MAJ Battlefield REDSEC : le battle royale gratuit est disponible, voici tout ce qu'il faut savoir





Hideo Kojima, le créateur de Metal Gear Solid et Death Stranding, aurait pu s’aventurer dans l’univers de Matrix. Mais ce projet, initié après la sortie du premier film culte des Wachowski, n’a jamais vu le jour : Konami, son éditeur, a tout simplement refusé d’en entendre parler.
En 1999, peu après la sortie du premier Matrix, les Wachowski, fascinés par le travail de Kojima, approchent le studio japonais Konami pour lui proposer de développer un jeu vidéo inspiré de leur film. À l’époque, Kojima est déjà reconnu mondialement : Metal Gear, Metal Gear 2 et Metal Gear Solid ont connu un succès critique et commercial éclatant. L’idée d’un Matrix dirigé par lui faisait donc rêver.
Selon Chris Bergstresser, ancien vice-président de la division licences de Konami, les Wachowski se sont rendus au siège de l’entreprise pour présenter leur idée directement à Kojima. Accompagnés de leur artiste conceptuel, ils déclarent :
Nous voulons vraiment que vous fassiez le jeu Matrix.
Mais après traduction, Kazumi Kitaue, alors producteur exécutif, tranche immédiatement : un Non catégorique. Fin de la discussion. Les membres de l’équipe, raconte Bergstresser, ont été profondément déçus de voir passer une telle opportunité, même si tout le monde a ensuite profité de la première japonaise du film et de son afterparty.
Avec le recul, la décision de Kitaue s’explique facilement : à l’époque, Konami était déjà entièrement mobilisé sur la saga Metal Gear Solid. Entre MGS2 (2001) et MGS3 (2004), Kojima et ses équipes connaissaient une période d’intense créativité, qui allait marquer durablement l’histoire du jeu vidéo. Finalement, c’est en 2003 que sortira Enter the Matrix, développé par Shiny Entertainment, un jeu qui, sans être à la hauteur des ambitions des Wachowski, témoignera de ce que Matrix aurait pu devenir sous la houlette de Kojima.
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Un tournant historique se profile dans l’univers du jeu vidéo : les frontières entre Xbox et PlayStation s’effacent peu à peu. Selon de récents rapports, la prochaine console de Microsoft permettra d’accéder à des titres de Sony, tels que God of War, Spider-Man ou Ghost of Tsushima.
Un changement de paradigme se dessine : celui de la fin des exclusivités strictes. Microsoft a déjà ouvert la voie en publiant plusieurs de ses titres majeurs, comme Starfield, Forza Horizon 5 et Halo, sur les plateformes concurrentes. De son côté, Sony a commencé à assouplir sa position, notamment avec la sortie de Helldivers 2 sur Xbox plus tôt cette année.
Selon Jez Cordon, journaliste chez Windows Central, la prochaine Xbox adoptera une approche plus proche du PC, intégrant directement des plateformes telles que Steam, Epic Games Store et Battle.net. Cette évolution permettra non seulement de lancer des jeux comme World of Warcraft depuis la console, mais aussi d’installer presque n’importe quel titre compatible Windows. En pratique, cela signifie que des exclusivités PlayStation, disponibles sur PC via Steam ou Epic, deviendront accessibles sur Xbox, sans passer par une sortie officielle sur la console.
Cette ouverture des écosystèmes redéfinit la notion même d’exclusivité. Si certaines fonctionnalités emblématiques de la Xbox, comme les succès et le Gamerscore, pourraient ne pas être prises en charge pour ces titres, l’avantage pour les joueurs est clair : un accès élargi à des décennies de contenus et une liberté de choix sans précédent.
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Alors qu’on vivait notre meilleure vie au Stunfest ce week-end, on a appris une nouvelle qui nous a un peu ébranlé. Le remake de la campagne solo d’Halo a été annoncé pour 2026 et il s’appellera Halo: Campaign Evolved. Ce qui fait polémique chez les champions du canapé, c’est qu’il sera disponible sur la console de Sony, alors que la licence avait toujours été une exclusivité Xbox jusqu’à présent. Une trahison, selon les fans de Microsoft, qui menacent de se pendre avec le câble de leurs manettes sans fil. Pour jeter de l’huile sur le feu, le responsable de la communauté Halo est monté sur scène en arborant un magnifique T-shirt à l’effigie de la PlayStation, l’ennemie jurée.
Pendant que le plus gros débile de la planète s’imagine encore en train de résoudre une guerre fictive, les joueurs de la PC Master Race déplorent l’absence d’écran splitté pour le mode coop jusqu’à quatre. En même temps, on peut comprendre : difficile de jouer avec plus d’une souris et d’un clavier sur un même PC. On nous annonce également de meilleurs contrôles, plus d’armes et trois missions supplémentaires. En plus de la bande-annonce, Halo Studios a publié une vidéo avec du blabla qu’on n’a pas eu le courage de regarder, ainsi que 13 minutes de gameplay ininterrompu d’un niveau du jeu. Il ne vole vraiment pas haut, mais reste fidèle à l’original : pas de recul, des ennemis débiles avec des voix rigolotes, et un bip insupportable à chaque fois que la jauge d’armure est basse.
Par contre, l’aspect visuel a l’air de diviser la communauté. Certains affirment que c’est très joli, alors que d’autres trouvent que les personnages un peu cartoon jurent dans les décors ultra-réalistes. On se demande presque s’ils n’ont pas passé la direction artistique dans la moulinette de l’IA à coups de prompts aussi subtils qu’un 18 tonnes dans une convention de voitures sans permis. D’autre part, il est intéressant de noter que Glenn Israel, le directeur artistique historique de la licence, a quitté le studio après 17 ans de… loyaux services il y a quelques semaines, et que ça ne semble pas avoir été fait de gaîté de cœur. Sur son LinkedIn, on peut notamment y lire la phrase suivante :
No illusion of security nor promise of wealth or fame or power is worth trading away your health, your dignity, your ethics or values – and no one can force you to. Stay strong, take evidence when necessary, and find where you belong.
Si le message peut paraître un peu cryptique, c’est parce que le bonhomme est sans doute menacé juridiquement par son ex-employeur, pour l’empêcher de dévoiler les raisons précises de son départ. Il indique néanmoins qu’il pourra en dire plus l’année prochaine, « lorsque cela pourra se faire en toute sécurité ». Est-ce que ça aurait un lien avec l’utilisation de l’IA, poussée dans tous les trous possibles par la firme de Redmond ?
Quoi qu’il en soit, ce remake devrait faire plaisir à une partie des joueurs qui ont tâté le FPS le moins naze de la Xbox pendant leur jeunesse. Si c’est votre cas, il faudra quand même attendre 2026 pour voir arriver Halo: Campaign Evolved. Mais vous pouvez déjà l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam si ça vous chante. Le jeu sera aussi disponible sur le Xbox Game Pass hors de prix, si vous êtes toujours abonné.












