« La vie cachée des plantes ». Pour se protéger d’un ravageur, le pin sylvestre assure à son espèce une sorte d’« immunité collective » grâce à une modification de ses signaux chimiques d’alerte.
À la pointe de la robotique, les équipes du Joint robotics laboratory (JRL), au Japon, ont récemment travaillé sur Friends, un robot humanoïde d’aide à la personne. Aussi efficace en autonomie que piloté par un opérateur, il est capable de passer d’un état à l’autre en moins de deux secondes. Retour sur cette prouesse avec Guillaume Caron, directeur-adjoint du JRL.
D’un paresseux de 4 tonnes à un serpent de 15 mètres, en passant par l’incontournable mammouth, une mégafaune préhistorique aux corps imposants est reconstituée au Muséum d’histoire naturelle.
Pas d’eau, des graines plus dures, des becs plus épais, des chants moins virtuoses : une équipe américaine a montré comment l’environnement pouvait conditionner l’évolution de ces petits passereaux.
Dans le paysage académique mondial, l’Afrique est marginalisée. La faible indexation des revues scientifiques continentales rend le travail des chercheurs peu accessible.
Les doctorants travaillent à l’Unité de recherche en ingénierie culturelle et en anthropologie, dirigée par le professeur Ibrahima Thiaw, à l’université Cheikh Anta Diop, à Dakar, le 10 septembre.
Dans le projet de loi de finance 2025, les crédits de la recherche et de l’enseignement supérieur sont épargnés, mais le contraste avec la priorité accordée à la haute fonction publique et les entreprises demeure, observe Philippe Askenazy dans sa chronique.
Des chercheurs ont suivi une démarche méthodologique héritée de la biologie évolutive pour proposer une nouvelle classification des pâtes fourrées. La diversité des recettes se traduit par de nombreuses variations sur un même thème, explique Alice Lebreton dans sa carte blanche au « Monde ».
A la Maison de la danse de Lyon, un projet chorégraphique accompagne la prise en charge de jeunes de 18 à 25 ans, suivis après un premier épisode psychotique.
« Partitions d’instincts », spectacle du chorégraphe Louis Combeaud, avec des jeunes suivis au Centre hospitalier Le Vinatier. A la Maison de la danse de Lyon, le 29 mai 2024.
A la croisée de dynamiques militaire, politique et industrielle, les programmes spatiaux des entreprises privées SpaceX ou Blue Origin véhiculent un imaginaire inspiré des œuvres de science-fiction.
Une délégation de ce peuple autochtone est venue à Paris, du 6 au 12 octobre, pour examiner des parures et objets cérémoniels qui furent collectés en 1935 et 1936, dans le Mato Grosso, par l’anthropologue français et sa première épouse. Leur objectif : « réveiller » leur culture « endormie par la colonisation ».
La cheffe du village Neiva Aroereaudo, du clan Bokodori Ecerae Cobugiwu, examine une épingle marquée aux éléments de son clan, au Musée du Quai Branly, à Paris, le 9 octobre.
Un collectif composé d’associations, de professionnels et d’acteurs de la santé exhorte, dans une tribune au « Monde », les décideurs publics à une meilleure prise en charge des patients atteints de cancers étendus à plusieurs organes.
Trente ans après sa découverte, une exposition à la Cité des sciences et de l’industrie, à Paris, met en lumière « l’aventure scientifique » derrière la grotte Chauvet. Carole Fritz, commissaire de l'exposition, en retrace pour nous les grandes lignes.
Pour la première fois, SpaceX a réussi à rattraper en vol une partie de sa méga-fusée, ce qui permettrait à terme de faire des économies sur ses prochains voyages.
Un lanceur de fusées a été récupéré sur son pas de tir pour la première fois de la conquête spatiale, dimanche 13 octobre. C'est l'entreprise SpaceX d'Elon Musk qui est parvenue à cette prouesse.
L’agence spatiale américaine a lancé lundi une mission pour explorer cette lune jovienne, qui pourrait abriter un océan et des gaz indispensables à la vie. La sonde devrait atteindre l’orbite de la planète géante en 2030.
En 1916, Albert Einstein prédisait l’existence de ces témoins de la déformation de l’espace-temps. Cent ans plus tard, et après quatre campagnes de détection menées depuis neuf ans, environ 250 ondes gravitationnelles ont déjà été détectées. Retour sur les origines de cette découverte qui suscite l’enthousiasme des astrophysiciens.
Instrumentation utilisée pour détecter le signal d’ondes gravitationnelles et contrôler l’interféromètre Virgo, à Cascina près de Pise, en Italie, le 12 janvier 2016.
Le détecteur constitué de trois satellites espacés de 2,5 millions de kilomètres les uns des autres devrait s’envoler en 2035. Il captera notamment des fréquences bien plus basses que ses homologues terrestres.
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