Les syndicats sont perplexes face à des évolutions incohérentes entre des accidents du travail mortels en hausse et des accidents non mortels en baisse.
Un bilan économique favorable ne suffit pas pour gagner les élections. Il faut tenir compte de la perception des électeurs sur l’inflation et l’immigration, avertit, dans une chronique au « Monde », l’économiste qui voit des analogies entre les situations des Etats-Unis et de la France.
Alors que le secteur est en crise et que des tensions opposent les syndicats, les agriculteurs sont appelés à voter du 15 au 31 janvier, par correspondance ou voie électronique, pour élire leurs représentants professionnels.
Le plafond d’exonération fiscale de la prime carburant passera à 300 euros par an le 1ᵉʳ janvier. Ceux des forfaits de recharge de véhicule électrique et mobilités durables ainsi que de l’abonnement aux transports en commun augmenteront également de 100 euros.
Joris Fraysse, 41 ans, est technicien de laboratoire contrôle-qualité chez Lidea, à Caussade, dans le Tarn-et-Garonne. Le 8 octobre, le semencier, filiale de la coopérative Euralis, a annoncé la fermeture du site et le licenciement de 59 salariés dès février 2025.
L’économiste Maxime Menuet revient dans une tribune au « Monde » sur les débats que soulève la dette publique française. A partir de quand devient-elle trop lourde ? Les spécialistes du sujet ne s’entendent pas. Réduire les dépenses devient cependant inévitable.
Dans une note publiée dimanche 22 décembre, l’Observatoire français des conjonctures économiques souligne les effets du texte adopté en urgence par le Parlement dans l’attente d’un budget en bonne et due forme et promulgué le 20 décembre par Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron a salué la mise en fonctionnement, samedi, du réacteur qui, selon lui, « renforce notre compétitivité et protège le climat ». Le dernier démarrage d’un réacteur en France « remonte à celui de Civaux 2, il y a vingt-cinq ans », a relevé le PDG d’EDF.
La CGT est arrivée nettement en tête du scrutin, marqué par une participation de 4,07 %, selon les résultats dévoilés, vendredi 20 décembre, par le ministère du travail.
Les producteurs espèrent renouer avec leur clientèle traditionnelle, après les chocs successifs de l’influenza aviaire, qui ont assombri les réveillons 2022 et 2023.
Pour tous les commerces, les achats de dernière minute seront déterminants. Surtout pour le secteur du jouet, qui réalise plus de la moitié de son chiffre d’affaires au quatrième trimestre.
Sophian Hanous travaille chez Solvay depuis treize ans. Le groupe chimique a annoncé, en septembre, la fermeture de l’usine de Salindres dans le Gard. Soixante-huit personnes seront licenciées.
Alors que l’Etat a prévu de dépenser 5 milliards d’euros dans ce secteur, l’ancien ministre de l’économie rejoint le néerlandais ASML, qui réfléchit à investir en France. La Haute Autorité pour la transparence de la vie publique a validé ce mouvement.
Moins de télétravail et de jours de congés, c’est l’effort que le constructeur demande aux cadres pour gagner en productivité face à la concurrence chinoise, dans un accord signé par la CFE-CGC et la CFDT. Les ouvriers, eux, seront mieux indemnisés en cas de chômage partiel.
L’Autorité de la concurrence leur reproche de s’être entendus pour maintenir des prix de vente élevés entre 2007 et 2014. Le montant de l’amende concernant Fnac Darty s’élève à 109 millions d’euros.
Jugée à l’écoute et soucieuse du dialogue social, la macroniste de la première heure a redonné des marges de manœuvre pour négocier au patronat et aux syndicats, loin des pratiques qui ont prévalu depuis 2017.
La distinction sera remise mercredi 18 décembre, lors de la 26ᵉ Journée du livre d’économie, à Bercy. Le choix départagera « Les Batailles de la natalité », « Sortir du travail qui ne paie plus » et « Histoire économique de la France, de la Gaule à nos jours ».
François Bayrou fustige depuis longtemps la « honte » que représente selon lui la dette. S’il est urgent de réduire le déficit, il faut faire attention aux programmes d’austérité qui, en asséchant l’activité, ne font qu’aggraver le problème budgétaire, estime dans sa chronique Pascal Riché, journaliste au « Monde ».
Les contrats individuels « augmenteront en moyenne de 5,3 % », tandis que les contrats collectifs « augmenteront de 7,3 % en moyenne », affirme la Mutualité française sur la base d’une enquête annuelle.