Vous avez un budget peu extensible et cherchez les meilleures performances possibles en usage productif pour une plateforme AMD AM5 ? Voici une offre faite pour vous car Amazon place le Ryzen 9 9900X et ses 12 cœurs Zen 5 à un tarif encore jamais vu en France. Elle avait déjà été vue durant quelques...
L'AliveCor KardiaMobile 6L est un appareil de mesure de la fréquence cardiaque, capable de détecter les fibrillations auriculaires avec une précision chirurgicale en seulement 30 secondes. Avec la remise dont il profite jusqu'à ce soir, vous pouvez vous l'offrir à un prix bien plus accessible. Ne tardez pas !
Depuis quelques jours un projet nommé Valve Fremont agite quelque peu la toile. Il faut dire que le milieu de la console Handheld est particulièrement actif, mode lancée par Valve et son Steam Deck il y a pas mal d'années. Le matos qui sert à donner vie à ces machines est le nerf de la guerre, et de...
COUGAR Gaming a sorti sa nouvelle chaise de jeu la COUGAR DEFENSOR S. Au programme, le système de soutien lombaire PushBack, des accoudoirs rabattables 4D, une assise plus profonde et plus large et un revêtement semblable au cuir pour améliorer la respirabilité.
COUGAR DEFENSOR S : le confort avant tout
La nouvelle chaise est dotée du système de soutien lombaire avancé PushBack qui aide à maintenir la courbure naturelle de la colonne lombaire. Intégré directement dans le Defensor S, il vous permet d’ajuster avec précision la pression appliquée sur le bas de votre dos, soulageant ainsi la pression sur votre structure vertébrale en encourageant un alignement orthopédique solide.
De plus, la COUGAR DEFENSOR S profite d’un oreiller cervical en mousse à mémoire de forme magnétique qui vous permet de le positionner facilement selon vos préférences. La mousse à mémoire de forme s’adapte à la forme de votre corps, soulageant la pression sur votre cou et vous assurant de rester en bonne santé pendant ces longues sessions de jeu. La mousse moulée à haute densité épouse étroitement la forme de votre dos au fil du temps pour un confort supérieur et un soutien robuste.
Recouvert exclusivement d’un tissu semblable au cuir, la COUGAR Defensor S offre une finition lisse et tactile qui équilibre la durabilité avec un attrait haut de gamme. Ce matériau avancé est respirant, résiste à l’usure et est organique et souple au toucher.
Enfin, la chaise profite d’un siège redessiné, plus profond, plus large et conçu pour une meilleure répartition du poids. Ce sommier mis à jour améliore la stabilité en position assise tout en améliorant le soutien ergonomique sur de plus longues périodes.
Autres caractéristiques de la COUGAR DEFENSOR S :
Accoudoirs rabattables 4D : développés à l’origine pour la chaise de jeu officielle COUGAR x VCT 2024 et rigoureusement testés dans l’arène de l’esport, les accoudoirs rabattables 4D soutiennent les bras en cas de besoin ou peuvent être entièrement repliés, libérant de l’espace pour les joueurs qui préfèrent une mobilité maximale des bras. Les manches amovibles en velours adoucissent les accoudoirs rabattables 4D avec une sensation de chaleur et de douceur.
Stockage supplémentaire : la Defensor S dispose d’une poche arrière pour ranger facilement les objets essentiels.
Vérin à gaz de classe 4 : le vérin de levage à gaz de classe TÜV garantit un réglage en hauteur sûr, fiable et en douceur.
Une base solide : la base 5 branches en alliage d’acier et les roues extra-dimensionnées garantissent la stabilité sans compromettre la mobilité.
Des réglages supplémentaires : Inclinaison à 155º, réglage de la hauteur du piston et réglage de la tension d’inclinaison
Au choix, trois coloris : Army Green, bleu Marine et Jet Gray.
Ninja Gaiden 4 : le retour sanglant d’une légende hack’n’slash ! Ryu Hayabusa s’efface, un nouveau ninja s’élance. Treize ans après le dernier opus, Ninja Gaiden 4 ressuscite la franchise avec un visage inédit : Yakumo, jeune prodige du clan Raven, prêt à en découdre dans un Tokyo corrompu jusqu’à la moelle.
Oubliez les ruelles paisibles et les temples perchés. Cette fois, le décor a viré au cauchemar : la ville est gangrenée par une force obscure, le Dragon Noir, et la survie des ninjas ne tient plus qu’à un fil. L’ambiance ? Une dystopie urbaine, trempée dans le sang et la pluie acide. Tout sauf un retour paisible.
Une sortie calée pour l’automne
Marquez la date : le jeu sortira le 21 octobre 2025. Cerise sur le shuriken : les abonnés Xbox Game Pass y auront accès dès le jour J.
Sur quelles plateformes y jouer ?
Ninja Gaiden 4 débarquera sur Xbox Series X|S, PlayStation 5 et PC. Pour l’instant, aucune info sur une éventuelle version Switch 2. Les fans Nintendo devront donc s’armer de patience (ou d’un bon émulateur, mais chut…).
Trailers et gameplay : le sabre a parlé
L’annonce initiale a eu lieu en janvier 2025, lors du Developer Direct Xbox, avec un premier trailer qui plantait déjà un décor lourd de tension.
Puis à la Summer Game Fest 2025, la bande-annonce de gameplay a levé le voile sur Yakumo en pleine action, tout en confirmant la présence de Ryu dans le scénario.
Enfin, la Gamescom Opening Night a servi de troisième salve, révélant de nouveaux ennemis, des éléments scénaristiques clés et un Tokyo plus sombre que jamais.
Un scénario entre héritage et chaos
Yakumo ne débarque pas en terrain conquis. Le Dragon Noir a transformé Tokyo en champ de ruines, infesté de créatures difformes et de cultes fanatiques. La mission ? Nettoyer le chaos, affronter ses propres démons et, accessoirement, croiser le sabre avec Ryu Hayabusa.
Si Yakumo incarne la relève, Ryu ne joue pas les figurants. L’ancien héros est toujours là, plus affûté que jamais. Le choc des générations s’annonce brutal — et hautement stylisé.
Configuration PC : exigeant ce Ninja Gaiden 4 ? Pas vraiment
Bonne nouvelle : Ninja Gaiden 4 ne réclame pas une machine de guerre. Voici les specs officielles :
Notes importantes :
• Un SSD est obligatoire pour des temps de chargement acceptables
• La configuration recommandée offre une expérience de jeu plus fluide et visuellement améliorée
• FSR (FidelityFX Super Resolution) permet d’améliorer les performances tout en maintenant une bonne qualité d’image
Bref, une config milieu de gamme suffit pour profiter du jeu en conditions correctes.
Verdict : Yakumo entre dans la légende ?
Ninja Gaiden 4 signe un retour aussi inattendu que prometteur. Nouveau héros, ambiance poisseuse, gameplay affûté et accessibilité technique : tout semble aligné pour une résurrection réussie. Il ne reste plus qu’à voir si Yakumo parviendra à écrire sa propre légende dans l’ombre du mythique Hayabusa.
Ce n'est pas la première fois que l'on annonce la fin de vie du chipset B650. Si vous vous souvenez de ce billet pas si vieux qui date du mois de mai 2025, il se murmurait que son statut était passé en End of Life. À l'époque, nous trouvions logique qu'il disparaisse au profit des B850 et B840, en s...
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Les vacances d'été touchent à leur fin et les élèves sont sur le point de reprendre le chemin de l'école !
Il est déjà temps de penser aux achats de la rentrée scolaire. Que vos enfants soient au collège ou à l'université et s'apprêtent à emménager dans leur chambre universitaire, ils auront besoin d'un ordinateur portable pour la nouvelle année scolaire.
Si vous ne connaissez pas grand-chose aux logiciels informatiques, Godeal24 vous recommande la suite bureautique la mieux notée d'Office : Office 2021 !
La Suite Office est populaire depuis deux décennies pour ses outils de productivité destinés aux professionnels et aux étudiants.
Créer et modifier du contenu textuel, créer des présentations, gérer des e-mails professionnels, préparer des feuilles de données ou prendre des notes, la Suite Microsoft Office fait tout cela.
Ne vous inquiétez pas, ce n'est pas si cher ! Microsoft Office 2021 est en promotion dans le cadre des promos de rentrée scolaire de Godeal24.
Office Professional 2021 est disponible à partir d'aujourd'hui pour seulement 31,25 € (au lieu de 249 €).
Votre achat unique d'Office 2021 vous donne un accès à vie aux applications suivantes : Word, Excel, PowerPoint, Outlook, OneNote, Teams, Publisher et Access.
La Suite fonctionne sous Windows 10 ou 11 et prend en charge toutes les langues. Vous bénéficierez également de liens de téléchargement instantanés, de clés de licence et d'un Service Client gratuit.
À Taipei comme à Cologne, ça ne plaisante pas. Pour la Gamescom 2025, MSI sort l’artillerie lourde et souffle les dix bougies de sa série GODLIKE avec panache. Depuis 2015, la série GODLIKE s’impose comme l’élite de la carte mère haut de gamme.
Et pour fêter dix ans de performances démesurées, MSI sort le grand jeu avec une édition collector qui allie design exclusif et capacités d’overclocking taillées pour les records : la MEG X870E GODLIKE X Edition. Une version encore plus luxueuse et affûtée de la GODLIKE que nous avons déjà eu entre les mains en test et qui nous avait clairement laissés sur notre faim… de puissance.
GODLIKE X Edition : 1 000 exemplaires, pas un de plus
Édition limitée oblige, seuls 1 000 chanceux mettront la main sur cette carte mère hors catégorie, livrée avec un socle de collection, une peluche Lucky noire et une plaque dorée numérotée. Le tout couronné de finitions en X, clin d’œil assumé à cette génération anniversaire.
Côté specs, on est sur du très lourd :
Dynamic Dashboard III pour garder un œil sur tout
EZ Link pour connecter, configurer, performer
M.2 XPANDER-Z SLIDER GEN5 avec EZ Slide pour installer les SSD comme dans un rêve
MSI X870E MAX : le nouveau standard AM5 est là
En parallèle, MSI présente sa toute nouvelle gamme X870E MAX, pensée pour tirer le meilleur des processeurs AMD AM5 et aller chercher les sommets en overclocking. Avec son OC Engine maison et son Direct OC Jumper, vous jouez avec la fréquence BCLK en temps réel, sans redémarrage.
Mais ce n’est pas tout :
BIOS de 64MB
Wi-Fi 7, USB 40 Gbps, 5G LAN (10G sur certains modèles)
PCIe lane bifurcation optimisée pour un maximum de bande passante
Et surtout : EZ PCIe Release et EZ M.2 Installation pour monter/démonter sans se ruiner les doigts
Customisation EZ DIY : MSI soigne les détails
Parce que la performance ne suffit plus, MSI mise aussi sur le confort et le style pour séduire les builders exigeants.
MPG CORELIQUID P13 : watercooling à écran LCD 2,1”, tubes gainés, look épuré et compatibilité totale (Intel & AMD)
MEG MAESTRO 900 : boîtier haut de gamme avec plateau carte mère orientable, I/O personnalisable et support watercooling custom
MAG PANO 130R PZ : vue panoramique, back-connect et support GPU rotatif
MAG VIEW XPANDER 12 : écran 12,3” dual-mode à intégrer dans le boîtier ou poser sur le bureau
MAG A1000GL PCIE5 WHITE : alimentation blanche 1000W taillée pour les RTX 5080/5090
MSI Into the Future : un show virtuel et un gros giveaway
Enfin, MSI vous donne rendez-vous sur YouTube pour son événement « Into the Future – Virtual Premiere ». L’occasion de découvrir toutes les nouveautés des gammes MEG, MPG et MAG, mais aussi de participer à un tirage au sort de 10 000 $ en matos gaming.
En résumé
Avec ses cartes mères X870E MAX et son édition GODLIKE X, MSI célèbre 10 ans d’excellence tout en posant les bases du futur. Entre innovation technique et plaisir de montage, 2025 s’annonce comme une année charnière pour les fans de hardware.
À l’aube de la nouvelle extension World of Warcraft: MIDNIGHT, l’univers d’Azeroth s’assombrit. Le Vide étend son emprise, prêt à engloutir tout sur son passage. Face à lui, la Lumière appelle les héros à la résistance. Et vous, de quel côté serez-vous ?
Blizzard et MSI s’associent (encore une fois) pour vous plonger au cœur de cette lutte cosmique à travers une campagne inédite, où vos choix influenceront bien plus que le lore… Ils décideront du destin d’une carte graphique collector, aux couleurs de WoW: MIDNIGHT.
Choisissez votre camp et influencez le futur… d’un GPU
Le principe est simple : plongez dans la bataille en choisissant votre camp via les réseaux sociaux — #VOID si vous cédez à l’appel du Vide, #LIGHT si vous défendez la Lumière. N’oubliez pas d’ajouter le hashtag #MSIxMIDNIGHT pour valider votre participation.
À la clé ? Une carte graphique exclusive, inspirée de l’esthétique sombre et mystique de l’extension. Un véritable artefact pour tout fan de WoW ou passionné de hardware.
Ou commentez sur les réseaux sociaux de MSI avec : #VOID ou #LIGHT + #MSIxMIDNIGHT
Durée de la campagne : du 20 août au 30 novembre 2025
En résumé
Avec World of Warcraft: MIDNIGHT, Blizzard et MSI transforment votre fidélité en acte de guerre symbolique — et potentiellement en carte graphique collector. Que vous choisissiez de sombrer dans le Vide ou de brandir la Lumière, l’issue dépend de vous.
Depuis son lancement sur Android, iOS et Windows, le benchmark 3DMark Solar Bay a été téléchargé par des centaines de milliers de joueurs désireux de savoir si leur smartphone ou leur PC léger pouvait encaisser la prochaine génération de jeux mobiles. Et pour cause : le test mettait déjà à l’épreuve les capacités graphiques avec un accent sur le ray tracing.
Mais dans le monde du gaming, rien ne reste figé très longtemps. Les puces se succèdent à une vitesse folle, et les constructeurs redoublent d’ingéniosité pour offrir des rendus toujours plus réalistes… sans vider la batterie en 10 minutes. Il était donc temps de faire évoluer Solar Bay.
Bienvenue à Solar Bay Extreme : un benchmark survitaminé
Solar Bay Extreme, c’est le nouveau terrain de jeu pour les appareils qui n’ont pas froid aux circuits. Cette version boostée du test ajoute une série d’effets ray tracing encore plus poussés : reflets spéculaires calculés pour toutes les surfaces, y compris le verre, et ombres douces projetées par une lumière directionnelle. Autant dire que si votre appareil passe ce test haut la main, il est prêt pour les jeux les plus exigeants de demain.
Et ce n’est pas tout. Pour pimenter les choses, une nouvelle zone de test fait son apparition : une seconde baie d’assemblage où une équipe rivale tente de construire sa propre installation solaire… plus vite que vous. Oui, c’est une guerre de pixels et de performances.
Une compatibilité large, une mise à jour gratuite
Solar Bay Extreme est dès maintenant disponible en mise à jour gratuite pour tous les possesseurs de 3DMark. Que vous soyez sur Windows (Intel, AMD ou ARM), macOS, iOS ou Android, vous pouvez pousser votre machine dans ses retranchements.
En résumé : un benchmark pour ceux qui veulent savoir
Solar Bay Extreme, c’est l’outil idéal pour tester l’endurance graphique de vos appareils, à l’heure où le ray tracing devient incontournable même sur mobile. À vous de jouer.
Meta continue de remodeler son approche de l’intelligence artificielle. Selon plusieurs sources, l’entreprise de Mark Zuckerberg a décidé de restructurer en profondeur son Meta Superintelligence Labs (MSL), une division stratégique qui rassemble plusieurs milliers d’employés et des chercheurs venus de […]
L’application open source Anytype continue d’évoluer à grande vitesse. Quelques mois après avoir été désignée notre application du mois en février 2025, elle revient avec une version 0.48 qui améliore aussi bien la navigation que l’édition de contenus. La principale […]
Après des années d’attente, l’un des bloqueurs de publicités les plus respectés du web arrive enfin sur Safari. L’extension uBlock Origin Lite, disponible gratuitement sur l’App Store pour macOS, iOS et iPadOS, permet aux utilisateurs du navigateur d’Apple de bénéficier […]
Circle Internet Group, société américaine en pleine croissance, vient d’annoncer l’acquisition de Malachite, un moteur de consensus distribué développé par Informal Systems. Objectif : en faire la pierre angulaire d’Arc, la blockchain de nouvelle génération que Circle prépare pour la finance […]
Vous cliquez sur ce qui semble être un bouton parfaitement normal sur un site web tout à fait normal… Sauf qu’en réalité, vous venez de donner accès à tous ce qui est stocké dans votre gestionnaire de mots de passe. C’est exactement ce que permet une nouvelle technique de clickjacking découverte par le chercheur Marek Tóth et qui affecte potentiellement 40 millions d’utilisateurs dans le monde.
Si vous utilisez 1Password, Bitwarden, LastPass, Enpass, iCloud Passwords ou LogMeOnce, mauvaise nouvelle : ils sont tous vulnérables. En fait, sur les 11 gestionnaires de mots de passe testés, tous présentaient cette faille. Certains ont déjà patché (Dashlane, Keeper, NordPass, ProtonPass et RoboForm), mais pour les autres, c’est toujours open bar pour les hackers.
Selon l’analyse de Marek Tóth, les attaquants exploitent la façon dont les extensions de navigateur injectent leurs éléments dans les pages web. Ils créent une couche invisible par-dessus les boutons du gestionnaire de mots de passe et quand vous pensez cliquer sur un élément tout à fait innocent de la page, vous activez en réalité l’auto-remplissage (autofill) de votre gestionnaire.
Un seul clic suffit. Les pirates peuvent alors récupérer vos identifiants de connexion, vos codes de double authentification, vos numéros de carte bancaire avec le code de sécurité, et même dans certains cas, détourner vos passkeys. Le tout sans que vous ne vous rendiez compte de quoi que ce soit.
Voici une démo avec le piège :
Vous n’avez rien vu ?
Alors regardez cette vidéo maintenant :
D’après BleepingComputer, les réactions des entreprises concernées sont… décevantes. 1Password a classé le rapport comme “hors périmètre”. LastPass l’a marqué comme “informatif”, ce qui en langage corporate signifie “on s’en fout”. LogMeOnce n’a même pas répondu aux chercheurs. Seul Bitwarden affirme avoir corrigé le problème dans la version 2025.8.0, mais les tests montrent que ce n’est pas totalement le cas.
Ce qui est vraiment dommage, c’est que cette vulnérabilité était évitable. Les gestionnaires remplissent automatiquement les identifiants non seulement sur le domaine principal, mais aussi sur tous les sous-domaines donc si un pirate trouve une faille XSS sur n’importe quel sous-domaine d’un site, il peut voler tous vos identifiants stockés pour ce site.
Socket, une entreprise de cybersécurité, a vérifié les résultats et confirme l’ampleur du problème. Les chercheurs ont découvert que 6 gestionnaires sur 9 pouvaient divulguer les détails de carte bancaire, 8 sur 10 les informations personnelles, et 10 sur 11 les identifiants de connexion.
Alors comment se protéger ? Première chose, désactivez l’autofill. Oui, c’est chiant, mais c’est le seul moyen efficace pour le moment. Utilisez le copier-coller pour vos mots de passe. Et sur les navigateurs basés sur Chromium (Chrome, Edge, Brave), configurez l’accès aux sites de vos extensions sur “Au clic” plutôt qu’automatique. Ça vous donne le contrôle sur quand l’extension peut interagir avec la page.
Pour les plus paranos (et on ne peut pas vous en vouloir), activez les demandes de confirmation avant chaque remplissage automatique si votre gestionnaire le permet. C’est une friction supplémentaire, mais au moins vous verrez quand quelque chose tente d’accéder à vos données.
Le plus con dans cette histoire c’est que les gestionnaires de mots de passe sont censés nous protéger, mais cette vulnérabilité transforme notre bouclier en talon d’Achille. Les développeurs veulent rendre leurs outils faciles à utiliser, ce qui est louable mais chaque raccourci pris est une porte potentielle pour les attaquants. Et quand les entreprises ignorent les rapports de sécurité parce qu’elles les jugent “hors périmètre”, ce sont les utilisateurs qui risquent gros…
Bref, attendant que tous les gestionnaires corrigent cette faille, restez vigilants. Un clic de trop et c’est toute votre vie qui peut basculer.
Reçu hier — 20 août 20257.1.2 🖥️ Sites secondaires
Vous avez déjà eu besoin d’éditer rapidement un fichier audio mais vous n’aviez pas Audacity sous la main ? Ou vous êtes sur un ordinateur où vous ne pouvez pas installer de logiciel ? Alors Wavacity va vous sauver la mise ! (Oui, je sais que vous avez lu Wawacity… lol. Et vous allez voir, ce sera comme ça jusqu’à la fin de cet article… ^^)
Wavacity est tout simplement un portage web d’Audacity qui tourne directement dans votre navigateur. Pas d’install, pas de téléchargement, vous ouvrez le site et vous éditez votre audio, et c’est tout !
Pour vous proposer cette merveille, les développeurs ont porté Audacity en WebAssembly, une technologie qui permet de faire tourner du code natif dans le navigateur. Du coup, ça permet de retrouver l’interface familière d’Audacity avec ses outils de découpage, de collage, d’effets et tout le toutim, mais dans un onglet de navigateur.
Il vous faudra évidemment un navigateur moderne qui supporte cette technologie. Chrome et Firefox sur desktop feront parfaitement l’affaire… Par contre, Safari c’est moins sûr selon les développeurs.
L’interface ressemble trait pour trait à Audacity, ce qui est rassurant si vous connaissez déjà le logiciel. Vous pouvez importer vos fichiers audio, les découper, appliquer des effets, réduire le bruit, faire du multi-pistes… Bref, tout ce qu’on attend d’un éditeur audio digne de ce nom.
Après y’a quand même quelques limitations par rapport à la version desktop d’Audacity. Vous ne pourrez pas par exemple installer des plugins VST ou d’autres extensions externes, ce qui me semble assez logique. Mais pour de l’édition de base et même avancée, ça fait largement le boulot.
Bref, c’est top quand un pote vous demande de lui couper un extrait audio et que vous n’avez pas envie de télécharger et installer Audacity juste pour ça. Ou quand vous êtes sur un ordi public, ou en déplacement, ou dans un environnement où vous n’avez pas de droits administrateur pour installer des outils.
Wavacity rejoint ainsi la famille grandissante des éditeurs audio web comme AudioMass que j’avais déjà testé. Chacun a ses avantages et ses inconvénients, donc à vous de voir lequel vous préférez. Moi perso, je suis plus Ableton Live, même si c’est pas sur le web. Les habitudes, que voulez-vous…
Le projet est open source sous licence GNU GPL v2, comme Audacity, et disponible sur GitHub. Les développeurs précisent bien qu’ils ne sont ni affiliés ni soutenus par l’équipe d’Audacity. C’est un projet indépendant.
Pour un outil de dépannage ou pour des éditions rapides, c’est exactement ce qu’il nous fallait. Et qui sait, les outils portables accessibles en ligne dans le navigateur, c’est peut-être l’avenir ?
Bon, si vous utilisez Plex Media Server pour organiser vos films, séries et musiques, il faut que vous sachiez un truc important : une vulnérabilité vient d’être découverte et heureusement corrigée. Et c’est du sérieux, donc vous allez lire cet article et ensuite filer mettre à jour votre Plex !
La vulnérabilité touche les versions 1.41.7.x à 1.42.0.x du Media Server donc si vous êtes sur une de ces versions, il faudra passer à la 1.42.1.10060 ou plus récente maintenant !! Pas demain, hein ! Maintenant.
Plex reste discret sur les détails techniques de cette faille, pas de CVE attribué pour l’instant, pas d’explications détaillées sur ce qui pouvait être exploité. Mais leur communication parle d’elle-même etont même averti directement leurs utilisateurs par email, ce qui est assez rare. Généralement, ils se contentent des notes de version.
Le bug a été signalée via leur programme de bug bounty, ce qui a permis à Plex de corriger le problème avant qu’il ne soit exploité dans la nature et pour mettre à jour, c’est simple comme bonjour. Soit vous passez par l’interface d’administration de votre serveur, soit vous téléchargez la dernière version sur le site officiel de Plex.
C’est pourquoi le message de Plex est important : maintenez vos serveurs à jour car dans un environnement où nos bibliothèques multimédia sont souvent accessibles depuis l’extérieur, une faille de sécurité peut rapidement devenir problématique.
Mieux vaut être en sécurité que désolé, mes amis ! Pensez-y !
Ce que j’apprécie le plus dans tout ce qui est recherches en physique quantique, ce n’est pas la physique complexe ou les qubits intriqués. Non, c’est la créativité déployée par les chercheurs pour faire croire que leurs machines peuvent factoriser n’importe quoi, alors qu’en réalité, elles peinent à traiter des nombres plus complexes que 35.
Les chercheurs Peter Gutmann et Stephan Neuhaus viennent en effet de balancer un pavé dans la mare avec leur papier qui démontre méthodiquement comment toute la communauté quantique “cuisine les chiffres” depuis des années. Et leur conclusion est sans appel : On ne peut faire confiance à aucun des benchmarks de factorisation quantique publiés à ce jour.
La technique la plus répandue consiste à électionner des “nombres pièges” délibérément conçus pour être factorisés facilement. C’est la même chose qu’un magicien qui prétend deviner votre carte alors qu’il a truqué tout le jeu.
Les chercheurs choisissent des nombres dont la structure mathématique garantit une factorisation triviale, comme ça, au lieu d’utiliser des nombres aléatoirement générés comme dans la vraie cryptographie, ils fabriquent des valeurs où les facteurs premiers ne diffèrent que de quelques bits. Du coup, il suffit d’une recherche basique pour trouver la solution, sans avoir besoin d’un ordinateur quantique. Un VIC-20, un abaque (c’est un boulier) ou même un chien bien dressé y arriveraient selon les auteurs.
Et quand leurs nombres ne sont pas suffisamment faciles, ils utilisent du préprocessing massif sur ordinateur classique pour faire la majeure partie du boulot avant même que la machine quantique entre en jeu. On dirait certains d’entre vous qui postent sur Instagram leur dernier marathon alors qu’ils l’ont juste rejoint au kilomètre 41…
Bruce Schneier, qui a relayé cette recherche, enfonce également le clou avec sa métaphore habituelle du “Les défis techniques pour construire un ordinateur quantique utile, c’est dur. Mais est-ce que c’est dur comme “poser un homme sur la Lune” ou dur comme “poser un homme sur le Soleil” ? Les deux sont difficiles, mais pas du tout dans la même catégorie de faisabilité”.
Cette manipulation généralisée révèle un problème plus profond dans l’écosystème de la recherche quantique, car quand la pression pour publier rencontre des milliards d’investissements en jeu, la tentation devient énorme de présenter des résultats flatteurs plutôt que honnêtes. Surtout que les chercheurs savent pertinemment qu’aucun reviewer ne va vérifier la vraie complexité des nombres utilisés.
L’ironie, c’est que ces manipulations sont devenues tellement systématiques qu’elles constituent désormais la norme plutôt que l’exception. Personne n’a jamais factorisé un nombre qui n’était pas soit soigneusement préparé, soit largement préprocessé par un ordinateur classique. C’est de l’illusionnisme scientifique !
Donc peut-être qu’avant de promettre de casser tous les chiffrements actuels, les chercheurs en quantiques devraient déjà prouver qu’ils peuvent factoriser proprement un nombre à trois chiffres choisi au hasard…
L’autre jour, en fouillant dans les recoins du web, je suis tombé sur un site tout simple, ldial.org, qui cache derrière son interface minimaliste une démarche de curation absolument remarquable.
Adam Scott qui a créé ce site a décidé de recenser et de rendre accessible toutes les radios communautaires et indépendantes des États-Unis. Attention, je ne vous parle pas grosses stations commerciales qu’on entend partout, non, non. Je vous parle des vraies radios de quartier, celles qui diffusent depuis un garage transformé ou le sous-sol d’une université, celles qui passent de la musique que vous n’entendrez nulle part ailleurs.
Le créateur de ldial.org a donc transformé ce qui pourrait être une simple liste en véritable écosystème où chaque station est soigneusement sélectionnée, testée, vérifiée. Ce site est un genre de carte sonore des États-Unis, loin des radars des médias mainstream. C’est un site vivant qui contrairement aux annuaires statiques, évolue constamment. Adam, le curateur qui se cache derrière ce site continue d’apprendre, de découvrir de nouvelles stations, d’ajuster sa sélection.
C’est donc une exploration perpétuelle de la diversité radiophonique américaine qui offre un streaming 24/7, au travers une interface épurée et un accès direct aux flux. Pas d’inscription, pas de pub, pas de complications. Juste vous et des centaines d’heures de programmation authentique, depuis des stations qui diffusent parfois pour quelques centaines d’auditeurs locaux.
Et ce sont uniquement des pépites !!! Des stations universitaires qui programment de l’ambient expérimental à 3h du matin, des radios communautaires hispaniques qui mélangent cumbia et electronic, des collectifs autochtones qui préservent leurs langues ancestrales sur les ondes.
Chaque clic sur ldial.org vous transportera dans une bulle sonore différente. Une station de Nouvelle-Orléans vous fera découvrir du jazz local méconnu, une radio du Montana vous plongera dans la country indépendante, une station californienne vous embarquera dans l’underground hip-hop chicano. C’est un voyage musical à travers l’Amérique alternative.
Ce projet révèle aussi quelque chose de plus profond sur la résistance culturelle car ces radios communautaires maintiennent des espaces d’expression libre dans un paysage médiatique de plus en plus standardisé. Elles préservent des niches musicales, donnent la parole aux minorités, expérimentent sans contraintes commerciales, et je trouve ça hyper inspirant, car ce sont des préceptes qu’on peut appliquer également au web. Qu’il faut appliquer au web !
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Vous les passionnés de micro ou plus simplement qui tenez à vos libertés, ceci nous concerne tous.
L'Europe s'apprête (peut-être) à devenir très intrusive, le mot est faible, sous prétexte de lutte contre la pédocriminalité.
Ce texte est sur la table depuis 2022, les discussions vont bon train pour un aboutissement en fin d'année, son nom : ChatControl. https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX:52022PC0209
Un projet digne de Big Brother, voyez plutôt.
Ce texte prévoit d'imposer aux plates-formes telles que Signal, WhatsApp, Proton Mail etc., de scanner tous vos docs, photos, blagues etc. et avant tout envoi !
Tout se passerait sur nos terminaux, bien entendu tout cela pour le bien de nos enfants...
Tous ces décideurs nous pondent un texte, une méthode plus que douteuse, qui sacrifie beaucoup plus : notre Intimité, notre Liberté.
Cela revient à installer un logiciel de surveillance sur tous les terminaux et pour tous, sans exception !
Ce projet inclura aussi vos mails, clouds, services de partages, les applis etc.
Pire encore : les militants, médecins, journalistes etc. ne seront en aucun cas protégés lors de leurs échanges confidentiels et privés, tout ceci ressemble à un mauvais film de science-fiction où Big Brother ne serait plus un mythe.
Hier soir, j’ai découvert un outil qui m’aurait évité des dizaines de commits “fix CI”, “fix CI again”, “please work this time” sur GitHub. J’sais pas si vous aussi vous connaissez cette galère ? Vous modifiez votre workflow GitHub Actions, vous poussez, ça plante, vous corrigez, vous repoussez, ça replante… Bref, votre historique Git ressemble à un journal de débugging en temps réel.
Et heureusement, wrkflw vient mettre fin à ce cauchemar.
Ce petit outil codé en Rust vous permet en fait de valider et d’exécuter vos GitHub Actions directement sur votre machine, sans avoir besoin de pusher quoi que ce soit. L’outil vient d’être annoncé sur le forum Rust et ça va bien aider tout le monde je pense.
Grâce à lui, au lieu de tester vos workflows dans le cloud GitHub (et potentiellement faire planter votre CI/CD devant toute l’équipe… La te-hon…), vous les exécutez localement. Wrkflw parse alors votre fichier YAML, résout les dépendances entre jobs, et lance tout ça soit dans Docker/Podman pour matcher l’environnement GitHub, soit en mode émulation si vous n’avez pas de runtime container sous la main.
Ce qui rend wrkflw vraiment pratique, c’est son interface TUI (Terminal User Interface) qui vous permet de visualiser l’exécution en temps réel. Un simple wrkflw tui et vous avez un dashboard interactif où vous pouvez suivre vos jobs, voir les logs, et comprendre ce qui foire sans avoir à jongler entre 15 onglets GitHub.
L’installation se fait en deux secondes si vous avez Rust :
cargo install wrkflw
Le package est aussi dispo sur crates.io et une fois installé, vous pouvez valider un workflow avec la commande :
wrkflw validate .github/workflows/rust.yml
ou le lancer directement avec
wrkflw run .github/workflows/ci.yml
L’outil détectera automatiquement tous vos workflows et les chargera dans l’interface.
Ce qui est fort avec wrkflow, c’est surtout le support quasi-complet des fonctionnalités de GitHub Actions. Les Matrix builds ? Ça passe ! Les Container actions ? Bah ouais, pas de problème ! Tout ce qui est JavaScript actions ? Check ! Même chose pour les Composite actions et les workflows réutilisables et même les fichiers d’environnement GitHub sont supportés. Bon, il y a quelques limitations évidemment. Vous ne pouvez pas par exemple mettre de secrets GitHub (ce qui est logique), et y’a pas de support Windows/macOS runners, ni pas d’upload/download d’artifacts. Mais pour 90% des cas d’usage, c’est largement suffisant.
Wrkflw s’inscrit dans une tendance plus large d’outils qui cherchent à remplacer Make et ses Makefiles cryptiques. Je pense par exemple à Task (Taskfile) qui est un autre exemple populaire, écrit en Go avec une syntaxe YAML plus moderne ou encore à Act, un autre outil open source qui fait à peu près pareil. Les développeurs cherchent clairement des alternatives plus lisibles et maintenables et wrkflw va encore plus loin en se spécialisant sur GitHub Actions.
Le mode Docker/Podman de wrkflw permet par exemple de créer des containers qui matchent au plus près l’environnement des runners GitHub. Et si jamais vous interrompez l’exécution avec Ctrl+C, pas de panique, puisque l’outil nettoie automatiquement tous les containers créés. Comme ça, y’aura plus de containers zombies qui traînent après vos tests.
Et pour tous ceux qui bossent en mode émulation sécurisée (sans Docker), wrkflw exécute les actions dans un environnement sandboxé. C’est moins fidèle à l’environnement GitHub mais au moins ça permet de tester rapidement sans avoir besoin d’installer Docker. Pratique sur des machines de dev légères ou des environnements restrictifs.
Le workflow de test devient donc le suivant : 1/ Vous modifiez votre YAML. 2/ Vous lancez wrkflw run . 3/ Vus voyez immédiatement si ça marche. 4/ Vous corrigez si besoin. 5/ Et c’est seulement ensuite que vous poussez sur GitHub. Plus de commits de debug, plus de CI cassée, plus de collègues qui râlent parce que la pipeline est tout rouge ^^.
L’outil est encore jeune bien sûr mais déjà très prometteur. Les prochaines versions devraient ajouter le support des secrets locaux, une meilleure intégration avec GitLab CI, et peut-être même le support des runners Windows/macOS.
Bref, si vous gérez des workflows GitHub Actions complexes, wrkflw va rapidement devenir indispensable à votre life.