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- REDSEC vs Warzone : Le Battle Royale de Battlefield Peut-il Rivaliser ? Verdict Après 20 Heures
REDSEC vs Warzone : Le Battle Royale de Battlefield Peut-il Rivaliser ? Verdict Après 20 Heures
Le 28 octobre 2025 restera une date marquante pour Battlefield. À 16h précises, EA et DICE lançaient REDSEC, leur réponse gratuite à l’hégémonie de Warzone. Un « shadow drop » audacieux, sans bêta préalable, directement dans l’arène impitoyable du battle royale. 20 heures plus tard, le constat est sans appel : REDSEC cristallise autant d’espoirs que de frustrations.
Un Démarrage en Fanfare… Puis la Douche Froide
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. En moins de 6 heures, REDSEC atteint les 500 000 joueurs. Les serveurs saturent, les streamers se précipitent sur Fort Lyndon, la communauté s’enflamme. Mais sur Steam, la réalité rattrape rapidement l’euphorie : après 6 heures, le score stagnait à 50% avec 760 avis. 20 heures plus tard, avec 2,201 évaluations, le verdict s’alourdit : seulement 40% d’avis positifs. La note « moyennes » de Steam traduit un accueil mitigé qui se dégrade

Cette division n’est pas anodine. Elle révèle un jeu qui peine à convaincre au-delà de son pitch marketing, malgré des atouts indéniables sur le papier.
La Controverse qui Empoisonne le Lancement
Au-delà des considérations purement gameplay, c’est une décision commerciale qui met le feu aux poudres. Les joueurs ayant déboursé 70 euros pour Battlefield 6 découvrent avec stupeur que de nombreux défis du Battle Pass de la Saison 1 sont exclusivement liés à REDSEC. Impossible de progresser pleinement sans toucher au mode gratuit.

« This is not why I bought Battlefield 6 » résume parfaitement le sentiment qui domine les forums. L’idée de forcer des joueurs ayant payé plein tarif vers un mode free-to-play pour débloquer du contenu passe très mal. Cette intégration forcée brouille la frontière entre les deux expériences et génère une frustration légitime chez une base de joueurs qui estimait avoir déjà payé son dû.
« Very Warzone Coded » : Le Consensus Accablant
Si un reproche revient en boucle dans les premières impressions, c’est celui-ci : REDSEC ressemble trop à Warzone. Le site Insider Gaming ne mâche pas ses mots dans son test publié 20 heures après le lancement : « C’est bon, mais je ne pouvais pas m’empêcher de sentir que je jouais à Warzone. Tout, des tokens Double XP à la structure du battle pass, des missions secondaires aux loadouts, REDSEC pue Call of Duty. »

Cette impression ne se limite pas aux critiques professionnels. Dans le chat Twitch du streamer LVNDMARK, les spectateurs débattent férocement : « this deadass is a warzone copy », « looks like cod wtf ». Les animations de rechargement des plaques d’armure ? Identiques à Warzone. Le système de loadout drops ? Calqué sur le modèle d’Activision. Les caisses au sol, les missions annexes, les mécaniques de seconde chance : tout évoque un jeu qu’on connaît déjà par cœur.
Certes, il n’existe que quelques façons de charger des plaques balistiques dans un porte-plaques, comme le défendent certains joueurs. Mais cette défense technique n’efface pas l’impression globale : REDSEC manque cruellement d’identité propre.
Des Animations Qui Plombent l’Expérience
Là où Warzone mise sur la nervosité et la réactivité, REDSEC hérite de la lourdeur caractéristique de Battlefield. Les personnages se déplacent avec une inertie qui évoque davantage le réalisme militaire que l’arcade compétitive. Pour un battle royale en 2025, c’est un handicap majeur.

Cette pesanteur dans les mouvements tue le dynamisme attendu du genre. Quand on passe de Warzone à REDSEC, le contraste est saisissant : on perd en fluidité, en réactivité, en sensation de vitesse. Le sprint tactique de Call of Duty, les glissades, les transitions rapides… tout ce qui fait le sel du genre arcade moderne semble bridé par une volonté de coller au réalisme Battlefield.
Les Problèmes Techniques S’Accumulent
Au-delà des choix de game design, REDSEC souffre de bugs bien concrets. DICE a d’ailleurs publié une liste officielle des problèmes identifiés : instabilité réseau provoquant des pertes de paquets et du rubber banding, gadgets qui cassent les Supply Drops, grenades fumigènes coincées en boucle sonore, problèmes d’affichage sur les véhicules.
Le plus gênant ? Le gadget Smoke Cover devient inutilisable en fin de partie, précisément quand il serait le plus stratégique. Sans compter les Upgrade Kits qu’un autre joueur peut vous voler pendant que vous les appliquez sur votre arme.
Ces bugs de lancement ne sont pas rédhibitoires pris individuellement, mais leur accumulation entache l’expérience globale. Difficile de rivaliser avec la polish de Warzone, fruit de cinq années d’itérations continues, quand on lance un produit avec autant d’aspérités techniques.
Le Cercle Mortel : Innovation ou Gadget ?
REDSEC tente pourtant de se démarquer avec son cercle de feu instantanément mortel. Contrairement aux zones de gaz qui infligent des dégâts progressifs, ici, un seul pas dans l’anneau rouge et c’est terminé. Aucune échappatoire, aucune seconde chance, aucune possibilité de traverser en sprint pour un repositionnement risqué.

Cette mécanique radicale divise. Les puristes y voient un choix audacieux qui force une approche tactique plus rigoureuse. Les détracteurs pointent une punition excessive qui limite les options stratégiques. Après 20 heures, le verdict reste en suspens : innovation intéressante ou contrainte frustrante ?
Gauntlet : La Vraie Nouveauté ?
Ironiquement, ce n’est pas le mode Battle Royale principal qui suscite le plus d’intérêt, mais Gauntlet. Ce format en 32 joueurs propose des rounds de 5 minutes en élimination directe, avec des objectifs variables à chaque manche. Une formule qui rappelle davantage l’intensité d’Escape from Tarkov que le format classique du battle royale.

Ce mode structuré et frénétique pourrait bien être la vraie carte à jouer de REDSEC. Moins ambitieux que de concurrencer frontalement Warzone, mais potentiellement plus malin : créer une niche spécifique plutôt que de se perdre dans un océan de clones.
Le Camp des Défenseurs Existe
Malgré les critiques, REDSEC trouve ses supporters. Sur les forums Xboxygen, un joueur témoigne : « Beau travail. Ça reste du Battle Royal mais pas mal moins chaotique que Warzone. À ma première game on a fini deuxième. La map semble bien faite. »
GamesRadar adopte une ligne éditoriale plus positive : « Je suis soulagé de dire que le battle royale d’EA reste fidèle à Battlefield au lieu de trop copier Warzone ou Fortnite. » La destruction tactique signature de la franchise est bien présente, le système de classes apporte une profondeur stratégique, et Fort Lyndon impressionne par sa taille et sa diversité.
La carte californienne de REDSEC mélange plages, banlieues résidentielles et installations militaires secrètes à travers 9 points d’intérêt majeurs et 16 secondaires. Une variété environnementale qui contraste avec certaines maps plus monotones de la concurrence.
Le Spectre de Firestorm Plane
Impossible d’évoquer REDSEC sans mentionner Firestorm, le battle royale raté de Battlefield V en 2019. Lancé avec fracas, il avait attiré un million de joueurs avant de s’effondrer faute de support continu. Abandonné quelques mois après son lancement, Firestorm reste le symbole de l’incapacité d’EA à maintenir un battle royale dans la durée.

REDSEC porte ce fardeau. Chaque bug, chaque jour sans patch, chaque silence de DICE ravive cette peur légitime : et si l’histoire se répétait ? Le free-to-play est censé garantir un investissement long terme, mais les promesses d’EA pèsent peu face aux précédents.
Le Fossé Temporel Face à Warzone
Car voilà le véritable problème de REDSEC : il affronte un mastodonte qui a cinq années d’avance. Warzone ne s’est pas construit en un jour. Depuis mars 2020, Activision a peaufiné chaque mécanique, ajusté chaque vitesse de déplacement, équilibré des centaines d’armes, banni plus de 136 000 tricheurs en mode classé, créé et supprimé des cartes, écouté et réagi aux retours communautaires.

Cette expérience accumulée se ressent dans chaque détail. Les transitions entre les animations, le sound design des armes, le feedback des impacts, la fluidité des menus : tout ce polish invisible qui fait qu’un jeu est agréable à jouer. REDSEC ne peut pas combler ce fossé en 20 heures.
Un Lancement Qui Pose Plus de Questions Qu’il N’apporte de Réponses
Après une journée d’existence, REDSEC se trouve dans une position inconfortable. Techniquement solide mais pas irréprochable, ambitieux dans son pitch mais timide dans son exécution, gratuit mais intrusif pour ceux qui ont payé Battlefield 6.
Les 50% de reviews positives sur Steam ne sont ni un triomphe ni un désastre. Ce sont le reflet d’un jeu qui divise, qui ne convainc pas pleinement mais ne déçoit pas totalement non plus. Un entre-deux dangereux pour un genre où il faut trancher : soit on devient incontournable, soit on disparaît.
Les prochaines semaines seront décisives. REDSEC doit rapidement corriger ses bugs, équilibrer ses mécaniques, et surtout prouver qu’il ne finira pas comme Firestorm. Le potentiel existe, la communauté est là, mais la confiance reste à gagner.
Conclusion
Pour l’instant, REDSEC est un battle royale correct qui arrive dans un écosystème saturé, face à des mastodontes installés. Est-ce suffisant ? Les 500 000 joueurs du premier jour semblent croire que oui. Mais dans six mois, combien resteront ? C’est la vraie question qui hante EA depuis que les serveurs de Firestorm ont fermé.
À vous de jouer maintenant ! Vous avez testé REDSEC ces dernières heures ? Dites-nous tout en commentaires : êtes-vous dans le camp des 50% satisfaits ou des 50% déçus ? Le cercle mortel instantané vous semble génial ou frustrant ? Vous êtes retourné sur Warzone ou vous donnez sa chance à REDSEC ? Partagez votre feedback, on lit et on répond à tous vos avis.
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- ASUS ROG GR70 : Ryzen 9 9955HX3D et fin du nom NUC pour ce mini PC gaming
ASUS ROG GR70 : Ryzen 9 9955HX3D et fin du nom NUC pour ce mini PC gaming
ASUS n’a pas perdu le goût des mini machines survitaminées, mais cette fois, le géant taïwanais a dû se passer d’un nom mythique. Le tout nouveau ROG GR70 coche toutes les cases du concept NUC : format compact, puissance démesurée, composants haut de gamme, sauf qu’il a commis un péché impardonnable : adopter un processeur AMD Ryzen 9 9955HX3D. Et ça, du côté d’Intel, c’est un peu comme appeler son chien “NVIDIA” dans le jardin du voisin.
ROG GR70 : compact, musclé et officiellement hors gamme NUC
Car oui, depuis le transfert de la marque NUC à ASUS, le contrat semble clair : pas de processeur rouge sous un logo bleu. Officiellement, le ROG GR70 “ne fait pas partie de la famille NUC”, et officieusement, il incarne tout ce qu’un NUC devrait être… sans pouvoir le dire. Un mini PC de 3 litres seulement, bardé d’un APU Zen 5 à 16 cœurs, capable de rivaliser avec un portable gaming haut de gamme.

En Chine, il s’appelle d’ailleurs ROG 9 Mini, preuve que le concept “Next Unit of Compute” n’est pas mort, juste rebaptisé pour raisons diplomatiques.

Mémoire et configuration : plus de capacité, moins de vitesse
Par rapport au ROG NUC 2025, le GR70 accepte jusqu’à 96 Go de DDR5‑5600, quand le modèle Intel plafonne à 48 Go en DDR5‑6400. La capacité grimpe donc, mais la fréquence baisse. En pratique, ASUS ne commercialise pas de versions avec autant de RAM pour l’instant : le maximum vendu reste 32 Go.



ASUS n’a pas encore listé le GR70 sur ses pages internationales. En Chine, il apparaît à 14,910.63 CNY environ, soit autour de 1950 à 2000 € selon le taux du jour. Il semblerait qu’il se positionne au niveau tarifaire de la configuration Ultra 9 275H avec RTX 5070 côté Intel.
Source : VideoCardz
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- NVIDIA RTX 5090 Battlefield 6 : concours Reddit avec carte custom à gagner
NVIDIA RTX 5090 Battlefield 6 : concours Reddit avec carte custom à gagner
Pas de version collector en série limitée cette fois, mais un concours malin : NVIDIA met en jeu une GeForce RTX 5090 affublée d’un habillage Battlefield 6, et il faudra montrer vos meilleurs frags pour tenter votre chance.
Une RTX 5090 « Battlefield 6 » à gagner sur Reddit
Plutôt que de multiplier les éditions spéciales comme la fameuse carte Cyberpunk, NVIDIA semble privilégier des wraps personnalisés. Les Founders Edition de la série RTX 50 offrant peu d’espace pour la fantaisie, un sticker bien pensé suffit à signer l’objet. D’après l’annonce relayée sur Reddit, la communauté Battlefield peut participer jusqu’au 31 octobre, avec un format qui demande un peu plus d’implication que d’ordinaire.

Le principe est simple : soumettez une vidéo de moins de trois minutes, postée avec le flair « got clips ». Le clip doit être entièrement original et créé par la personne qui participe, pas récupéré ailleurs. Rien d’étonnant à ce que NVIDIA souligne la facilité d’enregistrement : « ShadowPlay enregistre en continu et permet de sauvegarder les dernières minutes » selon l’éditeur. Il reste donc deux jours pour capturer vos actions les plus spectaculaires, soldats.
Valeur estimée et modalités
NVIDIA évalue l’habillage BF6 à 600 dollars (6 dollars en vrai). Les conditions complètes figurent sur Reddit et dans les termes officiels de NVIDIA. Reste à voir si cette approche par stickers deviendra la nouvelle norme des « éditions spéciales » maison.
Bonne nouvelle : la France fait partie des pays éligibles ! Il ne reste plus qu’à passer derrière vos PC et créer vos plus belles scènes pour tenter de remporter la récompense.
Lire aussi : Battlefield REDSEC est disponible : le Battle Royale gratuit qui change tout !
Source : VideoCardz
PNY CS3250 Gen5 : un SSD M.2 jusqu’à 14,9 Go/s pour PC de pointe
Et si le goulot d’étranglement n’était plus le stockage ? PNY officialise le CS3250, un SSD M.2 NVMe PCIe 5.0 x4 qui revendique jusqu’à 14,9 Go/s en lecture et 14 Go/s en écriture, de quoi bousculer les PC haut de gamme orientés IA, jeu et création.
PNY pousse son NVMe Gen5 à 14,9 Go/s
Décliné en 1 To, 2 To et 4 To au format M.2 2280, le CS3250 s’appuie sur l’interface PCIe Gen5 x4 pour des débits séquentiels annoncés à 14 900 Mo/s en lecture et 14 000 Mo/s en écriture (selon capacité).


PNY le destine clairement aux charges de travail lourdes: generation d’images par IA, jeux AAA recents, montage et transferts volumineux. La marque met aussi en avant un controleur dote d’un revetement thermique cense maintenir les performances sous forte sollicitation et prolonger la duree de vie. L’OEM du controleur n’est pas precise, mais tout porte a croire qu’il s’agit d’un Phison E28.

Le positionnement est assumé : « conçu pour gérer les applications d’IA modernes » selon PNY, avec l’objectif de réduire les temps de chargement, fluidifier le multitâche et limiter les saccades dans les jeux recourant au streaming d’univers. Rien d’étonnant à ce que le constructeur insiste sur la réactivité et la montée en charge, deux points souvent sensibles sur les SSD Gen5 en usage réel.
Caractéristiques, garantie et capacités
Au programme : interface NVMe PCIe Gen5 x4, format M.2 2280, capacités de 1 To et 2 To, et garantie limitée 5 ans ou endurance au TBW. PNY annonce aussi une version 4 To à venir, sans date précise. Côté expérience, le constructeur promet des chargements plus rapides et un streaming plus fluide en jeu, mais il faudra vérifier en pratique selon les moteurs et la gestion du DirectStorage.

Disponibilité et prix : lancement prévu le 28 octobre 2025 pour les modèles 1 To et 2 To. Les tarifs indicatifs sont de 125,99 dollars pour 1 To et 219,99 dollars pour 2 To, soit environ 129 et 219 euros TTC à titre estimatif. La déclinaison 4 To arriverait ultérieurement, d’après PNY.

Le dissipateur intégré ne suffira probablement pas à maintenir les pics de débit lors d’un usage soutenu, un travers courant des SSD Gen5. Heureusement, les cartes mères compatibles PCIe 5 disposent en général de tout le nécessaire pour refroidir efficacement ces bêtes. Sur le papier, le CS3250 coche néanmoins toutes les cases d’un stockage très haut débit pour stations créatives et PC gaming modernes.
Source : PNY
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- Razer Huntsman V3 Pro 8KHz : claviers e-sport ultra-réactifs avec switches analogiques Gen‑2
Razer Huntsman V3 Pro 8KHz : claviers e-sport ultra-réactifs avec switches analogiques Gen‑2
Razer pousse la réactivité un cran plus haut avec les Huntsman V3 Pro 8KHz, des claviers taillés pour l’e-sport qui misent sur des switches analogiques optiques de nouvelle génération et un polling à 8000 Hz.
Huntsman V3 Pro 8KHz et Tenkeyless : vitesse, précision, sensations
Deux modèles arrivent : un format pleine taille et une version Tenkeyless. Au centre de l’arsenal, les switches analogiques optiques Razer Gen‑2 associés au HyperPolling 8000 Hz. D’après la marque, l’ensemble offrirait des performances 11 % supérieures au concurrent le plus proche, avec une latence mesurée à 0,58 ms.

Les interrupteurs proposent une course d’activation réglable de 0,1 à 4,0 mm, le mode Rapid Trigger et la fonction Snap Tap pour changer de direction quasi instantanément et accélérer les réinitialisations, des atouts taillés pour les FPS compétitifs.

Razer précise un calibrage usine pour une gestion des zones mortes de référence, avec une précision de 0,1 mm et une exactitude annoncée 2,5 fois supérieure au plus proche rival. La durabilité grimpe jusqu’à 100 millions d’activations.

Côté construction, on retrouve un châssis supérieur en aluminium 5052, une mousse d’insonorisation dense et des stabilisateurs pré-lubrifiés. Les capuchons PBT double-shot texturés et un repose-poignet magnétique en similicuir complètent l’ensemble. L’objectif est clair : une acoustique feutrée et une frappe nette, supportant de longues sessions.

Les deux claviers intègrent une molette numérique cliquable et des boutons dédiés pour piloter médias, macros, hauteur d’activation ou sensibilité du Rapid Trigger à la volée. Un affichage LED embarqué fournit le retour visuel, et tous les réglages se sauvegardent directement dans la mémoire interne, sans logiciel requis.

Développés avec des pros, pensés pour la compétition
Razer indique avoir travaillé main dans la main avec des joueurs de haut niveau, dont Nikola « NiKo » Kovač, pour affiner la latence, la sensation de frappe et la constance des performances. « Le modèle 8KHz fait passer un cap en précision et fiabilité », résume NiKo. Même son de cloche chez la direction e-sport de Razer, pour qui ce V3 Pro « fixe un nouveau standard de vitesse et de précision ».

HyperPolling 8000 Hz, switches analogiques Gen‑2 et fonctions avancées comme Snap Tap ou Rapid Trigger composent une base technique ambitieuse. Reste à voir si, en pratique, cet ensemble délivrera un réel avantage mesurable en tournoi, mais il faut dire que la fiche technique coche les attentes des joueurs exigeants.
Razer Snap Tap donne en outre la priorité au dernier appui entre deux touches pour des changements de direction immédiats, sans devoir relâcher la première. Un détail qui peut faire la différence sur une prise de duel décisive.
Lire aussi : [Test] RAZER Huntsman V3 Pro TKL 1Khz : un clavier compact conçu pour les joueurs
Un clavier Esports haut de gamme à 249 €
Le Razer Huntsman V3 Pro Tenkeyless 8 KHz s’affiche à partir de 249 €, un tarif qui le place clairement dans le segment premium. Ce prix s’explique par ses switches optiques analogiques de 2ᵉ génération, son taux de polling de 8 000 Hz et sa conception en aluminium, le tout pensé pour la compétition Esports. Avec le format complet 100 %, le prix grimpe à 279 €. Les variantes blanches ou « Esports Green » ajoutent respectivement 10 € et 20 €.
Source : Razer
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- Minecraft: Un éditeur de jeux désormais leader, TikTok en véritable concurrent
Minecraft: Un éditeur de jeux désormais leader, TikTok en véritable concurrent
90% des jeux Windows tournent maintenant sur Linux !
Vous vous souvenez quand jouer sous Linux, c’était une grosse blague ? Vous installiez votre distribution préférée, vous lanciez Steam , et vous vous rendiez compte que la moitié de votre bibliothèque était inaccessible… Alors vous deviez soit garder un dual boot Windows, soit accepter de ne jouer qu’à une poignée de titres pas ouf.
Et bien ça, mes amis, c’est du passé !
En effet, selon les dernières données de ProtonDB compilées par Boiling Steam , près de 90% des jeux Windows se lancent maintenant sur Linux. Pas 90% qui plantent au bout de 5 minutes hein mais vraiment 90% qui démarrent, qui tournent, et qui se jouent jusqu’au bout. C’est une progression de dingue si on compare avec encore il y a 5 ans, où on était plutôt autour de 50% de compatibilité.
Pour rappel, ProtonDB , c’est la base de données communautaire qui recense les rapports de compatibilité des joueurs Linux qui testent leurs jeux, notent ce qui fonctionne ou pas, et partagent leurs résultats. Le système de notation est d’ailleurs assez simple. “Platinum”, c’est le jeu qui tourne parfaitement sans rien toucher. “Gold”, ça marche presque out of the box mais il faut un peu bricoler. “Silver”, c’est jouable mais imparfait. “Bronze” se situe entre Silver et Borked. Et “Borked”, c’est mort de chez mort, le jeu refuse même de se lancer.
Et les derniers chiffres montrent que la catégorie Borked, c’est-à-dire les jeux complètement cassés, est tombée à environ 10%. Il y a 3 ans, on était encore à 20%. La catégorie “Platinum” a elle-même grimpé à 42% des nouvelles sorties en octobre dernier, contre 29% l’année précédente. Cela veut dire que presque la moitié des nouveaux jeux sortent avec une compatibilité parfaite sur Linux dès le premier jour ! Qui aurait pu prédire comme dirait l’autre ?
Quoiqu’il en soit, cette évolution, on la doit en grande partie à Proton, la couche de compatibilité développée par Valve, c’est-à-dire l’outil qui traduit les appels DirectX de Windows en Vulkan pour Linux. Proton s’appuie sur Wine, le projet historique qui permet de faire tourner des applications Windows sur Linux depuis des décennies, mais Valve a mis le super paquet pour optimiser tout ça spécifiquement pour ses jeux, surtout depuis le lancement de son Steam Deck en 2022.
Le Steam Deck, c’est la console portable de Valve qui tourne sous SteamOS qui est une distribution Linux. Du coup, Valve avait besoin que les jeux Windows fonctionnent parfaitement sur leur machine. La pari était risqué mais ils l’ont relevé avec succès en investissant massivement dans Proton. Ainsi, 80% des 100 jeux les plus populaires sur Steam tournent maintenant de façon quasi-parfaite sur Linux et croyez le ou non, certains jeux tournent même plus vite sur Linux que sur Windows, grâce à une gestion plus efficace des ressources système. Y’a le même phénomène sur ROG Xbox Ally d’ailleurs…
Et surtout Proton 10, la dernière version sortie cette année, apporte encore des améliorations folles et des correctifs spécifiques pour des jeux comme The Finals, Deadlock, Dune Awakening, ainsi que des optimisations pour VRChat (un monde virtuel assez populaire sur lequel je n’ai encore jamais mis les pieds… va falloir remédier à ça je pense).
Valve sort également des versions expérimentales et des hotfixes assez régulièrement pour résoudre les problèmes au fur et à mesure qu’ils sont signalés. C’est un travail acharné et continu de leur part et ça paye enfin !!
Concernant les jeux qui ne fonctionnent pas, le plus gros problème reste les anti-cheats, c’est-à-dire les logiciels de détection de triche utilisés dans les jeux en ligne. Easy Anti-Cheat et BattlEye, les deux plus populaires, supportent officiellement Linux depuis quelques années mais les développeurs doivent activer manuellement ce support pour chaque titre. C’est une case à cocher et malheureusement, beaucoup ne le font pas, soit par flemme, soit parce qu’ils ne considèrent pas Linux comme une priorité.
Je pense par exemple à March of Giants qui détecte Wine et Proton et refuse de démarrer ou encore Blade and Soul NEO qui nécessite des configurations spécifiques. Il y a aussi Sickly Days et Summer Traces qui demandent des overrides de DLL. Tout ceci, ce sont des blocages “intentionnels” et pas des incompatibilités techniques. Les dev pourraient activer le support Linux en 5 minutes, mais ils ne le font pas. Bouuuuh !
Les DRM, c’est-à-dire les systèmes de protection anti-copie, posent aussi des problèmes. En général, Denuvo fonctionne bien, mais certaines implémentations plantent sous Linux et certains éditeurs refusent de corriger ces problèmes parce qu’ils considèrent que le marché Linux est trop petit. C’est donc un cercle vicieux. Mais comme vous pouvez le voir, la situation évolue et le fait que Windows 10 arrive en fin de support pourrait aussi pousser pas mal de joueurs vers Linux.
Sans parler de Windows 11 qui impose des restrictions matérielles que beaucoup de PC ne remplissent pas, et comme tout le monde n’a pas envie de racheter une machine récente juste pour continuer à jouer, SteamOS est une planche de salut ! Bref, si vous de votre côté, vous vous sentez enfin chaud pour Linux, vous pouvez installer SteamOS sur un PC classique ou utiliser n’importe quelle distribution Linux avec Steam et Proton activé : Ubuntu, Fedora, Arch, peu importe. Steam détectera automatiquement que vous êtes sur Linux et proposera Proton pour les jeux Windows.
Vous cliquez sur Jouer, et ça marche. Ou pas, mais dans 9 cas sur 10, ça marche.
Et n’oubliez pas avant d’acheter un titre, d’aller sur protondb.com . Vous cherchez le jeu, et vous voyez si d’autres joueurs Linux l’ont fait tourner. S’il est Platinum ou Gold, pas de souci. S’il est Silver ou Bronze, lisez bien les commentaires pour voir quelles manips sont nécessaires. Et s’il est Borked, passez votre chemin ou attendez que quelqu’un trouve une solution…
Quoiqu’il en soit, je trouve que c’est une bonne nouvelle pour les gamers et pour les linuxiens. La progression est lente mais constante et comme Valve continue d’améliorer Proton, que les développeurs de Wine ajoutent du support pour les nouvelles APIs Windows, et que certains éditeurs commencent à activer le support anti-cheat pour Linux, on arrivera bientôt à du 100% et vous verrez, à un moment, la tendance s’inversera et certains jeux, demain, ne tourneront même plus sous Windows mais uniquement sous Linux…

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7.1.2 🖥️ Sites secondaires
- Désinstallez les programmes ainsi que tous leurs résidus oubliés (v 2.6.2)
Désinstallez les programmes ainsi que tous leurs résidus oubliés (v 2.6.2)
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Ce n'est pas un secret le désinstallateur de Windows est feignant !
Oui, lorsqu'il désinstalle un programme il laisse des résidus.
En vérité il ne laisse pas grand-chose, mais au bout de plusieurs centaines de désinstallation cela finit par engorger le disque dur !
Mais surtout, il faut savoir aussi que certaines traces laissées peuvent entrer en conflit avec un autre logiciel et même bloquer toute réinstallation du logiciel précédemment installé ! :wacko:
Quoiqu'il en soit, il faut le dire, pour une fois la faute n'incombe pas qu'à Microsoft.
Oui, le problème vient aussi des programmeurs qui ne se contentent que du minimum lors de la création de leurs désinstalleurs. Windows se contente de ne lancer que ce dernier sans chercher à savoir s'il y aurait des fichiers ou dossiers oubliés...
Revo Uninstaller dans sa version gratuite est déjà excellent, il va s'acharner à vérifier qu'il ne reste aucune trace du soft dont vous voulez vous débarrasser.
La dernière version dont je vous ai parlée est la 2.6.0 publiée en juin 2025.
Une nouvelle version estampillée 2.6 a été publiée hier 28/10/2025, je vous la propose donc.
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