Hier soir, c’était le 72e épisode de NoScope, notre émission presque bimensuelle. On est revenus sur ce qui a fait l’actu des FPS ces dernières semaines, notamment les tribulations d’Ubisoft, les premières reviews de DOOM: The Dark Ages, ou encore le catastrophique trailer du prochain DLC d’Ark.
Du côté des tests, on a fait un petit tour en Grande-Bretagne avec Atomfall, puis une plongée dramatique dans la psyché humaine avec KARMA: The Dark World et enfin, une petite visite impromptue du manoir de Blue Prince.
00:00:00 – Intro 00:01:36 – Les news (Ubisoft & Tencent, DOOM: The Dark Ages, Den of Wolves…) 00:41:50 – QUIZ : les puzzles dans les FPS 01:15:17 – TEST : Atomfall 01:26:53 – TEST : KARMA: The Dark World 01:36:01 – TEST : Blue Prince 01:44:19 – À venir 01:53:30 – À quoi on joue ?
En espérant que ça vous fasse autant marrer à entendre que nous à le faire, on vous donne rendez-vous dans deux ou trois semaines pour un nouveau NoScope !
Bien que notoirement privé de suite au profit d'une nouvelle licence dont Bend Studio a récemment dû annuler le développement, Days Gone passera lui aussi par la case remaster sur PS5. Une nouvelle version que Sony pousse à l'aide d'améliorations techniques mais aussi d'un mode de jeu défoulant.
Obsidian Entertainment a livré une vidéo de 11 minutes de gameplay inédites pour The Outer Worlds 2, ce qui nous a permis d'avoir un aperçu substantiel des nouvelles mécaniques et de la direction artistique de cette suite.
Argument de vente majeur de la Switch 2, la fonctionnalité GameChat permettra notamment de partager son écran à ses amis... bien que les premières bandes-annonces laissent entrevoir des vidéos bien saccadées. Nintendo s'est expliqué sur le sujet.
Dernier guerrier à rejoindre la sélection de Fatal Fury : City of the Wolves, le jeune Hokutomaru se bat avec les techniques de ses mentors Andy Bogard et Mai Shiranui. Magnéto, Serge !
Variation mickey-ifiée de Rayman Legends et exclusivité Switch jusqu'ici, le jeu de plateformes Disney Illusion Island remettra bientôt le couvert sur PC, PS5 et Xbox Series.
Interrogé par PCGamesN avant les concerts Distant Worlds qui se sont tenus à Londres, Masayoshi Soken l'affirme : Final Fantasy 17, ce n'est a priori pas pour lui. L'homme semble en effet entièrement dédié à son travail sur le MMORPG Final Fantasy XIV.
Voilà maintenant six ans que Devil May Cry 5 est sorti et depuis, Capcom joue la langue de bois quant à l'une de ses sagas fétiches. Dans l'attente incompressible d'un sixième opus, Netflix se permet de relancer la machine avec une adaptation dans les tuyaux depuis des années, qui vient de livrer sa première saison.
Avec l'arrivée de The Wind Waker dans sa version Gamecube avec l'abonnement Nintendo Switch Online, le retour de The Wind Waker HD sur la nouvelle console de Nintendo semblait peu probable. Mais Nintendo l'assure : ne perdez pas espoir, le projet est toujours possible.
Nous arrivons presque à la mi-avril et l’occasion est idéale pour annoncer les jeux proposés aux abonnés PlayStation Plus Extra et Premium. Contrairement aux mois précédents, le choix proposé sera plus restreint bien que deux titres arriveront dès le jour de leur sortie dans le catalogue. Un mastodonte et une bonne adaptation de l’école des sorciers proposée par Warner Bros. Games seront également de la partie.
Contrairement aux mois précédents, il y aura plusieurs titres disponibles en avance de phase tandis que tandis que les autres productions seront accessibles dès le 15 avril 2025. Parmi ces sorties anticipées, Blue Prince sera disponible dès le 10 avril (soit le jour de sa sortie) accompagné de la dernière simulation de golf d’EA Sports. Enfin, Lost Records: Bloom & Rage – Tape 2 arrivera avec le reste du catalogue après une première partie que nous avions appréciée lors de sa sortie.
La liste des jeux PlayStation Plus Extra & Premium d’avril 2025
Battlefield 1 (PS4)
Blue Prince (PS5 – disponible dès le 10 avril 2025)
EA Sports PGA Tour (PS5 – disponible dès le 10 avril 2025)
La liste des jeux PlayStation Plus Premium & Classiques d’avril 2025
Alone in the Dark 2 (PS5/PS4)
War of the Monsters (PS5/PS4)
Les jeux cités ci-dessus seront disponibles (sauf précision contraire) pour les abonnés dès le mardi 15 avril 2025 à 11h00. Et si vous ne savez toujours pas quelle offre PlayStation Plus est faite pour vous, nous avons justement un guide qui vous permettra de choisir l’abonnement PS Plus le plus approprié à vos envies et besoins.
Microsoft a annoncé la date de sa conférence Xbox Games Showcase. Celle-ci aura bien lieu dans le prolongement des autres annonces avec un horaire qui ravira les joueurs français puisqu’ils n’auront pas besoin de se lever à pas d’heure pour en profiter.
Alors que l’avenir des consoles Xbox semble s’obscurcir avec plutôt un passage en tant qu’éditeur et non constructeur, la firme américaine continuera toutefois d’assurer le show avec la présentation de ses prochaines productions. Pour suivre ces annonces, notez bien la date du dimanche 8 juin 2025 à 19h00 sur YouTube mais également sur Twitch. Cette année, la conférence aura lieu uniquement en ligne : il n’y aura donc pas de public pour assister aux nombreuses annonces de Microsoft et de ses partenaires. Comme ce fut le cas pour les deux dernières éditions, il n’y aura pas de show annuel qui aura lieu à cette date.
En effet, à l’issue du Xbox Games Showcase, un direct aura lieu pour présenter plus en détail The Outer Worlds 2, la prochaine création du studio Obsidian Entertainment. Le show sera diffusé dans plus de trente langues différentes, dont le français bien entendu.
Principalement connu pour la série des Sniper Elite, Rebellion s’essaie au FPS avec Atomfall. Présenté comme un jeu de survie et d’action, la particularité du jeu est que l’histoire se déroule au Royaume-Uni, et plus précisément quelques années après un incident dans une centrale nucléaire, inspiré par l’incendie de la centrale de Windscale en 1957. Évidemment, dans cette version des faits, l’accident en question n’était que le début des emmerdes, et toute la région a été mise en quarantaine. Et c’est à nous, joueur, de comprendre ce qu’il s’est passé et de sortir la zone du statu quo. C’est sur cet aspect exploration et enquête que Rebellion a fourni le plus d’efforts, tout le reste étant finalement très moyen.
Genre : Action-aventure |Développeurs : Rebellion| Éditeur : Rebellion | Plateforme : Steam, Epic Games Store, Xbox Game Pass|Prix : 49,99 €|Langues : Anglais, sous-titres en français |Date de sortie : 27/03/2025 |Durée : Entre 10 et 15h
Test effectué sur la version Steam.
Monde ouvert certifié AA
Pour commencer par une note positive, on saluera Rebellion pour leur sens du détail, nous plongeant dans l’Angleterre des années 60. Outre les cabines téléphoniques rouges qui servent à nous donner des indices, l’architecture, la topographie, la nourriture, et les armes à feu sont autant d’éléments qui nous transportent à la frontière de l’Ecosse occupée par l’armée anglaise de l’époque. De la même manière, l’écriture et le doublage – uniquement en anglais – sont d’excellente qualité : les tics de langage, l’accent local, tout y est. Et comme on est pas dans un pseudo-RPG, la prose est concise avec peu d’exposition. Un excellent point selon moi, qui trouve souvent que les dialogues dans les jeux vidéo sont d’un ennui mortel. Là où les choses se gâtent, c’est sur la partie purement technique, et le manque de vie dans les zones habitées.
Un autochtone anglois et ses rouflaquettes.
Si Atomfall tourne très, très bien, l’aliasing sur absolument tout ce qui est à plus de 100 m est abominable. En mouvement, on croirait avoir une nuée d’insectes en permanence devant les yeux. Cela ne pose pas problème en intérieur, mais on passe beaucoup de temps à crapahuter dehors, et là c’est inacceptable. Heureusement, il y a moyen de corriger le tir en faisant fi de l’anti-aliasing proposé par le jeu, et en montant la résolution à 115 %. Ce n’est pas parfait, mais déjà nettement plus agréable. Les deux autres problèmes, auxquels on ne peut absolument rien, sont les PNJ qui ne sont finalement que des éléments de décors, et les trop nombreux chargements. Sur le premier point, si ce n’est pas foncièrement gênant pour les personnages avec lesquels ont peut discuter, et qu’on doit donc pouvoir trouver facilement, ceux qui peuplent notamment le village de Wyndham ont deux états principaux : rester plantés comme des piquets, ou déambuler sans but dans un rayon de 5 m. Ah si, parfois ils font semblant d’avoir peur et s’accroupissent, ou courent sur place, lorsqu’un soldat se met à vider des chargeurs de Sten sur des guêpes. L’immersion s’en trouve quelque peu brisée.
Concernant les chargements, ils sont malheureusement omniprésents. D’abord entre chacune des quatre grandes zones extérieures du jeu, mais aussi pour tout un tas d’intérieurs. Si, pour certains, cela peut se comprendre de part leur taille ou encore les puzzles et patrouilles d’ennemis qui s’y trouvent, pour d’autres, c’est pour le moins surprenant. Pourquoi un chargement spécifique pour une cave de 20 m² ? L’avantage, c’est que cela nous donne un moyen efficace d’échapper à l’IA, qui a dû sniffer trop de colle étant petite.
Alors, faut zoomer, mais promis on peut observer ici deux factions en plein débat fort animé.
Survie oui, mais avec du thé et des gâteaux
Puisqu’on vient de mentionner l’IA, autant lui claquer la truffe immédiatement. Les ennemis vous courent dessus bêtement jusqu’à pouvoir vous taper, ou vous tirer dessus. Et c’est tout. Il est ainsi assez simple de tous les amener vers soi en file indienne pour les baffer un à un. Les moments les plus dangereux sont dans les complexes les plus militarisés, où des soldats bien armés sont accompagnés de robots. On est en effet assez fragile, pour peu qu’on ne joue pas en facile, et les robots en questions sont capables de nous infliger des dégâts considérables en une demi-seconde. Il est possible de les détruire au prix d’énormément de munitions, ce qui est souvent peu avantageux.
Il vaut souvent mieux éviter les combats, et c’est d’autant plus simple que, même si les ennemis nous voient de très loin, ils abandonnent assez vite leurs recherches dès lors qu’on se cache. Ainsi, toute la mécanique d’infiltration basique – pas de gameplay émergent ici, soit on est caché, soit on l’est pas – est rapidement trivialisée. D’autant qu’apparemment, tirer au shotgun dans un complexe souterrain ne pose pas problème à beaucoup de monde. Mais justement, tirer sur des gens reste assez sympathique.
Faut toujours qu’il y ait des cultistes !
Comme expliqué plus haut, l’arsenal disponible est restreint aux armes qu’on s’attend à rencontrer dans l’Angleterre des 60s’ : revolver Webley, Browning Auto-5, FAL, et j’en passe. Elles sont toutes satisfaisantes à utiliser, en particulier les shotguns, grâce à de bons impacts sonores et visuels. Et heureusement, parce que les combats de mêlée sont, eux, particulièrement nazes. On peut taper fort, taper doucement et donner des coups de pieds pour déséquilibrer les ennemis, mais pas moyen de faire de parades. Les affrontements au corps-à-corps peuvent ressembler à un combats de trouillards, où chacun à peur de prendre une claque. Et il est tout à fait possible de se faire stun-lock si on a une arme qui frappe fort, mais lentement, contre un adversaire avec une arme plus rapide et qu’on rate son premier coup.
Après avoir bien râlé, j’avoue que ce défaut vient en partie du fait qu’Atomfall vous propose d’améliorer vos statistiques, parce que tous les jeux ont besoin de ça semble-t-il. Un peu comme pour l’infiltration, c’est assez minimaliste, et les compétences ne sont que des améliorations de capacités existantes. Il est possible de se spécialiser pour la discrétion, le combat à distance, le combat de mêlée, ou les lancers d’utilitaires, bien que je ne pense pas que ce soit une très bonne idée. On préfèrera développer une certaine polyvalence afin de faire usage d’un maximum d’outils à notre disposition. Et au final, cela n’apporte rien en terme de gameplay, et on aurait préféré ne pas avoir un personnage limité artificiellement. Ça nous aurait épargné de tout fouiller pour chercher les compétences en questions, avec les Stimulants qui servent à les acquérir.
Oui, ce monsieur armé d’une hache s’est dit qu’il allait courir droit vers type avec un FAL pointé sur son crâne.
Par contre, les mécaniques de gameplay qui touchent au crafting et à la survie sont plus réussies. Là aussi, la philosophie de design de Rebellion semble être le « less is more ». Pas de système de faim et de soif, seulement votre barre de vie et des types de dégâts spécifiques, avec des consommables pour les guérir. On fouille les niveaux pour trouver les recettes et composants servant à fabriquer des bandages et des grenades, et on gère notre inventaire à l’espace limité. C’est finalement sur ce dernier aspect que le côté survie se fait le plus ressentir. On est rarement complètement à court de quoi que ce soit, et les ingrédients pour le crafting sont stockés en dehors de notre inventaire, qui lui ne se remplit qu’avec des objets qu’on peut équiper et utiliser. Il faut donc choisir entre ce qu’on veut pouvoir utiliser immédiatement, et ce qu’on peut se permettre de fabriquer une fois en sécurité. C’est par ce moyen que les développeurs maintiennent une certaine pression sur le joueur, évitant qu’il ne nage dans les bandages, cocktails molotov et cartouches. Ce choix de design est assumé, et ne s’adresse pas aux écureuils qui veulent tout ramasser et tout stocker dans un joli coffre ; bien qu’on ait accès en plusieurs endroits à un tube pneumatique permettant d’entasser nos chers possessions. Cela fonctionne parfaitement avec la manière dont sont construits les niveaux, et nous encourage à explorer de nouveaux environnements.
Pas de Tetris, même la gestion de l’inventaire est simplifiée.
FREEDOM !
Le vrai intérêt d’Atomfall réside dans sa narration non-linéaire, et dans la liberté offerte au joueur à explorer ce qu’il veut, quand il veut. Après un tutoriel plié en 5 min pour nous expliquer qu’il faut ramasser des trucs pour fabriquer des soins, qu’il faut aller dans un endroit appeler l’Interchange, et que les ennemis ne nous attaquent pas en dehors de leur camp si on reste assez loin d’eux, on est lâché sur la première carte. De là, il est possible d’accéder directement à toutes les grandes zones du jeu, dans n’importe quel ordre. Pas de marqueur de quête à la noix, on se laisse guider par le level design qui nous amène organiquement vers les points d’intérêt. Tout cela n’est évidemment qu’une illusion, et en-dessous on a bien un système de quête classique, avec des PNJ qui marquent régulièrement des endroits à explorer sur notre carte, et un journal de quête résumant les informations qu’on a déjà collectées. Mais comme le jeu délivre indices et informations avec parcimonie, on a bien moins l’impression de jouer à un simulateur de coursier. La contrepartie est qu’il faut accepter de devoir faire des aller-retours, vu qu’on n’aura pas toujours le bon équipement ou le bon objet pour visiter entièrement une zone. Les développeurs ont d’ailleurs fait en sorte qu’on doive visiter certains complexes deux fois. Cela ne fait pas perdre beaucoup de temps, mais l’absence de voyage rapide pourra en rebuter certains.
On vous met tout de même des marqueurs pour bien vous montrer où il faut chercher des trucs.
Et comme on est sur Nofrag, on précisera qu’il est tout à fait possible de finir Atomfall en tuant absolument tout le monde, contrairement à un jeu Bethesda. Si ce n’est sans doute pas la façon la plus intéressante de jouer, on apprécie l’effort des développeurs d’avoir construit une structure narrative capable de convenir au plus sanguinaires d’entre nous. Six fins sont disponibles, selon le personnage auquel on aura choisi de faire confiance, avec comme point commun qu’elles sont toutes décevantes : un PowerPoint avec une voix off qui vous rappelle ce que vous avez décidé de faire. Sans doute un clin d’oeil à Fallout. La vrai différence réside dans la préparation qu’il faut faire pour chacune d’entre elle, puisque cela demandera de visiter des zones spécifiques, dont plusieurs sont optionnelles. On finira donc par résumer le scenario d’Atomfall par le fameux cliché du voyage et de la destination : l’histoire n’a rien d’extraordinaire, mais la manière dont elle est racontée est bien plus captivante. Bref, Rebellion a réussi à rendre un script de série B intéressant.
Un bon jeu Game Pass
Dans l’ensemble, Atomfall est une bonne expérience. La durée de vie relativement restreinte fait que les lacunes, inhérentes à un jeu AA qui veut en faire un peu trop, ne gâchent pas le plaisir de jeu. Malgré l’arbre de compétences peu intéressant, et l’infiltration réduite au strict minimum avec une IA qui ne suit pas, on reste focalisé sur les deux points forts du titre : l’exploration et la narration. Rebellion fait excellent usage de l’avantage offert par le jeu vidéo pour raconter une histoire. Certes, le récit lui-même est du réchauffé, mais Atomfall procure un réel plaisir de découverte, et suscite notre curiosité pour en apprendre plus sur les évènements qui se sont déroulés à Windscale.
Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.
C'est l'histoire d'un type, le soir, il regarde Twin Peaks, et il trouve ça vachement bien. Il se dit même qu'il va ouvrir son propre studio de jeu vidéo pour recréer Twin Peaks. Voilà (peut-être) comment nous arrivons sur Karma : The Dark World, titre d'horreur aux inspirations multiples qui finit par s'embrouiller les pinceaux malgré ses bonnes intentions.
Acheté par CD Projekt en 2021 pour renforcer ses effectifs, le studio américain The Molasses Flood, connu pour The Flame in The Flood et Drake Hollow, n'existe plus. Et pour cause, l'ancien studio indépendant, fondé à Boston en 2014, a été absorbé par sa maison-mère le 1er avril 2025.
On l’avait complétement oublié depuis notre dernière news de 2021, mais un nofragé nous a gentiment fait remarquer que Within the Cosmos existe toujours et est même sorti le 28 mars dernier. Après un peu plus de cinq ans de développement (initialement, la sortie était prévue au 31 mai 2019), on constate que ça a l’air toujours aussi chiant et pas particulièrement beau. Du côté des commentaires sur Steam, les joueurs soulignent les bugs à foison et l’absence de finition des maps à explorer. Depuis la sortie du jeu, sept patchs ont été déployés mais seulement trois joueurs semblent trouver leur bonheur au moment où l’on écrit la news.
À moins que vous soyez d’une tolérance à toute épreuve ou ayez des goûts discutables en matière de FPS, vous pouvez vous procurer Within the Cosmos pour un peu moins de 15 € sur Steam.
C’était il y a à peine plus d’un mois qu’on posait les yeux pour la première fois sur la nouvelle licence du studio Reburn (anciennement 4A Games Ukraine) : La Quimera, FPS narratif exclusivement PVE qui se déroule dans une Amérique latine dystopique. Aujourd’hui, le voilà déjà de retour avec un nouveau trailer de gameplay qui s’accompagne d’une étonnante date de sortie : Le 25 avril prochain !
Oui oui, avant même la fin du mois. Et pourtant, à l’image du premier extrait qu’on avait eu fin février, le studio se montre décidément très avare en infos. Avec ses airs de Crysis 4 avant l’heure, on ne peut pas dire que le titre ait une identité très marquée. Ça vaut pour son ambiance visuelle et sonore tout comme pour son gameplay, qui n’a d’ailleurs visiblement pour distinction que les exo skills ici évoqués en coup de vent. Au moins, on nous confirme la possibilité de jouer en co-op jusqu’à 3 joueurs. C’est déjà ça !
Quoi qu’il en soit, même si on doute que beaucoup aient sauté de leur siège en voyant ça, les plus intrigués d’entre nous pourront poser les mains sur le jeu lors de la beta fermée qui se tiendra le 12 avril. Pour s’inscrire ou mettre en wishlist, ça se passe sur la page Steam. Ce sera l’occasion de se faire une meilleure idée du plaisir de jeu, parce-que là, avec une pauvre minute et demie de shooting sans UI, difficile de tirer des conclusions.
Rendez-vous donc le 25 avril pour le verdict ! En attendant, cette beta tombe assez bien pour savoir si oui ou non, on a de quoi s’exciter un tant soit peu d’ici là.
Joli succès au rayon des accessoires depuis sa sortie en novembre 2023, le PlayStation Portal a droit aujourd'hui à une mise à jour offrant un certain nombre de petites améliorations visant spécifiquement l'expérience de jeu sur le cloud.
Vous avez bien lu le titre : la manette GameCube de la Switch 2 ne serait pas compatible avec les jeux de la console de Nintendo, et sera réservé au catalogue GameCube Classics de l'abonnement en ligne.
Dans le monde merveilleux, mais de plus en plus encombré, des gacha asiatiques, Chasing Kaleidorider compte bien se faire une place en mettant ses jolies filles sur de grosses cylindrées et en nous promettant de grands moments de romantisme.
Pendant que l'abominable film Minecraft détrousse les parents innocents dans nos salles obscures, Sega et Rovio comptent bien revenir au cinéma avec un troisième film Angry Birds.
Comme annoncé durant le Future Game Show Spring Showcase, la démo de METAL EDEN est disponible depuis le 8 avril en visitant la page Steam du jeu. Il semblerait que ce soit la même démo que la presse et les influenceurs ont pu essayer il y a un mois environ. Vous pourrez découvrir les premiers niveaux avec quelques armes pour vous familiariser avec le gameplay. De plus, les devs du studio Reikon Games vous proposent de gagner $1 000 si vous réussissez à finir la démo le plus rapidement possible. Pour en savoir davantage, vous pouvez consulter le billet de blog Steam.
METAL EDEN est toujours prévu pour le 6 mai. En attendant sa sortie, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam et vous essayer à la démo.
Amateurs de métal et de jeu d’action survolté, un nouveau challenger est prêt à faire chavirer votre cœur en pierre. Tout droit sorti des cuisines du studio belge Rogueside, Devil Jam compte bien proposer une expérience d’enfer.
Toujours le plus rapide pour réserver sa place au soleil alors que l'on se rapproche déjà des conférences estivales, Microsoft vient d'annoncer que le Xbox Games Showcase 2025 aura lieu conformément aux habitudes du constructeur.
Après une sortie sur Nintendo Switch en été 2023, Disney Illusion Island va revenir dans une édition complète sur consoles et très certainement sur PC. Ce metroidvania jouable en coopération devrait uniquement arriver sur les consoles de dernière génération si l’on en croit le croisement de plusieurs sources.
Étonnamment absent sur les autres consoles lors de sa sortie sur Nintendo Switch, le jeu de plates-formes Disney Illusion devrait sortir sur les dernières consoles ainsi que sur PC prochainement. Daté au 30 mai 2025 chez plusieurs revendeurs américains, le titre devrait être disponible au prix de 29,99€ sur PS5, Xbox Series X|S et PC. La version physique devrait bien entendu être disponible uniquement sur consoles avec un poster exclusif. Reste à savoir si les joueurs européens auront droit à cette même version.
Ce Disney Illusion Island Starring Mickey & Friends incluera bien évidemment le jeu de base, mais également le DLC disponible gratuitement sur Nintendo Switch suite à une mise à jour parue en fin d’année 2023. Pour l’instant, rien n’a été confirmé officiellement par l’éditeur ou les développeurs, mais des sources comme GameStop ou encore PSDeals ont vendu la mèche rapidement.
En attendant, Disney Illusion Island est toujours exclusivement disponible sur Nintendo Switch.
Nintendo a confirmé que la manette GameCube prévue pour la Switch 2 ne sera compatible qu’avec les jeux de la collection Nintendo Classics. Une décision qui s’ajoute à une série de choix controversés autour de la nouvelle console, et qui pourrait bien décevoir les fans espérant une utilisation plus large de cet accessoire emblématique.
Nintendo a récemment dévoilé de nouvelles informations sur la Nintendo Switch 2, notamment concernant la compatibilité de sa manette GameCube. Contrairement aux manettes rétro précédentes utilisées sur la première Switch, qui pouvaient être reconnues comme des manettes Pro et donc utilisées dans une variété de jeux, la manette GameCube de la Switch 2 ne sera compatible qu’avec les jeux GameCube disponibles dans la collection Nintendo Classics. Cette restriction a été précisée dans une petite note en bas d’une récente vidéo promotionnelle.
En théorie, la manette GameCube aurait pu fonctionner avec de nombreux jeux, rétro et modernes, puisqu’elle dispose de la plupart des boutons essentiels, à l’exception des sticks cliquables. Cependant, Nintendo semble avoir choisi de limiter son usage strictement aux titres GameCube, probablement pour maintenir une cohérence d’expérience utilisateur ou encourager l’usage des manettes standards pour les autres jeux.
Les premiers jeux GameCube proposés dans cette collection seront disponibles dès le lancement de la Switch 2 et disponibles via l’abonnement Switch Online + Expansion Pack. Les joueurs pourront redécouvrir The Legend of Zelda: The Wind Waker, Soulcalibur 2 et F-Zero GX, avec une qualité d’image améliorée, des contrôles personnalisables et un mode multijoueur en ligne pour les titres compétitifs. D’autres titres seront ajoutés progressivement par la suite.
Cette annonce risque d’être perçue comme une nouvelle déconvenue pour les joueurs, déjà échaudés par les nombreuses critiques et désillusions entourant la Switch 2 depuis sa présentation officielle. Entre des prix jugés exorbitants, une rétrocompatibilité partielle et des limitations inattendues comme celle-ci, l’enthousiasme initial autour de la console semble s’effriter peu à peu pour une partie de la communauté.
Pour rappel, la Nintendo Switch 2 sera disponible le 5 juin prochain au prix conseillé de 469,99€ seule ou en bundle avec Mario Kart World à 509,99€ (si tout va bien d’ici là…).
Turn 10 Studios nous gratifie d'une nouvelle mise à jour pour Forza Motorsport centrée sur la célébration des icônes de course de Porsche. Au programme un menu assez classique : de nouveaux véhicules, des ajustements de gameplay et des corrections de bugs.
Alors que les gros éditeurs alignent leurs billes sur la Nintendo Switch 2, les moteurs aussi témoignent de leur soutien. C'est aujourd'hui GameMaker et son entreprise-mère Opera GX (oui, le navigateur) qui se mettent en avant.