En accueillant Mohammed ben Salmane aux États-Unis, Donald Trump a offert une spectaculaire réhabilitation diplomatique au prince héritier saoudien. Le président américain a aussi défendu avec vigueur "MBS" au sujet du journaliste Jamal Khashoggi, dont l'assassinat en 2018 avait été ordonné par le dirigeant du royaume wahhabite, selon la CIA.
La Chambre américaine des représentants a validé, mardi, à la quasi unanimité en faveur de la publication des documents d'enquête des autorités sur le criminel sexuel Jeffrey Epstein. Pendant des mois, Donald Trump avait mené une véritable campagne pour contrecarrer la tenue de ce vote. Le texte se dirige à présent vers le Sénat.
Donald Trump reçoit Mohammed ben Salmane le prince héritier d’Arabie Saoudite à la Maison Blanche avec faste. Les saoudiens souhaitent acheter des F-35 et signer un accord sur des transferts de technologie dans le nucléaire et l’intelligence artificielle. Le Président américain place Riyad au coeur de sa stratégie au Moyen-Orient et veut convaincre MBS de normaliser ses relations avec Israël. De son côté, le prince héritier lui, a promis d'investir 1 000 milliards de dollars dans le pays.
À la Une de la presse ce mardi 18 novembre 2025, les réactions dans la presse américaine à la première visite du prince saoudien aux États-Unis depuis l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi. Deux enquêtes sur le piège du narcotrafic pour les mineurs en France. De nouvelles recherches scientifiques pour comprendre pourquoi les humains utilisent plus leur main droite que leur main gauche. Et enfin, la photo de l'année : un incroyable cliché d'un saut en chute libre aligné avec le soleil.
Alors que le président américain Donald Trump offre, mardi, une spectaculaire réhabilitation au prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, pour sa première visite à Washington depuis 2018, ce dernier a notamment annoncé un plan d’investissements de 1 000 milliards de dollars aux États-Unis.
Alors que la pression monte aux États-Unis avant un vote de la Chambre des représentants pour rendre publics tous les éléments du dossier Epstein en possession du ministère de la Justice, l'ancien ministre Larry Summers a annoncé lundi qu'il se retirait de la vie publique. Sa correspondance électronique avec le criminel sexuel avait fuité la semaine dernière.
Le Parlement canadien a adopté lundi un budget axé sur de grands projets d'infrastructures qui prévoit de quasiment doubler le déficit pour 2025-26. Objectif : relancer l'économie du pays en réponse aux droits de douane américains. Le Premier ministre Mark Carney jouait la survie de son gouvernement avec ce vote.
À moins d'un mois du deuxième tour de l'élection présidentielle, où le candidat d'extrême droite José Antonio Kast est donné favori, la droite a remporté lundi la majorité au Parlement chilien. La gauche, elle, enregistre son plus faible score depuis le retour de la démocratie après la dictature d'Augusto Pinochet.
Donald Trump a déclaré lundi qu'il allait "parler" avec le président vénézuélien Nicolas Maduro, tout en ajoutant que ce dernier "n'a pas été bon pour les États-Unis". Dans sa campagne contre le trafic de drogue, le président américain a affirmé qu'il n'excluait pas l'envoi de troupes au Venezuela. De son côté, Nicolas Maduro s'est dit prêt à discuter "en tête-à-tête".
Les États-Unis ont annoncé l’inscription du Cartel de los Soles sur la liste des organisations terroristes. Donald Trump accuse Nicolas Maduro d’en être le chef. Il affirme même qu'une partie du gouvernement et de l’armée vénézuéliennes en sont membres. Problème : ce groupe existe-t-il vraiment ?
Soirée électorale en demi teinte pour la communiste modérée Jeannette Jara car, même si elle est en tête du premier tour de la présidentielle au Chili, l'écart avec son rival d'extrême droite José Antonio Kast est beaucoup plus serré que prévu (2 points au lieu de 10). Le second tour, le 14 décembre, s'annonce donc difficile pour Jeannette Jara, en raison du report des voix massif annoncé envers José Antonio Kast, explique la correspondante de France 24, Agathe Fourcade.
"Nous n'avons rien à cacher", a écrit Donald Trump sur Truth Social. Alors qu'il s'opposait jusque-là à la publication de dossiers concernant le délinquant sexuel Jeffrey Epstein, le président américain a exhorté dimanche soir ses pairs républicains du Congrès à voter en faveur de leur divulgation.
Selon un décompte partiel du Conseil national électoral, 61 % des votants se sont exprimés, dimanche lors du référendum en Équateur, pour refuser de lever l'interdiction des bases étrangères. Le président Daniel Noboa, allié de Washington, a promis de "respecter la volonté du peuple".
La candidate de la coalition de centre-gauche au pouvoir, Jeannette Jara, recueille 26,71 % des suffrages, contre 24,12 % pour son adversaire ultraconservateur, José Antonio Kast, selon des résultats portant sur 83 % des bulletins dépouillés. Ils devraient s'affronter au second tour le 14 décembre.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a qualifié samedi d'"irresponsables" les nouveaux exercices militaires de Trinité-et-Tobago avec les Etats-Unis, dont les opérations en mer des Caraïbes contre le trafic de drogue irritent Caracas. Depuis septembre dernier plus de 21 navires ont été bombardés en mer des Caraïbes sur ordre de Donald Trump, plus de 80 personnes ont été tuées. Analyse de notre grand reporter, Karim Yahiaoui.
Au Mexique, des milliers de personnes sont descendues dans les rues de plusieurs villes du pays pour dénoncer la montée de la violence et exhorter le gouvernement de Claudia Sheinbaum à prendre davantage de mesures pour lutter contre la criminalité. À Mexico, des affrontements ont éclaté entre les manifestants et la police, blessant des dizaines d'agents et de civils selon les autorités locales.
L'Équateur doit décider dimanche s'il autorise ou non le retour des bases militaires étrangères dans le pays et ouvre la voie à une nouvelle Constitution, lors d'un référendum crucial voulu par son président Daniel Noboa, proche allié des États-Unis et engagé dans la lutte contre le narcotrafic.
Les Chiliens votent dimanche pour élire leur président, au terme d'une campagne centrée sur le crime organisé et les promesses d'expulsions de migrants sans-papiers de l'extrême droite, qui ont mis la gauche sur la défensive.
Les bureaux de vote ont commencé à fermer dimanche au Chili où les électeurs ont voté dimanche pour élire leur président. C'est la première fois depuis la fin de la dictature de Pinochet que la droite radicale a une chance de revenir au pouvoir, au terme d'une campagne centrée sur le crime organisé et l'immigration.
Des heurts ont éclaté samedi à Mexico en marge d’un vaste rassemblement dénonçant la politique sécuritaire face aux violences des cartels. Une centaine de policiers et une vingtaine de manifestants ont été blessés, selon les autorités, après des affrontements devant le palais présidentiel.
Le président français Emmanuel Macron a annoncé dimanche la libération du Français Camilo Castro, détenu au Venezuela depuis fin juin. Arrivé en milieu d'après-midi à Paris, ce professeur de yoga de 41 ans avait disparu le 26 juin au poste-frontière de Paraguachon, séparant le Venezuela de la Colombie, où il réside.
Le président venezuelien, Nicolas Maduro, appelle à la paix alors que les navires américains s'entraînent autour de Trinité et Tobago. Le président américain reste vague sur ses attentions alors que des plans d'attaques sont prêts.
Face aux dernières révélations dans l’affaire Epstein le visant, Donald Trump a décidé de contre-attaquer en réclamant une enquête sur la relation entre le prédateur sexuel, aujourd’hui décédé, et des personnalités démocrates dont Bill Clinton.
Les Chiliens sont appelés à voter dimanche au premier tour d'une élection présidentielle opposant la représentante de la coalition de gauche au pouvoir à une multitude de candidats de droite, susceptibles toutefois de s'unir et de faire gagner l'un des leurs au second tour. Les sujets en tête des préoccupations des électeurs sont la criminalité et l'immigration.