Un commissaire de police français à la tête d’Interpol



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Le Kremlin a qualifié mercredi 26 novembre de "processus sérieux" les efforts diplomatiques en cours autour du plan américain pour mettre fin à la guerre en Ukraine, dont la version initiale, jugée très favorable à Moscou, a eu le mérite de relancer les discussions. Donald Trump, qui pousse pour la signature d’un accord de paix entre l’Ukraine et la Russie, a assuré ce même jour qu’il ne restait que "quelques points de désaccord" à régler. Plusieurs dirigeants européens ont toutefois tempéré son optimisme. Moscou a également prévenu qu’il était encore "trop tôt" pour savoir si l’on se rapprochait d’une possible sortie d’un conflit qui dure depuis près de quatre ans.
L’émissaire américain Steve Witkoff est attendu la semaine prochaine en Russie, où il doit rencontrer Vladimir Poutine. Hier, les révélations d’une conversation téléphonique entre l’envoyé de la Maison-Blanche et un conseiller du président russe, Iouri Ouchakov, ont semé le trouble en montrant que le premier avait conseillé le second sur la manière d’introduire auprès de Donald Trump un plan de règlement du conflit en Ukraine.
Les infos à retenir
⇒ La Turquie se dit prête à participer aux "forces de réassurance" en Ukraine
⇒ Huit personnes condamnées en Russie pour l'explosion du pont de Crimée en 2022
⇒ La Fédération internationale de judo réintègre la Russie avec "hymne" et "drapeau"
La Turquie est prête à participer aux "forces de réassurance" qui pourraient être déployées en Ukraine après un cessez-le-feu, a affirmé jeudi le ministère turc de la Défense. "Les forces armées turques sont prêtes à contribuer à toute initiative visant à garantir la sécurité et la stabilité dans notre région", a confirmé le ministère à propos d'une éventuelle participation de la Turquie au déploiement de forces mentionnées par le président français Emmanuel Macron.
"Avant toute chose, un cessez-le-feu doit être instauré entre la Russie et l'Ukraine. Ensuite, un cadre de mission, assorti d'une définition claire des objectifs, ainsi que la contribution de chaque pays doivent être déterminés", a précisé le ministère.
Un groupe de travail va être lancé sur les "forces de réassurance" censées "consolider cette armée ukrainienne" en "deuxième rideau" en cas d'accord russo-ukrainien, avait annoncé mardi Emmanuel Macron. Il sera "piloté par la France et la Grande-Bretagne, avec une association étroite de la Turquie qui joue un rôle-clé sur le plan maritime, et pour la première fois avec une implication des Etats-Unis d'Amérique", avait-il ajouté.
La Turquie, deuxième armée de l'Otan en nombre d'hommes, avait déjà affirmé en mars être prête à déployer des forces en Ukraine "si nécessaire" pour garantir la paix.
Un tribunal russe a condamné ce jeudi à la perpétuité huit hommes pour leur implication dans la gigantesque explosion qui avait partiellement détruit en 2022 un pont emblématique reliant la Russie à la péninsule de Crimée annexée en 2014. A l’issue d’une audience à Rostov-sur-le-Don (sud), ils ont tous été reconnus coupables d’avoir fait partie d’un "groupe criminel organisé" visant à "commettre un attentat" sur le pont de Crimée, qui avait fait cinq morts en octobre 2022, a indiqué le tribunal militaire régional dans un communiqué.
L’explosion, survenue huit mois après le début de l’offensive russe à grande échelle en Ukraine, avait été revendiquée plus tard par Kiev. Inauguré en 2018 par le président russe Vladimir Poutine, le pont, long de 19 kilomètres, est pour le pouvoir russe l’un des symboles de l’annexion en 2014 de la péninsule ukrainienne de Crimée.
Plusieurs travées de ce pont routier et ferroviaire, réparées depuis, s’étaient partiellement écroulées le 8 octobre 2022 lors de l’explosion d’un camion chargé d’explosifs et roulant sur l’une des voies. La gigantesque déflagration avait mis le feu à huit wagons citernes de produits pétroliers, et détruit deux sections du pont routier en béton. L’attentat a fait cinq morts, parmi lesquels le chauffeur du camion, dont le contenu explosif avait été chargé à son insu selon le communiqué du tribunal.
La Fédération internationale de judo a annoncé ce jeudi dans un communiqué la pleine réintégration des judokas russes, qui pourront de nouveau participer aux compétitions internationales sous les couleurs de leur pays, avec leur "hymne" et leur "drapeau national". Cette décision, une "première" pour une fédération sportive selon la Russie depuis le début de la guerre en Ukraine en 2022, prend effet "à compter du Grand Slam d'Abu Dhabi 2025", qui démarre ce vendredi, précise l'instance.
La Fédération russe s'est réjouie de "cette décision historique". "Nous remercions l'IJF pour cette décision si longtemps attendue, juste et courageuse", a réagi son président, Sergueï Soloveïtchik.
Le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé ce jeudi la fermeture du dernier consulat de Pologne en Russie, situé à Irkoutsk en Sibérie, en réponse à l’annonce la semaine dernière de la fermeture du dernier consulat de Russie en Pologne.
La Russie a informé l’ambassadeur polonais du retrait de l’autorisation de fonctionner de ce consulat à partir de la fin de l’année "en réponse à la décision des autorités polonaises de retirer, à compter du 23 décembre 2025, leur accord pour le fonctionnement du consulat général de Russie à Gdansk", indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
La Pologne avait annoncé le 19 novembre qu’elle allait fermer à Gdansk (nord) le dernier consulat russe encore en activité sur son territoire, après le sabotage d’une voie ferrée vers l’Ukraine, attribué par Varsovie à la Russie. Le ministère russe des Affaires étrangères a estimé aujourd’hui que cette décision était "une mesure ouvertement hostile et injustifiée" prise "sous un prétexte absurde".

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