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Test de Hollow Knight : Silksong | Fini à 100%, notre verdict !
Difficile d’aborder Hollow Knight: Silksong sans évoquer d’abord le phénomène qu’a été son prédécesseur. Sorti en 2017, Hollow Knight a su s’imposer comme l’un des piliers du Metroidvania moderne grâce à sa direction artistique envoûtante, son gameplay exigeant et son univers riche, sombre et mystérieux. Un véritable succès critique et commercial, qui a propulsé le petit studio australien Team Cherry sur le devant de la scène indépendante.
C’est donc peu dire que Silksong, annoncé en 2019, était attendu au tournant. Ce qui devait initialement être un simple DLC du jeu original s’est rapidement transformé en une suite à part entière, centrée cette fois sur Hornet, l’un des personnages emblématiques du premier opus. Mais entre annonces sporadiques, longues périodes de silence et multiples reports, l’attente autour de Silksong est devenue presque mythique, au point d’alimenter memes et théories au fil des années.
Aujourd’hui, après des années d’attente, le jeu est enfin entre nos mains. Et la grande question demeure : Hollow Knight: Silksong est-il à la hauteur de son héritage et de l’immense attente qu’il a suscitée ?
Hollow Knight : Silksong | Informations générales
- Disponible depuis le 4 septembre 2025 sur PC, Xbox Series, Nintendo Switch, PlayStation 4 et PlayStation 5
- Testé sur PS5 via un exemplaire numérique acheté par nos soins
- Prix éditeur : 19.99€
- Genre : Metroidvania
Un royaume envoutant et dangereux, tissé de secrets
Hollow Knight : Silksong reprend la formule qui a fait le succès du premier opus tout en l’enrichissant considérablement. Dès les premières minutes, Hornet se retrouve plongée dans un nouveau royaume, Pharloom, à la fois vibrant de vie et regorgeant de dangers. Chaque zone possède une identité forte et immédiatement reconnaissable : des forêts luxuriantes aux tréfonds d’une citadelle mécanique plongés dans une obscurité pesante, en passant par des cavernes toxiques ou des donjons tortueux dignes d’un cauchemar.
La richesse visuelle est impressionnante : chaque élément du décor, chaque son, chaque silhouette à l’arrière-plan contribue à faire de ce monde un véritable organisme vivant. La bande-son, signée à nouveau par Christopher Larkin, oscille entre mélodies délicates et orchestrations dramatiques, soulignant avec justesse aussi bien les moments de calme que les affrontements les plus tendus.
Mais sous cette beauté se cache un monde exigeant, souvent hostile. Explorer Pharloom et ses différents biomes n’est pas une simple promenade : les pièges sont nombreux, les ennemis impitoyables, et le level design sait se montrer retors, lui qui aime jouer constamment avec la verticalité, les détours et les raccourcis cachés. Le joueur est constamment incité à l’exploration mais se voit être puni pour toute imprudence.
Et c’est précisément ici que l’expérience générale de Silksong risque de rebuter un paquet de voyageurs tant la courbe de difficulté semble mal gérée. Le jeu dispose de nombreuses séquences de voltiges et de plateformes intransigeantes à la « Super Meat Boy » qui peuvent littéralement faire péter un câble au plus grand nombre. Et cela sans compter sur des runbacks (= chemins à reparcourir entre un checkpoint et un boss, ndlr) infernaux et totalement incompréhensibles. Ceux qui ont arpenté les Marches Erodées et Bilesac savent de quoi nous parlons.
Arpenter ce monde demande donc vigilance, patience et persévérance. Et si la progression est certes gratifiante, elle passe très (voire trop) souvent par l’échec, la frustration et l’apprentissage. Arriver à la véritable fin du jeu (au terme de l’acte 3) ne sera pas à la portée de tout le monde. Mais un espoir demeure : la Team Cherry est à l’écoute de sa communauté, et rien n’empêche le studio de peaufiner son bébé dans les mois à venir via différentes MAJ qui adouciront et équilibrerons l’ensemble.
Tisser sa survie, un fil à la fois
Pour se mouvoir, Hornet dispose d’une palette de mouvements bien plus acrobatiques que celle du Chevalier dans le premier opus, rendant le gameplay beaucoup plus nerveux et vertical. Plus agile, plus rapide, elle peut sprinter, grimper aux parois, ou encore enchaîner des attaques aériennes avec une fluidité grisante. Cette mobilité accrue modifie profondément la manière d’aborder le level design et les affrontements.
La collecte de ressources et l’amélioration des capacités restent au cœur de la progression. Là où Hollow Knight reposait sur une gestion d’âmes et un système de charmes, Silksong opte pour une approche plus dynamique, articulée autour d’outils consommables à fabriquer à partir de matériaux laissés par les ennemis. Javelots, kunais, bombes ou encore boomerangs : ces armes secondaires apportent une dimension tactique bienvenue, permettant d’adapter son style de jeu en fonction des situations rencontrées, tout en introduisant une légère touche de crafting et de gestion de ressources.
En complément, Silksong intègre un système de buffs passifs via des objets à équiper, qui améliorent par exemple la vitesse de soin, la mobilité ou la portée des attaques. À cela s’ajoutent des compétences spéciales, directement liées à la soie, qui peuvent renverser l’issue d’un combat lorsqu’elles sont utilisées au bon moment (la meilleure à notre sens étant celle basée sur la contre-attaque).
Enfin, le jeu propose des « Emblèmes », sortes d’archétypes modulables à dénicher au fil de l’exploration, qui permettent de structurer des builds pour Hornet selon votre approche : plus agressive, défensive, mobile ou orientée sur les dégâts à distance. Le tout compose un système flexible, mais aussi exigeant, qui pousse à expérimenter et à s’adapter constamment.
Les affrontements, quant à eux, gagnent en variété et en intensité. Les ennemis disposent souvent de patterns plus agressifs et moins téléphonés que dans le premier jeu, ce qui pousse à rester constamment mobile, notamment face aux adversaires volants (et il y’en a légion). Les combats de boss, eux, sont de véritables morceaux de bravoure : souvent spectaculaires dans leur mise en scène (Trobbio, Fantôme…) et toujours exigeants, ils demandent précision, sens du rythme, et une bonne lecture des phases d’attaque. Certains n’hésitent d’ailleurs pas à mêler pure action, épreuves de plateforme et changement d’environnement en pleine rencontre. Mais les plus vicieux d’entre eux ont la fâcheuse tendance à appeler du renfort en plein combat, pour notre plus grand (dé)plaisir. Un point qui rejoint la frustration parfois engendrée par le jeu.
Enfin, la structure plus linéaire de Silksong, du moins dans ses premières heures, rend le rythme plus soutenu et met davantage l’accent sur les confrontations (il y’a d’ailleurs trop d’arènes à notre goût) ainsi que sur les séquences techniques. Si certains regretteront la liberté d’exploration plus prononcée et profonde d’Hollow Knight, d’autres apprécieront ce rythme plus dirigé (les objectifs apparaissant sur la carte). Ceci dit, le monde de Pharloom est vaste, et c’est bel et bien dans sa seconde partie que toute sa richesse en matière d’épopée prend tout son sens.
D’ailleurs, Hollow Knight : Silksong ne se contente pas d’un chemin principal déjà dense et exigeant : le jeu regorge de contenu secondaire pensé pour enrichir l’expérience sans la diluer. On retrouve ainsi un large éventail de quêtes annexes, souvent remises par des PNJ aux quatre coins de Pharloom. Si certaines se limitent à des objectifs simples (retrouver un personnage, collecter des objets, éliminer un ennemi…), d’autres s’étendent sur plusieurs zones et réservent de vraies surprises, voire des morceaux de lore bien cachés.
Ces quêtes apportent un peu d’air au milieu d’une progression souvent intense, et renforcent le sentiment d’arpenter un monde habité et fait de micro-histoires. Certaines vous pousseront à revisiter d’anciennes zones avec de nouvelles capacités, d’autres vous récompenseront avec des matériaux rares, de nouveaux outils ou encore des éléments d’amélioration comme des fragments de masques pour augmenter votre santé.
À cela s’ajoutent quelques mini-jeux ou défis spécifiques. On pense par exemple à des épreuves de vitesse, de mobilité et à des énigmes environnementales. Rien de bien révolutionnaire, mais ces à-côtés offrent une vraie variété dans le rythme et apportent une touche de légèreté bienvenue.
Hollow Knight : Silksong | Les points forts
- Un monde vaste et riche à parcourir
- Un contenu très dense avec une durée de vie solide (entre 40 et 60 heures de jeu pour voir la véritable fin)
- Un gameplay dynamique, réactif et incisif
- Des environnements et des biomes de toute beauté
- Une ambiance et une histoire accrocheuses
- Une OST superbe
- Certains boss qui valent le détour
Hollow Knight : Silksong | Les points faibles
- Des séquences techniques souvent frustrantes
- Quelques runbacks infernaux
- Quelques arènes mal dosées
- Des boss parfois trop sacs à PV
Verdict final : 18/20
Entre émerveillement, frustration, joie, colère et autres émotions, terminer Hollow Knight : Silksong n’est pas une mince affaire. C’est avec sueur, sang et larmes que l’on vient à bout de cette épopée exigeante, parfois injuste, mais profondément marquante. Si certains choix de game design pourront diviser, difficile de rester insensible à la maîtrise artistique, à la richesse du monde et à la nervosité du gameplay. Silksong ne cherche pas à plaire à tout le monde, mais à tracer sa propre voie avec caractère. Il vise les plus téméraires, ceux prêts à se perdre, à tomber, à recommencer, jusqu’à mériter la fin.
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Récap du Brutal Indies Unleashed Showcase : un bon tas de rétro-FPS
Vendredi soir, s’est déroulé le Brutal Indies Unleashed Showcase, organisé par l’influenceur ZlimBratSki. Son objectif : mettre en lumière les jeux indépendant violents, principalement des FPS. Chez NoFrag, on a déployé les grands moyens, puisqu’on l’a commenté en direct. Tous les jeux ne nous on pas intéressés, alors on vous fait un petit récap maison. Le live s’est achevé par un trailer de gameplay de Painted In Blood, sans doute le titre le plus impressionnant de la sélection.
Painted In Blood
Genre : Rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam
À chaque fois que l’on aperçoit Painted in Blood, on reste sur le cul. La direction artistique est absolument magnifique, avec son mélange rétro et effets très modernes, et surtout, le gunfeel a l’air de déchirer. L’unique développeur a le bon goût de proposer une séquence ininterrompue, afin que l’on puisse profiter du gameplay en bavant. En plus, la date de sortie est enfin annoncée : ce sera le 23 octobre.
Darkenstein 3D
Genre : Rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam & démo
Développé comme un hommage à Wolfentein 3D et DOOM, Darkenstein 3D est dans nos radars depuis quelques années. Reprenant l’indémodable thème de l’extermination de nazis, son gameplay nerveux et son gunplay bien gore montrent un titre mieux réalisé qu’une bonne partie de ses petits copains. Il a pourtant toujours été prévu de le sortir gratuitement. Mais avec l’arrivée de Microprose à l’édition, on pouvait craindre un virage payant. Il n’en est rien, comme l’indique le développeur dans un billet de blog Steam, qui en profite pour annoncer une date de sortie au 21 octobre. Une démo est disponible pour se faire une idée en attendant.
KVLT
Genre : Rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam & démo
En développement depuis maintenant quelques années, le rétro-FPS du studio argentin Evil Guinea Pig donne toujours envie. Il mêle Lovecraft et la Seconde Guerre mondiale, avec une direction artistique sympa et un gameplay qui semble plutôt chouette. Une démo est disponible, si vous voulez tester.
Project Warlock II
Genre : Rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam
Suite de Project Warlock premier du nom, ce second opus a quitté son accès anticipé fin mai et vous invite à incarner trois élèves du Warlock dans leurs propres aventures. Chaque personnage a son propre arsenal et son arbre compétences. Le gunfeel est bon et la direction artistique plutôt sympa. Il n’y a pas spécialement de nouveauté, mais pourquoi ne pas profiter d’un tel événement pour rappeler qu’il existe déjà de bons rétro-FPS ?
Shell Soldier
Genre : Fast-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam
Cela fait un moment que l’on n’avait pas eu de nouvelles de ce rétro-FPS inspiré par F.E.A.R. Visuellement sympathique, c’est surtout au niveau du gameplay qu’il semblait intéressant. Mais on a quand même l’impression qu’on nous montre un concept plutôt qu’un jeu. On est donc assez curieux de voir ce qu’il va réellement donner. Une démo est prévue pour le prochain Steam Néo Fest, on y jettera sans doute un coup d’œil.
Wanted 3D: Dead or Alive
Genre : rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam & démo
Développé avec le moteur GZDoom, Wanted 3D: Dead or Alive n’est pas sans rappeler un certain Outlaws, qui est ressort bientôt remastérisé par Nightdive. Les visuels nous plongent quelques dizaines d’années en arrière, avec des textures qui ont l’air d’être issues d’un FMV, et donnent une ambiance bien sympathique. Une démo a été mise à disposition, et on peut en voir un aperçu notamment chez ZlimBratSki.
HYPERVIOLENT
Genre : rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam
Après plus de deux ans en accès anticipé, le rétro-FPS HYPERVIOLENT déploiera sa 1.0 le 23 septembre prochain. Après avoir répondu à un appel de détresse, vous vous retrouverez coincé sur un astéroïde minier où un mal inconnu a corrompu tous les occupants. Violent et bourrin à souhait, ce jeu avec des petites vibes à la System Shock nous avait bien plu pendant son accès anticipé.
PAPERHEAD
Genre : Fast-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam & démo
Des décors en papier, des ennemis en carton, mais beaucoup de sang et des mouvements très nerveux, c’est la promesse de PAPERHEAD, un fast-FPS que l’on pourrait presque qualifier de rétro dans ses intentions. On avait testé la démo (EP.0) il y a quelques temps, et on avait trouvé ça très bien.
Phobolis
Genre : rétro-FPS horrifique
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Itch.io
Un rétro-FPS horrifique, mais qui propose aussi un peu d’action. La direction artistique a l’air un peu barrée, mais nous donne quand même bien envie.
Relentless Frontier
Genre : rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam et démo
Un rétro-FPS plutôt réputé chez les fans du genre, et qui a l’air assez dynamique. Il est sorti en accès anticipé en juillet 2024, et semble s’améliorer continuellement. Dernièrement, la mise à jour 0.6.0, LORE N’ VANIA, a apporté des logs pour étoffer le lore et des mécanismes pour renforcer l’aspect Metroidvania. Il y a aussi de nouvelles armes et d’autres trucs dans le genre, mais on vous laisse consulter le patch notes si ça vous intéresse.
Quite a Ride
Genre : Biking sim
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam
Quite a Ride propose un concept un peu original, puisqu’on se balade dans un monde infestées de créatures monstrueuses, à bicyclette. Il semble plutôt joli, et fait fortement penser à Pacific Drive dans son concept. Espérons qu’ils soit un peu moins chiant.
Stygian: Outer gods
Genre : RPG
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam
Alors qu’on s’attendait à un énième jeu d’horreur insipide, Stygian: Outer Gods nous avait agréablement surpris à sa sortie en accès anticipé en avril dernier. C’est un vrai RPG en vue subjective avec des touches d’infiltration, de puzzle et d’action. Certes, les performances ne sont pas terribles et les ennemis n’ont d’indicible que leurs capacités cognitives, mais l’ambiance est vraiment réussie. Les développeurs viennent de publier la roadmap, et promettent tout plein de nouveau contenu. D’ailleurs, une mise à jour est sortie il y a deux semaines, apportant notamment de nouveaux lieux.
Hexborn
Genre : Rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam
Encore un rétro FPS développé sous GZDoom, Hexborn est inspiré de Blood et d’élements de Vampire Survivors, avec une touche roguelite bien sentie. Les visuels sont rétros à souhait, entre sprites granuleux et effets occultes, et l’ambiance rappelle les vieux shooters bien sanglants. On y incarne un ancien cultiste piégé dans un labyrinthe démoniaque, avec des armes brutales et des perks aléatoires à chaque run. Pourquoi pas ?
DEADBOOT
Genre : Rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam
Avec son petit air d’Anger Foot, mais dans un style plus rétro, DEADBOOT paraît assez sympa. Des armes, des coups de pied et du sang, que faut-il réellement de plus ?
The Victor Initiative
Genre : Rétro-FPS horrifique
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam et démo
Encore un jeu horrifique, mais cette fois-ci, avec une ambiance rétro. Il a le mérite de proposer une démo pour se faire une idée. On vous laissera tester !
Reclaim
Genre : Rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam
Reclaim est un FPS arcade stylisé qui mise sur la vitesse, les glissades et le score. On traverse une ville futuriste en dashant, grindant et en éliminant des ennemis pour maintenir son multiplicateur de puissance. L’idée rappelle un peu Turbo Overkill, avec ses glissades frénétiques et son ambiance cyberpunk, mais a priori en moins bien sur tous les points. Avec un peu de chance, il sera tout de même dans le haut du panier.
Berserker’s Domain
Genre : Rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam et démo
Encore un rétro FPS sous GZDoom avec des éléments de roguelite. Mais pour le reste, ça part en roue libre totale. Pas de menu, pas de tutorial, pas de blabla. Chaque run est générée aléatoirement, avec des armes qui changent, des ennemis qui varient, et des upgrades qui n’ont aucun sens, du genre des combinaisons explosives juste là pour faire du bruit. Visuellement, c’est crade, les sprites explosent de partout, et l’ambiance rappelle les vieux FPS des années 3DFX.
Sulfur
Genre : Roguelite
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam et démo
Un petit roguelite en accès anticipé avec un effet dessiné très bien réalisé, mais qui n’a pas trop accroché aux membres de la rédac. Pourtant, les mécaniques sont bonnes, mais le gunfeel est peut-être un peu mou pour qu’on ait envie de continuer après quelques heures. N’hésitez pas à tester quand même si vous appréciez le genre, car le titre est bien fini, alors qu’il n’est pas encore sorti en version finale. En plus, les devs viennent de sortir un nouveau biome : le désert. Allez consulter le patch notes pour plus d’info.
Gunstoppable
Genre : Roguelite
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam
Un roguelite aérien aux couleurs criardes, avec beaucoup trop d’effets visuels. Le trailer nous a fait très mal aux yeux, et ça a l’air parfaitement dispensable.
Spyrit Walker
Genre : Rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam et démo
Annoncé il y a un an (mais on l’avait raté), Spyrit Walker nous fera explorer un monde Weird Western, à savoir des cowboys mélangés à du surnaturel, seul ou en coop. L’ambiance, et même le design des ennemis, rappellent assez fortement Blood West, mais en plus moche, avec un framerate au ras des pâquerettes et des puzzles.
DEFICIT
Genre : Immersive sim / infiltration
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam
Item42 (Perish) continue d’en montrer un peu plus sur son prochain jeu, annoncé comme un immersive sim. Cette dernière vidéo présente les différentes options offensives dont le joueur pourra faire usage : armes à feu, armes de mêlée, éléments de décor à jeter sur ses adversaires, mines… Rien de révolutionnaire, mais si c’est plaisant à jouer, pourquoi pas ?
Mala Petaka
Genre : Rétro-FPS
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam et démo
Lui aussi développé sous GZDoom, ce rétro-FPS haut en couleur nous fera traverser différents univers pour dégommer aliens et autres robots peu amiables. En développement depuis plus de trois ans, Mala Petaka sortira en 1.0 le 25 septembre.
Delusion Out Of Space
Genre : Horreur
Fiche du jeu sur NoFrag // Page Steam
Un jeu d’action / horreur inspiré par Lovecraft, d’après les dires du développeur. À la vue du trailer, on comprend qu’on devra s’échapper d’un vaisseau extraterrestre plein de néons bleus, en marchant à deux à l’heure avec un headbob à donner le mal de mer. Sans oublier le framerate à 10 FPS dès qu’il faudra tirer sur deux ou trois bestioles moches en reculant. Fascinant.
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En route pour la version finale de Witchfire avec The Reckoning
Après la mise à jour Webgrave, qui avait déjà bien secoué les fondations du jeu avec l’arrivée de Velmorne, de nouvelles armes et un système de progression plus orienté RPG, The Astronauts dévoile enfin la roadmap vers la version finale de Witchfire.
Trois mises à jour sont encore dans les cartons. La prochaine, baptisée The Reckoning et prévue pour le mois de décembre, promet de finaliser les mécaniques de gameplay. Au programme : armes de mêlée (et bonne nouvelle, elles ne remplacent pas les flingues), système d’extraction 2.0 pour les gnosis élevés, défis extrêmes appelés Banes, et des retouches sur l’Alchimie, la Sanité, l’Arcane et les Prophéties.
Le studio montre qu’il est bien conscient que la sortie de l’early access se prépare pas à la va-vite. L’équipe explique être passée de l’étape de production à la finalisation, et préfère ne pas s’engager pour le moment sur une date de sortie, les deux dernières mises à jour étant simplement datées à 2026. L’objectif est clair : éviter les faux départs et livrer une version 1.0 à la hauteur de la qualité actuelle du jeu en early access.
Côté communauté, l’engouement ne semble pas faiblir à l’heure actuelle. Le subreddit a explosé ses statistiques en août, et les retours sur Webgrave ont été massifs. Pourtant, le débat sur la difficulté reste ouvert : certains veulent plus de challenge, d’autres trouvent déjà le jeu bien corsé. À la rédac, on trouve la difficulté très bien dosée, surfant à la limite de la frustration pour procurer le maximum de plaisir lors d’un run réussi. Mais on est évidemment un peu biaisés, alors n’hésitez pas à nous dire ce que vous en pensez.
En attendant la version finale, Witchfire continue de se tailler une place solide dans le paysage des FPS solo. Si vous n’avez pas encore succombé, l’accès anticipé est disponible sur Steam et l’Epic Games Store à 40 €.