Le président américain a signé jeudi soir un décret listant le nouveau montant des surtaxes qui viseront des dizaines de pays dans le monde, dont ceux de l’UE. Ces taxes sur les importations prendront
Les frappes russes sur Kiev ont fait au moins vingt-six morts ont annoncé les autorités, alors que Moscou revendiquait la prise d’une ville qui avait été un bastion clé de l’armée ukrainienne dans l’est
Les députés du Salvador ont adopté jeudi une réforme constitutionnelle abolissant la limite du nombre de mandats présidentiels. De quoi permettre à Nayib Bukele, au pouvoir depuis 2019, de se représenter indéfiniment.
« Exils » (1/30). Rafik avait 12 ans quand il a quitté son Oran natal de manière inattendue. C’était il y a trente et un ans. Accepter cette nouvelle vie lui a pris du temps.
Le 2 juillet 1985, un train quittait la gare de Conflans-Sainte-Honorine dans une atmosphère de fête, destination Pékin. A bord, près de 400 Français de tous horizons, âgés de 15 à 25 ans, s’apprêtent à franchir le rideau de fer et à traverser les dictatures du bloc de l’Est. Dans les wagons, l’ambiance tourne vite à la colonie de vacances et au happening permanent. Cette formidable expédition raconte l’euphorie des années 1980 et la tentative d’ouverture d’une Chine alors en pleine mutation, qui a brutalement clos ce chapitre, quatre ans plus tard, sur la place Tiananmen.
Lors du départ du train à destination de Pékin, sur le quai de la gare de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), le 2 juillet 1985. De gauche à droite, l’initiateur du projet, Claude Quenault, le maire de la ville, Michel Rocard, et le ministre de la jeunesse et des sports, Alain Calmat, entourés de comédiens du Théâtre de l’Unité.
François Cornut-Gentille, ex-député (Les Républicains) spécialiste des questions militaires, estime, dans une tribune au « Monde », que sur la perception des nouvelles menaces militaires et sur les efforts financiers à fournir, la France se berce d’illusions.
Les Etats-Unis avaient laissé jusqu’au 1ᵉʳ août à près de 80 pays pour négocier des accords commerciaux, sans quoi ils se verraient imposer des droits de douane pouvant aller jusqu’à 50 %. La première économie mondiale prend un virage protectionniste fort tandis que, dans le reste du monde, les échanges se régionalisent.
Donald Trump lors de sa visite de l’usine Mon Valley Works-Irvin de la société U.S. Steel Corporation, à West Mifflin (Pennsylvanie), aux Etats-Unis, le 30 mai 2025.
Près de quatre mois après avoir été annoncés par Donald Trump, les droits de douane qu’il qualifie de « réciproques » doivent entrer en vigueur ce vendredi 1er août, avec, à la clé, une forte hausse pour la plupart des produits entrant aux États-Unis. À une (très grosse) nuance près, les accords n’ont pas encore été approuvés par les États visés…
Le président américain assure que les droits de douane vont convaincre plus d’entreprises européennes et japonaises à construire des usines sur le sol américain. Mais en raison de la forte automatisation des chaînes de production, il est peu probable qu’elles créent beaucoup d’emplois.
Donald Trump lors de sa visite de l’usine Mon Valley Works-Irvin de la société US Steel, à West Mifflin (Pennsylvanie), aux Etats-Unis, le 30 mai 2025.
Le président américain a signé, jeudi, comme prévu, le décret imposant une hausse des taxes douanières à la plupart des partenaires commerciaux des Etats-Unis. Si plusieurs accords, dont celui avec l’Union européenne, ont été trouvés jusque-là, le Canada, la Suisse, le Brésil et l’Inde ont été sanctionnés par une forte hausse de taux.
Le document, publié le 29 juillet, expose les arguments qui ont conduit l’administration Trump à revenir, mardi, sur une décision clé datant de 2009 pour la régulation des émissions de gaz à effet de serre, mettant encore un peu plus à mal la lutte contre le changement climatique aux Etats-Unis.