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Reçu aujourd’hui — 29 octobre 2025 Pause Hardware

REDSEC vs Warzone : Le Battle Royale de Battlefield Peut-il Rivaliser ? Verdict Après 20 Heures

Par :Wael.K
29 octobre 2025 à 11:40

Le 28 octobre 2025 restera une date marquante pour Battlefield. À 16h précises, EA et DICE lançaient REDSEC, leur réponse gratuite à l’hégémonie de Warzone. Un « shadow drop » audacieux, sans bêta préalable, directement dans l’arène impitoyable du battle royale. 20 heures plus tard, le constat est sans appel : REDSEC cristallise autant d’espoirs que de frustrations.

Un Démarrage en Fanfare… Puis la Douche Froide

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. En moins de 6 heures, REDSEC atteint les 500 000 joueurs. Les serveurs saturent, les streamers se précipitent sur Fort Lyndon, la communauté s’enflamme. Mais sur Steam, la réalité rattrape rapidement l’euphorie : après 6 heures, le score stagnait à 50% avec 760 avis. 20 heures plus tard, avec 2,201 évaluations, le verdict s’alourdit : seulement 40% d’avis positifs. La note « moyennes » de Steam traduit un accueil mitigé qui se dégrade

Battlefield 6 REDSEC sur Steam avis

Cette division n’est pas anodine. Elle révèle un jeu qui peine à convaincre au-delà de son pitch marketing, malgré des atouts indéniables sur le papier.

La Controverse qui Empoisonne le Lancement

Au-delà des considérations purement gameplay, c’est une décision commerciale qui met le feu aux poudres. Les joueurs ayant déboursé 70 euros pour Battlefield 6 découvrent avec stupeur que de nombreux défis du Battle Pass de la Saison 1 sont exclusivement liés à REDSEC. Impossible de progresser pleinement sans toucher au mode gratuit.

Battlefield 6 saison 1 Hero

« This is not why I bought Battlefield 6 » résume parfaitement le sentiment qui domine les forums. L’idée de forcer des joueurs ayant payé plein tarif vers un mode free-to-play pour débloquer du contenu passe très mal. Cette intégration forcée brouille la frontière entre les deux expériences et génère une frustration légitime chez une base de joueurs qui estimait avoir déjà payé son dû.

« Very Warzone Coded » : Le Consensus Accablant

Si un reproche revient en boucle dans les premières impressions, c’est celui-ci : REDSEC ressemble trop à Warzone. Le site Insider Gaming ne mâche pas ses mots dans son test publié 20 heures après le lancement : « C’est bon, mais je ne pouvais pas m’empêcher de sentir que je jouais à Warzone. Tout, des tokens Double XP à la structure du battle pass, des missions secondaires aux loadouts, REDSEC pue Call of Duty. »

CORSAIR x Call of Duty warzone Heroimg

Cette impression ne se limite pas aux critiques professionnels. Dans le chat Twitch du streamer LVNDMARK, les spectateurs débattent férocement : « this deadass is a warzone copy », « looks like cod wtf ». Les animations de rechargement des plaques d’armure ? Identiques à Warzone. Le système de loadout drops ? Calqué sur le modèle d’Activision. Les caisses au sol, les missions annexes, les mécaniques de seconde chance : tout évoque un jeu qu’on connaît déjà par cœur.

Certes, il n’existe que quelques façons de charger des plaques balistiques dans un porte-plaques, comme le défendent certains joueurs. Mais cette défense technique n’efface pas l’impression globale : REDSEC manque cruellement d’identité propre.

Des Animations Qui Plombent l’Expérience

Là où Warzone mise sur la nervosité et la réactivité, REDSEC hérite de la lourdeur caractéristique de Battlefield. Les personnages se déplacent avec une inertie qui évoque davantage le réalisme militaire que l’arcade compétitive. Pour un battle royale en 2025, c’est un handicap majeur.

Capture d’écran Battlefield RedSec F2P battle royale: 100 joueurs, grande carte; HUD GPU/CPU, FPS, latence, benchmark performance

Cette pesanteur dans les mouvements tue le dynamisme attendu du genre. Quand on passe de Warzone à REDSEC, le contraste est saisissant : on perd en fluidité, en réactivité, en sensation de vitesse. Le sprint tactique de Call of Duty, les glissades, les transitions rapides… tout ce qui fait le sel du genre arcade moderne semble bridé par une volonté de coller au réalisme Battlefield.

Les Problèmes Techniques S’Accumulent

Au-delà des choix de game design, REDSEC souffre de bugs bien concrets. DICE a d’ailleurs publié une liste officielle des problèmes identifiés : instabilité réseau provoquant des pertes de paquets et du rubber banding, gadgets qui cassent les Supply Drops, grenades fumigènes coincées en boucle sonore, problèmes d’affichage sur les véhicules.

Le plus gênant ? Le gadget Smoke Cover devient inutilisable en fin de partie, précisément quand il serait le plus stratégique. Sans compter les Upgrade Kits qu’un autre joueur peut vous voler pendant que vous les appliquez sur votre arme.

Ces bugs de lancement ne sont pas rédhibitoires pris individuellement, mais leur accumulation entache l’expérience globale. Difficile de rivaliser avec la polish de Warzone, fruit de cinq années d’itérations continues, quand on lance un produit avec autant d’aspérités techniques.

Le Cercle Mortel : Innovation ou Gadget ?

REDSEC tente pourtant de se démarquer avec son cercle de feu instantanément mortel. Contrairement aux zones de gaz qui infligent des dégâts progressifs, ici, un seul pas dans l’anneau rouge et c’est terminé. Aucune échappatoire, aucune seconde chance, aucune possibilité de traverser en sprint pour un repositionnement risqué.

Capture de Battlefield REDSEC montrant un affrontement sur Blackwell Field, mode battle royale à 100 joueurs en free-to-play.
Affrontement sur Blackwell Field

Cette mécanique radicale divise. Les puristes y voient un choix audacieux qui force une approche tactique plus rigoureuse. Les détracteurs pointent une punition excessive qui limite les options stratégiques. Après 20 heures, le verdict reste en suspens : innovation intéressante ou contrainte frustrante ?

Gauntlet : La Vraie Nouveauté ?

Ironiquement, ce n’est pas le mode Battle Royale principal qui suscite le plus d’intérêt, mais Gauntlet. Ce format en 32 joueurs propose des rounds de 5 minutes en élimination directe, avec des objectifs variables à chaque manche. Une formule qui rappelle davantage l’intensité d’Escape from Tarkov que le format classique du battle royale.

REDSEC Battle Royale Gauntlet

Ce mode structuré et frénétique pourrait bien être la vraie carte à jouer de REDSEC. Moins ambitieux que de concurrencer frontalement Warzone, mais potentiellement plus malin : créer une niche spécifique plutôt que de se perdre dans un océan de clones.

Le Camp des Défenseurs Existe

Malgré les critiques, REDSEC trouve ses supporters. Sur les forums Xboxygen, un joueur témoigne : « Beau travail. Ça reste du Battle Royal mais pas mal moins chaotique que Warzone. À ma première game on a fini deuxième. La map semble bien faite. »

GamesRadar adopte une ligne éditoriale plus positive : « Je suis soulagé de dire que le battle royale d’EA reste fidèle à Battlefield au lieu de trop copier Warzone ou Fortnite. » La destruction tactique signature de la franchise est bien présente, le système de classes apporte une profondeur stratégique, et Fort Lyndon impressionne par sa taille et sa diversité.

La carte californienne de REDSEC mélange plages, banlieues résidentielles et installations militaires secrètes à travers 9 points d’intérêt majeurs et 16 secondaires. Une variété environnementale qui contraste avec certaines maps plus monotones de la concurrence.

Le Spectre de Firestorm Plane

Impossible d’évoquer REDSEC sans mentionner Firestorm, le battle royale raté de Battlefield V en 2019. Lancé avec fracas, il avait attiré un million de joueurs avant de s’effondrer faute de support continu. Abandonné quelques mois après son lancement, Firestorm reste le symbole de l’incapacité d’EA à maintenir un battle royale dans la durée.

bfv firestorm sulis 2019

REDSEC porte ce fardeau. Chaque bug, chaque jour sans patch, chaque silence de DICE ravive cette peur légitime : et si l’histoire se répétait ? Le free-to-play est censé garantir un investissement long terme, mais les promesses d’EA pèsent peu face aux précédents.

Le Fossé Temporel Face à Warzone

Car voilà le véritable problème de REDSEC : il affronte un mastodonte qui a cinq années d’avance. Warzone ne s’est pas construit en un jour. Depuis mars 2020, Activision a peaufiné chaque mécanique, ajusté chaque vitesse de déplacement, équilibré des centaines d’armes, banni plus de 136 000 tricheurs en mode classé, créé et supprimé des cartes, écouté et réagi aux retours communautaires.

warzone jeux speed

Cette expérience accumulée se ressent dans chaque détail. Les transitions entre les animations, le sound design des armes, le feedback des impacts, la fluidité des menus : tout ce polish invisible qui fait qu’un jeu est agréable à jouer. REDSEC ne peut pas combler ce fossé en 20 heures.

Un Lancement Qui Pose Plus de Questions Qu’il N’apporte de Réponses

Après une journée d’existence, REDSEC se trouve dans une position inconfortable. Techniquement solide mais pas irréprochable, ambitieux dans son pitch mais timide dans son exécution, gratuit mais intrusif pour ceux qui ont payé Battlefield 6.

Les 50% de reviews positives sur Steam ne sont ni un triomphe ni un désastre. Ce sont le reflet d’un jeu qui divise, qui ne convainc pas pleinement mais ne déçoit pas totalement non plus. Un entre-deux dangereux pour un genre où il faut trancher : soit on devient incontournable, soit on disparaît.

Les prochaines semaines seront décisives. REDSEC doit rapidement corriger ses bugs, équilibrer ses mécaniques, et surtout prouver qu’il ne finira pas comme Firestorm. Le potentiel existe, la communauté est là, mais la confiance reste à gagner.

Conclusion

Pour l’instant, REDSEC est un battle royale correct qui arrive dans un écosystème saturé, face à des mastodontes installés. Est-ce suffisant ? Les 500 000 joueurs du premier jour semblent croire que oui. Mais dans six mois, combien resteront ? C’est la vraie question qui hante EA depuis que les serveurs de Firestorm ont fermé.

À vous de jouer maintenant ! Vous avez testé REDSEC ces dernières heures ? Dites-nous tout en commentaires : êtes-vous dans le camp des 50% satisfaits ou des 50% déçus ? Le cercle mortel instantané vous semble génial ou frustrant ? Vous êtes retourné sur Warzone ou vous donnez sa chance à REDSEC ? Partagez votre feedback, on lit et on répond à tous vos avis.

ASUS ROG GR70 : Ryzen 9 9955HX3D et fin du nom NUC pour ce mini PC gaming

Par :Wael.K
29 octobre 2025 à 10:33

ASUS n’a pas perdu le goût des mini machines survitaminées, mais cette fois, le géant taïwanais a dû se passer d’un nom mythique. Le tout nouveau ROG GR70 coche toutes les cases du concept NUC : format compact, puissance démesurée, composants haut de gamme, sauf qu’il a commis un péché impardonnable : adopter un processeur AMD Ryzen 9 9955HX3D. Difficile, il faut l’avouer, de garder la bénédiction d’Intel quand on choisit un cœur rouge AMD pour animer la bête.

ROG GR70 : compact, musclé et officiellement hors gamme NUC

Car oui, depuis le transfert de la marque NUC à ASUS, le contrat semble clair : pas de processeur rouge sous un logo bleu. Officiellement, le ROG GR70 “ne fait pas partie de la famille NUC”, et officieusement, il incarne tout ce qu’un NUC devrait être… sans pouvoir le dire. Un mini PC de 3 litres seulement, bardé d’un APU Zen 5 à 16 cœurs, capable de rivaliser avec un portable gaming haut de gamme.

PC gaming compact ASUS ROG GR70 posé de biais, boîtier noir anguleux éclairé RGB, équipé d’un Ryzen 9 9955HX3D, sans marque N

En Chine, il s’appelle d’ailleurs ROG 9 Mini, preuve que le concept “Next Unit of Compute” n’est pas mort, juste rebaptisé pour raisons diplomatiques.

Vue de l’ASUS ROG GR70, mini PC gamer compact équipé d’un Ryzen 9 9955HX3D, éclairage RGB et façade aérée, image 3 sur 7.

Mémoire et configuration : plus de capacité, moins de vitesse

Par rapport au ROG NUC 2025, le GR70 accepte jusqu’à 96 Go de DDR5‑5600, quand le modèle Intel plafonne à 48 Go en DDR5‑6400. La capacité grimpe donc, mais la fréquence baisse. En pratique, ASUS ne commercialise pas de versions avec autant de RAM pour l’instant : le maximum vendu reste 32 Go.

Vue de l’ASUS ROG GR70 compact, PC gaming avec Ryzen 9 9955HX3D, châssis noir aéré, ports frontaux et éclairage discret.
ASUS ROG GR70, PC gaming compact
Vue du mini PC gaming ASUS ROG GR70, boîtier compact avec éclairage RGB, basé sur un Ryzen 9 9955HX3D, angle de trois-quarts.
ASUS ROG GR70, format compact
Vue du mini PC gaming ASUS ROG GR70, châssis compact noir, ports en façade, alimenté par Ryzen 9 9955HX3D, design sobre orien
ASUS ROG GR70, format compact gaming

ASUS n’a pas encore listé le GR70 sur ses pages internationales. En Chine, il apparaît à 14,910.63 CNY environ, soit autour de 1950 à 2000 € selon le taux du jour. Il semblerait qu’il se positionne au niveau tarifaire de la configuration Ultra 9 275H avec RTX 5070 côté Intel.

Source : VideoCardz

NVIDIA RTX 5090 Battlefield 6 : concours Reddit avec carte custom à gagner

Par :Wael.K
29 octobre 2025 à 10:22

Pas de version collector en série limitée cette fois, mais un concours malin : NVIDIA met en jeu une GeForce RTX 5090 affublée d’un habillage Battlefield 6, et il faudra montrer vos meilleurs frags pour tenter votre chance.

Une RTX 5090 « Battlefield 6 » à gagner sur Reddit

Plutôt que de multiplier les éditions spéciales comme la fameuse carte Cyberpunk, NVIDIA semble privilégier des wraps personnalisés. Les Founders Edition de la série RTX 50 offrant peu d’espace pour la fantaisie, un sticker bien pensé suffit à signer l’objet. D’après l’annonce relayée sur Reddit, la communauté Battlefield peut participer jusqu’au 31 octobre, avec un format qui demande un peu plus d’implication que d’ordinaire.

Nvidia RTX 5090 giveaway 01

Le principe est simple : soumettez une vidéo de moins de trois minutes, postée avec le flair « got clips ». Le clip doit être entièrement original et créé par la personne qui participe, pas récupéré ailleurs. Rien d’étonnant à ce que NVIDIA souligne la facilité d’enregistrement : « ShadowPlay enregistre en continu et permet de sauvegarder les dernières minutes » selon l’éditeur. Il reste donc deux jours pour capturer vos actions les plus spectaculaires, soldats.

Valeur estimée et modalités

NVIDIA évalue l’habillage BF6 à 600 dollars (6 dollars en vrai). Les conditions complètes figurent sur Reddit et dans les termes officiels de NVIDIA. Reste à voir si cette approche par stickers deviendra la nouvelle norme des « éditions spéciales » maison.

Bonne nouvelle : la France fait partie des pays éligibles ! Il ne reste plus qu’à passer derrière vos PC et créer vos plus belles scènes pour tenter de remporter la récompense.

Lire aussi : Battlefield REDSEC est disponible : le Battle Royale gratuit qui change tout !

Source : VideoCardz

PNY CS3250 Gen5 : un SSD M.2 jusqu’à 14,9 Go/s pour PC de pointe

Par :Wael.K
29 octobre 2025 à 10:09

Et si le goulot d’étranglement n’était plus le stockage ? PNY officialise le CS3250, un SSD M.2 NVMe PCIe 5.0 x4 qui revendique jusqu’à 14,9 Go/s en lecture et 14 Go/s en écriture, de quoi bousculer les PC haut de gamme orientés IA, jeu et création.

PNY pousse son NVMe Gen5 à 14,9 Go/s

Décliné en 1 To, 2 To et 4 To au format M.2 2280, le CS3250 s’appuie sur l’interface PCIe Gen5 x4 pour des débits séquentiels annoncés à 14 900 Mo/s en lecture et 14 000 Mo/s en écriture (selon capacité).

PNY CS3250 Gen5 SSD M.2 NVMe PCIe 5.0, vitesses jusqu’à 14,9 Go/s, dissipateur aluminium, stockage haute performance PC
PNY CS3250 Gen5 SSD M.2 NVMe PCIe 5.0, jusqu’à 14,9 Go/s, dissipateur compact, stockage haute performance pour PC

PNY le destine clairement aux charges de travail lourdes: generation d’images par IA, jeux AAA recents, montage et transferts volumineux. La marque met aussi en avant un controleur dote d’un revetement thermique cense maintenir les performances sous forte sollicitation et prolonger la duree de vie. L’OEM du controleur n’est pas precise, mais tout porte a croire qu’il s’agit d’un Phison E28.

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Le positionnement est assumé : « conçu pour gérer les applications d’IA modernes » selon PNY, avec l’objectif de réduire les temps de chargement, fluidifier le multitâche et limiter les saccades dans les jeux recourant au streaming d’univers. Rien d’étonnant à ce que le constructeur insiste sur la réactivité et la montée en charge, deux points souvent sensibles sur les SSD Gen5 en usage réel.

Caractéristiques, garantie et capacités

Au programme : interface NVMe PCIe Gen5 x4, format M.2 2280, capacités de 1 To et 2 To, et garantie limitée 5 ans ou endurance au TBW. PNY annonce aussi une version 4 To à venir, sans date précise. Côté expérience, le constructeur promet des chargements plus rapides et un streaming plus fluide en jeu, mais il faudra vérifier en pratique selon les moteurs et la gestion du DirectStorage.

PNY CS3250 Gen5 SSD M.2 NVMe, PCIe 5.0, jusqu’à 14,9 Go/s, dissipateur, stockage haute performance pour PC

Disponibilité et prix : lancement prévu le 28 octobre 2025 pour les modèles 1 To et 2 To. Les tarifs indicatifs sont de 125,99 dollars pour 1 To et 219,99 dollars pour 2 To, soit environ 129 et 219 euros TTC à titre estimatif. La déclinaison 4 To arriverait ultérieurement, d’après PNY.

PNY CS3250 Gen5 SSD M.2 NVMe PCIe 5.0, jusqu’à 14,9 Go/s, stockage haute performance pour PC gaming/desktop

Le dissipateur intégré ne suffira probablement pas à maintenir les pics de débit lors d’un usage soutenu, un travers courant des SSD Gen5. Heureusement, les cartes mères compatibles PCIe 5 disposent en général de tout le nécessaire pour refroidir efficacement ces bêtes. Sur le papier, le CS3250 coche néanmoins toutes les cases d’un stockage très haut débit pour stations créatives et PC gaming modernes.

Source : PNY

Razer Huntsman V3 Pro 8KHz : claviers e-sport ultra-réactifs avec switches analogiques Gen‑2

Par :Wael.K
29 octobre 2025 à 09:57

Razer pousse la réactivité un cran plus haut avec les Huntsman V3 Pro 8KHz, des claviers taillés pour l’e-sport qui misent sur des switches analogiques optiques de nouvelle génération et un polling à 8000 Hz.

Huntsman V3 Pro 8KHz et Tenkeyless : vitesse, précision, sensations

Deux modèles arrivent : un format pleine taille et une version Tenkeyless. Au centre de l’arsenal, les switches analogiques optiques Razer Gen‑2 associés au HyperPolling 8000 Hz. D’après la marque, l’ensemble offrirait des performances 11 % supérieures au concurrent le plus proche, avec une latence mesurée à 0,58 ms.

Clavier Razer Huntsman V3 Pro 8KHz — e-sport, switches analogiques Gen‑2, latence ultra-faible, USB, rétroéclairage RGB

Les interrupteurs proposent une course d’activation réglable de 0,1 à 4,0 mm, le mode Rapid Trigger et la fonction Snap Tap pour changer de direction quasi instantanément et accélérer les réinitialisations, des atouts taillés pour les FPS compétitifs.

Clavier Razer Huntsman V3 Pro 8KHz e-sport, switches optiques analogiques Gen‑2, latence ultra-faible, polling 8000 Hz

Razer précise un calibrage usine pour une gestion des zones mortes de référence, avec une précision de 0,1 mm et une exactitude annoncée 2,5 fois supérieure au plus proche rival. La durabilité grimpe jusqu’à 100 millions d’activations.

Razer Huntsman V3 Pro 8KHz, clavier e-sport, switches analogiques Gen‑2, polling rate 8000 Hz, latence ultra-faible

Côté construction, on retrouve un châssis supérieur en aluminium 5052, une mousse d’insonorisation dense et des stabilisateurs pré-lubrifiés. Les capuchons PBT double-shot texturés et un repose-poignet magnétique en similicuir complètent l’ensemble. L’objectif est clair : une acoustique feutrée et une frappe nette, supportant de longues sessions.

Razer Huntsman V3 Pro 8KHz : clavier e-sport, switches analogiques Gen‑2, polling 8000 Hz, latence ultra-faible

Les deux claviers intègrent une molette numérique cliquable et des boutons dédiés pour piloter médias, macros, hauteur d’activation ou sensibilité du Rapid Trigger à la volée. Un affichage LED embarqué fournit le retour visuel, et tous les réglages se sauvegardent directement dans la mémoire interne, sans logiciel requis.

Clavier gaming Razer Huntsman V3 Pro 8KHz, switches opto-analogiques Gen‑2, taux d’interrogation 8000 Hz, e-sport

Développés avec des pros, pensés pour la compétition

Razer indique avoir travaillé main dans la main avec des joueurs de haut niveau, dont Nikola « NiKo » Kovač, pour affiner la latence, la sensation de frappe et la constance des performances. « Le modèle 8KHz fait passer un cap en précision et fiabilité », résume NiKo. Même son de cloche chez la direction e-sport de Razer, pour qui ce V3 Pro « fixe un nouveau standard de vitesse et de précision ».

Razer Huntsman V3 Pro 8KHz — clavier e-sport, switches opto‑analogiques Gen‑2, polling 8000 Hz, latence ultra-faible

HyperPolling 8000 Hz, switches analogiques Gen‑2 et fonctions avancées comme Snap Tap ou Rapid Trigger composent une base technique ambitieuse. Reste à voir si, en pratique, cet ensemble délivrera un réel avantage mesurable en tournoi, mais il faut dire que la fiche technique coche les attentes des joueurs exigeants.

Razer Snap Tap donne en outre la priorité au dernier appui entre deux touches pour des changements de direction immédiats, sans devoir relâcher la première. Un détail qui peut faire la différence sur une prise de duel décisive.

Lire aussi : [Test] RAZER Huntsman V3 Pro TKL 1Khz : un clavier compact conçu pour les joueurs

Un clavier Esports haut de gamme à 249 €

Le Razer Huntsman V3 Pro Tenkeyless 8 KHz s’affiche à partir de 249 €, un tarif qui le place clairement dans le segment premium. Ce prix s’explique par ses switches optiques analogiques de 2ᵉ génération, son taux de polling de 8 000 Hz et sa conception en aluminium, le tout pensé pour la compétition Esports. Avec le format complet 100 %, le prix grimpe à 279 €. Les variantes blanches ou « Esports Green » ajoutent respectivement 10 € et 20 €.

Source : Razer

Reçu hier — 28 octobre 2025 Pause Hardware

Sound Blaster Re:Imagine : Creative lance un hub audio modulaire sur Kickstarter

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 23:15

Et si la carte son redevenait un centre de contrôle ? Creative annonce Sound Blaster Re:Imagine, un hub audio modulaire qui veut bousculer l’idée même de « carte son » et part aujourd’hui sur Kickstarter.

Un hub audio qui centralise, programme et évolue

Créateur de la mythique Sound Blaster des années 90, Creative Technology lance une plateforme pensée pour les créateurs, joueurs et télétravailleurs. Sound Blaster Re:Imagine accepte PC, Mac, mobiles, consoles, micros, casques, enceintes et instruments, avec un routage entrée/sortie instantané, sans câblage alambiqué.

Hub audio modulaire Creative Sound Blaster Re:Imagine sur Kickstarter, cartes d’extension, DAC, ampli casque, USB-C

Le cœur de l’appareil est modulaire : des modules magnétiques interchangeables (Smart Screens, curseurs, molettes, touches rapides) permettent d’adapter l’interface à l’usage et de la reconfigurer au fil du temps. Chaque bouton est entièrement programmable : macro pour couper un appel, lancer une compilation de code ou déclencher un appareil domotique compatible Matter.

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Côté son, la promesse est de niveau studio : lecture haute résolution en 32 bits/384 kHz, DAC et ampli capables d’alimenter des casques pro comme de grosses enceintes de bureau. Creative ouvre aussi la machine aux développeurs : avec un accès superutilisateur au matériel, ils peuvent créer et partager leurs propres applications pour cette plateforme ouverte.

Creative Sound Blaster Re:Imagine — hub audio modulaire Kickstarter, DAC/AMP USB, entrées/sorties jack, molette volume

La dimension ludique n’est pas oubliée : mini‑apps intégrées avec jeux DOS rétro, visualiseurs audio, un DJ dopé à l’IA, et le retour de mascottes cultes comme Dr. Sbaitso et le perroquet Sound Blaster, réimaginés via IA. Il faut dire que la marque assume l’héritage : « Nous reconfigurons la Sound Blaster en hub modulaire et terrain de jeu créatif », résume Darran Nathan, vice‑président de Creative Technology.

Pourquoi Kickstarter et que propose la campagne ?

Creative revendique plus de 400 millions d’unités Sound Blaster expédiées depuis 1989. Re:Imagine veut, d’après la société, dépasser la simple évolution produit en impliquant directement la communauté via Kickstarter, afin d’orienter la feuille de route comme à l’époque des pionniers du multimédia PC.

Le lancement est prévu le 28 octobre 2025 à 16 h (heure de Paris). Les premiers contributeurs recevront systématiquement le Horizon Base Unit avec Smart Screen et commandes modulaires. Un palier additionnel vise à débloquer le Vertex Base Unit, un châssis plus grand avec davantage d’emplacements d’extension. Reste à voir si la communauté poussera jusqu’à cette version plus ambitieuse.

Creative présente Re:Imagine comme une plateforme ouverte et évolutive, à la croisée du studio et du jeu. Les curieux peuvent découvrir la campagne et ses paliers sur la page Kickstarter dédiée.

Source : TechPowerUp

Sandisk FIFA World Cup 2026 : une gamme officielle pour capturer l’événement

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 23:11

Le Mondial 2026 s’annonce comme l’un des événements les plus capturés de l’histoire, et Sandisk entend être de la partie avec une collection officielle taillée pour l’image et la vidéo.

Sandisk dévoile sa collection officielle FIFA World Cup 2026

La marque lance une série de produits licenciés pour aider fans, créateurs et pros à immortaliser la compétition. Au programme : une clé USB-C en forme de sifflet, un SSD portable, ainsi que des cartes mémoire SD UHS-II et CFexpress Type B. Chaque produit arbore les marquages officiels et des détails inspirés des pays hôtes. « La FIFA World Cup 2026 devrait être l’un des événements les plus capturés et partagés », résume Janet Allgaier, vice-présidente chez Sandisk.

La clé USB-C sifflet sera proposée en éditions globale et pays hôtes (États-Unis, Canada, Mexique), avec une Gold Edition prévue début 2026. Le SSD portable vise les sauvegardes rapides et les transferts sur ordinateur avec jusqu’à 1 To. Les cartes CFexpress Type B et SD UHS-II ciblent la vidéo 4K/8K et les rafales rapides, de quoi couvrir un match du coup d’envoi au coup de sifflet final.

Capacités, prix et disponibilité

Les précommandes ouvrent dès maintenant chez certains revendeurs, ou via notification de disponibilité. Tarifs annoncés aux États-Unis : clé USB-C sifflet 64 Go à 15,99 dollars (environ 15 euros) et 128 Go à 21,99 dollars (environ 21 euros) ; SSD portable 1 To à 109,99 dollars (environ 105 euros) ; carte CFexpress Type B 256 Go à 199,99 dollars (environ 190 euros) ; carte SD UHS-II 128 Go à 129,99 dollars (environ 120 euros). La Gold Edition de la clé USB-C arrivera en 2026, son prix sera communiqué à ce moment.

Sandisk met aussi en avant une conception robuste, pensée pour supporter les déplacements intensifs entre stades et la frénésie des tournages, ce qui, il faut dire, colle bien aux usages attendus pendant la compétition.

Source : sandisk

HPE Mission et Vision : supercalculateurs avec NVIDIA Vera Rubin pour l’IA et la science

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 23:10

Accélérer l’IA tout en musclant la simulation scientifique : HPE et le laboratoire de Los Alamos annoncent « Mission » et « Vision », deux supercalculateurs taillés pour franchir un cap stratégique.

Deux systèmes HPE pour l’ère exascale et l’IA

Hewlett Packard Enterprise a été retenu par le département de l’Énergie américain, la NNSA et le Los Alamos National Laboratory pour livrer deux machines de pointe, baptisées Mission et Vision. Les systèmes s’appuieront sur la nouvelle plateforme HPE Cray Supercomputing GX5000 à refroidissement liquide direct, et sur les futurs superchips NVIDIA Vera Rubin, d’après l’annonce. L’ensemble s’inscrit dans un investissement de 370 millions de dollars (environ 350 millions d’euros) destiné à accélérer la recherche, renforcer l’IA et la sécurité nationale.

HPE supercalculateurs avec NVIDIA pour l’IA et la science, projet Vera Rubin, racks serveurs haute performance

D’après HPE, la GX5000 a été conçue pour l’exascale à l’ère de l’IA, avec des capacités multi‑locataires pour optimiser le débit de recherche et une densité en hausse de 25 % par rapport à la génération précédente. Elle adopte en outre des lames serveur issues de l’Open Compute Project, offrant plus de flexibilité d’intégration au LANL. Le réseau s’appuiera sur NVIDIA Quantum‑X800 InfiniBand, et la partie accélération sur les GPU Vera Rubin.

Le laboratoire met en avant un gain net sur la modélisation, la simulation et l’analyse IA. Mission serait quatre fois plus rapide que Crossroads, l’actuel système du LANL, et doit soutenir les besoins critiques de la NNSA. Vision, de son côté, prolongera l’élan de Venado (également signé HPE), initialement dédié à la recherche non classifiée, avec une nette montée en puissance pour les travaux dopés à l’IA.

Les partenaires martèlent l’enjeu stratégique. Trish Damkroger (HPE) évoque des architectures de nouvelle génération « pour stimuler l’innovation en IA ». Brandon Williams (NNSA) souligne que ces capacités « feront avancer analyses et prédictions cruciales ». Et pour Thom Mason, directeur du LANL, « ces nouveaux systèmes permettront de repousser les limites du calcul scientifique ».

GTC DC et feuille de route

La présentation officielle coïncidera avec NVIDIA GTC DC, où le DOE, la NNSA, le LANL, HPE et NVIDIA détailleront les capacités et l’ambition : accélérer la recherche, l’IA générative et la sécurité. Il faut dire que Los Alamos n’en est pas à son coup d’essai, et rien d’étonnant à ce que le duo HPE‑NVIDIA serve de rampe pour cette nouvelle génération.

Source : TechPowerUp

Supermicro renforce son alliance avec NVIDIA et vise des systèmes IA fabriqués aux États‑Unis

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 23:08

Supermicro met l’accent sur des serveurs fabriqués aux États‑Unis et déroule, avec NVIDIA, une feuille de route taillée pour les exigences fédérales.

Supermicro muscle son offre IA pour le secteur public américain

À l’occasion de NVIDIA GTC à Washington, Supermicro a dévoilé une série de plateformes IA destinées aux workloads critiques du gouvernement américain : cybersécurité, ingénierie, santé, analytique et simulation. Le constructeur annonce pour 2026 les plateformes NVIDIA Vera Rubin NVL144 et Vera Rubin NVL144 CPX, présentées comme la prochaine marche en entraînement et inférence. « Notre collaboration élargie avec NVIDIA et notre fabrication aux États‑Unis nous positionnent comme un partenaire de confiance », affirme Charles Liang, PDG de Supermicro.

Le cœur de l’offre s’appuie sur les dernières briques NVIDIA : HGX B300 et B200, GB300 et GB200, ainsi que les RTX PRO 6000 Blackwell Server Edition. Objectif : des performances et une efficacité accrues, avec une évolutivité pensée pour des déploiements rack‑scale. Supermicro met en avant la conformité TAA et l’éligibilité Buy American Act : conception, intégration et validation ont lieu à San Jose, un atout pour la sécurité d’approvisionnement et la traçabilité.

Parmi les nouveautés, un serveur 2OU HGX B300 à 8 GPU adopte une approche OCP rack‑scale. Il peut aligner jusqu’à 144 GPU par rack, de quoi répondre aux besoins d’entraînement massif en data centers gouvernementaux. Le constructeur indique aussi optimiser son portefeuille pour le référentiel NVIDIA AI Factory for Government, une architecture de référence couvrant déploiement on‑prem et hybride en conformité avec les organisations à haut niveau d’assurance.

Super AI Station et NVL4 : du bureau au rack

Supermicro lance la Super AI Station ARS-511GD-NB-LCC, une station liquid‑cooling qui transpose le Superchip NVIDIA GB300 dans un format bureaux ou rack. Selon Supermicro, elle peut atteindre jusqu’à 20 PFLOPS IA, supporter des modèles jusqu’à 1 000 milliards de paramètres, et offrir plus de 5× les performances IA d’une station PCIe traditionnelle. On y trouve jusqu’à 784 Go de mémoire cohérente, un SuperNIC ConnectX‑8 intégré, un bloc d’alimentation 1 600 W compatible prises standard et une option GPU PCIe additionnelle pour le rendu.

Côté data center, la plateforme ARS-121GL-NB2B-LCC NVL4 est désormais disponible pour le HPC et l’IA scientifique : 4 GPU Blackwell B200 reliés en NVLink et deux CPU NVIDIA Grace unifiés via NVLink‑C2C. Jusqu’à 32 nœuds par rack peuvent être interconnectés en ConnectX‑8 pour offrir jusqu’à 800G par GPU. Le tout prend place dans un rack MGX 48U pouvant accueillir jusqu’à 128 GPU, avec alimentation par busbar et refroidissement liquide direct‑to‑chip, via CDU en rack ou en allée.

Accélération réseau : Supermicro prévoit l’intégration des récents NVIDIA BlueField‑4 DPU et ConnectX‑9 SuperNIC pour des « gigafactories » d’IA. Grâce à son design modulaire, la marque entend réduire le temps d’ingénierie et accélérer la mise sur le marché, une approche qui vise explicitement les clusters de prochaine génération.

Enfin, le portefeuille s’élargit avec la Super AI Station sur base GB300 et des solutions GB200 NVL4 à l’échelle du rack, le tout optimisé pour les environnements fédéraux. Reste à voir si ces systèmes, annoncés avec des densités et performances élevées, répondront sur la durée aux contraintes de sécurité, de disponibilité et de coûts imposées par les agences américaines.

Source : TechPowerUp

Endorfy Arx 500 White ARGB : un boîtier blanc spacieux livré avec 4 ventilateurs

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 20:29

Un boîtier blanc qui ne sacrifie ni le flux d’air ni la sobriété. Endorfy élargit sa gamme avec l’Arx 500 White ARGB, une déclinaison compacte et cohérente de son modèle phare, l’Arx 700 ARGB, désormais disponible lui aussi en version blanche.

Arx 500 White ARGB : compacité, airflow et cohérence visuelle

Après l’Arx 500 noir, la marque dévoile une version blanche soignée de son moyen tour. D’après Endorfy, l’« attention portée aux nuances de blanc » garantit un rendu homogène dès la sortie de boîte et dans le temps. Le châssis mise sur des panneaux avant et supérieur largement perforés pour favoriser la ventilation tout en retenant la poussière, avec une vitre latérale en verre trempé pour l’aspect vitrine.

Endorfy Arx 500 White ARGB : boîtier PC blanc spacieux, panneau mesh, 4 ventilateurs ARGB préinstallés, airflow optimisé

Côté capacité, l’intérieur accepte des cartes mères ATX, microATX et Mini‑ITX, jusqu’à sept ventilateurs et des radiateurs de 360 mm. Il faut dire que l’équipement de série est généreux : quatre Stratus 140 White PWM ARGB, conçus avec Synergy Cooling, sont préinstallés. Leur plage de 200 à 1 400 tr/min promet un compromis entre débit d’air et discrétion.

Endorfy Arx 500 White ARGB : boîtier PC blanc spacieux, panneau mesh, airflow optimisé, 4 ventilateurs ARGB inclus

Connectique moderne et disponibilité

Le panneau I/O en façade intègre un USB‑C 3.2 Gen 2 pour des transferts rapides et un accès pratique aux périphériques. L’Arx 500 White ARGB s’inscrit ainsi dans la philosophie de la famille Arx, mêlant performance, espace maîtrisé et design discret. « Technologie à l’état pur » résume la marque, qui entend proposer un écosystème Endorfy visuellement cohérent.

Endorfy Arx 500 White ARGB : boîtier PC blanc spacieux, 4 ventilateurs ARGB, airflow optimisé, grand format ATX
Boîtier PC Endorfy Arx 500 White ARGB, grand format, façade mesh, 4 ventilateurs ARGB préinstallés, airflow optimisé
Endorfy Arx 500 White ARGB, boîtier PC blanc spacieux avec 4 ventilateurs ARGB, airflow optimisé, panneau mesh
Boîtier PC Endorfy Arx 500 White ARGB, châssis blanc spacieux avec 4 ventilateurs ARGB, airflow mesh, gestion câbles propre
Boîtier PC Endorfy Arx 500 White ARGB spacieux, panneau mesh, 4 ventilateurs ARGB préinstallés, airflow optimisé
Boîtier PC Endorfy Arx 500 White ARGB, blanc spacieux, panneau verre trempé, 4 ventilateurs ARGB préinstallés

Référencé EY2A018, le boîtier est disponible à 115 €. Reste à voir si cette approche équilibrée séduira autant les créateurs que les joueurs à la recherche d’un flux d’air musclé et d’une esthétique blanche uniforme.

OneXFly Apex Ryzen AI MAX+ : console portable Strix Halo avec watercooling et batterie externe

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 15:56

Watercooling sur une console portable, vraiment ? OneXPlayer mise gros avec la OneXFly Apex et son module de refroidissement liquide externe, une première sur ce segment selon la marque.

Strix Halo, refroidissement liquide et grosse batterie externe

OneXPlayer s’aligne sur le très haut de gamme en adoptant les processeurs AMD Strix Halo, une plateforme jusqu’ici réservée à des mini PC à plus de 1 500 dollars. La OneXFly Apex devra croiser le fer avec GPD et AYANEO, même si leurs modèles équivalents n’ont pas encore été lancés à grande échelle.

Console portable OneXfly Apex avec joysticks et grand écran, design noir, présentation produit pour news processeurs Ryzen AI

Particularité majeure, la console peut se connecter à un module de refroidissement liquide inspiré des PC portables gaming. Avec ce système, le TDP grimperait jusqu’à 120 W ; en simple aircooling, OneXPlayer annonce une tenue à 80 W, déjà bien au-dessus de la plupart des concurrentes.

Vue de la console portable OneXPlayer OneXfly Apex équipée du Ryzen AI MAX 395, montrant l’écran et les commandes en gros pla
OneXfly Apex avec Ryzen AI MAX 395

Côté performances, le constructeur affirme que son mode 80 W surpasse un Ryzen Z2 Extreme à 35 W de 125 à 138 % à 1080p en réglages Ultra. Les scores 3DMark Time Spy ont été évoqués, mais sans détails chiffrés complets. Prudence donc sur l’extrapolation.

Console portable OneXPlayer OneXFly Apex avec puce Ryzen AI MAX 395, vue de face, design noir et sticks analogiques éclairés.

La machine pousse la mémoire jusqu’à 128 Go de LPDDR5X, une option également envisagée chez GPD Win 5. OneXPlayer avance que cette capacité permet de faire tourner des « AAA et des modèles IA 70B paramètres ». Rien d’étonnant à ce que l’IA soit mise en avant, même si, il faut le dire, un handheld n’est pas l’environnement idéal pour l’inférence lourde. Jusqu’à 96 Go de VRAM adressable sont mentionnés.

Vue rapprochée de la OneXPlayer OneXfly Apex avec puce Ryzen AI MAX 395, montrant le design du handheld et ses commandes.

L’approche énergétique suit la tendance du moment : batterie externe. Comme AYANEO, OneXPlayer opte pour un pack détachable de 85 Wh, légèrement au-dessus des 80 Wh du GPD Win 5. Avantage, la console s’allège en main ; inconvénient, l’encombrement hors sac. L’écran s’étend à 8 pouces, 120 Hz, avec prise en charge du VRR et une orientation paysage native.

Vue du handheld OneXPlayer OneXfly Apex avec Ryzen AI MAX 395, design compact, boutons ABXY et sticks, image complementaire 1

Le stockage est soigné : un slot M.2 2280 PCIe 4.0, un Mini-SSD PCIe 4.0, plus un lecteur microSD jusqu’à 2 To, pour une capacité cumulée potentielle annoncée de 8 To. De quoi concilier jeux, multimédia et gros modèles locaux, si besoin.

Console portable OneXPlayer OneXfly Apex avec Ryzen AI MAX+ 395, design noir, sticks asymétriques et grand écran affiché en g

Logiciels, prix et positionnement

Console portable OneXPlayer OneXfly Apex avec puce Ryzen AI MAX 395, vue de face montrant l’écran, les sticks et boutons RGB.

La marque met en avant une fonction de gel des jeux afin de libérer des ressources ponctuellement, ainsi qu’un utilitaire HandyKit servant de hub pour des raccourcis Windows basiques comme le verrouillage d’écran. La présentation recycle l’argumentaire habituel : station de travail portable, PC Windows complet, console de jeu. Reste à voir si l’écosystème suivra.

Console portable OneXPlayer OneXfly Apex avec puce Ryzen AI MAX 395, vue de face affichant l’écran et les contrôles, design n
OneXfly Apex équipée du Ryzen AI MAX 395
Console portable OneXPlayer OneXfly Apex sous Ryzen AI MAX 395, grand écran central, manettes intégrées et design noir.
OneXfly Apex équipée du Ryzen AI MAX 395
Vue rapprochée de la console portable OneXPlayer OneXfly Apex équipée du Ryzen AI MAX 395, mettant en avant ses commandes et
OneXfly Apex sous Ryzen AI MAX 395

Selon OneXPlayer, la gamme débute à 1 200 dollars pour la version MAX 385 avec 32 Go de RAM (environ 1 110 à 1 150 euros hors taxes selon le taux). Les modèles supérieurs grimperaient jusqu’à 2 220 dollars. Il s’agirait de tarifs pour le marché chinois ; en Europe, il faudra probablement compter la TVA et les frais d’import. La marque souligne qu’à ce tarif d’entrée, la machine proposerait deux fois plus d’unités de calcul GPU (32 CU RDNA 3.5) qu’une console plus abordable mais moins rapide. « Ce n’est pas le prix global officiel », prévient-elle.

Face à GPD Win 5 et AYANEO Next 2, la OneXFly Apex joue la carte de la puissance brute et de la modularité. Il semblerait que le match se jouera autant sur la dissipation et l’autonomie que sur la qualité logicielle.

Source : VideoCardz

Klevv Urbane V RGB DDR5 : une édition Jet Black rejoint la gamme

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 11:50

Nouvelle teinte pour une vieille connaissance : Klevv habille sa mémoire URBANE V RGB DDR5 d’un jet black élégant, une variante qui vise autant les configurations gaming que les stations de création compactes.

Une finition noire, même recette technique

La série URBANE V RGB conserve son dissipateur en aluminium de 2 mm, ses arêtes arrondies et ses fines rainures usinées pour la dissipation. Sa hauteur limitée à 42,5 mm facilite l’installation sous de gros ventirads. Côté éclairage, le guide lumineux à double faisceau diffuse une RGB personnalisable sur 16 millions de couleurs, compatible avec les logiciels des principaux constructeurs de cartes mères. Le design, déjà primé par l’iF Design Award, gagne ici une robe noire pensée pour les setups modernes.

UrbaneV rgb bg black pad
Klevv Urbane V RGB DDR5

Sur le plan des performances, Klevv annonce des fréquences jusqu’à 8400 MT/s en DDR5, avec des kits double canal jusqu’à 64 Go. On retrouve un PCB 10 couches, l’ECC on-die et un PMIC pour la stabilité, le tout validé QVL. La marque propose une édition Optimized for AMD dédiée aux plateformes rouges, et une édition « Universal » compatible à la fois avec les processeurs Intel de 15e génération et les Ryzen 9000. D’après Klevv, ce positionnement vise « des performances de pointe sans sacrifier l’esthétique ».

UrbaneV design bg pad hauteur

Disponibilité et distribution

La gamme URBANE V RGB, Jet Black compris, profite d’une garantie limitée à vie et une disponibilité est prévue au T4 2025. Côté canaux, Klevv s’appuie sur Integral Memory plc et M2M Direct au Royaume-Uni et en Europe voisine, Com International en Australie, et sur Amazon US pour les États-Unis. Reste à voir si cette finition noire séduira les monteurs cherchant une esthétique uniforme sans compromis thermiques.

Source : Klevv

microSD Express Samsung P9 Express : jusqu’à 800 Mo/s et prête pour la Switch 2

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 11:42

La prochaine vague de cartes mémoire pour joueurs nommades se précise : Samsung officialise la P9 Express, une microSD Express pensée pour les consoles et les usages pro exigeants.

microSD Express P9 Express : PCIe, NVMe et jusqu’à 800 Mo/s

Basée sur l’interface PCIe et le protocole NVMe du standard SD Express, la P9 Express vise des débits séquentiels annoncés jusqu’à 800 Mo/s, soit jusqu’à quatre fois plus rapides que les cartes UHS-I classiques, d’après Samsung. La marque met clairement l’accent sur le jeu vidéo et cite une optimisation pour les plateformes majeures, dont les ROG Xbox Ally et Xbox Ally X et la Nintendo Switch 2. Rien d’étonnant à ce que la capacité suive : 256 et 512 Go pour accueillir bibliothèques et DLC sans jongler avec l’espace interne.

samsung p9 express

La carte embarque le Host Memory Buffer (HMB) afin d’exploiter la mémoire de l’hôte pour accélérer les accès, ainsi que le Dynamic Thermal Guard (DTG), une gestion thermique issue des SSD maison. Selon Samsung, cette combinaison permet « une expérience fluide comparable à un stockage interne », y compris lors de longues sessions. À noter : les débits maximums sont atteignables avec une interface SD Express dédiée.

Carte microSD Express Samsung P9 Express, vitesse jusqu’à 800 Mo/s, compatible Switch 2, stockage haute performance

Côté robustesse, le constructeur liste des protections contre l’immersion, les températures extrêmes, les rayons X, les chutes, la poussière et la pression. De quoi sécuriser sauvegardes et médias lourds pour les créateurs qui transfèrent régulièrement vers PC, portable ou station de travail.

Carte microSD Express Samsung P9 Express, vitesse jusqu’à 800 Mo/s, compatible Switch 2, stockage haute performance

Pour qui et à quel prix ?

La P9 Express cible autant les joueurs console multi-profils que les pros de l’image qui éditent, rendent et gèrent de gros fichiers. Il faut dire que les vitesses annoncées et le NVMe en font une solution charnière entre carte mémoire et SSD externe, à condition de disposer du lecteur compatible SD Express.

samsung p9 express use cases

Les modèles 256 et 512 Go arriveront en novembre au tarif conseillé de 58,59 £ et 99,99 £. En conversion indicative, comptez environ 68 € et 116 € selon le cours du jour, soit 20 € de plus que la carte SanDisk microSD Card for ROG Xbox Ally (512 Go) vendue à 94,99 €. Reste à voir si les prix en euros suivront et comment les performances se maintiendront en usage réel sur les consoles compatibles.

Source : Samsung

RTX 4090 mobile shunt mod : un portable approche les performances d’un RTX 5090 mobile pour moitié prix

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 08:43

Faire grimper un portable avec une RTX 4090 mobile au niveau d’une RTX 5090 (mobile aussi) sans exploser le budget ? Il semblerait que oui, à condition d’oser le shunt mod et d’accepter les risques.

Un mod matériel qui contourne la limite de puissance

D’après un utilisateur Reddit, acheter aujourd’hui un portable équipé d’une RTX 4090 autour de 1 600 dollars (environ 1 500 euros) et le modifier peut offrir des performances proches d’un modèle RTX 5090, vendu à partir de 3 500 dollars (environ 3 300 euros).

Ordinateur portable gaming avec carte RTX 4090 modifiée par shunt, benchmarks à l’écran, visant des performances proches d’un
RTX 4090 shunt-mod en test sur laptop

La clé : ajouter une résistance shunt de 1 mΩ par-dessus la résistance de 5 mΩ déjà en place. Cette modification amène le GPU à rapporter une consommation plus faible, ce qui évite d’atteindre les limites de puissance définies dans le BIOS et maintient des fréquences élevées.

Comme le résume la source, « le mod ne nécessitait que l’ajout d’une résistance de 1 mΩ », signé par le Redditor « thatavidreadertrue ». Il faut dire que la manœuvre reste réservée aux bricoleurs expérimentés et, idéalement, à une machine hors garantie.

Gros plan d’un laptop gaming équipé d’une RTX 4090, montrant un shunt mod sur la carte pour augmenter la puissance et approch

On perd toutefois l’accès natif au Multi-Frame Generation des GeForce RTX 50. En revanche, Intel prépare un équivalent interconstructeurs qui pourrait combler ce manque une fois disponible.

Chaleur en hausse, refroidissement à soigner

Augmenter la puissance GPU a un coût thermique : les températures grimpent, et les châssis fins comme les Zephyrus n’ont pas de marge magique. Il est conseillé de repaster, d’améliorer les pads thermiques et, plus largement, d’optimiser le flux d’air. Ces opérations restent abordables pour qui a un peu de temps et d’expérience, mais elles ne transforment pas un design trop mince en station de refroidissement.

Reste à voir si cette approche deviendra un bon plan durable. Le ratio prix-perf est séduisant, mais le risque matériel, la perte de garantie et les contraintes thermiques imposent de bien peser le pour et le contre.

Source : VideoCardz

DDR5 RCD04 Gen 4 : Montage lance la production de masse à 7200 MT/s

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 08:34

Cap sur la DDR5 hautes performances : Montage Technology démarre la production de masse de son RCD04 Gen 4, une brique clé pour booster la mémoire des serveurs.

RCD04 Gen 4 : 7200 MT/s et gains d’efficacité pour les data centers

Le spécialiste des interfaces mémoire annonce la mise en production de son nouveau Registering Clock Driver DDR5, le RCD04. Ce composant, central dans les barrettes RDIMM des serveurs et plateformes cloud, atteint jusqu’à 7200 MT/s, soit un bond de plus de 12,5 % par rapport à la génération précédente.

D’après Montage, l’adoption d’une architecture de gestion d’alimentation repensée et de techniques avancées de traitement du signal permet non seulement d’augmenter le débit, mais aussi d’améliorer l’efficacité énergétique et l’intégrité du signal. De quoi viser une exploitation plus stable et plus efficiente des grands centres de données.

Module mémoire DDR5 RCD04 Gen 4 à 7200 MT/s par Montage, composants DRAM haute vitesse pour serveurs/PC

« La production de masse du RCD04 démontre notre expertise technique en conception de puces haut de gamme », déclare Stephen Tai, président de Montage Technology, ajoutant que l’objectif est de « dépasser les goulots d’étranglement des interfaces mémoire ».

Cap sur le déploiement commercial avec l’écosystème serveur

Module DDR5 RCD04 Gen 4 Montage en production de masse, 7200 MT/s, mémoire serveur haute performance

La société entend renforcer ses collaborations avec les fabricants mondiaux de serveurs et de modules mémoire pour accélérer l’intégration de la DDR5 Gen 4 dans les produits à venir. Il faut dire que ces avancées posent les bases des prochaines générations d’infrastructures cloud et de data centers, où la bande passante mémoire et la consommation restent des leviers critiques.

Source : Montage

Open Chiplet Atlas de Tenstorrent veut standardiser les chiplets et accélérer l’innovation

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 08:31

Et si les SoC cessaient d’être des blocs monolithiques pour devenir des ensembles modulaires vraiment compatibles entre eux ? Tenstorrent lance Open Chiplet Atlas, un écosystème ouvert censé rendre les chiplets « plug and play » et réduire les coûts de conception.

Un standard ouvert pour des chiplets interopérables

Présenté à San Francisco, l’écosystème OCA veut démocratiser le design de semi-conducteurs en s’attaquant au talon d’Achille du secteur : la complexité et le coût des SoC monolithiques. L’initiative définit une solution complète d’interopérabilité couvrant cinq couches : physique, transport, protocole, système et logiciel. La spécification OCA Architecture est ouverte, modulable, neutre vis-à-vis des ISA et des blocs IP, et vise à éviter tout verrouillage fournisseur.

Open Chiplet Atlas de Tenstorrent: standardisation des chiplets, interconnexion modulaire, écosystème matériel open-source

Selon Tenstorrent, plus de 50 partenaires ont déjà rejoint l’initiative, des acteurs des semi-conducteurs à de grands groupes, en passant par le monde académique. La version brouillon v0.7 de la spécification est disponible pour revue publique sur le site officiel. L’objectif est clair : offrir plus de flexibilité de conception et réduire le time-to-market, qu’il s’agisse d’accélérateurs IA hautes performances ou de puces pour l’automobile et les data centers.

Schéma tech Tenstorrent Open Chiplet Atlas : standardisation des chiplets, interconnexions, modularité CPU/GPU/AI

Wei-han Lien, architecte en chef chez Tenstorrent, résume l’ambition : « le futur du silicium est hétérogène et composable ». Il faut dire que la promesse d’assembler des chiplets de plusieurs fournisseurs attire : l’écosystème se veut collaboratif et sans redevance, avec transparence sur spécifications et frameworks.

Trois piliers : architecture, harness et conformité

OCA s’appuie sur trois composantes : d’abord une architecture ouverte qui formalise l’interopérabilité sur les cinq couches mentionnées. Ensuite un harness open source réutilisable, qui regroupe toute la logique non applicative d’un chiplet pour que les concepteurs se concentrent sur leur valeur ajoutée, avec interopérabilité assurée par défaut. Enfin, un programme de conformité comprenant vérification pré-silicium, validation post-silicium, un « Golden Chiplet » de test et des « Plugfests » communautaires.

L’initiative reçoit le soutien d’industriels comme AIDC, AheadComputing, Axelera AI, Baya Systems, BOS Semiconductors, CoAsia SEMI, ITRI, Lanxin Computing, LG, Preferred Networks, Rapidus, Semidynamics, SKAIChips, ThunderSoft et VeriSilicon. Côté recherche, le Barcelona Supercomputing Center et des académiques de Shanghai Jiao Tong University, HKUST, Oxford, UC Riverside et l’Université de Tokyo sont cités parmi les contributeurs.

Les prises de position reflètent des attentes variées. Pour l’automobile, BOS rappelle la nécessité d’un écosystème durable et rétrocompatible sur plus de quinze ans. Le BSC y voit un moyen pratique d’activer l’hétérogénéité de calcul et conseille d’aller vite avec un noyau dur de partenaires. Du côté des fondeurs, Rapidus insiste sur la valeur d’une interopérabilité réelle afin de simplifier l’intégration physique et permettre de « mixer » des chiplets de divers fournisseurs.

Reste à voir si l’élan communautaire suffira à imposer ce standard face aux approches propriétaires. Si OCA tient ses promesses, l’assemblage de chiplets multimarques pourrait devenir une pratique courante, avec à la clé des coûts réduits et un rythme d’innovation plus soutenu.

Source : TechPowerUp

God of War : un projet multijoueur secret ramenait Kratos en Grèce antique

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 08:25

Retour à l’Olympe avorté pour Kratos : des captures d’écran dévoilées par MP1st laissent entrevoir un God of War multijoueur situé en Grèce antique, un projet aujourd’hui abandonné.

Un prototype multijoueur avant God of War 3, signé Bluepoint

D’après les sources d’MP1st, Sony travaillait sur un God of War multijoueur qui se déroulerait avant les événements de God of War 3. Un indice pèse lourd : Hadès y serait encore actif dans l’intrigue. Le développement aurait été confié à Bluepoint Games, le studio derrière Demon’s Souls et plusieurs remasters notables sur console, dont Titanfall sur Xbox 360.

Capture d’écran jeu God of War annulé multijoueur, fuite images; résolution HD, format JPEG, ratio 16:9, rendu graphique

Les images, issues d’une version très précoce, montrent des halls, salles et cavernes pensés pour accueillir plusieurs joueurs. Elles suggèrent un retour assumé à la Grèce antique, ou à une région passée sous domination grecque. Il faut dire que l’orientation multijoueur transparaît dans l’architecture même des niveaux, avec des espaces vastes et des axes de circulation multiples.

Un mélange d’assets et des zones encore floues

Fuite God of War annulé: captures multijoueur, retour Grèce antique — moteur jeu, textures HD, rendu temps réel

Autre détail relevé par MP1st : certains éléments visuels rappellent la période nordique du reboot de 2018, avec des armes et statues au style familier. Reste à voir s’il s’agit de simples éléments provisoires, réutilisés en attendant des modèles dédiés, ou d’un véritable parti pris artistique. À ce stade, la forme exacte du multijoueur demeure inconnue, tout comme ses mécaniques. MP1st résume la situation ainsi : « les captures montrent un retour à la Grèce antique, mais beaucoup reste à confirmer ».

Le projet n’a jamais été officialisé et semble avoir été stoppé très tôt. Rien d’étonnant à ce que les captures portent les marques d’un chantier en cours, entre réemplois d’assets et volumes de test. Bluepoint Games n’a pas commenté ces fuites.

Capture d’écran tech: God of War multijoueur annulé, leak images Grèce antique – tags jeu vidéo, moteur 3D, assets, build debug

Source : TechPowerUp

MSI GeForce RTX 5050 Inspire ITX : compactes, mais pas timides

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 08:19

MSI pousse encore le format mini avec deux GeForce RTX 5050 Inspire ITX taillées pour les boîtiers compacts. Il faut dire que la marque affine sa recette SFF tout en conservant un refroidissement simple et maîtrisé.

RTX 5050 Inspire ITX et ITX OC : compactes, double slot, et 130 W

MSI officialise les RTX 5050 Inspire ITX et Inspire ITX OC, deux modèles au format identique à la récente 5060 ITX : 147 × 120 × 45 mm, double slot, un seul ventilateur Torx Fan 5.0 et un unique heatpipe. Le tout est alimenté par un connecteur 8 broches, avec une consommation annoncée de 130 W.

MSI GeForce RTX 5050 Inspire ITX double ventilateur, cartes graphiques compactes SFF pour mini‑PC, design noir, PCIe

La différence se joue sur la fréquence. D’après MSI, la version standard culmine à 2 587 MHz en mode Extreme Performance (2 572 MHz en boost « régulier »), tandis que la version OC grimpe à 2 617 MHz en Extreme Performance et 2 602 MHz en boost normal. Rien d’étonnant à ce que l’OC se contente d’un léger surplus, le refroidissement restant minimaliste.

MSI GeForce RTX 5050 Inspire ITX : cartes graphiques compactes SFF, double ventilateur, design noir, PCIe pour mini-PC

Côté sorties, les deux cartes proposent trois DisplayPort 2.1b et un HDMI 2.1b, de quoi couvrir la plupart des scénarios multi-écrans modernes. Les profils Gaming et Silent sont sélectionnables dans MSI Center, et les réglages fins se font via MSI Afterburner. « Les utilisateurs peuvent basculer entre Gaming et Silent », précise la fiche, tout en laissant la porte ouverte à l’overclocking.

MSI GeForce RTX 5050 Inspire ITX : cartes graphiques compactes SFF, double ventilateur, design noir, format mini-ITX

Pensées pour les builds ITX

Le gabarit réduit et le TGP contenu visent clairement les PC SFF où chaque millimètre compte. En revanche, MSI ne communique pas encore de prix pour ces RTX 5050 Inspire ITX. Reste à voir si le positionnement tarifaire suivra la promesse d’un GPU compact et sobre à intégrer.

A lire : Test de la NVIDIA GeForce RTX 5050 : l’entrée de gamme Blackwell frappe fort

Source : TechPowerUp

PS Plus novembre 2025 : Stray serait le premier jeu mensuel gratuit à récupérer

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 08:09

Stray ferait son retour chez les abonnés PlayStation Plus dès novembre : un joli coup si l’information se confirme.

Stray en tête d’affiche des jeux mensuels de novembre

Selon des fuites relayées par Dealabs, Stray serait le premier jeu mensuel gratuit du PS Plus à partir du 4 novembre. Il suffirait de l’ajouter à sa bibliothèque ce mois-là pour le conserver, tant que l’abonnement reste actif. TechPowerUp rappelle d’ailleurs que « il sera disponible à réclamer à partir du 4 novembre » d’après ces indiscrétions.

PS Plus novembre 2025 : Stray en jeu mensuel gratuit – actu gaming, PlayStation, services en ligne, abonnement

Sorti en 2022 sur PS5, PS4 et PC, puis porté sur Xbox Series X|S, macOS et Nintendo Switch, Stray est une aventure solo où un chat roux explore une cité cyberpunk souterraine habitée par des robots. Le gameplay repose sur des mécaniques de puzzle-plateforme, avec un accent sur les énigmes environnementales.

Deux autres jeux encore inconnus

D’après les mêmes fuites, Stray serait le titre phare du mois et serait accompagné de deux autres jeux gratuits, non dévoilés pour l’instant. Le félin cyberpunk avait déjà figuré dans le catalogue PS Plus avant d’en sortir lors de son lancement sur Xbox, il faut dire que son retour dans la sélection mensuelle ne surprendrait pas.

Reste à voir si Sony confirmera rapidement cette liste. En attendant, les abonnés ont tout intérêt à surveiller l’ouverture des réclamations dès le 4 novembre.

Source : TechPowerUp

Halo Campaign Evolved et l’IA : le directeur clarifie, pas de mandat ni automatisation

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 07:58

Le débat prend de l’ampleur, mais la mise au point est claire : Halo : Campaign Evolved n’est pas conçu sous la houlette d’une intelligence artificielle. Xbox comme l’équipe de développement assurent que la créativité humaine reste au cœur du projet.

Pourtant, difficile d’ignorer les signaux faibles : le jour où l’IA deviendra co-éditrice de jeux vidéo semble se rapprocher, à en juger par les initiatives d’éditeurs comme Electronic Arts, déjà engagés dans un partenariat avec Stability AI et le déploiement d’outils internes basés sur l’automatisation.

Halo, IA et soupçons : Xbox répond, les développeurs précisent

À la suite d’un entretien de Rolling Stone évoquant l’usage d’outils d’IA au sein d’Halo Studios, certains fans ont conclu que le remake de Halo : Combat Evolved s’appuyait largement sur des modèles génératifs. La mention par Greg Hermann de « la place grandissante de l’IA dans l’outillage » a nourri cette idée, dans un climat où l’industrie multiplie les annonces sur le sujet.

Bannière Halo Campaign Evolved – clarification IA, pas d’automatisation; actualité tech, gaming, développement logiciel

En réaction, un représentant Xbox a corrigé le tir auprès de Rolling Stone : « Il n’y a aucun mandat d’utiliser l’IA générative dans notre développement, y compris pour Halo : Campaign Evolved ». Le directeur du jeu avait déjà insisté : l’IA sert d’appui pour fluidifier des workflows, « le développement reste porté par l’étincelle créative des gens », dit-il.

Il faut dire que le contexte n’aide pas. EA et Krafton ont récemment communiqué sur un recours accru aux modèles génératifs, y compris pour des processus internes plus larges. Rien d’étonnant à ce que la communauté s’inquiète : d’après de nombreuses discussions en ligne, la confiance envers les studios vacille dès que l’IA s’invite dans la chaîne de production.

Un outil, pas une directive

D’après Xbox, il semblerait que l’IA soit cantonnée à l’assistance : optimisation de tâches ou prototypage, sans obligation généralisée. En revanche, la communication restera scrutée : reste à voir si cette position apaisera les craintes autour de Halo : Campaign Evolved et, plus largement, de l’usage de l’IA dans le jeu vidéo.

Source : TechPowerUp

Reçu avant avant-hier Pause Hardware

Qualcomm AI200 et AI250 : des cartes et racks IA pour l’inférence à l’échelle data center

Par :Wael.K
27 octobre 2025 à 20:21

Qualcomm muscle son offensive dans l’inférence IA en data center avec deux nouvelles plateformes, AI200 et AI250, pensées pour exécuter des modèles géants à coût maîtrisé et à l’échelle du rack.

AI200 et AI250 : l’inférence à l’échelle du rack, mémoire en tête

La société annonce des cartes et des racks d’accélération optimisés pour l’inférence, bâtis sur son expertise NPU. L’AI200 cible un coût total de possession réduit et des charges LLM et multimodales grâce à 768 Go de LPDDR par carte, un choix qui maximise la capacité mémoire tout en comprimant les coûts.

L’AI250, lui, inaugure une architecture mémoire « near-memory computing », avec à la clé, d’après Qualcomm, un bond générationnel d’efficacité : plus de 10 fois de bande passante mémoire effective et une consommation en baisse pour les workloads d’inférence.

Cartes IA Qualcomm AI200/AI250 en rack data center, modules accélération inference, PCIe, refroidissement actif

Les deux racks partagent plusieurs fondamentaux d’infrastructure : refroidissement liquide direct pour l’efficacité thermique, PCIe pour le scale-up, Ethernet pour le scale-out, calcul confidentiel pour sécuriser les charges IA, et une enveloppe de 160 kW par rack.

Comme le résume Durga Malladi, SVP & GM chez Qualcomm, « nous redéfinissons l’inférence IA à l’échelle du rack ». Reste à voir si ces promesses se traduiront par des déploiements concrets chez les hyperscalers.

Logiciels, intégration et calendrier

Côté logiciel, Qualcomm met en avant une pile de niveau hyperscaler, de l’application au système, optimisée pour l’inférence et compatible avec les frameworks majeurs. Le constructeur évoque une intégration fluide des modèles, y compris un déploiement en un clic des modèles Hugging Face via sa librairie Efficient Transformers et la Qualcomm AI Inference Suite. S’ajoutent des outils, bibliothèques, API et services pour opérationnaliser des agents et applications IA.

Sur la disponibilité, l’AI200 est attendu commercialement en 2026, et l’AI250 en 2027. Qualcomm promet un rythme annuel sur sa feuille de route data center, avec un focus sur la performance d’inférence, l’efficacité énergétique et un TCO compétitif. Il faut dire que la pression du marché des modèles génératifs impose cadence et transparence.

Lire auss : Silicon Box : 100 millions d’unités prouvent que le panel-level packaging est prêt pour l’IA

Source : TechPowerUp

Battlefield REDSEC est disponible : le Battle Royale gratuit qui change tout !

Par :Wael.K
28 octobre 2025 à 16:40

Finis les rumeurs c’est désormais officiel : Battlefield REDSEC vient de sortir en meme temps que saison 1 de Battlefield 6. Le Battle Royale gratuit est jouable dès maintenant gratuitement sur PC, PlayStation 5 et Xbox Series X|S.

Après des mois de teasing et de fuites, EA lève enfin le voile sur son Battle Royale qui promet de bousculer les codes du genre avec un cercle mortel instantané et la destruction tactique signature de la série.

Fort Lyndon : bienvenue sur la plus grande carte Battlefield

Welcome to Fort Lyndon map

EA ne fait pas les choses à moitié. Fort Lyndon est présenté comme la carte la plus vaste jamais conçue pour Battlefield. Ce terrain d’essai gouvernemental caché en Californie du Sud regorge de zones de combat variées :

  • 9 points d’intérêt majeurs : de la Marina abandonnée à Main Street, en passant par les complexes militaires de stockage et de R&D
  • 16 POI secondaires : pompes à pétrole, phare, plages, parcours de golf privés…
  • Environnements diversifiés : plages immaculées, déserts côtiers, zones urbaines dévastées, installations militaires

La carte a été pensée pour tous les types d’engagement : du CQB intense aux duels longue distance, des combats de véhicules terrestres aux affrontements navals le long des côtes.

Le cercle le plus mortel de l’histoire du Battle Royale

Oubliez les stratégies risquées à la limite du gaz. Dans REDSEC, le cercle rouge tue instantanément. Impossible de le traverser, de l’utiliser comme couverture ou de tenter une course désespérée. Un seul pas dedans et c’est terminé.

Cette mécanique radicale transforme complètement l’approche tactique : chaque repositionnement devient une décision critique, et anticiper les mouvements de la zone n’est plus une option, c’est une nécessité absolue.

Deux modes pour dominer Fort Lyndon

Battle Royale : l’expérience classique réinventée

Jusqu’à 100 joueurs s’affrontent en escouades de 4 ou en duo dans une bataille qui se termine par un affrontement en mort subite à l’intérieur de l’anneau de feu mortel.

REDSEC Battle Royale 01

Le système de classes Battlefield au cœur du gameplay :

  • Choisissez votre classe et votre arme secondaire avant le largage
  • Débloquez progressivement des capacités, gadgets et renforts pour dominer
  • Récupérez des armes de différentes raretés et des kits d’amélioration
  • Accomplissez des missions d’escouade pour débloquer des récompenses puissantes
  • Trouvez des cartes d’accès véhicule pour conduire des tanks lourdement blindés

Gauntlet : l’élimination impitoyable

Un mode inédit qui mélange multijoueur et Battle Royale. 8 escouades s’affrontent dans une série de missions spéciales à haute intensité :

REDSEC Battle Royale Gauntlet
  • Décryptage, extraction, domination de territoire, protection de cible, transport d’explosifs…
  • 8 types de missions différentes avec des variantes comme Deadlock (King of the Hill multi-équipes) ou Wreckage (Rush)
  • À chaque round, les deux dernières équipes sont éliminées
  • Le match se termine par un duel final entre les deux escouades survivantes

Portal gratuit : créez votre propre chaos

Pour la première fois, Portal est entièrement gratuit dans REDSEC. Tous les créateurs et joueurs peuvent concevoir des expériences uniques avec :

REDSEC Battle Royale Portal
  • L’intégralité de Fort Lyndon
  • Les modes Battle Royale et Gauntlet
  • Toutes les armes, véhicules et contenus saisonniers gratuits
  • Intégration avec le contenu Battlefield 6 pour les possesseurs du jeu complet

Gratuit, accessible, sans barrière

Aucun prérequis : pas besoin de posséder Battlefield 6
Téléchargement immédiat : sur Steam, EA App, PlayStation Store et Microsoft Store
Modèle équitable : Battle Pass et cosmétiques, aucun pay-to-win
Compatibilité croisée : tout le contenu saisonnier gratuit utilisable dans BF6

BF Redsec lancement officiel free to play steam

Le verdict des premières heures

REDSEC arrive avec des arguments massifs : la plus grande carte Battlefield de l’histoire, un cercle mortel unique, deux modes complémentaires et Portal gratuit. La destruction tactique signature de la franchise s’invite dans le Battle Royale avec une intensité jamais vue.

Les serveurs sont sous pression massive (c’est bon signe), mais l’expérience promet déjà de sérieusement challenger Warzone sur son propre terrain. Le téléchargement est disponible maintenant sans restriction. Fort Lyndon vous attend. 100 joueurs. Un cercle mortel. Une seule escouade victorieuse

A lire : Battlefield 6 : Date de Sortie 10 Octobre 2025, Prix, Trailer Officiel et Bêta Ouverte

QNAP TVS-AIh1688ATX : NAS IA avec NPU Intel et 36 TOPS pour entreprises

Par :Wael.K
27 octobre 2025 à 11:54

IA en périphérie, virtualisation, sauvegarde massive : QNAP vise large avec le TVS-AIh1688ATX, un NAS d’entreprise qui mise sur les processeurs Intel Core Ultra 200 et leur NPU pour atteindre jusqu’à 36 TOPS de performance IA.

Un NAS orienté IA et virtualisation, taillé pour l’échelle

Le châssis intègre 12 baies SATA pour disques durs et 4 emplacements U.2 NVMe/SATA pour SSD, de quoi combiner capacités brutes et accélération par cache. Selon QNAP, cette base sert autant l’analyse d’images et de vidéos que le montage 4K/8K, la virtualisation ou les sauvegardes volumineuses. Côté calcul, on retrouve des Intel Core Ultra 9 (jusqu’à 24 cœurs/24 threads, 5,6 GHz) ou Core Ultra 7, avec NPU, GPU intégré et prise en charge AES-NI. Le constructeur met en avant « une infrastructure agile et scalable » pour des charges IA et data croissantes, cite Andy Chuang, chef de produit.

QNAP TVS-AIh1688ATX NAS IA entreprise avec NPU Intel 36 TOPS, châssis rackable, multiples baies HDD/SSD, ports réseau 10GbE

La partie graphique s’appuie sur Intel Arc pour accélérer le traitement d’images et de vidéos, en parallèle des tâches de calcul. La mémoire DDR5 ECC grimpe jusqu’à 192 Go, un point clé pour la fiabilité en VM, entraînement léger et applications data-intensives. Trois slots PCIe Gen 4 laissent la porte ouverte à des cartes réseau 10/25/100 GbE, à des cartes d’extension stockage ou QM2 pour ajouter des SSD M.2 et ports réseau.

tvs aih1688atx u2 nvme ssd

La connectivité native comprend 2 ports 10GBASE-T et 2 ports 2,5 GbE avec agrégation et bascule. En option, on peut évoluer vers du 25 ou 100 GbE, de quoi préparer des grappes rapides. Côté E/S locales, le NAS propose 2 ports USB 4 Type-C compatibles Thunderbolt 3/4 et le support d’une carte d’extension Thunderbolt 5 QXP-T52P, permettant jusqu’à quatre stations de montage reliées directement, pratique pour les workflows média collaboratifs.

ZFS, haute disponibilité et extension au pétaoctet

Le TVS-AIh1688ATX tourne sous QuTS hero, un OS basé sur ZFS avec auto-réparation, protection ZIL contre les pertes d’alimentation, mode WORM pour l’immutabilité, déduplication en ligne, instantanés quasi illimités et SnapSync pour la reprise après sinistre. Rien d’étonnant à ce que QNAP mette aussi l’accent sur la haute disponibilité : deux NAS peuvent former un cluster actif-passif pour réduire les interruptions imprévues.

L’extension de capacité atteint l’échelle du pétaoctet via des unités JBOD QNAP, un atout pour l’archivage long terme et la conformité. Enfin, myQNAPcloud One gère la sauvegarde hybride en fichiers ou objets S3 avec transferts gratuits, afin d’orchestrer un hors-site unifié sans complexifier l’exploitation.

Au final, ce NAS cible clairement les entreprises qui veulent rapprocher le calcul IA du stockage tout en gardant des options réseau musclées et une base ZFS robuste. Reste à voir si son positionnement séduira face aux GPU dédiés, mais l’équilibre NPU/CPU/GPU intégré a des arguments solides à la périphérie du réseau.

Source : QNAP

Montech KING 45 et KING 15 : boîtiers panoramiques compacts et versions Pro au menu

Par :Wael.K
27 octobre 2025 à 10:55

Panoramique et compact à la fois : Montech remet le couvert avec les KING 45 et KING 15, deux boîtiers qui misent sur une vitre courbe discrète et un flux d’air étudié pour les GPU actuels.

KING 45 et KING 15 : vitres courbes, double chambre et flux optimisé

D’après Montech, ces châssis ATX (KING 45) et microATX (KING 15) reprennent l’idée du vitrage panoramique de la série KING 95, mais passent d’une courbure de 30° à 15°, pour un rendu plus sobre et moderne. Le constructeur adopte une architecture à double chambre affinée de 18 %, qui camoufle la câblerie et libère l’admission d’air. Il faut dire que le choix de ventilateurs inférieurs inclinés change la donne : l’entrée d’air frais est renforcée et orientée vers la carte graphique.

Montech KING 45 et KING 15 Pro : boîtiers PC compacts panoramiques, airflow optimisé, panneaux verre trempé, ATX/Micro-ATX

Montech insiste sur une convection verticale assumée. Le fabricant décrit un « refroidissement par effet cheminée » destiné aux GPU de nouvelle génération, avec une aspiration du bas vers le haut pour évacuer plus vite la chaleur et maintenir des fréquences stables plus longtemps. En clair, le KING 45 cible les grosses configurations ATX et promet une visibilité panoramique, tandis que le KING 15 concentre cette approche dans un format microATX sans rogner sur le flux d’air.

Éditions Pro et nouveaux ventilateurs AX120 PRO / RX120 PRO

Les versions KING 45 PRO et KING 15 PRO arrivent prééquipées en ventilateurs AX120 PRO et RX120 PRO (pales inversées). Montech met en avant un éclairage ARGB à 360° sur le cadre et les pales, et revendique 10 % d’air en plus grâce à une géométrie optimisée. Ces nouveaux modèles, hérités des gammes AX et PE des boîtiers phares de la marque, promettent davantage de souffle, moins de bruit et une présentation plus soignée.

Montech KING 45 et KING 15 Pro : boîtiers PC panoramiques compacts, airflow optimisé, verre trempé, ATX/Micro-ATX

Disponibilité et prix. Sortie prévue le 27 octobre 2025 à 15 h, heure de Paris (9 h ET). Tarifs indicatifs en dollars, avec une conversion approximative en euros selon le taux du jour : KING 45 noir/blanc à 99,9 $ (environ 95 €), KING 45 PRO à 119,9 $ (environ 115 €), KING 15 à 89,9 $ (environ 85 €), KING 15 PRO à 109,9 $ (environ 105 €). Les ventilateurs AX120 PRO et RX120 PRO seront proposés à 19,9 $ l’unité (environ 19 €) ou 49,9 $ le pack de trois (environ 47 €).

À retenir : vitre courbe à 15° plus discrète, double chambre 18 % plus étroite pour un câblage masqué, et ventilateurs inférieurs inclinés pour gaver en air frais les GPU imposants. Les éditions Pro ajoutent les AX120 PRO et RX120 PRO à éclairage ARGB 360° et un gain d’air annoncé de 10 %. Reste à voir si ces choix maintiendront les températures en charge soutenue sur les cartes graphiques les plus gourmandes.

Voir également : Deux nouveaux boîtiers chez Montech : le MONTECH X5 et le X5M

Source : TechPowerUp

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