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Le remake de Prince of Persia Sands of Time refait parler de lui : aprés la fuite sur la date de sortie en 2026, une nouvelle fuite montre des extraits de test internes réalisés pour des groupes de discussion en 2024, avec un état très précoce mais des bases déjà en place.
Selon une fuite relayée sur Reddit, on découvre des vidéos issues d’une présentation utilisée pour des focus groups l’an dernier. Les séquences affichent des textures incomplètes, des environnements partiellement ombrés et un ensemble encore dépourvu de vernis. Rien d’étonnant pour une verticale de test, mais on y distingue déjà un parkour étonnamment fluide et les jalons d’un jeu modernisé.

Ces images remontent à 2024 et le projet a probablement évolué depuis. Néanmoins, si la fenêtre de lancement visée en 2026 se confirme, il semblerait que l’ossature montrée ici puisse rester pertinente, au moins pour la direction globale du gameplay et des niveaux.
Les clips s’accompagnent d’extraits en coulisses où développeurs et artistes expliquent vouloir préserver la dimension spirituelle et mystérieuse de l’épisode fondateur tout en actualisant la réalisation visuelle et les mécaniques. Les systèmes de parkour et de plateformes sont au cœur de cette mise à niveau, avec l’objectif de conserver la nervosité et la précision qui faisaient la marque de Sands of Time. On entend ainsi que l’équipe tente de « rester fidèle à l’esprit » tout en modernisant ce qui peut l’être.
À retenir : séquences issues d’une présentation de 2024, donc non représentatives de l’état actuel ; parkour déjà convaincant malgré l’absence de finitions ; volonté affichée de coller à l’ADN du jeu tout en le modernisant. Pour le reste, prudence : d’après les informations disponibles, Ubisoft viserait toujours une sortie en 2026, sans confirmation officielle à ce stade.
Source : TechPowerUp
La hausse des tarifs des PC gamer préconfigurés ne tient plus à un seul fabricant ni à un contexte localisé. En France comme à l’international, les assembleurs spécialisés et les marques de PC clés en main révisent leurs prix à la hausse, en raison de l’augmentation brutale des coûts de la DRAM et, dans une moindre mesure, du stockage. Les variations de tarifs s’observent depuis le mois d’octobre 2025 et touchent aussi bien les configurations entrée de gamme que les machines premium destinées au gaming et à la création.
Les spécialistes des PC clés en main indiquent qu’une hausse touchera l’ensemble de ses références à partir du 7 décembre 2025. En cause, des composants bien plus chers : la DRAM aurait bondi de 300 % et les SSD auraient doublé de prix. Ces surcoûts pèseraient déjà sur les configurations depuis le 1er octobre 2025.

Les projections de marché anticipent même un doublement des prix sur certains segments de DRAM serveur et LPDDR5X courant 2026, ce qui affecte autant les PC de bureau que les laptops, mini PC et consoles portables. À cela s’ajoutent des signaux de hausse d’environ 10 % concernant certains GPU, notamment du côté d’AMD, ce qui renforce encore la pression sur les tarifs finaux.

En France et en Europe, plusieurs assembleurs présents sur le marché, qu’il s’agisse d’intégrateurs locaux ou de marques opérant en ligne, ajustent progressivement leurs prix catalogue. Cet effet domino se répercute sur l’ensemble de la chaîne commerciale, de la logistique à la mise en rayon, et alourdit in fine le coût pour le consommateur.
La pénurie de DRAM ne tient pas qu’aux chaînes d’approvisionnement. La demande liée au calcul IA siphonne les capacités, ce qui raréfie l’offre pour le grand public. D’après des projections citées, les prix de la DRAM serveur et de la LPDDR5X, utilisée dans les ordinateurs portables, mini PC et consoles portables, pourraient doubler en 2026. De quoi prolonger la pression sur les coûts, et donc sur les tarifs des intégrateurs.
Pour le public achetant un PC préassemblé, la fin d’année devient donc une période de vigilance. Il peut cependant demeurer pertinent d’opter pour une machine disposant de 32 Go de RAM dès l’achat, tant la mémoire est aujourd’hui l’élément le plus inflationniste. À l’inverse, la carte graphique reste encore la zone la plus compétitive en termes de prix par image produite, au moins à court terme.
Source : TechPowerUp
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