Un 16 pouces sous la barre du kilo, prêt à être livré dès ce mois : le Lenovo Lecoo Air 16 frappe fort avec un châssis de 1 cm d’épaisseur, un écran 2.5K 120 Hz et un Core Ultra 5 à prix serré.
Lecoo Air 16 : 1 kg, 2.5K 120 Hz et Core Ultra 5 pour bousculer le segment
Sous sa marque orientée budget, Lenovo aligne le Lecoo Air 16, un ultraportable 16 pouces qui mise sur l’essentiel : un écran 2.5K à 120 Hz et un poids plume d’environ 1 kg. Le tout arrive sur le marché plus vite que son concurrent direct, l’Acer Swift Air 16, annoncé en septembre mais prévu plus tard.
Côté puce, on retrouve l’Intel Core Ultra 5 125H (Meteor Lake) : 14 cœurs (4 P, 8 E et 2 LP) et un iGPU Arc avec 7 Xe (architecture Alchemist). Ce n’est pas un monstre de jeu, mais largement suffisant pour la bureautique, la création légère et l’usage pro. Lenovo vise clairement les pros nomades plutôt que les gamers.
La différence majeure avec l’Acer ? L’écran : ici une dalle IPS au lieu de l’AMOLED d’Acer, pour un tarif plus doux. Annoncé à 5000 RMB (environ 700 $), le pack inclut un châssis 16 pouces d’à peine 1 cm d’épaisseur, de la mémoire LPDDR5 et une batterie de 60 Wh. Le clavier adopte un design façon XPS avec rangées affleurantes et intègre un pavé numérique, discutable pour certains, mais cohérent pour la cible bureautique/entreprise.
En clair, Lenovo cherche à offrir un 16 pouces ultra-léger et réactif sans faire exploser le budget. Si vous pouvez vous passer de l’AMOLED, l’IPS 120 Hz et le tarif agressif rendent ce Lecoo Air 16 particulièrement tentant.
COUGAR continue d’étoffer sa gamme de boîtiers haut de gamme avec le COUGAR FV270 RGB, un modèle moyen tour type aquarium. Après le surprenant Omnyx, la marque propose ici un boîtier à l’esthétique particulière : la façade en verre trempé est courbe et surélevée, permettant ainsi à un ventilateur de 120 mm préinstallé en avant de refroidir plus précisément la carte graphique. Une approche particulière, pensée pour combiner une mise en valeur visuelle des composants et une optimisation du flux d’air dans la zone la plus critique de nos PC actuels.
De plus, pour s’aligner sur la tendance actuelle d’éclairage des systèmes, le FV270 RGB est livré avec trois ventilateurs supplémentaires de 140 mm ARGB préinstallés, visibles à travers la façade et le panneau latéral en verre trempé. L’ensemble donne au boîtier une allure dynamique, tout en promettant un flux d’air mieux réparti entre le GPU et le CPU.
Sous ses airs de prototype, le FV270 RGB a une conception classique : double chambre, passages de câbles bien disposés et compatibilité étendue avec les composants récents. Il peut accueillir en effet des cartes graphiques de grande taille (450 mm maximum), un ventirad jusqu’à 180 mm de hauteur, un radiateur jusqu’à 360 mm et il est compatible avec les cartes mères à connecteurs cachés.
Proposé à environ 200 euros (239,99 sur le site de la marque), ce boîtier vient se mesurer à des références comme le Lian Li O11 Vision, le Fractal North XL ou le Hyte Y70 Touch. COUGAR mise ici sur un design avant-gardiste et fonctionnel et un refroidissement mieux ciblé pour séduire les amateurs de configurations musclées.
Dans ce test, nous verrons si le COUGAR FV270 RGB parvient à justifier son tarif ambitieux par ses performances thermiques et sa qualité d’assemblage, ou s’il s’agit avant tout d’un bel objet pensé pour briller sur un bureau.
Emballage du COUGAR FV270 RGB
L’emballage du COUGAR FV270 RGB nous montre le boîtier sous différents angles. Il met en valeur aussi bien la chambre principale visible grâce aux deux parois en verre trempé, mais également son inclinaison particulière (surélévation de l’avant) permettant une entrée d’air supplémentaire. Nous avons par ailleurs les dimensions de ce boîtier moyen tour (512 x 268 x 530 mm) et la mention : « Through A Glass Brightly ». Elle met en avant la forme originale du boîtier en polyèdre permettant une « vue panoramique intérieure inégalée » et un placement en angle des ventilateurs situés à côté de la carte mère. Une étiquette nous indique que notre exemplaire est de couleur noire (une version blanche est également disponible).
Les petits côtés mentionnent les caractéristiques techniques complètes ainsi que la compatibilité matérielle. Un paragraphe traduit en 10 langues met en avant les caractéristiques principales que nous détaillerons tout au long de ce test. Une étiquette mentionne le poids de l’ensemble à 17,1 kg indiquant que le carton est à manipuler avec précaution.
Unboxing et accessoires
Déballons le COUGAR FV270 RGB ! La marque intègre une boîte en plastique et une boîte cartonnée dans les protections en mousse. Leur accès facile permet de les manipuler dès le début du montage de la configuration.
Ces boîtes comprennent un ensemble de vis, des serre-câbles en plastique, des rondelles en caoutchouc, des pièces de remplacement de fixation des parois. Nous avons aussi un support en acier permettant la fixation d’un riser pour installer la carte graphique à la verticale. Le manuel d’utilisation est présent, il permettra de découvrir le COUGAR FV270 RGB de façon détaillée et d’installer son matériel sans tracas.
Les 17,1 kg n’autorisent pas les premières manipulations à la va-vite ! Le COUGAR FV270 RGB est encadré par deux blocs de mousse et ensaché pour une protection supplémentaire.
Une étiquette est présente sur la paroi latérale gauche indiquant la séquence à suivre pour l’extraction des parois ainsi que la réinstallation. Cette séquence est nécessaire pour enlever les parois en toute sécurité et pour ne pas abîmer les systèmes de fixation.
Caractéristiques techniques du COUGAR FV270 RGB
Dimensions
268 x 530 x 512 (mm)
Ventilateurs inclus
3 x ventilateurs 140 mm 1 x ventilateur 120 mm
Compatibilité des ventilateurs
Haut : 3 x 120 mm, 2 x 140 mm Côté carte mère : 2 x 120 mm, 2 x 140 mm Arrière : 1 x 120 mm, 1 x 140 mm Cache alimentation : 2 x 120 mm, 2 x 140 mm Bas de la façade : 1 x 120 mm
Compatibilité des radiateurs
Haut : 360 mm, 280 mm Côté carte mère : 280 mm Arrière : 1 x 120 mm, 1 x 140 mm Cache alimentation : 240 mm
Emplacements d’extension
7 horizontaux convertibles en verticaux
Carte mère
Mini-ITX / Micro-ATX / ATX / CEB / E-ATX Compatible avec les cartes mères à connecteur inversé : ASUS BTF, MSI Project Zero et Gigabyte Project Stealth
Stockage
4 disques SSD de 2,5 pouces max 2 disques durs 3,5 pouces max
Dégagements
Refroidisseur de processeur : 180 mm GPU : 420 mm avec ventilateurs sur le côté de la carte mère, 330 mm avec ventilateurs et radiateur sur le côté de la carte mère, 450 mm en position verticale Alimentation : 250 mm
E/S avant
1 x Type C Gen 2 2 x USB 3.0 Prise audio pour casque à 4 pôles Bouton RGB
Design extérieur du COUGAR FV270 RGB
Voici le COUGAR FV270 RGB ! La marque sort des sentiers battus et nous propose un boîtier à la conception et au design très particuliers. Selon COUGAR, sa forme polyédrique inspirée d’un prisme et son verre trempé incurvé offre une vue panoramique intérieure idéale sur le système. Le placement innovant des ventilateurs de refroidissement en angle sur le côté de la carte mère modifie la circulation du flux d’air pour se concentrer sur les points chauds critiques (processeur et carte graphique). La surélévation de la façade crée un axe de ventilation supplémentaire, permettant l’admission d’air par le bas.
En arrière, le COUGAR FV270 RGB nous montre moins d’originalité avec une paroi classique. Nous avons :
L’emplacement pour les E/S de la carte mère,
Un emplacement pour ventilateur/radiateur de 120 ou 140 mm réglables verticalement,
Sept emplacements d’extension,
Un emplacement pour alimentation.
Une zone pourvue de nombreuses ouvertures rondes permettant la circulation de l’air.
La paroi latérale droite est en acier.
La paroi arrière dispose d’encoches permettant une extraction facile des parois latérales et supérieure.
Les sept équerres PCIe peuvent subir une rotation de 90° pour installer la carte graphique à la verticale. La manœuvre est simple puisque ces équerres sont constituées d’un seul bloc. Il suffit de le désolidariser du châssis grâce à de nombreuses vis, d’effectuer la rotation et de le refixer. Attention, cependant, les pas de vis ne sont pas centrés par rapport au bloc d’équerres et celui-ci est légèrement de biais. Cela ne gêne qu’esthétiquement, et l’installation de la carte graphique se fait sans soucis.
De côté, les parois en verre trempé permettent une vue dégagée sur la chambre principale du COUGAR FV270 RGB. Là encore, nous ne pouvons que constater qu’un défaut d’assemblage avec une mauvaise jonction entre les deux parois et une légère ouverture se laisse percevoir. Elle n’entravera en rien le bon fonctionnement du système, mais pourra probablement laisser passer un peu de nuisances sonores à la faveur d’une perte d’air chaud plus importante. Les parois latérales droites sont en acier et pourvues de nombreux trous pour faciliter l’airflow.
Au-dessus, COUGAR a également prévu une zone aérée. La paroi en acier présente de nombreuses ouvertures permettant une bonne circulation de l’air. Cette paroi est amovible et, une fois enlevée, elle libère un filtre. Celui-ci est aimanté et amovible. Il va protéger les composants de la poussière.
Ces composants, 3 ventilateurs de 120 mm ou 2 de 140 mm, ou bien un radiateur de 360 mm maximum, s’installeront sur un emplacement en acier amovible. Celui-ci est fixé au châssis par deux simples vis.
C’est sur cette paroi supérieure que nous trouvons le panneau des boutons et E/S du COUGAR FV270 RGB. Nous avons :
Deux USB-A,
Un USB-C,
Une prise combo casque/micro,
Un bouton de gestion d’éclairage RGB,
Un bouton d’alimentation.
Le COUGAR FV270 RGB mesure 530 mm de hauteur. Le placement de ce panneau sur le dessus du boîtier ne sera pas idéal si le boîtier est placé sur un bureau et obligera l’utilisateur à se lever si besoin.
Enfin, comme pour le COUGAR Omnyx, le FV270 RGB repose sur un important cadre en ABS. Il lui permet de supporter en sécurité le poids du boîtier (17,1 kg). Ce cadre est équipé de patins antidérapants lui assurant en plus une bonne accroche sur le support. Un filtre est également présent pour protéger de la poussière l’alimentation qui sera située juste au-dessus.
Intérieur du COUGAR FV270 RGB
Une des particularités de ce COUGAR FV270 RGB est sa façade surélevée permettant un apport d’air supplémentaire vers la carte graphique. Cet apport d’air se fait grâce à une ouverture située au niveau de la paroi inférieure. Celle-ci sera bien évidemment protégée par un filtre à cadre rigide amovible pour faciliter son entretien.
Le côté droit du COUGAR FV270 RGB est constitué de deux parois en acier. Celle de gauche protège un emplacement pour ventilateur/radiateur et celle de droite protège la chambre secondaire. Ces deux parois sont équipées de filtres souples aimantés afin de limiter l’entrée de la poussière sur les composants.
À gauche, nous avons donc un emplacement pour 2 ventilateurs de 120 mm ou 140 mm, ou bien un radiateur de 280 mm. Le COUGAR FV270 RGB est livré avec deux ventilateurs de 140 mm préinstallés sur un support en acier non amovible. Ils pourront être réglés verticalement pour ajuster le flux d’air.
À côté, et faisant la jonction avec la chambre secondaire, le COUGAR FV270 RGB profite d’un long passe câble taillé dans le châssis. Il permettra le passage des câbles de la chambre secondaire vers le côté droit de la carte mère. Pour organiser au mieux ce passage, le COUGAR FV270 est équipé de trois serre-câbles velcro assez longs pour pouvoir supporter de nombreux câbles.
Dans la chambre secondaire, nous avons un espace conséquent de 40 mm de profondeur pour l’organisation des câbles. Le COUGAR FV270 RGB est équipé d’un support en acier pourvu de nombreux trous et fixé au châssis par une vis à main. Il va pouvoir recevoir deux disques durs 2,5″ ou 3,5 » (ou un combo des deux formats).
Ce support à disques durs cache un HUB préinstallé. Celui-ci peut connecter jusqu’à six ventilateurs 4 pins PWM et six produits ARGB. Ce HUB dispose d’une prise SATA pour son alimentation, d’une prise 4 pins PWM et une prise ARGB à relier à la carte mère. Il est également relié au bouton de gestion d’éclairage situé sur le dessus du COUGAR FV270 RGB.
COUGAR ajoute un autre support à disque dur placé devant le cache alimentation. Ce support est aussi fixé au châssis grâce à une vis à main.
En acier, il pourra recevoir un disque dur 3,5″ ou un disque dur 2,5″.
Et, pour que l’utilisateur ne manque vraiment pas de stockage, le COUGAR FV270 RGB a un espace supplémentaire pour disque 2,5″. Celui-ci pourra s’installer contre le fond du cache alimentation grâce à un système de rondelles en caoutchouc à installer sur le disque. L’espace étant exigu, l’utilisateur aura juste à glisser le disque dans les trous prévus à cet effet.
Enfin, nous avons l’espace réservé à l’alimentation. Celui-ci mesure 330 mm de profondeur, mais COUGAR préconise une alimentation de 250 mm de longueur maximums afin de laisser de la place pour l’organisation des câbles. L’alimentation reposera sur trois patins antivibration.
Et, voici les branchements du COUGAR FV270 RGB. Nous avons :
Une prise USB-C,
Une prise USB-A,
Une prise Audio,
Une prise Front Panel.
Passons dans la chambre principale du COUGAR FV270 RGB. Pour rappel, le boîtier au format généreux mesure 268 x 530 x 512 mm. Il pourra recevoir des cartes mères au format Mini-ITX / Micro-ATX / ATX / CEB / E-ATX et il est compatible avec les cartes mères à connecteur inversé type ASUS BTF, MSI Project Zero et Gigabyte Project Stealth. Les cartes graphiques pourront mesurer 420 mm en position horizontale (ventilateurs sur le côté de la carte mère) ou 330 mm (ventilateurs et radiateur à côté de la carte mère). En position verticale, elle pourra mesurer jusqu’à 450 mm de long. Les ventirads pourront mesurer jusqu’à 180 mm de hauteur.
Le COUGAR FV270 RGB est livré avec un support de carte graphique simple, mais efficace. Il est constitué d’une branche réglable en hauteur grâce à une vis à main. Il est pourvu d’un patin antivibrations pour limiter les nuisances sonores de la carte en fonctionnement.
Ce support est intégré à un cache câbles latéral en acier. Il servira à dissimuler les câbles acheminés vers le côté de la carte mère pour un rendu visuel esthétique. Ce cache câbles pourra être basculé sur le côté pour aider à l’organisation des branchements (pratique en cas de carte mère au format E-ATX).
À gauche de la chambre principale, nous retrouvons un ventilateur de 140 mm préinstallé. Il pourra être remplacé par un ventilateur de 120 mm ou un radiateur de 140 m maximum. Il est placé au-dessus des sept équerres PCIe et d’une zone pourvues de nombreuses ouvertures.
En haut, nous retrouvons l’emplacement pour 3 ventilateurs de 120 mm ou deux de 140 mm, ou bien d’un radiateur de 360 mm.
Enfin, en bas de la chambre principale, sur le cache alimentation, il y a de la place pour installer 2 autres ventilateurs de 120 mm ou deux de 140 mm, ou bien un radiateur de 240 mm. Ce cache alimentation est entièrement ajouré et il est amovible pour faciliter l’installation des composants ou accéder au câblage de l’alimentation. Une étiquette précise la manipulation à effectuer pour une fixation sécurisée du support de ventilateur latéral.
C’est une languette qui se fixe au châssis tout en maintenant ce support.
Le support peut s’enlever facilement.
Et être remplacé par une plateforme rotative RGB conçue pour mettre en valeur vos précieux objets (figurine par exemple, disponible en option à 25 euros).
La connexion se fait par une prise POGO, deux câbles (4 pins PWM et ARGB) étant à connecter ensuite au HUB préinstallé ou à la carte mère.
Ventilateurs
Le COUGAR FV270 RGB est livré avec quatre ventilateurs préinstallés : trois SC140-FB pour la circulation de l’air principale et un FVR120 spécifique à la ventilation de la carte graphique.
Ventilateurs SC140-FB :
Sur son site, la marque répertorie des ventilateurs SC140 ARGB. Ils semblent extérieurement similaires aux ventilateurs préinstallés.
Voici leurs caractéristiques en sachant que le préfixe « -FB » des ventilateurs préinstallés peut entraîner des modifications techniques par rapport aux ventilateurs présents sur le site :
Dimensions
140 x 142 x 25 mm
Vitesse
400 ±200RPM – 1200RPM±10%
Débit d’air
51,91 CMF
Pression
1,14 mm H2O
Bruit
26,8 dB(A)
Connecteurs
PWM 4 broches / ARGB 3 broches
Ventilateur FVR120 :
Pour ce ventilateur préinstallé pour gérer le flux d’air vers la carte graphique, nous n’avons pas d’indications techniques.
‘Clearance checking’ Dégagement des composants
Le COUGAR FV270 RGB offre un dégagement optimal pour l’installation des différents composants :
Longueur maximale de la carte graphique : position horizontale 420 mm (ventilateurs uniquement côté M/B), 330 mm (Radiateur avec ventilateurs côté M/B), position verticale 450 mm,
Hauteur maximale du ventirad CPU : 180 mm,
Longueur maximale de l’alimentation : 250 mm.
En ce qui concerne l’installation de radiateurs, voici les possibilités et les limitations :
Radiateur en haut : 360 mm avec un espace dédié de 60 mm avant d’entrer en contact avec la carte mère,
Radiateur sur le côté de la carte mère : 280 mm
Radiateur en arrière : 140 mm
Radiateur sur le cache alimentation : 240 mm
Montage dans le COUGAR FV270 RGB
Le montage de notre configuration de test dans le COUGAR FV270 RGB n’a pas posé de problème particulier. Les serre-câbles velcro sont judicieusement posés (pas devant les branchements de notre carte mère BTF comme peuvent le faire certains constructeurs), l’espace réservé à l’alimentation et à ses câbles est amplement suffisant. La profondeur de 40 mm permet de fermer la paroi latérale sans interférer avec les coudes des câbles des branchements arrière de la carte mère.
De par sa surélévation en façade, le COUGAR FV270 RGB arrive à mieux mettre en avant notre configuration. Elle l’expose au lieu de simplement l’afficher. Elle crée un mouvement dynamique ! Notre configuration est dans les starting-blocks.
Les parois en verre trempé sont légèrement teintées, mais laissent passer un maximum de détails. La jonction entre les deux parois n’est pas parfaite, elle laisse une petite gêne visuelle.
Le COUGAR FV270 RGB fait son show
Les quatre ventilateurs préinstallés profitent d’un éclairage ARGB. Celui-ci est vif sans être agressif et pourra être (partiellement) géré par un bouton situé sur le panneau des E/S du boîtier (un appui d’une seconde passe l’éclairage en mode défaut, trois secondes et l’éclairage est géré par la carte mère, six secondes et l’éclairage est éteint).
Méthodologie de Test et Résultats pour le COUGAR FV270 RGB
Pour faire notre test, nous avons donc équipé le COUGAR FV270 RGB de la configuration suivante :
ASUS Z790-BTF WiFi
Intel Core i9-12900K
16 Go DDR5 CORSAIR Dominator Platinum 2 x 16 Go @6200MHz
ASUS TUF GAMING RX 9070OC
Cooler Master MWE Gold V2 1050W
CORSAIR Nautilus 360 RS ARGB
SABRENT ROCKET NVMe PCIe M.2 2280 256 Go
Trois ventilateurs CORSAIR RS 120 (deux en aspiration et un en extraction).
Protocole de Test
Nous avons ensuite mis en place ce protocole, à savoir :
La configuration citée ci-avant (boîtier fermé),
Burn CPU : OCCT sur l’ensemble des threads sous Cpu Linpak 2019 pendant 30 min,
Burn GPU : Fire Strike Stress Test (3DMark) avec 20 passes pour chauffer la carte graphique,
CrystalDiskMark 8.0.0 pour mesurer la température du SSD en charge,
Rise of the Tomb Raider : 30 minutes de jeu,
La carte graphique toujours en mode auto,
Meterk MK09 placé à 50 cm du boîtier pour mesurer le niveau sonore,
Les mesures sont réalisées en 2 situations : au repos et en charge.
Températures dans le COUGAR FV270 RGB
Suite aux différents tests réalisés, les résultats obtenus sont donc les suivants :
Avec une température ambiante de 19 °C et les ventilateurs réglés en mode automatique, le COUGAR FV270 RGB montre un comportement thermique maîtrisé. Le Intel Core i9-12900K reste à 25 °C au repos, une valeur logique compte tenu de la ventilation généreuse du châssis. Lors d’une charge soutenue sous OCCT, le processeur grimpe à 86 °C sur les P-Cores et 75 °C sur les E-Cores. Le résultat reste conforme aux attentes pour cette puce exigeante, surtout dans un boîtier majoritairement vitré. En jeu, la température se stabilise à 61 °C, ce qui témoigne d’une bonne circulation de l’air autour du socket.
Côté carte graphique, la ASUS TUF GAMING RX 9070 OC profite clairement du ventilateur avant avancé. Grâce à cette conception atypique, elle se contente de 29 °C au repos en mode semi-passif. Après 20 passes de Firestrike, la carte atteint 54 °C, un score très correct pour une configuration haut de gamme. En usage réel, dans Rise of the Tomb Raider, elle ne dépasse pas 43 °C après 30 minutes de jeu. Une belle preuve de l’efficacité du flux d’air dirigé vers la zone GPU, souvent la plus chaude du boîtier.
Le SSD, souvent oublié dans les bilans thermiques, reste lui aussi parfaitement au frais : 26 °C au repos et seulement 33 °C après un passage complet sous CrystalDiskMark.
Globalement, le COUGAR FV270 RGB tire bien parti de sa conception inhabituelle. La présence d’un ventilateur en avant du châssis n’est pas qu’un effet de style. Elle permet une meilleure alimentation en air frais de la carte graphique, tout en maintenant des températures homogènes dans le reste du système.
Niveaux sonores du COUGAR FV270 RGB
PS : Ces résultats peuvent varier selon la configuration.
Pour les mesures acoustiques, notre Meterk MK09 a été positionné à 50 cm du boîtier, dans une pièce à vivre calme. Au repos, avec la ventilation réglée en mode automatique, le COUGAR FV270 RGB affiche un niveau sonore de 35,9 dB(A). Une valeur modérée qui se fait facilement oublier dans un environnement domestique classique.
En jeu, la ventilation s’anime davantage et le niveau grimpe à 46,3 dB(A). Le souffle devient alors perceptible, sans toutefois se transformer en gêne sonore. On reste dans une tonalité plutôt douce, sans sifflement aigu ni vibration notable.
À pleine charge, ventilateurs lancés à 100 % (12 V), le boîtier atteint 54,3 dB(A). Ce niveau, logiquement plus élevé, reste cohérent avec la configuration interne et le nombre de ventilateurs installés. Le flux d’air est alors à son maximum, mais sans effet “turbine” désagréable.
Dans l’ensemble, le COUGAR FV270 RGB se montre raisonnablement bruyant : il privilégie un refroidissement efficace sans sacrifier complètement le confort auditif. Un équilibre correct pour un boîtier orienté performance et mise en valeur visuelle.
Notre verdict sur le COUGAR FV270 RGB
[Test] COUGAR FV270 RGB : une vitrine futuriste pensée pour respirer
Conclusion
Avec le COUGAR FV270 RGB, la marque continue de bousculer les codes du design PC (comme nous l'avions vu avec le COUGAR Omnyx). Ce boîtier au look futuriste, presque conceptuel, ne se contente pas d’exposer les composants derrière ses larges surfaces vitrées : il les met véritablement en scène. La façade courbée et surélevée, associée au ventilateur avant avancé, apporte une vraie originalité visuelle tout en ayant un intérêt fonctionnel bien réel sur le plan thermique.
Côté conception, COUGAR reste fidèle à sa philosophie : un châssis bien pensé, des passages de câbles propres, un espace arrière généreux de 40 mm et une compatibilité complète avec les standards actuels, y compris les cartes mères à connecteurs cachés. Le montage se fait sans mauvaise surprise, malgré le poids conséquent et les parois parfois perfectibles dans leur ajustement.
Sur le plan des performances, le FV270 RGB s’en sort très honorablement. Les températures restent bien contenues, que ce soit pour le processeur ou la carte graphique, notamment grâce à cette approche de ventilation “orientée GPU et CPU”. Le bruit, lui, reste contenu la plupart du temps, même si la montée en régime à pleine charge rappellera que le flux d’air a un prix acoustique.
Proposé autour de 200 € (prix constaté le plus bas), le COUGAR FV270 RGB s’adresse clairement à un public de passionnés cherchant un boîtier à la fois spectaculaire et performant. Il ne séduira pas ceux qui préfèrent la sobriété d’un Fractal ou d’un be quiet!, mais il plaira sans doute aux utilisateurs qui veulent un boîtier aussi expressif que leur configuration. C'est une réussite pour COUGAR, qui confirme son goût pour l’innovation sans sacrifier les fondamentaux.
Qualité / Finition
8.4
Design
9.6
Agencement interne
9
Flux d'air
9.4
Cable management
9
Capacité watercooling
8.9
Prix
8.2
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Un design original et sophistiqué
Un flux d'air efficace grâce à des ventilateurs réorientés
Un ventilateur dédié à la carte graphique
Une idée originale de plateforme d'exposition
Quatre ventilateurs préinstallés
Un HUB pour six ventilateurs préinstallé
Compatibilité avec les cartes mères à connecteurs cachés
Points faibles
Des problèmes d'ajustements dans la conception (support équerres PCIe et jonction parois vitrées)
Le plus léger des ordinateurs portables de 16 pouces vient d’être lancé, offrant un écran plus grand que les modèles de 1 kg disponibles. Cependant, la configuration hardware laisse à désirer. Lenovo Présente Le Lecoo Air 16, Pesant Seulement 1 KG, Épais de 1 cm, À 700 € Lenovo, leader mondial en termes d’expéditions d’ordinateurs, […]
Dans le Golfe, l’IA sort des slides et s’attaque aux chantiers : 1001 AI veut orchestrer en temps réel aéroports, ports et BTP avec un OS décisionnel taillé pour le terrain.
Un OS d’orchestration pour réduire les frictions des infrastructures critiques
Créée il y a deux mois par Bilal Abu-Ghazaleh (ex-Scale AI), 1001 AI boucle une levée de 9 M$ menée par CIV, General Catalyst et Lux Capital, avec des business angels comme Chris Ré, Amjad Masad ou encore Amira Sajwani. Objectif : déployer un OS natif IA capable d’aspirer les données des logiciels existants, modéliser les flux opérationnels et émettre des directives en temps réel pour réduire retards et surcoûts.
La promesse est directe : dans les aéroports, ports, chantiers et l’oil & gas, plus de 10 milliards de dollars d’inefficiences seraient compressibles rien qu’entre EAU, Arabie saoudite et Qatar. 1001 AI veut automatiser l’orchestration de tâches aujourd’hui manuelles (réaffectation d’équipes, reroutage de véhicules, ajustements de planning) et fournir des gains cumulés à l’échelle d’un hub ou d’un méga-projet.
Portée par l’appétit d’investissement régional (G42, centres nationaux d’IA, budgets souverains), la startup cible des environnements physiques sous-digitalisés où la boucle perception–décision–action reste morcelée. Le premier produit est attendu d’ici fin d’année, avec des discussions en cours auprès de grands aéroports et majors de la construction du Golfe.
De Scale AI aux chantiers du Golfe
Né en Jordanie, passé par Hive AI puis Scale AI (où il a piloté les opérations GenAI et la montée en charge du réseau d’annotation), Abu-Ghazaleh a lancé 1001 AI après un changement de cap chez Scale. L’équipe s’immerge plusieurs semaines chez les clients en co-développement pour calibrer l’orchestrateur aux contraintes terrain. Les fonds serviront à accélérer les déploiements pilotes (aviation, logistique, infrastructures) et à recruter en ingénierie, opérations et go-to-market entre Dubaï et Londres.
Feuille de route
Un premier déploiement client dans la construction avant fin d’année, puis devenir la couche d’orchestration de référence dans le Golfe sur cinq ans, avant ouverture globale. Pour les investisseurs, le MENA représente un terrain idéal où l’IA « physique » peut livrer un ROI rapide et mesurable.
Longsys bouscule le SSD compact avec un mSSD en packaging intégré (SiP) sans PCB, annoncé comme le premier du genre et taillé pour le PCIe 4.0 x4.
Un mSSD sans PCB, plus fiable et prêt pour 7,4 Go/s
Exit l’assemblage traditionnel : contrôleur, NAND, PMIC et passifs sont rassemblés au niveau wafer dans un seul package. En supprimant près de 1 000 points de soudure, Longsys annonce une fiabilité en hausse (défauts ≤ 100 DPPM vs ≤ 1 000 DPPM) et une production simplifiée, avec moins d’étapes SMT/reflow, des coûts en baisse de plus de 10 % et un bilan énergétique allégé.
Malgré un format de 20 × 30 × 2,0 mm pour 2,2 g, les specs sont celles d’un SSD NVMe moderne : jusqu’à 7 400 Mo/s en lecture, 6 500 Mo/s en écriture et jusqu’à 1 000K / 820K IOPS en 4K. Côté thermique, un cadre aluminium, un pad en graphène et une silicone thermique assurent la dissipation.
Le mSSD accepte des NAND TLC et QLC, de 512 Go à 4 To. Particularité pratique : un dissipateur modulaire à clip permet la conversion en M.2 2230, 2242 ou 2280, de quoi viser des PC ultraportables, consoles portables et mini-PC sans sacrifier les débits.
Longsys indique une montée en cadence vers la production de masse et affirme avoir déposé des brevets internationaux liés à cette intégration chip-level.
Jouer à Battlefield 6 sur un écran de 2,1 pouces ? Oui, et c’est parfaitement possible : un moddeur a fait tourner le FPS d’EA sur l’afficheur intégré d’un AIO MSI, traitée par Windows comme un véritable second moniteur.
Un mini-écran qui se comporte comme un vrai moniteur
Le refroidisseur en question ressemble au MSI MPG CoreLiquid P13, doté d’une dalle IPS carrée de 2,1 pouces en 480×480. Sous le capot, rien de magique : l’écran fonctionne comme un affichage USB standard. Résultat, on peut dupliquer ou étendre le bureau et y lancer n’importe quelle appli, y compris un jeu. Pas besoin de software exotique, l’OS le voit comme un moniteur classique.
On ne va pas parler de latence, de gamut ou de fréquence de rafraîchissement : l’intérêt n’est pas la performance, mais la preuve que ces afficheurs ne servent pas qu’aux GIF et statistiques CPU. MSI Center propose d’ailleurs une option dédiée pour activer l’écran de l’AIO comme sortie secondaire, confirmant que l’image n’est pas une simple boucle vidéo.
Est-ce jouable au quotidien ? Pas vraiment. Sur 2,1 pouces, on pense plutôt à Snake ou à un roguelike ultra lisible. En dépannage, si l’écran principal lâche, ce mini-afficheur peut dépanner pour un changement de réglages, un monitoring ou un alt-tab salvateur.
Fromsoftserve, le studio à l’origine du projet de remasterisation de Bloodborne sur PC, s’apprête à corriger l’un des défauts graphiques les plus notables de la version PlayStation 4. Cette émulation promet de devenir la référence pour apprécier ce RPG d’action signé FromSoftware. 1080p et au-delà Dans une récente vidéo publiée sur YouTube, le développeur a […]
Après avoir relancé le « poke » en septembre dernier, Meta semble bien décidé à redorer le blason de Facebook et à encourager les utilisateurs du réseau social d’y consacrer plus de temps. Ainsi, dans le dernier communiqué de l’entreprise, on apprend que Meta déploie une nouvelle fonctionnalité sur Facebook qui s’appuie sur l’IA pour suggérer automatiquement […]
Si elle a récemment fait davantage parler d’elle pour l’arrivée de l’intelligence artificielle dans l’industrie musicale, la Fédération Internationale de l’Industrie Phonographique (IFPI) n’a pas oublié son rôle de protection envers les artistes et leurs oeuvres. En effet, comme on peut le lire sur un récent communiqué de presse, l’IFPI a frappé un grand coup […]
Les Linuxiens ont beau dire que Linux peut TOUT faire, ils gardent presque tous un dual-boot ou une VM Windows planquée quelque part pour lancer Photoshop ou remplir une page web administrative qui plante sous Firefox. C’est ça la définition du déni, les amis ^^.
Alors bien sûr, y’a Wine qui existe depuis plus de 20 ans, mais bon faut bidouiller des préfixes, installer des DLL manquantes, fouiller sur WineHQ et au final, c’est toujours du rafistolage à se taper.
Alors comme le fait
Winapps
, il y a aussi WinBoat, un outil capable de faire tourner un Windows dans un container Docker. Pas d’émulation, pas de traduction d’API, pas de prière à saint Wine pour que votre app se lance. Ça lance de vraies apps Windows !
Techniquement, WinBoat utilise donc Docker et KVM pour faire tourner Windows dans un container. Electron gère l’interface, FreeRDP se connecte à Windows via le protocole RemoteApp, et vos apps Windows apparaissent comme des fenêtres normales sur votre bureau Linux.
Vous cliquez sur une icône, hop, l’app se lance, et vous oubliez qu’il y a une VM qui tourne en arrière-plan.
L’installation de Windows est également automatisée. Vous lancez WinBoat, ça télécharge et configure tout, tout seul, et après c’est prêt. L’intégration filesystem permet d’accéder vos fichiers Linux depuis les apps Windows et le passthrough USB et smartcard fonctionne, ce qui règle le problème des signatures électroniques pour les démarches administratives dont je parle un peu plus haut.
Photoshop, Illustrator, InDesign, c’est clair que ces apps ne tourneront jamais correctement sous Wine parce qu’Adobe n’a jamais pensé son code pour être portable alors qu’avec WinBoat, elles tournent. Office 365 aussi, pour les boîtes qui imposent Teams et SharePoint. Ah et Affinity Photo pareil ça roule impecc aussi.
WinBoat assume quand même ses limites dès le départ car y’a pas de passthrough GPU pour le moment, donc les apps lourdes en 3D rameront. Pas de support non plus des jeux avec anti-cheat, mais le Steam Deck fait ça mieux de toute façon. Et notez qu’il vous faudra minimum 4 Go de RAM rien que pour WinBoat, parce qu’un Windows léger ça n’existe pas !
Le projet est open source sous licence MIT, gratuit, dispo en AppImage, .deb, .rpm, ou via AUR pour Arch. Docker CLI est obligatoire, mais pas Docker Desktop et FreeRDP 3.x.x avec le support son aussi. KVM aussi doit être activé sur votre système.
Bref, WinBoat c’est comme Winapps, très sympa à tester car ça marche très bien même si les perfs ne seront jamais celles d’un Windows natif. C’est dispo sur
GitHub
avec toute la doc si ça vous chauffe.
J’aime bien les bruits blancs pour me concentrer ou taper une petite sieste dans un endroit pas adapté pour ça :). Mon préféré c’est tout ce qui est bruit de cabine d’avion de ligne et je sais que d’autres préfèrent les effets genre feu qui crépite, bruit de la pluie…etc. Y’a des playlists entières de ça sur Spotify et même des applications même si en général elles sont un peu nazes.
Ces apps, ça démarre toujours avec une version gratuite limitée à 5 minutes, puis un vieux paywall pour débloquer les sons, et une notification tous les soirs à 22h pour vous rappeler de méditer. Sans parler des pubs qui cassent l’ambiance toutes les 10 minutes. Bref, c’est tellement relou qu’on finit par chercher “bruit de pluie 10 heures” sur YouTube comme un sauvage.
Mais y’en a quand même une qui sort du lot. Elle s’appelle
Ambi
et elle fait… du bruit. De la pluie, des vagues, des oiseaux, du bruit brun…etc. Y’a pas de coach virtuel à la con, pas de communauté à rejoindre, pas d’abonnement à payer… Elle fait juste du bruit et ça c’est cool car c’est plutôt rare de nos jours.
L’app fonctionne 100% offline. Tous les sons sont embarqués, et vous pouvez mixer plusieurs sons ensemble avec des volumes individuels pour chaque piste. Genre pluie + vagues + oiseaux si vous voulez recréer une plage tropicale sous l’orage. Vous avez aussi un timer qui va de 5 minutes à 10 heures, ou infini si vous voulez juste laisser tourner toute la nuit.
Puis comme c’est gratuit et sans tracker pourquoi s’en priver ?
Vous êtes développeur blockchain et vous recevez un message LinkedIn d’un recruteur sympa pour une boîte qui a l’air tout a faire sérieuse. Ils ont un site web propre, des profils crédibles, et ils vous proposent de faire un petit test technique sur GitHub. Ça vous parle ?
Bah oui, je vous ai parlé de cette arnaque y’a 2 jours
… Et malheureusement, si vous n’y prenez pas garde, vous télécharger le code, vous le lancez, et BOOM… vous venez de contribuer financièrement au programme de missiles balistiques nord-coréen.
Bravo !
Car oui d’après
une enquête de Google Threat Intelligence
le groupe nord-coréen UNC5342 (aussi connu sous une dizaine d’autres noms selon qui le traque) a adopté une technique qui fait froid dans le dos : EtherHiding. Le principe c’est de. cacher du code malveillant directement dans des smart contracts sur la blockchain et selon Google, c’est la première fois qu’on documente qu’un état-nation utilise cette méthode.
La blockchain, cette technologie impossible à censurer, car décentralisée par essence vient de devenir l’arme parfaite d’un régime totalitaire. Parce que figurez-vous, quand vous stockez du malware dans un smart contract sur Ethereum ou la BNB Smart Chain, personne ne peut l’effacer. Même si tout le monde sait qu’il est là et même si vous avez l’adresse exacte.
C’est tout le concept !
Cette adresse, 0x8eac3198dd72f3e07108c4c7cff43108ad48a71c c’est donc le smart contract que les Nord-Coréens ont utilisé et Google a observé depuis plus de 20 mises à jour sur ce contrat en l’espace de 4 mois. Le coût de chaque transaction est d’environ 1,37 dollar, soit le prix d’un café que la Corée du Nord doit payer pour déployer et mettre à jour son infrastructure d’attaque qui devient ainsi permanente et indestructible.
Dans le programme de missiles de la Corée du Nord et dans le contournement des sanctions internationales.
La campagne s’appelle “Contagious Interview” et elle cible spécifiquement les développeurs. Les Nord-Coréens créent de fausses boîtes avec des noms qui sonnent bien, genre “BlockNovas LLC”, montent des sites web complets, des profils LinkedIn qu’ils entretiennent pendant des mois, et ils vous contactent comme de vrais recruteurs. Ils vous font alors passer par toutes les étapes d’un processus de recrutement classique, déplacent la conversation sur Telegram ou Discord pour faire plus naturel, et finissent par vous envoyer ce fameux “test technique” hébergé sur GitHub.
Le code contient un loader JavaScript appelé JADESNOW qui va alors interroger la blockchain via des appels en lecture seule. Ça ne coûte rien en frais de transaction, ça n’alerte personne, et ça récupère le payload chiffré stocké dans le smart contract. Une fois déchiffré, ça déploie alors d’autres malwares aux noms charmants comme INVISIBLEFERRET, PITHOOK ou COOKIENET.
Et leur seul but c’est de voler vos cryptos, bien sûr, mais aussi installer un accès persistant à votre machine pour de futures opérations.
On est donc très loin ici du schéma du hacker solitaire dans son sous-sol. Là on parle d’équipes entières financées par un état, avec des objectifs militaires clairs, qui ont le temps et les ressources pour monter des opérations de social engineering sur plusieurs mois. Ils utilisent même la technique du “ClickFix” qui consiste à afficher un faux message d’erreur qui pousse l’utilisateur à installer quelque chose pour “corriger” le problème. Ça exploite notre réflexe naturel de vouloir réparer ce qui est cassé et le pire dans tout ça, c’est que les plateformes comme LinkedIn ou GitHub sont coincées.
Bah oui, comment voulez-vous distinguer un vrai recruteur d’un faux quand l’attaquant a trois mois devant lui pour construire une identité crédible ?
Bref, les développeurs blockchain sont devenus les nouvelles cibles premium et contrairement à une banque ou une plateforme crypto qui a des équipes sécurité, ceux là sont tout seuls derrière leur écran.
Selon
les chercheurs de Mandiant
, UNC5342 utilise cette technique depuis février 2025 au moins donc si vous bossez dans la blockchain, faites gaffe. Si vous recevez des offres, posez-vous des questions parce que financer des missiles nord-coréens, c’est pas vraiment le genre de side project qu’on veut sur son CV ^^.
Jordan Fulghum, un super papa des amériques, a trouvé un moyen pour que ses enfants puissent écouter de la musique dématérialisée de manière ludique et tangible, comme on le faisait avant avec par un CD ou une cassette.
Pour cela, il a mis au point
des cartes à collectionner avec des puces NFC
qui lancent un album complet d’un simple tap. Ce sont donc des cartes physiques façon Pokémon, avec un artwork d’albums dessus et une puce NFC collée au dos. Son fils pose alors une carte sur son téléphone, et hop, l’album démarre automatiquement sur les enceintes de la maison via
PlexAmp
. Pas d’écran à regarder, pas de menu où naviguer, et surtout pas de choix à faire parmi 100 millions de titres.
Pour fabriquer ses cartes, Jordan utilise de l’IA pour étendre les pochettes d’albums au format carte à jouer et il imprime ça sur du papier autocollant afin de les coller sur des cartes vierges avec des tags NFC intégrés, et voilà ! Et comme PlexAmp a justement une fonction pour programmer ces tags NFC avec un lien direct vers un album spécifique, c’est assez facile à faire.
Sa première collection s’appelle “Albums That Dad Wants You to Listen To”, et ça lui permet d’imposer une sélection de 30 albums aux gamins qui comme ça, ne se retrouvent pas noyés dans 100 millions de choix. Jordan a même imprimé en 3D un présentoir pour ranger les cartes, histoire que ça ressemble vraiment à une vraie collection et ses enfants peuvent choisir un album exactement comme on choisissait un CD à l’époque.
Le système tourne donc avec un serveur Plex à la maison qui contient tous les MP3, et PlexAmp gère le reste. Ce qui est marrant, c’est que les cartes NFC musicales, ça existe déjà dans le commerce mais là c’est du DIY avec du MP3 tombé du camion alors c’est meilleur pour le karma ^^.
Si ça vous chauffe de faire pareil, sachez que Jordan a mis toutes les infos sur
son site
, avec les liens vers les tags NFC sur Amazon, les modèles 3D pour le présentoir, et même les templates Canva pour créer vos propres cartes.
On est bientôt en pleine Cybersecurity Week, et si vous avez encore votre numéro de téléphone, votre adresse ou pire – votre salaire estimé – qui traîne sur des dizaines de sites louches, c’est le moment ou jamais de passer à l’action. Parce que non, ce n’est pas juste “un peu gênant”. C’est une brèche béante dans votre vie privée, et elle coûte cher.
Laisser traîner ses données personnelles, c’est accepter d’être la cible d’hameçonnages, de publicités agressives ou pire, devenir une variable dans des scénarios de fraude. Les
courtiers en données
collectent et revendent tout ce qu’ils peuvent glaner en ligne — identité, préférences, historiques d’achat ou de navigation, parfois même des données sensibles. Une fois ces infos répandues, les conséquences sont imprévisibles.
Rappelez-vous TikTok, qui vient de se prendre 530 millions d’euros d’amende pour avoir baladé les données européennes vers la Chine comme si c’était un sachet de popcorn. Et ce n’est qu’un exemple parmi des centaines. Vos données, c’est de l’or. Un business à 434 milliards de dollars en 2025. Et vous, vous êtes le produit.
Vos infos sont partout. Vraiment partout
Faites le test : tapez votre nom complet sur Google. Ajoutez votre ville si besoin. Vous allez probablement tomber sur une partie ou l’ensemble des données suivantes :
Votre adresse postale (souvent ancienne, mais toujours visible)
Votre numéro de portable
Vos anciens boulots
Des photos que vous pensiez réservées à vos potes
Et parfois même une estimation de votre salaire ou de votre patrimoine
Tout ça, ce n’est pas Google qui l’a inventé. Ce sont des data brokers – ces boîtes de l’ombre qui rassemblent, croisent et revendent vos infos à qui veut bien payer. Et elles sont légion. Une étude d’Incogni montre que certaines personnes retrouvent leurs données sur plus de 200 sites différents. Oui, deux-cent.
Et le pire ? Ces données ne restent pas statiques. Elles circulent. Elles sont rachetées, enrichies, croisées avec d’autres sources… jusqu’à ce qu’un inconnu puisse vous appeler en connaissant votre prénom, votre quartier, votre fournisseur d’électricité, et le nom de votre chat.
Le RGPD, c’est bien… mais c’est pas magique
En Europe, on a el famoso RGPD, qui nous donne un droit à l’oubli. Super en théorie, mais en pratique … c’est autre chose. Parce que pour le faire valoir, il faut :
Identifier tous les sites qui détiennent vos données (“bon chance” comme dirait Liam Neeson)
Trouver leur formulaire de suppression (s’il existe)
Envoyer une demande conforme
Relancer s’ils ne répondent pas
Recommencer tous les 3 à 6 mois, parce qu’ils recollectent vos infos dès que vous avez le dos tourné
Bref, c’est chronophage, chiant, et peu efficace à grande échelle. Surtout quand on sait que 10 nouveaux data brokers récupèrent vos infos chaque jour.
Alors, comment s’en sortir ?
La bonne nouvelle, c’est que vous n’êtes pas obligé de devenir un expert en droit de la vie privée ni annuler vos week-ends en famille pour remplir des formulaires à la pelle.
Pour une dizaine d’euros par mois (ou moins de 6 €/mois avec le code KORBEN55, merci la Cybersecurity Week), Incogni :
Scanne en continu plus de 420 data brokers (y compris 150+ bases privées non accessibles au public)
Envoie des demandes de suppression conformes au RGPD, CCPA, et autres lois locales
Relance automatiquement tous les 60 à 90 jours pour éviter que vos données ne réapparaissent
Vous permet de demander la suppression sur n’importe quel site via la fonction “custom removals” (disponible sur le plan Illimité)
Résultat après 3 ans d’utilisation de mon côté ? 232 suppressions confirmées. Et ce n’est pas du flan : Incogni est la première entreprise du secteur à avoir fait auditer ses résultats par Deloitte. Oui, 245 millions de suppressions réussies à l’échelle mondiale, vérifiées par un tiers indépendant.
Attention aux apps gratuites – surtout si elles ne sont pas européennes
Pendant que vous vous demandez si vous avez vraiment besoin de ce service, sachez que 88 % des applis américaines et 92 % des applis chinoises partagent vos données avec des tiers. Contre seulement 54 % pour les applications européennes.
Et devinez qui est en tête du classement des plus gros collecteurs ? (on va voir si vous avez retenu la leçon)
Meta avec Threads & Instagram (37 types de données), WhatsApp (14)
TikTok est juste derrière avec 24 types
Les apps de streaming : Prime Vidéo (17), Netflix (12), Disney+ (9) etc.
ChatGPT (9)
Signal, lui, se contente de 3. La différence, elle est là.
Les apps de shopping comme Temu ou AliExpress ? Elles aspirent tout ce qu’elles peuvent. Les apps de fitness ou de santé mentale ? Elles vendent vos données les plus intimes sans sourciller.
Et on ne parle pas ici de votre simple adresse mail ou votre géolocalisation, mais bien de vos tendances politiques, orientations sexuelles, score de crédit, etc.
Selon l’étude
(et pour donner des exemples concrets) : Netflix récolte vos enregistrements vocaux, Temu récupère la liste de toutes les applis que vous utilisez, Meta (en dehors de WhatsApp) récupère vos calendriers, vos photos et vos vidéos à des fins marketing, etc.
Donc non, “je ne poste rien de sensible” ne suffit plus. Vos données fuient de partout, souvent sans que vous le sachiez.
Et pour les entreprises ?
Incogni propose aussi le plan Ironwall360, une version dédiée aux entreprises, administrations, tribunaux ou forces de l’ordre. Parce que quand on est juge, avocat, ou travailleur social, voir ses coordonnées publiques peut vite devenir un problème de sécurité bien réel. Ironwall gère ça avec une approche sur mesure, des équipes dédiées, et un support 24/7 – y compris en urgence.
Mais pour nous, simples mortels, le plan perso suffit largement. Surtout avec la promo pour la
Cybersecurity Week
qui battra bientôt son plein (du 17 au 20 novembre à Rennes). Pour rappel la CW fédère pros et passionnés, avec pour leitmotiv la souveraineté numérique et la résilience. D’année en année, la cybersécurité évolue, mais l’exploitation des données personnelles y sera de nouveau présente. Surtout face à la montée croissante des menaces liées à l’intelligence artificielle et la manipulation automatisée de l’identité numérique.
Faut-il vraiment payer pour ça ?
Techniquement, non. Vous pouvez tout faire vous-même. Mais combien de temps ça va vous prendre ? Combien de fois allez-vous devoir relancer ? Et surtout : combien de fois allez-vous oublier de le faire (parce que la flemme quoi, y’a la dernière saison de Stranger Things à mater), avant que vos infos ne réapparaissent sur un nouveau site de merde pas top ? Un parcours éprouvant qui rebute le plus motivé des internautes.
Alors pendant cette Cybersecurity Week, faites-vous un cadeau : reprenez le contrôle.
👉 Profitez des -55 % avec le code KORBEN55
À moins de 6 €/mois (soit bien moins cher que ses concurrents directs), Incogni fait le sale boulot à votre place, en continu, sans que vous ayez à lever le petit doigt. C’est moins cher qu’un café par semaine. Et franchement, entre votre prochain café et votre tranquillité d’esprit, le choix est vite fait (cette phrase ne s’applique pas forcément entre 6h et 8h du matin).
Effacer complètement sa présence en ligne ? Impossible.
Mais la réduire drastiquement, limiter les fuites, couper les vivres aux data brokers ? Oui, c’est possible. Et avec Incogni, c’est même devenu accessible à tout le monde.
Vous avez une caméra de surveillance connectée chez vous ? Du genre petite caméra Yi à 15 balles achetée sur AliExpress pour surveiller le salon ou le chat quand vous n’êtes pas là ? Alors tenez-vous bien parce qu’un chercheur a réussi à faire tourner DOOM dessus. Et sans toucher au firmware s’il vous plait ! Il a juste exploité le stream vidéo et quelques bugs bien sentis de l’appareil.
Luke M a publié son
projet Yihaw sur GitHub
et ça fait un peu peur car si quelqu’un peut hijacker le stream de votre caméra pour y balancer un FPS des années 90, il peut aussi faire pas mal d’autres trucs beaucoup moins rigolos.
Le hack est assez cool d’ailleurs car ces caméras Yi tournent sur un petit processeur ARM sous Linux. Elles ont donc une app mobile qui vous permet de voir le stream en temps réel et Luke M a trouvé plusieurs vulnérabilités dans la stack réseau de la caméra. Je vous passe les détails mais avec ces bugs, il peut injecter du code arbitraire sans modifier le firmware.
Il peut alors créer trois threads qui tournent en parallèle. Le premier récupère les frames YUV420p directement depuis le capteur de la caméra. Le deuxième convertit ça en h264. Le troisième, au lieu d’envoyer le flux vidéo normal, envoie DOOM. Du coup, vous ouvrez l’app Yi IoT sur votre smartphone et vous voyez le Doomguy buter des demons au lieu de voir votre salon. C’est rigolo, hein ?
Ces caméras Yi, il y en a des millions installées partout dans le monde. Bureaux, maisons, magasins…etc car elles sont pas chères, elles marchent plutôt bien, elles ont une app correcte, mais leur sécurité c’est une vraie passoire. C’est bourré de bugs qu’on trouve en une après-midi avec un fuzzer basique.
Luke M liste plusieurs exploits dans son repo GitHub et c’est un vrai buffet à volonté pour quelqu’un qui veut prendre le contrôle de ces caméras. Bien sûr ce serait illégal alors personne ne le fait, surtout parce que ça demande quand même un peu de boulot pour chaque modèle de caméra. Mais les outils existent, les vulnérabilités sont connues, et si un chercheur solo peut le faire pour s’amuser avec DOOM, imaginez ce qu’un botnet bien pensé pourrait faire.
Tous ces trucs qu’on a chez nous, qui tournent sur du Linux embarqué avec des stacks réseau écrites à l’arrache par des équipes chinoises sous-payées qui doivent sortir un produit tous les trois mois.
GPT-5 a-t-il vraiment fait des miracles en maths ? L’annonce triomphale d’OpenAI s’est transformée en controverse lorsque des chercheurs et figures du secteur ont pointé une confusion majeure entre découvertes inédites et références déjà publiées.
Un emballement vite douché
Tout est parti d’un message effacé depuis, attribué à un vice‑président d’OpenAI, affirmant que GPT-5 avait trouvé des solutions à 10 problèmes d’Erdős et avancé sur 11 autres. Problème : Thomas Bloom, mathématicien et mainteneur d’un site listant ces conjectures, a précisé que les entrées marquées « ouvertes » signifiaient seulement qu’il n’avait pas connaissance d’une solution, pas qu’il n’en existait aucune dans la littérature.
En clair, GPT-5 n’a pas « résolu » des conjectures inédites : il a retrouvé des solutions déjà publiées, passées sous le radar du site de Bloom. L’aveu est venu ensuite d’un chercheur d’OpenAI, qui a reconnu que « seules des solutions présentes dans la littérature ont été trouvées », tout en défendant la difficulté réelle de la recherche bibliographique.
La réaction du milieu ne s’est pas fait attendre : Demis Hassabis a parlé d’un épisode « gênant », tandis que Yann LeCun a ironisé sur l’excès d’enthousiasme entourant l’annonce. Au-delà du bad buzz, l’affaire rappelle une réalité technique : fouiller efficacement des décennies de publications est utile, mais cela ne vaut pas validation de percées mathématiques. La nuance entre « retrouver » et « démontrer » reste essentielle, surtout quand on parle de conjectures historiques.
Pour la recherche, l’apport potentiel des IA comme GPT-5 à la veille bibliographique est réel. Mais pour la crédibilité, la communication doit distinguer agrégation de connaissances et production de nouvelles preuves. Une vigilance indispensable, notamment dans des domaines où la validation par pairs fait loi.
Axiomtek lance l’IMB701, une ATX de classe serveur taillée pour l’IA et le HPC : socket LGA4677 pour Xeon Scalable 4e/5e génération (jusqu’à 350 W), 8 slots DDR5 ECC et cinq PCIe x16 Gen5 pour les GPU et cartes d’accélération.
IMB701 : de la bande passante et de la gestion à distance
Côté architecture, l’IMB701 empile huit emplacements DDR5-5200 R-DIMM ECC pour atteindre jusqu’à 512 Go, et cinq PCIe x16 Gen5 pour multiplier les GPU/ASIC selon les besoins en vision, AOI ou LLM. Le stockage s’appuie sur M.2 Key M NVMe et interfaces MCIO pour des débits soutenus, complétés par le SATA avec RAID 0/1/5/10.
Axiomtek IMB701
La connectivité vise l’essentiel : USB 3.2, double LAN GbE, VGA, COM, TPM 2.0 et support d’un dongle USB interne. Pour l’exploitation, l’IMB701 mise sur IPMI 2.0 via OpenBMC afin de surveiller et administrer à distance, réduisant les arrêts et simplifiant le déploiement en environnements industriels.
Pour qui, pour quoi ?
AI vision, calcul intensif, imagerie et médical : la plateforme vise les charges parallélisées et l’analyse temps réel avec une évolutivité claire (multi-GPU, ECC, gestion out-of-band). Disponible dès maintenant via le réseau Axiomtek.
Utilitaire gratuit, en français et portable permettant de remplacer votre barre des tâches actuelle par celle de Windows 95-98, Windows 2000, Windows Me, Windows XP.
Utilitaire gratuit, en français et portable, permettant de libérer rapidement de l'espace disque en supprimant les historiques et caches de vos fichiers utilisés dans plus de 90 applications...
NVIDIA et ses partenaires se préparent activement pour la prochaine génération de serveurs Vera Rubin, coïncidant avec la montée en production des serveurs AI Blackwell Ultra GB300. NVIDIA NVL144 MGX : Serveurs AI et Performances Accrues La gamme de serveurs AI Vera Rubin de NVIDIA est attendue avec impatience. Elle promet des améliorations substantielles de […]