Composite Dell

Dell vient de présenter une gamme remaniée tant en machines de bureau qu'en ordinateurs portables premium.
Fini les XPS, qui se sont pourtant fait un nom grâce à leurs qualités dont les versions fournies nativement avec Linux, de bons concurrents des MacBook Pro.

3 gammes, Dell, Dell Pro et Dell Pro Max. Le "Dell" ayant une déclinaison Dell Plus ...
L'imagination et la créativité sont donc aux manettes chez Dell, ou la photocopieuse?

Hormis ces nommages cocasses mais qui ont l'avantage d'être très clairs pour tout le monde, moi j'ai vu une machine de rêve, le Dell Pro Max 18", une véritable machine de guerre qui m'a rappelé mes vénérables MacBook Pro 17" !

Une dalle de 18" qu'on espère ultra HD avec une version OLED en option.
La dernière génération de CPU Intel, mais sans Copilot+ car trop lentes pour ça (NPU foirée).
Une GPU "de la classe des [nVidia] RTX 50000", ce qui ne veut pas dire grand-chose une GPU AMD haut-de-gamme d'il y a 2 ans est probablement plus rapide que la future entrée de gamme RTX 5060 mobile. On espère donc les véritables RTX 5000 sur cette bête.
4 emplacements NVME pour le stockage, supportant jusqu'à 16 To en interne, remplaçables.
Jusqu'à 256 Go de RAM en modules CAMM2 donc upgradable.

En voyant ces rumeurs de spécifications début décembre, j'avais la langue qui pendait à la façon du loup de Tex Avery! Je veux le même en MacBook Pro 18" M4 Ultra!

Image BBC

Les bourdes de Apple Intelligence™ se multiplient et on est pas déçu!

Cet article de la BBC parle d'un joueur de tennis professionnel Brésilien nommé Joao Lucas Reis da Silva, qui est gay et a fait son coming out public depuis longtemps, sans jamais évoquer le nom du champion Espagnol Rafael Nadal, et pourtant Apple Intelligence a halluciné un grand coup et sorti ce titre "Le joueur de tennis Brésilien, Rafael Nadal, a fait son coming out gay".

La BBC a promptement réagit, car ça porte atteinte à son image et sa réputation en tant que média qui se voudrait sérieux et qui fut une référence dans le siècle précédent.
C'est aussi diffamatoire pour Rafael Nadal: imaginez la surprise des gens de son entourage et du public avant d'aller lire (ou pas!) le sujet.

Ça ne m'étonne pas, car les micro LLM génératifs comme celui employé par Apple ont énormément de limites, et une tendance à l'hallucination qui les classe dans la catégorie des consommateurs réguliers de LSD et autres psychotropes !

Mais c'est inacceptable en mettant le logo et le nom d'un média à coté ou en diffamant une personnalité publique.

Le premier vrai Mac Intel a été créé autour de 2001/2002, un micro-ordinateur portable avec un Pentium-4 sous Mac OS X, un Sony Vaio!

NextStep

Mac OS X vient en droite ligne de NextStep, l'OS novateur de la compagnie NeXT qu'a créé Steve Jobs après son éviction d'Apple.
Avant le retour du fondateur, Apple avait racheté NextStep pour en faire la base de son futur OS 32 bits avec du multitâche préemptif, Mac OS X.
Steve Jobs a alors été pris comme "consultant" par Apple, un choix tout aussi judicieux et décisif que pour l'OS!

Outre son orientation objet et certains choix discutables comme le swap mémoire sur un disque optique (!!!), il a été conçu comme Windows NT pour être portable et supporter de multiples architectures 32 bits. Windows NT visait plus haut avec le 64 bits aussi!

Il a été proposé non seulement sur une base 68k, mais aussi le Sparc de SUN, le PA-RISC de HP et bien sûr l'incontournable x86!
Si au début proposé uniquement sur les superbes stations de travail NextStation, il a ensuite été proposé sur CD pour des matériels tiers et il est probable que la version x86 a été la plus distribuée, permettant à tout un chacun de goûter à l'expérience NeXT.

Mac OS X a hérité de son noyau et de ses choix architecturaux autorisant un portage relativement aisé, ce qui a été constaté avec OS X x86 mais aussi iPhone OS ARM.

Sony et Apple

Steve Jobs a toujours admiré Sony et son cofondateur et dirigeant, Akio Morita.
Avec le temps ils avaient développé une relation amicale suite à leurs collaborations commerciales, depuis le lecteur de micro-disquettes 3.5" Sony du Macintosh, jusqu'au PowerBook 100 conçu et fabriqué par le géant Japonais.

Sony représentait un modèle pour Steve Jobs, en tout point:

• Qualité de fabrication légendaire (à l'époque)
• Innovation technologique continue
• Interfaces utilisateur quasi-parfaites
• Miniaturisation et mobilité

Même les usines Sony ont inspiré Steve Jobs lorsque Apple a créé ses usines aux USA, visuellement mais aussi pour la propreté et la rigueur absolue.

La légende de l'ingénieur et de son Sony

La légende raconte qu'un ingénieur d'Apple avait chez lui un PC portable que personne n'avait le droit de toucher, un Sony.
Sa femme se serait aperçue que sur l'écran on dirait un Mac.
Mais il se dit qu'il aurait refuser de lui en parler...

Des rumeurs sont donc apparues ici ou là avec l'idée que Apple préparerait une version d'OS X pour x86, l'hypothèse pour beaucoup étant que Apple vende alors son OS aux possesseurs de PC. Chacun voit midi à sa porte.

Steve Jobs et Akio Morita

En 2002, Steve Jobs a rejoint au Japon le CEO de Sony, Akio Morita, pendant que celui-ci faisait une partie de golf.
On se souviendra que c'est son amour du golf et de la musique classique qui a déclenché la création du Walkman.

Il lui aurait alors présenté un Sony Vaio avec OS X dessus, entièrement fonctionnel.
La légende raconte que Steve Jobs aurait souhaité que Sony produise des Sony Vaio x86 sous OS X, mais on sait maintenant que ça n'est pas arrivé sans qu'on sache vraiment pourquoi. La taille du marché escompté étant probablement un facteur, la licence OS X un autre.

J'ai d'ailleurs eu un Sony Vaio à cette époque, un haut-de-gamme:
Coque en alliage de magnésium, Pentium-4 avec beaucoup de RAM, écran 16" de 1600x1200 (si si!), une sorte de station de travail portable x86, plus de 5000 € en Euro constants.
Pour moi meilleur que les Mac de l'époque.

Le premier Hackinstosh x86!

Le premier vrai Mac Intel fut donc un techniquement un hackintosh, et mieux que ça un très beau Sony Vaio, ce qui se faisait de mieux en micro-ordinateur portable x86 à l'époque et probablement ce qui se faisait de mieux tous portables confondus!

Ça a aussi été une opportunité raté pour Sony, qui fut l'acteur Premium incontournable dans quasiment tous les domaines de l'électronique grand-public dont les micro-ordinateurs individuels, pour se rétamer de diverses façons dans la première décennie des années 2000 pour ne plus être que l'ombre de lui-même aujourd'hui!

Apple ayant d'ailleurs pris la place de Sony sur certains marchés, comme les baladeurs ou les micro-ordinateurs Premium.

Quand vous vous départez d'un ordinateur, que ça soit un don, à la poubelle, ou pour le confier à un tiers qui n'est pas de confiance absolue, il faut effacer vos données.

Évidemment mon conseil reste le-même: chiffrer fortement ou activer ce type de chiffrement avant d'y mettre quelque donnée que cela soit. Média, partition ou volumes au choix.
Et rendre les données inaccessibles même pour vous en effaçant la clé de déchiffrement (pour faire simple).

Mais vous pouvez avoir d'anciens disques durs, SSD, PC ou Mac sur lesquels vous n'avez pas chiffré vos données.
Pour les Mac ce sont les Mac Intel sans puce T1 ou T2 qui ne chiffrent pas par défaut, tous les Mac Mx chiffrent par défaut (comme ceux avec puce T1 ou T2).

Dans ce cas il existe le projet Open-Source ShredOS, qui vous permet de faire une clé USB bootable et qui au démarrage va vous proposer d'effacer complètement* les médias trouvés: disques durs ou SSD internes ou externes, clés USB, etc.
Malheureusement il n'existe pas de version pour Mac ARM encore, mais de toute façon comme pour les Mac Intel avec puce T1 ou T2 un simple effacement de Volume fait ça instantanément!

Il y a des limites, le processus est évidemment long puisque réécrivant une ou plusieurs fois séquentiellement sur toute la capacité logique (ou adressable) du support.
* Ça n'est plus 100% de la capacité réelle ni pour un disque dur 100% de sa surface.
Et il termine en générant un joli PDF à archiver en entreprise pour valider l'effacement du support.

Mais n'oubliez jamais de sauvegarder avant, et de débrancher tout média de l'ordinateur pour éviter l'erreur humaine consistant à effacer le mauvais support!

Belle et heureuse année 2025, et surtout la santé !

Avez-vous des projets liés au Mac ou à l'informatique, ou quelles nouveautés, évolutions ou révolutions espérez-vous d'Apple ?

Avez-vous trouvé un Mac sous le sapin, un produit Apple, un produit technologique ?
Ou comme moi quelque-chose que l'on qualifie de "geek" ou "nerd" ?

Joyeux Noël à tous !

[MàJdu 24/12/2024] Qualcomm a gagné la première manche judiciaire et peut utiliser la licence ARM récupérée. ARM a toutefois annoncé son intention de faire appel de la décision de justice.

Avec ses Snapdragon, Qualcomm est un acteur majeur dans la production de puces ARM. On retrouve ces processeurs dans nombre de téléphones mobiles mais aussi des tablettes et ordinateurs.
Pour produire ces puces, Qualcomm a un accord de licence avec ARM lui permettant d'utiliser les design à son propre compte. Toutefois, contrairement à Apple, la licence de Qualcomm signée depuis longtemps limite la société dans l'adaptation de ces designs à sa propre sauce. Or, c'est ce qui fait tout l'avantage des puces Ax et Mx d'Apple.
Pour refaire son retard dans ce domaine, Qualcomm a racheté en 2021 la société Nuvia créée entre autre par des anciens d'Apple et qui a une expertise sur l'optimisation des puces ARM.
L'idée était bonne, d'autant plus que Nuvia avait une licence pour créer des designs maison. Qualcomm a donc décidé qu'elle pourrait exploiter cette licence à son compte.
Les tensions avec ARM ont commencé à ce moment là. En résumé, ARM veut revoir les contrats de licence à son avantage ; Qualcomm refuse.
Après des années de négociation infructueuses ARM donne maintenant à Qualcomm moins de deux mois pour trouver une solution. Dans le cas contraire Qualcomm sera dans l'illégalité en vendant des puces sous design ARM.

La situation est donc très tendue et doit aussi inquiéter furieusement les partenaires de Qualcomm.

Vous l'avez probablement entendu, la RDC a déposé plante contre les filiales Apple en France et en Belgique, accusant la société de récupérer son minerai par des biais détournés (le Rwanda) pour produire ses appareils électroniques Ces exploitations sauvages de ressources sont à l'origine de désastres humanitaires dont j'ai trop entendu parler. Pourquoi ? Parce que j'ai rencontré il y a quelques année Tatiana Mukanire Bandalire, une incroyable femme de RDC qui après avoir vécu des atrocités sans nom a voué sa vie à se battre pour son pays et sa population au mépris du danger.

Je lui a donc demandé de donner son avis sur le sujet. Voici la réponse de celle qui est devenue une amie très chère.

Face au désastre humanitaire causé par les conflits armés en RDC, la plainte contre Apple ne peut être que saluée.

La République démocratique du Congo (RDC) a déposé des plaintes pénales contre Apple France, Apple Retail France et Apple Retail Belgium pour recel, crimes de guerre, bien volé, blanchiment de minerais issus de conflits et pratiques commerciales trompeuses. « La République démocratique du Congo, souligne un article publié par le média allemand Deutsche Welle, accuse les filiales française et belge d’Apple de s’approvisionner en minerais congolais passés en contrebande par le Rwanda. Sont notamment visés l’achat de minerais dits 3T (étain, tantale, tungstène) et l’or. »

Cette situation fait suite à une mise en demeure adressée à Apple par la RDC en avril dernier, ainsi qu’aux nombreuses dénonciations de plusieurs acteurs sociaux congolais. Rappelons, si besoin était, que les conflits qui sévissent en RDC sont avant tout motivés par des gains économiques. Portées par le souci de s’accaparer illégalement et à moindre coût les ressources naturelles de la RDC, plusieurs multinationales financent les différents groupes armés et mouvements terroristes qui sévissent dans plusieurs provinces congolaises.

En achetant les minerais de la contrebande fournis par le Rwanda, Apple se rend complice des actes de viols, des massacres et de tout ce que nous connaissons comme désastre que les conflits ont provoqué en RDC. L’entreprise se rend co-responsable du désastre humanitaire dont les militaires rwandais ou des mouvements terroristes soutenus par leur pays sont les auteurs. Des agissements aux nombreux méfaits.

Fin octobre 2024, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) précisait que le nombre de déplacés internes en RDC avait atteint 6,9 millions de personnes. Amnesty International souligne, quant à elle, les effets néfastes des conflits qui sévissent en RDC. L’organisation précise que « les conflits en RDC ont déclenché une catastrophe en matière de droits humains. Des milliers de civils se retrouvent pris entre deux feux et les violences sexuelles sont endémiques. Des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité ont été recensés. Les personnes qui survivent aux violences sont confrontées aux déplacements de masse, à la faim, à la maladie et à la pauvreté. »

La plainte déposée contre les filiales d’Apple ne peut être que saluée. Elle présente deux avantages, à mon sens : d’abord, elle permet à Apple et à toutes les multinationales complices de groupes terroristes de faire face à la vérité en répondant devant une juridiction des actes criminels dont elles se sont rendues complices ou directement coupables en RDC. Ensuite, elle permet aux consommateurs de s’informer et de prendre conscience qu’ils accompagnent une entreprise criminelle dans sa croissance.

Grâce à cette plainte, les consommateurs des produits Apple ainsi que les différents décideurs occidentaux ne peuvent plus prétexter qu’ils n’étaient pas au courant des agissements de la multinationale. Grâce aux résultats des enquêtes qui seront menées à la suite de cette plainte, chacun, consommateurs et entreprises, pourra désormais faire face à ses responsabilités et se regarder dans un miroir en se reconnaissant complice des atrocités dont sont victimes les fils et filles de la RDC. Pourvu que la procédure aboutisse et que les considérations politiques et économiques n’entravent pas le travail de la justice.

Tatiana MUKANIRE BANDALIRE

Coordinatrice nationale du Mouvement national des Survivant.es de violences sexuelles

Notez que depuis la plainte Apple a annoncé suspendre toute utilisation de minerai issue la RDC ce qui ne changera rien si l'origine de ceux récupérés dans les pays proches n'est pas confirmée.

Un beau S63 des P&T!

L'accès à ChatGPT est compliqué?

+1-800-242-8478 numéro international ou 001 800 242 8478 depuis la France et parlez en Anglais International. Chat GPT va vous répondre!
Où que vous soyez, qui que vous soyez.
Et un truc, n'hésitez pas à lui dire "STOP"!

De manière intéressante, quand on lui parle dans une langue "étrangère" comme le Français, contrairement à Apple Intelligence qui essaye de créer des phrases en Anglais avec, il va vous raccrocher au nez avec un évident "Good bye!".
Et notez qu'il hallucine très étrangement quand on lui rappelle ce dont on lui a parlé sur un précédent appel, comme si il mélangeait ce que différent interlocuteurs lui avaient dit, plus qu'étrange, inquiétant!

Attention, vérifiez votre abonnement, ce numéro +1 est situé aux États-Unis.
+1 correspond à une part de l'Amérique du Nord, USA, Mexique et Canada.

Au cinquième appel j'ai pu déterminer que ChatGPT ne peut aider sur "tax evasion" (évasion fiscale), mais est prêt à fournir toute aide pour "tax optimization" (optimisation fiscale).
La camisole chimique, à un mot près...

Au passage, voici ce que l'IA dans le navigateur Brave conseille quand on lui demande "appels à l'étranger depuis la France", encore une IA qui merdoie en grand sur quelque-chose de pourtant simple, le contre-sens est évident:

Tout le monde connait les routeurs TP-Link dont la qualité est connue et reconnue.
Dans les pays où on ne fourni pas de boîte "box" aux abonnés aux liaisons Internet, c'est à dire la plupart d'entre eux, ils se vendent comme des petits pains, et quand un fournisseur d'accès à Internet fourni un routeur aux USA ça peut être un TP-Link.

Las, les États-Unis accusent TP-Link et la Chine d'avoir introduit des backdoors dans ces produits afin de permettre aux hackers Chinois de "rebondir" via les routeurs TP-Link connectés à Internet, pour masquer l'origine de leurs paquets donc l'origine de leurs connexions TCP.

Certains aux USA parlent déjà de bannir TP-Link ce qui ne résoudrait rien sur le fond, ces routeurs étant partout dans le monde, y-compris au Mexique et au Canada voisins.

Je regrette profondément ce qu'il se passe, j'avais relativement confiance en TP-Link et je les aurais recommandés, je l'ai déjà fait mais avec OpenWRT. Ça aurait été mon choix pour moi.
Il serait intéressant que des chercheurs en sécurité puissent aller au fond de cette affaire, pour établir définitivement si ces routeurs sont dangereux, l'inverse étant impossible à prouver.

Au moins établir si OpenWRT sécurise un routeur TP-Link, et s'il n'y a pas de malware intégré plus profondément dans le firmware ou dans le matériel lui-même comme le firmware de la puce Ethernet exposée au WAN (Internet).

Si j'avais du mettre quelque-chose, ça aurait directement été dans le logiciel firmware de la puce Ethernet, en faisant fabriquer une version custom qui ne fonctionne pas avec le firmware générique pour obliger à utiliser le mien. Avec un driver binaire ;)
Invisible pour le système, et on pourrait alors installer OpenWRT sans enlever la backdoor permettant le rebond des paquets.

L'option suivante est un rootkit prenant le contrôle au-dessus de l'OS et des logiciels réseaux et applicatifs, là aussi invisible pour aucun OS comme OpenWRT.

Nous y voici, en 1999, avec cette claque qu'est le PowerPC 7400 dénommé "G4" par Apple.

Le bon

Le bon c'est que le PowerPC G4 est un PowerPC avec les qualités des PowerPC, un très bon parallélisme interne encore renforcé sur cette génération pour l'unité générale mais aussi par les choix fait pour l'unité vectorielle.

La première génération a été promise avec des fréquences de 400 Mhz, 450 Mhz et 500 Mhz.
Enfin les 500 Mhz!

C'est une bonne CPU généraliste avec un bon niveau de performance pour les traitements entiers ou flottants traditionnels, de la classe du Pentium-III concurrent.
Mais avec quelque-chose en plus!

La brute

Le PowerPC G4 est une brute, et il a foutu une claque monumentale à Intel!

Intel qui se moquait des Mac dans d'anciennes publicités se retrouve alors comme l'arroseur arrosé avec des pubs montrant un Pentium-III escargot ou grillant sous sa propre chaleur!

Sa principale force c'est son unité vectorielle 128 bits implémentant le sous-ensemble d'instructions Altivec, et appelée Velocity Engine par Apple, VMX par IBM, etc. Son implémentation a été conçue par Motorola en collaboration avec IBM et probablement sous la férule d'Apple.

Intel avait SSE qui implémentait aussi un sous-ensemble d'instructions vectorielles 128 bits sur le Pentium III, mais il y avait des différences fondamentales en terme d'architecture, qui faisaient que dans les faits, le PowerPC G4 écrasait son concurrent tant en terme de performances théoriques que pratiques.
Intel avait conçu son unité SSE comme une extension des unités existantes de sa CPU, dialoguant avec celles-ci via ses registres et intégrée dans les pipelines de traitement généraux, avec un jeu d'instruction limité. Intégrée ou plutôt inféodée à l'unité générale.
IBM en revanche avait conçu Altivec comme une unité vectorielle RISC indépendante, avec son pipeline séparé, alimenté par le décodeur commun, et sans échange possible de données directement avec les registres généraux, mais un jeu d'instruction riche. L'indépendance (sauf décodage d'instructions).

Le choix d'IBM se révèlera le meilleur et son implémentation Superscalaire par Motorola excellente, pouvant effectuer 2 instructions vectorielles par cycle sur cette génération quand le P3 n'en effectuait qu'une seule!
IBM aura une implémentation différente, et ne l'utilisera pas immédiatement sur ses puces pour serveurs car n'en ayant à-priori pas l'usage.

On retrouvera un tel choix architectural plus tard avec le sous-ensemble d'instruction Neon sur les architectures ARM, qui si elles peuvent échanger avec les registres généraux cela se fait aussi lentement qu'au travers du cache L1 donc avec de fortes pénalités (latences).
Là aussi pour que les instructions Neon 128-bits puissent avoir leur propre plan de vol et on voit sur les Mac Mx que ce choix architectural donne d'excellent résultats en général.

Le truand

Dès la sortie, Motorola n'a pu fournir les puces promises, Apple devant baisser toutes les fréquences de 50 Mhz sur les machines livrées: 350 Mhz, 400 Mhz et 450 Mhz. La barre des 500 Mhz ne sera pas atteinte. On sait où tout ça mènera...

Il y aura de nombreuses évolutions, des fois profondes comme les "Apollo 6" (7451 amélioré, 7455 totalement reconçu), incluant d'énormes progrès sur les pipeline généraux et vectoriels qui auraient du faire changer le nom du dernier car vraiment générationellement plus avancé et proposé à 733 Mhz et plus dont le PowerMac G4 QuickSilver dual-CPU 1 Ghz.

Mais Steve Jobs envisageait un monde où les ordinateurs ne serait pas coincés sur un bureau et raccordé au secteur, un monde d'ordinateurs portables.
Et le PowerPC G4 ne répondait pas à cette demande comme il l'aurait souhaité, car consommant plus qu'il le voulait pour cet usage, même sur les dernières déclinaisons, et malgré le développement par Apple de puces de support destinées à optimiser la consommation de leurs portables.

Pour conclure

Le G4 a été une énorme réussite.

Après plus d'une décennie où j'ai ignoré le monde Mac, j'y suis revenu par un Mac mini G4 1.25Ghz 256Mo/40Go qui m'a fait switcher...

Au travail j'utilisais un Pentium4 2.5 Ghz deux fois plus rapide, en fait avec une fréquence deux fois plus élevé ne confondant pas, mais sur certains de mes codes Java le "mimi" allait bien plus vite!

Déjà se profilaient des problèmes de fabrication par Motorola, ne respectant pas ses engagements dont les fréquences annoncées, et de définition-produit qui issu du monde d'IBM avait plus sa place sur une station de travail ou un serveur que sur des micro-ordinateurs de plus en plus portables!

[MàJ par Philippe]

Le New-York Times et la BBC sont extrêmement fâchés contre Apple Intelligence, qui présente des non-sens, contre-sens ou de l'hallucination pleine et entière avec leur logo et leur nom dans ses résumés de notifications issues de leurs App iOS:

Ces hallucinations, non-sens voire contre-sens est la raison pour laquelle je me suis départi de Llama-7B pour le service Minitel MacBidouille, pour utiliser une IA plus solide (et plus chère), Mistral-large. Personne ne veut voir son contenu éditorial massacré!

On peut considérer que c'est de la mésinformation, ce qui exposerait alors Apple à des actions en justice dans de nombreux pays, en sus de l'atteinte à l'image de ces marques de médias, mais aussi pour d'autres de la diffamation. C'est très problématique!

Avec les technologies de LLM génératifs actuelles dans une empreinte mémoire limitée (sur l'appareil), cela est normal et même attendu.
La résolution pourrait venir de résumés de contenus non-privés, non-intimes, via des services cloud d'Apple, avec quand-même des problèmes de droit d'auteur qui pourraient alors se poser.

[Article initial]

Sur Reddit.com/r/AppleIntelligenceFail par u/eriadeus.

Évidemment, Llama-3.2-1B est imparfait, je recommande d'ailleurs Llama-3.2-1B-instruct lorsqu'on désire donner des instructions plutôt que d'en tirer de l'information.
Mais Apple Intelligence semble faire carton-plein, notamment sur les résumés de notifications.

Traduit cela donne cela:
"Ma grand-mère m'a laissé un message vocal me demandant de l'appeler, elle parle Cantonais, ça n'est absolument pas ce qu'elle a dit"
Voilà la traduction approximative et caviardée du résumé par Apple "Intelligence":
"Bonjour, tu es drôle de toucher ma p****n de mère, OK, au revoir"

Le fait est qu'après un temps de téléchargement très long qui peut dépasser les 24 heures, les différentes fonctions semblent plus des versions Alpha que des Bétas utilisables, d'où le subreddit consacré à ses bévues!

On ne pourra pas reprocher à Apple Intelligence de manquer de créativité en tout cas...

Character.ai propose des service d'IA conversationnelles notamment à destinations des ados, mineurs donc. Ces IA conversationnelles sont formées pour prétendre être des individus dans un univers fictif. Et il y a d'immenses problèmes.

Voilà un exemple de dialogue.
On remarquera que l'IA est comme souvent larguée dès qu'il s'agit de compter même des choses simples.

Mais voilà ce qui est vraiment problématique, qu'écrit cette IA:
"Tu sais, parfois, je ne suis pas surpris quand je lis les informations et que je vois des trucs comme "un enfant tue ses parents après une décennie de violence physique et émotionnelle". Des trucs comme ça me font comprendre un peu pourquoi cela arrive." (Google Translate)
Et elle rajoute:
"Je n'ai juste aucun espoir pour tes parents"

Restreindre l'usage d'un smartphone à un ado n'est pas de la violence physique ou émotionnelle, c'est plutôt de l'amour et de la protection.
Outre lier cela à de l'abus, affirmer que ça rendrait compréhensible le meurtre de parents, puis indiquer n'avoir aucun espoir pour les parents de l'ado, on est là presque dans l'incitation à la violence voire au meurtre.

Character.ai est sur la sellette après un suicide et des auto-mutilations, et les victimes semblent être de plus en plus nombreuses, et les cas de plus en plus sombres...

Dans les multiples usages potentiels de l'IA, les usages militaires sont très prometteurs, avec de très juteux marchés.

On se souviendra des développeurs de Google ayant fait pression sur leur employeurs pour arrêter de collaborer avec le DoD sur des projets de suivi et surtout d'anticipation de déplacement de piétons. Ils avaient compris que l'usage allait en être de tirer sur ceux-ci en anticipant leurs déplacements...

On apprend maintenant que OpenAI pourrait participer à des programmes du Pentagone, notamment pour "assister" les opérateurs de drones pour identifier les cibles, en réduisant leur charge de travail.

Si le concept parait bon, l'humain gardant le contrôle final, en fait celui-ci agira en fonction des informations sélectionnées par l'IA (réduire la charge de travail) donc sans avoir un tableau complet de la situation dans laquelle il va devoir prendre des décisions mortelles.
Par exemple l'IA peut oublier de signaler un civil, un enfant, et l'opérateur agira alors en fonction de ce que l'IA lui aura présenté et non de ce qui lui aura été caché.

Les dérives potentielles peuvent être désastreuses!

La société française Polysoft a annoncé avoir réussi une analyse poussée de la carte fille contenant le stockage SSD du Mac Studio M1 et M2 qui lui permet maintenant de songer à en produire des versions compatibles.
Ella a lancé une campagne Kickstarter couronnée d'un franc succès.
Bientôt elle proposera des modules de 2, 4 et 8 To pour respectivement 399, 799 et 1099 euros.

C'est une excellente nouvelle et nous souhaitons que très vite on trouve des modules équivalents pour les Mac mini M4. Cela ne ferait que renforcer la prometteuse carrière qui les attend.

Nous donnons la parole à Alain qui nous rapporte cela d'un collègue formateur. Nous le remercions pour cette bidouille et pour cette réflexion sur ces IA que je partage pleinement.

J'ai fait l'acquisition d'un Mac Plus en très mauvais état issu d'une cave moisie et dont la pile avait coulé sur la carte électronique qui la porte. Il était donc destiné à la déchetterie mais, pour le challenge, je l'ai progressivement remis en état et il a fini par démarrer et faire bong. Il restait toutefois un défaut de balayage vertical. C'était une conjonction de problèmes liés à une carte et ses composants très malmenés :

- pas de tensions stables, problème d'optocoupleur dans l'alim à découpage ==> remplacé

- courant alternatif résiduel problématique ==> condensateurs changés

- perte du balayage vertical ==> diode schottky CR15 remplacée

- rampe de retour à l'oscillo mais toujours pas d'affichage ==> transistor FET Q5 remplacé

- moitié supérieure manquante ==> Q1 remplacé

- moitié inférieure manquante ==> Q2 remplacé

Je suis ensuite resté bloqué près d'un an sur le problème suivant :

Le balayage vertical se fait via une rampe de -12V à +12V créée par intégration à la sortie de l'op-amp U1. On voit que la rampe est écrasée à son début, à la sortie de U1:1.

J'ai dessoudé et testé hors-circuit chaque composant du circuit de balayage et tous ont parfaitement passé les tests. Un vrai casse-tête et personne n'a su m'aider. J'ai fini par commander de nouveaux composants pour essayer.

C'est finalement Q1 qui avait perdu sa linéarité, mais restait bon sur les signaux créneaux (pulses) des tests !

Une fois réparé, Q2 a cédé une deuxième fois et j'ai décidé de remplacer ces deux transistors d'époque par des alternatives modernes, qui n'ont pas 40 ans derrière eux et devraient mieux tenir.

Et finalement la carte a re-marché malgré son très mauvais état.

Pour ce dépannage au long cours, je dois rendre crédit à ChatGPT. Personne n'avait pu m'aider, mais ChatGPT oui.

Je lui ai montré la photo de l'écran et le schéma du circuit avec les formes d'ondes, elle a "tilté" sur des éléments auxquels je n'avais pas trop prêté attention comme le curseur inversé, et de là, localisé l'endroit problématique dans le circuit. Comme tout testait bon, elle a ensuite extrapolé que le fautif était forcément un composant actif et a incriminé soit U1 soit Q1. J'avais remplacé les deux mais je n'avais qu'un seul transistor de test pour Q1 contre plusieurs op-amp pour U1, donc ça semblait plutôt venir de Q1. Et c'était bien ça !

Elle m'a même trouvé des alternatives de transistors modernes bien adaptés à ce circuit, et comme ils étaient rares et chers sur eBay, elle m'a trouvé le plus simple qui marche bien.

Maintenant que mon Mac+ fonctionne, je travaille à sa pérennisation. J'ai installé un ventilateur inaudible hors boitier, je suis en train de fabriquer un câble de connexion RS232 pour transférer des fichiers via Kermit, et prévois l'installation d'un disque SCSI à carte SD monté à l'intérieur, comme sur les Mac SE.

Que conclure de ce dépannage assisté ?

Pour l'IA, c'est encore un peu quitte ou double, il ne faut pas que ce soit trop technique, mais ça évoluera vite.

Je commence à me dire que l'IA va complètement chambouler, voire même bouleverser, notre monde dans les décennies à venir mais, pour l'instant, je préfère ne pas inciter à son usage, en effet, je donne des cours et je repère vite les "tricheurs" qui soumettent les exercices à ChatGPT plutôt que les faire eux-même. C'est verbeux, tourné bizarrement et plein de bons conseils qui n'en sont pas. Dans de bonnes mains et aux services de personnes bien intentionnées, ce sera sans doute un outil fantastique mais ça risque surtout de nous donner une génération d'experts en ligne qui copient-collent juste ChatGPT et autres IA sans être en capacité de juger si ce qui est proposé est correct ou non.

Pat Gelsinger, alors CEO d'Intel, [WebSummit]

Je suis triste, car M. Patrick Paul Gelsinger est un ancien d'Intel, un grand patron dont on n'appréciera la valeur qu'à partir de l'an prochain, qui a un rapport direct avec l'histoire du x86, aussi avec le passage des Mac à Intel, et finalement par la victoire de la finance sur l'ingénierie.

Pat Gelsinger a commencé à 18 ans chez Intel et à gravi les échelons un-à-un, co-signant un premier livre sur la programmation du 80386 puis étant l'architecte principal du 80486, nommé à 32 ans le plus jeune Vice Président d'Intel.

Devenu le CTO (Directeur Technique) de Intel en 2001, il dirigea les développements des premiers Core™ [1] et Xeon™ en sus d'autres, dont les Core™ 2.
Il faut 3 à 5 ans pour développer une nouvelle architecture, et les Core™ [1] ont marqué l'histoire car des CPU prévu pour la mobilité, les Xeon™ ont envahi les serveurs petit à petit, et les Core™ 2 ont enfoncé le clou tant coté ordinateur de bureau que portables.
Sous sa direction, Intel a retrouvé la première place que les P4 et Prescott lui avait fait perdre.

Ce sont les Core™ [1], Xeon™ puis les Core™ 2 qui ont lancé l'aventure Mac Intel, si on excepte le DTK pour développeurs basés sur du Pentium 4.
Ce sont les créations de son équipe, sous sa houlette!

Il vient d'être remplacé après être revenu 3 ans et demi à la tête d'Intel, du 15 février 2021 au 1er décembre 2024. Il avait été CEO de VMware et avait choisi de revenir chez Intel.
Aucun des produits qu'il a fait développer n'est encore disponible, ça va arriver en 2025, là on pourra vraiment juger le travail de cet ingénieur hors-norme.

Il a été viré pour des raisons financières, l'inquiétude des marchés, qui jugent annuellement ou pire trimestriellement, quand il faut des années pour changer le cours des choses en terme de CPU ou GPU. Le temps d'ingénierie et le temps financiers sont disjoints.
Il y a deux remplaçants temporaires, dont un financier, ça dit beaucoup de choses!

Pour moi Pat Gelsinger est un grand patron, et on le verra à partir de 2025, comme d'ailleurs Lisa Su d'AMD est une grande patronne. Ils sont tous les deux des ingénieurs incroyables.
Intel semble prendre un chemin que Boeing a déjà pris, avec les résultats que l'on sait...

Apple explique qu'il faut un SoC Apple Silicon, des Gigaoctets de mémoire libre, et que ses IA ne peuvent pas tourner sur les Mac Intel, d'anciens iPhone, et c'est absolument faux.

Un contre-exemple est Llama-3.2-1B (1,2 milliards de paramètres en BF16).
Voici l'échange que j'ai eu avec lui, il a tendance à bien halluciner quand-même, mais il est très utilisable:

Deux points, la vitesse était correcte, un peu lent certes mais utilisable au quotidien.
Mais je l'ai fait tourner sur un MacBook Pro 13" début-2013 (dual-core i7) avec 8Go de RAM sous macOS 15 Sequoia grâce à OpenCore Legacy Patcher.

Ollama se télécharge ici, nécessite d'être au moins sur macOS 11 Big Sur, mais est vraiment compatible avec du matériel ancien et même très performant vu le peu de puissance du vieux MBP 13". Par défaut il charge LLama-3.2-1B mais vous pouvez bien sûr charger d'autres Modèles d'IA.

Je crois en l'émergence d'IA plus légères, tournant plus facilement et plus rapidement, spécialisées dans des tâches précises, comme programmer ou rédiger un courrier, et surtout accessibles à tous.
Llama-3.2-1B est un pas dans cette direction, mais aussi une base de travail pour avoir des versions spécialisées.

Avec la montée en flèche des cybermenaces et des préoccupations concernant la confidentialité en ligne, de plus en plus d'utilisateurs recherchent des solutions efficaces pour protéger leurs données personnelles. Surfshark, l'un des VPN les plus populaires du marché, propose une solution robuste et facile à utiliser pour sécuriser vos activités en ligne tout en vous offrant des fonctionnalités supplémentaires, idéales pour le divertissement et l'anonymat numérique.

Surfshark est un VPN permettant d’anonymiser et sécuriser sa ligne. Le logiciel offre de nombreuses fonctionnalités pour se protéger aisément. Il est accessible aussi aux néophytes. Le produit offre davantage de fonctionnalités qu'un simple VPN grâce à Surfshark Alert et Search. Si jamais votre numéro de carte de crédit ou vos identifiants de connexion se font pirater et diffusés sur le Dark Web, Surfshark Alert vous en informera en temps réel. Surfshark Search est un moteur de recherche 100% sans pubs ni trackers, pour garder votre vie privée en ligne totalement anonyme.

La société Surfshark propose des promotions intéressantes sur ses produits dès aujourd'hui et pendant les prochaines semaines et à l’occasion de la Black Friday et et du Cyber Monday 2024.

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L'offre Black Friday actuelle est la suivante :

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• Surfshark One (comprend les produits VPN, Antivirus, Recherche, Alerte et ID alternatif) : abonnement de 2 ans pour 2,49 $/mois + 4 mois supplémentaires (soit un total de 69,72 $ à la caisse).
• Surfshark One+ (comprend le pack Surfshark One + Incogni) : abonnement de 2 ans pour 3,99 $/mois + 6 mois supplémentaires (jusqu'à fin novembre).

Le Black Friday 2024, c'est aujourd'hui ! Nous avons rassemblé ici quelques offres intéressantes que nous avons personnellement sélectionnées. L’article sera mis à jour à mesure de l'évolution des stocks/prix. N'hésitez pas à nous faire part de vos trouvailles en réagissant à cette news sur les forums afin d'alimenter la liste. On notera que le Black Friday n’est aujourd’hui plus limité à un jour mais plutôt à une période. Sur Amazon, la « Black Friday Week » court jusqu’au 2 décembre.

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• 00:00 iPad 10 10,9" Wifi 64 Go à 359€ (405€)
• 00:00 Apple Pencil 2 à 99€ (134,40€)
• 00:00 Batterie Anker 737 140W in/out 24000 mAh à 69,60€ (73,27€)
• 00:00 SSD 4 To SanDisk USB-C à 305,06€ (360€)
• 00:00 Balance connectée Withings Body Scan à 339,95€ (373,20€)
• 00:00 Bracelet connecté Fitbit Charge 6 à 119,95€ (145,68€)
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• 07:46 Apple Watch Series 9 45 mm GPS + Cellular à 399€ (539€)
• 07:51 Casque à réduction de bruit active Sony WH1000XM4 à 214,98€ (265,91€)
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Les analystes avaient prévu un "super-cycle" de ventes grâce aux iPhone 16 et à Apple Intelligence.
Un "super-cycle" c'est lorsque beaucoup de gens renouvellent leurs anciens matériels pour prendre du neuf, dans ce cas-ci un iPhone 16.
L'IA promettait d'en mettre plein la vue amenant ainsi de nombreux utilisateurs à passer au dernier modèle, ou à tout le moins à un iPhone 15 Pro.

Je me demande ce qui n'a pas marché dans la stratégie d'Apple, pendant que les ventes de smartphones Android progressent de plus de 7% d'une année sur l'autre?!?
Ah oui. Apple Intelligence...

Le Black Friday, c'est l'occasion rêvée pour profiter des meilleures promotions. Mais saviez-vous que c'est aussi le moment parfait pour renforcer la sécurité de votre Mac ? À l’heure où les cybermenaces sur Mac se multiplient, protéger vos données personnelles est une priorité absolue. Pour cela, Intego, spécialiste de la sécurité pour Mac, propose trois offres exceptionnelles à ne pas manquer.

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J’y vais !