Vue normale
-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- PrestaShop racheté : la naissance d’un géant européen capable de rivaliser avec Shopify ?
-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- Cybermenaces : le ministère de l’Intérieur déclenche une enquête après des accès suspects
Cybermenaces : le ministère de l’Intérieur déclenche une enquête après des accès suspects
-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- 3 euros… ou beaucoup plus : ce que cache vraiment la nouvelle taxe européenne sur les colis e-commerce
3 euros… ou beaucoup plus : ce que cache vraiment la nouvelle taxe européenne sur les colis e-commerce
-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- X affiche une reprise timide de ses revenus mais reste loin du Twitter d’avant Musk
X affiche une reprise timide de ses revenus mais reste loin du Twitter d’avant Musk
-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- Après Chrome, Google prépare Disco, un nouveau navigateur qui remet en question la navigation web classique
Après Chrome, Google prépare Disco, un nouveau navigateur qui remet en question la navigation web classique
-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- Réseaux sociaux interdits aux moins de 16 ans en Australie : Reddit conteste une mesure jugée trop intrusive
Réseaux sociaux interdits aux moins de 16 ans en Australie : Reddit conteste une mesure jugée trop intrusive
-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- Google veut faire disparaître la barrière de la langue avec la traduction en temps réel dans les écouteurs
Google veut faire disparaître la barrière de la langue avec la traduction en temps réel dans les écouteurs
Oracle décroche en Bourse, premier avertissement d’une bulle de l’IA ?
-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- Étude : L’IA sort de la phase d’expérimentation et s’impose comme un levier stratégique
Étude : L’IA sort de la phase d’expérimentation et s’impose comme un levier stratégique
Dépassé par l’arrivée de l’IA, Siri doit renaître ou mourir
![]()
-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- SK Hynix confirme que la crise de la mémoire RAM pourrait durer jusqu’en 2028
SK Hynix confirme que la crise de la mémoire RAM pourrait durer jusqu’en 2028
La pénurie de mémoire vive qui frappe l’ensemble du secteur technologique ne semble pas près de se résorber. SK Hynix, l’un des trois plus grands fabricants mondiaux de mémoire DRAM, vient indirectement confirmer que la situation actuelle pourrait perdurer bien plus longtemps que prévu. Selon des documents internes récemment divulgués, l’approvisionnement en mémoire restera fortement […]
L’article SK Hynix confirme que la crise de la mémoire RAM pourrait durer jusqu’en 2028 est apparu en premier sur HardwareCooking.
Où trouver des AirPods 4, Pro et Max livrés avant Noël ?
![]()
Récap : les 5 articles qu’il ne fallait pas manquer ces 7 derniers jours
![]()
iOS 26.2 : je ne peux déjà plus me passer de ces 4 nouveautés
![]()
Vous ne rêvez pas, Amazon affiche bien l’iPhone 16 Pro à moins de 860 €
![]()
Apple TV : voici les 6 meilleures nouvelles séries de 2025
![]()
-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- Le fondateur de Boston Dynamics revient en force avec un robot à roues qui fait des backflips
Le fondateur de Boston Dynamics revient en force avec un robot à roues qui fait des backflips
Vous connaissez Marc Raibert ?
C’est le mec qui a fondé Boston Dynamics, la boîte derrière ces fameux robots qui font flipper tout le monde sur YouTube ( Spot le chien robot , Atlas l’humanoïde qui fait du parkour, Wildcat le chat sauvage …). Et bien le bonhomme a lancé un nouveau projet avec son RAI Institute , et cette fois c’est un robot à roues qui fait des acrobaties de malade.
Ça s’appelle l’UMV pour Ultra Mobility Vehicle, et l’idée c’est de créer un engin qui “pense” et bouge comme un athlète de haut niveau. Comme vous pouvez le voir sur la vidéo, son inspiration ce sont les riders de vélo trial. Oui oui, ces kamikaze qui font des wheelies sur des escaliers et des backflips sur des rochers. Le but c’est donc de combiner l’efficacité des robots à roues (rapides et économes en énergie) avec les capacités de saut des robots à pattes.
Le robot pèse environ 23 kg et peut mesurer entre 80 cm replié et plus de 1m50 en extension (comme Zemmour quoi). Y’a aussi deux moteurs pour la direction et la vitesse, plus quatre moteurs dédiés aux sauts. Le cadre inférieur est en fibre de carbone pour rester léger, et le haut du robot sert de contrepoids pour les manœuvres agressives. Un peu comme un rider humain qui déplace son poids pour garder l’équilibre.
Et le truc de ouf, c’est que le robot n’a pas été programmé manuellement pour faire des bunny hops ou des flips. Il a tout appris tout seul via du reinforcement learning (apprentissage par renforcement). L’équipe l’a fait s’entraîner dans des millions de simulations sur NVIDIA Isaac Lab, et ensuite ils ont transféré ces apprentissages dans le monde réel. C’est ce qu’ils appellent du “zero-shot transfer” où en gros le robot passe direct de la simulation au monde réel… Débrouille-toi mon grand.
Résultat, l’engin est capable de faire des sauts d’un mètre, des flips avant, des wheelies prolongés, et des bunny hops en continu, le tout en gardant un équilibre parfait grâce à ce qu’ils appellent l’"intelligence athlétique". Alors moi j’ai aucune intelligence athlétique car j’ai été dispensé d’EPS toute ma jeunesse, mais en gros, le robot a développé une compréhension intuitive de la physique de son propre corps, comme un sportif qui sait instinctivement comment répartir son poids.
Pour la suite, l’équipe prévoit d’intégrer de la perception haute performance avec LiDAR et caméras, pour que le robot puisse naviguer de façon autonome en terrain difficile. On est clairement dans l’évolution de ce qu’on appelle l’"embodied AI" c’est à dire des IA qui ont un corps physique et qui apprennent à l’utiliser comme des athlètes.
Bref, si l’apprentissage par renforcement peut maîtriser ce niveau d’équilibre dynamique aujourd’hui, dans combien de temps on aura des humanoïdes qui courent plus vite que nous sur n’importe quel terrain ?? Pfiou, ça va arriver vite et j’espère juste qu’ils n’apprendront pas à ouvrir les portes de nos maisons avant qu’on ait le temps de se barrer. Skynet representzzzz !

-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- MAX - L'app russe obligatoire qui transforme votre smartphone en mouchard du FSB
MAX - L'app russe obligatoire qui transforme votre smartphone en mouchard du FSB
Vous pensiez que les apps de messagerie alternatives à WhatsApp c’était pour échapper à la surveillance des États ? Hé bien en Russie et dans les territoires ukrainiens occupés, c’est exactement l’inverse ! En ce moment, y’a une app qui s’appelle MAX, qui est présentée comme le “WhatsApp russe”, et qui depuis le 1er septembre de cette année, est préinstallée de force sur tous les téléphones vendus.
Cette app c’est le rêve de tout dictateur en culottes courtes et installer MAX sur son téléphone, c’est donner volontairement le contrôle total de son appareil au FSB (les services de sécurité russes). Et quand je dis total, c’est accès à toutes vos données personnelles, vos contacts, vos messages, votre localisation… Selon des experts IT, l’app activerait même la caméra automatiquement toutes les 10 à 15 minutes pour prendre des photos à l’insu de l’utilisateur. Un véritable “espion de poche”. Le KGB soviétique aurait tellement kiffé avoir ce truc à leur grande époque.
Et c’est pas fini puisque dans les territoires ukrainiens occupés, notamment dans les oblasts de Zaporizhzhia et Kherson, MAX est devenu un véritable test de loyauté. Aux checkpoints, l’absence de l’app sur un smartphone éveille les soupçons et déclenche des fouilles approfondies. Les autorités d’occupation ont même obligé tous leurs employés à l’utiliser, et les écoles communiquent exclusivement via MAX avec les parents. Histoire de vous faire “rigoler” un bon coup, sachez que même certains fonctionnaires de l’occupation seraient réticents à l’installer, bien conscients des risques…
Et depuis le 1er décembre, ils ont poussé le bouchon encore plus loin en interdisant la vente de cartes SIM non-russes, du coup, pour utiliser MAX, faut un numéro de téléphone russe ou biélorusse. Et comme je vous l’ai dit , WhatsApp, Telegram et compagnie sont progressivement bloqués, donc les possibilités de communiquer librement commencent à fondre comme neige au soleil. L’objectif affiché pour Vladoche et ses copains, c’est de couper complètement les Ukrainiens des territoires occupés du reste du monde et des sources d’information fiables.
Reporters sans Frontières a d’ailleurs dénoncé MAX comme un “outil de contrôle numérique” qui érige un véritable “rideau de fer numérique”, isolant les citoyens des territoires occupés de toute information fiable. Et la dictature prévoit d’aller encore plus loin car bientôt, l’app sera obligatoire pour accéder aux services bancaires en ligne et aux services publics. C’est un véritable rideau de fer numérique qui isole les populations.
L’app revendique 50 millions d’utilisateurs, mais bon, quand t’as pas le choix et que c’est préinstallé de force sur ton téléphone, est-ce que ça compte vraiment comme des “utilisateurs” ? Souvenez-vous de TousAntiCovid, loool.
Bref, si vous voulez voir à quoi ressemble la surveillance de masse version 2025, MAX c’est l’exemple parfait et c’est une bonne piqûre de rappel sur pourquoi il faut continuer à se battre pour garder des messageries chiffrées et indépendantes…

-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- 25 ans de fidélité Apple et paf, compte bloqué définitivement pour une connerie
25 ans de fidélité Apple et paf, compte bloqué définitivement pour une connerie
Vous vous souvenez de mes conseils bien chiants sur l’importance de faire des backups ? Mais siii, ceux que je vous rabâche régulièrement depuis des années et que vous ne suivez pas du tout ?
Hé bien voici une histoire qui va vous donner envie de les suivre une bonne fois pour toutes (enfin j’espère… ^^) !
Dr Paris Buttfield-Addison, est basé en Australie et c’est un développeur Apple depuis 25 ans et le mec a écrit plus de 20 bouquins sur Objective-C et Swift, et co-organise le plus ancien événement développeur Apple non-officiel… Bref, c’est pas un random qui a téléchargé une app météo une fois. C’est un évangéliste Apple depuis 30 ans.
Et bien du jour au lendemain, son compte Apple ID a été fermé sans aucune explication. Et bien sûr, impossible de faire un recours.
L’élément déclencheur de sa mésaventure c’est qu’il a essayé de racheter une carte cadeau Apple de 500 dollars pour payer son abonnement iCloud+ de 6 To. Le code a foiré, le vendeur lui a proposé un remplacement, et quelques temps après… boom, compte verrouillé.
Résultat, environ 30 000 dollars de matos Apple devenu inutilisable, des milliers de dollars de logiciels et médias achetés auxquels il n’a plus accès, plus d’iMessage non plus, et surtout des téraoctets de photos de famille qu’il ne peut plus récupérer.
Voilà comment 25 ans de souvenirs et de boulot se sont fait vaporiser…
Et le support Apple n’a pas dit grand chose à part que le compte a été fermé pour “non conformité avec les conditions”. Pas d’autre explication ni possibilité de faire escalader sa demande au support. Tout ce qu’on lui a conseillé c’est de créer un nouveau compte…
On lui a également suggéré de se présenter physiquement au siège australien d’Apple comme si le mec allait prendre un billet d’avion pour aller plaider sa cause en personne. Bref, c’est bizarre comme réponse venant d’une boîte qui vaut 4000 milliards de dollars.
Le truc, c’est que cette histoire peut arriver à n’importe qui. Que ce soit chez Apple, Google ou Microsoft, nous sommes tous à la merci d’un algorithme qui décide un beau matin que notre compte est suspect ou à la bonne humeur de Donald Trump comme ce qui est arrivé à ce juge . Et bonne chance pour trouver un interlocuteur prêt à mouiller sa chemise pour vous…
Moi-même j’ai eu tellement de problèmes de synchro avec iCloud au fil des années que j’ai perdu des fichiers. C’est de la grosse merde donc otez pour un truc mieux si vous le pouvez.
Alors du coup, comment on évite ça ?
L’idéal c’est bien sûr l’auto-hébergement si vous avez le temps et les compétences (Oui, c’est gratuit que si votre temps ne vaut rien…sinon, faut relever les manches un peu ^^). Sinon, au minimum, faites des backups réguliers de vos données. Pour Apple Notes par exemple, y’a un outil qui s’appelle Exporter que j’aime beaucoup qui permet d’exporter toutes vos notes vers du Markdown ou du HTML comme ça le jour où Tim Cook décide que votre tronche lui revient pas, vous aurez au moins une copie de vos données quelque part.
Bref, ne faites jamais confiance à 100% à ces plateformes avec vos données les plus précieuses. Elles peuvent vous couper l’accès du jour au lendemain, et vous n’aurez aucun recours comme ce pauvre évangéliste qui a consacré sa vie à Apple…

StartupFolder - Retrouvez le dossier Démarrage de Windows sur votre Mac
Vous vous souvenez du dossier Démarrage de Windows ?
C’était ce super dossier jaune dans lequel on balançait des raccourcis vers des .exe et hop, ça se lançait au boot. Hé bien figurez-vous que ça n’existe pas nativement sous macOS. Enfin, ça n’existait pas, parce qu’un dev a décidé de combler ce manque.
Ça s’appelle StartupFolder et c’est une petite app macOS qui crée un dossier “Startup” dans votre répertoire utilisateur. Tout ce que vous mettez dedans se lance alors automatiquement au démarrage de votre Mac : Apps, scripts, raccourcis, liens web… vous balancez tout ce qui vous chante et ça tourne !
Pour les apps, faut créer des alias (Command-Option-glisser), pour les scripts, vous les écrivez direct dans le dossier, pour les raccourcis Siri vous créez un fichier vide avec l’extension .shortcut, et pour les liens web, vous les glissez depuis la barre d’adresse de votre navigateur. Bref, c’est vraiment pas compliqué.
Et y’a quelques options sympas aussi. Par exemple, vous pouvez lancer les apps en mode caché pour qu’elles démarrent en arrière-plan sans vous sauter à la gueule. Y’a même une option “Force Hide” pour les apps récalcitrantes qui insistent pour s’afficher.
Et un autre truc cool, c’est le mode “Keep Alive”. Avec cette option, si une app ou un script plante, StartupFolder le relancera automatiquement. Et pour éviter les boucles de crash infinies, y’a un système de détection qui arrête de relancer un truc qui plante en boucle.
Côté ressources, l’agent tourne en fond et consomme que dalle et comme d’hab, c’est open source sous licence GPL-3 , c’est codé en Swift, et c’est gratuit.
Voilà, si vous cherchez un moyen simple de gérer vos apps au démarrage sous macOS sans passer par les préférences système qui sont mal foutues, c’est ce qu’il vous faut.
Merci à Lorenper pour le partage !

-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- DuckStation - L'émulateur PS1 qui fait tourner vos vieux jeux mieux que sur la console d'origine
DuckStation - L'émulateur PS1 qui fait tourner vos vieux jeux mieux que sur la console d'origine
Est ce que vous avez encore des CD de jeux PlayStation 1 qui traînent chez vous ? Ou allez, des ISOs que vous avez “légalement” rippées de vos propres disques à vous bien sûr ?
Hé bien vous allez pouvoir dépoussiérer tout ça grâce à cet émulateur qui propose une qualité visuelle que la PS1 n’aurait jamais pu vous offrir à l’époque.
Ça s’appelle DuckStation et c’est un émulateur PS1 qui mise sur la rapidité et la précision. Le projet a été conçu pour être aussi fidèle que possible à la console d’origine tout en restant assez léger pour tourner sur des machines pas forcément très musclées .
Le truc cool c’est que par défaut, sans bidouiller quoi que ce soit, la plupart des jeux tournent nickel ! Le dev a fait le choix de ne pas encourager les “hacks” qui cassent la compatibilité du coup vous lancez votre jeu et ça marche.
Mais si vous voulez pousser le truc, y’a quand même de quoi s’amuser. L’émulateur supporte l’upscaling pour afficher vos jeux en HD voire en 4K, le filtrage de textures pour lisser tout ça, et le PGXP pour corriger la précision géométrique qui faisait trembler les polygones sur la vraie PS1. Vous savez, ce “wobbling” dégueulasse quand la caméra bougeait ? Hé bien c’est fini.
Côté rendu graphique, vous avez le choix : D3D11, D3D12, OpenGL, Vulkan ou Metal selon votre plateforme. Ça tourne sous Windows, Linux, macOS et même Android. Pour les Mac, y’a évidemment un Universal Binary qui fonctionne aussi bien sur Intel que sur Apple Silicon.
L’interface propose deux modes : une version Qt classique pour le bureau et une version fullscreen façon Big Picture pour jouer sur un écran de TV avec une manette. Y’a même le support des lightguns comme le GunCon si vous voulez rejouer à Time Crisis ou Point Blank.
Et pour les chasseurs de trophées, DuckStation intègre RetroAchievements donc vous pouvez débloquer des succès sur vos vieux jeux comme si c’était du moderne. Y’a aussi les save states, le rewind pour revenir en arrière quand vous ratez un saut, et la capture vidéo via FFmpeg.
Pour les formats de disques, c’est plutôt large puisque ça supporte CUE/BIN, CHD, ECM, MDS/MDF, PBP… bref tout ce qu’on trouve dans la nature.
Niveau config minimale, faut un CPU qui supporte SSE4.1 (donc tout ce qui date d’après 2007 chez Intel ou 2011 chez AMD) et une carte graphique capable de faire de l’OpenGL 3.1 minimum.
Voilà ! Amusez-vous bien et un grand merci à Lorenper pour le partage !

-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- Surfshark VPN et la nouvelle ère des contrôles d’âge : rester adulte sur un Web qui vous infantilise
Surfshark VPN et la nouvelle ère des contrôles d’âge : rester adulte sur un Web qui vous infantilise
La vérification d’âge est en train de transformer le Web en sas de contrôle permanent, et Surfshark VPN devient, presque malgré lui, l’outil qui redonne un peu de marge de manœuvre aux adultes qui ne veulent pas payer leur majorité à coups de selfies, de scans de carte d’identité et de profils biométriques stockés on ne sait où.
En Europe, ce n’est plus un « si » mais un « comment ». Entre le RGPD, le Digital Services Act et les projets d’identité numérique européenne, la Commission pousse vers des systèmes harmonisés d’âge minimum pour tout ce qui est jugé « sensible » : contenus adultes, jeux d’argent, alcool en ligne, certaines applis sociales, voire des services qui brassent des données de santé ou de finances. Chaque État ajoute sa couche : la loi jeunesse en Allemagne, les expérimentations AGCOM en Italie, les débats récurrents en France… Pour décider quel contrôle appliquer, les plateformes doivent d’abord savoir d’où vous venez et vous coller dans une case juridique, ce qui implique géolocalisation, filtrage par IP, et de plus en plus souvent, association de votre identité réelle à votre navigation. Se prendre en photo avec sa carte d’identité à côté de son visage ? Prouver son identité en fournissant des infos bancaires ou en effectuant un micropaiement ? Se faire estimer son âge par une IA ? Autant d’options en discussions qui font saliver nos élites.
C’est précisément là que Surfshark est intéressant : en masquant l’IP, il brise le chaînage automatique entre pays / identité / historique. On reste bien sûr dans un cadre légal (un VPN ne rend pas magiquement tout autorisé), mais on retrouve une chose devenue rare : la possibilité de consulter le Web sans que chaque site ajoute une ligne à votre dossier personnel, et sans que votre FAI ou un tiers puisse reconstituer à la volée quels portails d’âge vérifié vous fréquentez.
Techniquement, Surfshark pose un tunnel chiffré entre vos appareils et l’un de ses plus de 4 500 serveurs RAM-only répartis dans une centaine de pays ; ce tunnel empêche l’IP de départ d’être visible par le site final, qui ne voit que celle du serveur VPN. L’infrastructure a été poussée un cran plus loin avec l’arrivée des premiers serveurs 100 Gb/s à Amsterdam, dix fois plus costauds que l’actuelle norme 10 Gb/s du secteur, justement pour encaisser les usages lourds (streaming, visio, cloud, jeu en ligne) sans transformer la protection en goulot d’étranglement. Ajoutez à cela un chiffrement AES‑256, des protocoles WireGuard, OpenVPN et IKEv2, un Kill Switch qui coupe tout en cas de chute du tunnel, et des protections contre les fuites DNS/WebRTC/IPv6, et l’on obtient une boîte noire bien hermétique pour transporter votre trafic, vérification d’âge ou pas.
Les nouveautés apparues en 2025 renforcent encore un peu plus cet anonymat de terrain. Multi IP permet d’associer plusieurs adresses IP dédiées ou statiques à un même compte, voire à un même emplacement, pour compartimenter ses usages : une IP pour le boulot, une autre pour le streaming, une troisième pour les tests ou les plateformes plus sensibles, sans que les services puissent recoller toutes ces activités à une seule identité réseau. En parallèle, Surfshark améliore la rotation d’IP : certains serveurs renouvellent automatiquement l’adresse sans couper la connexion, ce qui rend beaucoup plus difficile le suivi de session prolongée par des réseaux publicitaires ou des systèmes de scoring qui associent « IP stable = profil bien cerné ». Dans un contexte où les futures architectures de vérification d’âge vont s’appuyer sur la corrélation entre localisation, identité et comportement, ce simple brouillage d’IP devient un levier très concret de résistance au profilage massif.
L’intérêt est particulièrement tangible dans l’Union européenne (j’ai failli écrire prison européenne, lapsus des doigts oops). D’un côté, l’UE planche sur un « Age Verification Blueprint » et un portefeuille d’identité numérique (EU Digital Identity Wallet) censés permettre de prouver que l’on a plus de 18 ans sans balancer toute sa vie privée. Sur le papier, c’est rassurant. Dans la pratique, cela signifie surtout que les interactions en ligne vont de plus en plus se faire avec des marqueurs d’identité forts, interopérables d’un service à l’autre. Un VPN comme Surfshark ne remplace pas ces systèmes, mais il peut empêcher qu’un simple contrôle de majorité devienne un poinçon permanent collé à votre IP et partagé avec des tiers. En chiffrant la connexion et en déplaçant virtuellement votre point d’accès, il limite la quantité du signal exploitable, et redonne le choix du « où » et du « quand » on présente ses papiers numériques.
À côté de ce réseau, Surfshark continue d’empiler des fonctions très terre-à-terre, mais qui prennent un autre sens dans un Web filtré par l’âge. CleanWeb filtre pubs, trackers et tentatives de phishing, ce qui réduit non seulement le profilage publicitaire, mais aussi le risque de tomber sur des sites douteux qui se cachent derrière des bannières ou des redirections hasardeuses. Le mode Camouflage rend l’usage du VPN lui-même difficile à détecter par certains FAI ou pare-feux, ce qui peut éviter des blocages grossiers du type « pas de VPN = pas d’accès ». Le split tunneling (Bypasser) laisse passer certaines applis hors VPN – par exemple pour garder un service bancaire local tatillon – tout en protégeant le reste du trafic, et MultiHop fait transiter la connexion par deux pays pour ceux qui ont des besoins plus sensibles. Le tout avec un nombre d’appareils et de connexions simultanées illimité et des clients très complets sur desktop, mobile, TV, routeurs et consoles, ce qui permet de protéger toute la maison sans jongler avec des licences.
En dehors de l’UE, les grands principes sont les mêmes, même si les lois diffèrent. Au Royaume‑Uni, l’Online Safety Act a déjà déclenché une explosion de l’usage des VPN pour contourner ou au moins atténuer la brutalité des vérifications d’âge imposées à une large gamme de contenus, du porno aux discussions sur la santé mentale. En Amérique du Nord, Canada et plusieurs États américains combinent leurs propres lois de protection des mineurs avec des règles de data privacy parfois plus souples, ce qui laisse beaucoup de place aux intermédiaires commerciaux. Là aussi, un VPN sérieux sert autant à limiter la curiosité des intermédiaires qu’à contourner des blocages. Mais c’est en Europe, où se dessine une approche très structurée de l’identité et de l’âge en ligne, que l’équilibre entre protection réelle des enfants et respect de la vie privée des adultes va se jouer, et Surfshark se positionne clairement comme un outil pour ceux qui n’ont pas envie que leur simple date de naissance devienne un ticket de suivi permanent.
Au final, l’utilité concrète de Surfshark VPN, dans ce contexte d’Internet sous contrôle d’âge, tient en trois points : reprendre la main sur son exposition (l’IP comme pivot de moins en moins fiable pour vous profiler), amortir l’impact des nouveaux dispositifs d’authentification en limitant les corrélations possibles, et continuer à utiliser le réseau comme un espace de circulation, pas comme une suite de portiques biométriques. Avec son réseau musclé, ses outils de rotation et de multi‑IP, et ses fonctions de sécurité périphériques, Surfshark ne promet pas de faire disparaître les lois… mais offre une manière plus digne de rester adulte sur un Internet qui, lui, traite de plus en plus tout le monde comme un mineur présumé.
Le VPN ne coûte que 64,48€ TTC pour 27 mois de couverture (abonnement 2 ans + 3 mois offerts). Donc vous pouvez profiter d’une vie un peu plus relax pour moins de 2.5€/mois, c’est pas si mal.
-> Profitez du VPN au meilleur prix <-

[Bon plan] Un logiciel de récupération de photos endommagées (v3.7)
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Cela nous est arrivé au moins une fois à tous : l'impossibilité d'ouvrir une photo.
Et là on ne comprend pas, vous l'avez consulté de nombreuses fois, et, pour une raison inconnue, le fichier est désormais illisible.
Je vous propose donc un logiciel de récupération actuellement offert.
Cet article [Bon plan] Un logiciel de récupération de photos endommagées (v3.7) est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name
-
7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- Un programme avec une apparence originale pour connaître son ordinateur (v1.5.1)
Un programme avec une apparence originale pour connaître son ordinateur (v1.5.1)
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
NWinfo est un programme qui vous permet d'obtenir des informations détaillées sur votre Système et ses matériels.
Vous pouvez facilement accéder et analyser les informations critiques ; il est conçu pour vous aider à optimiser les performances de votre ordinateur en fournissant des informations précieuses.
Vous allez le voir, son interface est originale, ce qu'il faut retenir c'est que c'est un programme portable et qui fonctionne à partir d'XP.
Je vous l'ai présenté pour la dernière fois en version 1.4.2 en juillet dernier, et petit à petit son développement est poursuivi.
La dernière version est la 1.5.1 publiée le 03/12/25, je vous propose de l'essayer.
Cet article Un programme avec une apparence originale pour connaître son ordinateur (v1.5.1) est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name