Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, s'est rendu, mercredi, auprès des troupes déployées en Syrie, de l'autre côté de la ligne de démarcation entre les deux pays toujours en guerre. De son côté, Damas a dénoncé une "violation" de sa souveraineté, accusant Israël d'empiéter sur une zone tampon censée séparer les forces des deux États.
Après avoir émis des ordres d'évacuation, Israël a frappé, mercredi après-midi, le sud du Liban, selon l'armée, qui affirme avoir visé des sites militaires du Hezbollah.
En accueillant avec tous les honneurs le prince héritier Mohamed Ben Salmane à Washington, Donald Trump montre à quel point l'Arabie Saoudite est un allié stratégique pour lui au Porche-Orient. Plus encore qu'Israël ? On va plus loin avec Patricia Allémonière et Bruno Daroux.
Une frappe israélienne a touché un camp de réfugiés palestiniens à Saïda, dans le sud du Liban. Les secours font état de dizaines de morts et de nombreux blessés, un bilan amené à évoluer. "C'est la deuxième fois, depuis le 7 octobre 2023, que le camp d'Aïn al-Héloué est directement touché par l'armée israélienne, ce camp abritant plusieurs factions palestiniennes, dont des groupes affiliés au Hamas", explique le correspondant de France 24 à Beyrouth, Serge Berberi.
Une frappe israélienne ayant visé la ville de Saïda, dans le sud du Liban, a fait au moins 13 morts mardi, selon le ministère libanais de la Santé. Tsahal défend avoir visé un camp d'entraînement du Hamas, quand le mouvement islamiste dénonce une "attaque barbare" contre un camp de réfugiés palestiniens.
Reçu hier — 18 novembre 2025France 24 - Moyen-Orient
Le Magen David Adom, l'équivalent israélien de la Croix-Rouge, a annoncé, mardi, la mort d'un homme d'une trentaine d’années après une attaque à la voiture-bélier et au couteau survenue dans le sud de la Cisjordanie occupée, près de colonies israéliennes. L'organisation précise avoir évacué trois autres personnes vers des hôpitaux de Jérusalem.
Une organisation spécialisée dans la sécurité alimentaire a officiellement déclaré l'état de famine catastrophique à Gaza en début d'année. Bien que l'aide commence à parvenir au compte-gouttes à l'enclave palestinienne, les experts estiment que la famine pourrait bouleverser Gaza sur des générations.
Le premier procès consacré aux massacres de mars 2025 en Syrie a débuté, mardi, à Alep, dans le nord du pays. Sept hommes, dont d'anciens militaires, accusés d'avoir attaqué les troupes gouvernementales, et sept membres des forces relevant des nouvelles autorités islamistes, ont comparu devant les juges.
C'est un texte d'une grande importance qui a été adoptée par treize voix au Conseil de sécurité de l'ONU. La résolution offre un cadre juridique international à l'action américaine, permettant de maintenir le cessez-le-feu et facilitant la distribution d'aide humanitaire. "Une suite logique", selon l'ambassadeur américain, l'autorité palestinienne ayant notamment donné son accord, rapporte la correspondante à New York, Émilie Musset, qui estime que "des zones d'ombre" persistent dans le texte.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté, lundi, une résolution américaine prévoyant notamment la mise en place d'une force internationale dans la bande de Gaza. Un vote salué par Donald Trump et immédiatement rejeté par le Hamas qui estime que le texte "ne répond pas aux exigences" des Palestiniens.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a dénoncé, lundi soir, les violences d'une "poignée d'extrémistes" non représentative, selon lui, des colons qui vivent en Cisjordanie occupée. Cette déclaration intervient après une nouvelle attaque contre un village palestinien.
Le plan de paix de Donald Trump pour Gaza, qui a permis la mise en place d'un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, est soumis au vote lundi du Conseil de sécurité de l'ONU. Le texte prévoit notamment le déploiement d'une "force de stabilisation internationale" dans la bande de Gaza.
L'avenir d'un possible État palestinien à nouveau au coeur du vote d'un projet américain de résolution sur Gaza, aujourd'hui, au Conseil de sécurité de l'ONU. Le Premier ministre israélien a dit son opposition. Le nouveau projet de résolution "autorise" la mise en place d'une "force de stabilisation internationale" (ISF) chargée notamment de l'appui à la sécurisation des frontières de la démilitarisation de Gaza, du désarmement "des groupes armés non étatiques" et de la protection des civils.
Sous la pression de ses ministres d’extrême droite, Benjamin Netanyahu a réitéré son opposition catégorique à la création d’un État palestinien, à la veille d’un vote clé au Conseil de sécurité de l’ONU. Le Premier ministre rejette fermement toute perspective de souveraineté palestinienne, malgré un projet de résolution américain qui l’évoque pour l’avenir.
La Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) a accusé l'armée israélienne, dimanche, d'avoir tiré sur des soldats de la paix "à partir d'un char Merkava situé près d'une position établie par Israël en territoire libanais". La force onusienne a exhorté Israël "à cesser tout comportement agressif et toute attaque" contre ou à proximité de ses Casques bleus.
En Cisjordanie, les violences des colons israéliens s’intensifient. Hier encore, deux adolescents palestiniens ont été tués près d’Hébron, une mosquée a également été incendiée et des raids menés par des groupes de colons ont blessé plusieurs Palestiniens et détruit de nombreux biens. Ces attaques, de plus en plus fréquentes, se déroulent dans une quasi-impunité. Une situation analysée avec la sociologue Laetitia Bucaille.
La Force intérimaire des Nations Unies au Liban (Finul) a accusé Israël, vendredi, d'avoir "violé" la souveraineté du Liban avec la construction de murs sur son territoire. L'armée israélienne a démenti, reconnaissant toutefois avoir érigé une barrière renforcée le long de la ligne de démarcation entre les deux pays.
Le Hamas et le Jihad islamique ont rendu jeudi à Gaza la dépouille de l'otage israélien Meni Godard, tué le 7 octobre 2023 à l'âge de 73 ans. De son côté, l'Autorité palestinienne a annoncé que des soldats israéliens avaient tué dans le sud de la Cisjordanie deux adolescents de 15 ans, présentés par l'armée israélienne comme des "terroristes en passe de perpétrer une attaque".
Après les premiers résultats de la commission électorale donnant sa liste en tête aux législatives, le Premier ministre sortant Mohamed Chia al-Soudani a revendiqué la victoire mardi soir. La formation du prochain gouvernement irakien devrait toutefois donner lieu à d'intenses tractations.
Dans un courrier adressé au président israélien, Donald Trump a demandé qu'une grâce soit accordée au Premier ministre Benjamin Netanyahu, poursuivi dans son pays pour corruption, a révélé mercredi le bureau de la présidence.
Les autorités israéliennes ont annoncé mercredi la réouverture "permanente" du point de passage de Zikim, au nord de la bande de Gaza, pour permettre l'entrée d'aide humanitaire internationale dans le territoire palestinien, ravagé par plus de deux ans de guerre.
Pour sa première visite en France en tant que chef d'État, depuis la reconnaissance de la Palestine par Paris, Mahmoud Abbas s'engage auprès d'Emmanuel Macron sur la tenue d'élections sur l'ensemble des territoires palestiniens. Les dernières datent de près de vingt ans. On va plus loin avec Patricia Allémonière et Melina Huet.
Le sort de près de 200 combattants du Hamas, retranchés dans des tunnels à Rafah, dans une zone contrôlée par l’armée israélienne, menace de faire voler en éclats le cessez-le-feu à Gaza. Alors que le mouvement islamiste palestinien rejette toute idée de reddition, Washington craint que leur élimination sur ordre d’un Benjamin Netanyahu sous pression empêche toute avancée du plan Trump.
Le chef du Hezbollah, Naïm Qassem, a de nouveau affirmé que la milice chiite n’abandonnera pas les armes au Liban. Pour autant, il dit respecter le cessez-le-feu et ne pas avoir tiré sur Israël depuis. Dans les faits, que reste-t-il réellement de l'arsenal du Hezbollah et de son influence ?