuite et en français qui comprend un navigateur Internet, un client de messagerie et des groupes de discussion, un client IRC...

MSI tease du gros pour le CES : le retour des GeForce RTX « Lightning » est imminent

31 décembre 2025 à 12:03

MSI aime décidément jouer avec les symboles. À quelques jours du CES 2026, le constructeur vient de publier un teaser énigmatique qui ne laisse pourtant que peu de place au doute : la mythique gamme « Lightning » s’apprête à faire son grand retour. Une annonce qui ravive immédiatement l’intérêt des passionnés d’overclocking et de […]

L’article MSI tease du gros pour le CES : le retour des GeForce RTX « Lightning » est imminent est apparu en premier sur HardwareCooking.

Comment j'ai viré Algolia et recréé le Google de 1998 sur mon site

Par :Korben
31 décembre 2025 à 12:00

Bon, faut qu'on parle un peu du moteur de recherche de mon site. Ceux qui l'ont déjà utilisé savent de quoi je parle : c'était pas terrible. Enfin, « pas terrible » j'suis gentil. C'est un espèce d'overlay avec des résultats certes fiables mais c'était vraiment pas pratique.

Et en plus de ça, comme j'ai un site statique généré avec Hugo, je passais par Algolia pour la recherche. Si vous ne connaissez pas, Algolia c'est un service cloud qui indexe votre contenu et vous fournit une API de recherche ultra-rapide. Sur le papier c'est génial et dans la pratique aussi d'ailleurs sauf que voilà, ça coûte des sous. Et mon site rencontre un franc succès ces derniers temps (merci à vous !), donc j'ai de plus en plus de visiteurs, donc de plus en plus de recherches, donc une facture Algolia qui grimpe gentiment chaque mois.

Du coup je me suis dit : « Et si je trouvais une solution de recherche pour sites statiques ? » Parce que oui, ça existe et c'est comme ça que j'ai découvert Pagefind.

Pagefind c'est donc un moteur de recherche statique open source développé par CloudCannon qui fonctionne comme ceci : Au moment du build de votre site, Pagefind parcourt tout votre HTML généré et crée un index de recherche qu'on peut interroger avec un peu de JS. Y'a donc plus d'API, et tout se fait localement sur le navigateur des internautes.

Bref, ça avait l'air très cool alors évidemment, je me suis lancé dans l'aventure et comme j'aime bien me compliquer la vie, j'ai décidé de pas juste intégrer Pagefind tel quel. Non non. J'ai voulu recréer l'interface du Google de 1998 parce que à quoi bon avoir son propre site web si on peut pas s'amuser un peu ^^.

Laissez-moi donc vous raconter cette aventure.

Le problème avec Algolia

Leur service est excellent, je dis pas le contraire, la recherche est rapide, les résultats sont pertinents, l'API est bien foutue mais voilà, y'a le modèle de pricing puisque Algolia facture au nombre de requêtes de recherche.

Plus les gens cherchent sur votre site, plus vous payez et quand vous avez un site qui fait plusieurs millions de pages vues par mois, bah... ça chiffre vite. En gros je dépasse très vite les 10 000 recherches offertes chaque semaine et ensuite ça chiffre. C'est pas la mort, mais c'est un coût récurrent débile pour un truc qui pourrait être gratuit.

En plus de ça, y'a la dépendance à un service externe. Si Algolia tombe, ma recherche tombe. Et si Algolia change ses prix, je vais devoir subir. Même chose si Algolia décide de modifier son API... il faudra que j'adapte mon code. Bref, c'est le cloud dans toute sa splendeur... C'est pratique mais on n'est jamais vraiment chez nous.

Pagefind à la rescousse

Pagefind résout donc tous ces problèmes d'un coup. C'est un outil en ligne de commande qui s'exécute après votre générateur de site statique (Hugo dans mon cas, mais ça marche avec Jekyll, Eleventy, Astro, ou n'importe quoi d'autre).

Concrètement, vous lancez :

npx pagefind --site public

Et Pagefind va :

    1. Scanner tous vos fichiers HTML dans le dossier public/
    1. Extraire le contenu textuel (en ignorant la nav, le footer, les pubs si vous lui dites)
    1. Créer un index de recherche optimisé
    1. Générer des fichiers JavaScript pour interroger cet index côté client

Et le résultat c'est un dossier pagefind/ qui contient tout ce qu'il faut. Ensuite; à vous de servir ces fichiers statiquement avec le reste de votre site, et la magie pourra opérer !

L'index pour mes 18 000 articles fait environ 1,5 Go. Ça peut paraître beaucoup, mais Pagefind est malin car il découpe l'index en fragments et ne charge que ce qui est nécessaire pour la recherche en cours. Du coup en pratique, une recherche typique télécharge quelques centaines de Ko, et pas plus.

L'intégration technique

Pour intégrer Pagefind dans mon workflow Hugo, j'ai donc été cherché le binaire, je l'ai mis sur mon serveur et je l'ai appelé dans un cron comme ça, je rafraichi l'index de recherche 1 fois par jour (et pas à chaque génération du site).

0 4 * * * /home/manu/pagefind/pagefind --site /home/manu/public_html --output-path /home/manu/public_html/pagefind >> /var/log/pagefind.log 2>&1

J'ai aussi créé un fichier de configuration pagefind.yml pour affiner le comportement :

root_selector: "[data-pagefind-body]"
exclude_selectors:
 - "header"
 - ".site-header"
 - "footer"
 - ".sidebar"

L'astuce ici c'est d'indexer uniquement les div ayant la class data-pagefind-body='true' et d'exclure les éléments qui ne font pas partie du contenu éditorial afin de ne pas indexer ce qui se trouve dans le header, les natives, le footer...etc.

Côté JavaScript, Pagefind utilise les imports ES6 dynamiques. Ça veut dire que le moteur de recherche n'est chargé que quand l'utilisateur lance effectivement une recherche :

async function initPagefind() {
pagefind = await import('/pagefind/pagefind.js');
await pagefind.init();
}

Et pour faire une recherche :

const search = await pagefind.search("linux");
// search.results contient les IDs des résultats
// On charge le contenu de chaque résultat à la demande
for (const result of search.results) {
 const data = await result.data();
 console.log(data.url, data.meta.title, data.excerpt);
}

C'est bien fichu parce que search.results retourne immédiatement les références des résultats, mais le contenu réel (titre, extrait, URL) n'est chargé que quand vous appelez result.data(). Du coup vous pouvez implémenter une pagination propre sans télécharger les données de milliers de résultats d'un coup.

Le délire rétro - Recréer Google 1998

Maintenant que j'avais un moteur de recherche fonctionnel, fallait l'habiller. Et c'est là que j'ai eu cette idée un peu débile : Pourquoi pas recréer l'interface du Google de 1998 ?

Pour les plus jeunes qui lisent ça, Google en 1998 c'était une page blanche avec un logo, un champ de recherche, et deux boutons : « Google Search » et « I'm Feeling Lucky« . Pas de suggestions, pas de carrousels, pas de pubs... Juste un champs de recherche. C'était la belle époque !

J'ai donc créé une page de recherche avec deux vues distinctes. La page d'accueil avec le logo centré et le champ de recherche au milieu, exactement comme le Google originel.

Et la page de résultats avec le logo en petit en haut à gauche et les résultats en dessous.

Pour le code CSS, j'ai voulu être fidèle à l'époque. Times New Roman comme police par défaut, les liens en bleu souligné qui deviennent violet une fois visités. Et surtout, les boutons avec l'effet 3D des interfaces Windows 95 :

.search-button:active { border-style: inset; }

Ce border: outset et border-style: inset au clic, c'est exactement ce qui donnait cet effet de bouton en relief qu'on avait partout dans les années 90. Pour moi, ça fait toute la différence pour l'authenticité. Même le logo, je l'ai volontairement « dégradé » pour qu'il soit de la même qualité que le logo Google d'origine.

La pagination « Koooooorben »

Vous vous souvenez de la pagination de Google avec « Goooooogle » en bas de page ? Le nombre de « o » correspondait au nombre de pages de résultats. J'ai fait pareil, mais avec « Koooooorben ».

let logo = 'K'; for (let i = 0; i < oCount; i++)
{
logo += o;
} logo += 'rben'; }

Plus il y a de résultats, plus il y a de « o ». C'est complètement inutile mais ça me fait marrer à chaque fois que je le vois.

Le bouton « J'ai de la chance »

Ah, le fameux « I'm Feeling Lucky » de Google, j'ai voulu l'implémenter comme à l'époque ! Si vous tapez une recherche et cliquez sur « J'ai de la chance », vous êtes envoyé sur le premier résultat. Classique. Mais si vous cliquez sur le bouton avec le champ vide sur la home de la recherche, vous êtes envoyé sur un article aléatoire parmi les +18 000 du site.

Pour ça, j'ai utilisé une astuce : le sitemap. Mon Hugo génère un fichier sitemap.xml qui contient toutes les URLs du site et je peux aller piocher dedans en JS :

const articles = [...xml.querySelectorAll('loc')] .map(loc => loc.textContent) .filter(url => {
// Exclure les pages qui ne sont pas des articles
const path = new URL(url).pathname;
return !path.startsWith('/categories/') && !path.startsWith('/page/') && path !== '/';
});
const randomUrl = articles[Math.floor(Math.random() * articles.length)];
window.location.href = randomUrl;
} }

Un seul fetch, un peu de parsing XML natif, et hop c'est le grand retour de la fonctionnalité « article aléatoire » qui vous manquait, je le sais !

Tri et nombre de résultats

Je vous ai aussi mis une listbox qui vous permet d'afficher 10, 25 ou 50 résultats ainsi qu'un tri par pertinence ou data. Et ça aussi Pagefind sait parfaitement le navigateur.

Mode sombre et accessibilité

Même si l'interface est rétro, j'ai quand même ajouté quelques fonctionnalités modernes. Le mode sombre respecte les préférences système, et j'ai intégré la police OpenDyslexic pour les personnes dyslexiques.

Le truc important c'est de charger ces préférences avant le rendu de la page pour éviter le fameux flash. J'ai donc un petit script qui lit les préférences dans le localStorage et applique les classes CSS immédiatement :

function() {
 if (localStorage.getItem('theme') === 'dark') {
 document.documentElement.classList.add('dark-mode');
 }
 if (localStorage.getItem('dyslexic-font') === 'true') {
 document.documentElement.classList.add('dyslexic-mode');
 }
});

Gestion de l'historique navigateur

Un détail qui peut sembler anodin mais qui est super important pour l'expérience utilisateur c'est la gestion du bouton retour du navigateur.

Quand vous faites une recherche, l'URL change selon votre requête du genre /recherche/?q=linux&p=2. Du coup si vous partagez cette URL à un collègue, la personne arrivera directement sur les résultats de recherche. Et si vous utilisez le bouton retour, vous reviendrez alors à la recherche précédente.

window.addEventListener('popstate', () => {
const query = new URLSearchParams(location.search).get('q');
if (query) doSearch(query);
else showHomePage();
});

Liens vers d'autres moteurs

Et si vous ne trouvez pas votre bonheur dans mes +18 000 articles (ce qui serait quand même étonnant ^^), j'ai ajouté des liens pour relancer la même recherche sur Google, DuckDuckGo, Qwant, Brave et Ecosia. Bref, un petit service bonus pour mes visiteurs, exactement comme le proposait Google à l'époque.

Le bilan - Algolia vs Pagefind

Après 1 semaine d'utilisation, voici donc mon verdict ! Côté portefeuille d'abord, Algolia me coûtait entre 60 et +100 euros par mois et maintenant pour Pagefind, c'est zéro euros ! Et les performances sont également au rendez-vous. Algolia c'était rapide et bien là, ça l'est encore plus. Seul compromis à noter, l'index Algolia se mettait à jour en temps réel, alors que Pagefind nécessite une reconstruction au moment du build.

La conclusion

Voilà, j'ai maintenant une recherche qui marche vraiment bien, qui me coûte 0€ par mois, et qui a un look rétro qui va en surprendre plus d'un...

Alors est-ce que c'était nécessaire de passer autant de temps sur le design rétro ? Hé bien absolument pas. Mais est-ce que ça valait le coup ?

Franchement, oui !! C'est mon site, je fais ce que je veux, et si ça peut faire sourire quelques visiteurs nostalgiques des débuts du web, c'est du bonus. D'ailleurs un grand merci aux Patreons qui me soutiennent car sans eux, je n'aurais pas pu passer mon dimanche là dessus ^^

Et puis surtout, ça m'a permis de découvrir Pagefind qui est vraiment un excellent outil. Donc si vous avez un site statique (ou n'importe quel type de contenu textuel) et que vous cherchez une solution de recherche gratuite et performante, je vous le recommande chaudement. La documentation est claire, l'intégration est simple, et le résultat est top !

Allez, maintenant vous pouvez aller tester la nouvelle recherche sur le site . Et si vous cliquez sur « J'ai de la chance » sans rien taper... bonne découverte !

Quand je pense que Win32 est devenu la couche de compatibilité la plus stable sur Linux...

Par :Korben
31 décembre 2025 à 11:55

Vous avez déjà essayé de faire tourner un vieux logiciel Linux sur une distrib récente, du genre un truc compilé il y a 5 ans ? Bah bon courage, parce que y'a de grandes chances que ça plante lamentablement à cause d'une dépendance qui aura changé entre-temps.

Maintenant, prenez un .exe Windows de 1998, genre un vieux jeu ou une appli Win32 classique. Lancez-le sous Wine et là, ô surprise... y'a de bonnes chances que ça tourne ! Bon, ça dépend des applis évidemment, mais le taux de réussite est souvent meilleur qu'avec les vieux binaires Linux...

C'est précisément ce paradoxe que pointe le projet loss32 , une distro Linux expérimentale dont l'idée complètement dingue serait de faire tourner TOUT l'environnement de bureau en Win32 via Wine. Leur slogan c'est "Win32 is the stable Linux ABI!" ce qui veut dire en gros que l'interface binaire la plus fiable pour faire tourner des applications sur Linux à long terme, c'est celle de Windows. Ahaha, je suis mort de rire en écrivant ça car j'imagine votre tête énervée de barbu ! Pourtant, vous allez voir, c'est difficile de leur donner tort...

Alors c'est quoi le problème avec Linux exactement ?

Hé bien en août 2022, un changement dans la toolchain a fait des dégâts. Beaucoup de distributions ont basculé vers l'option --hash-style=gnu au lieu de --hash-style=both, ce qui génère des binaires sans la section DT_HASH classique. L'idée c'était de gagner quelques kilobytes par binaire avec DT_GNU_HASH, qui est plus moderne et plus performant.

Ça n'a l'air de rien comme ça... sauf que ça a cassé pas mal de trucs. Des jeux utilisant Easy Anti-Cheat d'Epic se sont retrouvés en vrac, par exemple Shovel Knight a eu des soucis, ou encore le limiteur de framerate libstrangle . Bref, des logiciels qui marchaient très bien la veille se sont retrouvés dans les choux du jour au lendemain.

Et c'est là qu'on touche au cœur du problème car sous Windows, Microsoft maintient une compatibilité binaire quasi-religieuse pour les applis Win32 classiques. Un programme compilé pour Windows 95, s'il n'utilise pas de drivers ou d'APIs obsolètes, a de bonnes chances de tourner sur Windows 11. C'est un contrat tacite entre Microsoft et les développeurs qui a tenu pendant trois décennies.

Et même si sous Linux, le kernel et glibc sont plutôt stables, c'est vrai, dès qu'on parle de binaires tiers liés à des bibliothèques user, c'est une autre histoire. Et comme c'est le bordel et que chaque distribution fait un peu ce qu'elle veut, et les dépendances évoluen forcement. Du coup, si votre binaire précompilé casse, c'est votre problème. La philosophie c'est donc plutôt "recompile ton truc et arrête de te chialer 'spèce de fragile".

Et c'est pour ça que Valve a misé gros sur Proton. Officiellement, ils n'ont pas de préférence entre ports natifs et Windows via Proton, mais dans les faits, Proton fonctionne tellement bien que pas mal de studios ne se cassent plus la tête à faire des ports Linux natifs. Et parfois, les jeux Windows via Proton tournent même mieux que les ports natifs ... c'est dire.

Et le projet loss32 pousse cette logique jusqu'au bout car pourquoi se battre contre les moulins à vent de la fragmentation Linux quand on peut simplement tout faire tourner en Win32 ?

Alors perso, j'ai hâte de voir ça et visiblement un PoC devrait sortir en janvier 2026 avec un paquet APT pour qu'on puisse tous tester ça chez nous. Et si ça fonctionne bien, ça veut dire que si vous créez une application desktop simple et que vous voulez qu'elle tourne sur Linux encore dans 10 ans, cibler Win32 et distribuer un .exe via Wine/Proton est une option à considérer sérieusement.

Ça semble contre-intuitif, mais pour certains cas d'usage, c'est une stratégie pragmatique...

Pour les utilisateurs, ça veut dire aussi que Wine et Proton ne sont pas des rustines en attendant mieux mais des des solutions de première classe pour faire tourner des logiciels de manière stable sur Linux. Le Steam Deck l'a prouvé avec des milliers de jeux Windows qui tournent nickel.

Bref, on en est là... Win32, l'API de Microsoft, est devenue paradoxalement une des couches de compatibilité les plus stables pour faire tourner des logiciels sur Linux. C'est fou non ? Ça va faire grincer des dents de barbus c'est sûr mais c'est aussi la preuve que parfois, les solutions terre à terre l'emportent sur l'idéologie.

Source

[Bon plan] Une application pour créer des Post-it (v9.8)

31 décembre 2025 à 11:22

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.

Voici un logiciel en français, compatible de Windows 7 à Windows 11, qui permet de créer des post-it virtuels personnalisables. 

Je vous avais proposé en 2024 la version 9.3, ce sera la 9.8 aujourd'hui avec une licence à vie. 😉

Cet article [Bon plan] Une application pour créer des Post-it (v9.8) est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name

Sauvegardez et restaurez facilement vos navigateurs (v1.0)

31 décembre 2025 à 10:41

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.

Toute notre vie numérique tourne autour des navigateurs et cela pour une raison évidente : c'est la porte d'entrée pour accéder à l'Internet.

Le problème c'est que si nous perdions nos favoris, nos données et nos personnalisations, nous serions tout penauds devant nos ordinateurs.

Oui, suite à un plantage de votre navigateur, il suffit d'effectuer une réinstallation, ce qui prend une poignée de secondes, certes, et tout rentre dans l'ordre.

Mais malheureusement, il arrive que le profil soit compromis, soit à cause d'un disque vieillissant ou d'une infection par exemple et dans ces cas il est impossible de récupérer les précieuses données qui y étaient rattachées !

Je vous propose un logiciel qui va vous permettre de sauvegarder les profils de TOUS vos navigateurs.

En cas de problème il suffit de restaurer les sauvegardes dédiées ! 

Cet article Sauvegardez et restaurez facilement vos navigateurs (v1.0) est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name

MSI RTX 5090 LIGHTNING : Le retour de la foudre pour le CES 2026 ?

Par :Wael.K
31 décembre 2025 à 11:22

La MSI RTX 5090 LIGHTNING surgit dans les airs. Pour le 5 janvier 2026, MSI mise sur une météo électrique et un teasing sans ambiguïté : la gamme LIGHTNING semble prête à signer son grand retour, un an après une première annonce furtive au CES 2025. À la veille de l’ouverture officielle du CES 2026, MSI semble ainsi orchestrer la montée en tension autour de ce qui pourrait incarner la carte graphique la plus radicale de cette génération.

Un teasing qui ne trompe pas

L’éclair affiché à l’écran renvoie directement à l’ADN LIGHTNING, historiquement réservé aux modèles GeForce ultra haut de gamme chez MSI. La date du 5 janvier n’est pas choisie au hasard : elle correspond au Media Day 2, soit vingt-quatre heures avant l’ouverture officielle du salon, prévue du 6 au 9 janvier.

Visuel du compte MSI Gaming montrant le teaser de la carte graphique MSI RTX 5090 LIGHTNING en préparation pour le CES 2026

Le constructeur reprend les codes historiques qui ont fait le succès de ses modèles « Extreme Overclocking » :

  • Visuel : Des éclairs déchirant l’écran, signature indissociable de la marque LIGHTNING.
  • Calendrier : Une annonce calée sur le « Media Day 2 » du CES, soit 24 heures avant l’ouverture du salon (du 6 au 9 janvier).
  • Héritage : Inactive depuis la RTX 2080 Ti, la griffe LIGHTNING représente le summum du savoir-faire de MSI.

MSI RTX 5090 LIGHTNING : cap sur une annonce le 5 janvier

D’après ce qui a été montré auparavant, MSI prépare deux « Special Edition » autour de la GeForce RTX 5090 : une version AIO avec double radiateur 120 mm et un soin particulier au refroidissement de la mémoire, et une version à air reposant sur cinq ventilateurs STORMFORCE et l’empilement thermique FiveFrozr. Le constructeur a déjà exposé des « concepts GPU » en salon, il semblerait donc que le CES 2026 serve de rampe de lancement à une version finalisée.

bannière Cartes graphiques MSI RTX 5090 LIGHTNING en prototype aio et aircooling

MSI ne confirme ni le nom exact, ni les spécifications, ni le calendrier de sortie pour une carte LIGHTNING liée à ce teasing. Comme le résume le message, « spécial edition » et météo à l’orage convergent vers un retour de la griffe LIGHTNING. Le contexte n’est toutefois pas idéal : NVIDIA pourrait affronter une pénurie de DRAM comme le reste du marché, et tout lancement de carte avec 16 Go de mémoire pourrait se compliquer plus tard.

Un duel de titans : MSI vs ASUS

L’objectif est clair : détrôner la ROG MATRIX d’ASUS sur le segment des flagships de prestige. Cependant, ce duel se jouera à prix d’or. Pour rappel, la carte d’ASUS s’affiche déjà aux alentours de 4400 € et reste quasiment introuvable.

Les défis à venir

Malgré l’excitation, le lancement pourrait être assombri par le contexte économique :

  • Pénurie de DRAM : NVIDIA et ses partenaires font face à des tensions sur la mémoire vive, ce qui pourrait limiter les stocks.
  • Disponibilité : Les modèles « Special Edition » pourraient être produits en quantités ultra-limitées.

Verdict le 5 janvier. Nous saurons alors si MSI compte transformer ce concept météo en une réalité commerciale pour les gamers les plus exigeants.

Lire aussi : RTX 50 Extreme OC : MSI prépare son retour avec un Afterburner survitaminé

❌