Comment Halo et Call of Duty ont influencé le multijoueur d'Uncharted 2












La licence qui se veut héritière d’Advance Wars fait peau neuve avec de nouveaux graphismes et un gameplay amélioré pour la plus grande joie des amateurs de jeux de stratégie. C’est durant la Paris Games Week 2025 que nous avons été invités à venir tester ce troisième opus de la licence. Une sorte de nouveau départ qui semble être parvenu à combler certaines faiblesses du tout premier Tiny Metal, lui donnant maintenant le potentiel de satisfaire pleinement tous ceux qui cherchent chez cette licence l’expérience ressentie avec Advance Wars.
Avec un premier jeu Tiny Metal sorti en 2017 qui avait peiné à convaincre et un second, nommé Tiny Metal: Full Metal Rumble bien mieux apprécié, le studio de développement Area 35 confirme avoir compris et maîtrisé les forces et les faiblesses de sa licence, proposant maintenant une expérience aussi agréable que superbe.

C’est durant une session qui aura duré une bonne demi-heure durant le salon Paris Games Week 2025 que nous avons pu tester Tiny Metal 2 sur PC. Force est de constater que ce second opus délaisse en partie le style bande dessinée de ses personnages et pâte à modeler de ses véhicules pour une 3D en cell-shading, qui semble tout droit sortie d’un film d’animation. Mais le studio n’oublie pas pour autant ses visuels favoris et ses références. Les plus attentifs remarqueront que certains portraits de personnages et de véhicules bénéficient d’un style en pixel art ou comics des plus agréables, présents dans les menus d’informations.
Aux types de véhicules des jeux précédents qui sillonnaient la terre et le ciel, s’ajoutent maintenant ceux de la mer, ajoutant une nouvelle dimension aux combats avec des étendues d’eau qui seront le champ de bataille de cuirassés et de sous-marins. Un élément qui avait été grandement regretté de la part des fans de jeux de stratégie avec les autres jeux de la licence.

Et qui dit nouveaux véhicules, dit également nouveaux généraux, portant leur nombre à 18 pour Tiny Metal 2. Nous avons pu en tester quelques-uns, dont le tout nouveau Adonis, dont la capacité correspond parfaitement au bellâtre qu’il est, lui permettant de frapper fort tant qu’il reste beau. Nous vous laisserons la surprise de découvrir ce que cela signifie une fois en jeu.
Pour en revenir à notre session de jeu, nous avons testé une partie contre l’antagoniste tout désigné en mode facile et difficile, qui étaient les seuls modes disponibles. Ce qui peut paraître curieux à première vue, mais se justifie en fait par la présence ou non d’un brouillard de guerre, venant masquer les types de bâtiments et d’unités présents sur la carte. Il ne nous a pas semblé avoir remarqué un changement drastique dans l’intelligence artificielle des ennemis ou les dégâts occasionnés lors des affrontements. Mais comme lors d’une véritable guerre, l’information est souvent la clé d’un affrontement et la présence d’un brouillard de guerre accentue drastiquement la difficulté d’un combat.

Mais malgré la bonne surprise que constitue ce Tiny Metal 2, avec une animation superbe et un gameplay agréable, il reste tout de même quelques éléments encore assez gênants dans son interface utilisateur. Le premier est le manque d’informations présent sur certains véhicules, comme par exemple leur utilité ou la présence d’un petit descriptif disponible lors de la sélection. Mais cela peut rester anecdotique avec la présence d’un guide disponible dans un menu accessible hors-combat ou avec la présence d’un tutoriel mettant en scène l’utilisation de ces véhicules.
Le second problème selon nous, est le manque d’informations sur la portée des véhicules ennemis. Ceux qui sont bien visibles et hors du brouillard de guerre, évidemment. Il était possible en les sélectionnant de voir lesquels de nos véhicules pouvaient être touchés, mais sans vraiment connaître leur portée théorique, ce qui s’avère bien plus handicapant pour le positionnement de nos propres unités que le premier défaut mentionné.
Disons-le sans détour, Tiny Metal 2 semble être un très bon héritier de la licence Advance Wars. Le jeu de stratégie de guerre de Area 35 nous permettra de déployer nos armées à travers le ciel, la terre et la mer pour vivre l’expérience d’un champ de bataille version miniature, mais aux sensations maximales. On espère juste que les quelques défauts remarqués seront bien vite comblés ou rendus anodins par le reste du jeu. En voyant tous les efforts déployés par Area 35 pour apporter du renouveau et leur écoute de la communauté, on ne peut que croire en une œuvre finale de qualité.
Cet article PREVIEW On a testé Tiny Metal 2 est apparu en premier sur JVFrance.














Présenté il y a presque un an, Onimusha: Way of the Sword s’annonce comme un regain de vitalité de la licence prévu pour 2026. Nous avons profité de notre passage à la Paris Games Week 2025 pour tester un échantillon du jeu et voir ce que nous réservait cette nouvelle aventure dans un Japon médiéval tourmenté par les Onis et leurs sombres pouvoirs. Une expérience qui s’est révélée classique, mais diablement efficace.
Ce test présentait les mêmes conditions que lors de la Gamescom 2025. Nous sommes plongés directement au cœur d’une sombre forêt alors que des villageois terrifiés s’échappent dans notre direction pour nous dépasser sans nous jeter le moindre regard. Du moins, pour ceux qui y parviennent, car certains malheureux n’ont pas eu la chance d’échapper aux lames de créatures démoniaques ne montrant aucune pitié pour leurs victimes, offrant là un spectacle des plus sinistres tandis que des nuages de ténèbres s’accumulent au-dessus d’une cité ruinée.
Heureusement pour nous, notre personnage est un samouraï et ne compte pas se laisser faire. L’occasion ici de découvrir un tutoriel qui dévoilera les touches correspondantes aux actions possibles sans que l’action ne s’interrompe. La prise en main de Onimusha: Way of the Sword est intuitive et s’accorde avec les conventions du jeu vidéo d’action. Les touches pour les attaques lourdes, légères, l’esquive, le blocage et le tir à l’arc sont sensiblement les mêmes qu’ailleurs et il n’y a pas de risque de dépaysement. Même l’usage du gant démoniaque, une entité dont le destin semble lié au nôtre, répond presque aux mêmes touches de la manette que tous les autres types de pouvoirs surnaturels que l’on a pu découvrir dans d’autres jeux.

Comme ses prédécesseurs, le jeu ne nous a pas donné l’impression de chercher le réalisme dans ses affrontements ou d’imposer une difficulté aux joueurs. Par exemple, il était tout à fait possible de bloquer les tirs de flèches simplement en maintenant sa garde, limitant ainsi les frictions de gameplay. Les coups que l’on recevait n’étaient pas extrêmement pénalisants et autorisent même les plus novices des jeux d’action une certaine marge d’erreur avant de pouvoir s’approprier la dynamique d’un affrontement.
Par ailleurs, les actions d’esquive et de parade sont assez permissives et la sensation de maîtrise, voire de puissance se ressent facilement. Il était très agréable de voir notre personnage réaliser plusieurs exécutions à la suite. Une sensation soulignée par les très bons effets visuels et sonores de glissement et d’impact de la lame sur les adversaires, en plus de ralentis qui permettent de garder la clarté de l’action tout en offrant un temps de réflexion pour définir nos prochaines actions.
Pour continuer sur les effets visuels, nous avons été agréablement surpris par les graphismes du jeu, avec son utilisation de lumières et de textures, offrant une ambiance immersive. La zone visitée durant cette session était trop grisâtre à notre goût, mais au moins, cela collait avec le sentiment de désespoir et l’impression d’humidité de l’environnement.

Notre session s’est conclue avec un affrontement contre un autre samouraï, possédant lui aussi un gantelet et des pouvoirs d’origines démoniaques. C’est donc un match miroir qui permet de comprendre que si notre adversaire est capable de quelque chose, alors nous aussi. Le combat peut poser quelques difficultés pour les moins expérimentés, mais il reste tout de même agréable à faire tant la dynamique de l’affrontement est bien rythmée.
On peut presque regretter de ne pas avoir rencontré plus d’agressivité de la part de ce boss ou des autres ennemis. Le rythme de certaines de leurs attaques étant bien trop lent pour paraître crédible, s’offrant quasiment à notre lame pour y périr. Mais cela confirme qu’Onimusha: Way of the Sword est un jeu d’action qui mise bien plus sur le spectacle et les sensations que sur la difficulté.
Si vous cherchez un jeu d’action semblable à d’autres productions Capcom, telles que les Devil May Cry, ou si vous souhaitez retrouver les sensations des anciens jeux de la licence Onimusha, alors ce prochain jeu Onimusha: Way of the Sword pourrait être votre tasse de thé. Une expérience qui ne sera pas dépaysante, mais toujours agréable avec la promesse d’une grande sensation de puissance à mesure que vous maitriserez les compétences de votre personnage et débloquerez de nouveaux pouvoirs démoniaques, faisant de vous le plus puissant des guerriers. Onimusha: Way of the Sword est prévu pour 2026 sur PS5, Xbox Series et PC.
Cet article PREVIEW On a testé Onimusha: Way of The Sword est apparu en premier sur JVFrance.




