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Reçu aujourd’hui — 9 décembre 2025 7.1 📜 Résumé - Tech.

Sharkoon SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2 : le clavier mécanique océanique qui transforme votre setup

9 décembre 2025 à 16:31

Après le boîtier micro-ATX J1000 ARVB, Sharkoon dévoile le clavier SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2, une édition spéciale au design océanique, pensée pour apporter une touche fraîche et premium aux bureaux gaming. Avec ses keycaps PBT résistants, son tapis de souris assorti et sa structure 75 % compacte, le clavier vise autant l’esthétique que l’efficacité.

Sharkoon SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2 tapis
Sharkoon SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2 océan

Un design océanique premium avec keycaps PBT durables

Le SGK50 S3 Ultimate Rev2 adopte des keycaps PBT en dye-sub (teinture sous PBT), particulièrement résistants à l’usure, aux UV et aux empreintes digitales. Le motif océanique affiche une finition mate durable, parfaite pour conserver la fraîcheur du setup sur le long terme. Sharkoon inclut également un tapis de souris assorti, offrant une cohérence visuelle immédiate.

Switches Sharkoon : une frappe linéaire fluide et réactive

Le clavier embarque des switches mécaniques Sharkoon linéaires, développés pour offrir une sensation de frappe fluide et linéaire. Ils conviennent tant aux joueurs rapides qu’aux utilisateurs cherchant une frappe agréable et régulière.

Sharkoon SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2 switches
Sharkoon SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2 touches

Hot-swap universel pour une personnalisation totale

Grâce à son PCB hot-swap, le SGK50 S3 Ultimate Rev2 permet de remplacer les switches en un instant, sans soudure. Compatible avec la majorité des switches 3 pins et 5 pins, il offre une liberté totale pour ajuster la sensation de frappe à son style personnel.

Acoustique optimisée pour une frappe douce et harmonieuse

Sharkoon a porté une attention particulière au confort sonore. Le clavier intègre :

  • Une plaque interne en polycarbonate absorbant les vibrations,
  • Un double amortissement en silicone pour un son feutré,
  • Des stabilisateurs pré-lubrifiés.

Résultat : une acoustique douce, maîtrisée et premium, digne des claviers custom.

Sharkoon SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2 accoustique
Sharkoon SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2 hotswap

Un format compact 75 % pour maximiser l’espace

Avec une disposition 75 %, le SGK50 S3 Ultimate Rev2 conserve les touches essentielles tout en libérant de la place sur le bureau. Ce format compact met davantage en valeur le design océanique et offre plus d’espace pour les mouvements de souris.

Prix et disponibilité

Le Sharkoon SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2 est déjà disponible au prix conseillé de 99,90 €.

Des chercheurs créent un écran que l'on peut voir et toucher grâce à la lumière

9 décembre 2025 à 16:10
ecran pixels

Des chercheurs de l'UC Santa Barbara ont développé une technologie d'affichage inédite. Grâce à des pixels qui se déforment sous l'effet de la lumière, il est désormais possible de voir et de sentir physiquement des graphiques dynamiques. Cette avancée, sans aucun câblage interne, ouvre la voie à des interfaces radicalement nouvelles pour l'automobile ou les livres électroniques.

Infomaniak, nouvel acteur sur la scène des chatbots avec Euria

9 décembre 2025 à 16:17
« L’Europe doit investir »
Infomaniak, nouvel acteur sur la scène des chatbots avec Euria

Infomaniak vient de lancer son IA maison. L’entreprise suisse insiste particulièrement sur la dimension souveraine, sécurisée et autonome de son infrastructure, ainsi que sur la récupération de la chaleur générée pour chauffer des logements à Genève.

Infomaniak se présente comme un nouvel acteur dans la cour rapidement grandissante des fournisseurs de solutions IA. Le produit se nomme Euria, un chabot qui entre en concurrence directe avec ChatGPT, Claude et autre Mistral. Le nom est d’ailleurs l’acronyme de « Éthique, Universelle, Responsable, Indépendante et Autonome ». Après un lancement discret en juin dans kDrive, le chatbot prend ses aises.

Un modèle freemium et une tarification agressive

Le nouveau service est disponible via une page web, ou par l’application mobile sur Android et iOS. Comme souvent avec les chatbots, on trouve une version gratuite pour répondre aux questions, bloquée une fois un palier atteint (ce point n’est pas clairement précisé). Après quoi, il faudra l’une des formules payantes de la kSuite (à partir de 19 euros par an).

On note d’ailleurs qu’Infomaniak n’a pas créé de formule payante spécifique pour son nouveau service. On peut en outre utiliser Euria sans créer de compte, mais le chatbot en réclamera rapidement un après quelques requêtes (trois dans notre cas). On note dans l’ensemble des réponses assez rapides.

Euria est multimodal. Les demandes peuvent être faites textuellement ou par la voix, on peut lui envoyer des documents et autres fichiers, lui demander des transcriptions audio, d’interpréter des tableaux et autres graphiques, de lancer des recherches sur le web ou encore des raisonnements plus complexes. Infomaniak explique que le raisonnement et la recherche web sont utilisés automatiquement en fonction du contexte, mais on peut forcer la recherche en la demandant explicitement au chatbot. Des évolutions sont déjà prévues, dont la génération d’images, des agents et de la mémoire pour le contexte.

Infomaniak promet le respect des données

Côté sécurité et confidentialité, Infomaniak assure que des chiffrements sont appliqués « à toutes les étapes ». Il faut comprendre pendant le transport et au repos, mais Infomaniak peut accéder aux données sur ses serveurs. Point important, l’entreprise ajoute que les données traitées ne sont jamais utilisées « pour entraîner des modèles d’intelligence artificielle, établir des profils ou alimenter des systèmes tiers ».

Un mode éphémère est proposé pour aller plus loin, l’entreprise assurant alors qu’aucune trace n’est laissée et que rien ne peut être récupéré, y compris par Infomaniak. Tous les traitements ont lieu dans le datacenter D4 situé en Suisse, inauguré en début d’année.

Des modèles open source

Infomaniak n’a cependant pas développé de modèle maison. À la place, l’entreprise se sert de plusieurs modèles open source. Si l’annonce n’en parle pas, l’entreprise nous a répondu, par la voix de Thomas Jacobsen, son responsable communication et marketing : elle se sert de Mistral (nous avons demandé des précisions sur le modèle) et Qwen3 (Alibaba) pour la partie texte, et de Whisper d’OpenAI pour l’audio.

« Notre stack évolue en permanence afin d’intégrer les meilleurs modèles open source disponibles au moment où ils deviennent pertinents. Nous contribuons et suivons de près l’évolution d’Apertus, et nous étudions déjà la possibilité d’adopter le prochain modèle de Mistral. Dans nos choix technologiques, l’impact écologique joue également un rôle essentiel : nous cherchons systématiquement le meilleur compromis entre performance et consommation de ressources »

Infomaniak en profite pour lancer un cri d’alarme à ce sujet : « À ce jour, aucun des modèles les plus performants n’est européen. Ce constat doit nous interpeller : l’Europe doit investir pour rattraper son retard et bâtir ses propres modèles d’IA souverains, éthiques et neutres en carbone. Plus les utilisateurs choisiront des acteurs locaux, plus nous aurons les moyens de construire cette indépendance technologique », a déclaré Marc Oehler, CEO d’Infomaniak.

Enfin, Infomaniak met en avant l’aspect écologique de son datacenter, utilisé par Euria, dont la chaleur est récupérée et réinjectée dans le réseau de chauffage urbain. L’objectif est d’atteindre la pleine puissance en 2028 et alors de chauffer jusqu’à 6 000 logements à Genève en hiver, de fournir jusqu’à 20 000 douches chaudes par jour et ainsi d’éviter la combustion de 3 600 tonnes de CO₂ en gaz naturel.

Citroën crée le Combi français : il a 6 places, un volant central, et Decathlon à bord

9 décembre 2025 à 15:48
Citroen Elo Combi 6 Places Concept

Le concept présenté ce mardi 9 décembre est censé signer le renouvellement de Citroën, après un changement de l'équipe de direction et de la stratégie. Plus petit qu’une C3, la Citroën ELO embarque 6 places et des équipements signés Decathlon. Entre un Combi et un Multipla, il signe le retour du format monospace et de la philosophie du Combi.

☕️ Bruxelles soupçonne Google de pratiques anticoncurrentielles concernant l’IA

9 décembre 2025 à 15:33

La Commission européenne a ouvert une enquête sur les pratiques de Google sur le marché de l’IA qui pourraient être considérées comme anticoncurrentielles.

Dans un communiqué publié sur son site, elle explique que « l’enquête examinera notamment si Google fausse la concurrence en imposant des conditions générales abusives aux éditeurs et aux créateurs de contenu, ou en s’octroyant un accès privilégié à ce contenu, désavantageant ainsi les développeurs de modèles d’IA concurrents ».

Sont notamment concernés les résumés d’AI Overviews (accessibles dans de nombreux pays, notamment européens, mais pas en France) et l’utilisation des vidéos postées sur YouTube.

La Commission pointe le fait que Google se sert de contenus publiés sur le web pour son service AI Overviews et pour le mode IA de son moteur de recherche « sans rémunération appropriée pour les éditeurs et sans leur offrir la possibilité de refuser une telle utilisation de leurs contenus ». Elle explique qu’elle va enquêter pour déterminer dans quelle mesure ces outils de Google s’appuient sur ces contenus.

En juillet dernier, le réseau nommé « Alliance internationale des éditeurs indépendants » portait plainte devant la Commission contre Google pour ces mêmes raisons.

Mais la Commission va aussi chercher à savoir si Google utilise les vidéos uploadées par les utilisateurs de YouTube pour entrainer ses modèles d’IA sans leur consentement et sans compensation.

« Google ne rémunère pas les créateurs de contenu YouTube pour leur contenu et ne leur permet pas non plus de télécharger leur contenu sur YouTube sans autoriser Google à utiliser ces données. Parallèlement, les développeurs concurrents de modèles d’IA sont empêchés par les politiques de YouTube d’utiliser le contenu YouTube pour entraîner leurs propres modèles d’IA », affirme l’institution.

« Si elles sont avérées, les pratiques faisant l’objet de l’enquête pourraient enfreindre les règles de concurrence de l’UE qui interdisent l’abus de position dominante », prévient Bruxelles.

« Une société libre et démocratique repose sur la diversité des médias, le libre accès à l’information et un paysage créatif dynamique. Ces valeurs sont au cœur de notre identité européenne », affirme Teresa Ribera, commissaire européenne à la Concurrence. « L’IA apporte des innovations remarquables et de nombreux avantages aux citoyens et aux entreprises à travers l’Europe, mais ces progrès ne peuvent se faire au détriment des principes qui sont au cœur de nos sociétés », ajoute-t-elle.

Se prononçant sur la plainte des éditeurs, Google affirmait à Reuters que celle-ci « risque d’étouffer l’innovation dans un marché plus concurrentiel que jamais ». C’est toujours la même excuse servie par les géants américains quand il s’agit de régulation européenne.

« Google a rompu le pacte qui sous-tend l’Internet. L’accord prévoyait que les sites web seraient indexés, récupérés et affichés lorsqu’ils étaient pertinents par rapport à une requête. Tout le monde avait sa chance », proclame de son côté Tim Cowen, l’avocat des éditeurs, à l’agence de presse. « Aujourd’hui, Google donne la priorité à son IA Gemini et ajoute l’insulte à l’injure en exploitant le contenu des sites web pour entraîner Gemini. Gemini est le jumeau maléfique de Search », ajoute-t-il.

« Ça fait des années qu’on dit m**** à Spotify », ils suppriment leur musique de la plateforme et sont remplacés par un clone IA

9 décembre 2025 à 15:26

En signe de protestation contre l'investissement du PDG de Spotify dans une entreprise de défense militaire spécialisée dans l'IA, les membres du groupe de rock australien King Gizzard & the Lizard Wizard ont décidé de retirer leur catalogue de la plateforme. Quelques mois après cette décision, un clone IA de leur musique enregistrait des dizaines de milliers d'écoutes.

« Biosphère marine » : c’est quoi ce nouveau projet à 1 milliard de Jeff Bezos ?

9 décembre 2025 à 15:00
Bezos Fonds Mer

Le fonds de Jeff Bezos, le Bezos Earth Fund, débloque encore un financement pour la protection de l’environnement. Objectif : créer la première biosphère marine transfrontalière au monde, reliant les aires protégées de quatre pays pour sécuriser les routes migratoires et restaurer les habitats côtiers.

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