La coalition tripartite dirigée par le chancelier allemand Olaf Scholz a été rompue la semaine dernière après un désaccord sur la question du budget qui a conduit à la démission du ministre de l’Economie.
Le 8 novembre, des supporters israéliens du Maccabi Tel-Aviv ont été agressés dans la capitale néerlandaise. Après de nouvelles émeutes, le match de football entre la France et Israël, le 14 novembre, a été placé sous haute surveillance.
Le vainqueur de la présidentielle américaine a annoncé ce mardi la nomination de l’élu républicain de Floride. Cet ancien militaire des forces spéciales est décrit comme un « expert des menaces que représentent la Chine, la Russie, l’Iran et le terrorisme mondial » par Trump.
Une fois de plus, les hommes ont voté plus à droite que les femmes. Les politistes Nonna Mayer et Anja Durovic analysent le rôle du genre dans l’élection américaine, et décryptent le phénomène du « gender gap » politique, aux Etats‑Unis et ailleurs dans le monde.
Réunis lundi en Arabie saoudite, les dirigeants des pays arabes et musulmans ont appelé Israël à se retirer des territoires occupés pour parvenir à une paix « globale » au Moyen-Orient. Des déclarations sans grande portée, juge le politologue Antoine Basbous.
La Cour internationale de justice a indiqué ce mardi être compétente pour juger une affaire portée par l’Azerbaïdjan contre l’Arménie dans le cadre du conflit qui les oppose dans la région du Haut-Karabakh.
Plus de 130 victimes, garçons et jeunes hommes, ont été agressées physiquement et sexuellement par un avocat, John Smyth (décédé en 2018), dans le cadre de ses activités avec l’Eglise d’Angleterre entre les années 1970 et le milieu des années 2010.
La sociologue, qui a publié « Counterrevolution », analyse l’élection américaine au prisme de la montée d’une nouvelle forme de capitalisme, qui nous plonge dans un monde schizophrène, fait de compression budgétaire pour les plus pauvres et de cadeaux pour les plus riches.
Le futur locataire de la Maison-Blanche, qui a régulièrement dénoncé les montants débloqués par Washington pour soutenir Kiev depuis 2022, a martelé durant la campagne présidentielle américaine qu’il parviendrait à mettre un terme au conflit « en vingt-quatre heures ». A quel prix ?
Une semaine après des violences visant des supporters israéliens après le match opposant l’Ajax Amsterdam et le Maccabi Tel-Aviv, les autorités israéliennes ont appelé les supporters à ne pas se rendre au Stade de France.
Les manifestations pour la recolonisation de Gaza se multiplient et prônent l’élargissement des frontières de l’Etat hébreu. Gouvernement, médias, armée… La montée de l’extrême droite semble irrésistible.
L’accord prévoit une aide militaire immédiate et réciproque en cas d’attaque contre l’un des deux pays alors même que la Corée du Nord est suspectée d’envoyer des soldats combattre contre les Ukrainiens.
Il y a un an, nous avions proposé à des jeunes israéliens et palestiniens de tenir la plume. Quatre jeunes femmes prisonnières du conflit nous avaient livré dans un texte leur regard sur la guerre. Un an plus tard, deux d’entre elles ont accepté d’écrire à nouveau pour « le Nouvel Obs ». Aujourd’hui, Nowar Diab, 21 ans, étudiante à l’université Al-Azhar-de-Gaza raconte son année de guerre.
Quelques jours après l’annonce de la victoire du magnat républicain à la présidentielle, les écrivains américains Barbara Kingsolver, David Grann et Aleksandar Hemon ne cachent pas leur déception, ni leur amertume.
Des magistrats d’un tribunal de Rome vont saisir la Cour de justice de l’Union européenne au sujet de migrants transférés par l’Italie en Albanie, terrain d’expérimentation de la politique anti-migratoire de Giorgia Meloni.
« Meilleur ami » européen de Donald Trump, qui vient d’être réélu président des Etats-Unis, le leader hongrois sort renforcé des élections américaines. Mais subit l’émergence d’un rival inattendu dans son pays.
Les troupes israéliennes mènent depuis le 6 octobre une offensive aérienne et terrestre contre le nord de la bande de Gaza. « La réalité quotidienne des déplacements forcés viole le droit international », a mis en garde le chef de la diplomatie européenne.
Le Parti républicain a regagné la majorité au Sénat, qui se réunira en janvier pour prêter serment, mais les élus démocrates pourraient tout de même ralentir le processus d’approbation des nominations.
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