Si vous ne connaissez pas encore la marque KLEVV, elle a été créée en 2014 en même temps que la société qui détient cette marque : ESSENCORE. Et qui est ESSENCORE ? L'une des 92 entreprises affiliées au SK Group, bien connu du monde du hardware pour sa marque phare : SK hynix. C'est donc sans surpri...
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Voilà l'exemple type d'un article express sur un bon plan.
Je ne connais pas le logiciel que je vais vous proposer, mais vu que la promotion se termine dans 23h50 précisément au moment où je publie cet article, j'ai décidé de ne pas attendre.
Ce soft permet de mieux gérer les périphériques USB, branchement et débranchement, que le service intégré de Windows.
Je vous propose donc de l'essayer et de profiter tant qu'à faire d'une licence à vie. 😉
Alors là, accrochez-vous bien parce que l’histoire de Troy Hunt, c’est un peu comme si Superman décidait de troquer sa cape contre un clavier et de sauver le monde depuis son bureau. Sauf qu’au lieu de voler et de porter des slips par-dessus son pantalon, il tape du code et sauve vos mots de passe compromis. Troy Hunt, c’est le mec qui a créé Have I Been Pwned, ce service gratuit qui vous dit si vos données traînent quelque part sur le dark web. Et croyez-moi, son parcours est complètement dingue !
La première fois que j’ai testé mon email sur son site, j’ai découvert avec horreur que mes données avaient fuité dans je-sais-plus-combien de hacks. Ce jour-là, j’ai réalisé l’ampleur du travail de ce type. Il a créé, à lui tout seul, un service qui aujourd’hui référence plus de 14,4 milliards de comptes compromis dans 845 fuites de données différentes. C’est presque deux fois la population mondiale ! Franchement, c’est du lourd.
Troy Hunt naît en Australie, et contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce n’est pas un gamin des plages qui passe son temps à surfer. Non, lui, il préfère démonter des consoles de jeux “pour voir ce qui les fait marcher”. Le geek était déjà là ! Après des années d’itinérance familiale, Troy finit par s’installer sur la Gold Coast australienne, ce paradis ensoleillé où il vit toujours aujourd’hui avec sa femme Charlotte et leurs deux enfants.
La Gold Coast en Australie, où Troy vit depuis des années
Le truc dingue avec Troy, c’est qu’à l’université dans les années 90, il veut apprendre le développement web mais son école n’offre aucun cours sur Internet ! Imaginez un peu : le web explose, et les universités australiennes sont encore en mode “Internet ? C’est quoi ce truc ?” Alors Troy fait ce que font tous les vrais passionnés, il apprend tout seul. Et en 1995, alors que le web n’a que quelques années, il construit déjà des applications web professionnelles. Autodidacte niveau super chef !
Pendant ses premières années de carrière, Troy touche à tout. Finance, médias, santé… Il accumule l’expérience comme Mario collecte des pièces. Mais c’est en 2001 que sa vie prend un tournant décisif quand il décroche un job chez Pfizer à Sydney. Oui, Pfizer, le géant pharmaceutique !
Au début, c’est le rêve américain version australienne. Il code, il construit des systèmes, il gère des applications cliniques critiques. Il commence comme simple développeur, mais ses compétences le propulsent rapidement au poste d’architecte logiciel pour toute la région Asie-Pacifique. C’est énorme ! Il supervise des systèmes qui gèrent les essais cliniques, rapportent les effets indésirables, optimisent les opérations dans une quinzaine de pays. Le mec est responsable de l’infrastructure tech d’une des plus grosses boîtes pharma du monde pour toute une région géographique !
Mais voilà le hic… Au fur et à mesure que Troy grimpe les échelons, il s’éloigne de ce qu’il aime vraiment : coder. “Je ne faisais plus de code”, raconte-t-il avec amertume. “J’attendais des autres qu’ils le fassent, et je me sentais déconnecté.” Cette frustration grandit comme une démangeaison qu’on ne peut pas gratter. Il manage des gens au lieu de coder, passe ses journées en réunions au lieu de construire des trucs. Le syndrome classique du développeur devenu manager malgré lui !
Pour compenser, Troy lance des projets perso le soir et les weekends. Il crée son blog troyhunt.com, où il partage ses connaissances sur la sécurité web. En septembre 2011, il lance ASafaWeb (Automated Security Analyser for ASP.NET Websites), un outil précurseur qui analyse automatiquement la sécurité des sites ASP.NET. L’idée lui vient de son taf chez Pfizer : “Je passais un temps fou à tester des trucs basiques puis expliquer pourquoi c’était important aux développeurs.” ASafaWeb automatise tout ça. Génial ! L’outil tournera pendant 7 ans avant d’être mis à la retraite en novembre 2018.
En parallèle, Troy devient l’un des instructeurs stars de Pluralsight avec ses cours sur l’OWASP Top 10 et sa série culte “Hack Yourself First”. Son approche ? Apprendre aux développeurs à penser comme des hackers pour mieux se défendre. Plus de 32 000 personnes suivent ses cours, totalisant 78 000 heures de visionnage ! Pendant que ses collègues de Pfizer regardent Netflix, Troy construit méthodiquement sa réputation dans la cybersécurité. En 2011, il devient même Microsoft MVP (Most Valuable Professional), et sera nommé MVP de l’année la même année !
Les cours de Troy Hunt sur Pluralsight sont devenus cultes
Le vrai déclic arrive à l’automne 2013. Troy analyse les fuites de données qui se multiplient et remarque un schéma inquiétant : ce sont toujours les mêmes personnes qui se font pirater, souvent avec les mêmes mots de passe pourris. Les victimes n’ont aucune idée qu’elles sont exposées et continuent d’utiliser “password123” partout. C’est la catastrophe !
Et puis arrive le coup de grâce : la fuite Adobe du 3 octobre 2013. Au début, Adobe minimise… “Juste 3 millions de cartes compromises, rien de grave !” Puis ils passent à 38 millions. Mais quand Brian Krebs de KrebsOnSecurity creuse l’affaire, la réalité explose : 153 millions de comptes compromis ! Troy analyse les données et il est horrifié. Non seulement les mots de passe sont mal chiffrés (avec un chiffrement 3DES réversible au lieu d’un hash irréversible), mais Adobe a stocké les indices de mots de passe en clair ! Genre “nom de mon chien + année de naissance”. Les hackers ont tout. C’est un carnage absolu !
Troy réalise alors l’injustice fondamentale de la situation. Les criminels téléchargent des gigas de données volées sur des torrents et analysent tranquillement qui utilise quel mot de passe où. Mais Monsieur et Madame Tout-le-monde ? Ils n’ont aucun moyen de savoir s’ils ont été compromis. C’est complètement déséquilibré !
Alors le 4 décembre 2013, Troy lance Have I Been Pwned. Au début, c’est minuscule… juste 5 fuites indexées (Adobe, Stratfor, Gawker, Yahoo! Voices et Sony Pictures). Mais le concept est brillant dans sa simplicité. Tu entres ton email, le site te dit si tu as été pwned. Point. Pas de pub, pas d’inscription, pas de collecte de données supplémentaires. Juste un service gratuit pour aider les gens. “Je voulais que ce soit ultra simple et accessible pour bénéficier au maximum à la communauté”, explique-t-il.
L’interface originale de Have I Been Pwned en 2013
Le succès est immédiat et exponentiel. Les gens découvrent avec horreur que leurs données sont partout. Le site devient viral. En quelques semaines, les médias s’emparent du sujet. Troy ajoute fuite après fuite, breach après breach.
Ce qui est sympa également, c’est l’architecture technique. Troy utilise Windows Azure (maintenant Microsoft Azure) pour gérer une montée en charge astronomique. On parle de 150 000 visiteurs uniques par jour en temps normal, 10 millions lors des gros incidents. Les données sont stockées dans Azure Table Storage, une solution NoSQL qui permet de gérer des milliards d’enregistrements pour quelques dollars par mois. Les mots de passe compromis sont servis via Cloudflare avec un cache hit ratio de 99,9% sur 335 edge locations dans 125+ pays. L’API Pwned Passwords traite aujourd’hui plus de 13 milliards de requêtes par mois ! Et le plus fou ? Tout ça tourne pour moins de 300$ par mois. L’efficacité à l’état pur !
Pendant ce temps, chez Pfizer, Troy est de plus en plus malheureux. “Vers la fin, je redoutais d’aller au travail”, avoue-t-il. Se lever avec la boule au ventre, c’est le signe qu’il faut changer de job. En avril 2015, le destin frappe : Pfizer annonce que son poste est supprimé dans une restructuration. Licencié après 14 ans ! Mais au lieu de déprimer, Troy ressent… du soulagement ! “Je me sentais enfin libre de me concentrer sur HIBP et d’autres projets indépendants.”
Troy célébrant son “indépendance” après son licenciement de Pfizer
Se faire virer devient la meilleure chose qui lui soit arrivée ! Troy devient consultant indépendant et se lance à fond. Il donne des workshops dans le monde entier : banques centrales, gouvernements, entreprises du Fortune 500. Il fait des keynotes à Black Hat, DEF CON, NDC. Plus de 100 workshops et autant de conférences en quelques années. Le développeur frustré de Pfizer est devenu une rockstar mondiale de la cybersécurité !
Mais c’est Have I Been Pwned qui reste son bébé. En janvier 2019, Troy découvre “Collection #1”, une méga-fuite de 773 millions d’emails uniques et 21 millions de mots de passe uniques, totalisant 2,7 milliards de combinaisons email/password. C’est la plus grosse fuite jamais vue ! L’analyse révèle que c’est une compilation de plus de 2000 fuites précédentes, avec 140 millions de nouveaux emails jamais vus auparavant.
Aujourd’hui en 2025, HIBP a catalogué plus de 845 fuites et 14,4 milliards de comptes pwned. Le service est utilisé par 40 gouvernements dans le monde pour monitorer leurs domaines officiels. La Malaisie est même la première nation asiatique à l’adopter officiellement. Des agences comme le FBI, la CISA, le RCMP canadien et le NCA britannique collaborent activement avec Troy, lui fournissant des mots de passe compromis découverts lors de leurs enquêtes.
Le nouveau look de HIBP en 2025
Le truc génial avec Troy, c’est qu’il refuse de monétiser HIBP de façon agressive. Le service reste gratuit pour les particuliers. Il fait payer uniquement les entreprises qui veulent utiliser l’API pour vérifier en masse. Sa philosophie est claire : “Je ne stocke pas les mots de passe. Néant. Que dalle. Je n’en ai pas besoin et je ne veux pas de cette responsabilité. Tout ça, c’est pour sensibiliser à l’ampleur des fuites.”
Cette approche éthique lui vaut une reconnaissance mondiale. En novembre 2017, il témoigne devant le Congrès américain sur l’impact des fuites de données. En février 2022, il reçoit le prestigieux Mary Litynski Award du M3AAWG pour avoir rendu Internet plus sûr. Même le FBI lui a filé une médaille ! Pas mal pour un mec qui a appris le web tout seul !
Un aspect méconnu, c’est le rôle crucial de sa femme Charlotte. Elle a coordonné les conférences NDC (Norwegian Developers Conference) dans le monde entier de 2013 à 2021. Quand elle rejoint HIBP en 2021 comme Chief Operating Officer, elle gère tout ce qui n’est pas technique : onboarding des clients, tickets d’API, compta, taxes internationales…
Charlotte Hunt, la moitié opérationnelle du duo
“Charlotte est à la fois ma femme et la chef de toutes les opérations chez HIBP”, explique Troy avec affection. Sans elle, impossible de gérer un service utilisé par des millions de personnes. C’est le duo parfait !
Mais Troy n’est pas qu’un héros de la cybersécurité. En février 2017, il révèle les vulnérabilités critiques de CloudPets, des peluches connectées qui ont exposé 820 000 comptes et 2,2 millions de fichiers audio d’enfants parlant à leurs doudous. Les enregistrements étaient accessibles sans authentification sur des serveurs MongoDB mal configurés ! Son investigation force Spiral Toys à sécuriser d’urgence et sensibilise le monde aux dangers de l’IoT mal sécurisé.
Troy recevant les honneurs pour son travail
Un des aspects les plus impressionnants, c’est sa capacité à vulgariser. Sur son blog, il explique des concepts complexes avec une clarté cristalline. Ses articles sur Collection #1 ou l’analyse des mots de passe Adobe sont des masterclass de pédagogie. Il a créé toute une philosophie autour de la “culture de la sécurité” : “La sécurité doit être en tête des priorités pour TOUS les professionnels de la tech, pas juste l’équipe sécu.” Cette vision révolutionne la façon dont les entreprises abordent la cybersécurité.
Et même les experts se font avoir ! Dans un exemple d’humilité rafraîchissante, Troy a admis publiquement s’être fait avoir par un email de phishing sophistiqué. Cette transparence renforce encore sa crédibilité. Le mec assume ses erreurs, c’est ça qui est beau !
L’impact technique de HIBP est phénoménal. L’API Pwned Passwords utilise un modèle k-anonymity génial où au lieu d’envoyer votre mot de passe en clair, vous envoyez les 5 premiers caractères du hash SHA-1, le serveur répond avec tous les hashs correspondants (environ 400), et votre navigateur vérifie localement. Résultat, votre mot de passe n’est jamais transmis, même pas à Troy ! C’est de la privacy by design à l’état pur. Des géants comme 1Password, Firefox et Google Chrome intègrent maintenant cette API pour vérifier si vos mots de passe ont fuité.
Le plus fou dans tout ça c’est que Troy continue de développer HIBP avec passion. En 2025, il a ajouté le support des données de “stealer logs” (malwares qui volent les identifiants), intégrant 231 millions de mots de passe uniques supplémentaires. Il travaille avec le FBI et le NCA britannique qui lui fournissent régulièrement des données saisies lors d’opérations contre les cybercriminels.
Aujourd’hui, Troy vit toujours sur la Gold Coast, “la partie ensoleillée du pays ensoleillé !” comme il aime dire. Il continue de développer HIBP, donne des conférences dans le monde entier (quand il n’est pas en train de faire du jetski ou de piloter des voitures de sport sur circuit), et reste l’une des voix les plus respectées de la cybersécurité mondiale.
Ce qui est dingue avec Troy Hunt, c’est qu’il a transformé une frustration personnelle (ne plus coder chez Pfizer) en service public mondial. Il a créé quelque chose que même les gouvernements n’avaient pas pensé à faire. Et il l’a fait gratuitement, par pure passion pour la sécurité. Dans un monde où tout se monétise, où chaque startup cherche la licorne, Troy reste fidèle à ses principes : aider les gens à rester safe online.
Si ça c’est pas inspirant, franchement, je sais pas ce qui l’est ! Le mec a littéralement changé la façon dont le monde entier gère les fuites de données. Et il continue, breach après breach, à nous protéger de nos propres mauvaises habitudes de sécurité. Respect total.
En 2017, le premier opus Hollow Knight voyait le jour et ce metroidvania est rapidement devenu une référence incontestée dans le milieu des jeux indépendants et même plus largement dans le monde des jeux vidéo tout court. Depuis son lancement, Hollow Knight cumule la bagatelle de 384 757 avis sur St...
L'app a gagné en popularité ces dernières années, en France, et à l'étranger. Si vous ne la connaissez pas encore, voilà une petite présentation qui va surement vous pousser au téléchargement !
Alors que la Gamescom 2025 bat son plein, l’actualité hardware reprend (enfin !) quelques couleurs après le passage à vide classique qui suit le Computex. Sauf que vos aimables rédacteurs ne sont (malheureusement) pas dotés du don d’ubiquité, si bien que la lecture francophone demeure limitée en ce...
Alors que Windows 10 approche de sa fin de support (octobre 2025) et que Windows 11 continue de diviser, un petit outil gratuit commence à faire parler de lui : UpDownTool. Son objectif ? Permettre un retour vers Windows 10, et plus précisément vers la version LTSC 2021, sans perte de fichiers, d’applications ni de paramètres, avec en prime des mises à jour garanties jusqu en 2032.
Pourquoi ce retour séduit autant ?
Windows 11 ne convainc pas tout le monde. Interface bousculée, options manquantes, performances discutables sur certaines machines… Nombreux sont ceux qui ont tenté l’expérience et veulent revenir à Windows 10. Problème : Microsoft n’autorise ce retour que dans un délai de 10 jours après l’upgrade, sans quoi il faut tout réinstaller.
C’est là qu’intervient UpDownTool, un utilitaire non officiel qui propose une procédure automatisée pour repasser sur Windows 10, tout en conservant ses données et ses logiciels.
Une version LTSC stable jusqu’en 2032
UpDownTool permet même d’installer Windows 10 LTSC 2021, une version long terme habituellement réservée aux entreprises. Ses avantages :
Aucune application préinstallée
Pas de Microsoft Store, Cortana, ni services inutiles
Stabilité maximale
Mises à jour de sécurité assurées jusqu’en 2032
C’est cette longévité qui attire de plus en plus d’utilisateurs avertis, notamment ceux qui veulent éviter Windows 11 sans se retrouver sans mises à jour en 2025.
Ce qu’il faut savoir avant de se lancer
L’outil n’est pas officiel, ni supporté par Microsoft.
Une licence Windows 10 LTSC est requise (~140 €), car cette version est prévue pour un usage pro.
Certaines fonctions sont absentes (pas de Store, d’apps modernes, etc.).
Une sauvegarde est vivement conseillée, même si l’outil promet un processus sans perte.
Le programme est disponible gratuitement sur le site TeknixStuff, qui centralise les téléchargements de l’outil et propose une interface claire pour choisir entre un retour vers Windows 10 LTSC 2021 ou les éditions classiques (Home/Pro). À noter : il s’agit d’un outil non officiel, sans lien avec Microsoft, et une licence valide de Windows 10 est nécessaire pour rester dans les clous sur le plan légal.
Verdict : un outil utile, mais réservé aux utilisateurs avancés
UpDownTool comble une vraie lacune dans l’écosystème Windows actuel. Pour ceux qui veulent un système stable, léger, sans passer par Windows 11, la combinaison LTSC + migration en douceur a de quoi séduire. Reste que le cadre légal et technique reste flou : ce n’est pas une solution pour tout le monde.
Présentée en mai dernier sous forme de prototype lors du Computex, la ZOTAC Zone 2025 passe à l’étape supérieure : elle devient la Zone Pro, version prête à être commercialisée, dévoilée en public cette semaine à la Gamescom 2025.
La fiche technique confirme les ambitions de ZOTAC sur le segment des consoles portables haut de gamme : Ryzen AI 9 HX 370, Radeon 890M (16 CU RDNA 3.5), 32 Go de RAM LPDDR5X-7500, 1 To de SSD NVMe, et un écran AMOLED 7 pouces 120 Hz. Le tout dans un boîtier de 692 g reprenant le design du premier modèle.
Un hardware musclé, fidèle au prototype
Comme nous l’avions déjà analysé lors du Computex (voir notre article), la Zone embarque un CPU Ryzen AI 9 HX 370avec 12 cœurs Zen 5 (4P + 8E), une configuration inédite sur ce type d’appareil.
Le GPU Radeon 890M embarque 16 unités de calcul RDNA 3.5, ce qui place la Zone Pro parmi les consoles les plus performantes du marché mobile bien au-dessus d’un Z1 Extreme voire d’un Ryzen Z2 Extreme.
Linux plutôt que Windows : ZOTAC mise sur Manjaro
Surprise côté OS : ZOTAC conserve son choix de Manjaro Linux, avec son interface maison. Une décision qui tranche avec la plupart des consoles concurrentes sous Windows ou SteamOS. Il faudra voir à l’usage si l’interface proposée est à la hauteur en matière de compatibilité et de confort.
Contrôles, connectique et design : du solide, du déjà-vu
Le design ne bouge presque pas : double trackpad, joysticks Hall effect, gyroscope, triggers arrière ajustables, macro boutons, USB 4, Wi-Fi 6E, Bluetooth 5.2… La console reprend tous les éléments du prototype, avec des ajustements prévus sur les couleurs du châssis d’ici la sortie.
Date de sortie : octobre, prix à venir
ZOTAC annonce une sortie en octobre 2025, sans préciser le tarif pour l’instant. À ce stade, tout semble prêt pour un lancement commercial qui viendrait directement concurrencer les ROG XBOX Ally X attendue cet automne, ou la MSI Claw A8 BZ2EM, première console du marché à intégrer le Ryzen Z2 Extreme.
À partir de ce dimanche 24 août, Hot Chips 2025 ouvre ses portes à Stanford pour trois jours de conférences pointues sur les architectures matérielles de demain. L’événement rassemblera des concepteurs de puces, des architectes systèmes et des chercheurs pour dévoiler les dernières avancées en calcul haute performance, en IA et en accélérateurs matériels, avec des études de cas et des retours d’expérience concrets.
Comme chaque année, les poids lourds du secteur (NVIDIA, AMD, Intel, Google, Microsoft…) y présentent leurs dernières innovations côté CPU, GPU, IA, photonics, datacenter ou interconnexions.
Hot Chips 2025 : Le programme
Hot Chips 2025 se tiendra du dimanche 24 au mardi 26 août 2025 au Memorial Auditorium de Stanford, à Palo Alto, Californie.
Vous pourrez assister aux sessions en présentiel sur le campus ou suivre l’intégralité du programme en ligne, avec accès aux keynotes, aux présentations techniques, aux démonstrations et aux sessions de questions réponses. Des ressources complémentaires seront proposées après chaque intervention.
Avant le lancement officiel, voici un aperçu des moments forts attendus :
Dimanche 24 août : les tutoriels techniques
Racks IA nouvelle génération : AMD, Google, Meta, Microsoft
Présentée en grande pompe au Computex 2025, la ZOTAC Gaming GeForce RTX 5090 ArcticStorm AIO avait attiré tous les regards avec son design soigné, son refroidissement liquide préinstallé, et ses promesses de silence absolu. Nous en avions parlé dans notre article dediésuite à notre couverture du stand Zotac, saluant une approche premium qui vise clairement les configurations haut de gamme sans compromis esthétiques.
Trois mois plus tard, cette carte graphique au style affirmé passe enfin à l’épreuve du feu chez nos confrères de Hardwareluxx. Et leur verdict, s’il confirme plusieurs qualités, révèle aussi quelques limites techniques.
Des températures exemplaires, un silence bienvenu
Côté refroidissement, la promesse est tenue. Grâce à son radiateur 360 mm et ses trois ventilateurs, la ZOTAC ArcticStorm AIO garde son calme, que ce soit au repos ou en pleine charge. Même la pompe reste discrète. En jeu, la carte affiche des températures basses, comparables à celles des autres modèles AIO haut de gamme. De quoi mettre à mal les cartes à air plus classiques.
Là où certains attendaient un monstre de puissance surcadencé, cette ArcticStorm reste sobre. Avec une limite de puissance à 575 W par défaut (comme la majorité des RTX 5090), elle n’affiche aucun gain significatif face aux autres modèles.
Il est possible d’augmenter ce power limit à 600 W via logiciel, mais cela reste en deçà de ce que proposent des marques concurrentes comme Gigabyte ou Inno3D sur certains modèles plus agressifs.
ZOTAC RTX 5090 ArcticStorm AIO : RGB, design miroir et logiciel maison
Côté esthétique, ZOTAC a mis le paquet : effet miroir infini, éclairage RGB personnalisable sur quatre zones, et une finition bleu-gris très assumée. C’est clairement une carte pensée pour être vue. Le tout se pilote via le ZOTAC Firestorm Utility, qui permet d’ajuster les fréquences, la ventilation, l’alimentation et bien sûr l’éclairage.
Sans surprise, la carte ne sera pas donnée. Les premières RTX 5090 au MSRP démarrent autour de 2099 euros en France (selon maj MSRP récente), et la version ArcticStorm AIO devrait s’afficher aux environs de 2700 euros, au même niveau que les autres modèles AIO du marché, comme la MSI GeForce RTX 5090 SUPRIM LIQUID SOC que nous avons testés.
Verdict : style et silence, mais pas une bête d’OC
La ZOTAC RTX 5090 ArcticStorm AIO est une carte pensée pour ceux qui veulent du silence, du style et une intégration facile du watercooling, sans pour autant chercher les limites extrêmes de la RTX 5090. Les performances sont solides, mais classiques. Le refroidissement est excellent. Et le design ? Il continue de faire mouche.
Au mois de mai, Intel officialisait ses cartes graphiques Intel Arc Pro B50 et B60 pour le monde professionnel. Lors de cette présentation, une carte avait particulièrement retenu l'attention : la Maxsun Intel ARC Pro B60 Dual 48G Turbo, que nous vous présentions d'ailleurs plus en détails dans une...
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Vous le savez, j'ai déjà essayé la version LTSC 2021 depuis laquelle je rédige cet article actuellement.
Je me suis dit que ce serait intéressant de faire un comparatif avec l'opus 2019 qui repose sur une version de novembre 2018 de Windows 10.
Ce qui m'a motivé c'est la date de fin de prise en charge du Support : 2029 !
Mais attention, comme je vais vous l'expliquer, il n'y a pas que des avantages à utiliser une version qui est relativement ancienne.
Oui, je vous le dis tout de suite, si mes tests se sont bien passés, je pense qu'il faut réserver cette 2019 à des PC anciens et ou qui utilisent des processeurs aussi plutôt anciens. Entendez par là que si votre portable ou votre tour a moins de 5 ans, je pense que la version 2021 sera et restera la plus adaptée.
Déjà, une chose importante : pour rappel il n'y a pas de Store sur les versions LTSC, certains d'entre vous m'ont dit que, si besoin, ils l'installeront plus tard. Sauf que si pour la version LTSC 2021 de Windows 10 et la version LTSC 2024 de Windows 11 mes tests se sont déroulés sans problèmes, cela a été un échec cuisant pour la version 2019 que je vous propose aujourd'hui.
Après, installer le Store sur ce type de version n'est pas cohérent car si vous souhaitez profiter d'un OS rapide avec peu de télémétrie, tout ajout de modules complémentaires vous rapprochera de la version officielle avec tous ses inconvénients en termes de ralentissement, complexité, télémétrie à outrance, etc.
De toute façon, comme je l'ai déjà expliqué, peu importe les essais et vérifications que j'ai réalisés (et que je réaliserai éventuellement suivant vos demandes), il faudra que VOUS fassiez une installation test pour être sûr que vos logiciels préférés fonctionnement ET aussi que leurs licences soient acceptées.
Pour ce dernier point cela dépend de la politique des éditeurs : certains vont lier leur licence à la version de Windows, d'autres à la Carte Mère utilisée.
Après, si le logiciel acheté n'est utilisé que sur un seul ordinateur, certains éditeurs, sur demande au Support, accordent la migration de ladite licence.
Après avoir levé le voile sur Medusa Point, ses ambitions IA et son iGPU en RDNA 3.5, AMD s’apprête à déployer l’artillerie lourde avec Medusa Halo, une version bien plus musclée pensée pour les laptops haut de gamme d’après un leak massif signé Moore’s Law Is Dead. Ce nouvel APU, attendu pour 2027, ne fait pas dans la demi-mesure : jusqu’à 26 cœurs Zen 6, une architecture hybride dopée à la gravure en 2 nm, et surtout, un GPU intégré en RDNA 5 qui pourrait sérieusement bousculer le segment des GPU d’entrée de gamme.
Si vous avez suivi nos précédents articles sur Medusa Point, vous savez déjà que ce modèle vise l’efficacité mobile avec une configuration équilibrée, centrée sur l’IA et un nouveau socket FP10 plus spacieux. Mais côté graphique, il fallait se contenter d’un iGPU modeste, basé sur une version boostée de RDNA 3.X.
Avec Medusa Halo, AMD rebat les cartes : une puissance CPU et GPU bien supérieure, des configurations mémoire surdimensionnées, et une approche qui frôle le segment desktop dans un format APU. Voici tout ce qu’on sait sur cette future bête de course.
Medusa Halo : Un CPU hybride Zen 6 ultra costaud
L’architecture CPU de Medusa Halo adopte une structure hybride ambitieuse. Selon les dernières fuites, le modèle de base intégrerait 12 cœurs Zen 6 et 2 cœurs basse consommation (Zen 6 LP). Mais une configuration plus avancée, avec un second CCD de 12 cœurs, porterait le total à 24 big cores + 2 LP cores, soit 26 cœurs au total dans un APU mobile.
Le tout serait gravé en 2 nm (N2P) chez TSMC pour les CCD principaux, tandis que l’I/O Die resterait en 3 nm (N3P). Une combinaison qui laisse présager des gains en performances brutes mais aussi en efficacité énergétique.
RDNA 5 en iGPU : une première à ce niveau
Là où Medusa Halo se démarque franchement, c’est sur le plan graphique. AMD y intégrerait un iGPU basé sur l’architecture RDNA 5, avec jusqu’à 48 Compute Units, 20 Mo de cache L2, et un bus mémoire de 384 bits en LPDDR6 ou 256 bits en LPDDR5X.
D’après certaines fuites, ce GPU intégré serait un dérivé direct d’un die desktop, potentiellement celui d’une Radeon RX 1060XT, ce qui en ferait l’un des iGPU les plus puissants jamais conçus pour un APU mobile. AMD semble même vouloir réutiliser la puce graphique d’une carte dédiée dans cet APU, comme ce qui se trame sur la mystérieuse Xbox “Magnus”.
Mémoire et bande passante : du très lourd pour un APU
Pour alimenter cette configuration musclée, AMD prévoirait deux options mémoire :
Cette bande passante massive est nécessaire pour nourrir à la fois le CPU multicoeurs et le GPU RDNA 5 intégré, avec un objectif clair : éviter le recours à un GPU dédié dans de nombreux usages avancés, y compris en jeu et en création.
Medusa Halo Mini : la version compacte mais pas timide
En parallèle, AMD travaillerait aussi sur une déclinaison Medusa Halo Mini, avec une approche plus compacte :
4 cœurs Zen 6 + 8 cœurs Zen 6c + 2 cœurs LP,
Contrôleur mémoire LPDDR5X en 128 bits, voire 192 bits en LPDDR6,
iGPU basé sur le chiplet RDNA 5 « AT4 » avec 28 Compute Units.
De quoi offrir des performances solides tout en conservant une consommation adaptée aux ultraportables premium.
Halo vs Point : deux approches, deux cibles
Medusa Halo s’impose comme une version haut de gamme orientée gaming, création et multitâche lourd. En comparaison, Medusa Point cible davantage les plateformes légères avec un design plus compact, un iGPU limité à 8 CU RDNA 3.5, et une puissance IA bien calibrée.
Les deux puces adoptent le socket FP10 et la même génération CPU Zen 6, mais Halo vise clairement le segment laptop “desktop-class”, là où Point mise sur l’équilibre performance/autono
À quel point faut-il y croire ?
Les APU Medusa Halo et Halo Mini sont attendus pour le second semestre 2027, soit environ un an après les premiers Zen 6 desktop. Pour l’instant, aucun benchmark officiel n’a fuité, mais les spécifications suggèrent un positionnement entre la RTX 5070 Ti et une RX 7600M XT, côté GPU intégré.
Avec Medusa Halo, AMD semble prêt à faire tomber une barrière longtemps restée solide : celle qui séparait les laptops performants des machines desktop. Si ces APU tiennent leurs promesses, ils pourraient bien marquer un tournant dans l’informatique mobile haut de gamme. Reste à voir si Intel ou Apple auront une réponse à la hauteur…
Comme toujours, ces infos sont à prendre avec précaution : tout n’est pas encore figé, et les plans d’AMD peuvent évoluer d’ici là.
DICE et Electronic Arts misent gros sur l’avenir de la licence. Le succès récent de la bêta de Battlefield 6 et l’approche de sa sortie ont poussé l’éditeur à relancer Battlefield 2042 à un tarif symbolique. Résultat : le FPS futuriste, vendu 59,99 € à sa sortie, passe aujourd’hui à 2,99 € seulement sur Steam. Même l’édition Élite est proposée à 13,49 € au lieu de 89,99 €.
Offre limitée : fin le 2 septembre
Cette opération flash s’arrête le 2 septembre. Une stratégie claire : ramener un maximum de joueurs dans l’écosystème Battlefield avant le lancement de BF6. Pour moins de 3 €, c’est le moment idéal de plonger dans le chaos organisé du champ de bataille.
DICE frappe fort avec la mise à jour 9.2 de Battlefield 2042. Au programme : la carte culte Iwo Jima, deux nouvelles armes (dont le redoutable Lynx), l’arrivée de deux avions d’attaque iconiques (A-10 Warthog et SU-25TM Frogfoot) et un Passe de combat gratuit avec 60 paliers à débloquer.
Mais la vraie surprise, ce sont les récompenses exclusives pour Battlefield 6 que l’on peut déjà commencer à débloquer en jouant à cette saison. Avec l’événement « Best of Portal » dès le 2 septembre et des cosmétiques inspirés de l’héritage de la saga, EA et DICE mettent clairement le cap sur le prochain opus.
Battlefield 2042 se transforme en tremplin : revenir aujourd’hui dans le jeu, c’est aussi préparer le terrain pour Battlefield 6 et à ce prix, EA et DICE ne cherchent plus à vendre un jeu : ils veulent rassembler une communauté avant le grand lancement de Battlefield 6.
Pourquoi craquer maintenant ?
Battlefield 2042 bradé à 2,99 € au lieu de 59,99 €
Offre pensée pour préparer l’arrivée de Battlefield 6
Saison 05 active + événement Best of Portal
Possibilité d’y jouer via EA Play
Offre valable jusqu’au 2 septembre uniquement
A ce prix, EA et DICE ne cherchent plus à vendre un jeu : ils veulent rassembler une communauté avant le grand lancement de Battlefield 6.
Pour l'instant, on ne dispose d'aucune information officielle concernant la date de présentation des prochains iPhone. Mais plusieurs indices permettent de miser sur une fenêtre de tir assez précise. Voyons cela ensemble, de quoi vous permettre de réserver déjà vos soirées si vous ne voulez manquer aucune miette de l'évènement.
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