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Hier — 1 décembre 2024JV France

TEST | MySims: Cozy Bundle – L’essence de la nostalgie

Par : Wallnya
1 décembre 2024 à 19:02

Près de 15 ans après la sortie des versions DS et Wii des éditions de MySims en 2007 et de MySims Kingdom en 2008, Electronic Arts se lance dans un nouveau remaster pour les amateurs de simulateur de vie à la sauce des Sims. Un remaster sous forme du pack MySims: Cozy Bundle contenant les deux œuvres, uniquement disponible sur Nintendo Switch, semble faire fondre le cœur des nostalgiques de l’époque. Pourtant, qu’en est-il en réalité ? Plongez dans la reconstruction d’une ville ou d’un royaume pour connaître notre avis, un retour nostalgique avec ses charmes, mais aussi ses lacunes.

Test réalisé sur Nintendo Switch grâce à une version numérique fournie par l’éditeur

Retour en enfance avec MySims

Pour ceux qui n’auraient pas connaissance de la ribambelle de licences autour des Sims, les jeux MySims ainsi que MySims Kingdom ont proposé à l’époque un chamboulement dans la franchise. Exit la création et la gestion complète d’une famille, ainsi que les préoccupations liées à leurs besoins quotidiens, comme la nourriture ou le sommeil, ici le choix de MySims est de se concentrer exclusivement sur la volonté de redonner vie à une ville entière ou un royaume entier, découpé en plusieurs îles pour MySims Kingdom. À coups de design mignon et coloré, c’était une véritable nouveauté pour la franchise des Sims. Le pack Cozy Edition regroupe donc les deux jeux qui apparaîtront séparément sur la console. L’histoire ne casse pas trois pattes à un canard, de quoi ravir les fans de simulations légères et d’ambiances mignonnes. Dans le cas de MySims, notre héros se retrouve dans une nouvelle ville, dont vous avez le loisir de choisir son nom, où la maire Rosalyn nous apprend que ce dernier manque cruellement de dynamisme et d’habitants. Qui de mieux pour y remédier que quelqu’un qui maîtrise les essences, ressources principales du titre, et qui pourra donc construire tout ce qu’il lui plaît ? Quelle coïncidence que notre héros les maîtrise parfaitement, même si tout se fera à votre rythme. Voilà donc notre nouvelle tâche, venir en aide à chaque habitant pour construire objets et maisons pour que ces derniers s’installent définitivement en ville. Du côté de MySims Kingdom, on retrouve le même principe. La vie au royaume n’est plus aussi paisible qu’avant et les habitants ont bon nombre de soucis. Le roi Roland ne s’en sort plus seul, il a besoin d’un nouveau bâtonnier. Des épreuves sont donc organisées pour définir le prochain candidat, notre personnage entre en jeu et réussit toutes les épreuves avec brio. À l’aide de notre bâton magique et des Essences, il faudra résoudre une foule d’énigmes et de constructions pour que le royaume prospère à nouveau : que ce soit construire une clôture ou encore ramener des vaches dans un enclos !

L’histoire est donc simple, à disposition de tous, mais attachante. De plus, cette version bundle étant un remake de la version Wii, aucune différence de scénario ne sera à noter. Une collection qui se veut réconfortante en préservant l’histoire originale des deux jeux, tout en ajoutant quelques mises à jour modernes. Pour les nostalgiques, ce sera du pain béni, pour les nouveaux venus, cela manquera peut-être un peu de profondeur au vu des sorties actuelles. Cependant, nous restons tout de même dans la franchise des Sims. Et donc, il faudra tout de même choisir le design de notre personnage. Exit la sélection du genre ainsi qu’une personnalisation pendant des heures et des heures. Tout comme dans la version DS ou Wii, la personnalisation de notre personnage est rapide et sans ambiguïté. Une simple coupe plus féminine ou plus masculine permettra de définir le genre de notre personnage. La configuration est tout aussi classique que ce soit pour la tenue, la couleur des cheveux, les yeux, la bouche… Un élément qui pourra brusquer certains joueurs, sera la manière de sélectionner sa tenue. Dans un monde aussi mignon, nous choisissons un ensemble de vêtements en cliquant simplement sur le corps de notre personnage. Ici, pas d’inventaire pour choisir ceux qui nous plaisent. Il faudra prendre son mal en patience et cliquer jusqu’à trouver celle qui fera chavirer votre cœur. Et gare aux erreurs, car si vous cliquez trop rapidement, il faudra cliquer de nouveau jusqu’à retrouver la tenue voulue. Un point négatif qui était déjà présent dans les versions précédentes.

Personnalisation dans MySims
Personnalisation dans MySims Kingdom

Dans MySims et MySims Kingdom, il n’y aura pas vraiment de notion de chapitres, vu que tout se passe suivant l’arrivée des habitants ou de l’exploration des différentes îles présentes dans le jeu. On aura une durée de vie de près de 15 heures pour MySims, et plutôt vers les 10 heures pour MySims Kingdom. Une durée qui peut plus ou moins s’étendre sur de nombreuses heures si l’on souhaite obtenir toutes les tenues et réaliser toutes les quêtes annexes. À l’aide de nos pouvoirs ou de notre bâton magique, notre personnage sera capable de construire des objets, mais aussi des maisons ou autres mécanismes. Pour cela, il sera nécessaire de récolter des Essences dans tout l’univers qui nous sera proposé. Des pommes dans des arbres, des parties de pêches ou même de la recherche de métaux rares, tout y est prétexte à redonner vie aux villages. La récolte d’Essence se fera de manière intuitive et les essences seront souvent au même endroit, afin de faciliter un peu la vie des joueurs. Les jeux se concentrent donc essentiellement à la collecte d’essence, à la constructions et à l’accomplissement des différentes tâches que nous proposerons les villageois. MySims Kindgom apporte une touche d’originalité avec l’utilisation du Mana, sorte de recharge nécessaire pour l’artisanat des maisons et autres objets. Cependant, si nous pouvons trouver difficile de se procurer du mana en quantité, il est toujours possible d’échanger des essences contre du mana auprès d’un de nos compagnons de voyage. De nouvelles zones se débloqueront au fil de l’histoire principale, avec chacune son propre univers, que ce soit un far west ou un parc zoologique. Les essences changent entre chaque zone et brisent légèrement cette monotonie que l’on peut ressentir au fil des heures de jeu.

La récolte des Essences côté MySims

Une ambiance cozy, mais des mécaniques frustrantes

Si l’histoire conserve son charme accessible à tous, qu’en est-il des mécaniques de jeu et de leur adaptation sur Nintendo Switch ? L’ambiance des jeux est totalement gardée. Les musiques font mouche, même si pas mémorables. Elles sont mignonnes, douces, et font passer le temps au fil du jour et de la nuit. Le village s’active au fil des heures passées sur le jeu, les villageois interagissent avec les éléments du décor, s’amusent dans les fontaines à eau… Ça grouille progressivement de vie et on s’attache petit à petit à proposer une expérience plus que correcte pour nos villageois farfelus et excentriques. Cela donne un sentiment de communauté et de progression tout au long de nos heures de jeu. Cependant, qui dit villageois dit construction de maisons ou d’objets pour eux dans MySims. Et pourtant, la construction, élément central, révèle rapidement ses limites techniques. En effet, le pack étant uniquement disponible sur Nintendo Switch, le jeu peut, par conséquent, se jouer aussi bien en version nomade qu’en version dock. Nous vous conseillons d’utiliser le mode construction et objet sous le mode nomade. En effet, les touches ne sont pas forcément des plus intuitives. Là où le joystick droit sert habituellement à tourner la caméra, il contrôle ici un curseur, rendant la navigation laborieuse. Pour tourner la caméra, il faudra plutôt utiliser les gâchettes. Et c’est dans cette disposition plus qu’étrange que nous nous sommes retrouvés à utiliser le écran tactile et les différentes touches de notre console. Il est donc plutôt dommage que les développeurs n’aient pas davantage travaillé cette partie pour offrir une expérience plus que convenable pour la création d’objet ou de maison. Une expérience qui se ressent aussi du côté de MySims Kingdom. Le portage du Nintendo Switch laisse donc un goût amer en bouche au niveau du gameplay que ce soit sur l’un ou l’autre des jeux tant la difficulté de manipulation de caméra et d’objets est élevée. Le gameplay est donc répétitif, mais cela correspond au style des simulateurs de vie qui demandent continuellement des essences pour avancer dans l’aventure. Cela reste donc une expérience attrayante pour les joueurs plutôt casuels, appréciant les rythmes plus détendus.

La construction d’objets plutôt laborieuse chez MySims
La construction d’éléments extérieurs toujours aussi contraignantes chez MySims Kingdom

Si l’ambiance et l’univers charmant sont conservés, le gameplay, lui, souffre de sérieux défauts dans ce portage. Et c’est bien là le souci principal de ce pack, à vouloir jouer sur la nostalgie de sortir un pack sur une édition vieille de quinze ans, nous nous attendons à un minimum d’optimisation pour la Nintendo Switch ainsi qu’à un décor un peu plus fourni. Lorsque l’on compare avec les œuvres actuelles, MySims fait particulièrement vide. MySims Kingdom s’en sort un peu mieux avec une expérience un peu plus fluide et des animations mieux réussies que son prédécesseur. Cependant, nous ne comptons plus le nombre de fois où des quêtes ont eu du mal à se lancer, que les villageois se téléportent quand on leur parle, que les Essences se bloquent dans des endroits inaccessibles ou tout simplement des prospections d’objets souterrains qui ne voulaient pas se lancer. Il est donc plutôt dommage de proposer une expérience aussi similaire que sur la version Wii sans en avoir apporté des améliorations dignes de la Nintendo Switch. Les graphismes, quant à eux, sont malgré tout améliorés : tout est plus net et correspond à l’univers des MySims. On garde donc l’ADN des jeux avec une esthétique à base de couleurs vives et de mignonneries, mais en ajoutant une touche de modernité indéniable. On comprend donc qu’à travers ce portage, que les développeurs ont voulu garder l’expérience intacte qu’à l’époque. On se plaît à créer l’environnement le plus confortable et réconfortant possible pour nos villageois, tout en perdant notre propre notion du temps. Et pour le coup, c’est un point positif indéniable de ce pack.

Des décors un peu plats et vides dans MySims
De meilleurs efforts côté MySims Kingdom

Par ailleurs, une fonctionnalité appréciable qui fera sourire les amateurs des Sims même si cela n’apporte rien de particulier au gameplay actuel, est la discussion avec des villageois dans MySims Kingdom. Certaines personnes ne voudront pas vous aider et pour cela, il sera nécessaire d’être diplomate pour parvenir à vos fins. Un système de relations existe aussi entre les différents personnages qu’importe le jeu, cependant, cela n’affecte en rien le gameplay. Ce pack propose donc une expérience plutôt similaire entre les deux jeux. Le gameplay est quasiment le même, seuls les décors sont amenés à changer. Certains personnages de MySims iront faire un petit tour côté MySims Kingdom. On se plaira à les reconnaître et à s’amuser avec eux. Malgré tout, la gestion de la ville est plaisante. On ne sent pas le temps passé, un système de jour et de nuit est présent. Cependant, ce n’est pas en temps réel et au bout de quelques instants, le jour pointera de nouveau le bout de son nez pour que vous puissiez interagir de nouveau avec les villageois.

Une roue des discussions plutôt amusantes chez MySims Kingdom

Verdict : 6/10

MySims: Cozy Bundle est une œuvre à destination des nostalgiques qui auront encore un peu de place sur leur Nintendo Switch pour 5Go. Avec son ambiance mignonne et cozy, elle en ravira plus d’un. Malheureusement, son gameplay plutôt répétitif, les décors étonnamment vides ainsi que les nombreux bugs présents dans le jeu, pourront en repousser plus d’un. Un simulateur de vie qui rappellera la jeunesse de plusieurs personnages, le tout pour un prix plus que raisonnable pour le combo de deux jeux. Un choix, donc parfait pour les fans de l’œuvre originale, mais le manque d’originalité ainsi que les limitations techniques rendent l’expérience moins agréable qu’attendu, peut-être décevant pour ceux qui s’attendent à une expérience moderne.

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À partir d’avant-hierJV France

TEST | Mario & Luigi : L’épopée fraternelle – Une aventure chatoyante pour petits et grands enfants

Par : Turpdat
30 novembre 2024 à 09:24

Mario & Luigi : L’épopée fraternelle marque le grand retour d’une licence qui n’avait pas vu d’opus depuis 2015. Très appréciée par une base solide de fans, grâce à plusieurs opus sur 3DS notamment, la licence avait vu le jour en 2003 après un premier titre sur Game Boy Advance. Iconique, la série a su marquer les esprits par sa direction artistique très cartoon et ses combats en tour par tour dynamiques. Les deux frères viennent de faire leur grand retour sur Nintendo Switch grâce à Mario & Luigi : L’épopée fraternelle et l’opus promet quelques nouveautés, tant dans le gameplay que dans sa direction artistique. L’épopée de Mario & Luigi, vaut-elle le détour ? Verdict ci-dessous.

Article réalisé grâce à une version numérique par l’éditeur

Alors que Luigi est attaqué par une horde d’abeilles dans le royaume champignon, il tombe dans un précipice. Mario le rattrape alors de justesse en lui saisissant la main. À la suite de quoi, et par un miracle inexpliqué, les mains des deux frères se mettent à briller d’une lumière vive. Nous ignorons encore quoi, mais leur fraternité a déclenché un événement puisqu’un portail dimensionnel s’ouvre alors, aspirant les deux frères et une partie du royaume champignon vers un autre monde : le monde de Connexia. 

Échoués sur une île, les deux frères se retrouvent et font la rencontre d’Ampéria. Elle nous explique que le monde de Connexia était à l’origine un archipel dont les îles étaient toutes reliées les unes aux autres à l’Unicéa, un arbre géant qui fait office de centrale électrique alimentant en énergie toutes les îles environnantes. Cependant, une catastrophe a eu lieu, fracturant l’archipel et dispersant les îles aux quatre coins des mers. Bien évidemment, Mario et Luigi sont magnanimes et vaillants, ils proposent alors à Ampéria leur aide afin de reconnecter les îles grâce à leur phare dans le but de redonner à Connexia sa forme initiale. On aura connu mieux comme introduction, mais celle-ci permet de commencer l’aventure sans trop de fioritures.

Comme un parfum de piraterie

L’île sur laquelle se trouvent nos héros s’avère être en réalité un gigantesque bateau qu’il est possible de diriger sommairement : le Navisthme. En effet, le monde de Connexia est une gigantesque étendue maritime animée par différents courants marins qu’il est possible d’emprunter. Ces différents courants permettent à l’île de voguer aux quatre coins des mers et d’approcher d’autres îles éparpillées pour les accoster. Pour pouvoir reconnecter les îles les unes aux autres comme nos héros l’ont promis à Ampéria, il faudra tout d’abord les aborder à grands coups de canon en propulsant ainsi la fratrie sur ses côtes. Il faut donc s’en rapprocher un maximum afin de réaliser le coup de canon. Les temps de déplacement ne sont pas instantanés et bien que naviguer d’un courant à un autre s’avère amusant au début du jeu, cela devient vite rébarbatif. Fort heureusement, un mode boost permet de naviguer plus rapidement. Une option de facilité bienvenue, puisque sans elle, les sessions auraient pu s’alourdir inutilement. Outre la campagne principale qui requiert de reconnecter les îles, le jeu proposera aussi moult petites missions qui vous permettront de retourner sur vos pas afin de débloquer de l’équipement, de gagner de l’argent ou encore, des objets. Le jeu ne manque pas de contenu et la campagne peut se boucler en une trentaine d’heures pour les plus impatients.

Voguer sur les mers à la recherche d’îles à aborder
Certaines îles sont seulement là pour décorer

Et paf !

Les combats se déroulent en tour par tour, mais ils sont très simples à maîtriser. À chaque tour, plusieurs choix s’offrent au joueur, dont trois principaux : sauter sur des ennemis, le coup de marteau ou fuir. Il conviendra de choisir l’un ou l’autre en fonction des ennemis ou de la situation. En effet, certains ennemis se protègent la tête, ils seront alors insensibles aux sauts, tandis que d’autres volent et ne peuvent pas être atteints par un coup de marteau. De petites particularités défensives qui requièrent un minimum de réflexion et de jugeote avant de se lancer à l’assaut. Pour dynamiser le gameplay, le jeu permet également de décupler les dégâts de l’attaque ou bien d’esquiver une attaque ennemie en appuyant sur une touche au bon moment. Les plus couards préféreront la fuite afin d’éviter les combats. Cependant, la fuite systématique ne permet pas de progresser et pénalise le joueur sur le long terme. D’autres attaques comme les attaques frères sont, elles aussi, redoutables, mais elles consomment des points frères, il est donc impossible d’en abuser. 

Lors des combats, il suffit de choisir l’action souhaitée pour qu’elle s’exécute. Ils sont donc d’une simplicité déconcertante et la violence y est enfantine. Ils conviendront donc aux enfants à partir de 7 ans selon la classification PEGI, mais aussi aux plus grands qui pourront apprécier le titre à sa juste valeur. Car oui, même si les combats y sont très simples, le jeu se permet malgré tout quelques complexités bienvenues comme des bonus ou des objets spéciaux. Nous retrouvons notamment les prises qui octroient des avantages lors des combats pour maximiser les dégâts, ou encore, des objets permettant à Mario et Luigi de se soigner, de se réanimer en cas de KO ou de se soigner d’altérations d’état.

Une dimension RPG très facile à maîtriser

En effet, Mario & Luigi : L’épopée fraternelle propose du leveling, c’est-à-dire que vos combats vous rapportent des points d’expérience et ces mêmes points vous aident à gagner des niveaux. Chose étonnante, mais la montée de niveau des deux frères est asynchrone et au fil du jeu, l’écart entre les deux joueurs peut se creuser. Lorsque certains paliers de niveaux sont atteints, il est possible de choisir une montée en compétences comme devenir plus fort en infligeant 20 % de dégâts supplémentaires par exemple. À l’instar de la montée en niveau de nos deux héros, au fil du jeu, vous ferez face à des ennemis de plus en plus puissants et bien que la montée en niveau soit accompagnée d’une augmentation de vos points de vie, cela n’est pas suffisant pour combattre tous les ennemis, il est donc nécessaire d’adapter son équipement. S’équiper de tenues plus résistantes et de marteaux plus solides permet d’être plus résistant aux dégâts et d’en infliger davantage. Cet équipement peut s’acheter auprès de marchands ambulants disséminés ici et là, dans une boutique tenue par les frères Toad ou bien même, fabriqué sur le Navisthme. Les équipements proposés sont très simples, voire trop simples. Oubliez les statistiques compliquées : ici, les tenues ne possèdent pas d’effet ni de pouvoirs particuliers. De même, elles ne changent pas l’apparence de nos héros, ce qui aurait pu être sympathique. Surtout qu’il est d’usage de voir nos plombiers enfiler autre chose que des salopettes. Enfin, nous aurions aimé pouvoir jouer à Mario & Luigi : L’épopée fraternelle à deux, cependant, le jeu en coopération est impossible sur le titre.

Par ailleurs, l’univers de Mario & Luigi : L’épopée fraternelle a un lien évident avec l’énergie, en particulier, l’électricité : que ce soit les ennemis, les PNJ ou encore les îles à visiter, de nombreux éléments font écho à ce domaine scientifique. Nous avons trouvé que cette thématique était difficile à associer à l’esprit maritime du titre et qu’elle était trop discrète et malvenue pour être réellement impactante positivement.

Un univers coloré et chatoyant

L’un des éléments les plus marquants de Mario & Luigi : L’épopée fraternelle, c’est sa direction artistique. La licence avait habitué les joueurs à des environnements 2D la faute, sans doute, à des capacités techniques limitées sur les anciens supports. Place désormais à la 3D avec une direction artistique absolument parfaite. Les contours épais et presque naïfs de nos héros rappellent les origines cartoonesques de la série, les tons colorés et pastels de l’univers de Connexia sont absolument merveilleux sur grand et petit écran. Bien que les environnements soient dorénavant en 3D, la caméra reste fixe et centrée sur nos héros. Ce qui n’est pas surprenant pour la licence, mais qui laisse en bouche un sentiment légèrement amer puisqu’il est impossible de contempler les environs.

Outre la navigation en bateau, dès que les deux frères se parachutent sur une île, les environnements sont très beaux. Ils sont cependant relativement petits et vides, ce qui est véritablement dommage. Nous retrouvons ici et là quelques éléments avec lesquels interagir grâce aux idées surprenantes de Luigi de même que des gouffres à franchir et des passages à débloquer grâce aux différentes facultés et compétences que nos héros acquièrent lors de l’aventure et qui permettent d’agrémenter davantage le périple et forcent même, parfois, à revenir sur nos pas pour accéder à des endroits auparavant inaccessibles. L’ambiance sonore est ,elle aussi, travaillée et différente pour chaque monde, ce qui accentue le sentiment d’épopée pour nos deux frères. Chaque monde a ses environnements, ses ambiances et ses ennemis qui lui sont propres. Seuls les combats utilisent la même bande sonore qui, à la longue, devient pénible.

Verdict : 7/10

Mario & Luigi : L’Épopée fraternelle marque un retour coloré et charmant pour une série iconique. Avec un gameplay toujours aussi accessible et une direction artistique revisitée en 3D, le monde de Connexia offre des environnements chatoyants et variés, mais trop souvent vides. Les combats sont simples et adaptés à un public jeune, ils peuvent de temps en temps être redondants pour les plus vétérans malgré quelques nouveautés telles que les prises. Si l’aventure ne révolutionne pas la licence, elle reste une expérience très agréable pour les amateurs de la série, malgré quelques imperfections dans sa thématique et son exploration, avec notamment un contenu plus que correct.

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Lies of P se dotera d’un DLC en 2025 alors que les développeurs travaillent sur un nouveau projet

Par : Daneelkoa
29 novembre 2024 à 15:33

Dans le monde des souls-like, Lies of P dénote à minima en proposant un univers aussi sombre qu’un Bloodborne tout en prenant le contrôle de l’iconique Pinocchio. Ayant reçu des notes très positives, le studio Round8 profite d’un message concernant un futur DLC pour parler de son prochain titre.

Ainsi, le prochain jeu du développeur Round8 Studios sera un survival horror de science-fiction, tranchant alors avec l’envie de suivre le genre qu’est le souls-like. Rapporté par le site coréen EBN, mettant en avant surtout la vague de recrutement du studio, ce futur titre utilisera la puissance de l’Unreal Engine 5 et devrait sortir sur PC ainsi que consoles. Dans le rapport de EBN, on y découvre également la fenêtre de sortie du DLC pour Lies of P prévu pour le premier trimestre de 2025.

Éditeur principal, Neowiz a déclaré « qu’il était trop tôt pour divulguer les progrès du projet » et qu’il « s’agissait de l’un des nombreux jeux PC et consoles en développement. » Sans réelle affirmation, ce nouveau titre pourrait être produit en même temps qu’une suite à Lies of P qui, rappelons-le, a été confirmée par le réalisateur Ji Won Choi l’année dernière. 

En attendant d’en savoir un peu plus avec une potentielle vidéo de promotion, Round8 continue sur sa lancée pour devenir un leader de l’industrie du jeu vidéo en Corée du Sud.

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Xbox et Google sont en désaccord : l’application Android Xbox ne permet toujours pas de jouer en ligne ni d’acheter des jeux

Par : Turpdat
29 novembre 2024 à 08:40

Un différend oppose actuellement Xbox et Google au sujet de la vente et du lancement de jeux directement via l’application Xbox sur Android, ce qui bloque actuellement ces fonctionnalités.

Dans le cadre du procès antitrust d’Epic Games contre Google datant d’octobre dernier, Google a été contraint d’ouvrir son écosystème Android à davantage de concurrence. Dans ce contexte, Sarah Bond, vice-présidente de Xbox, avait initialement annoncé que les utilisateurs pourraient bientôt acheter et lancer des jeux Xbox directement depuis l’application Android. À ce titre, l’application Xbox Game Pass a même été abandonnée au début du mois de novembre pour permettre une migration vers l’application Xbox. Cependant, ces fonctionnalités restent encore aujourd’hui inaccessibles, la faute à Google selon Xbox.

Cependant, Google conteste cette affirmation dans un communiqué partagé à The Verge. Selon Dan Jackson, porte-parole de Google, Microsoft pourrait déjà proposer ces services via l’application Xbox, mais a choisi de ne pas le faire. Il précise que l’injonction forçant Google a été appliquée rapidement, mais que la priorité de Google reste la sécurité de l’écosystème Android, sans privilégier des entreprises comme Microsoft ou Epic Games. Ce que conteste à son tour Tim Sweeney sur X, le CEO d’Epic Games qui déclare que le communiqué de Google est trompeur. En effet, il indique que pour vendre rapidement sur l’écosystème Android, il faut utiliser les services de l’écosystème et donner 30 % de commission à Google, ce qui n’est pas acceptable.

Google’s statement is deceitful. Shame on them. They well know that the 30% cut they demand is far more than all of the profit from game streaming. They know this because they blew hundreds of millions of dollars building the failed Stadia game business themselves.

— Tim Sweeney (@TimSweeneyEpic) November 28, 2024

Pour l’instant, l’avenir reste incertain pour les utilisateurs d’Android et les joueurs Xbox sont forcés à utiliser un navigateur pour jouer aux jeux en cloud Gaming alors qu’il est aussi prévu de permettre le jeu hors catalogue Game Pass. Il n’est pas certain que les choses se décantent rapidement et cela semble administrativement compliqué.

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Microsoft Flight Simulator 2024 : les problèmes de connexion au jeu seraient résolus

28 novembre 2024 à 20:04

Après près de deux semaines de déboires, la dernière mouture en date de Flight Simulator serait enfin accessible et jouable pour tous. Plusieurs patchs sont actuellement en préparation.

Disponible depuis le 19 novembre dernier, il fut difficile pour bon nombre de joueurs de pouvoir se lancer dans la nouvelle version de Microsoft Flight Simulator 2024 – certains ne passant même pas la file d’attente permettant d’accéder aux servers du jeu. Après plusieurs jours de galères, les problèmes seraient enfin résolus, des mots mêmes de Jorg Neumann, personnalité en charge de la licence.

Nous sommes heureux d’annoncer que les problèmes d’accès et de streaming ont été résolus. La capacité de la couche de distribution a été augmentée pour répondre à l’immense intérêt suscité par le simulateur et la fiabilité est désormais supérieure à 99,99 %. Nos serveurs et services fonctionnent également comme prévu.

Ceux qui ont réussi à dépasser la file d’attente ont signalé des temps de chargement longs qui se figent à 97 %, tandis que ceux qui ont réussi à passer outre ont signalé des ressources à chargement lent et des avions manquants dans leur bibliothèque. Jorg Neumann a noté qu’un correctif avait été déployé trois jours après la sortie, ce qui a augmenté la stabilité et résolu plusieurs problèmes d’expérience. D’autres mises à jour seraient actuellement en préparation avec une sortie prévue pour le 2 décembre prochain, et une autre pour le 9 décembre. Ces patchs auront vocation à améliorer grandement la stabilité générale, tout en apportant des correctifs supplémentaires.

Neumann a également souligné que certains addons tiers pour l’édition précédente de Flight Simulator causaient des problèmes importants dans Flight Sim 2024, notamment en empêchant certains utilisateurs d’accéder au jeu. Dans l’attente d’un correctif, tous les contenus de Microsoft Flight Simulator 2020 sans rapports avec avions seront temporairement désactivés.

Microsoft Flight Simulator 2024 est disponible depuis le 19 novembre sur PC et Xbox Series X|S.

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Le PlayStation Portal sera bientôt disponible dans un nouveau coloris

Par : Turpdat
28 novembre 2024 à 08:21

Sony s’apprête à élargir sa gamme d’accessoires PlayStation avec le lancement prochain d’une version noire du PlayStation Portal.

Cette information nous provient directement de Dealabs via billbil-kun, connu pour ses révélations précises : Sony va prochainement sortir un coloris noir pour le PlayStation Portal noir. Une nouvelle couleur qui fait suite au coloris blanc classique et au coloris très limité de l’édition 30ᵉ anniversaire. Ce coloris s’inscrit dans la stratégie de Sony visant à diversifier les coloris de ses accessoires, répondant ainsi à la demande des joueurs pour des options plus personnalisées, à l’image des façades pour ses consoles.

Parallèlement à ce lancement esthétique, Sony continue de renforcer les fonctionnalités du PlayStation Portal. Depuis une mise à jour déployée le 20 novembre, une version bêta du cloud gaming est désormais accessible sur cet appareil. Cette nouvelle fonctionnalité permet aux utilisateurs de jouer à une sélection de titres directement via le cloud, sans nécessiter la possession d’une console PlayStation 5. Toutefois, cette option reste pour le moment réservée aux abonnés du service PlayStation Plus Premium.

Nous apprenions également il y a quelques jours qu’une nouvelle console portable était en préparation chez Sony, mais que celle-ci n’en était qu’au stade de prototype. Pour le moment, aucune information n’a réellement fuité à son sujet et nous ignorons aussi à quel public la console s’adressera. Sera-t-elle une concurrente aux machines de Nintendo ou bien alors, devra-t-elle concurrencer de Cloud Gaming de la firme Xbox ?

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PlayStation Plus : Jak & Daxter et Sly en tête d’affiche avec trois nouveaux jeux pour les abonnés Premium

Par : Goufixx
27 novembre 2024 à 21:49

Alors que le premier épisode de la saga Sly, à savoir Sly Raccoon est disponible depuis désormais quelques mois pour les abonnés au service PlayStation Plus Premium, la firme nippone poursuit de fêter son 30e anniversaire avec le retour du plus célèbre des ratons laveurs pour décembre. Et il ne sera pas seul…

La PlayStation 2 avait accouché de plusieurs délicieuses licences : Ratchet & Clank, Sly ou encore Jak & Daxter. Ce sont les deux dernières franchises qui nous intéressent aujourd’hui puisque PlayStation a décidé de les remettre en avant dans le cadre du 30e anniversaire de la marque. Ainsi, les joueurs auront la possibilité de jouer aux trois jeux ci-dessous à partir du 10 décembre 2024 :

  • Sly 2 : Association de Voleurs
  • Sly 3
  • Jak & Daxter: The Precursor Legacy

Les titres cités seront donc accessibles sans coût supplémentaire pour tous les abonnés au service PlayStation Plus Premium. Si Jak & Daxter: The Precursor Legacy est déjà disponible depuis plusieurs années sur PS4, les deux derniers épisodes de la saga Sly seront disponibles pour la première jouable sur PS4 et PS5. En revanche, PlayStation n’a pas annoncé si ces deux épisodes seraient récupérables hors abonnement via un achat classique (comme pour Sly Raccoon) et si le support des trophées serait de mise lors de sa sortie des titres.

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Baldur’s Gate 3 : Le cross-play arrive en janvier 2025 avec d’autres nouveautés

Par : Goufixx
27 novembre 2024 à 20:20

Annoncé il y a déjà plusieurs mois par les développeurs de chez Larian Studios, la fonctionnalité cross-play de Baldur’s Gate III n’a jamais été aussi proche. En effet, les développeurs ont annoncé que cette prise en charge n’avait jamais été aussi proche tandis que d’autres nouveautés arriveront très prochainement.

Plus d’un an après sa sortie, Baldur’s Gate III reçoit toujours des mises à jour majeures apportant du nouveau contenu plus qu’intéressant, mais surtout sans faire passer à la caisse les joueurs. Parmi les prochaines nouveautés, on notera notamment l’arrivée du cross-play, d’un mode Photo, de douze nouvelles sous-classes ainsi que la correction de nombreux bugs recensés et remontés par les joueurs. Le mode cross-play permettra donc aux joueurs sur PS5, Xbox Series X|S, PC et Mac de jouer ensemble via un lobby interne au jeu, mais également de disposer de la fonctionnalité cross-save. Il sera donc possible de commencer une partie sur console et de la poursuivre ensuite sur un ordinateur.

Pour en apprendre plus sur les prochaines nouveautés prévues, n’hésitez pas à consulter la communication complète de Larian Studios à cette adresse. Toutes ces nouveautés seront déployées via le Patch 8 qui sera disponible courant janvier 2025 via un stress test : idéal donc pour fêter la nouvelle année. Une nouvelle communication de l’éditeur est prévue pour expliquer la façon de rejoindre ce stress test, étape indispensable avec de lancer officiellement ce Patch 8 sur toutes les plateformes et tous les joueurs.

Discover what’s coming to Baldur’s Gate 3 next year with Community Update #30:

🎮 Cross-Play
📸 Photo Mode
💫 12 New Subclasses
🪱 Continued Bug Fixing
🔜 Patch 8 Stress Test – January 2025

Read more: https://t.co/HuVZ4buBuD pic.twitter.com/IPErZJXGKU

— Baldur’s Gate 3 (@baldursgate3) November 27, 2024

Pour rappel, Baldur’s Gate III est disponible sur PS5, Xbox Series X|S et PC.

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PlayStation Plus : la liste des jeux offerts pour décembre 2024 (abonnement Essential)

Par : Goufixx
27 novembre 2024 à 19:58

C’est déjà le dernier mois de l’année, et donc la dernière fournée des jeux pour les abonnés au service PlayStation Plus. Et pour conclure 2024, quoi de mieux que de proposer des jeux massivement multijoueur qui sont voués à réunir plusieurs personne, aussi bien en ligne qu’en local. C’est en tout cas le souhait de PlayStation qui propose une liste intéressante avec notamment l’un des jeux de l’année 2021.

Nous sommes le mercredi précédent le premier mardi du mois suivant, il est donc temps de connaître la liste des jeux PlayStation Plus qui arriveront dans moins de 6 jours. Pour ce mois de décembre, il faudra être accompagné avec trois productions jouables en multijoueur pour une expérience optimisée. On pensera notamment à It Takes Two qui est uniquement jouable en coopération ou en ligne avec un autre partenaire, n’oublions pas qu’il s’agit de l’un de nos coups de cœur de l’année 2021. Il serait ainsi dommage de passer à côté…

Voici le programme complet des jeux qui seront disponibles à partir du mardi 3 décembre 2024 – 11h00 :

  • It Takes Two (PS5/PS4)
  • Aliens: Dark Descent (PS5/PS4)
  • Temtem (PS5)

N’oubliez pas que vous avez jusqu’au lundi 6 janvier 2025 pour les ajouter dans votre bibliothèque. Vous pourrez bien entendu y jouer et les télécharger à volonté tant que vous possédez un abonnement PlayStation Plus actif.

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Nintendo Switch Online + Pack additionnel : trois nouveaux jeux ajoutés au catalogue SEGA Mega Drive

Par : Goufixx
27 novembre 2024 à 19:45

Depuis plus d’un an désormais, le logiciel Mega Drive accessible depuis le Nintendo eShop n’avait pas reçu de mise à jour avec de nouveaux titres accessibles. Uniquement utilisable pour les abonnés au Nintendo Switch Online + Pack additionnel, on se demandait encore si l’abonnement proposé par Nintendo était encore rentable. Avec trois nouveaux titres, nul doute que cela ravira les fans les plus téméraires de la console de SEGA.

Nintendo est d’humeur généreuse en cette fin d’année. Alors que Donkey Kong Land 1 et 2 ont rejoint le catalogue Game Boy, c’est au tour de la SEGA Mega Drive de recevoir du nouveau contenu. En effet, ce sont trois nouveaux titres qui sont désormais accessibles, dont voici la liste complète ci-dessous :

  • Mercs (Senjō no Ōkami II)
  • ToeJam & Earl in Panic on Funkotron
  • Vectorman

Découvrez la présentation de ces trois nouvelles productions qui rejoignent donc le catalogue Mega Drive via un trailer diffusé par le constructeur japonais :

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Mortal Kombat 1 : NetherRealm Studios aurait annulé les prochains contenus suite aux ventes désastreuses de l’extension Khaos Reigns

27 novembre 2024 à 14:56

Sortie il y a quelques semaines, l’extension de Mortal Kombat 1, Khaos Reigns, ne semble pas déchaîner les fans. La piètre réception du contenu additionnel aurait forcé le développeur NetherRealm à revoir ses plans.

Clap de fin plutôt que prévu pour Mortal Kombat 1 ? Suite aux ventes insuffisantes de l’extension Khaos Reigns, NetherRealm Studios aurait tout bonnement annulé le contenu à venir pour son jeu de combat. Une information en provenance d’un utilisateur Reddit, très au fait des bruits de couloirs chez le studio américain, qui affirme qu’une seconde extension histoire et un troisième pack de combattants étaient initialement prévus, mais rayés du planning après le faible engouement des joueurs pour Khaos Reigns – et plus largement pour Mortal Kombat 1, disons-le franchement.

Le DLC a été mal accueilli par les fans, se plaignant du manque de contenu proposé dans l’extension alors que celle-ci était vendue 49,99€. Cette semaine a vu la sortie de Ghostface, issu de la série de films Scream, le 10ème personnage DLC de Mortal Kombat 1 et le quatrième à être ajouté dans le Kombat Pack 2. Deux personnages sont encore à pourvoir, Conan le Barbare t le T-1000 de Terminator 2 en l’occurrence. Alors que NetherRealm Studios semblait vouloir changer sa formule, et accorder une longévité plus grande à Mortal Kombat 1 par rapport à ses précédents projets, le faible attrait pour le titre et l’échec de la première extension payante pousse ce dernier petit à petit vers la sortie.

Espérons que NetherRealm Studios puisse trouver un successeur à Mortal Kombat 1 au plus vite, soit par le biais d’un nouvel épisode de Mortal Kombat plus en phase avec l’essence de la série, ou bien grâce à un potentiel Injustice 3, autre licence phare du studio et dont le dernier opus remonte à la fin de l’année 2017.

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Clap de fin pour la Nintendo Switch en Chine

Par : Turpdat
27 novembre 2024 à 10:08

Nintendo a annoncé la fermeture définitive de l’eShop et des services en ligne de la Nintendo Switch en Chine d’ici 2026. Une fois cette échéance passée, les joueurs ne pourront ni acheter, ni télécharger de logiciels sur leur Nintendo Switch.

Nintendo va mettre fin à plusieurs années de collaboration avec Tencent qui était le revendeur des consoles Nintendo Switch sur le marché chinois. Cette décision va entraîner une disparition progressive des services de la Nintendo Switch.

À partir du 31 mars 2026, l’eShop cessera de vendre des jeux, des DLC et des logiciels, même gratuits. Ensuite, dès le 15 mai 2026, tous les services de téléchargement et d’échange de codes seront définitivement interrompus. Après cette date, les utilisateurs ne pourront plus réinstaller leurs jeux ni accéder à l’eshop en Chine.

Pour remercier les joueurs chinois de leur fidélité, Nintendo offrira jusqu’à quatre jeux parmi une sélection de titres phares. La liste inclut notamment Super Mario Odyssey, Mario Kart 8 Deluxe, Kirby Star Allies, New Pokémon Snap et Pokémon Let’s Go! (Pikachu ou Évoli), entre autres.

Cette décision semble marquer l’abandon du marché chinois par Nintendo. De leur côté, les joueurs chinois n’ont pas d’autres choix que d’accepter cette fatalité et profiter de la maigre consolation offerte par la firme avant la fin définitive de ses services sur le territoire en mai 2026.

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Baldur’s Gate 3 : Larian Studios limite le nombre de mods sur les versions consoles de leur jeu

Par : Allano Yoann
26 novembre 2024 à 22:13

Certains joueurs sur PS5 et Xbox Series X/S, avec plus de 100 mods actifs, expérimentent des ralentissements de temps de chargement et des crashs. Le développeur réagit.

Une réaction plutôt radicale mais néanmoins efficace de la part de Larian Studios, le studio de développement de Baldur’s Gate 3, afin d’empêcher d’autres problèmes d’apparaître. Depuis le lancement du patch 7 du jeu, intégrant l’outil de modding officiel, plus de 50 millions de mods ont été téléchargés par les joueurs depuis septembre sur PC et octobre sur consoles. Et bien qu’il n’y ait qu’une poignée de joueurs ayant plus de 100 mods actifs sur une même save, cela reste un problème important pour le studio qui souhaite que le jeu ne dépasse pas les limites de la console.

Les consoles qui, contrairement au PC, ne peuvent gérer qu’un nombre limité de fichiers à la fois semblent rapidement saturées plus il y a de mods d’installés. C’est pour assurer une stabilité de jeu que Larian fixe une limite de 100 mods actifs par save sur consoles. Larian indique également que les joueurs ayant une telle save ne pourront plus y jouer pendant quelque temps, une autre mise à jour est attendue pour régler ce problème.

Baldur’s Gate 3 est sorti le 3 Aout 2023 sur PC, puis les 6 septembre et 8 décembre 2023, respectivement sur PS5 et Xbox Series.

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RUMEUR | Yu-Gi-Oh! Early Days Collection : Tous les jeux de la compilation seraient connus, découvrez la liste complète

Par : Goufixx
26 novembre 2024 à 19:36

Annoncé pour une sortie lors du dernier jour de février 2025 sur Nintendo Switch et PC, le contenu de la compilation Yu-Gi-Oh! Early Days Collection n’était pas connu dans son intégralité. Certains magasins ont depuis ouvert les précommandes avec des boîtes factices qui dévoilent plus d’informations que connues officiellement.

Nous ne connaissions que huit titres sur les quatorze annoncés, mais il semblerait que la liste finale soit désormais d’actualité. En effet, certains revendeurs via le verso des jaquettes ont vendu la mèche un peu trop rapidement et nous connaissons donc les six titres manquantes. Il s’agira notamment de titres sortis précédemment sur Game Boy Advance avec rappelons-le une première sortie en dehors du Japon pour certaines productions.

Sans plus tarder, voici la liste complète des jeux qui devraient être présents dans la compilation :

  • Yu-Gi-Oh! Duel Monsters (Game Boy)
  • Yu-Gi-Oh! Duel Monsters II: Dark Duel Stories (Game Boy Color)
  • Yu-Gi-Oh! Duel des Ténèbres (Game Boy Color)
  • Yu-Gi-Oh! Duel Monsters 4: Battle of Great Duelist (Game Boy Color)
  • Yu-Gi-Oh! The Eternal Duelist Soul (Game Boy Advance)
  • Yu-Gi-Oh! Duel Monsters 6: Expert 2 (Game Boy Advance)
  • Yu-Gi-Oh! Les Cartes Sacrées (Game Boy Advance)
  • Yu-Gi-Oh! Reshef le Destructeur (Game Boy Advance)
  • Yu-Gi-Oh! Monster Capsule GB (Game Boy Color)
  • Yu-Gi-Oh! Dungeon Dice Monsters (Game Boy Advance)
  • Yu-Gi-Oh! Worldwide Edition: Stairway to the Destined Duel (Game Boy Advance)
  • Yu-Gi-Oh! World Championship Tournament 2004 (Game Boy Advance)
  • Yu-Gi-Oh! Destiny Board Traveler (Game Boy Advance)
  • Yu-Gi-Oh! Le Jour du Duelliste : World Championship Tournament 2005 (Game Boy Advance)

Apparently the full list of games featured in Yu-Gi-Oh! Early Days Collection has leaked

Pre-order links in a reply!

14 games included
– Duel Monsters
– Duel Monsters II: Dark Duel Stories
– Monster Capsule GB
– Dark Duel Stories
– Duel Monsters 4: Battle of Great Duelist
-… pic.twitter.com/u2N1Jf8sE6

— Nintendeal (@Nintendeal) November 25, 2024

Pour rappel, Yu-Gi-Oh! Early Days Collection sera disponible le 28 février 2024 sur Nintendo Switch et PC.

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Nintendo Switch Online : Donkey Kong Land 2 est désormais disponible sur Game Boy

Par : Goufixx
26 novembre 2024 à 16:59

Alors que le premier épisode est disponible depuis seulement vendredi dernier sur Nintendo Switch pour les abonnés au service Nintendo Switch Online, le deuxième épisode de Donkey Kong Land arrive à son tour via le catalogue dédié.

C’est une petite surprise en ce lundi puisque Donkey Kong Land 2 est maintenant disponible via l’application Game Boy dédiée sur Nintendo Switch. En effet, seulement trois jours après l’ajout du premier épisode, voilà que le second opus débarque dès maintenant via une mise à jour de l’application. Rappelons que le Donkey Kong Land 2 est sorti seulement un an après Donkey Kong Land, soit en 1996.

Sans plus tarder, découvrez la bande-annonce associée à ce Donkey Kong Land 2 :

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TEST | Razer Kishi Ultra : une manette premium de qualité destinée aux smartphones et tablettes

Par : Goufixx
26 novembre 2024 à 16:35

Le marché des consoles portables est aujourd’hui acquis à la cause de Nintendo avec sa fameuse Nintendo Switch 2. Alors que tous les regards sont tournés vers la firme de Kyoto concernant une annonce très prochaine de son successeur, certains constructeurs tentent de se faire remarquer avec une approche assez simple : proposer une manette pour smartphones ou tablettes et ainsi utiliser un hardware déjà ancré dans nos habitudes. C’est le cas de Razer qui propose depuis plusieurs mois le Kishi Ultra, un périphérique premium aux fonctionnalités diverses. Noël approchant, découvrez dans notre test complet si ce périphérique est une bonne affaire ou non.

Test réalisé suite à un exemplaire fourni par le constructeur

Fiche technique :
  • Marque : Razer
  • Modèle : Kishi Ultra
  • Connectivité : USB-C, prise jack 3.5mm
  • Chargement : port de charge pass-through
  • Batterie : non
  • Joysticks cliquables : oui
  • Ajustement de la sensibilité : oui (via application)
  • Boutons multifonctions : 2 (R4 et L4)
  • Boutons d’actions méca-tactiles : oui
  • Butées de gâchettes : non
  • Taille : 110,8mm (longueur), 244,8mm à 344,8mm (plier / déplier), 64.3mm (hauteur)
  • Poids : 266g (sans smartphone)
  • Éclairage : Chroma RGB
  • Application : Razer Nexus
  • Accessoires inclus dans la boîte : adaptateurs iPhone, iPad et Android
  • Comptabilité (officielle) : iPad, iPhone (iOS 17 minimum), Android (version 12 minimum) et PC (Windows 11 avec câble)
  • Couleur disponible : noir
  • Date de sortie : 18 avril 2024
  • Prix de lancement : 169,99€

Une marque habituée des manettes portables

Si Razer est connue pour ses périphériques à destination des consoles et des PC avec notamment la sortie récurrente de casques, claviers et souris, la marque singapourienne est également bien présente sur le marché mobile. En effet, la gamme Kishi existe depuis 2020 et ne cesse de se garnir avec de nouveaux produits qui viennent à chaque fois améliorer le produit par petites… voire grandes touches. À ce jour, nous pouvons retrouver plusieurs produits de la gamme directement sur le site de Razer : Kishi V2, Kishi V2 Pro et le Kishi Ultra. C’est ce dernier produit qui nous intéresse aujourd’hui et c’est tout simplement ce qu’il se fait de mieux chez Razer : vous allez voir dans notre test complet que cette manette détient (presque) toutes les fonctionnalités nécessaires pour conquérir le cœur des joueurs nomades.

Vous l’aurez remarqué dans la fiche technique du produit, ce Razer Kishi Ultra est tout de même vendu aujourd’hui au prix conseillé de 169,99€, et aucun hardware n’est donc fourni avec le périphérique tandis qu’une Nintendo Switch Lite est trouvable en promotion aux alentours des mêmes prix. Concernant la concurrence, les regards sont bien évidemment tournés vers la Backbone One, une manette vendue à un prix plus accessible, mais qui présente également des fonctionnalités et des possibilités nettement moins développées. Au premier déballage, ne vous attendez pas à grand-chose puisque la marque singapourienne se contente pour le coup du strict minimum : la manette de jeu avec un port USB-C (les possesseurs d’un iPhone ou iPad doté d’un port Lightning se tourneront vers d’autres constructeurs), trois adaptateurs à clipser aux extrémités de la manette pour accueillir les appareils suivants :  iPhone 15, iPad Mini (6e génération) et Android. De notre côté, nous n’avons opté pour aucun des trois adaptateurs car nous avons souhaité conserver notre coque de protection lorsque notre téléphone était connecté au Kishi Ultra. Enfin, petit regret concernant la fourniture d’accessoires et ce, une nouvelle fois au vu du prix de vente assez élevé pour un tel périphérique : pas de housse de protection ni même un câble USB-C pour connecter au PC. Quand on sait que l’appareil est voué à être transporté, cela aurait été un plus non-négligeable.

La connexion avec un PC est d’une facilité extrême

Pour conclure sur les connexions possibles, sachez que la connexion au PC est d’une extrême facilitée : il suffira de connecter via un câble USB-C (en filaire donc) votre manette pour que cette dernière soit rapidement détectée par l’ordinateur. Aucun problème de compatibilité n’a été recensé puisque cette dernière s’identifie comme une manette de Xbox 360 : la plupart des jeux supportant la manette étant compatibles avec ce modèle de périphérique, n’ayez aucune crainte concernant sa compatibilité avec un maximum de titres. À noter que le port USB-C est également capable de fournir de l’énergie à votre smartphone, mais seulement 15V : c’est déjà ça, mais il s’agit plus d’une fonctionnalité gadget qu’autre chose. Enfin, un port jack 3.5mm est disponible sur le côté gauche de la manette vous permettant ainsi d’y connecter un dispositif audio filaire. Le tout fonctionne correctement et aucune remarque particulière n’est à ajouter.

Une prise en main optimale

À l’instar des manettes destinées aux smartphones imaginées par Razer et ses concurrents, nous avons le droit à une manette qui s’auto-alimente grâce à la batterie du smartphone. Comprenez ici que votre manette ne sera jamais en rade et vous accompagnera sans difficulté lors de vos nombreux déplacements. Précisons avant d’entrer dans le vif du sujet que la manette a été testée avec deux appareils différents et que les résultats obtenus sont identiques : un POCO X6 Pro et un Oppo Find X3 Neo. En fonction de la taille de votre smartphone, vous devrez tirer sur les côtés de la manette pour permettre l’encastrement de ce dernier dans le compartiment approprié et bien le connecter avec le port USB-C de la manette. Une fois la première connexion effectuée, un écran s’ouvrira vous demandant de télécharger l’application dédiée pour débuter le paramétrage de notre périphérique. Intitulée Razer Nexus, elle s’agit tout simplement de la colonne vertébrale du système : elle est bien plus qu’un simple launcher et un hub regroupant diverses applications, elle vous permettra de régler comme bon vous semble votre Razer Kishi Ultra en fonction de vos envies.

Nous n’avons pas encore parlé de la manette en elle-même : pesant tout de même aux alentours de 266g nue, nous nous retrouvons avec facilement plus de 400g dans les mains une fois le smartphone connecté à la manette. De notre côté, le poids d’ensemble ne nous a pas dérangé, mais pourrait gêner certains joueurs espérant un ensemble poids plume. Mais cette ceinture lourde s’explique assez facilement, et notamment tout le concentré de technologies dont dispose la Razer Kishi Ultra : retours haptiques HD (Razer Sensa), présence de RGB avec la technologie Razer Sensa HD et touches premium avec notamment la présence d’une touche supplémentaire paramétrable à notre guide (R4 et L4). On retrouve ainsi la présence des boutons habituels, à savoir deux joysticks cliquables au positionnement proches de ce que propose la Nintendo Switch, mais qui sont nettement plus confortables et qualitatifs que la console portable produite par la firme de Kyoto.

La prise en main est agréable et le Razer Kishi Ultra s’adapté à tous les types de périphériques

En effet, nous avons le droit à des joysticks creux qui permettent une parfaite harmonie avec nos doigts offrant ainsi une précision et un confort supplémentaire non-négligeable : les utiliser est un pur plaisir et on ressent la qualité premium du produit. À droite, on retrouve notamment les boutons A/B/X/Y disposés de la même manière qu’une manette Xbox, ainsi que la présence d’un bouton Options et d’un autre permettant de revenir rapidement vers Razer Nexus. À l’arrière, la présence des boutons R1, R2 et R4 qui sont entièrement paramétrables. À noter que ces boutons R4 et L4 sont accessibles via les index de vos mains, mais les petites mains comme celles de notre testeur devront faire légèrement glisser la manette pour y accéder : un élément à considérer qui ne doit pas être un frein pour passer à l’achat.

Sur la partie gauche, nous avons donc le droit à une flèche directionnelle avec huit clics possibles pour une précision accrue (parfait pour les jeux de combat notamment). Trois autres boutons sont également disposés sur la partie avant avec un bouton pour revenir sur l’écran d’accueil du téléphone, un autre pour ouvrir le gestionnaire de tâches et un dernier qui vous permettra de capturer des photos (ou des vidéos en maintenant appuyé ce dernier). À l’arrière, on retrouve une configuration similaire avec la présence des boutons L1, L2 et L4. Le véritable point fort de cette manette réside notamment dans la présence de poignées pour saisir ce Razer Kishi Ultra : nous n’avons senti aucune douleur lors de nos multiples sessions de jeu grâce à ce système absent chez beaucoup de concurrents. Le fait d’avoir la manette dans la paume de la main allégeant ainsi la charge des poignets vous permettra d’enchaîner sans souffrir plusieurs heures de jeu d’affilée. Autre point fort de ce Razer Kishi Ultra : la qualité de fabrication générale du produit qui, une nouvelle fois, traduit un aspect premium non-accessible au premier venu. Malgré un plastique noir mat qui peut faire peur aux premiers abords, chaque appui sur une touche est hyper satisfaisant avec notamment la présence de switchs (comme sur un clavier) offrant un clic audible, mais réconfortant.

Compatibilité accrue et fonctionnalités nombreuses

Avec Razer Nexus comme fer de lance sur smartphones, le Razer Kishi Ultra dispose ainsi d’une application unique centralisant tous les jeux installés sur votre téléphone, mais c’est également le lieu pour paramétrer à votre guise votre manette. On y retrouve ainsi une première partie de l’écran qui présentera les applications installées ainsi que celles que vous avez placées dans la partie Favoris. Il faut admettre que l’application est stable et propose moult fonctionnalités bienvenues. On retrouvera également des applications tierces comme PXPlay pour jouer à distance dans de bonnes conditions à votre PS5/PS4 mais également vos émulateurs. Un peu plus bas, on apercevra les jeux Xbox jouables via le Cloud et il sera possible de s’y rendre rapidement. Malheureusement et depuis quelques jours, ces jeux sont uniquement jouables via un simple navigateur internet et non plus par le biais d’une application spécifique : à voir si Razer met prochainement à jour son application pour refaire les liens vers notre navigateur internet favori. L’application est également force de proposition et mettra en avant les titres du moment et encore plus bas, les meilleurs titres compatibles selon les genres (plates-formes, jeu de course…). En cliquant sur un titre qui vous intéresse, vous serez redirigé vers le Google Play Store ou l’App Store pour finaliser votre choix ou en apprendre plus sur le titre.

Razer Nexus n’est pas qu’un simple hub présentant les jeux mobiles compatibles avec votre manette, c’est également l’endroit où vous aurez la possibilité de paramétrer toutes les fonctionnalités bonus qui justifient en partie le prix de ce Razer Kishi Ultra. Nous en parlions un peu plus haut dans les possibilités offertes par la manette, cette dernière prend en charge Razer Chroma RGB et Razer Haptique HD Sensa. Pour la première fonctionnalité, sachez qu’il est possible de paramétrer en profondeur les deux parties RGB en sélectionnant une couleur fixe (avec une possibilité de choisir précisément le code couleur voulu) ou une animation parmi deux possibles. Il est également possible de sélectionner l’intensité des couleurs, la vitesse de défilement dans le cas où plusieurs couleurs s’afficheraient successivement : les amateurs de RGB seront donc ravis de cette fonctionnalité. Enfin, concernant la cerise sur le gâteau, il sera possible de diffuser en live sur Facebook ou YouTube votre écran de téléphone rapidement en associant votre compte à l’application : une excellente possibilité si jamais vous êtes un streamer. Pour les retours haptiques, il est possible de régler son intensité, mais cette fonctionnalité n’est pas prise en charge par toutes les applications. Enfin, il sera possible d’affecter les fameuses touches L4 et R4 à une fonctionnalité spécifique sur Android et PC, mais également de calibrer le stick ou encore de choisir le mode pour chaque gâchette entre analogique (appuyé ou pas appuyé) ou numérique (intensité définissable en fonction de l’appui de notre doigt). Vous l’aurez compris, ce Razer Kishi Ultra est personnalisable à souhait, et le tout donne une sensation de personnalisation extrême qui satisfera aussi bien les bidouilleurs que les joueurs souhaitant une expérience complète.

La personnalisation des touches et du RGB est d’une facilité extrême

Pour conclure sur cette manette, il nous paraît important de vous exprimer notre ressenti général sur les applications que nous avons pu utiliser lors de ce test. Pour la plupart des applications, la manette a été immédiatement reconnue, ou alors, il a fallu paramétrer dans le menu du jeu la prise en charge de la manette sur Actif. Que ce soit PXPlay (application permettant de jouer à distance PS5/PS4 avec une meilleure qualité que l’application officielle) ou le Xbox Cloud Gaming via navigateur internet, le tout a fonctionné correctement et immédiatement. Même son de cloche pour les jeux : que ce soit l’excellent Wreckfest ou encore le fameux Fall Guys, la prise en charge de la manette fut immédiate, mais sans les retours haptiques. En revanche, Call of Duty Mobile ne prend pas en charge les manettes connectées physiquement sur Android : et c’est là que le Razer Kishi Ultra tire son épingle du jeu. Grâce à la fonctionnalité de manette virtuelle, il va être possible d’attribuer certaines zones de l’écran tactile à des boutons de la manette. Dans le titre développé par Activision, les actions sont représentées par des petites bulles : imaginez que vous attribuez à la petite bulle grenade la touche R1. En appuyant sur R1, cela va donc simuler que vous appuyez sur cette zone de l’écran, et vous lancerez alors une grenade. Une fois que le paramétrage a été effectué correctement, le jeu est désormais plus agréable et enfin jouable à la manette. Cette possibilité est tout simplement le killer-app et cette idée de la marque singapourienne fonctionne parfaitement, permettant ainsi à des jeux non-compatibles à la manette de l’être, à condition de prendre son temps pour paramétrer le tout correctement.

Verdict : Leader dans son domaine

Le Razer Kishi Ultra est une excellente manette qui s’adapte à tous les types de périphériques mobiles : smartphones Android, iOS et tablettes à partir du moment où ces dernières sont pourvues d’un port USB-C. Grâce à ses prises qui procurent un confort inégalé pour les poignets, ses LED RGB paramétrables et une comptabilité avec bon nombre d’applications dont le Xbox Cloud Gaming et le lecteur à distance de la PS5/PS4, cette manette est ce qu’il se fait de plus complet sur le marché, la force notamment à une qualité de fabrication irréprochable. Mais le confort a un prix, et nous nous attendions pour un prix aussi Premium à ce que des accessoires, comme une housse ou un câble USB-C soient fournis. Si vous avez les moyens et l’envie d’investir dans un tel produit, le Razer Kishi Ultra est un produit qui mérite toute votre attention puisqu’il est tout simplement l’une des meilleures manettes d’un marché de plus en plus concurrentiel.

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TEST | Ravenswatch : Il était une fois… des cauchemars

Par : Daneelkoa
26 novembre 2024 à 10:00

L’univers des rogue-likes fonctionne plutôt bien en ce moment, avec l’excellent Early Access de Hades II ou encore The Rogue Prince of Persia et son ultime mise à jour graphique. Dans cette flopée de titres, difficile de se faire un nom parmi les légendes. C’est ainsi qu’est né Ravenswatch, un titre s’inspirant des plus grands, tout en usant de ses propres références pour créer un univers basé sur les contes et les légendes. Installez-vous bien confortablement sous la couette et prenez une bonne tasse de chocolat chaud, il est temps de vous raconter l’histoire d’un titre bien particulier.

Test réalisé sur PC grâce à une version numérique fournie par l’éditeur

Qu’est-ce que cela donnerait si…

Développé par les Lyonnais de Passtech Games et édité par Nacon, Ravenswatch n’est plus tout jeune sur le marché vidéoludique. Sorti une première fois en accès anticipé l’année dernière, avec de plutôt bons retours venant des joueurs PC, dont 600 000 sont actifs via la plateforme Steam, le titre s’ouvre enfin aux consoles de salon. Surfant sur les plates-bandes de titres comme Hades ou encore Curse of the Dead Gods, une ancienne production du studio, Ravenswatch se différencie de ses homologues en puisant dans les contes et les légendes de notre enfance. Autre point de différence à noter, et pas des moindres, sa possibilité de multijoueur rappelant les vieux titres comme Gauntlet ou encore Trine. Il est juste dommage que celui-ci ne soit réservé qu’aux joueurs en ligne et non en local, mais on se contentera toutefois de sa possibilité de cross-plateforme. De ce fait, trois autres compagnons de voyage pourront tout de même vous accompagner dans la chasse aux cauchemars, et cela sera très utile pour compléter certaines quêtes. Mais avant de nous éparpiller, ouvrons nos bouquins pour comprendre ses enjeux.

Une drôle de créature n’est-ce pas ?

Il était une fois un monde rempli de rêves, envahi par de terribles cauchemars, terrorisant et annonçant la fin des temps. Pour y faire face, neuf héros se dressent contre le mal et forment les principaux membres du groupe des Corbeaux, protecteurs de Rêverie. Ce groupe, composé de héros de grande renommée comme le Petit Chaperon rouge, Aladdin ou encore Sun Wukong, forme ainsi le principal rempart face aux hordes de monstres envoyées par des Maîtres-Cauchemar. Et… eh bien, c’est tout. L’histoire de Ravenswatch semble être assez pauvre tant elle se dévoilera difficilement aux joueurs. Seule solution : achever les quêtes personnelles de ses personnages ou, après chaque run, des morceaux de leur histoire viendront étoffer celle bien sombre du titre. De même, certaines quêtes secondaires assombriront davantage cet univers, à l’image du roi Arthur qui se transforme en chevalier maudit dans l’une d’elles. Même s’il est difficile de s’investir dans l’univers au premier abord, ses personnages ainsi que sa prise en main sont de très bonne facture, nous incitant toujours plus à revenir.

Que tu as de grandes dents !

Après avoir choisi son aventurier parmi les quatre personnages de départ, à savoir le Petit Chaperon rouge, Beowulf, le joueur de flûte et la Reine des neiges, vous êtes transporté dans le premier chapitre du titre nommé La Colline sombre. La première chose qui marque, au-delà de sa prise en main et de sa caméra en vue du dessus, sont les informations visuelles que le jeu nous donne. On fait face à une carte, découpée en plusieurs zones et générée procéduralement avec plus ou moins de points d’intérêt à découvrir ou alors à révéler. Mais ce qui attire à coup sûr notre attention est une barre indiquant le temps qui passe et seul repère sur l’élément le plus important du titre : le temps restant avant l’apparition d’un Maître-Cauchemar sur la carte. Boss ultime qui, une fois vaincu, vous permet de continuer jusqu’au prochain chapitre. Une barre affichant ainsi trois jours, équivalant à vingt minutes de jeu, complétée par un système de jour et de nuit influant sur les capacités de nos personnages, mais aussi sur celles des ennemis, à l’image des loups, actifs le jour et qui dorment la nuit.

Avec un temps assez court, il faudra bien réfléchir pour faire évoluer de niveau notre personnage, mais aussi pour trouver des équipements adéquats avant de lancer un nouveau combat. Heureusement, tant que vous ne sortez pas du cercle d’invocation, le compteur n’est pas lancé. Il est donc primordial d’analyser la carte et les différents points d’intérêt, de planifier ses déplacements avant même de se lancer dans l’aventure. Concernant la carte, de nombreuses icônes s’afficheront allant du simple coffre à ouvrir, d’un grimoire de compétences, de talents à améliorer et jusqu’aux quêtes secondaires plus ou moins longues, mais aux récompenses alléchantes. On aimera tout particulièrement ces évènements secondaires, complètement optionnels, qui feront intervenir d’autres personnages bien connus comme Les Trois Petits Cochons ou Simba.

Le combat risque d’être plus difficile que prévu…

Une fois le chemin choisi par notre équipe, il est temps de se lancer et de combattre les nombreux ennemis qui se dresseront devant nous. Pour nous aider dans l’oblitération de ces viles créatures, nos différents personnages pourront lancer quatre sorts principaux, améliorables au fil de nos explorations, ainsi qu’une compétence ultime qui se débloque au niveau 5. Ces cinq compétences, allant d’un sort de zone à celui de corps à corps, seront complétées par une ruée faisant office d’esquive. L’ensemble sera complété d’un principe de cooldown, empêchant le spam intempestif des sorts les plus létaux. Même si nous ne pouvons que trop vous conseiller de tester tous les personnages et toutes les combinaisons possibles, et ainsi trouver celui qui vous conviendra le mieux, il y en a certains qui semblent être largement plus avantagés que d’autres. Cela se confirme surtout en solo, où des personnages comme Gepetto ou encore Sun Wukong seront avantagés par leurs capacités. Le premier pouvant invoquer des marionnettes pour l’aider à faire face aux ennemis et le second pouvant alterner entre se donner de la vie ou taper plus fort. Il est donc primordial, avant même de lancer un chapitre, de trouver chaussure à son pied et ainsi être plus à l’aise au combat, car ceux-ci seront assez rudes, même venant de simples petits mobs.

Des améliorations à découvrir à force de jouer avec un personnage

Rogue-like oblige, une mort signera l’arrêt total de votre aventure ainsi que la perte de l’ensemble de vos équipements durement acquis. Et des morts, vous en aurez à travers les trois seuls chapitres du titre. Même si le jeu reste assez tolérant en solo en vous octroyant la possibilité de revivre six fois. Il sera donc important de trouver l’équilibre entre combattre des ennemis pour monter son niveau, récupérer des objets intéressants, voire affronter des boss secondaires pour tenter de faire baisser la vie du Maître-Cauchemar de la zone. Si toutes ces conditions sont réunies et que vous terminez sans encombre le premier chapitre, le titre vous proposera alors la possibilité de sauvegarder et d’arrêter le niveau ou alors de continuer vers le second chapitre. En prenant la deuxième option, et après un chargement un peu long, on se retrouve dans un nouveau biome avec à nouveau le système de gestion de temps.

Mais là où, dans la première run, la planification pouvait se faire assez rapidement, le second chapitre introduit un nouvel élément : celui du Marchand de Sable, présent à l’endroit de l’apparition et vous permettant de dépenser l’argent glané lors de vos expéditions. Ainsi, en plus de devoir alterner entre augmenter son niveau ou alors récupérer des équipements, il faudra aussi chercher de l’argent pour acheter des améliorations de talent dans le chapitre suivant. De l’argent qui, à l’inverse de titres plus connus, devra être trouvé et récupéré sur des pierres durement gardées. À nous alors de réfléchir à nos actions avant chaque début d’aventure, de tracer notre chemin tels des aventuriers partant à l’exploration. Une exploration se faisant au niveau du gameplay et de son système de planification, mais aussi à travers ses décors riches en histoire.

Et que tu as de beaux yeux ! 

Au-delà d’un gameplay simple sur le papier, mais difficile à maîtriser, Ravenswatch se démarque avec un style très prononcé à mi-chemin entre dessin à la main et rendu dans le style comic book. Cela rappellera forcément Darkest Dungeon tant les deux styles se rapprochent. Ainsi, avec une patte artistique marquée, l’univers de Ravenswatch l’est tout autant avec des créatures difformes et des héros bien sombres. Nous nous retrouvons alors avec un Petit Chaperon rouge roublard pouvant se transformer en loup-garou la nuit, un Gepetto inventeur fou s’imaginant pouvant enfermer un cauchemar dans une de ses marionnettes ou encore un Aladin en prince déchu de son royaume. On ressent ainsi le souci du détail des développeurs aussi bien dans l’esthétique, qui sert de toile de fond à l’histoire grâce à ses décors, que dans les histoires racontées par les personnages. En effet, les héros augmentent de niveau et développent alors leur propre histoire, cela sous forme de textes romancés et parfois sous forme de poèmes. Le souci du détail que l’on appréciera, même si le texte est quelque peu petit sur une télévision.

Un choix entre 4 héros de départ
Chacun raconte leur histoire

En plus de l’esthétique et du développement des héros, les trois chapitres nous présentent plusieurs biomes allant d’obscures forêts à un château en proie à de la corruption. On regrettera cependant le traitement de certaines zones, parfois un peu brouillonnes en raison du style choisi, ce qui peut rendre les ennemis difficiles à distinguer. Mais, ce détail n’est que mineur par rapport à la beauté graphique que nous propose Ravenswatch. Que cela soit à travers les personnages et le bestiaire, les décors, mais aussi les nombreux effets de sort qui apporteront un jeu d’ombre et de lumière plutôt intéressant, le jeu reste stable et fluide sur l’ensemble de notre session. 

Du côté de la bande sonore, celle-ci sera signée par Joonas Turner, déjà compositeur pour Curse of the Dead Gods. Il réalise alors des pistes pour chaque région explorée de types orchestraux, reflétant l’ambiance et l’atmosphère si sombre de Ravenswatch. Pour ce qui est des musiques en combat, bien qu’elles soient moins mémorables que celles contre les boss, elles seront assez efficaces pour traduire l’adrénaline des affrontements, mixée à un bruitage de plutôt bonne facture.

Verdict : 7/10

Ravenswatch est une bonne surprise sur console, en partant du principe qu’il était déjà bon sur PC. La prise en main à la manette s’avère assez intuitive, bien qu’un poil tendue lors d’activations de nombreux sorts. Outre son gameplay efficace et sa patte artistique marquante, on notera la prise de risque des développeurs en retravaillant des personnages de contes iconiques, quitte à les rendre plus sombres qu’ils ne l’étaient déjà. Ce choix, particulièrement bien amené, aurait néanmoins gagné à être plus exploité à travers davantage de chapitres, plutôt que seulement sur trois. Même si cette dernière offre beaucoup de rejouabilité via son système de génération procédurale. Autre gros point positif : son multijoueur, qui propose du cross-plateforme et permet à n’importe qui de rejoindre une session. Côté durée de vie, si vous êtes des joueurs aguerris, le titre pourra se terminer en seulement 3-4 heures. Mais, si vous êtes un néophyte du genre ou un complétionniste, comptez 7 à 10 heures de jeu. Lorsque l’on compare son temps de jeu avec son prix, cela reste tout à fait raisonnable. Ravenswatch est une bonne petite pépite qui plaira tant aux fans du genre qu’au débutant. Difficile à appréhender au départ, il attire néanmoins les joueurs grâce à son esthétique, tel un loup déguisé en grand-mère.

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Microsoft reconnaît que la dernière mise à jour de Windows 11 empêche le bon fonctionnement de certains jeux Ubisoft

25 novembre 2024 à 16:49

Certains jeux du groupe Ubisoft sont actuellement en proie à des soucis d’ordre technique. Un fait récurrent diront certains. Mais si, pour une fois, le problème ne venait pas d’Ubisoft lui-même, mais de Microsoft, et de Windows plus précisément ? La firme américaine répond.

Les joueurs ont signalé avoir des problèmes avec une poignée de jeux édités par Ubisoft. Pour une fois, la compagnie française ne serait pas à blâmer en premier lieu. La cause ? La version 24H2 de Windows 11 qui semble être la source du problème. Un fait acté par Microsoft, qui s’est empressé de répondre :

Après avoir installé Windows 11, version 24H2, vous pourriez rencontrer des problèmes avec certains jeux Ubisoft. Ces jeux peuvent ne plus répondre lors du démarrage, du chargement ou pendant une phase de jeu active. Dans certains cas, les utilisateurs peuvent recevoir un écran noir.

Pour s’assurer que les joueurs ne rencontrent pas ces problèmes, Microsoft affirme avoir appliqué un « gel de compatibilité » sur les PC sur lesquels l’un des jeux ci-dessus est installé, ce qui signifie que la dernière mise à jour de Windows ne leur sera pas encore automatiquement appliquée. Dans le même temps, Ubisoft a publié un correctif temporaire pour Star Wars Outlaws en même temps que son patch 1.4 pour les joueurs qui ont déjà installé la mise à jour, mais note qu’il n’est pas parfait et qu’il y aura toujours des problèmes jusqu’à ce qu’une solution appropriée soit déployée.

Mais quels sont les jeux concernés ? Si le nom de Star Wars Outlaws a été évoqué ci-dessus, quatre autres jeux semblent connaître la même tourmente, dont trois titres de la saga Assassin’s Creed. Voici, ci-dessous, la liste des jeux concernés :

Espérons qu’une solution soit vite trouvée afin de remettre ces titres sur les meilleurs rails.

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Une nouvelle PlayStation Portal serait bel et bien en préparation

Par : Daneelkoa
25 novembre 2024 à 09:13

Il y a encore quelques jours, la PlayStation Portal de chez Sony recevait une nouvelle mise à jour très attendue par les joueurs permettant aux abonnés du PlayStation Plus Premium de jouer en streaming. Une mise à jour appréciable, qui prend tout son sens lorsque l’on sait que Sony préparerait une nouvelle version du périphérique.

Une information que l’on tient du média Bloomberg affirmant que Sony Interactive Entertainment serait dans les premiers stades de développement du dispositif. L’idée de cette nouvelle version serait d’étendre la portée de Sony tout en attaquant le marché du jeu portable, dont Nintendo reste le leader. En plus de cela, l’objectif est aussi de contrer tout matériel potentiel de Xbox, qui travaillerait lui aussi sur des prototypes de consoles portables.

Toutefois, cette nouvelle version ne serait pas prête à sortir tant elle est à ses débuts de développement. Il en reste que l’idée première serait de s’appuyer sur la PlayStation Portal actuelle qui, on le rappelle, est sortie en 2023. Cette envie qu’a Sony de s’étendre s’affiche de plus en plus, à l’image de la mise à disposition de son catalogue de jeux sur les supports PC ainsi que des titres en direct.

La guerre des consoles se concentre de plus en plus sur le marché des jeux mobiles, tentant alors de se faire une place dans une jungle où les smartphones dominent. Reste à savoir si l’expérience des constructeurs fera la différence.

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Assassin’s Creed Shadows dévoile ses systèmes de furtivité et d’assassinat

Par : Sygerdor
23 novembre 2024 à 22:57

Alors que la date de sortie approche, Ubisoft révèle une partie du gameplay du personnage de Naoe, une des deux protagonistes d’Assassin’s Creed Shadows, à travers une série de courtes vidéos démonstratives. L’occasion de voir à l’œuvre les compétences de la shinobi spécialisée dans le meurtre.

Selon les dires de Simon Lemay-Comtois, le Game Director associé du jeu, le gameplay de furtivité a été grandement revu avec de nouvelles ambitions. Les changements apportés par l’ambiance japonaise et l’absence de l’aigle-compagnon ont conduit le studio à se tourner vers une nouvelle philosophie de la furtivité : mettre en avant les perceptions de l’avatar et favoriser les approches tactiques tournées vers l’improvisation.

Les nouveautés du système de furtivité d’Assassin’s Creed Shadows

L’observation

L’observation est une compétence partagée par Naoe et Yasuke. Elle permet d’obtenir des informations supplémentaires sur les cibles de manière claire et rapide. Il sera possible de marquer ses ennemis pour les suivre, mais aussi de discerner les collectibles importants et les objectifs de quêtes. Les équipes d’Ubisoft conseillent d’utiliser cette compétence en cas de doutes, pour observer les environs et planifier les prochaines actions.

La vision de l’aigle

Exclusive à Naoe, cette compétence classique de la saga lui permet de voir et écouter les ennemis à travers les environnements, comme les murs ou les zones secrètes. Naoe peut simultanément utiliser cette compétence avec celle de l’observation pour révéler et suivre ses ennemis. Un excellent moyen pour éviter les dangers et contrôler les zones.

Se dissimuler dans les ombres

Une nouvelle compétence apparaît dans cet opus : l’invisibilité dans les ombres. Les ennemis sont incapables de vous voir quand vous êtes tapie dans un coin d’ombre en pleine nuit, aussi bien à l’intérieur qu’en extérieur. Un moyen efficace de traverser les zones peuplées d’adversaires que vous aurez au préalable minutieusement observés, surtout en difficulté élevée !

La posture furtive

Comme de nombreux jeux d’infiltration, on pourra s’accroupir, ce qui vous permet de diminuer les risques d’être vu et le bruit de vos déplacements. Une posture qui sera bien utile sur les planchers rossignols, un type de parquet présent dans certains temples et palais japonais, qui produit un son semblable au pépiement d’un oiseau quand on marche dessus. Le cauchemar des espions et assassins.

Naoe et Yasuke seront également les premiers personnages d’un jeu Assassin’s Creed à pouvoir s’allonger au sol, non pas pour profiter d’une bonne sieste, mais pour se dissimuler, que ce soit sur terre, sous les bâtiments ou sous l’eau. Naoe possède une roulade qui lui permet d’agir rapidement pour échapper à la vigilance des gardes ou attaquer à la vitesse de l’éclair.

En plus d’être rapide, Naoe est l’assassin la plus petite de la saga, ce qui présente des avantages : elle serait ainsi capable de s’infiltrer dans de larges fissures murales ou de se cacher dans des espaces exigus, comme des boites ou des pots.

L’arsenal du ninja

En tant que Shinobi, Naoe possède plusieurs outils pour s’évader de situations critiques ou tuer efficacement. Un équipement ninja bien familier pour les habitués du genre.

  • Fumigènes : des bombes capables d’aveugler les ennemis. Ce qui donne l’occasion d’assassiner les plus faibles ou d’échapper aux plus dangereux.
  • Clochettes de Shinobi : un moyen efficace pour distraire un garde sans le rendre trop méfiant. Attirer une personne au loin pour se frayer un chemin ou l’assassiner dans les ombres.
  • Kunais : ces lames affutées peuvent être lancées avec précision afin de tuer en un seul coup.
  • Shurikens : en forme d’étoiles, ces armes tranchantes sont polyvalentes. Elles peuvent momentanément étourdir des cibles ou affecter le décor, comme l’extinction de lampes.

Attraper un ennemi

Lorsque le joueur sera furtif, il pourra attraper un ennemi pour l’emmener ailleurs et s’en débarrasser discrètement. Un guerrier de l’ombre s’assure de ne laisser aucun corps visible derrière lui !

Les réactions ennemies

En cas de suspicion, les ennemis se mettent à vous traquer par pair, l’un vous cherche tandis que l’autre reste en surveillance. De même pour les serviteurs, qui ne vous sont pas hostiles, mais alertent aussitôt la garde dès qu’ils vous aperçoivent.

Plus menaçants que les serviteurs, les samouraïs sont des guerriers fiers et puissants, capables de résister à vos tentatives d’assassinats et de contrer vos stratégies de furtivité. Ils peuvent, par exemple, devenir suspicieux à l’égard du joueur si celui-ci se comporte anormalement.

Échec d’assassinat

Suivant les régions et leurs types, certains ennemis peuvent contrer les assassinats, par exemple, en faisant semblant de ne pas avoir entendu le joueur approcher. Cette réaction peut être anticipée en faisant attention à la couleur du symbole à l’approche d’une cible. Notez toutefois qu’une option dans le menu permet de rendre tous les ennemis tuables en un coup lors d’un assassinat.

  • Blanche : la cible peut être tuée en un coup.
  • Jaune : le joueur lui infligera de sérieux dommages, mais l’attaque ne sera pas létale.
  • Rouge : l’attaque sera un échec.

Yasuke, le second protagoniste du jeu, possèdera également un moyen d’assassiner discrètement ses adversaires, malgré sa prédominance au conflit direct. Il lui sera possible d’éliminer ses cibles à distance grâce à son arc ou à son épée s’il parvient à se faufiler dans leurs dos. Une alternative efficace, permettant de rester furtif plus longtemps, en particulier durant les parties en coopération.

Cette nouvelle philosophie de la furtivité n’est finalement pas si novatrice. Les mécaniques présentées sont bien connues des fans du genre, elles restent tout de même très efficaces et elles ont fait leurs preuves. Espérons qu’Assassin’s Creed Shadow possède d’autres surprises en réserve. Rendez-vous le 14 février 2025 pour le découvrir.

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Funko Fusion : sortie du mode coopératif et annonce de la date de sortie des versions PS4 et Nintendo Switch

Par : Goufixx
22 novembre 2024 à 15:35

Sorti dans un état instable il y a maintenant quelques semaines, Funko Fusion reçoit de façon récurrente des mises à jour pour tenter de proposer une expérience de jeu plus plaisante. Une grosse mise à jour est désormais disponible avec notamment la sortie d’un mode coopératif, et c’est également le moment pour les développeurs d’annoncer la date de sortie pour les versions PS4 et Nintendo Switch.

Et si Funko Fusion avait le droit à une seconde chance ? C’est en tout cas le souhait des développeurs qui poursuivent les mises à jour répétées sur le titre. En effet, en plus de deux DLC, à savoir Invincible Pack (payant) et Trap Jaw (gratuit), un mode très attendu est enfin disponible. Sur PC, les joueurs peuvent enfin profiter du mode coopératif, tandis qu’il faudra patienter jusqu’à la semaine prochaine sur PS5 et Xbox Series X|S. Les autres plateformes ne disposeront pas de ce mode de jeu.

À noter que pour les abonnés au service PlayStation Plus Premium, il est désormais possible d’essayer le titre pendant deux heures. Une proposition équivalente sur Xbox devrait arriver prochainement. À noter que pour le moment, seuls les mondes Jurassic World, Hot Fuzz et Battlestar Galactica sont compatibles avec la coopération. D’autres mondes devraient suivre à l’avenir. Enfin, les versions PS4 et Nintendo Switch seront disponibles à compter du 6 décembre 2024, mais uniquement au format dématérialisé. Les versions physiques arriveront en début d’année 2025.

Par ailleurs, vous pouvez trouver toutes ces informations via un billet des développeurs disponible sur la chaîne YouTube des développeurs.

En attendant, Funko Fusion est disponible sur PS5, Xbox Series X|S et PC.

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Nintendo Switch Online : Donkey Kong Land est désormais disponible pour les abonnés au service

Par : Goufixx
22 novembre 2024 à 11:44

Si vous bénéficiez d’un abonnement au Nintendo Switch Online, c’est le moment de mettre à jour son logiciel Game Boy. En effet, Nintendo annonce aujourd’hui la disponibilité d’un nouveau titre dans le catalogue avec l’arrivée d’une figure bien connue des fans de Nintendo.

En ce vendredi et donc cette fin de semaine, la firme de Kyoto se réveille pour nous proposer un nouveau jeu pour les abonnés au service Nintendo Switch Online. Rappelons tout de même que l’abonnement de base permet d’accéder à quelques consoles virtuelles, dont la Game Boy. Ainsi, nous apprenons que Donkey Kong Land est désormais disponible dans le catalogue. Développé à l’époque par Rare, le titre était paru en 1995, soit un peu moins de 30 ans déjà !

Par ailleurs, une bande-annonce a été diffusée pour l’occasion :

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