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Récompenses de connexion et vitrine de la boutique à Couronne de novembre
Première mise à jour de contenu pour Mika and the Witch's Mountain
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- Sony confirme que les coques de remplacement PS5 ne seraient pas compatibles avec la PS5 Pro
Sony confirme que les coques de remplacement PS5 ne seraient pas compatibles avec la PS5 Pro
Depuis l’annonce de la PS5 Pro, de nombreuses déconvenues parviennent aux oreilles des joueurs, que cela soit le prix de la console en elle-même, le fait que nous ne puissions pas ajouter un lecteur disque, etc. Désormais, Sony confirme qu’il ne sera pas possible de changer la coque de la PS5 Pro, au plus grand désarroi des amateurs de customisation.
D’abord amené par l’utilisateur Reddit Zrorro ayant eu un accès anticipé à la PS5 Pro avant son lancement semaine prochaine, affirmant alors qu’il était impossible d’utiliser des coques de remplacement sur la nouvelle PS5, Sony confirme désormais les avances faites. C’est sur IGN que Sony prend la parole en précisant : « les coques de console PS5 ne sont pas compatibles avec la PS5 Pro ». Toutefois, la société précise que les joueurs pourront échanger différentes coques de console pour PS5 Pro une fois qu’elles seront disponibles à l’avenir. Cette impossibilité d’utiliser les anciennes plaques viendrait de la conception même de la Pro qui, à en croire Sony, serait plus fin que les autres versions.
PlayStation 5 Pro does not work with the slim plates.
byu/Zrorro inplaystation
Ainsi, ce manque de compatibilité avec les premières versions de la PS5 fera le bonheur de Sony, en proposant alors de nouvelles plaques spécifiques à la PS5 Pro et, possiblement, un lecteur unique à cette version. La PS5 Pro est prévue pour sortir le 7 novembre au prix de 799,99 €.
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News - Ca y est, Banjo-Tooie est sorti sur Nintendo Switch
Annoncé la semaine dernière, Banjo-Tooie atterrit sur Nintendo Switch en pleine vacances d'automne. C'est pour vous la chance de découvrir ou redécouvrir ce titre phare de la Nintendo 64 sur la Nintendo Switch ! On vous dit tout dans cet article.
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- News - Tout sur Nintendo Music, la nouvelle appli musicale pour abonnés Nintendo Switch Online (mobile)
News - Tout sur Nintendo Music, la nouvelle appli musicale pour abonnés Nintendo Switch Online (mobile)
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- Nintendo lance sa propre application de streaming musical : Nintendo Music
Nintendo lance sa propre application de streaming musical : Nintendo Music
C’est à la grande surprise générale que Nintendo lance une nouvelle application de streaming musical, sobrement intitulée Nintendo Music pour écouter toutes ses bandes originales préférées.
Cette nouvelle application, d’ores et déjà disponible sur Google Play pour les téléphones Android et App Store pour les iOS est réservée aux abonnés du Nintendo Switch Online, le service de jeu en ligne de Nintendo. Elle permet aux fans de découvrir ou de redécouvrir les bandes sons emblématiques de leurs jeux Nintendo préférés, s’étendant de la Famicom jusqu’à la Nintendo Switch.
Nintendo ne s’est pas seulement contenté de regrouper tous ses titres dans une seule application, puisqu’elle offre plusieurs fonctionnalités avancées : trier ses musiques par jeu, par héros, par thème, par humeur et même créer ses propres playlists. Nintendo Music utilise l’historique de jeu pour suggérer des morceaux personnalisés en fonction de leurs préférences, une option permet même de masquer les musiques liées aux jeux non terminés, protégeant ainsi les joueurs d’éventuels spoilers. Enfin, l’application permet également d’étendre certaines pistes jusqu’à 60 minutes pour obtenir des musiques d’ambiance en boucle.
Bien que Nintendo n’ait pas encore précisé le nombre exact de bandes sonores disponibles, les jaquettes affichées sur l’application laissent deviner une sélection généreuse de classiques de la marque. De plus, Nintendo a indiqué qu’ils étendraient la sélection au fil du temps et en fonction des nouvelles sorties.
Nintendo Music, a new smart-device app exclusively for #NintendoSwitchOnline members, lets you stream or download music from Nintendo’s library of soundtracks!
— Nintendo of America (@NintendoAmerica) October 30, 2024
Nintendo Music will be released later today! Learn more: https://t.co/X5uL1ThupO pic.twitter.com/2NOu7k22zf
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- Ubisoft se dit confiant d’éviter un nouveau retard pour Assassin’s Creed Shadows
Ubisoft se dit confiant d’éviter un nouveau retard pour Assassin’s Creed Shadows
Alors qu’il devait sortir le mois prochain, Assassin’s Creed: Shadows a été repoussé à février 2025. Malgré les critiques, Ubisoft se dit confiant sur le fait d’être en mesure de respecter la nouvelle date de sortie choisie pour son RPG dans le Japon féodal.
Afin de maximiser ses chances suite aux ventes tièdes de Star Wars: Outlaws, Ubisoft a décidé de repousser Assassin’s Creed Shadows au 14 février 2025 au lieu du novembre 15 novembre, soit trois mois de décalage pour corriger et améliorer le jeu au maximum. Si certains estiment que ce court délai n’est pas suffisant pour retravailler le titre en profondeur, la firme française, quant à elle, se dit « confiante » dans sa capacité à rendre une meilleure copie en seulement 3 mois. C’est ce qu’a affirmer Ubisoft lors de l’appel aux investisseurs pour les résultats du deuxième trimestre, s’étant tenu ce mercredi.
Comme nous l’évoquions il y a un mois, Assassin’s Creed Shadows était doté de fonctionnalités complètes, il était donc sur le point d’être lancé. Nous voulions nous assurer que l’expérience soit impeccable dès le premier jour, c’était donc le but de la décision. […] Nous avons une bonne visibilité pour que le jeu arrive à temps et avec une grande qualité.
Plus tard dans l’appel, Frédérick Duguet, directeur financier de l’entreprise, a confirmé que la décision d’Ubisoft de retarder le jeu avait été influencée par la mauvaise réception de Star Wars Outlaws, qui n’était pas aussi optimisé qu’il aurait dû l’être et qui a sous-performé commercialement.
À la suite de ce que nous avons vu avec Star Wars Outlaws, nous devons vraiment nous assurer de proposer une expérience de jeu impeccable dès le premier jour. Bien sûr, il y a toujours quelques bugs, mais nous nous sommes concentrés, et nous continuons de le faire, pour nous assurer que l’expérience du premier jour sera bien optimisée.
Un retard qui entraînerait 20 millions d’euros supplémentaires de coûts de développement pour Assassin’s Creed Shadows.
Assassin’s Creed Shadows est attendu pour sur PC, PS5 et Xbox Series X|S pour le 15 février 2025.
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- News - Xenoblade Chronicles X : comparaison Switch vs Wii U alors que se confirme la reprise de la version occidentale du jeu (Switch)
News - Xenoblade Chronicles X : comparaison Switch vs Wii U alors que se confirme la reprise de la version occidentale du jeu (Switch)
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- News - Nintendo dément une rumeur de licenciements massifs chez Mario Club
News - Nintendo dément une rumeur de licenciements massifs chez Mario Club
Nintendo confirme qu’aucun licenciement n’a eu lieu dans sa filiale Mario Club, en charge du testing de jeux vidéo, après une rumeur affirmant que 150 employés auraient perdu leur poste.
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- Test de EA Sports WRC - Attention au dérapage / MÀJ du 30.10.2024 : test du pass d'extension saison 2024
Test de EA Sports WRC - Attention au dérapage / MÀJ du 30.10.2024 : test du pass d'extension saison 2024
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- PlayStation Plus : la liste des jeux offerts pour novembre 2024 avec l’officialisation d’un jeu Death Note (abonnement Essential)
PlayStation Plus : la liste des jeux offerts pour novembre 2024 avec l’officialisation d’un jeu Death Note (abonnement Essential)
Comme prévu, les jeux PlayStation Plus pour le mois de novembre 2024 ont été annoncés cet après-midi. Outre la présence habituelle de trois titres différents, nous apprenons que le jeu Death Note qui avait fuité il y a quelques semaines via des organismes de classification a été officialisé.
Alors ça pour une surprise… Alors que nous attendions impatiemment l’annonce des jeux destinés aux abonnés du service PlayStation Plus pour le prochain mois, nous apprenons par le même biais la sortie d’un jeu Death Note. En effet, Death Note: Killer Within est donc officialisé sur PS5 et PS4 avec une sortie day one sur le PlayStation. Découvrez ci-dessous le pitch de départ de cette adaptation sur nos consoles :
Death Note: Killer Within est un jeu de déduction sociale en ligne pour un maximum de 10 joueurs. Les joueurs seront divisés en deux équipes poursuivant des objectifs différents. Pour gagner, les joueurs devront démasquer les autres afin d’éliminer L qui menace le pouvoir de Kira ou de s’emparer du Death Note. Faites chauffer vos méninges sous les traits de Kira et de ses fidèles ou incarnez L et les enquêteurs dans le monde de Death Note. Si, au départ, les deux équipes sont à égalité, chacune devra tenter de contrôler le jeu tout en dissimulant sa véritable identité. Le Death Note se cache parmi les joueurs, ce qui engendrera une partie de chat et de la souris jusqu’à ce qu’une équipe surclasse l’équipe adverse. Chaque rôle possède ses caractéristiques propres, vous procurant un sens aigu de la stratégie et du jeu tactique. Selon le rôle qui vous a été assigné, vous aurez accès à diverses stratégies, et chaque scénario aléatoire se changera en jeu tactique aux enjeux élevés.
D’autres titres sont au programme, dont l’une des dernières productions Bethesda à être paru sur PS5 et un jeu de voiture arcade qui nous avait fortement plu lors de sa sortie l’année dernière. Voici le programme complet des jeux qui seront disponibles à partir du mardi 5 novembre 2024 – 11h00 :
- Hot Wheels Unleashed 2: Turbocharged (PS5/PS4)
- Ghostwire: Tokyo (PS5)
- Death Note: Killer Within (PS5/PS4)
N’oubliez pas que vous avez jusqu’au lundi 2 décembre 2024 pour les ajouter dans votre bibliothèque. Vous pourrez bien entendu y jouer et les télécharger à volonté tant que vous possédez un abonnement PlayStation Plus actif.
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- Code promo JOL x Gamesplanet : Monster Hunter Wilds en bêta ouverte et en précommande jusqu'à -13%
Code promo JOL x Gamesplanet : Monster Hunter Wilds en bêta ouverte et en précommande jusqu'à -13%
News - Du gameplay pour Tales of Graces Remastered (Switch)
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Phasmophobia sort en accès anticipé sur consoles avec un événement spécial Halloween
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- ON A LU | La saga Dragon Age : Le diamant brut de Bioware – Third Éditions
ON A LU | La saga Dragon Age : Le diamant brut de Bioware – Third Éditions
Il fut un temps où la simple appellation d’un studio suggérait une production vidéoludique à couper le souffle. Ce fut le cas de BioWare qui, à une époque, était au sommet avec des titres légendaires comme Baldur’s Gate, Mass Effect ou encore le mythique Dragon Age. Alors que le premier est passé de main en main et que le second a connu une fin tragique, le dernier est sur le point de connaître un renouveau même si son histoire reste encore à écrire. Et pour la comprendre, qui de mieux que Third Éditions pour nous la conter ? Ami lecteur, amie lectrice, ne soyez pas timides et découvrez un univers aussi complexe que fascinant où, pour atteindre le monde que l’on désire, il faut savoir prendre de regrettables mesures.
Article réalisé grâce à une copie (édition classique) fournie par la maison d’édition
Avant même de vous donner notre ressenti lors de la lecture de ce nouvel ouvrage, vous devez savoir que nous sommes de parfaits inconnus de la licence Dragon Age. Seul le nom, doté d’une véritable aura, nous est familier ainsi qu’un léger début sur Inquisition. Et, lors de notre première lecture, son monde fut difficilement accessible tant celui-ci est dense et comporte nombre de références que nous ne possédons pas. Pour autant, même s’il a été compliqué d’apprécier les débuts, nous avons fini par comprendre un peu plus ses enjeux au moment de nous procurer Dragon Age: Origins. Ainsi commence notre aventure et notre lecture, tels de jeunes aventuriers faisant face à la détresse d’un Enclin à venir.
Écrit par Jonathan Petitot, professeur de lettres dans l’enseignement secondaire, mais avant tout fan de la première heure de la licence Dragon Age, le récit qui nous est offert s’apparente davantage à un morceau d’histoire qu’à une véritable enquête sur la création de Bioware. Tel un historien dans la grande bibliothèque du Palais d’Hiver, Jonathan nous dévoile les fondements de Thedas et de l’univers de Dragon Age à travers une première partie sur le lore. Un point de vue qui dénote par rapport à d’autres productions de chez Third Éditions, mais qui prend tout son sens lorsque l’on sait que la saga est souvent comparée aux œuvres de J.R.R Tolkien. Il sera donc difficile de conseiller le livre à un nouveau venu, tant les termes employés ainsi que les noms pourront en rebuter plus d’un. Si, comme nous, vous êtes des néophytes et que vous n’avez pas peur de plonger dans cet univers complexe, nous vous conseillons vivement de vous procurer Dragon Age Origin. Un combo parfait pour apprécier davantage la complexité de ce monde tout en ayant un maximum de réponses à vos questions. En revanche, pour les fans de la première heure, vous aurez ici une véritable épopée temporelle qui vous rappellera de magnifiques souvenirs.
- Titre : La saga Dragon Age: Le diamant brut de BioWare
- Auteur : Jonathan Petitot
- Éditeur : Third Éditions
- Illustration de couverture : Anato Finnstark
- Nombre de pages : 224
- Prix : 24.90€ (acheter)
Le livre se construit autour de quatre parties : l’explication des races, l’importance de la licence Dragon Age pour BioWare, un retour sur l’histoire des trois jeux et une analyse de son influence. Via ces quatre parties, deux schémas de lecture s’offrent à nous. Le premier, sous forme de lexique, sera le plus difficile à apprécier pour les néophytes, mais aura une importance cruciale dans la crédibilité du monde qui s’écrit devant vous. Le second schéma est plus personnel, où Jonathan réalisera une véritable enquête construite sur différents points. Sur cette dernière, nous reconnaîtrons la rigueur d’un professeur, utilisant références et recherches pour appuyer ses propos, tout en décortiquant un maximum la conception d’un tel mastodonte. En comprenant cela, la logique de “Partie” perd tout son sens, car pouvant être lue en commençant le récit où bon nous semble. Ainsi, nous avons largement apprécié la lecture à partir de la partie 2, beaucoup plus axée sur l’impact de Dragon Age pour BioWare tout en ayant des explications sur les références culturelles du jeu ou encore ses doublages.
Ainsi, ses quatre parties se trouvent condensées dans un magnifique ouvrage de 224 pages et écrites d’une main de maître. Usant de son point de vue de fans pour venir nous délivrer un maximum d’informations sur son univers. Détails croustillants, noms d’auteurs ou de développeurs importants, évolution de leur statut ou encore influence des moteurs de rendus sur la production des jeux, tout y passe. Même la petite anecdote concernant le choix du nom Dragon Age venant d’une proposition donnée par un générateur de nom aléatoire ayant proposé Age of the Dragons. Ou encore celle du nom de Thedas, venant de la contraction de « The Dragon Age Settings ». L’ensemble de ces petites informations sera davantage utilisé dans les parties d’analytiques que celle qui traite réellement des jeux, utilisant et usant de citations tirées des récits d’objets ou alors de PNJ rencontrés par les joueurs.
Lors des passages expliquant la trame des jeux, nous ne pouvons pas précisément donner notre avis, tant notre connaissance des enjeux et des personnages importants de Thedas nous est inconnue. Toutefois, pour un initié ou un fan de la première heure, ces passages seront une véritable mine d’or d’informations, voire un instant de nostalgie. Jonathan offre énormément de détails sur les événements importants ou encore les personnages ayant côtoyé le joueur. Nous ressentons, à chacune des lignes, sa passion pour la création de BioWare. À tel point que, comme pour Origin, nous imaginions Duncan nous contant ses histoires. Pour autant, avec autant d’enthousiasme et de détails, un novice pourrait éprouver une sensation de vertige similaire à une première fois sur du Tolkien, avec des noms de villes ou de cités difficiles à retenir, ou encore des personnages importants à mémoriser.
Tout comme il est le diamant brut de BioWare, l’esthétique voulue par Third Éditions pour cet ouvrage l’est tout autant. Disponibles en deux versions, First Print et original, nous avons eu l’opportunité de mettre les mains sur une version originale du plus sobre effet comparée à d’autres productions comme Assassin’s Creed ou encore Doom. Un aspect plus “classique” qui n’est pas des plus déplaisants, car arborant une magnifique illustration de Anato Finnstark, ayant déjà réalisé des illustrations pour le jeu de cartes Magic the Gathering et nous rappelant nos parties de Donjon & Dragon. De plus, le choix de la palette de couleurs assez ternes, n’est pas sans rappeler le premier Dragon Age, portant en lui un choix artistique contraint par ses techniques. Pour sa version First Print, cela sera tout l’inverse. Illustré des couleurs pétantes de Guy Pascal Vallez, celui-ci touchera alors un peu plus les amateurs d’un Inquisition ou d’un Veilguard. Marquant à coup sûr votre bibliothèque d’une empreinte bien spéciale. Que cela soit pour l’original ou le First Print, Third Éditions reste fidèle à eux-mêmes concernant la qualité d’impression avec un système en dos carré, l’un des plus résistants, et d’une couverture cartonnée. Malheureusement, et en comparaison avec d’autres ouvrages, celui-ci sera légèrement en deçà au niveau du détail, avec peu d’images ou d’icônes tirées de la licence. Même si, en totale honnêteté, ce genre de chose n’est que purement esthétique et ne sert simplement qu’à faire plaisir aux fans.
Verdict : Fan de Thedas
Au-delà de son aura mystique, la saga Dragon Age : le diamant brut de BioWare aura réussi à nous intriguer malgré un début assez difficile. Destiné avant tout aux fans, l’ouvrage arrivera finalement à attirer la curiosité d’un néophyte en lui donnant envie de se plonger dans le mystérieux monde de Dragon Age. Surtout lorsque le premier volet se trouve en dessous des 20€ et tourne facilement sur n’importe quelle machine actuelle. Se lisant assez rapidement pour les parties axées sur l’analyse, le livre est assez simple à aborder lorsque l’on comprend la logique de l’auteur. Pour le reste, on se retrouve avec énormément d’informations et de détails qui raviront les aventuriers de la première, seconde ou troisième heure. Alors que Dragon Age Veilguard sort dans peu de temps / est déjà sorti, il semble être un indispensable pour celles et ceux souhaitant se replonger dans son univers sans pour autant y refaire ses aventures. Un résumé complet condensé en 224 pages, et qui prônera fièrement dans vos bibliothèques, attendant patiemment votre retour.
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PREVIEW | On a testé Crimson Desert sur PC
Depuis son annonce en 2020, Crimson Desert est un projet qui a subi plusieurs changements pendant son développement pour finalement s’avérer complètement indépendant du premier titre nommé tout en y conservant certains éléments. Lors de la Paris Games Week 2024, nous avons pu essayer ce titre développé par les Sud-Coréens de chez Pearl Abyss. Après avoir été une heure entre nos mains, découvrez notre premier ressenti sur cet exigeant open world action aventure.
Preview réalisée sur PC lors d’un événement presse organisé lors de la Paris Games Week 2024
Un ambitieux projet
Alors que les open world sont de plus en plus nombreux sur le marché, Pearl Abyss développe Crimson Desert depuis plus de quatre ans, un titre ambitieux qui s’est montré au cours de ces derniers mois par diverses vidéos de gameplay. Ainsi, nous avons pu nous essayer dans une version de démonstration sur la même build que celle proposée lors de la Gamescom 2024 : à savoir l’enchaînement de plusieurs combats de boss aussi épiques les uns que les autres, mais nous y reviendrons plus tard. Lors de notre essai, l’équipe de développement nous a présenté par le biais d’une vidéo de présentation très bien expliquée, le gameplay du titre ainsi que les principales fonctionnalités de ce dernier. Une fois les présentations faites, nous avons pu nous essayer pendant une heure sur le jeu.
Crimson Desert est un jeu d’action/aventure à monde ouvert qui se reposera plusieurs composantes : l’exploration via un gigantesque monde ouvert, le combat, mais également la gestion de nos coéquipiers. Si nous n’avons pu nous essayer que sur les combats, cela nous a tout de même permis de nous faire un premier avis sur quelques éléments. Tout d’abord, Crimson Desert est un titre bluffant visuellement parlant. Contrairement à ce que nous pensions avant de démarrer notre session de jeu, le titre ne fonctionne pas sous Unreal Engine 5, mais bien sous un moteur technique prioritaire développé par Pearl Abyss, à savoir le BlackSpace. Ce choix est notamment condensé par la volonté de la part des développeurs d’être libres dans la gestion des collisions, de la physique et le développement d’un moteur maison répondait nettement plus aux exigences par rapport à un moteur externe. Entre les textures d’excellentes factures, les animations au poil et les nombreux effets de lumière et de particules qui s’agitent lors de nos différentes joutes, Crimson Desert nous a impressionné dans sa réalisation. À noter également que la distance d’affichage était importante et nous avons pu voir à quel point Crimson Desert s’annonce comme une vaste expérience. Attention cependant, nous avons joué sur une bécane très puissante, et il faudra attendre de voir l’optimisation finale pour des plus petites configurations.
Des combats de boss épiques
Vous l’aurez compris, notre session de jeu s’est avant tout axée sur les combats et notamment les rencontres face à plusieurs boss aussi imprévisibles les uns que les autres. Précisons que lors de notre session, nous avons eu le choix entre le combo clavier/souris et une manette DualSense : nous avons opté pour la seconde option. Sachez que tous les boss auxquels nous nous sommes confrontés ont déjà été présentés par l’éditeur via plusieurs vidéos de gameplay disponibles à cette adresse. Avant de rentrer dans le vif du sujet, nous avons eu le droit à un court combat face à des ennemis plus faibles pour nous familiariser avec le gameplay du titre. Avec une vue TPS, nous avons le droit à des combats nous demandant d’utiliser habilement notre arme de corps-à-corps, notre arc ainsi que notre bouclier pour parer les attaques. Enfin, nous avons également la possibilité d’esquiver, mais attention à ne pas en abuser puisque nous disposons d’une jauge d’énergie et une fois vide, il faudra patienter pour pouvoir de nouveau exécuter ces esquives.
Si le joueur peut personnaliser son attirail en récupérant du loot après avoir défait un ennemi par exemple, il dispose par ailleurs de plusieurs compétences qui lui permettront de prendre le dessus sur certains boss. En plus de cela, il est possible grâce à une jauge de concentration de ralentir l’environnement pour ainsi esquiver plus facilement un éventuel coup ou encore d’en profiter pour utiliser une arme longue distance, dont l’arc avec des flèches explosives diablement efficaces. Enfin, nous avons pu voir d’autres possibilités comme notamment le fait de pouvoir planer en nous transformant en corbeau, ce qui fut utile notamment face à un boss bien précis lorsque ce dernier nous éjectait haut dans le ciel bleu de ce magnifique monde ouvert. À noter que pour chaque combat de boss, une mise en scène a lieu avec des dialogues et des doublages de qualité dans la langue de Shakespeare. Nous ne savons pas en revanche si la version finale disposera de doublages en français.
Les combats de boss de Crimson Desert sont exigeants, mais les développeurs nous ont confirmé une information importante : le jeu n’est pas vendu comme étant un Souls-like, mais bien un jeu d’action open world. Il faut admettre que nous avons éprouvé des difficultés à nous défaire des premiers ennemis et qu’il est vrai qu’au premier contact, ce Crimson Desert peut s’avérer difficile tant il y a de choses qui apparaissent à l’écran et que le gameplay mérite qu’on s’y attarde quelques heures avant de se lancer dans de dures confrontations. Heureusement, nous pouvions, lors de notre session, revivre instantanément après une mort ou encore de nombreux soins à notre disposition. Par rapport à cette option de pouvoir réapparaître immédiatement sans tout recommencer, les développeurs ignorent encore si cette possibilité sera donnée aux joueurs via une compétence spécifique ou un niveau de difficulté. Un choix de game design qui aura un impact important sur l’expérience et le ton que les développeurs souhaitent donner à leur jeu.
Nous avons donc eu affaire à quatre boss aussi coriaces les uns que les autres : le Diable des Roseaux qui disposaient d’une vitesse d’exécution impressionnante, le Roi Cerf qui infligeait au corps-à-corps des dégâts colossaux, la créature fantastique Cornes Blanches qui était mobile et difficile à cerner ainsi que la Reine Caraparoche qui nous demandait de trouver ses points faibles puis d’utiliser une compétence spéciale pour en venir à bout. Chaque boss avait des faiblesses spécifiques (expliquées avant le début de notre preview pour le bien de notre session) avec des patterns bien précis qu’il fallait comprendre pour anticiper et frapper lorsque le moment était opportun : les fenêtres de parade étant minimales, Crimson Desert récompensera votre capacité d’analyse et votre persévérance. Malgré notre niveau qui ne fut pas brillant, nous avons senti au fur et à mesure de notre expérience de jeu une amélioration considérable dans la compréhension de son gameplay et nul doute que le titre récompensera les plus téméraires. On comprend mieux finalement la proposition de PlayStation de faire de ce Crimson Desert une potentielle exclusivité console, bien que cette proposition fût balayée par les développeurs. Lors de notre session, sachez que le sound design ainsi que les thèmes qui accompagnaient nos joutes ont été de haute volée.
Verdict : on en veut plus !
Crimson Desert se présente donc comme un titre exigeant qui mettra vos talents à rude épreuve, notamment sur les nombreux boss présents dans le jeu final. Si nous n’avons pu essayer le monde ouvert et y découvrir les secrets qu’il renferme, les combats de boss sont impressionnants dans tous les sens du terme. Avec des effets visuels qui éclatent la rétine, des patterns qui demandent une fine analyse de la part du joueur et un sentiment de progression important au cours de notre session, ce Crimson Desert est un titre ambitieux qu’il faudra absolument suivre en 2025.
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Le studio derrière Concord ferme ses portes
Après avoir décidé de fermer les serveurs du jeu et de rembourser ses acquéreurs, Sony Interactive Entertainment a finalement décidé de fermer Firewalk Studios, les studios à l’origine de Concord.
Près de deux semaines après la sortie du jeu en août dernier et suite à des résultats plus que mitigés avec seulement 25 000 copies vendues, Sony avait décidé de retirer le jeu de la vente, de fermer ses serveurs et de rembourser ses acheteurs. Bien que l’idée était initialement de retravailler le jeu afin de le corriger, pour ensuite revenir plus fort sur ce marché ultra-concurrentiel, la firme a finalement décidé de fermer les studios.
Fondé en 2018, Firewalk regroupait des vétérans de l’industrie du jeu vidéo et travaillaient depuis près de huit ans sur Concord jusqu’à ce que Sony rachète Firewalk en 2022 puis intègre officiellement le studio un an plus tard. Ce jeu de tir multijoueur représentait une énième tentative de Sony de percer dans le secteur des jeux en ligne, un marché en constante évolution et très compétitif avec, notamment, de nombreux acteurs free-to-play.
Dans un communiqué publié sur X, Firewalk laisse un dernier message d’adieu et de remerciement. Une fermeture de studio implique hélas de nombreux licenciements et bien que le titre n’ait pas reçu un accueil positif, nous ne pouvons que soutenir ses collaborateurs qui ne méritaient pas cela.
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Path of Exile 2 : La date de sortie anticipée est reportée à décembre
Attendu par les fans du premier volet, Path of Exile 2 est le futur action RPG de chez Grinding Gear Games. Alors que la sortie de l’accès anticipé devait se faire bientôt, celle-ci se voit repoussée à décembre.
Suite directe du premier volet sorti en 2013, Path of Exile 2 est un action RPG dans un monde fantastique assez sombre, rappelant ce que Blizzard propose avec son Diablo. Alors que le second volet devait ouvrir ses portes le 15 novembre, il en sera autrement, car le studio décide de décaler la date de sortie pour le 6 décembre prochain.
Jonathan Rodgers, le directeur du jeu, profite d’une vidéo pour expliquer le choix du studio de repousser la sortie du titre. Il y explique que le jeu en lui-même est bon, et que le problème ne viendrait pas de là, mais plutôt des infrastructures côté serveur qui, malheureusement, prennent plus de temps que prévu. Un second problème évoqué est le fait de devoir adapter le système de comptes de joueurs sur les consoles Xbox Series et PS5 pour correspondre aux attentes données au joueur concernant les microtransactions, et cela, à la fois sur Path of Exile 1 et 2. Cela implique donc de créer un « tas de nouveaux systèmes » ainsi que d’assurer que les anciennes données soient rétrocompatibles avec eux.
En attendant de pouvoir assister au prochain livestream de Grinding Gear, Path of Exile 2 sortira en accès anticipé le 6 décembre prochain sur PS5, Xbox Series X|S et PC.
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