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© MIGUEL MEDINA/AFP
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Les devoirs de l’extrême droite victorieuse au Chili

© Pablo Sanhueza / REUTERS
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Automobile : après General Motors, Ford réduit la voilure sur l’électrique

© SCOTT OLSON/GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP
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© FRANÇOIS LO PRESTI / AFP
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- Trinité-et-Tobago, cette île minuscule au rôle crucial dans le conflit entre Donald Trump et Nicolas Maduro
Trinité-et-Tobago, cette île minuscule au rôle crucial dans le conflit entre Donald Trump et Nicolas Maduro
Petite république insulaire posée aux portes du Venezuela, Trinité-et-Tobago s’impose depuis plusieurs mois comme un allié assumé de Donald Trump dans les Caraïbes. De quoi érafler durablement ses relations avec Caracas. Dernier épisode en date : l’archipel a été accusé, lundi 15 décembre, par le Venezuela, d’avoir participé à la saisie par les Etats-Unis d’un pétrolier transportant du brut vénézuélien, une première dans l’escalade entre Washington et le pouvoir de Nicolas Maduro.
L’opération, impliquant des hélicoptères et des soldats américains descendus en rappel sur le pont du navire, a été dénoncée par Caracas comme un "acte de piraterie internationale". Trinité-et-Tobago a immédiatement rejeté toute implication directe. La Première ministre Kamla Persad-Bissessar, élue en mai dernier et proche de Donald Trump, a affirmé ne pas être "perturbée" par les accusations, invitant les autorités vénézuéliennes à "adresser leurs plaintes au président Trump", selon des déclarations transmises à l’AFP.
Dans la foulée, Port-d’Espagne a toutefois autorisé les Etats-Unis à utiliser ses aéroports "pour les semaines à venir" pour des opérations de nature logistique, alimentant la colère de Caracas. Depuis août, Washington a renforcé sa présence militaire dans les Caraïbes, officiellement pour lutter contre le narcotrafic. Le Venezuela y voit une stratégie de pression visant à affaiblir le régime Maduro et à contrôler ses immenses ressources pétrolières.
Une position stratégique
En réponse, le gouvernement vénézuélien a annoncé la suspension immédiate de tous les contrats et négociations liés à l’approvisionnement en gaz naturel de Trinité-et-Tobago, prolongeant une rupture amorcée dès la fin octobre. Une décision lourde de conséquences pour l’archipel, historiquement dépendant de la coopération énergétique avec son voisin.
De taille modeste — 1,4 million d’habitants et une armée de moins de 6 000 soldats — Trinité-et-Tobago est située à une dizaine de kilomètres seulement des côtes vénézuéliennes. Fin octobre, l’archipel a accueilli le navire de guerre américain USS Gravely, tandis qu’un contingent de Marines a mené des manœuvres du 16 au 21 novembre. Après avoir nié leur présence, la Première ministre a reconnu que plus de 100 Marines travaillaient sur des infrastructures aéroportuaires et de surveillance.
Le rapprochement avec Washington est assumé. Kamla Persad-Bissessar n’a cessé de multiplier les déclarations hostiles au pouvoir vénézuélien, tout en assurant que les États-Unis n’utilisent pas le territoire trinidadien pour lancer des attaques contre Caracas. Son discours sécuritaire, très aligné sur celui de Donald Trump, s’inscrit à la fois dans une stratégie de lutte contre le crime organisé et dans un opportunisme économique assumé. En septembre dernier, la septuagénaire appelait sans détour l’armée américaine à "tuer violemment" les trafiquants, dans un message publié le 2 septembre sur son compte WhatsApp, selon Le Monde.
Une alliance critiquée
Pour les Etats-Unis, Trinité-et-Tobago représente un point d’appui stratégique, dans un contexte de regain d’influence américaine en Amérique latine. La visite, fin novembre, du chef d’état-major américain Dan Caine à Port-d’Espagne — une première pour un responsable militaire de ce rang — a confirmé l’importance de l’archipel dans la campagne américaine dans les Caraïbes. Washington a également installé un radar sur le nouvel aéroport de Tobago, renforçant ses capacités de surveillance régionale.
Mais cette alliance étroite ne va pas sans risques. A Caracas, le ministre de l’Intérieur Diosdado Cabello accuse la Première ministre trinidadienne de "mettre en danger les relations bilatérales" et la sécurité de sa population. Des voix plus nuancées s’élèvent toutefois dans la région. Pour l’expert en sécurité Garvin Heerah, cité par The Hill, "le Venezuela restera notre voisin", notamment en matière de pétrole et de gaz. Dans le pays même, la ligne dure du gouvernement divise : la presse et une partie de la société civile dénoncent une perte de souveraineté et un alignement excessif sur Washington. En septembre, le Trinidad and Tobago Newsday tranchait : "Kamla roule pour Trump".

© afp.com/MARTIN BERNETTI
Un enfant tué au couteau par un autre élève dans une école près de Moscou
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7.4.2 📰 Infos Monde
- Guerre en Ukraine : la Russie affirme avoir le "contrôle" de la ville de Koupiansk
Guerre en Ukraine : la Russie affirme avoir le "contrôle" de la ville de Koupiansk
Volodymyr Zelensky s'est félicité lundi 15 décembre de "progrès" dans les négociations avec les Etats-Unis pour mettre fin à la guerre avec la Russie, les Européens avançant de leur côté la proposition d'une force multinationale pour garantir la paix en Ukraine. Donald Trump s'est lui montré très optimiste, après s'être entretenu avec le président ukrainien et plusieurs dirigeants européens. Dans le même temps, la Russie a affirmé avoir le "contrôle" de Koupiansk, ville-clé du nord-est de l'Ukraine, où les forces ukrainiennes ont revendiqué récemment la reprise de plusieurs quartiers à l'armée russe.
Les infos à retenir
⇒ La Russie affirme avoir le "contrôle" de la ville de Koupiansk
⇒ La France réclame des garanties "robustes" pour Kiev avant toute discussion territoriale
⇒ Washington promet des garanties de sécurité "très fortes" à l'Ukraine
La Russie affirme avoir le "contrôle" de la ville de Koupiansk
La Russie a affirmé mardi 16 décembre avoir le "contrôle" de Koupiansk, ville-clé du nord-est de l'Ukraine, où les forces ukrainiennes ont revendiqué récemment la reprise de plusieurs quartiers à l'armée russe. "La ville de Koupiansk est sous contrôle de la 6e armée russe", a déclaré à l'agence officielle russe TASS Léonide Charov, porte-parole du groupement militaire russe Zapad, déployé dans cette zone.
Cette annonce intervient alors que le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est félicité lundi de "progrès" dans les négociations avec les Etats-Unis pour mettre fin à la guerre avec la Russie, les Européens avançant de leur côté la proposition d'une force multinationale pour garantir la paix en Ukraine.
La Russie avait affirmé avoir capturé Koupiansk en novembre, l'Ukraine assurant ensuite en avoir repris plusieurs quartiers. De "petits groupes" de soldats ukrainiens tentent "tous les jours" de pénétrer dans Koupiansk, a reconnu Léonide Charov, tout en insistant que "tous les quartiers sont sous contrôle des forces russes".
Volodymyr Zelensky avait déclaré vendredi avoir rendu visite aux troupes dans la zone de Koupiansk, dans une vidéo publiée après l'annonce par Kiev de la reprise de deux localités proches et de plusieurs quartiers de cette ville clé du nord-est de l'Ukraine. Sa visite est intervenue peu après une annonce par les forces ukrainiennes d'une "percée" dans la zone de Koupiansk, le noeud ferroviaire clé de la région de Kharkiv.
La France réclame des garanties "robustes" pour Kiev avant toute discussion territoriale
La France a de nouveau réclamé l'établissement de "garanties de sécurité robustes" pour Kiev avant d'aborder l'épineuse question des territoires ukrainiens dont la cession est exigée par Moscou, a indiqué mardi l'entourage d'Emmanuel Macron après des réunions sur la question à Berlin. "Nous avons progressé sur la question des garanties, sur la base du travail accompli par la coalition des volontaires, grâce à une clarification des modalités du soutien américain", a indiqué l'entourage du président français.
Le président américain Donald Trump, qui a maintes fois promis d'obtenir une paix rapide en Ukraine, veut un arrêt des combats coûte que coûte. Il a multiplié les signes d'agacement vis-à-vis de Kiev, alors que son pays est un soutien clé face à l'invasion russe débutée en 2022.
Un plan américain pour l'Ukraine, présenté en novembre, avait été jugé très favorable à Moscou, et Kiev ainsi que les Européens s'efforcent depuis de le remanier. Dimanche et lundi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a négocié à Berlin avec les émissaires américains Steve Witkoff et Jared Kushner, gendre de Donald Trump, pour tenter d'aboutir à un compromis. Un dîner de travail était ensuite prévu entre eux et des dirigeants européens, dont le Premier ministre britannique Keir Starmer et le président français.
Washington promet des garanties de sécurité "très fortes" à l'Ukraine
Les Etats-Unis ont assuré lundi avoir offert à Kiev des garanties de sécurité "très fortes", comparables à la protection qu'offrirait l'Otan, mais néanmoins acceptables, selon eux, pour la Russie. "Nous sommes plus proches aujourd'hui que nous n'avons jamais été" d'un accord mettant fin à la guerre avec la Russie, a déclaré le président américain Donald Trump, après s'être entretenu avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky et des dirigeants européens, réunis à Berlin.
"La Russie aussi veut que ça s'arrête. Le problème est qu'ils veulent y mettre fin, puis tout à coup ils ne veulent pas, et les Ukrainiens veulent y mettre fin, et tout à coup ils ne veulent pas. Donc il faut les mettre d'accord. Mais je pense que ça fonctionne", a-t-il ajouté.
Donald Trump a indiqué qu'il s'était entretenu récemment avec le président russe Vladimir Poutine, sans plus de précisions. Concernant les très difficiles questions territoriales, sur lesquelles le désaccord avec Kiev persiste, le président américain n'a pas fait mystère de sa position : les Ukrainiens "ont déjà perdu le territoire, pour être honnête".

© afp.com/Roman PILIPEY
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7.4.2 📰 Infos Monde
- "En Chine, Emmanuel Macron a perdu la face" : nos lecteurs réagissent à l’actualité
"En Chine, Emmanuel Macron a perdu la face" : nos lecteurs réagissent à l’actualité
En Chine, Emmanuel Macron a perdu la face
René Andron, Marseille (Bouches-du-Rhône), 6 novembre
Quiconque connaît la culture chinoise sait l’importance de la "face", cette considération que l’on vous porte du fait de votre attitude, de votre position ou de votre réussite. A l’occasion de son voyage en Chine, nous avons vu très clairement qu’Emmanuel Macron a perdu la face. Il suffit d’observer l’accueil qui lui a été réservé ou ses échanges avec le président Xi pour comprendre qu’il ne sortira rien d’intéressant pour nous, pour l’Europe ou pour l’Ukraine de ce déplacement. (François Chimits : "Face à la déferlante de produits chinois, la réponse de l’UE n’est pas à la hauteur", sur lexpress.fr).
Un jour, la charia en France ?
Sylvie Gilbard, Bois-Colombes (Hauts-de-Seine)
Si je comprends bien le courrier de Brahim Dahou, la charia ne peut s’appliquer que dans un pays majoritairement musulman. Donc, la France pourrait être obligée d’appliquer la charia si les musulmans s’y trouvaient en majorité. Or, cela pourrait très bien arriver. Qu’en serait-il alors de nos droits comme la liberté d’expression, l’égalité hommes femmes ou la fraternité, quand on voit les autres religions mises au ban dans bon nombre de pays musulmans ? Il est important que les musulmans de France choisissent entre un Islam figé dans un autre temps et les lois de la République. ("La montée de l’islamisme touche toute l’Europe" : le sondage choc de l’Ifop analysé par Ruud Koopmans, sur lexpress.fr).
Fiscalité des successions
Jacques Canier, Colombes (Hauts-de-Seine)
Certains veulent supprimer l’impôt sur les successions en ligne directe. Il y a là selon moi une forme d’hypocrisie et de réflexe individualiste, que révèlent les cas de successions indirectes. En effet, l’expérience montre souvent le rejet "indigné" de l’impôt par ceux qui héritent de leurs oncles, tantes ou cousins. En France, sans doute plus qu’ailleurs, on rêve de s’enrichir sans travail, et l’hypothèse d’un héritage providentiel suffit à demander par réflexe une exonération. (Taxer les héritages, c’est briser la chaîne des générations, par Julia de Funès, L’Express du 3 novembre).
Les pacifistes face à la guerre
Dominique Goepp, Paris
L’un de vos lecteurs, à la suite des propos du général Mandon, semble imputer la défaite de 1940 aux "pacifistes", avec des allusions à la gauche, bien entendu. Il me paraît donc nécessaire de rappeler les points suivants. Un : dans les années 1930, une bonne partie de la droite et de l’extrême droite était opposée à la guerre contre l’Allemagne, perçue comme un rempart contre l’URSS. Deux : le Front populaire a fortement augmenté les crédits militaires. Trois : la principale cause de notre défaite est l’incurie de notre état-major. En août 1939, le généralissime Gamelin avait affirmé : "Si la guerre est déclarée, les Allemands se révolteront contre Hitler et l’armée française n’aura pas besoin de tirer un seul coup de canon". Espérons que le général Mandon et ses collègues soient plus lucides ! (Page "Courrier", L’Express du 4 décembre).
Egalité hommes-femmes
Jean Gabard
Les violences faites aux femmes constituent l’un des problèmes sociaux majeurs du XXIᵉ siècle et, pour éliminer ce fléau, il est indispensable de rappeler l’égalité en dignité et en droits entre femmes et hommes. En revanche, la revendication d’une "égalité réelle" risque de conduire à des malentendus. Certains considèrent en effet que toute différence observable entre les sexes, autre que physique, résulte exclusivement de discriminations et d’une construction sociale sexiste. Or tel n’est pas le cas : de nombreux travaux montrent que certaines différences biologiques influencent aussi motivations et comportements. Les avancées en psychogenèse indiquent également l’existence de différences dans la structuration du psychisme, indépendantes de la culture. (Deux ou trois vérités scientifiques sur les hommes et les femmes, L’Express du 6 novembre).
Des nouveautés sur votre application
La nouvelle version de l’application L’Express est disponible, avec une interface entièrement repensée. Les rubriques sont désormais accessibles directement depuis la page d’accueil, tandis qu’un carrousel met en avant les derniers contenus publiés pour vous permettre, en un seul clic, de profiter de toute la diversité et de la profondeur de nos analyses. Retrouvez aussi les sélections de notre rédaction, la version audio de chaque article, le magazine en PDF à emporter partout avec vous, ainsi que l’ensemble de nos podcasts et de nos vidéos. De nouvelles fonctionnalités sont également prévues dans les prochaines semaines, afin d’enrichir encore votre expérience de lecture.

© afp.com/Jacques WITT
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Pourquoi la Chine va-t-elle taxer le porc européen ?

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