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- Sound Blaster Re:Imagine : Creative lance un hub audio modulaire sur Kickstarter
Sound Blaster Re:Imagine : Creative lance un hub audio modulaire sur Kickstarter
Et si la carte son redevenait un centre de contrôle ? Creative annonce Sound Blaster Re:Imagine, un hub audio modulaire qui veut bousculer l’idée même de « carte son » et part aujourd’hui sur Kickstarter.
Un hub audio qui centralise, programme et évolue
Créateur de la mythique Sound Blaster des années 90, Creative Technology lance une plateforme pensée pour les créateurs, joueurs et télétravailleurs. Sound Blaster Re:Imagine accepte PC, Mac, mobiles, consoles, micros, casques, enceintes et instruments, avec un routage entrée/sortie instantané, sans câblage alambiqué.

Le cœur de l’appareil est modulaire : des modules magnétiques interchangeables (Smart Screens, curseurs, molettes, touches rapides) permettent d’adapter l’interface à l’usage et de la reconfigurer au fil du temps. Chaque bouton est entièrement programmable : macro pour couper un appel, lancer une compilation de code ou déclencher un appareil domotique compatible Matter.

Côté son, la promesse est de niveau studio : lecture haute résolution en 32 bits/384 kHz, DAC et ampli capables d’alimenter des casques pro comme de grosses enceintes de bureau. Creative ouvre aussi la machine aux développeurs : avec un accès superutilisateur au matériel, ils peuvent créer et partager leurs propres applications pour cette plateforme ouverte.

La dimension ludique n’est pas oubliée : mini‑apps intégrées avec jeux DOS rétro, visualiseurs audio, un DJ dopé à l’IA, et le retour de mascottes cultes comme Dr. Sbaitso et le perroquet Sound Blaster, réimaginés via IA. Il faut dire que la marque assume l’héritage : « Nous reconfigurons la Sound Blaster en hub modulaire et terrain de jeu créatif », résume Darran Nathan, vice‑président de Creative Technology.
Pourquoi Kickstarter et que propose la campagne ?
Creative revendique plus de 400 millions d’unités Sound Blaster expédiées depuis 1989. Re:Imagine veut, d’après la société, dépasser la simple évolution produit en impliquant directement la communauté via Kickstarter, afin d’orienter la feuille de route comme à l’époque des pionniers du multimédia PC.
Le lancement est prévu le 28 octobre 2025 à 16 h (heure de Paris). Les premiers contributeurs recevront systématiquement le Horizon Base Unit avec Smart Screen et commandes modulaires. Un palier additionnel vise à débloquer le Vertex Base Unit, un châssis plus grand avec davantage d’emplacements d’extension. Reste à voir si la communauté poussera jusqu’à cette version plus ambitieuse.
Creative présente Re:Imagine comme une plateforme ouverte et évolutive, à la croisée du studio et du jeu. Les curieux peuvent découvrir la campagne et ses paliers sur la page Kickstarter dédiée.
Source : TechPowerUp
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- Sandisk FIFA World Cup 2026 : une gamme officielle pour capturer l’événement
Sandisk FIFA World Cup 2026 : une gamme officielle pour capturer l’événement
Le Mondial 2026 s’annonce comme l’un des événements les plus capturés de l’histoire, et Sandisk entend être de la partie avec une collection officielle taillée pour l’image et la vidéo.
Sandisk dévoile sa collection officielle FIFA World Cup 2026
La marque lance une série de produits licenciés pour aider fans, créateurs et pros à immortaliser la compétition. Au programme : une clé USB-C en forme de sifflet, un SSD portable, ainsi que des cartes mémoire SD UHS-II et CFexpress Type B. Chaque produit arbore les marquages officiels et des détails inspirés des pays hôtes. « La FIFA World Cup 2026 devrait être l’un des événements les plus capturés et partagés », résume Janet Allgaier, vice-présidente chez Sandisk.
La clé USB-C sifflet sera proposée en éditions globale et pays hôtes (États-Unis, Canada, Mexique), avec une Gold Edition prévue début 2026. Le SSD portable vise les sauvegardes rapides et les transferts sur ordinateur avec jusqu’à 1 To. Les cartes CFexpress Type B et SD UHS-II ciblent la vidéo 4K/8K et les rafales rapides, de quoi couvrir un match du coup d’envoi au coup de sifflet final.
Capacités, prix et disponibilité
Les précommandes ouvrent dès maintenant chez certains revendeurs, ou via notification de disponibilité. Tarifs annoncés aux États-Unis : clé USB-C sifflet 64 Go à 15,99 dollars (environ 15 euros) et 128 Go à 21,99 dollars (environ 21 euros) ; SSD portable 1 To à 109,99 dollars (environ 105 euros) ; carte CFexpress Type B 256 Go à 199,99 dollars (environ 190 euros) ; carte SD UHS-II 128 Go à 129,99 dollars (environ 120 euros). La Gold Edition de la clé USB-C arrivera en 2026, son prix sera communiqué à ce moment.
Sandisk met aussi en avant une conception robuste, pensée pour supporter les déplacements intensifs entre stades et la frénésie des tournages, ce qui, il faut dire, colle bien aux usages attendus pendant la compétition.
Source : sandisk
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- HPE Mission et Vision : supercalculateurs avec NVIDIA Vera Rubin pour l’IA et la science
HPE Mission et Vision : supercalculateurs avec NVIDIA Vera Rubin pour l’IA et la science
Accélérer l’IA tout en musclant la simulation scientifique : HPE et le laboratoire de Los Alamos annoncent « Mission » et « Vision », deux supercalculateurs taillés pour franchir un cap stratégique.
Deux systèmes HPE pour l’ère exascale et l’IA
Hewlett Packard Enterprise a été retenu par le département de l’Énergie américain, la NNSA et le Los Alamos National Laboratory pour livrer deux machines de pointe, baptisées Mission et Vision. Les systèmes s’appuieront sur la nouvelle plateforme HPE Cray Supercomputing GX5000 à refroidissement liquide direct, et sur les futurs superchips NVIDIA Vera Rubin, d’après l’annonce. L’ensemble s’inscrit dans un investissement de 370 millions de dollars (environ 350 millions d’euros) destiné à accélérer la recherche, renforcer l’IA et la sécurité nationale.

D’après HPE, la GX5000 a été conçue pour l’exascale à l’ère de l’IA, avec des capacités multi‑locataires pour optimiser le débit de recherche et une densité en hausse de 25 % par rapport à la génération précédente. Elle adopte en outre des lames serveur issues de l’Open Compute Project, offrant plus de flexibilité d’intégration au LANL. Le réseau s’appuiera sur NVIDIA Quantum‑X800 InfiniBand, et la partie accélération sur les GPU Vera Rubin.
Le laboratoire met en avant un gain net sur la modélisation, la simulation et l’analyse IA. Mission serait quatre fois plus rapide que Crossroads, l’actuel système du LANL, et doit soutenir les besoins critiques de la NNSA. Vision, de son côté, prolongera l’élan de Venado (également signé HPE), initialement dédié à la recherche non classifiée, avec une nette montée en puissance pour les travaux dopés à l’IA.
Les partenaires martèlent l’enjeu stratégique. Trish Damkroger (HPE) évoque des architectures de nouvelle génération « pour stimuler l’innovation en IA ». Brandon Williams (NNSA) souligne que ces capacités « feront avancer analyses et prédictions cruciales ». Et pour Thom Mason, directeur du LANL, « ces nouveaux systèmes permettront de repousser les limites du calcul scientifique ».
GTC DC et feuille de route
La présentation officielle coïncidera avec NVIDIA GTC DC, où le DOE, la NNSA, le LANL, HPE et NVIDIA détailleront les capacités et l’ambition : accélérer la recherche, l’IA générative et la sécurité. Il faut dire que Los Alamos n’en est pas à son coup d’essai, et rien d’étonnant à ce que le duo HPE‑NVIDIA serve de rampe pour cette nouvelle génération.
Source : TechPowerUp
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- Supermicro renforce son alliance avec NVIDIA et vise des systèmes IA fabriqués aux États‑Unis
Supermicro renforce son alliance avec NVIDIA et vise des systèmes IA fabriqués aux États‑Unis
Supermicro met l’accent sur des serveurs fabriqués aux États‑Unis et déroule, avec NVIDIA, une feuille de route taillée pour les exigences fédérales.
Supermicro muscle son offre IA pour le secteur public américain
À l’occasion de NVIDIA GTC à Washington, Supermicro a dévoilé une série de plateformes IA destinées aux workloads critiques du gouvernement américain : cybersécurité, ingénierie, santé, analytique et simulation. Le constructeur annonce pour 2026 les plateformes NVIDIA Vera Rubin NVL144 et Vera Rubin NVL144 CPX, présentées comme la prochaine marche en entraînement et inférence. « Notre collaboration élargie avec NVIDIA et notre fabrication aux États‑Unis nous positionnent comme un partenaire de confiance », affirme Charles Liang, PDG de Supermicro.
Le cœur de l’offre s’appuie sur les dernières briques NVIDIA : HGX B300 et B200, GB300 et GB200, ainsi que les RTX PRO 6000 Blackwell Server Edition. Objectif : des performances et une efficacité accrues, avec une évolutivité pensée pour des déploiements rack‑scale. Supermicro met en avant la conformité TAA et l’éligibilité Buy American Act : conception, intégration et validation ont lieu à San Jose, un atout pour la sécurité d’approvisionnement et la traçabilité.
Parmi les nouveautés, un serveur 2OU HGX B300 à 8 GPU adopte une approche OCP rack‑scale. Il peut aligner jusqu’à 144 GPU par rack, de quoi répondre aux besoins d’entraînement massif en data centers gouvernementaux. Le constructeur indique aussi optimiser son portefeuille pour le référentiel NVIDIA AI Factory for Government, une architecture de référence couvrant déploiement on‑prem et hybride en conformité avec les organisations à haut niveau d’assurance.
Super AI Station et NVL4 : du bureau au rack
Supermicro lance la Super AI Station ARS-511GD-NB-LCC, une station liquid‑cooling qui transpose le Superchip NVIDIA GB300 dans un format bureaux ou rack. Selon Supermicro, elle peut atteindre jusqu’à 20 PFLOPS IA, supporter des modèles jusqu’à 1 000 milliards de paramètres, et offrir plus de 5× les performances IA d’une station PCIe traditionnelle. On y trouve jusqu’à 784 Go de mémoire cohérente, un SuperNIC ConnectX‑8 intégré, un bloc d’alimentation 1 600 W compatible prises standard et une option GPU PCIe additionnelle pour le rendu.
Côté data center, la plateforme ARS-121GL-NB2B-LCC NVL4 est désormais disponible pour le HPC et l’IA scientifique : 4 GPU Blackwell B200 reliés en NVLink et deux CPU NVIDIA Grace unifiés via NVLink‑C2C. Jusqu’à 32 nœuds par rack peuvent être interconnectés en ConnectX‑8 pour offrir jusqu’à 800G par GPU. Le tout prend place dans un rack MGX 48U pouvant accueillir jusqu’à 128 GPU, avec alimentation par busbar et refroidissement liquide direct‑to‑chip, via CDU en rack ou en allée.
Accélération réseau : Supermicro prévoit l’intégration des récents NVIDIA BlueField‑4 DPU et ConnectX‑9 SuperNIC pour des « gigafactories » d’IA. Grâce à son design modulaire, la marque entend réduire le temps d’ingénierie et accélérer la mise sur le marché, une approche qui vise explicitement les clusters de prochaine génération.
Enfin, le portefeuille s’élargit avec la Super AI Station sur base GB300 et des solutions GB200 NVL4 à l’échelle du rack, le tout optimisé pour les environnements fédéraux. Reste à voir si ces systèmes, annoncés avec des densités et performances élevées, répondront sur la durée aux contraintes de sécurité, de disponibilité et de coûts imposées par les agences américaines.
Source : TechPowerUp
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- NVIDIA présente le superprocesseur Vera Rubin et deux GPUs massifs en préparation pour l’année prochaine
NVIDIA présente le superprocesseur Vera Rubin et deux GPUs massifs en préparation pour l’année prochaine
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- Thermaltake confirme la compatibilité d’un de ses AIO coolers avec le socket LGA 1954
Thermaltake confirme la compatibilité d’un de ses AIO coolers avec le socket LGA 1954
Visions of Eternity: L’extension disponible dès maintenant sur PC
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- Endorfy Arx 500 White ARGB : un boîtier blanc spacieux livré avec 4 ventilateurs
Endorfy Arx 500 White ARGB : un boîtier blanc spacieux livré avec 4 ventilateurs
Un boîtier blanc qui ne sacrifie ni le flux d’air ni la sobriété. Endorfy élargit sa gamme avec l’Arx 500 White ARGB, une déclinaison compacte et cohérente de son modèle phare, l’Arx 700 ARGB, désormais disponible lui aussi en version blanche.
Arx 500 White ARGB : compacité, airflow et cohérence visuelle
Après l’Arx 500 noir, la marque dévoile une version blanche soignée de son moyen tour. D’après Endorfy, l’« attention portée aux nuances de blanc » garantit un rendu homogène dès la sortie de boîte et dans le temps. Le châssis mise sur des panneaux avant et supérieur largement perforés pour favoriser la ventilation tout en retenant la poussière, avec une vitre latérale en verre trempé pour l’aspect vitrine.

Côté capacité, l’intérieur accepte des cartes mères ATX, microATX et Mini‑ITX, jusqu’à sept ventilateurs et des radiateurs de 360 mm. Il faut dire que l’équipement de série est généreux : quatre Stratus 140 White PWM ARGB, conçus avec Synergy Cooling, sont préinstallés. Leur plage de 200 à 1 400 tr/min promet un compromis entre débit d’air et discrétion.

Connectique moderne et disponibilité
Le panneau I/O en façade intègre un USB‑C 3.2 Gen 2 pour des transferts rapides et un accès pratique aux périphériques. L’Arx 500 White ARGB s’inscrit ainsi dans la philosophie de la famille Arx, mêlant performance, espace maîtrisé et design discret. « Technologie à l’état pur » résume la marque, qui entend proposer un écosystème Endorfy visuellement cohérent.






Référencé EY2A018, le boîtier est disponible à 115 €. Reste à voir si cette approche équilibrée séduira autant les créateurs que les joueurs à la recherche d’un flux d’air musclé et d’une esthétique blanche uniforme.
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Windows : comment ajouter une route statique ?
Ce tutoriel explique comment ajouter une route statique à Windows, temporaire ou persistante à l'aide de la commande route add ou de New-NetRoute (PowerShell).
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Que ce soit sur Windows, Linux, ou Mac, vous pouvez ajouter une IA locale aux applications de bureautique ONLYOFFICE grâce à l'intégration de LM Studio.
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Ransomware : seuls 23 % des victimes acceptent encore de payer la rançon
Seulement 23 % des victimes de ransomware ont pris la décision de payer une rançon au troisième trimestre 2025 : un niveau historiquement bas.
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183 millions d’identifiants volés, mais rassurez-vous, Google n’a pas été piraté !
Une fuite de données contenant les informations de 183 millions de comptes a été dévoilée, mais il ne s'agit pas de comptes Gmail et Google n'y est pour rien.
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Avant le 10 novembre 2025, tous les utilisateurs de X (Twitter) doivent réinscrire leurs clés de sécurité ou passkeys utilisés pour la double authentification.
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Rooter une caméra de sécurité avec un MP3
L’histoire du jour est signée Luke M, un hacker qui a découvert comment rooter une caméra avec… du son !
L’appareil en question est une caméra chinoise de la marque Yi qui utilise une fonctionnalité appelée “Sonic Pairing” pour faciliter la configuration WiFi. Comme ça, au lieu de galérer à taper votre mot de passe WiFi sur une interface minuscule avec vos gros doigts boudinés, vous jouez simplement un petit son depuis votre téléphone et c’est ce son qui contient votre clé WiFi encodés en modulation de fréquence. La caméra écoute, décode, et se connecte.
Magique, non ?
Sauf que cette fonctionnalité marquée en “beta” dans l’app Yi IoT contient deux bugs magnifiques : une stack overflow local et un global overflow. En gros, en fabriquant un fichier audio malveillant avec les bons patterns, Luke a pu injecter du code arbitraire dans la caméra, ce qui lui permet d’obtenir un shell root qui se lance via la commande telnetd avec les identifiants par défaut. Tout ça, sans accès physique… juste la lecture d’un wav ou d’un MP3.
Pour arriver à ses fins, Luke a utilisé Frida , un framework de hooking que j’adore, capable d’intercepter les fonctions natives de l’app. Cela lui a permis de remplacer les données légitimes attendues par l’app par son propre payload.
Le premier bug (stack overflow) n’étant pas suffisant seul, Luke a dû utiliser un autre bug (
un out-of-bounds read via DOOM
) pour leaker un pointeur et contourner l’
ASLR
. Mais le second bug (global overflow) est bien plus intéressant puisqu’il lui permet directement de faire une injection de commande via system() lors du pairing, sans avoir besoin d’autre chose.
Voici la waveform utilisée par le second exploit
Et comme la chaîne que vous pouvez envoyer via le son peut faire jusqu’à 128 bytes c’est largement suffisant pour un telnetd ou n’importe quelle commande shell. Notez que pour que l’exploit marche, le bind_key doit commencer par ‘CN’, ce qui force un path exploitable et, en bonus fait causer la caméra en chinois ^^.
Après faut savoir que ce hack amusant ne fonctionne que si la caméra n’est pas encore connectée au cloud. Donc c’est pas très utile pour attaquer des caméras déjà déployées mais ça illustre bien le problème de tout cet IoT pas cher avec des tas de features “pratiques” comme ce “Sonic Pairing” qui finissent par être catastrophique dans la pratique.
Voilà… si vous voulez les détails techniques complets avec les waveforms et le code d’exploit, foncez lire ça sur Paged Out! #7 .

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Possibles retards pour le lancement des processeurs Zen 6 d’AMD
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- OneXFly Apex Ryzen AI MAX+ : console portable Strix Halo avec watercooling et batterie externe
OneXFly Apex Ryzen AI MAX+ : console portable Strix Halo avec watercooling et batterie externe
Watercooling sur une console portable, vraiment ? OneXPlayer mise gros avec la OneXFly Apex et son module de refroidissement liquide externe, une première sur ce segment selon la marque.
Strix Halo, refroidissement liquide et grosse batterie externe
OneXPlayer s’aligne sur le très haut de gamme en adoptant les processeurs AMD Strix Halo, une plateforme jusqu’ici réservée à des mini PC à plus de 1 500 dollars. La OneXFly Apex devra croiser le fer avec GPD et AYANEO, même si leurs modèles équivalents n’ont pas encore été lancés à grande échelle.

Particularité majeure, la console peut se connecter à un module de refroidissement liquide inspiré des PC portables gaming. Avec ce système, le TDP grimperait jusqu’à 120 W ; en simple aircooling, OneXPlayer annonce une tenue à 80 W, déjà bien au-dessus de la plupart des concurrentes.

Côté performances, le constructeur affirme que son mode 80 W surpasse un Ryzen Z2 Extreme à 35 W de 125 à 138 % à 1080p en réglages Ultra. Les scores 3DMark Time Spy ont été évoqués, mais sans détails chiffrés complets. Prudence donc sur l’extrapolation.

La machine pousse la mémoire jusqu’à 128 Go de LPDDR5X, une option également envisagée chez GPD Win 5. OneXPlayer avance que cette capacité permet de faire tourner des « AAA et des modèles IA 70B paramètres ». Rien d’étonnant à ce que l’IA soit mise en avant, même si, il faut le dire, un handheld n’est pas l’environnement idéal pour l’inférence lourde. Jusqu’à 96 Go de VRAM adressable sont mentionnés.

L’approche énergétique suit la tendance du moment : batterie externe. Comme AYANEO, OneXPlayer opte pour un pack détachable de 85 Wh, légèrement au-dessus des 80 Wh du GPD Win 5. Avantage, la console s’allège en main ; inconvénient, l’encombrement hors sac. L’écran s’étend à 8 pouces, 120 Hz, avec prise en charge du VRR et une orientation paysage native.

Le stockage est soigné : un slot M.2 2280 PCIe 4.0, un Mini-SSD PCIe 4.0, plus un lecteur microSD jusqu’à 2 To, pour une capacité cumulée potentielle annoncée de 8 To. De quoi concilier jeux, multimédia et gros modèles locaux, si besoin.

Logiciels, prix et positionnement

La marque met en avant une fonction de gel des jeux afin de libérer des ressources ponctuellement, ainsi qu’un utilitaire HandyKit servant de hub pour des raccourcis Windows basiques comme le verrouillage d’écran. La présentation recycle l’argumentaire habituel : station de travail portable, PC Windows complet, console de jeu. Reste à voir si l’écosystème suivra.



Selon OneXPlayer, la gamme débute à 1 200 dollars pour la version MAX 385 avec 32 Go de RAM (environ 1 110 à 1 150 euros hors taxes selon le taux). Les modèles supérieurs grimperaient jusqu’à 2 220 dollars. Il s’agirait de tarifs pour le marché chinois ; en Europe, il faudra probablement compter la TVA et les frais d’import. La marque souligne qu’à ce tarif d’entrée, la machine proposerait deux fois plus d’unités de calcul GPU (32 CU RDNA 3.5) qu’une console plus abordable mais moins rapide. « Ce n’est pas le prix global officiel », prévient-elle.
Face à GPD Win 5 et AYANEO Next 2, la OneXFly Apex joue la carte de la puissance brute et de la modularité. Il semblerait que le match se jouera autant sur la dissipation et l’autonomie que sur la qualité logicielle.
Source : VideoCardz
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- Ce portable Dell avec 32 Go de RAM pourrait être votre meilleure option avec un budget de 1 000 $