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Sud Ouest
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Sud Ouest
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Kim Yong-nam, ancien chef d’État de la Corée du Nord, est mort à 97 ans
		
	
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Sud Ouest
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Israël : en 1995, l’assassinat du Premier ministre Yitzhak Rabin
Tirs nord-coréens avant la visite de Pete Hegseth à la frontière des deux Corées
		
	
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Sud Ouest
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Anne-Marie Slaughter, ancienne diplomate : « Quel avenir pour le multilatéralisme ? »

© « Le Monde »
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Bfm
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Bfm
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Le Figaro
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© Tom Williams/CQ-Roll Call/Sipa USA
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Le Télégramme
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Comment le Maroc a gagné à l’ONU la bataille du Sahara occidental

© ABU ADEM MUHAMMED / Anadolu via AFP
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Le Figaro
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© Mike Segar / REUTERS
Décès de l’ancien chef de l’État nord-coréen Kim Yong Nam à 97 ans

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Le Monde
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© - / AFP
ÉDITO - Zohran Mamdani, le favori pour la mairie de New York
Ukraine: la Russie poursuit sa progression et menace avant tout la région de Donetsk
		
	
Face à Recep Tayyip Erdogan, l’Europe ne doit pas trahir les démocrates turcs
En Ukraine, à Gaza, en Afrique du Nord, dans le Caucase… Le président turc Recep Tayyip Erdogan se mobilise sur tous les points chauds du moment. À chaque fois, il réussit à mettre un pied dans la porte. Ce rôle géopolitique unique explique son retour en grâce en Europe, alors même qu’il poursuit sans frein sa dérive antidémocratique. A l’exception de la Grèce et de Chypre, les dirigeants européens semblent s’accommoder désormais de son autoritarisme.
Tous se découvrent une nouvelle camaraderie avec le néosultan. "On est réconciliés, maintenant", s’est exclamé Emmanuel Macron en claquant la bise sur les deux joues de son homologue turc, lors du sommet sur Gaza à la mi-octobre en Egypte. Le chancelier Friedrich Merz a été un cran plus loin la semaine dernière à Ankara, où il a affiché son désir "de continuer à ouvrir la voie [de la Turquie] vers l’Europe". Il n’a pas exclu que le pays puisse se voir octroyer un accès à l’instrument financier Security action for Europe (Safe), mis en place par l’UE pour accélérer le réarmement européen. Le chef du gouvernement allemand a été précédé dans la capitale turque par son homologue britannique, Keir Starmer, qui a confirmé la vente de 20 avions de combat Eurofighter Typhoon.
Stratégiquement placé entre l’Union européenne et l’Asie, l’éternel candidat à l’adhésion à l’UE et membre éminent de l’Otan - le sommet annuel de l'organisation se tiendra en juillet prochain à Ankara - intéresse les Européens à plusieurs titres. L’immigration, d’abord. La Turquie garde la frontière sud-est du continent en échange d’une aide substantielle de Bruxelles et elle s’acquitte de sa tâche avec efficacité. Selon l’agence Frontex, les entrées irrégulières dans l’UE en provenance de Méditerranée orientale ont chuté de 22 % sur les neuf premiers mois de l’année.
La sécurité, ensuite. Le désintérêt croissant de l’Amérique pour le Vieux Continent, combiné à la guerre d’Ukraine, a remis au premier plan la nécessité d’une défense forte de l’Europe. Or l’armée turque, même si son budget de défense est inférieur à celui des principaux pays européens, est la deuxième de l’Otan par le nombre de soldats, après l’armée américaine. Et l’industrie de défense turque est performante. Elle est même en pointe dans la fabrication de drones de combat.
L’influence, aussi. Erdogan est l’un des rares à parler à la fois avec Poutine et Zelensky, ce qui le rend incontournable dans les discussions sur un règlement du conflit russo-ukrainien. Au Proche-Orient, sa proximité avec le Hamas palestinien lui a permis de peser dans l’instauration d’un cessez-le-feu à Gaza. L’affaiblissement de l’Iran et l’installation d’un pouvoir islamiste à Damas l'an dernier ont renforcé sa main dans la région.
Erdogan sait se rendre indispensable
À ces facteurs, il faut ajouter la nombreuse diaspora turque en Europe occidentale, surtout en Allemagne mais aussi en France, aux Pays-Bas, en Belgique et en Autriche. Elle fournit un levier qu'Ankara n'hésite pas à actionner. Enfin, la Turquie est le cinquième plus grand partenaire commercial de l’Union européenne, avec des échanges d’un montant record de 210 milliards d’euros l’an dernier.
Erdogan sait se rendre indispensable. Résultat, les Européens ne critiquent plus qu’à voix basse la répression de son opposition, qu’il poursuit sans discontinuer. Son principal rival, le populaire maire d’Istanbul Ekrem Imamoglu, est embastillé depuis mars dernier pour des motifs fabriqués et une nouvelle inculpation "d’espionnage" vient d’y être ajoutée. L’objectif ? Empêcher Imamoglu de se présenter lors de la prochaine élection présidentielle, prévue en 2028 mais qui pourrait être anticipée. Et Erdogan confirme par là même son intention de briguer un troisième mandat, alors que la Constitution turque en limite le nombre à deux.
En ces temps troublés, l’Europe a besoin de la Turquie et vice versa. Mais il ne faudrait pas que le rapprochement aboutisse à passer la démocratie turque par pertes et profits. Lors de sa visite à Ankara, le chancelier Merz a eu raison d’appeler au respect des "principes de Copenhague", c’est-à-dire des valeurs démocratiques de l’UE. Le Parti républicain du peuple (CHP), formation d’opposition laïque et sociale-démocrate, a emporté les élections locales l’an dernier avec 38 % des suffrages. Sa vitalité montre que malgré l'étouffoir imposé par Erdogan, le peuple turc aspire, avec courage, à un autre modèle que l’autocratie islamiste. Le rôle de l’Europe est de l’aider à y parvenir.

© afp.com/Ramon van Flymen
Lula VS Trump : le Brésil en quête d’indépendance
Un président qui n’est pas reconduit pour un deuxième mandat et qui conteste les résultats des élections. Ses partisans qui se donnent rendez-vous sur les réseaux sociaux et s’introduisent violemment dans des lieux de pouvoir. Le tout, dans un grand pays du continent américain.
A ces mots, chers auditeurs, vous avez certainement les images des émeutes du Capitole en 2021 qui vous viennent à l‘esprit. Mais un scénario similaire s’est répété le 8 janvier 2023, après la défaite du président Jair Bolsonaro au Brésil et la victoire de son adversaire Lula.
Habillés en jaune et vert, aux couleurs du drapeau brésilien, les bolsonaristes forcent ce jour-là les barrières de sécurité pour atteindre la place des Trois pouvoirs. La Cour suprême, le congrès et même le Palais présidentiel. Ces trois hauts lieux de la politique brésilienne sont pris d’assaut.
Pendant trois heures, les manifestants cassent les vitres, aspergent les murs de peintures blanches et de slogans anti-Lula, saccagent le mobilier. Le congrès est même inondé après l’activation d’un système anti-incendie. Les émeutiers réclament l’aide de l’armée pour empêcher Lula de reprendre le pouvoir. Mais dans la soirée, le nouveau président parvient à reprendre le contrôle de la situation : les forces de l’ordre évacuent les lieux et plus de 300 personnes sont interpellées.
Le chef d’Etat américain de l’époque, Joe Biden apporte alors tout son soutien à Lula. Mais avec le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, les relations de Washington avec ce dirigeant de gauche risquent d’être moins cordiales. Car les deux hommes semblent s’opposer sur tous les plans.
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Cet épisode a été écrit et présenté par Solène Alifat et réalisé par Jules Krot.
Crédits : Le Monde, Le Figaro
Musique et habillage : Emmanuel Herschon/Studio Torrent
Logo : Jérémy Cambour
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Pour aller plus loin :
Venezuela : la crise qui remet en cause le leadership de Lula
Entre Donald Trump et Hugo Chavez, de troublantes similitudes
Donald Trump II, jour 1 : comment il a dessiné les contours de l’Amérique qui vient

© afp.com/Ludovic MARIN
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 - Municipale à New York : pourquoi La France insoumise se passionne pour le favori, le « communiste » Mamdani