L’ONU réclame 33 millions de dollars pour soutenir 135 millions de personnes à Gaza, au Soudan, en Haïti, en Birmanie, en RDC, ou encore en Ukraine, dans un contexte de coupe drastique de l’aide extérieure américaine décidée par Donald Trump.
En 2020, Papa Massata Diack avait été condamné à cinq ans d’emprisonnement pour complicité au sein d’un système de pots-de-vin visant à cacher des cas de dopage sanguins chez des sportifs russes en 2011, un an avant les Jeux olympiques de Londres.
Le Sénégalais Papa Massata Diack, fils de Lamine Diack, l’ex-patron de l’athlétisme mondial, décédé en 2021, lors d’une conférence de presse à Dakar, le 14 septembre 2020.
Cette nouvelle réunion doit permettre de faire le point sur « les négociations en cours dans le cadre de la médiation américaine », avait annoncé samedi Emmanuel Macron, en promettant de « continuer à faire pression sur la Russie pour la contraindre à la paix ».
Cette femme d’une soixantaine d’années, que nos reporters ont rencontrée au cœur de la « grande forêt » brésilienne, est l’ultime représentante des Piripkura, un groupe amérindien sur le point de disparaître, comme d’autres peuplades indigènes de la région.
Dans le document publié vendredi, l’administration Trump se livre à un acte d’ingérence inédit dans la politique intérieure de ses alliés du Vieux Continent. Mais au sein de l’UE comme à Londres, où se retrouvent, lundi, les dirigeants français, britannique et allemand, les réactions se veulent mesurées pour ne pas creuser davantage un fossé de plus en plus béant.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, avec le premier ministre britannique, Keir Starmer (à gauche), Emmanuel Macron et le chancelier allemand, Friedrich Merz, à Kiev, le 10 mai 2025.
« Syrie, l’après Assad » (1/5). Le tombeur du régime baasiste a réussi à rompre l’isolement international de son pays. Mais en interne, ce djihadiste repenti, qui gouverne avec une poignée de fidèles, peine à désamorcer les tensions confessionnelles et ethniques héritées de la guerre civile.
Le 8 décembre 2024, Bachar Al-Assad quittait Damas, mettant un terme à plus d’un demi-siècle de dictature exercée par sa famille en Syrie. Une chute orchestrée par un homme : Ahmed Al-Charaa devenu, depuis, le président par intérim du pays. Retour en podcast sur cette première année de la République syrienne.
Chaque camp accuse l’autre d’avoir déclenché les hostilités. L’armée thaïlandaise a dit utiliser des avions pour « frapper des cibles militaires » et « mettre fin aux tirs de soutien cambodgiens ».
Un soldat thaïlandais blessé en cours d’évacuation après des affrontements le long de la frontière thaïlando-cambodgienne, dans la province thaïlandaise de Sisaket, sur une photo prise le 7 décembre 2025 par l’armée royale thaïlandaise.
Le président américain estime que cette acquisition « pourrait être un problème » alors que le géant du streaming a déjà « une très grosse part de marché ».
Le haut lieu du jazz madrilène doit fermer ses portes début 2026. L’annonce a suscité un fort émoi alors que la capitale espagnole subit un phénomène de gentrification accéléré.
Une photo du Café Central, à Madrid, provenant du compte Instagram de l’établissement.
Fernando Nuñez est le troisième reporter abattu au Pérou depuis le début de l’année. L’Association nationale des journalistes a exigé que les autorités privilégient la piste de son travail comme mobile du crime.
Un portrait de Fernando Nuñez diffusé sur les réseaux sociaux.
Ces œuvres, ainsi que cinq autres du peintre brésilien Candido Portinari, faisaient l’objet d’une exposition organisée en collaboration entre la bibliothèque Mario de Andrade et le Musée d’art moderne de Sao Paulo.
Dans une tribune au « Monde », le dramaturge et directeur artistique du Festival de Vienne raconte sa récente visite en Ukraine. Il rend compte de l’état d’esprit et de la résilience des citoyens de Kiev, « un peuple libre et fier qui, même en pleine guerre brutale, continue de se battre pour la démocratie ».
Le lieutenant-général Eyal Zamir a déclaré, dimanche, que « la “ligne jaune” constitue une nouvelle frontière, une ligne de défense avancée pour les localités israéliennes et une ligne d’attaque ». Selon les termes du plan Trump, la « ligne jaune » matérialisait le premier retrait de l’armée israélienne, qui devait encore en opérer deux autres.
Des milliers de New-Yorkais ont été entraînés à militer et à manifester contre les opérations de l’ICE, la police anti-immigration de Donald Trump.
Le collectif « Hands off New York » (« Pas touche à New York ») organise des formations pour lutter contre les raids de l’ICE, la police anti-immigration de Donald Trump.
Dans le cadre de sa nouvelle stratégie « L’Amérique d’abord », l’administration Trump privilégie désormais les accords bilatéraux avec les pays en demande d’aide. Elle vient ainsi de fournir des doses de l’antirétroviral lénacapavir à la Zambie et à l’Eswatini.
Malgré la trêve signée en septembre, les évacuations de Gazaouis restent limitées par Israël, tandis que les pays européens font preuve de frilosité dans leur politique d’accueil.
Le 8 décembre 2024, la chute du régime entraînait l’ouverture de son réseau de geôles tentaculaire. D’anciens prisonniers ont livré leur parcours au journaliste Arthur Sarradin, tandis que le photographe Edouard Elias a immortalisé ces lieux hantés par les tortures et les exécutions.
Prison militaire de Mazzeh (Syrie), en janvier 2025.
Les violences qui ont explosé en Cisjordanie depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, n’ont pas cessé malgré la trêve entrée en vigueur le 10 octobre dans le territoire palestinien.
Des magasins fermés à Hébron, en Cisjordanie, alors que la ville est en grève pour protester contre la mort de deux Palestiniens tués par l’armée israélienne lors d’une tentative d’attaque à la voiture bélier, le 7 décembre 2025.
Des passagers attendent l’arrivée d’un train au lendemain des frappes de missiles et de drones russes sur la gare de Fastiv, dans l’oblast de Kiev, le 7 décembre 2025.
La deuxième phase de l’accord appuyé sur le plan de paix du président américain, Donald Trump, inclut le désarmement du Hamas et la démilitarisation de Gaza, a rappelé le premier ministre.
Un groupe de militaires avait affirmé avoir « démis de ses fonctions » le président Patrice Talon. L’entourage de celui-ci a assuré qu’il était en sécurité et que l’armée régulière reprenait le contrôle du pouvoir.
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