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Un remake de Yakuza 3 apparaît accidentellement sur le site officiel de Ryu Ga Gotoku
Un remake de Yakuza 3 vient d’être accidentellement révélé par Ryu Ga Gotoku Studios à quelques semaines du Tokyo Game Show 2025.
Le nom Yakuza Kiwami 3 a brièvement été visible sur le site officiel de Ryu Ga Gotoku, aux côtés des précédents remakes, avant d’être retiré. Des fans attentifs, comme l’utilisateur Renka_schedule, ont repéré la mention, qui reste toutefois accessible via une recherche Google en japonais. Avec le Tokyo Game Show et le RGG Summit à venir, il est probable que le studio officialise le remake à cette occasion.
夕方頃、龍が如く公式サイトのカテゴリー一覧に「龍が如く 極3」が載っていたみたいですねhttps://t.co/3a8NsbTFlu pic.twitter.com/lhzATp6yQZ
— れんか (@Renka_schedule) September 17, 2025
Bien que Yakuza 3 ait été porté sur la génération précédente via une compilation regroupant Yakuza 3, 4 et 5 avec le rendu technique de la PS3, cette version reste datée pour les consoles modernes. Le jeu original, sorti en 2009, était considéré comme moins marquant que ses prédécesseurs. L’histoire suit Kazuma Kiryu, désormais gestionnaire d’un orphelinat, qui retourne dans le monde du crime lorsque les terres de l’orphelinat sont menacées.
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TEST Formula Legends : un petit bol d’air frais à la sauce Micro Machines
Les jeux de course arcade au format Micro Machines se font de plus en plus rares dans nos salons. Aujourd’hui, nous avons davantage accès à des simulations ou à des expériences arcade dans un environnement réaliste. Avec Formula Legends, on découvre une tout autre approche, avec un gameplay accessible, mais aussi une direction artistique assumée qui évoque un petit côté vintage. Mais cela suffit-il à faire un bon jeu ? Réponse sans plus attendre, après avoir parcouru les moments forts des dernières décennies de la Formule 1.
Testé sur PS5 Pro grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur
Une approche arcade qui n’est pas à son premier coup d’essai
Depuis plusieurs dizaines d’années, la Formule 1 et les jeux vidéo entretiennent une relation étroite. Discipline à succès bénéficiant d’une médiatisation croissante, il n’est pas surprenant de voir ses adaptations se multiplier sur nos petits écrans. Chaque année, EA nous propose un nouvel épisode de F1, avec quelques nouveautés, mais surtout une approche en 3D réaliste et de nombreuses aides à la conduite, afin de s’adapter au niveau de tous les pilotes virtuels. À ce jour, c’est bien l’éditeur américain qui détient les licences officielles. Pourtant, depuis plus de dix ans, aucune nouvelle proposition originale n’a vu le jour dans cette discipline.

En effet, c’est en 2012 que Codemasters, alors encore détenteur des droits de la F1 en tant qu’éditeur, a proposé une nouvelle vision de la discipline. L’orientation arcade fut choisie, donnant naissance à F1 Race Stars sur la génération PS3/Xbox 360. Contrairement à la production du jour, il s’agissait d’un jeu de type Mario Kart-like intégrant les licences officielles, ce que Formula Legends ne propose pas. Or, depuis cette initiative originale, en marge du cycle annuel des sorties, aucun équivalent ni nouvelle tentative de ce genre n’a véritablement vu le jour.
Formula Legends arrive donc à point nommé, avec aux commandes les développeurs italiens de chez 3DClouds, qui ne sont pas à leur premier coup d’essai en matière de jeux de course. Spécialisés dans l’adaptation vidéoludique de séries animées telles que La Pat’ Patrouille, Gigantosaurus ou encore Transformers, on peut dire que les développeurs en ont sous le capot. Contrairement aux jeux réalisés sur commande d’éditeurs tiers, Formula Legends bénéficie ici d’un développement libre, sans contraintes ni pression extérieure, permettant aux créateurs d’exprimer pleinement leur talent, sans suivre un cahier des charges imposé : une liberté créative perceptible dès les premiers tours de piste.
Un gameplay maîtrisé avec toutes les bases de la discipline
Si vous avez pu essayer la démo disponible sur consoles et PC, le ressenti de Formula Legends peut sembler particulier et nécessiter un léger temps d’adaptation pour en maîtriser toutes les subtilités. Contrairement à une simulation réaliste, le titre de 3DClouds se rapproche davantage de Trackmania ou de Micro Machines. Ici, le joueur bénéficie d’une vue de dessus offrant une vision d’ensemble de la course : distinction claire des concurrents, meilleure anticipation des virages, autant d’éléments qui renforcent l’aspect arcade réussi du jeu. Le principal point fort réside dans la jouabilité globale du titre, à la fois très agréable et évolutive selon l’époque dans laquelle se déroule la course.

En effet, que vous optiez pour les années 1960 ou 2020, le ressenti ne sera pas du tout le même : voiture plus lourde et difficile à manœuvrer dans les années 60, ou véhicule ultra-sensible tournant très facilement dans les années actuelles. Le choix de l’époque influence donc fortement le gameplay. Petite cerise sur le gâteau : on retrouve les circuits officiels, bien que rebaptisés faute de licences. Ainsi, le circuit de Spa-Francorchamps devient par exemple le GP des Ardennes. Les mêmes virages sont présents, dont le célèbre Raidillon de l’Eau Rouge, cette montée exigeante qui se négocie aujourd’hui à près de 300 km/h. Une quinzaine de circuits sont jouables, et comme pour les monoplaces, quelques différences apparaissent selon l’époque choisie, notamment l’absence de vibreurs dans les versions les plus anciennes.
Concernant le gameplay à proprement parler, chaque véhicule dispose de statistiques spécifiques : vitesse maximale, accélération et maniabilité. Les monoplaces modernes sont évidemment plus performantes que celles des années 1960. Chaque écurie propose deux pilotes fictifs par époque, empreints de nostalgie et rappelant les débuts de Pro Evolution Soccer. Ici, pas de Lewis Hamilton, Valtteri Bottas ou Max Verstappen, mais plutôt Luis Hammerton, Batteri Voltas et Max Peerstallen. Le clin d’œil est évident, mais contrairement au célèbre menu Modifier de PES, il n’est pas possible de remplacer les noms fictifs par ceux des pilotes réels.

Ce qui fait le charme de Formula Legends, ce sont tous les petits ajouts malins qui en font le jeu d’arcade idéal pour les passionnés de sport mécanique. On y retrouve en effet de nombreux éléments techniques familiers aux habitués des retransmissions sur CANAL+ le dimanche après-midi. Concernant la vitesse des véhicules, la gestion de l’énergie et de la batterie est bien présente, avec un rechargement progressif. L’activation du WRS (ou DRS, officiellement) est possible pour gagner en vitesse, à condition de se trouver à moins d’une seconde du pilote qui précède.
Un choix stratégique s’impose également dès le départ, avec la sélection du type de pneus : soft, medium, hard ou pluie – chaque option influant sur la durabilité et la performance. Un arrêt au stand devient obligatoire en raison de leur usure, et il est crucial de saisir le bon moment pour y entrer. Naturellement, plus vous roulez, plus les pneus s’usent, réduisant ainsi l’adhérence à la piste. Une fois au stand, les manipulations sont simples : utilisation des gâchettes pour remplir la jauge d’essence, et QTE à exécuter rapidement pour réussir son arrêt. Une fois ces étapes accomplies, vous pouvez reprendre la course. Contrairement aux jeux de course traditionnels, aucun retour en arrière n’est possible en cas d’erreur : chaque sortie de trajectoire se paie comptant.
Quant à la conduite, elle est à la fois très agréable et exigeante, demandant une vraie maîtrise pour en comprendre toutes les subtilités. Pour réussir vos départs, il suffira de vous positionner dans la bonne zone et d’appuyer avec précision sur R2.
Un mode de jeu principal basé sur la nostalgie
Vous l’aurez compris, Formula Legends repose sur un gameplay arcade exigeant, avec des voitures particulièrement agréables à conduire. Plusieurs aides au pilotage sont disponibles (antidérapage, contrôle de traction, WRS activable automatiquement), et les paramètres sont suffisamment nombreux pour personnaliser l’expérience : suppression de l’usure des pneus, désactivation des collisions ou des dommages, etc. Sur le papier, Formula Legends apparaît comme un jeu très complet. Mais qu’en est-il des modes de jeu proposés ? C’est malheureusement là que le bât blesse, bien qu’il faille rappeler que le titre est proposé à moins de vingt euros sur consoles et PC. En effet, aucun mode multijoueur n’est disponible, ni en local ni en ligne. Pour un jeu de course, l’absence de cette fonctionnalité reste regrettable.
Ainsi, seuls des modes de jeu solo sont proposés : histoire, personnalisé et contre-la-montre. Comme vous l’aurez compris, les modes personnalisé et contre-la-montre reprennent les circuits et les écuries du mode histoire, à ceci près que le joueur peut librement sélectionner les tracés de son choix et créer son propre championnat. Comme son nom l’indique, le contre-la-montre nous confronte à notre pire adversaire : le temps. Concentrons-nous donc sur le mode histoire, véritable cœur du jeu solo.

Globalement, ce mode permet de revivre les grandes courses des décennies 60, 70, 80, 90, 2000, 2010 et 2020, avec un semblant de scénario inspiré de faits réels. On retrouve par exemple le célèbre Hollandais volant remportant son premier titre dans une lutte tumultueuse, clin d’œil évident à la victoire de Max Verstappen face à Lewis Hamilton en 2021.
Selon la période choisie, le joueur dispute entre quatre et huit Grands Prix, avec une première phase en contre-la-montre avant de s’élancer sur la grille face à treize autres concurrents. Un nombre un peu limité pour un jeu de course, où l’on aurait pu espérer une grille complète de vingt pilotes comme en Formule 1 actuellement. Les courses s’enchaînent, et des points sont attribués selon la position finale. Ces résultats permettent de débloquer des récompenses via la salle d’exposition, donnant accès à de nouveaux pilotes et écuries utilisables dans les autres modes de jeu. Heureusement, l’intelligence artificielle se montre plutôt compétente, ce qui rend le mode histoire plaisant à jouer.
Pour conclure, abordons la réalisation globale du titre, minimaliste, mais efficace. Techniquement, le jeu tourne très bien sur PS5 Pro, avec une résolution 4K et un framerate constant de 60 fps. Propulsé par l’Unreal Engine, le rendu graphique adopte un style vintage, avec une 3D parfois perfectible. Des bugs visuels sont à noter, notamment du popping important : certaines textures comme l’herbe ou les graviers apparaissent tardivement en cours de partie.
Côté bande-son, ne vous attendez pas à une masterclass : les thèmes musicaux restent inchangés tout au long de l’expérience et peuvent vite devenir répétitifs. En revanche, les bruitages moteurs sont convaincants et évoluent en fonction de la vitesse. Enfin, bien que le jeu soit intégralement traduit en français, aucun doublage vocal n’est proposé, quelle que soit la langue sélectionnée.
Verdict
Formula Legends est une nouvelle proposition qui assume pleinement son approche arcade, tout en intégrant de nombreux codes propres à la discipline. On apprécie le gameplay accessible, ainsi que la possibilité de traverser les époques, offrant une variété bienvenue. Toutefois, le manque de contenu se fait sentir, notamment en raison de l’absence de mode multijoueur, qu’il soit local ou en ligne – un manque regrettable pour un jeu de course. Cela dit, il ne faut pas oublier que le titre est proposé à un tarif abordable et qu’il offre malgré tout plusieurs heures de plaisir sur circuit, en compagnie des incontournables Luis Hammerton ou encore Hans Troll.
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[TEST] Moros Protocol : un rétro-roguelite addictif et joussif
Annoncé il y a six mois, Moros Protocol nous avait bien plu grâce à ses visuels rétros et son aspect nerveux. La petite équipe grecque de Pixel Reign semblait avoir trouvé la bonne recette, puisque quelques mois plus tard, la démo nous avait également convaincus. De petites salles à découvrir, des upgrades à appliquer, de la méta-progression, et un bon feeling. Que demander de plus ? Quand l’éditeur nous a contactés pour nous proposer de tester le jeu en avance, on a donc sauté sur l’occasion. Et on a bien fait, c’est l’une des meilleures expériences du genre de cette année.
Genre : Roguelite | Développeurs : Pixel Reign | Éditeur : Super Rare Originals | Plateforme : Steam | Prix : 24,50 € | Langues : anglais, français | Configuration recommandée : i5 4ème génération, 8 Go de RAM, GTX 1050ti | Date de sortie : 18/10/2025 | Durée : une vingtaine d’heures
Test effectué sur une version fournie par l’éditeur.
Encore un roguelite ?
Moros Protocol est un rogelite pur jus. Le concept n’est donc pas original, mais qu’est-ce qu’il est bien employé ici ! On incarne un soldat de l’espace qui infiltre un vaisseau suite à un message de détresse, ou quelque chose comme ça. Mais on se rend rapidement compte qu’une sorte de corruption organique est passée par là, et a tué tout le monde. Notre but sera de parcourir une succession de différentes salles agencées de manière procédurale. À la manière d’un Binding of Isaac, les portent se verrouillent une fois entré dans la pièce, et se rouvrent lorsqu’on l’a nettoyée de tous ses ennemis. Évidemment, au début, on ne dispose que de capacités très limitées et d’armes un peu pourraves. Nos adversaires sont aussi nivelés pour qu’on ne se prenne pas une rouste dès le départ. Pendant les runs, on sera amené à trouver de nouvelles armes et des upgrades, qui seront perdues à notre mort, ou à la fin du biome. Par contre, on amassera également des BioBoost, qui permettront d’améliorer notre personnage de manière pérenne entre chaque run. Chacun des trois biomes est divisé en trois séries de trois salles, entrecoupées d’un combat de boss. Pas trop de surprise ici non plus, puisqu’ils ont chacun leurs patterns, qu’il faudra apprendre pour s’en sortir sans trop de dégâts. S’ils sont compliqués les premières fois, les vaincre se révèle vraiment satisfaisant une fois qu’on a compris la méthode.
Énoncées comme cela, ces mécaniques ne semblent pas extraordinaires. C’est du déjà vu. Pourtant, les développeurs ont réussi à régler leur jeu au poil de cul pour que chaque aspect soit gratifiant et addictif. Avec quelques upgrades, la plupart des armes sont très agréables à utiliser et permettent de rapidement progresser, jusqu’au prochain boss. Ne croyez pas pour autant que le jeu est facile et qu’il se parcourt les doigts dans le nez. Non, on meurt très souvent, et on recommence. Mais comme l’agencement n’est jamais le même, on n’a pas la sensation de refaire la même chose à chaque fois. Certaines zones sont vastes et dégagées, alors que d’autres sont toutes petites, étriquées ou bardées de pièges.
Une bonne décharge d’adrénaline
Et la coop ? Déjà génial en solo, Moros Protocol est tout aussi fun en coop à deux joueurs. Que dire de plus ?
Le gunfeel de Moros Protocol est aussi très réussi. Malgré son aspect rétro-FPS, les effets visuels et le sound design procurent une bonne sensation de puissance, en particulier avec les armes à feu. Celles à énergies sont également bien sympathiques, notamment cette sorte de laser, ou un genre de lance-grenades énergétique. On peut utiliser son arme de corps-à-corps, mais il faut avouer qu’un peu de distance n’est pas du luxe pour éviter de perdre trop de vie. Les mouvements, quant à eux, sont très nerveux, en partie grâce au dash et à l’air control, qui permettent de se déplacer prestement entre les ennemis et utiliser les bidons explosifs à bon escient. Nos adversaires ne brillent pas particulièrement par leur intelligence, mais dans ce type de jeu, ce n’est clairement pas un problème. Si les premiers niveaux n’opposent pas énormément de résistance, plus on avance, plus on aura tendance à rencontrer un grand nombre d’ennemis. Il faudra alors commencer à gérer la priorité des cibles et faire un peu de crowd control. C’est avec une grande satisfaction qu’un petit ralenti nous indique qu’on a abattu notre dernier monstre, généralement dans une grande gerbe d’hémoglobine délicieusement gore, qui vient parfaire le tableau des divers morceaux de chairs éparpillés dans la pièce.
Une débauche de gros pixels dégoulinants
La direction artistique a beau être rétro, les membres sanguinolents et les éclaboussures sur les murs sont légion. Les visuels sont très réussis, mêlant gros pixels, particules et lumières modernes dans un maelstrom franchement efficace. Du côté des performances, il n’y a rien à dire. Il fonctionne aussi bien sur un monstre de puissance avec une RTX 4090 que sur mon PC portable doté d’un Core I5 13500H et d’une 4060. J’ai rencontré quelques bugs, notamment sur certains boss, mais les développeurs étaient encore en train de bosser dessus à ce moment. Ils devraient avoir tout réglé d’ici la sortie. Cela ne m’a pas empêché d’adorer le jeu et de vaincre le dernier boss en un peu plus de 20 heures.
Une super expérience
Moros Protocol est un excellent roguelite, avec une direction artistique très chouette et un gunfeel vraiment satisfaisant. Comme tous les jeux du genre, il faut prendre le temps de monter en puissance, mais on ne se lasse jamais de recommencer, notamment grâce à l’agencement procédural des salles. Les explosions gores lorsque l’on dézingue les ennemis sont très plaisantes, tandis que les affrontements contre les boss, qui demandent un peu de pratique et d’apprentissage des patterns, procurent un grand sentiment de satisfaction lorsqu’on les vainc. Si vous n’avez qu’un seul roguelite à faire cette année, c’est celui-là qu’il faut prendre. En plus, on peut y jouer à deux en coop !
Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.
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