Dans un billet de blog Steam publié la semaine dernière, les deux développeurs français de Bonding Ambivalence ont annoncé le changement de nom du jeu pour un titre plus facile à retenir : USAC: Code Breach. Pour rappel, il s’agit d’un jeu coopératif asymétrique pour deux joueurs, sorti en octobre 2022, que l’on avait découvert un peu par hasard, presque un an après sa sortie. On avait énormément apprécié l’expérience, et si vous aimez un tant soit peu les énigmes, il ne faut pas hésiter. Si le nom, plutôt difficile à retenir, était effectivement un point que l’on avait noté dans notre test, on se demande pourquoi le changement intervient maintenant, deux après, alors que le studio Question Factory semble actuellement travailler sur un autre type de jeu. Une des raisons évoquée est la préparation du terrain pour une suite, a priori encore dans les cartons ; on est un peu déçus que ce ne soit pas plus concret.
Cela ne change pas la qualité du titre, donc s’il vous tente, USAC: Code Breach est disponible sur Steam pour un peu moins de 15 €. Attention, ça ne se joue qu’avec un autre contact Steam, et il faut une licence par joueur.
Sorti en juin 2023 en accès anticipé, le premier chapitre du rétro-FPS Kvark nous avait fait lever un sourcil grâce à son esthétique particulière, faisait furieusement penser à du Half-Life. Et ce n’est pas le seul élément que les développeurs ont repris de la légende des FPS : difficile de ne pas reconnaître les inspirations dans la progression linéaire, le style de gameplay et le level design. Même si elle n’égalait pas la qualité du titre de Valve, nous avions tout de même trouvé le début de l’aventure, prenant place dans un complexe industriel d’une République Tchèque fictionnelle des années 80, plutôt pas mal.
En tout début d’année, un deuxième chapitre était sorti, apportant la suite de l’histoire sous la forme de cinq niveaux supplémentaires. Alors que le troisième et dernier chapitre était prévu pour cet été, il arrivera finalement le 3 octobre, comme les développeurs l’annoncent dans ce billet de blog Steam. On aura alors accès aux quatre derniers chapitres, trois nouveaux ennemis, une nouvelle arme et plein d’autres petites choses.
Si vous êtes intéressé par Kvark, en attendant sa sortie en version finale le 3 octobre, vous pouvez retrouver l’accès anticipé sur Steam à un peu moins de 17 €. Méfiez-vous, il n’est pas impossible que le prix augmente pour l’occasion.
4A Games (série Metro) reste finalement chez Embracer
Dans une communication à la presse effectuée le 13 septembre, Embracer Group annonce que Saber Interactive (W40K: Space Marines 2), qui avait décidé de racheter son « indépendance » en mars dernier, a soldé ses dettes. Cependant, alors que le studio A4 Games devait continuer sa route avec Saber (en grande partie Russe), il reste finalement totalement chez Embracer. Pour rappel, 4A Games est le développeur de la série des Metro, et travaille actuellement sur Metro 4 et un autre jeu AAA non-annoncé. De ce fait, le montant versé par Saber n’est finalement que de 196,5 millions de dollars. Deux possibilités : soit les financiers suédois ont estimé que le studio allait bien performer avec leur prochain titre et ont souhaité le conserver auprès d’eux, soit Saber a considéré que c’était trop cher au regard de la qualité ou de l’avancée du développement du futur jeu ukrainien. À suivre.
Annapurna change de directeur : tous les employés se barrent
Ça sentait le sapin chez Annapurna Interactive depuis quelques jours : le directeur depuis presque 10 ans, Nathan Gary, est parti après l’échec des négociations visant à séparer la branche jeux vidéo de la maison mère (qui produit également des films). Suite à cela, de nombreux cadres ont suivi le mouvement, jusqu’à la totalité des 25 employés, comme nous le rapporte Insider Gaming. Annapurna, en tant qu’éditeur, avait une place un peu particulière dans le monde vidéoludique, puisque les titres qu’il supportait s’inscrivaient plus ou moins dans une ligne éditoriale assez reconnaissable. On pourra citer par exemple Outer Wilds, What Remains of Edith Finch, Gone Home ou encore Maquette. Malgré la perte de la totalité de l’équipe, la fondatrice d’Annapurna Interactive assure que rien ne change, et que les projets en cours continueront comme prévu.
Midnight Society, l’ex-studio de Dr Disrespect, se sépare de la moitié de ses employés
On ne se souvenait même plus de DEADROP, un projet de « vertical extraction shooter » en cours de développement par Dr Disrespect et son équipe depuis plusieurs années. Il y a quelques mois, un ex-employé de Twitch révélait des messages inappropriés que le streamer envoyait à une mineure, expliquant son ban permanant de la plateforme d’Amazon en 2017. Ce qui a remis en lumière Midnight Society. Pour débarrasser le studio de cette grosse tâche dégueulasse, ils ont viré leur cofondateur-streamer, mais a priori, ce n’était pas le seul problème de l’équipe. Pour tenter de survivre, la moitié des employés ont également dû être remerciés, car il semblerait que les finances ne suivaient pas vraiment. DEADROP était initialement prévu pour 2025, et il semble qu’ils vont tout faire pour respecter la deadline et ne pas trop prolonger le développement sans rentrée d’argent. Nos confrères d’Insider Gaming rapportent que le studio va être amené à réviser ses plans et préparer une nouvelle feuille de route. Comprendre : ça va couper des fonctionnalités dans tous les sens.
Il y a quelques jours, nous avons appris via Linked’in que le petit studio français DRAMA, derrière le projet Unrecord, avait obtenu un financement de 2,5 millions de dollars auprès de The Games Fund. Si beaucoup de nos confrères ont uniquement relayé l’information, ceux de chez Mobidictum semblent partager un peu plus de détails. Il est notamment écrit que les développeurs ont précisé que cet argent servira à « renforcer l’équipe et produire une démo solide ». Initialement composé de deux personnes, le studio en emploie maintenant une bonne dizaine, et ils comptent encore embaucher. L’étape suivante sera de trouver un éditeur ou d’autres partenaires. Le CEO de DRAMA, Théo “Foda C” Hiribarne, explique qu’ils partagent, avec The Games Fund, « une vision de l’avenir fondée sur la confiance, la durabilité et le divertissement à haute valeur ajoutée ». Ok, super. Bon, on imagine que c’est une très bonne nouvelle, car ils vont pouvoir bosser à fond sur leur projet de FPS d’action et d’enquête en vue bodycam, qui avait fait forte impression il y a un an et demi. Pour rappel, voici la vidéo qui avait inspiré tant d’autres projets, dont le très limiteBodycam :
De son côté, l’un des fondateurs de The Games Fund ne semble pas trouver assez de superlatifs pour sucer leur nouveau poulain. Il affirme que le projet est encore mieux en vrai qu’en vidéo, et que « l’aspect visuel de la bodycam est la partie émergée de l’iceberg, tandis que les mécanismes de jeu innovants avec des modèles d’IA avancés, un système de tir unique et un monde vivant avec des personnages complexes constituent le véritable cœur du jeu ».
Tu feras attention, il t’en reste encore un peu au coin des lèvres.
Si on met de côté la langue de bois, on peut tout de même imaginer qu’Unrecord sera un peu plus qu’un asset flip avec des éléments repris tels quels du store Unreal. La promesse d’une vraie narration nous rend très curieux de voir ce que ça pourra donner. On est donc plutôt impatients de voir cette fameuse démo sur laquelle ils vont activement travailler.
En attendant, si Unrecord ne heurte pas votre sensibilité – rappel : c’est un jeu vidéo –, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Le monde des FPS tactiques et compétitifsest assez restreint. Le roi à peine contesté, Counter-Strike 2, a profité de plus de vingt ans d’itérations et d’améliorations, et son concurrent le plus sérieux, VALORANT, en a repris tous les grands principes, avant de rajouter une épaisse couche de hero-shooter par dessus. En cela, Spectre Divideest plus proche de VALORANT que de CS, les tyroliennes et ultimates en moins : l’attaque doit toujours poser une bombe sur un des deux sites de la carte, et on sélectionne en début de match un Sponsor qui nous octroie des capacités. La vrai nouveauté est que ça se joue en 3v3, et que chaque joueur dispose de deux Spectres — comprenez deux personnages — qu’il est possible de déplacer en jetant une balise, avec la possibilité de passer de l’un à l’autre à la volée. Est-ce suffisant pour rendre le jeu réellement intéressant ? Surprenamment, oui.
Genre : FPS compétitif / esport |Développeur : Mountaintop Studios | Éditeur : Mountaintop Studios| Plateforme : Steam|Prix : Free-to-play|Configuration recommandée : Ryzen 5 / Core i5, 8 GB de RAM, GTX 1080 Ti / RX 6700 XT|Langues : Anglais, Français |Date de sortie : 03/09/2024 |Durée de vie : Tant qu’il y aura des joueurs
Test effectué sur une version commerciale
Facile à comprendre, pas si dur à maitriser
Comme dit plus haut, Spectre Divide réutilise les bases instaurées par Counter-Strike il y a des lustres, avec quelques différences. Deux équipes de trois joueurs s’affrontent sur une des quatre maps disponibles actuellement, où l’équipe en attaque doit poser une bombe sur le site A ou B, et au bout de sept rounds, on change de côté. Le système de Sponsor donnant des capacités rappelle quant à lui VALORANT : huit sont actuellement jouables, dont quatre à débloquer à coup de carte bleue, ou de grind bien senti. Les gadgets vont des classiques smoke, flash, grenades explosives et incendiaire, spécifiques donc à chaque Sponsor, à des choses plus pétées exotiques, comme différents systèmes de wallhack, des pièges de ralentissement, du soin, ou un drone sentinelle. Rien de vraiment nouveau dans tout cela, et on prend vite ses repères, pour peu qu’on ait l’habitude de ce genre de jeu.
La vraie nouveauté vient du système de Spectre. Chaque joueur joue en réalité deux personnages qui partagent les mêmes capacités, et on passe instantanément de l’un à l’autre par pression d’un bouton. Le personnage qu’on ne joue pas peut également être placé où on le souhaite en jetant une balise. Il y a cependant un délai d’attente le temps que le spectre fasse son chemin, via un arc électrique visible de tous, jusqu’à sa nouvelle position. Excellent point pour la qualité de vie, on peut placer nos deux personnages pendant la phase d’achat en affichant et en cliquant sur la carte.
Un petit malin qui tente de flank avec la subtilité d’un éléphant saoul.
Le système est très bien pensé, et est un indispensable élément de gameplay. Les utilisations les plus basiques étant de jeter sa balise sur une zone en hauteur, normalement inaccessible, ou par exemple d’avoir un Spectre sur chaque site afin d’effectuer des rotations plus rapidement. D’autre part, le Spectre que l’on ne joue pas entend les joueurs adverses, et le jeu nous affiche une alerte lorsque cela se produit. Plus intéressant et parfait pour les frustrés du jeu en équipe avec des coéquipiers en carton, on peut facilement mettre en place des setups avec nos deux personnages couvrant une même zone, mais selon deux angles différents, permettant de jouer alternativement l’un et l’autre pour perturber et prendre par surprise les joueurs d’en face.
Le gameplay est dans l’ensemble plus accessible que celui de ses inspirations directes. La trajectoire des utilitaires s’affiche sur la mini-map avant qu’on les lance — il n’y a plus d’excuse à rater une smoke —, les déplacements sont plus lents, et le gunplay simplifié oblige à utiliser l’ADS (Aim Down Sights), le hipfire étant imprécis, tout en permettant de se déplacer en tirant. Le recul très horizontal est assez déroutant, et contribue à un gunfeel assez moyen, mais reste plus facile à maitriser que les patterns de CS.
Le sniper est la seule arme complètement imprécise en déplacement, ce qui en fait une arme idéale de punition mais peu adaptée à un jeu agressif.
Pas d’inquiétude, il y a aussi des trucs nuls
On ne peut heureusement pas dire que du bien de Spectre Divide. Pour la direction artistique d’abord, qu’on accroche ou pas avec le style et même si ça permet de faire tourner le jeu à fond de balle sur des machines modestes, tout est assez fade. Les maps n’ont pas d’identité visuelle marquée et on a l’impression de toujours se battre autour des mêmes caisses et autres containers. Pire, il nous est souvent arrivé d’essayer de tuer nos potes — pas de panique, il n’y pas de friendly fire — à cause des personnages qui se ressemblent tous. Nos ennemis se démarquent seulement par un contour orange.
Au sujet des maps, les développeurs ont eu la bonne idée d’éviter les gimmick stupides à la VALORANT, et ont gardé le design classique des extrémités A et B, et d’un middle. Le design est cependant assez moyen dans l’ensemble, comme celui du site A de Skyway où les couverts semblent avoir été posés à l’arrache. Par contre, le site A de Mill est plutôt très bien, puisque c’est le même que celui de de_cache sur CS. Les zones de contact sont souvent très ouvertes, avec beaucoup de lignes de tirs possibles, faisant la part belle aux affrontements à longue et moyenne distances. On arrive ainsi au problème des armes.
Si on aime l’idée des deux Spectres, le système d’achat que Mountaintop a greffé dessus est, disons, perfectible. En effet, on est obligé d’acheter les armes par paire, une différente pour chaque personnage, et on ne peut pas donner d’arme à nos coéquipiers pour faire les combinaisons qu’on veut. Si beaucoup de packs d’armes restent viables, tous ceux incluant des shotguns sont parfaitement inutiles. Ces derniers ne sont efficaces qu’en déposant délicatement le canon dans les dents de notre vis-à-vis, et la construction des cartes, mentionnée précédemment, ne vous mettra jamais dans une situation favorable à leur utilisation.
Pour en finir avec les tatanes dans la gueule, les serveurs sont parfois un peu aux fraises, et il est arrivé à un certain nombre de joueurs d’être coincés sur l’écran de chargement d’un match. Ce n’est pas bien grave, me direz-vous, suffit de relancer le jeu ! Mais que nenni, vous répondrais-je ! Il est pour le moment impossible de rejoindre une partie que l’on a quittée, volontairement ou non, et vous prendrez donc un timeout de plusieurs minutes si votre connexion vous lâche. Si ça c’est pas une idée à la con…
Malgré ses défauts qui, on l’espère, pourraient être corrigés avec le temps, pour peu que la population de joueur se maintienne, Spectre Divide fait quand même plein de trucs bien. L’équilibrage est plutôt bien pensé, et les capacités ont même tendance à être un peu faibles plutôt que trop impactantes. L’absence d’ultimate aide sûrement, pas de choux-fleurs à tête chercheuse ici. De même, comme les cartes sont d’une taille équivalente à celles de CS, mais qu’il n’y a que trois joueurs par équipe, Moutaintop a disposé des murs translucides oranges que la défense ne peut pas traverser pendant trente secondes en début de round, sous peine d’être révélée aux attaquants par un wallhack. On évite ainsi les infiltrations de début de round qu’il serait impossible de contrer en attaque.
D’un point de vue plus subjectif, les matchs en huit points gagnants se terminent en vingt à trente minutes maximum, contrairement à souvent plus de quarante minutes sur Counter-Strike. En faisant cavalier seul, on a ainsi moins de chance de tomber avec des attaqués du bulbes, deux coéquipiers au lieu de quatre, et même si cela arrive, on reste moins longtemps coincé avec. Un net positif. Un autre avantage du nombre de joueurs réduits, est qu’il est possible d’organiser des matchs privés en 3v3, tout en conservant toute la profondeur tactique du jeu. Par contre pour ça, il faut avoir des amis.
Une bonne surprise qui ne demande qu’à se peaufiner
Spectre Divide propose une expérience réellement nouvelle dans le paysage des shooters compétitifs. Mountaintop Studios a eu la bonne idée de ne pas réinventer la roue en réutilisant le concept de base d’attaque / défense de bomb sites, soutenu par des gadgets maintenant classiques de prise d’informations et de zones. Si tout n’est évidemment pas parfait, notamment le map design trop peu inspiré et le gunfeel moyen, le fait de pouvoir contrôler deux personnages chaque round donne beaucoup de place à la créativité individuelle, en évitant la frustration du jeu en équipe avec des neuneus. C’est gratuit, ça fait moins de 10 Go à télécharger, il serait dommage de ne pas essayer le temps de deux ou trois parties.
Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.
Après un report à cause des événements au Bangladesh, pays des développeurs, Zero Hour a fini par sortir en version 1.0 le 9 septembre. Cela faisait cinq ans que ce tactical shooter coopératif de la vieille école, sauce SWAT 4 ascendant Rainbow Six (les anciens), et développé par un studio indépendant, était sorti en accès anticipé. Depuis, Ready Or Not a redéfini le standard, et il est un peu dur de passer après lui. Mais cela n’a pas refroidi les développeurs qui nous sortent une version finale, qui ne semble malheureusement pas convaincre tous les joueurs. On peut lire ici et là que la finition est loin d’être irréprochable, que tout fait un peu cheap et que les IA sont aussi malignes que des manches à balai. Cependant, tout n’est pas à jeter, et quelques nouveautés sont arrivées avec la mise à jour, comme on peut le lire dans le billet de blog Steam dédié.
À la rédac, on a tenté de lancer une partie rapidement pour voir comment ça se présentait, mais il nous faudra quelques soirées pour en saisir toutes les subtilités. À première vue, le gunfeel nous a paru plutôt bon, mais les ennemis plutôt cons. On essayera de faire un retour, pour mettre à jour notre avis de 2020, autant sur les aspects PvP que PvE.
En attendant, sachez que Zero Hour, auparavant facturé 10 € pendant son accès anticipé, a grimpé à 19 € sur Steam.
Le mois dernier, on vous parlait des déboires de Bungie, en proie à une vague de licenciements décidée par Sony, propriétaire du studio. Les développeurs indiquaient devoir notamment se recentrer sur la découverte du jeu par les nouveaux utilisateurs, pour toujours embarquer plus de joueurs, et ne pas les noyer sous la montagne de lore, d’informations et de menus accumulés depuis le début du jeu en 2019. Certes, supprimer des chapitres entiers que les gens avaient achetés était une des solutions retenues, mais curieusement, ça n’avait pas plu à tout le monde. Non, cette fois-ci, ce n’est pas dans cette direction qu’ils souhaitent aller – en tout cas, ils ne l’ont pas dit. Dans une communication sur leur site officiel, publiée il y a quelques jours, les développeurs annoncent une refonte du contenu saisonnier, Nom de code : Frontières.
On devrait donc avoir deux extensions par année – qui commence l’été, chez eux –, avec chacune deux mises à jour de contenu majeures. Elles devraient être néanmoins un peu plus contenues que les trois épisodes par an auxquels on avait droit auparavant. On nous promet des campagnes non-linéaires, s’éloignant de ce qui avait été proposé jusqu’à présent, pour apporter un peu de nouveauté et de variété. Il y aura aussi un peu plus d’exploration, ainsi que des nouvelles mécaniques s’approchant du rogue-lite ou du « survival shooter » (on ne voit pas trop ce que c’est). Information importante, tout cela devrait être gratuit, afin d’éviter la fragmentation des joueurs.
Ils reviennent également sur l’accessibilité, en concédant que « Destiny est un jeu trop complexe » et qu’il faut « presque un doctorat pour choisir à quoi jouer et obtenir les récompenses que vous voulez » (on vous promet, c’est pas de nous !). Pour cela, ils prévoient de moderniser l’interface et la carte du monde, mais aussi de simplifier la recherche des activités. D’autre part, ils vont retravailler les récompenses afin qu’elles restent intéressantes quelle que soit l’activité choisie. C’est un tellement gros sujet qu’ils dédient deux énormes pages (activités, récompenses) pour décrire ce qu’ils ont en tête. On n’a pas eu le courage de lire. Si ça vous intéresse, vous pouvez avoir tous les autres détails dans l’article dédié.
Pour résumer, Destiny 2 est en proie à de gros changements pour au moins l’année prochaine, nommée Nom de code : Frontières, avec l’arrivée de deux extensions gratuites, Nom de code : Apollon et Nom de code : Béhémoth, qui contiendront deux mises à jour majeures chacune. Des nouveautés en termes d’accessibilité et de gameplay sont attendues pour tenter de convaincre les joueurs. À la rédac, pas sûr que ça nous touche plus que ça, mais sait-on jamais. En attendant, vous pouvez retrouver le jeu en free-to-play sur sa fiche Steam. Et si vous tenez absolument à faire des extensions, elles sont toutes en promo chez notre partenaire Gamesplanet, dont la dernière, La Forme Finale à -10 %, soit 45 €.
Si vous êtes du genre à vivre pour votre boulot, et que le travail à la chaîne vous manque passé 18 heures, sachez que Satisfactory, le Factorio en vue FPS et en coopération, est sorti en version 1.0 le 10 septembre comme prévu, après plus de cinq ans en accès anticipé. Les fétichistes des tapis roulants et des automatismes devraient être aux anges : de nouveaux bâtiments, ressources et lignes de production ont été ajoutés avec la mise à jour. Si vous voulez en avoir un aperçu, les développeurs ont pensé à vous.
À la rédac, on a suivi le projet de loin, mais on n’y connaît pas grand-chose. Alors si vous voulez plus de précisions, n’hésitez pas à consulter le long patch note, publié sur Reddit. Les joueurs semblent totalement conquis, avec des avis quasiment tous positifs, et une base d’utilisateurs multipliée par dix par rapport au mois précédent (141 000 joueurs simultanés). Plutôt impressionnant pour un genre de jeu qui ne semble pas si vendeur.
Si c’est votre truc, vous sachez que Satisfactory est disponible en réduction à –10 % pour la semaine de sa sortie sur Steam et l’Epic Games Store, ce qui le fait à 35 € et des poussières.
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Notre partenaire Gamesplanet continue la mise en avant de Warhammer 40,000: Space Marine 2 sorti le 9 septembre, véritable événement du mois. Avec le code promo NOFRAG, vous avez toujours –15 % au lieu de –10 %, ce qui fait la version Standard à un peu moins de 52 €, l’édition Gold à 77 € ou la version Ultra à 85,5 €. Les retours sont globalement très positifs, de quoi ravir les fans de petites figurines et de soldats bodybuildés avec de grosses armures.
Il y a évidemment plein d’autres promotions, dont, par exemple, cette petite sélection :
Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Après des DLC très solides, sortis fin 2023 et début 2024, et une arrivée en fanfare sur Steam après un an d’exclusivité Epic Games Store, Dead Island 2 s’apprête à proposer un nouveau mode de jeu le 22 octobre prochain dans son patch 6. Nommé Neighborhood Watch, il s’agit d’un mode horde, avec des notions de défense de bases et de loot. Il semble être bien plus qu’un petit truc développé à la va-vite, puisqu’on pourra sélectionner sa classe de personnage parmi 4, et choisir des compétences au fur et à mesure de la progression dans un arbre spécifique. D’autre part, on nous promet des objectifs à réaliser pendant quatre jours, afin de se préparer pour un assaut final des zombies le cinquième jour. Sans doute un peu d’exploration, du loot et du placement de pièges. Ce sera évidemment jouable en coop – comme le jeu de base –, et on est plutôt saucés par le concept.
D’autre part, un New Game Plus fera également partie de cette grosse mise à jour, permettant aux joueurs de monter encore plus en niveaux, de débloquer de nouvelles compétences et de découvrir de nouvelles armes. Il n’y a pas beaucoup plus de détails dans le billet de blog Steam, mais n’hésitez pas à y faire un petit tour si ça vous intéresse.
Après un petit retard d’une semaine, I Am Your Beast, le fast-FPS die & retry développé par le studio indépendant Strange Scaffold, est enfin sorti. Et il est super. On n’a pas encore eu le temps de le poncer, mais les premiers niveaux nous ont complètement conquis. Pour rappel, vous devrez traverser des petites maps en tuant tous les ennemis le plus vite possible afin de gagner des points. Ici, pas question de recharger ou faire caca derrière une caisse pour récupérer des points de vie : il faut foncer, attraper l’arme d’un ennemi abattu, la balancer dans la tronche d’un autre lorsqu’il n’y a plus de balles, et ainsi de suite. On est dans la même vibe qu’Hotline Miami, mais en FPS, avec cette même envie de recommencer immédiatement pour améliorer son temps. C’est frénétique, viscéral et addictif.
Les joueurs sur Steam ne s’y trompent pas, puisque la totalité des avis sont positifs. Un test sur NoFrag est prévu dans les prochains jours, mais franchement, n’hésitez pas, vous pouvez y aller les yeux fermés.
On vous conseille donc fortement I Am Your Beast, actuellement en promo de sortie à -10 % sur Steam, ce qui le fait à moins de 18 € jusqu’au 24 septembre.
En mai dernier, nous vous parlions la mise en faillite du studio Fall Damage, qui développe ALARA Prime. Le groupement financier qui l’avait acquis six mois plus tôt s’était rendu compte que c’était une connerie. Néanmoins, à cette époque, les développeurs annonçaient tout de même continuer à travailler sur leur FPS tactique compétitif en 4v4v4 avec peut-être des pouvoirs à la VALORANT. Et les bougres réitèrent : ils ont indiqué lundi dernier, dans un message sur Discord, que l’équipe travaillait à plein régime, mais qu’ils vont devoir décaler la sortie, initialement prévue pour le troisième trimestre 2024. Ce sera pour plus tard, sans plus de précisions. On se doute que ce ne sera pas avant 2025, puisque des playtests devraient être organisés avant la fin de l’année.
D’autre part, dans un message sous le tweet du studio, un influenceur a partagé une vidéo de gameplay qu’il a postée il y a quelques jours. On peut découvrir un jeu qui pourrait se rapprocher de Counter-Strike 2 pour les mouvements, l’ADS en plus, avec des équipements permettant de faire des murs opaques, comme dans VALORANT, et un mode de jeu qui semble mettre en avant la capture de zone. Mais ce n’est pas forcément évident de comprendre les phases de gameplay, car le YouTuber, ayant sans doute quelque chose à compenser, n’a montré qu’une interminable série d’exécutions de ses adversaires, qu’on imagine parfois être des bots, tellement ils semblent mal jouer. C’est assez pathétique, d’autant plus que la grande majorité des actions n’ont rien d’exceptionnelles. Au final, on ne peut pas dire que ça fasse de la bonne pub, car la vidéo met surtout en valeur l’absence totale de direction artistique, et la pauvreté des modèles des personnages, absolument affreux.
La seule “originalité” semble ici être la présence d’une troisième équipe, mécanique déjà explorée dans The Finals avec un certain succès. Est-ce que cela suffira pour convaincre les joueurs ? Rien n’est moins sûr. En tout cas, on peut vous dire qu’à la rédac, ALARA Prime ne déchaîne pas les passions. Après, on n’est pas à l’abri d’une surprise, à l’instar de Spectre Divide, qui ne nous enthousiasmait pas en vidéo, et qui nous a finalement bien séduits, clavier et souris en main.
En attendant, si vous voulez suivre le projet, vous pouvez vous rendre sur le serveur Discord officiel, puisqu’il semble être le moyen principal de communication du studio.
On savait déjà que l’excellent fast-FPS rogue-lite Witchfire devait être publié en accès anticipé sur Steam, après un an d’exclusivité sur l’Epic Games Store. Mais The Astronauts a enfin annoncé la date lundi dernier : ce sera le 23 septembre. On sait que ça fera plaisir à une partie des joueurs, qui ne jurent que par Tonton Gaben. Heureusement que tout le monde n’est pas comme eux, car sinon, on n’aurait jamais eu l’occasion de mettre les mains sur le meilleur accès anticipé de l’année 2023, dont la finition et l’optimisation dépassent la grande majorité des titres en version finale. Et c’est sans compter le gunfeel incroyable, les mouvements précis et fluides, ou le sentiment de puissance que l’on ressent lorsque l’on enchaîne les headshots.
Depuis le lancement de son blog, Ivar Hill, le développeur principal de Core Decay, est très actif et partage les avancées de son travail régulièrement. Malgré les difficultés rencontrées en 2023 avec 3D Realms et Slipgate Ironworks, il continue de travailler sur son titre et semble plus motivé que jamais.
Dans chacun de ses billets, Ivar Hill plonge dans une analyse approfondie de Deus Ex1er du nom et décortique les thèmes, l’histoire, et comment Warren Spector et son équipe ont travaillé sur le gameplay et le level design de cet incroyable jeu sorti en 2000. La passion de Hill est très clairement annoncée, à tel point que Deus Ex est mentionné 21 fois dans les 5 dernières newsletter.
Celles de mai, juin et juillet se concentraient sur le design des niveaux, et comme dans Deus Ex, les joueurs exploreront des environnements urbains situés en Chine, aux États-Unis ou en Europe. Et comme dans Deus Ex, chaque zone est conçue pour servir l’exploration, l’infiltration, le combat et le piratage. Il n’y aura pas de marqueurs de quêtes et les joueurs devront découvrir par eux-mêmes comment atteindre leurs objectifs. En Aout, la newsletter mettait l’accent sur le piratage. Vous pourrez hacker des terminaux, des ordinateurs et des blocs de données pour obtenir des informations sur vos objectifs ou sur le monde…. comme dans Deus Ex.
Core Decay
Dans la newsletter de septembre, Ivar Hill a dévoilé les éléments du lore et surprise, il reprend exactement les thèmes de Deus Ex. L’histoire mettra en scène une civilisation à bout de souffle après une pandémie mondiale, dirigée par des corporations toutes puissantes et des sociétés secrètes. Le jeu explore des concepts philosophiques sur la valeur de la vie, sur comment une civilisation tente de survivre à sa propre auto destruction et sur les méthodes de contrôle des populations.
Core Decay n’a pas encore de date de sortie officielle mais vous pouvez montrer tout votre amour pour Deus Ex depuis la page Steam de Core Decay en l’ajoutant à votre liste de souhaits. Néanmoins, Ivar Hill préfère les plateformes sans DRM et vous conseille plutôt de le faire sur GOG.
Dans une longue vidéo de présentation, des membres de l’équipe de développement de Gray Zone Warfare nous ont parlé de la prochaine mise à jour pour le jeu. Elle sera principalement centrée sur le cycle jour/nuit, dont ils semblent très fiers. Certes, il semble très bien réalisé, et les équipements associés tels que les torches, lasers et lunettes de vision nocturne ont l’air à la fois réalistes et intéressantes à utiliser. Et c’est un peu la seule chose qu’on peut voir, puisque tout le reste n’est que promesse : plus de diversité dans le loot et des zones avec de l’équipement de plus haut niveau. Mais ce qui ressort particulièrement, c’est l’insistance sur le fait que l’amélioration de l’IA est leur priorité absolue, alors qu’ils ne sont pas vraiment capables de décrire en quoi elle sera mieux. Réduire leur propension à faire des headshot ? Ce n’est pas vraiment le problème. Leur donner de l’équipement adapté à leur condition (simple bandit ou soldat) ? Ça ne les rendra pas moins débiles, plantés comme des plots au milieu de la route. En l’absence de réelle démonstration, on restera donc prudent sur les déclarations du studio.
Pour l’instant, cette nouvelle mise à jour, qui contiendra le cycle jour/nuit, mais aussi cet aspect amélioration de l’IA, n’est pas encore datée. Le studio estime tout de même qu’elle devrait arriver avant la fin de l’année. En attendant, si vous avez envie de vous balader dans une très belle jungle un peu vide, vous pouvez retrouver Gray Zone Warfareà partir de 35 € sur Steam.
Edit du 13/09 : une roadmap pour les trois prochaines années a été révélée sur Steam. La sortie en version finale est prévue pour fin 2027.
Il y a quelques jours, les développeurs de Forever Skies ont publié un billet de blog Steam pour présenter de nouvelles fonctionnalités dans leur jeu de survie se déroulant dans des nuages de pollution. La première est l’intégration du combat, principalement représenté par une arbalète, qui n’a pas l’air si nulle. Il y aura aussi une sorte de lance-flammes et des mines. Du côté des ennemis, on peut voir que de gros et méchants insectes viendront nous déranger pendant le pillage en règle des restes de notre ancienne civilisation et qu’il faudra pacifier tout ça.
La deuxième fonctionnalité est l’ajout d’un compagnon tout fluffy, même si c’est aussi un insecte. Mais celui-là sera sympa et mignon, et vous accompagnera pendant vos explorations.
Pas mal d’autres choses ont été apportée avec cette grosse mise à jour, notamment du côté du craft et de l’interface. Vous trouverez tous les détails dans le patch note sur Steam.
Pas de quoi nous donner envie de nous plonger dans l’aventure, n’étant pas de grands fans de jeux de survie. En plus, on n’avait pas franchement été convaincus par l’univers plutôt moche, à mille lieues de Subnautica dont il copiait les autres mécaniques. Mais il faut reconnaître que les développeurs continuent à apporter de nouvelles choses continuellement, pour faire plaisir aux 400 joueurs réguliers du titre.
La guerre ne s’arrête jamais sur le front italien, pour preuve avec la sortie de la nouvelle extension Montello du jeu multi se déroulant durant la Première Guerre mondiale, Isonzo. Au travers d’un billet de blog Steam, il est présenté la nouvelle carte où les joueurs pourront s’affronter une nouvelle fois dans des lieux divers tels que des tranchées creusées sur des terres agricoles, des habitations en ruine, ou encore le long d’une rivière. Deux nouvelles armes seront ajoutées que sont le M.91 Russisches Repetier-Gewehr (un fusil d’infanterie) et la Schwere-Handgranate (une grenade) pour massacrer vos adversaires. En parallèle de cette mise à jour, un nouveau DLC cosmétique, Shellshocked Units Pack, est proposé pour que vous ayez des tronches ensanglantées et confirmer que la guerre, c’est sale.
Si vous êtes intéressé, Isonzo est actuellement en promotion à -65 % sur Steam jusqu’au 19 septembre, soit environ 14 €.
Avec quelques jours de retard, l’immersive sim CORPUS EDAX, très porté sur les combats au corps-à-corps, est sorti le 5 septembre dernier. Développé par une seule personne, ce petit jeu nous avait plutôt impressionné lorsqu’on avait essayé sa démo en février dernier. Il propose un style de combat très viscéral, dont le coup de pied fait forcément penser à celui de Dark Messiah of Might & Magic, mais aussi des aspects très RPG, notamment le choix des dialogues et les capacités du personnage.
Même si les retours sont globalement positifs, il ne faut pas s’attendre à une réalisation irréprochable. De nombreux joueurs se plaignent de bugs, d’une finition qui laisse à désirer, et d’un contenu un peu léger pour ce type de jeu. Néanmoins, l’expérience semble plutôt singulière, et les combats très sympathiques.
Découvert durant le stream tinyBuild Connect 2024, SAND s’était démarqué avec son concept original de Tramplers, une plate-forme customisable servant aux joueurs de base défensive et de moyen de locomotion. Fin de semaine dernière, les studios Hologryph et TowerHaus ont publié un trailer pour dévoiler un peu plus de gameplay et annoncer la possibilité de s’inscrire à la bêta via la page Steam du jeu. Dans la vidéo, l’accent est surtout mis sur les affrontements de Tramplers qui se règlent à l’artillerie lourde. On notera une brève séquence de gunplay avec un fusil à pompe à trois canons, mais rien de bien transcendant. On comprend vite que les équipes de joueurs devront se coordonner pour ne pas finir en un tas de ferraille fumant, soit en réparant les dommages subis, soit en occupant les postes d’artilleurs.
SAND n’a toujours pas de date de sortie annoncée pour le moment. Et si vous êtes intéressé par canarder vos ennemis à bord de votre Trampler, vous pouvez vous inscrire à la bêta accessible depuis la page Steam.
La semaine dernière, les devs de No Man’s Sky ont publié une bande-annonce pour le déploiement de la nouvelle mise jour Aquarius. Dans cette dernière, vous profiterez de l’activité de pêche et de la plongée sous-marine, pour découvrir une nouvelle source d’ennui autre que l’exploration d’un univers infiniment vide. Une canne à pêche, une combinaison de plongée, une sorte de quai volant nommé Exo-Skiff et d’autres objets pourront être débloqués. Par ailleurs, les créatures marines pêchées finiront essentiellement dans votre assiette et leurs profils se débloqueront dans une encyclopédie dédiée. Pour pousser l’immersion à son paroxysme, des bouteilles contenant des messages pourront être repêchées, afin que vous puissiez peut-être découvrir une lettre d’amour, l’emplacement d’un trésor enfoui, ou le témoignage d’une famille de poisson endeuillée par la perte d’un proche suite à votre activité favorite.
Si vous voulez en apprendre davantage, le patchnote en anglais est consultable sur le site officiel.
Fin gourmet de plats à base de poisson ou pêcheur dans l’âme, vous pouvez vous procurer No Man Sky’s en promotion à -60 % sur Steam, soit moins de 24 €.
Lundi soir, NoFrag a fait sa rentrée pour enregistrer le NoScope #61. Même si le mois dernier, c’était les vacances, l’actu des FPS, elle, ne s’est pas arrêtée. On est revenu sur les annonces qui nous ont marquées pendant la Gamescom (S.T.A.L.K.E.R. 2, Indiana Jones, Atomfall…), mais aussi sur la sortie en accès anticipé d’Arena Breakout: Infinite, de l’incroyable performance de Concord, ou encore de la révélation de Bellum.
00:00:00 – Intro 00:02:32 – Les news en vrac (Chernobylite 2, Level Zero: Extraction, Green Hawk Platoon…) 00:44:56 – Les news buisness (Les Kickstarters mal engagés de The Explorator et Athanasia) 00:56:26 – La news tech (Valve ne veut pas de cheat dans les claviers) 01:00:20 – Les mises à jour & DLC (Tarkov, Hunt: Showdown 1896, Witchfire, Selaco) 01:16:18 – Le report (Vampire – The Masquerade : Bloodline 2) 01:18:09 – La news nécrologie (Concord) 01:28:03 – La rumeur (Half-Life 3) 01:33:58 – Quizz : les échecs dans les jeux service 01:47:43 – Test : les débuts de Spectre Divide 02:04:00 – Preview : la bêta de Delta Force 02:10:14 – Preview: la bêta de Call of Duty 21: Black Ops 6 02:13:50 – Dossier : La Gamescom (S.T.A.L.K.E.R. 2, Indiana Jones, Kingdom Come: Delivrance…) 02:35:13 – À venir 02:40:01 – À quoi on joue
En espérant que ça vous fasse autant marrer à entendre que nous à le faire, on vous donne rendez-vous dans deux ou trois semaines pour un nouveau NoScope !
Après de nombreux de déboires et un report sans autre précision, les studios M7 Productions et Attrito, en charge du développement Zero Hour, ont publié une vidéo de gameplay commentée chez nos confrères d’IGN pour annoncer la date de sortie de la version 1.0 du titre, soit le 09 septembre. Deux scénarios sont proposés par l’équipe de devs. Le premier prend place dans la résidence d’un ambassadeur où une prise d’otage a eu lieu. Et le deuxième se déroule dans un immeuble où résident de potentiels terroristes. Diverses mécaniques de gameplay sont présentées comme l’agencement des éléments d’une pièce généré de manière procédurale, le drone de reconnaissance, le chien d’intervention, les différentes façons d’ouvrir les portes, le plan stratégique et la possibilité de couper l’électricité pour effectuer une intervention avec la vision nocturne.
Le hic, c’est que le dev ne fait absolument rien d’intéressant et ne participe quasiment à aucun gunfight. Il est juste témoin de l’action et encore, quand cette dernière est visible. Ce n’est pas très vendeur. Il aurait pu se bouger un peu plus le cul au lieu de laisser ses teammate faire tout le boulot.
Zero Hour quittera son accès anticipé le 09 septembre. En attendant, vous pouvez vous le procurer sur Steam à 10 € environ, avant sa potentielle augmentation de prix.
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