Tomb Raider : retour sur la double annonce des Game Awards avec quelques détails en plus








Parmi les multiples annonces du Game Awards 2025, Saber Interactive (World War Z et Warhammer 40,000: Space Marine 2), le studio derrière le développement de John Carpenter’s Toxic Commando, a profité de l’occasion pour annoncer que leur jeu sortira le 12 mars 2026 et que les précommandes sont également ouvertes. Dans ce FPS PvE jusqu’à 4 joueurs se déroulant dans un monde envahi de zombies dirigés par le Bourbier Suprême, votre équipe de mercenaires devra remplir diverses missions dans de vastes zones semi-ouvertes. Durant votre exploration, vous pourrez récupérer divers butins (des armes, des ressources et autres matériaux), utiliser des véhicules pour vous déplacer sur la carte et user des vos pouvoirs contre les ennemis.
Outre les séquences de gameplay bien sanglantes, le trailer est également une parfaite démonstration du Swarm Engine, le moteur maison du studio créé à l’origine pour les hordes de zombie de World War Z et utilisé dans d’autres productions par la suite. On peut notamment citer SnowRunner, dont la physique « réaliste » des véhicules a l’air d’être réutilisée dans John Carpenter’s Toxic Commando.
Entretemps, nos confrères d’IGN nous ont gratifié d’une vidéo de gameplay d’environ 25 minutes. En gros, on y aperçoit :
De plus, les environnements sont plutôt beaux et surtout boueux, parfait pour ceux qui veulent prendre soin de leur peau. Le gunplay, quant à lui, a l’air bon avec l’emploi d’un arsenal varié. À la rédac, on reste assez enthousiastes, même si on se doute que le jeu sera probablement truffé de DLCs d’armes, de skins ou de missions à venir.
Si vous êtes convaincus et être prêts à lâcher du pognon avant la sortie de John Carpenter’s Toxic Commando le 12 mars 2026, vous pouvez précommander les différentes éditions (standard et Blood) sur Steam ou l’Epic Games Store, soit 40 € pour la première et 50 € pour la seconde.


























Ah, l’Égypte antique… Les pharaons, leurs pyramides et ces monuments millénaires qui traversent le temps. Demeures éternelles des rois d’antan, symboles d’une civilisation fascinante. Qui n’a jamais rêvé d’arpenter la vallée du Nil ou de visiter la grande pyramide de Khéops ?
Peu de jeux vidéo parviennent pourtant à exploiter pleinement cet univers. On pense surtout aux jeux de gestion, comme le mythique Pharaon (1999). Mais c’est surtout le très bon Assassin’s Creed : Origins qui occupe la tête du classement. Egypt Frontiers tente à son tour le pari, cette fois sous la forme d’un jeu de construction à la première personne.
Voyons ce que ça donne.

Visuellement, on se contente du minimum. Les animations sont sommaires, les environnements et les textures manquent de détails. Les PNJ sont rigides et peu agréables à regarder. L’ensemble donne une impression très brute, loin de l’image majestueuse que l’on associe à l’Égypte antique.
Mais les graphismes ça ne fait pas tout. On attend donc que le titre nous éblouisse par la richesse de son gameplay. La boucle est simple, voire simpliste. On fabrique des outils. On court chercher des ressources. On les transporte. On les dépose au bon endroit. Puis on recommence. On recrute des ouvriers via de courtes quêtes FEDEX peu intéressantes. Le tout fonctionne, mais devient rapidement répétitif.

Un arbre de compétences est bien présent, mais il reste très basique. Il permet surtout de courir plus vite et de porter davantage de ressources. Des bonus utiles, mais qui n’apportent aucune réelle profondeur. On verra ce que propose la suite.






Le manque de variété se fait vite sentir. Il y a peu d’activités différentes et peu d’événements. Si le jeu est reposant, il montre vite ses limites. Sans réelles surprises, l’ennui s’installe au bout de quelques heures. On attend la construction de la Pyramide de Khéops, décrite comme le défi majeur de l’expérience.
Egypt Frontiers possède un potentiel certain grâce à son univers. Le concept est une bonne idée à lui tout seul. Mais en l’état, le jeu est encore trop brut et peine à convaincre. La technique est limitée et le gameplay manque de diversité. L’Early Access laisse espérer des améliorations significatives. Mais pour l’instant, il s’agit d’un titre à surveiller plutôt qu’à recommander.
Test réalisé par Florian
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