L’économiste Lucas Chancel relativise, dans une tribune au « Monde », le triomphalisme qui a accompagné la publication du baromètre sur l’attractivité de la France par le cabinet EY et qui apparaît surtout comme un moyen de légitimer une certaine politique économique plutôt que d’offrir un réel diagnostic sur les forces et faiblesses du pays.
Un collectif rassemblant des acteurs du monde associatif, des soignants et des élus propose, dans une tribune au « Monde », six mesures destinées à faciliter l’accompagnement des familles d’enfants atteints de cancers, de maladies graves ou de handicaps.
En Guadeloupe et en Martinique, plus de 40 % des familles sont monoparentales. Dans ces deux départements, où le taux de personnes vivant sous le seuil de pauvreté est deux fois supérieur à la moyenne nationale, ces foyers cumulent les handicaps.
Si le département bénéficie des ressources financières importantes de ses habitants frontaliers travaillant en Suisse, il est aussi confronté à des défis en matière de coût de la vie pour ceux payés en euros.
Pour négocier les transitions énergétiques et écologiques qui s’imposent aux pays industriels, les trois anciens syndicalistes Joël Decaillon, Christian Dellacherie et Edouard Martin du groupe de réflexion Bridge appellent, dans une tribune au « Monde », à une révolution de la gouvernance des entreprises, plus en phase avec la société.
Malgré de bons résultats sur l’investissement étranger en France ou la croissance, le déficit public est devenu une source de vulnérabilité pour l’exécutif face aux oppositions.
Si la dédiabolisation du parti d’extrême droite est loin d’être acquise parmi les chefs d’entreprise, ces derniers n’en restent pas moins prudents, redoutant qu’une condamnation de leur part ne soit contre-productive, explique, dans sa chronique, Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde ».
Jordan Bardella, président du Rassemblement National et tête de liste du parti pour les européennes, lors d’un débat organisé par la Confédération des PME, à Puteaux (Hauts-de-Seine), le 20 mars 2024.
Un nouveau plan social au sein de la filiale française de Disney essentiellement dédiée au cinéma, distincte du parc Disneyland, suscite l’incompréhension et le malaise des salariés. Ils s’interrogent sur la santé économique réelle de l’entreprise, qui est également dans le viseur de Bercy pour de nouveaux soupçons de fraude fiscale.
Un an après la présentation du plan « antifraude » de Gabriel Attal, alors ministre des comptes publics, Thomas Cazenave, son successeur, évoque « deux angles morts à couvrir » : la fraude aux aides publiques et le faible taux de recouvrement effectif.
Selon le ministère de l’intérieur, les manifestations ont attiré, sur l’ensemble du territoire, 121 000 personnes, soit presque sept fois moins qu’en 2023. A Paris, les slogans et les prises de parole ont souvent tourné à la dénonciation de la politique gouvernementale. L’intervention militaire israélienne à Gaza a aussi été condamnée.
Malgré la baisse globale des investissements étrangers, l’Hexagone a conservé sa première place sur le Vieux Continent en 2023, devant le Royaume-Uni et l’Allemagne, selon le baromètre EY.
L’ambassadrice des Etats-Unis en France, Denise Campbell Bauer (à gauche), la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse (deuxième à gauche), le PDG de Google, Sundar Pichai (au centre) et le ministre de l’économie, Bruno Le Maire (troisième à droite), lors de l’inauguration du centre pour l’ntelligence artificielle de Google, à Paris, le 15 février 2024.
Dans la capitale, des tensions ont eu lieu en tête du cortège, où des « éléments radicaux » étaient présents, mais le calme est rapidement revenu, selon les autorités.
Dans la capitale, des « éléments radicaux » ont « tenté de dégrader un commerce » mais en ont « été empêchés par une intervention immédiate des forces de l’ordre » selon la préfecture de police de Paris.
De premiers cortèges se sont élancés dès 10 heures à Strasbourg, Marseille ou encore Clermont-Ferrand. A Paris, la manifestation a démarré à 14 heures de la place de la République.
Cette décision, prise lundi 29 avril, affaiblit la légitimité du texte, qui avait été élaboré à l’issue d’une négociation entre les cinq principaux syndicats et l’Union des entreprises de proximité, la plus petite organisation patronale.
Le secrétaire général du syndicat Force ouvrière (FO), Frédéric Souillot, après une réunion avec les syndicats, le patronat et le premier ministre français à l’hôtel de Matignon, à Paris, le 12 juillet 2023.
Les organisations de salariés se mobilisent avec des slogans variés pour la journée internationale des travailleurs, sans pour autant renier le travail effectué en commun.
Le produit intérieur brut a progressé de 0,2 % sur les trois premiers mois de l’année 2024, notamment grâce à la légère reprise de la consommation des ménages.
Le bilan du gouvernement depuis 2017 est positif en matière d’emplois créés et d’usines ouvertes, mais l’objectif de relever la part de l’industrie de 10 % à 15 % du produit intérieur brut d’ici à 2035 est irréalisable, selon un rapport commandé par Bercy.
L’industrie du cycle, sonnée par une année difficile, se rassure en constatant l’appétence non démentie des usagers pour la bicyclette, en ville comme à la campagne.
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