On vous en parlait en mai dernier, CARIMARA: Beneath the forlorn limbs est un jeu indépendant bien étrange. Développé en solo par le studio français Bastinus Rex, il mêle cartes à jouer et walking sim, dans une ambiance un peu crado avec de gros pixels, style PsOne. Il est édité par Critical Reflex, que l’on a déjà vu sur d’autres projets à l’esthétique tout aussi étrange, comme Mouthwashing, ou encore THRESHOLD, lui aussi développé en solo par un dev français.
Du côté du gameplay, on semble avoir affaire à un walking sim narratif, dans lequel on doit rechercher des objets, nous permettant d’obtenir des cartes. Celles-ci ont l’air d’être des questions, que l’on pourra poser aux différents protagonistes, afin de révéler différents mystères. Mais apparemment, il ne faudra pas demander n’importe quoi, sous peine d’invoquer des malédictions ou un truc dans le genre. C’est un peu flou, mais très intriguant.
En attendant la sortie de CARIMARA: Beneath the forlorn limbs le 6 octobre, vous pouvez ajouter le jeu à votre liste de souhaits depuis sa page Steam, s’il vous intéresse.
Si vous aimez les Grands Anciens et le cel shading, vous connaissez sans doute déjà Call of the Sea, un walking sim et puzzle game dans l’univers de Lovecraft, sorti fin 2020. En juin dernier, on avait découvert que le studio madrilène Out of the Blue Games bossait sur sa suite, Call of the Elder Gods. Visuellement, c’est toujours aussi chouette, mais on espère qu’ils se seront sortis les doigts pour la narration, car ce n’était pas vraiment le point fort du premier opus.
Ce nouveau trailer ne nous apprend pas grand-chose de tangible, puisque tant qu’on n’a pas lancé le jeu, on se tamponne bien fort le coquillard des personnages principaux. Cependant, on est tout de même attirés par le titre, car la direction artistique et l’ambiance semblent très réussies.
Aucune date n’a pour l’instant été annoncée, il faudra se contenter d’un « coming soon ». En attendant, vous pouvez toujours ajouter Call of the Elder Gods à votre liste de souhaits depuis sa page Steam s’il vous intéresse.
Le titre de l’article pourrait paraître antinomique, mais Will: Follow the Light est un peu plus qu’un simple walking sim. Lors du Future Games Show qui prenait place à la Gamescom, on a pu apercevoir quelques mécaniques de gameplay que proposera le jeu, en plus de la balade à pied. En effet, on pourra naviguer sur un voilier en gérant les différentes voiles et instruments à bord, ou diriger un attelage de chiens de traîneau sur un lac gelé. Ça a l’air assez original, espérons que ce sera intéressant à jouer.
Visuellement, l’ensemble paraît plutôt correct, mais on se méfie de certains rendus un peu « plastique » de l’Unreal Engine 5. Néanmoins, on a vraiment hâte de voir ce qu’il donne clavier et souris en main. D’ailleurs, une phase de playtests est bientôt prévue, et on peut demander l’accès depuis la page Steam du jeu. Si on parvient à y jouer, on fera un petit compte rendu.
Pour l’instant, le jeu est toujours prévu pour 2025, mais sans autre précision. En attendant d’en savoir plus, si Will: Follow the Light vous intéresse, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits sur Steam.
Présenté lors du Future Games Show, THE SIGNAL: Stranded on Sirenis, développé par le studio canadien Goose Byte, est apparu comme un jeu solo de survie et d’artisanat. Si on ne vous a pas encore parlé de ce projet, c’est que le titre à la base devait être un « third-person multiplayer open-world survival ». Malheureusement, pour une raison qui nous échappe, le studio a décidé d’en faire une aventure solo à la première personne.
C’est donc le 13 octobre prochain que l’on pourra -ou pas-, découvrir THE SIGNAL: Stranded on Sirenis. Sur la page Steam du titre, on peut lire en description que c’est un jeu « unique en son genre ». Mouais. On a regardé un peu de gameplay, c’est loin d’être le cas. Les combats au fusil d’assaut laser sont sans âme et faire « pew-pew » sur des bots volants n’a rien d’excitant. Robotbeat fait largement mieux.
En attendant la sortie de la démo, vous pouvez faire une demande pour participer au playtest du jeu et ajouter THE SIGNAL: Stranded on Sirenis à votre liste de souhaits Steam.
Malheureusement, toute bonne chose a une fin, et même pour les bons plans NoFrag du week-end, c’est le retour de vacances. Mais en rentrant à la maison, il y a du boulot ! On commence avec la tonte de la pelouse et le taillage des haies. Si couper les fils électriques est votre seconde passion, vous pouvez aussi opter pour une tondeuse sans fil, un taille-haie sans fil, et d’autres trucs sans fil. Voire des robots pour tout faire à votre place ! D’ailleurs, vous n’avez pas réellement envie de laver vous-même les vitres. Alors passer l’aspirateur ou la serpillière, n’en parlons pas. C’est ensuite l’heure de laver toutes vos chemises. Qui a dit que le repassage était chiant ? Profitez-en pour faire les ourlets de vos pantalons. Et parce que vous n’allez tout de même pas ouvrir les fenêtres avec cette chaleur, mais que ça pue le renfermé, optez pour le purificateur d’air. Et voilà ! Tout est prêt dans la maison, et vous avez encore quelques jours pour glander !
Fidèle au poste, notre expert Gothax nous a préparé une petite liste, malgré sa connexion de vacancier :
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C’est encore les vacances chez notre partenaire Gamesplanet, et il n’y a pas un jeu mis en avant en particulier. En revanche, ils proposent toujours des réductions intéressantes sur tout un tas de titres :
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En juin dernier, on vous parlait de l’arrivée prochaine des playtests pour Militsioner, un immersive sim surréaliste développé par TALLBOYS (Pandemic Express). On n’avait pas été retenus pour les sessions fermées, mais le studio est revenu à la charge pendant le Future Games Show pour annoncer des playtests ouverts à tous. Si ça vous intéresse, vous pouvez demander l’accès depuis la page Steam du jeu, que vous obtiendrez directement.
Militsioner vous met dans la peau d’un criminel qui doit prendre la fuite à bord d’un train, alors qu’il est surveillé par un gardien géant. Les mécaniques de gameplay tournent autour de l’accès à différentes zones, mais surtout de l’évolution de l’humeur des personnages. Cela permet d’obtenir ensuite des faveurs ou des objets, et ainsi progresser vers l’objectif final. On a évidemment lancé le jeu pour enfin voir ce qu’il donne et on n’a pas été déçus. La direction artistique est vraiment chouette. Les mouvements sont également très agréables, et il y a une gestion de la physique avec la manipulation de certains objets. On peut sentir une petite vibe dépressive à la City 17 d’Half-Life 2, l’aspect futuriste en moins. On sent que les mécaniques de gameplay autour des dialogues sont assez profondes, et il y a même une petite touche de roguelite, avec des journées qui s’enchaînent comme des runs et des améliorations à choisir. Le titre est franchement original et très prometteur. On n’a pas envie de trop creuser pour l’instant, afin de garder la surprise pour la version définitive.
Jusqu’à présent, aucune date de sortie n’a été annoncée. Les playtests sont prévus pour durer deux semaines à partir de l’annonce, donc a priori jusqu’au 3 septembre. S’il vous tente, n’hésitez pas à l’ajouter à votre liste de souhaits sur Steam.
Prévu pour le 12 septembre, nous en apprenons de plus en plus sur Borderlands 4. Découvrez ici le prochain personnage du jeu : Harlowe, la manipulatrice de gravité. Avec également des révélations sur l’univers du prochain jeu de Gearbox et ce qui le rend unique parmi les autres jeux de la licence.
Borderlands fait partie des titres les plus attendus de cette année et posséderait même le potentiel pour décrocher le titre de Jeu de l’Année, selon les différents tests de son gameplay. Et c’est tout à fait compréhensible.
Le jeu proposera un monde bien plus vaste que ses prédécesseurs, avec des graphismes retravaillés, tout en gardant l’esprit de Borderlands avec son style cartoon, d’une qualité exceptionnelle et son humour ravageur. De quoi plaire aux plus gros fans de la licence, tout en attirant les nouveaux joueurs. Dans tous les cas, les nouveaux éléments du jeu sauront capter votre attention et vous donner envie d’explorer de fond en comble les environs de la planète Kairos. Et parmi ces éléments, nous vous présentons le personnage de Harlowe, « The Gravitar » ! Une mécano de combat, capable de plier la gravité.
S’intégrant à merveille dans l’univers Borderlands, Harlowe possède un gameplay dynamique et coloré, vous permettant de contrôler le champ de bataille pour mieux ridiculiser vos victimes impuissantes ou aider vos alliés en détresse.
La jeune fille est une ancienne scientifique de combat des Maliwan, une faction ennemie rencontrée dans les précédents jeux. Ce qui lui plaît, c’est comprendre comment les choses fonctionnent, même si cela fait d’elle une rejetée par sa famille. Peu importe, cela n’entache pas sa bonne humeur et elle rejoint joyeusement les Chasseurs de l’Arche, apportant son savoir scientifique et sa joie de vivre, bien trop mortelle pour ses ennemis.
Harlowe se spécialise dans l’anéantissement des vagues d’ennemis et les effets de zone.
La planète de Kairos sera le terrain de jeu de Borderlands 4 et le plus grand qu’il nous ait été donné de voir jusqu’ici dans l’histoire de la licence. Un immense bac à sable, qu’il nous sera possible de parcourir de plusieurs manières, que ce soit avec des grappins, des véhicules personnalisables ou des planeurs, la carte du jeu donne toujours envie de bouger, sans jamais s’arrêter. Ce qui tombe bien, car ce monde vaste ne demande qu’à être exploré en modifiant son principe de narration.
Si l’histoire des anciens Borderlands était linéaire, Borderlands 4 sera flexible, conformément à l’esprit de son monde explorable. On est libre d’aller où on veut, si on veut. Les boss sont d’ailleurs des durs-à-cuire, qui nécessiteront un peu de progrès du personnage avant d’être affrontés.
L’humour sera légèrement atténué, frôlant moins avec l’absurde assumé, mais possède toujours une bonne part de piquant, bien satirique, notamment dans certains dialogues et l’introduction de personnages.
Les armes à feu sont l’esprit de Borderlands. On croisera toujours les marques les plus emblématiques, mais avec maintenant la possibilité de modifier son arme avec les éléments d’une autre. La personnalisation fait ainsi partie des principaux piliers de Borderlands 4.
Ayant réussi à convaincre toutes les personnes ayant eu la chance de poser leurs mains sur ses démos, Borderlands 4 se révèle être un bon exemple d’une licence qui parvient à se renouveler, tout en gardant l’amour des fans de la première heure. Les prétendants au titre de jeu de l’année n’ont qu’à bien se tenir, Borderlands 4 va bientôt faire son entrée dans l’arène.
Prévu pour le 12 septembre, Borderlands 4 sera disponible sur PC, Xbos Series, PlayStation 5 et Nintendo Switch 2.
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Après une campagne Kickstarter réussie en 2019 et un trailer en mai dernier, Supraworld, développé par Supra Games, débarque en accès anticipé pour le plus grand bonheur des grands enfants. Ce metroidvania à la première personne est la suite de Supraland sorti il y a maintenant six ans. Ce FPS à casse-tête dans un univers de jouets semble trouver son public. Il récolte des avis très positifs à plus de 90 % et a rassemblé 1 645 joueurs simultanés à la sortie. Bien qu’il ne s’agisse pas d’un simulateur de meurtre, le gameplay semble être réussi, tout comme le premier opus. Il faudra environ une dizaine d’heures pour terminer l’aventure et réussir la plupart des puzzles, d’après les retours des utilisateurs.
Cependant, selon certains avis, Supraworld souffre de gros problèmes de performances liés à l’Unreal Engine 5, mettant en cause l’utilisation du système Lumen. Pour remédier à cela, les joueurs devront utiliser l’upscaling et le framegen, comme souvent avec l’UE5. Mais même avec ces technologies, certains joueurs ont du mal à atteindre les 60 FPS.
Supraworld est disponible depuis le 15 aout sur Steam avec une réduction de 15 %, soit 25,50 €. Il est également disponible sur l’Epic Games Store au prix de 26,99 €.
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