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Le génie d'AMD n'a pas de limite ! Voici le Ryzen 5 5600F, plus belle invention de l'humanité depuis la roue carrée
Nous somme le 16 septembre 2025 et c'est officiel : AMD lance un nouveau CPU pour sa plateforme AM4 lancée pour rappel en mars 2017. Encore un, et celui là, il vaut son pesant de cacahuètes ! Le nom du petit nouveau : le Ryzen 5 5600F. Ce n'est pas une rumeur ou autre puisque sa fiche produit offici...
VapeServer - Il transforme une cigarette électronique en serveur web
Un ingénieur qui s’appelle Bogdan a eu une révélation en regardant son tas de vapes jetables qui s’accumulait sur son bureau. Au lieu de se dire “Allez, go la déchèterie”, il a eu cette pensée bizarre… et si ces trucs avaient une seconde vie ? Et c’est là, mes petits Kévins, que commence une histoire qui va vous mettre des paillettes dans la vie
Parce que figurez-vous que Bogdan a réussi l’impossible. Il a tout simplement transformé une vape jetable toute nulle en serveur web fonctionnel. Car vous ne le savez peut-être pas, mais cette petite chose que vous balancez après quelques bouffées contient en fait un processeur ARM Cortex M0+ cadencé à 24 MHz, 24 kilooctets de mémoire flash et 3 Ko de RAM statique. Pour vous donner une idée, c’est plus puissant que les premiers serveurs web des années 90. On jette donc littéralement à la poubelle, des ordinateurs après les avoir utilisés comme totote électroniques.
Et pour réussir son coup, il a dû ressusciter une technologie qu’on croyait morte et enterrée : le SLIP (ça ne s’invente pas…) c’est à dire le Serial Line Internet Protocol. J’sais pas si vous souvenez de cette époque glorieuse des modems 56K où on attendait trois heures pour télécharger une chanson MP3. Eh bien SLIP, c’était le protocole qui permettait de faire passer du TCP/IP sur une liaison série. Une technologie de 1988 donc qui se retrouve à faire tourner un serveur web en 2025 sur du hardware ultra-moderne. C’est du même niveau que de brancher un Minitel sur la fibre optique et découvrir que ça marche impecc'.
Alors au début, les performances étaient… comment dire… merdiques. Des pings à 1,5 seconde, 50% de perte de paquets, et 20 secondes pour charger une page web. Autant dire que même les sites gouvernementaux français semblaient ultra véloces en comparaison. Mais Bogdan a optimisé son bébé à fond, notamment en implémentant un buffer circulaire pour améliorer les transferts de données. Résultat final : 20 millisecondes de ping, zéro perte de paquet, et 160 millisecondes pour charger une page.
Du niveau d’un vrai serveur, quoi… Mon site pourrait tourner avec ce truc (et Cloudflare en front ^^).
Le truc qui m’épate le plus, c’est qu’il a réussi à porter la pile TCP/IP uIP sur ce microcontrôleur PUYA C642F15/PY32F002B. Pour ceux qui ne connaissent pas, uIP est une implémentation ultra-légère de TCP/IP créée spécifiquement pour les systèmes avec très peu de mémoire. Selon le blog de Bogdan , toute cette prouesse technique tient dans moins de 24 Ko, soit la taille de votre dernier Sexto.
Mais attendez, parce que le vrai vertige arrive maintenant. Au Royaume-Uni seulement, selon cette étude , ce sont 1,3 million de vapes jetables qui finissent à la poubelle chaque semaine. Perso, maintenant je vois ça comme 1,3 million d’ordinateurs ARM parfaitement fonctionnels qui partent en fumée, si vous me passez l’expression. C’est comme si on jetait 67 millions d’iPhone par an, juste parce qu’on a fini son coup de fil…
Et ce que Bogdan nous montre avec son VapeServer, accessible à l’adresse ewaste.fka.wtf (qui était en rade au moment où j’écris ces lignes, victime de son succès… y’a un miroir ici .), c’est que notre définition du “jetable” est complètement à côté de la plaque. Ces objets qu’on balance sans réfléchir sont en fait des objets en attente d’une nouvelle vie… D’ailleurs, si ça vous intéresse, son code source est disponible sur GitHub ici , et croyez-moi, ça vaut le détour si vous voulez comprendre comment faire communiquer des époques séparées de 25 ans.
Il utilise notamment pyOCD, socat et slattach pour créer une interface réseau virtuelle, configure l’adressage IP sur 192.168.190.0/24, et hop, le tour est joué.
pyocd gdb -S -O semihost_console_type=telnet -T $(PORT) $(PYOCDFLAGS) &
socat PTY,link=$(TTY),raw,echo=0 TCP:localhost:$(PORT),nodelay &
sudo slattach -L -p slip -s 115200 $(TTY) &
sudo ip addr add 192.168.190.1 peer 192.168.190.2/24 dev sl0
sudo ip link set mtu 1500 up dev sl0
Vous l’aurez compris, on vit vraiment entourés de trésors qu’on prend pour des déchets et chaque gadget “intelligent” qu’on jette contient des capacités de calcul qui auraient fait rêver les ingénieurs d’il y a 20 ans. Alors qu’il suffit parfois d’un regard différent, d’un peu de créativité et d’une bonne dose de compétence technique pour révéler ces super-pouvoirs cachés.
Bref, la prochaine fois que vous regardez votre tiroir rempli de vieux téléphones et autres gadgets électroniques, dites-vous que vous n’avez peut-être pas un tas de déchets sous les yeux. Vous avez peut-être un data center en puissance qui n’attend que votre imagination pour reprendre du service.
Tor Browser 14.5.7
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AMD Ryzen 5 7400 et 7400F : deux Zen 4 officiels, plus rapides mais limités aux OEM
Bref
AMD a lancé les Ryzen 5 7400 et 7400F, deux processeurs Zen 4 six cœurs / douze threads à 65 W de TDP. Le 7400F se distingue par une fréquence boost plus élevée (4,7 GHz contre 4,3 GHz) et un cache L3 doublé à 32 Mo, mais il est dépourvu d’iGPU. Ces modèles sont proposés uniquement aux OEM, avec des prix relevés en Corée du Sud autour de 138 à 145 dollars.
AMD lance discrètement les Ryzen 5 7400 et 7400F
Deux ans après le Ryzen 5 7500F (juillet 2023), AMD enrichit encore sa gamme Ryzen 7000 avec deux nouvelles références Zen 4 : les Ryzen 5 7400 et 7400F.
Même si la génération Ryzen 9000 a déjà démarré, AMD continue d’étoffer la gamme Zen 4. Les Ryzen 5 7400 et 7400F viennent compléter la série 7000 avec un positionnement milieu de gamme, mais uniquement pour les intégrateurs système (OEM)…pour l’instant, puisque ces limitations tombent vite à l’éau avec AMD
Conçus autour de 6 cœurs / 12 threads et d’un TDP de 65 W, ces processeurs visent le milieu de gamme mais se destinent exclusivement aux OEM et intégrateurs de PC. Particularité notable, le 7400F affiche des fréquences et un cache supérieurs, au prix de l’absence d’iGPU.
Spécifications techniques
- Ryzen 5 7400F : 6 cœurs / 12 threads, base 3,7 GHz, boost 4,7 GHz, 32 Mo L3, 65 W TDP, pas d’iGPU


- Ryzen 5 7400 : 6 cœurs / 12 threads, base 3,3 GHz, boost 4,3 GHz, 16 Mo L3, 65 W TDP, iGPU RDNA2 intégré
Le 7400F offre donc un net avantage en fréquence et en cache, ce qui le rend théoriquement plus performant en jeu comme en productivité, mais nécessite une carte graphique dédiée.
Prix et disponibilité
En Corée du Sud, les tarifs observés sont d’environ 138 $ pour le 7400F et 145 $ pour le 7400. AMD n’a pas annoncé de disponibilité en retail mondial, et ces CPU devraient rester réservés aux OEM et aux intégrateurs de PC.
Positionnement sur le marché
Ces deux processeurs se placent en dessous du Ryzen 5 7500F et du 7600, et viennent combler l’entrée de gamme Zen 4. Le 7400F en particulier pourrait séduire les constructeurs de PC gaming abordables, grâce à son cache L3 supérieur et ses fréquences boostées.
Pour ceux qui s’intéressent au dernier Zen 5 plus largement disponible, voir notre analyse du Ryzen 5 9500F.
Music Collection 3.9.4.0
AVG AntiVirus Free 25.9.10453a
Driver Booster 13.0.0.138
Avast ! Antivirus 25.9.6177a
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[Vidéo] Attention à l'arnaque du colis qui ne rentrait pas dans la boîte aux lettres
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Oui, je sais, les arnaques SMS il y en a tellement que l'on ne peut plus les dénombrer.
Sauf que, si l'on ne dit plus rien, si on décide que c'est normal, que c'est la routine de recevoir tous ces messages piégés on ouvre un boulevard à ces malfrats.
Je vais donc vous présenter une nouvelle arnaque, je sais que la très grande majorité d'entre vous va me dire que c'est tellement gros qu'ils ne seraient pas tombés dans le panneau.
Mais, logiquement, si elle ne fonctionnait pas ou plus, elle aurait déjà disparu...
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Surfshark One, la suite cybersécu qui vous aide à mieux dormir
3h37… la cafetière grogne comme un vieux moteur diesel et moi je fixe l’écran de mon PC avec cette fichue pièce jointe .exe qui vient d’atterrir. Le titre ? « Facture impayée ». L’expéditeur ? Un coréen dont le nom ressemble à un captcha mal imprimé. Mon doigt tremble au-dessus du trackpad, et déjà mon cerveau me hurle : « Ne clique pas, gros malin. » Mais je suis crevé, ça fait 36 heures que je vous ponds des articles à la chaine … je n’ai même pas le temps de réfléchir au risque que mon doigt à déjà cliqué par réflexe. Heureusement, Surfshark One est déjà en action.
En arrière-plan, sans que je bouge un cil, mon IP saute de Paris à Tokyo, puis à Toronto, puis à Sydney. Le botnet qui espionne ma ligne voit 4 continents défiler en moins de dix secondes ; il perd la trace, panique, et abandonne la connexion. Pas de lag, pas de coupure sur la série Netflix qui tourne en fond sur la télé, juste un léger pictogramme qui clignote dans la barre des tâches pour me dire « déplacement en cours ». Je souris, je n’ai même pas eu besoin d’ouvrir l’appli.

Le fichier .exe téléchargé par mégarde démarre dans un bac à sable invisible. L’antivirus Avira (assisté par IA) observe : tentative d’accès à la webcam, requête vers un domaine .onion, écriture dans le registre. Le verdict tombe en 0,2 seconde : comportement suspect = quarantaine immédiate. Je n’ai même pas le temps de voir la pop-up ; l’icône du bouclier redevient verte, le fichier est déjà mort et enterré dans le Cloud Protect System. Le tout sans que mon CPU ne grimpe au-dessus de 12%. Mon ordinateur continue de diffuser Spotify comme si de rien n’était.
Pendant que le malware agonise, Alert scrute déjà ses bases de fuites recensées. Mon adresse mail apparaît dans une liste fraîchement publiée sur un forum russe. Ping : notification push, SMS de secours, et un lien « Change ton mot de passe en un clic ». J’appuie (encore par réflexe conditionné, je clique tout ce qui passe ce soir), je tape « bonne-nuit-les-pirates-2025 », et c’est réglé. Trois secondes plus tard, je reçois un rapport écrit en français clair : « Aucune carte bancaire ni ID n’ont fuité, tu peux dormir tranquille. »
Mais vous me connaissez, je veux comprendre ce virus. J’ouvre Surfshark Search à 3h56, je tape « ransomware polymorphe 2025 ». Résultats : zéro pub, zéro tracker, zéro suggestions étranges sur la page de recherche. Deux liens vers des analyses techniques, un thread Reddit ultra frais. Je découvre que la même attaque a déjà visé au moins 400 personnes ces dernières heures, mais que la dernière signature est déjà dans la base virale de Surfshark depuis… 3 h 49. Autrement dit, la suite m’a protégé avant même que je ne sache vraiment par quoi j’étais visé.

Puisque j’aime vivre dangereusement, je décide de tester un site de téléchargement parmi les plus douteux pour voir si je peux réitérer l’attaque. Je clique sur « Créer un alias ». Surfshark me file instantanément « Manolo Korbera, 33 ans, Porto, plutôt bg », avec un mail @surfshark.net. Je l’utilise, je télécharge le fichier suspect, rien ne se passe : l’alias reçoit le spam, pas moi. Dans le dashboard, je clique sur « Supprimer l’alias ». Manolo disparaît, comme s’il n’avait jamais existé. Mon vrai mail reste vierge. J’aurais dû y penser à 3h37 avant le premier clic.
3h23. Woaw. Il ne s’est rien passé. Je n’ai pas cliqué sur le .exe, c’était un rêve, je me suis juste endormi sur ma chaise et à mon âge ça fait mal au dos. Un coup d’oeil rapide sur l’écran, les quatre icônes de Surfshark One clignotent calmement : VPN vert, antivirus vert, Alert vert, Search vert. Je vide ma tasse de café froid, j’éteins la lumière, et je vais enfin me coucher tranquille. Sachant que la suite continuera de s’améliorer pendant que je dors : nouvelles signatures, nouvelles adresses IP, nouvelles menaces anticipées.

Juste avant de fermer les yeux, je me souviens de ce à quoi je pensais avant de sombrer la première fois : la nouveauté Surfshark Everlink.
Grâce à une infrastructure brevetée, Surfshark redirige maintenant le tunnel vers un serveur sain automatiquement s’il y a coupure. Vous ne remarquez même pas le changement, votre IP reste cachée, votre binge YouTube ne s’interrompt pas. Votre connexion VPN devient une sorte de passerelle magique : même si le serveur sur lequel vous êtes tombe en panne ou passe en maintenance, Everlink recolle le lien en temps réel sans jamais vous déconnecter.
Contrairement au classique « kill switch » qui coupe Internet quand le VPN lâche, Everlink guérit la connexion avant qu’elle ne meure. Résultat : zéro déconnexion, zéro exposition, même en pleine heure de pointe ou sur un Wi-Fi d’aéroport douteux. Disponible par défaut avec le protocole WireGuard sur tous vos appareils, et sans surcoût, c’est la sécurité qui roule en pilote automatique.
Je vais enfin pouvoir dormir sur mes 2 oreilles. Surtout que pour en profiter, la suite complète ne coûte que 61,83 € pour 27 mois (soit 2,29 € TTC par mois). C’est pas cher payé pour éviter des cauchemars.