Bouygues Telecom et Deezer lancent un nouveau forfait commun. Pour 19,99 €/mois, l’offre B&You Deezer Edition comprend une connexion mobile 5G avec 250 Go de data en France (35 Go en UE/DOM) et un abonnement Deezer Premium individuel.
Sachant que le service de musique coûte 11,99 €/mois séparément et que l’opérateur fait actuellement payer 13,99 €/mois pour 200 Go, c’est une formule qui peut être intéressante. Il faut évidemment être intéressé à la fois par Deezer et par une grosse enveloppe de data, sinon ça ne vaut pas le coup.
Le forfait B&You Deezer Edition est uniquement valable pour l’ouverture d’un nouveau compte Deezer Premium. La SIM (physique ou eSIM) coûte 1 €. Il faut aussi ajouter 1 € de « frais d’activation ». Et si vous quittez un jour Bouygues, prévoyez 5 € de frais de résiliation. À noter également que, comme les autres, cette offre Bouygues donne droit à un abonnement d’un an gratuit à Perplexity Pro. Ce cadeau doit être activé dans l’espace client.
Si vous n’avez besoin ni de Deezer ni de 250 Go, Bouygues Telecom et Sosh proposent chacun un forfait 90 Go à 7,99 €/mois, mais la marque bon marché d’Orange n’inclut pas la 5G. SFR RED est comment souvent le plus agressif sur les tarifs avec 120 Go de 5G pour 7,99 €/mois.
Fin de partie pour Panels, l’application de fonds d’écran signée du vidéaste américain MKBHD. Celle-ci sera débranchée le 31 décembre prochain, à peine un an après son lancement… compliqué. Dans une vidéo, le Youtubeur concède que lui et son équipe ont commis des erreurs lors de la création de cette première application. « Nous n'avons pas réussi à transformer [mon idée] en ce que j'avais imaginé », explique-t-il.
Panels avait un concept intéressant : proposer uniquement des fonds d’écran de qualité vus dans ses vidéos ou mis en ligne par des artistes triés sur le volet. Le lancement a été chaotique, l’application étant visiblement un peu vite sortie du four. Elle était très gourmande en données personnelles, imposait un onéreux abonnement pour en profiter et n’était pas très sécurisée (un script a rapidement été publié pour télécharger l’intégralité du catalogue). Le prix de l’abonnement a vite été revu à la baisse, mais Panels n’a jamais réussi à refaire sa réputation.
« Au début de l'année, la composition de l'équipe de développement a changé, et malgré tous nos efforts pour recruter des collaborateurs qui partageaient notre passion et notre vision, nous n'avons pas réussi à trouver les personnes adéquates », explique un message publié sur le site web de Panels. « Plutôt que de continuer à exploiter l'application sans pouvoir la développer comme nous l'avions initialement prévu, nous avons estimé qu'il valait mieux tourner la page. ».
Par conséquent, Panels sera débranchée le 31 décembre et les données des utilisateurs seront alors supprimées. Tous les abonnements seront automatiquement résiliés lorsque l’app sera retirée des boutiques d'applications. Les remboursements pour les abonnements actifs seront effectués après le 31 décembre. Ceux ayant téléchargé ou acheté des fonds d'écran peuvent continuer à les utiliser, une FAQ a été mise en place avec plus de détails.
L'app à son lancement. Image iGeneration
Le code de l’app devrait ensuite être rendu open source au début 2026. L’idée est de permettre à des développeurs de prendre la relève en utilisant Panels comme base pour créer leur propre app de fond d’écran.
IKEA a annoncé le mois dernier le lancement d’une toute nouvelle gamme de produits connectés, qui se distingue de la précédente par le choix de Thread au lieu de Zigbee, ce qui lui apporte une compatibilité directe au standard de domotique Matter. La commercialisation de ces produits devrait avoir lieu rapidement, comme en témoigne leur apparition sur la page des nouveautés présente sur le site du géant de l’ameublement. S’ils ne sont pas encore en vente sur internet, on connaît maintenant tous les prix de ces produits et ils sont excellents, sans surprise.
Image IKEA/iGeneration.
Commençons avec l’éclairage connecté « KAJPLATS », qui débute à 7,99 € sur l’entrée de gamme et ne dépasse jamais 12,99 € pour l’ampoule la plus sophistiquée. Voici toute la gamme au lancement :
En plus des ampoules ou spots vendus seuls, IKEA proposera quelques « kits de démarrage » qui combinent une ou plusieurs ampoules à une télécommande qui pourra les contrôler. Comptez 9,99 € pour une ampoule E27 blanc ajustable de 1 055 lumens et sa télécommande ou 15,99 € pour l’équivalent en couleur. Si vous préférez les spots, le kit de trois GU10 blanc ajustable et une télécommande sera vendu 29,99 €.
Les deux télécommandes : deux clics à gauche, molette à droite. Image IKEA.
Les télécommandes « BILRESA » seront aussi vendues à l’unité et comme elles sont Matter, on pourra les associer à d’autres produits que ceux d’IKEA par le biais de la domotique. Il y a deux modèles principalement et un kit qui en rassemble trois pour les plus grosses installations. Une pile AAA non fournie est nécessaire pour alimenter chaque télécommande. Voici la gamme au lancement :
Enfin, d’autres capteurs sont proposés pour mesurer la température et l’humidité, identifier un mouvement ou une fuite d’eau ou encore repérer une fenêtre ouverte. Tous ces capteurs pourront servir dans des automatisations, au sein de l’écosystème IKEA ou de n’importe quelle autre domotique grâce au standard. Tous les produits sans fil dans la catégorie reposent également sur des piles AAA, non fournies.
Capteur de mouvement à gauche, thermomètre à droite. Images IKEA.
Tous ces produits nécessitent une domotique compatible avec Matter et un routeur de bordure Thread. Dans l’univers d’IKEA, la passerelle DIRIGERA vendue 70 € peut gérer les deux aspects, mais vous n’en avez probablement pas besoin. Si vous utilisez l’app Maison et que vous avez un HomePod mini, un HomePod 2 ou une Apple TV 4K avec prise Ethernet, alors vous avez déjà tout le nécessaire pour exploiter ces nouveaux produits. Vous pourrez les connecter directement dans l’app d’Apple, sans acheter de matériel supplémentaire, c’est la beauté des standards de domotique.
À noter pour finir qu’il semble manquer un produit par rapport à ceux qui avaient été annoncés en novembre. En effet, la prise connectée avec mesure d’énergie « GRILLPLATS » n’est pas listée sur le site d’IKEA, signe probable qu’elle arrivera dans un deuxième temps.
Si vous vous rendez dans un IKEA ces prochains jours, n’hésitez pas à faire un tour dans le rayon des éclairages connectés. Vous trouverez peut-être les nouveaux produits déjà en rayon dans les magasins, la firme suédoise n’étant pas à la pointe de la vente en ligne. N’hésitez pas à indiquer dans les commentaires ce que vous pensez des nouveaux produits si vous avez pu mettre la main dessus.
2025 aura été une année particulièrement agitée pour l’intelligence artificielle chez Apple. Avec l’annonce du départ de John Giannandrea et sa succession immédiate par Amar Subramanya, la firme espère retrouver un peu de stabilité. Et, si cela peut lui apporter un semblant de réconfort, Apple est loin d’être un cas isolé : la volatilité des talents secoue aujourd’hui l’ensemble du secteur.
Ne vous y trompez pas : si l'étiquette sur le carton de déménagement indique Microsoft, Amar Subramanya n'est pas pour autant un pur produit de Redmond. Certes, il aura occupé le poste de Corporate Vice President au sein de la toute jeune division Microsoft AI, mais ce ne fut qu'une parenthèse de quelques mois. L'essentiel de son parcours s'est écrit à Mountain View : seize ans chez Google, où il a gravi les échelons de Staff Research Scientist à Vice President of Engineering.
Un profil technique pointu, crédité notamment dans des publications relatives à Gemini et Imagen 3. Ce recrutement n'est pas sans rappeler celui de John Giannandrea en 2018 : Apple semble, une fois de plus, aller chercher l'expertise là où elle se trouve. Une prise de guerre d'autant plus stratégique que les rumeurs suggèrent avec insistance que Cupertino pourrait s'appuyer... sur Gemini pour motoriser le « nouveau Siri », espéré pour le printemps 2026.
Image : Amar Subramanya / Linkedin
Apple doit déclencher son code rouge
En posant ses valises à l'Apple Park, Amar Subramanya ne trouvera pas une ambiance de colonie de vacances. La division IA porte encore les stigmates d'une véritable hémorragie de talents, partis pour beaucoup grossir les rangs de Meta. Le moral des troupes, lui, est en berne : la décision de la direction de s'appuyer sur une technologie extérieure pour animer Siri a été vécue comme un désaveu cinglant en interne.
La feuille de route du nouveau responsable est chargée. Dans l'immédiat, il doit impérativement s'assurer que le « nouveau Siri » sorte à l'heure et, surtout, qu'il fasse oublier les errances de son prédécesseur. L'exercice est périlleux : comme Amazon l'a démontré avec Alexa+, l’exercice n’est pas aussi simple qu’on veut bien le croire.
À plus long terme, l'objectif est clair : remettre Apple dans la course. Si Cupertino a de vrais atouts dans le domaine du hardware, elle trébuche encore sur le logiciel. Pour autant, rien n'est perdu. Google a prouvé que l'avance d'OpenAI n'avait rien d'irrémédiable, à condition de s'en donner les moyens et de rebâtir une équipe capable de s'inscrire dans la durée.
Comme le souligne 9to5Mac, l'IA est un domaine singulier où recherche fondamentale et application commerciale se nourrissent l'une l'autre. C'était précisément la vision de John Giannandrea avant le raz-de-marée ChatGPT.
Il y a trois ans jour pour jour, OpenAI bouleversait la tech. Son avance semblait alors inattaquable. Pourtant, hier encore, Sam Altman déclenchait le « code rouge » face à la montée en puissance de Gemini, dont la dernière version aurait désormais dépassé ChatGPT. Juste après le lancement de ce dernier, c’était Google qui avait tiré la sonnette d'alarme pour sauver son moteur de recherche. À Apple désormais de s'inspirer du sursaut de Mountain View pour combler son retard.
C’est déjà la fin pour Ducklet, ce client macOS natif pour les bases de données SQLite lancé en 2023 que nous avions relayé dans les colonnes de MacG. La mauvaise nouvelle a été annoncée sur le site officiel de l’app.
Ducklet. Image développeur/MacGeneration
« Nous avons pris la décision difficile d'arrêter Ducklet », déclarent ses développeurs. Ils expliquent avoir posé de grands espoirs sur ce produit, qui ne s’est malheureusement pas montré rentable. « Nous ne pouvons plus consacrer le temps et les ressources nécessaires pour faire avancer le projet », écrivent-t-ils. Ducklet avait comme principal avantage son interface native codée en SwiftUI.
Le logiciel était développé par la petite équipe allemande de ohoj Software GmbH, qui a visiblement été mise en liquidation au début de l’année. « En tant que petite équipe, avec un seul développeur derrière l'application, il est devenu de plus en plus difficile de maintenir et d'améliorer le produit afin de répondre aux besoins en constante évolution de nos utilisateurs ».
La première version de Ducklet date d’octobre 2023, et sa dernière est sortie en février 2024. L’utilitaire était disponible sur le Mac App Store pour 40 €, sachant qu’une démo permettait de se faire un avis. Elle a malheureusement été mise hors-ligne, tout comme l’app complète.
Les utilisateurs démunis ont tout intérêt à effectuer des sauvegardes et à vérifier que tout fonctionne avant de se tourner vers une alternative. Base, un éditeur du même genre, a justement eu droit à une nouvelle version hier. Il est possible de l’acheter sur le site du développeur ou depuis le Mac App Store via un achat in app. Une période d’essai est disponible, et l’app proposée dans le bouquet Setapp.
La saga de la série Traqués (The Hunt) continue, avec un problème assez important pour Apple. En effet, la société ne trouverait pas les ayants droit du roman plagié, ce qui pose évidemment de nombreux soucis. Commençons par un petit résumé1, pour ceux qui n'ont pas suivi.
Traqués. Image Apple.
Le 3 décembre 2025, Apple devait mettre en ligne une série française sur son service Apple TV, développée avec Gaumont. Traqués, avec Benoît Magimel et Mélanie Laurent, raconte l'histoire d'un groupe de chasseurs partis pour un week-end, qui rencontre un autre groupe, avec des blessés à la clé. Après cet incident, resté secret, les protagonistes reprennent leurs vies mais se sentent observés… et traqués.
De notre côté, la saga commence le 21 novembre : Apple décide de supprimer toutes traces de la série. Les communiqués, bandes-annonces et autres pages dédiées disparaissent, façon 19842.
Quelques jours après, une explication arrive : la série serait un plagiat. Le réalisateur, Cédric Anger, aurait oublié de prévenir Apple et Gaumont que la série était une adaptation d'un roman des années 70. Shoot, de Douglas Fairbairn, date de 1973 et a été adapté en film en 1976, même s'il a été largement oublié. Petit détail piquant, la version française du roman s'appelle La Traque.
Quelques jours plus tard, nous apprenions que le réalisateur aurait finalement admis s'être « librement et étroitement inspiré » du roman. Apple, pour éviter de s'asseoir sur les 16 millions de dollars investis dans la série, aurait donc fait un choix : payer les droits du roman, rétroactivement. Un compromis nécessaire, même si la facture, dans ce genre de cas, est évidemment plus élevée que pour une transaction classique. Fin novembre, nous en étions là.
Les ayants droit introuvables
Le problème, selon Clément Garin qui suit ce dossier avec attention, c'est que trouver les personnes qui possèdent les droits sur un roman qui a une cinquantaine d'années, c'est compliqué. Et Douglas Fairbairn, l'auteur du roman, est décédé en 1997. Le premier obstacle pour Apple, c'est que la maison d'édition ne propose plus le roman dans son catalogue. Il est donc impossible d'acheter ou de licencier les droits sur ce dernier. De plus, Clément Garin explique que le fait que les droits ne soient pas disponibles peut avoir deux raisons.
La première, c'est que la maison d'édition a perdu les droits sur le roman, et a cédé les droits à la famille. La seconde, moins problématique pour Apple, serait qu'elle dispose encore des droits mais qu'elle a juste décidé qu'ils n'avaient plus d'intérêts d'un point de vue commercial. Pour tenter d'éclaircir ce point, et il y aura donc probablement d'autres épisodes dans cette saga, Apple aurait embauché un détective privé pour retrouver la famille de Douglas Fairbairn, sans succès a priori. La seule personne identifiée serait un homme âgé de 85 ans et injoignable.
Ce n'est probablement pas ce détective. Image Apple.
Les chances de voir rapidement la série Traqués sont donc faibles.
Qui pourrait presque être le scénario d'une série. ↩︎
Cette série n'a jamais existé. D'ailleurs, quelle série ? ↩︎
Le logiciel de montage et d’étalonnage DaVinci Resolve vient de passer en version 20.3, qui apporte pas mal de nouveautés. La plus importante est sans doute la prise en charge des vidéos 32K sur les machines M5. Ce genre de définition vise surtout les tournages très particuliers (caméras 17K, murs de LED ou VR), bien loin des besoins de la plupart des créateurs. Il faudra pour cela avoir la version « Studio », qui est payante.
DaVinci Resolve sur macOS. Image DaVinci Resolve
Seul le MacBook Pro dispose pour le moment de la puce M5 dans sa version de base, ce qui risque d’être un peu limite pour une telle utilisation. Le montage vidéo en 32K reste une utilisation de niche, mais le changement montre le fort potentiel des Mac M5 dans le domaine, et surtout des M5 Pro et M5 Max plus puissants qui sont sans doute en cours de développement.
Cette version 20.3 pour Mac apporte d’autres changements. On notera surtout l’amélioration des performances de la réduction du bruit Resolve FX et des workflows de sauvegarde de la timeline. De nouveaux champs de métadonnées ont fait leur apparition, tandis que les métadonnées HDR10+ sont intégrées dans les encodages QuickTime et MP4. La liste complète des changements est disponible à ce lien.
La version iPad du logiciel a également eu droit à une mise à jour. Elle peut désormais exporter une vidéo en arrière-plan, une nouveauté apparue avec iPadOS 26. Cette fonction n’est activée que sur l’iPad Pro M4 et M5 pour le moment. Mis à part cela, on notera des améliorations pour la réduction du bruit Resolve FX et du Media Pool. Les formats d'image 2,39 et 2,40 sont désormais pris en charge, tout comme Alpha pour le créateur d'aspect cinématographique. Ces nouveautés sont également disponibles sur macOS.
La version iPad. Image DaVinci Resolve.
Lancé en 2004, DaVinci Resolve est disponible gratuitement tandis que la version avancée « Studio » est facturée 255 €. La déclinaison iPad est apparue fin 2022 sur l’App Store américain, puis dans l’Hexagone à l’été 2023. Elle nécessite iPadOS 18 au minimum et une puce A12 Bionic ou plus puissante. Son interface est traduite en français.
Alors qu’Apple n’a même pas encore un iPhone pliant à son catalogue, Samsung prend de l’avance et vient de dévoiler le Z TriFold, son premier smartphone à trois écrans. Il peut être déplié pour atteindre la taille énorme de 10", soit quasiment la surface d’un iPad ! La dalle Dynamic AMOLED affiche une définition 2160 x 1584 et est rafraîchie à 120 Hz, sachant qu’il affiche jusqu'à 2 600 nits de luminosité. Il se replie vers l’écran principal, à la manière d’un livre.
Image Samsung/iGeneration
À quoi va donc servir toute cette surface d’écran ? On peut par exemple faire tourner trois apps horizontales côte à côte, ou encore passer en mode DeX sans moniteur externe. Pour rappel, cette fonction va adapter l'interface pour lui donner celle d'un ordinateur de bureau, ce qui fait qu’on pourra lui relier clavier et souris pour en faire une station de travail autonome. Samsung met aussi en avant la consultation de contenu, et il est vrai qu’un écran de 10" sera sans doute très pratique pour rattraper ses séries en déplacement.
Sous le capot, Samsung a caché un Snapdragon 8 Elite gravé en 3 nm épaulé par 16 Go de RAM et jusqu’à 1 To de stockage. On y trouve également une batterie de 5 600 mAh compatible avec la charge filaire 45 W et la charge sans fil. Cette puissance va permettre de gérer jusqu’à quatre bureaux avec plusieurs apps chacune et toute une panoplie de fonctions d’IA.
Le produit fait 12,9 mm d’épaisseur replié, contre 8,75 mm pour l’iPhone 17 Pro. Une fois ouvert, il ne mesure que 3,9 mm en son point le plus fin. On notera que les écrans n’ont pas tous la même épaisseur, celui du milieu ayant un peu plus d’embonpoint étant donné qu’il héberge le port USB-C. L’appareil pèse 309 grammes, soit 76 grammes de plus qu’un 17 Pro Max.
Image Samsung
Samsung n’a pas fait de gros sacrifice en photo en promettant un capteur 200 Mpx, un ultra-grand-angle 12 Mpx et un téléobjectif x3 10 Mpx. Deux caméras à selfie 10 Mpx sont également incluses. L’appareil est certifié IP48 et supporte une immersion en eau douce jusqu’à 1,5 m pendant 30 minutes mais n’est pas protégé contre la poussière fine ni le sable.
Ce Z TriFold tourne évidemment sous la dernière version d’Android et ne sera proposé que dans un unique coloris noir. Il sera lancé le 12 décembre en Corée du Sud avant d’être commercialisé sur plusieurs autres marchés par la suite. Les États-Unis et la Chine sont mentionnés, mais pas l’Europe. Le prix sera de 3 590 400 wons, soit environ 2 300 €.
Apple vient d'annoncer que John Giannandrea, le responsable de la division dédiée à l'intelligence artificielle, allait quitter la société. Il démissionne de son poste de vice-président pour la stratégie liée à l'IA et va être remplacé par Amar Subramanya, qui prend le même poste sous la supervision de Craig Federighi. Giannandrea va rester chez Apple jusqu'au printemps 2026, en tant que conseiller, avant de prendre sa retraite. Subramanya, qui va donc avoir la lourde tâche de s'occuper d'Apple Intelligence et ses futures fonctionnalités, vient de chez Microsoft et a aussi passé près de 16 ans chez Google.
Si le communiqué d'Apple est laudatif et que Tim Cook remercie bien évidemment Giannandrea, les changements n’en restent pas moins importants dans l’organisation de l’entreprise. Il faut donc s’attendre à un véritable changement de cap dans le domaine de l’IA.
Dans le petit monde des sociétés capables de graver des puces modernes, les sociétés les plus connues sont TSMC (le leader, qui grave les puces d'Apple), Samsung ou Intel. Mais vous n'avez probablement jamais (ou rarement) entendu parler d'UMC, GlobalFoundries ou SMIC, respectivement les 4e, 5e et 3e plus gros fondeurs mondiaux. Pourtant, SMIC est une société à surveiller : elle vient d'annoncer ses premières puces en 5 nm.
Actuellement, Samsung et TSMC produisent des puces en 3 nm (une valeur qu'il faut prendre comme un nom marketing et pas au pied de la lettre) et UMC ou GlobalFoundries se concentrent plutôt sur des technologies plus anciennes (comme le 12 nm), rentables pour de nombreuses puces. Mais le cas de SMIC est intéressant : c'est un fondeur chinois, qui fournit les sociétés chinoises qui n'ont plus accès aux technologies taïwanaises ou coréennes à cause d'embargos mis en place par les États-Unis. Et SMIC a un autre problème, lié aux mêmes raisons : la société n'a pas accès aux machines européennes d'ASML, qui permettent de graver avec des « Extreme Ultraviolet » (EUV), et doit se contenter des machines plus anciennes en DUV (Deep Ultraviolet).
Sans entrer dans les détails trop techniques, passer par des machines DUV nécessite beaucoup plus de temps et d'étapes pour graver une puce, ce qui complexifie et ralentit le développement d'une nouvelle génération. Le 7 nm de SMIC, par exemple, nécessite 34 étapes pour graver une puce, contre 9 avec une machine EUV. Bien évidemment, les étapes réduisent le rendement en augmentant le risque d'erreurs, ce qui fait monter mécaniquement le coût des puces.
Nos confrères d'Hardware and Co.expliquent que le simple fait de développer un processus en 5 nm avec des machines DUV était considéré comme inutile et peu viable. Mais devant l'absence d'alternatives et avec une demande qui reste forte chez les fabricants chinois, SMIC a tout de même relevé le défi. Le fondeur aurait enfin réussi à proposer une puce en 5 nm produite en masse, le système sur puce Kirin 9030 Pro. Il intègre neuf cœurs CPU et une partie graphique maison, mais les fréquences annoncées (2,75 GHz au mieux) restent assez faibles pour une puce en 5 nm, ce qui montre que la technologie a probablement quelques limites.
La nouvelle puce Kirin est en 5 nm.
Pour mémoire, la première puce gravée en masse en 5 nm est l'A14 d'Apple en 2020, qui a été suivi très rapidement par l'Apple A14X l'Apple M1. SMIC reste donc assez loin de TSMC et Samsung pour le moment, mais la société rattrape peu à peu son retard, et va peut-être permettre un jour à la Chine de ne plus dépendre de technologies étrangères. C'est aussi une preuve qu'il est possible d'arriver à produire des technologies à peu près compétitives sans nécessairement dépendre d'ASML. Et qui sait, peut-être qu'Apple décidera un jour de produire ses propres puces. Mais pour le moment, la dernière rumeur en date est une production d'une partie de la gamme dans les usines d'Intel.
En 2016, Apple lançait le premier iPhone SE. Le concept était un peu étonnant pour la marque : il reprenait l'esthétique de l'iPhone 5 (sorti quatre ans plus tôt) avec des composants assez proches de l'iPhone 6S, le modèle haut de gamme de cette année-là. C'était une tentative — réussie — de proposer un modèle d'entrée de gamme, dans un format compact qui avait déjà tendance à disparaître.
L'iPhone SE et ses couleurs. Image Apple.
L'iPhone SE n'avait pas un appareil photo aussi bon que l'iPhone 6S et perdait quelques fonctions, mais il offrait le même système sur puce A9 que son grand frère, gage d'excellentes performances pour l'époque. Et c'était surtout un gros changement par rapport aux iPhone d'entrée de gamme précédents : pendant un temps, Apple recyclait les iPhone précédents avec 8 Go (de stockage, pas de RAM…) et son premier essai d'iPhone d'entrée de gamme, l'iPhone 5c, n'avait pas été un succès. L'iPhone SE a eu un successeur en 2020, avec le SE de 2e génération. Il reprenait l'esthétique globale de l'iPhone 6 avec des composants proches de l'iPhone 11. Le SE de 3e génération, en 2022, gardait le même boîtier, mais avec des composants proches de l'iPhone 13. Enfin, le descendant moderne de l'iPhone SE est l'iPhone 16e : un iPhone 14 un peu modifié avec le même système sur puce que l'iPhone 16. On ne change pas une recette qui gagne.
Image Apple.
Tout ça pour dire que l'iPhone SE, abandonné en 2018 et qui est resté bloqué sur iOS 15, est obsolète. Chez Apple, un produit obsolète ne peut plus être réparé officiellement et il n'est plus possible de commander des pièces pour le réparer. Si la batterie de votre iPhone SE montre des signes de faiblesse, il va donc falloir trouver un distributeur alternatif.
Dans tous les cas, c'est le moment de verser une larme pour le dernier iPhone compact et aussi le dernier iPhone équipé d'une prise jack 3,5 mm.
Quelques autres produits abandonnés
La liste des produits obsolètes comprend aussi quelques produits un peu plus anecdotiques. Premièrement, l'enceinte Beats Pill 2.0. Deuxièmement, l'iPad Pro 12,9 pouces de seconde génération. Et troisièmement, les Apple Watch Series 4 Hermès et Nike. Ils ont probablement moins marqué le public que le premier iPhone SE.
Depuis plusieurs versions d’iOS, Apple ouvre progressivement la porte à davantage de personnalisation de l’écran verrouillé. Une application pousse encore un peu plus loin ces possibilités : Frames permet carrément d’afficher une vidéo sur l’écran verrouillé de l’iPhone.
Le fonctionnement est simple : on choisit une vidéo dans sa photothèque, puis on appuie sur Play on Lockscreen pour qu’elle prenne place sur l’écran verrouillé. Lors de la première utilisation, il se peut le fond d’écran habituel garde la priorité ; il faut alors appuyer sur la vignette de la vidéo dans le lecteur pour qu’elle passe en plein écran.
Image iGeneration
Cette option de personnalisation n’a pas du tout été prévue par Apple. Il s’agit d’un détournement astucieux imaginé par Jordi Bruin, également développeur de MacWhisper. Quelques indices montrent le caractère bricolé de la fonction : les contrôles de lecture sont impossibles à retirer et la vidéo s’insère automatiquement dans la Dynamic Island.
L’intégration n’est donc pas parfaite, mais l’effet reste plaisant. En fait, l’astuce semble reposer sur la même mécanique que les animations d’Apple Music sur l’écran verrouillé d’iOS 26, version minimale requise pour utiliser Frames. En pratique, l’application fonctionne assez bien et apporte une touche réellement unique à l’iPhone. La lecture vidéo ne bloque pas les notifications, par contre elle fait disparaitre les widgets.
Vidéo iGeneration
Les fonctionnalités de base de Frames sont gratuites. Un achat intégré à 5 € débloque des options supplémentaires, notamment une meilleure qualité vidéo et des réglages de texte dans la barre de lecture. Cet achat intégré est exceptionnellement offert en ce moment.
Les rumeurs sur les puces A20 (A20 et A20 Pro) arrivent, et elles rejoignent d'autres rumeurs sur les puces M5 Pro et Max : Apple passerait (enfin) sur une organisation en chiplets. Un changement important pour Apple, qui va permettre d'améliorer certains points et peut-être aussi de segmenter un peu plus la gamme.
Les puces A20 selon WCCFTech.
Toutes les puces Apple actuelles sont des systèmes sur puce dits monolithiques. Il y a un seul composant, qui contient tous les éléments (processeur, partie graphique, contrôleur mémoire, etc.). Depuis quelques années maintenant, la concurrence est passée sur une autre organisation, au moins dans les puces haut de gamme : des chiplets. Au lieu d'un composant unique, le système sur puce contient plusieurs tuiles, les chiplets, qui ont chacun un but précis. Il y a des chiplets pour le processeur, pour la mémoire cache, pour la partie graphique, etc.
C'est une solution qui permet aux fabricants d'amener un peu de flexibilité. Pour un processeur avec seize cœurs, par exemple, il est plus efficace de produire deux chiplets qui contiennent chacun huit cœurs qu'un seul composant qui en contient seize. D'un point de vue purement technique, graver des composants plus petits amène moins de pertes : une erreur sur un wafer fait perdre un CPU à seize cœurs dans le premier cas… et un CPU à huit cœurs dans le second. Pour le chip binning, c'est aussi plus flexible : il est possible de faire un CPU à huit cœurs avec un seul chiplet, ou avec deux chiplets en partie défectueux, plutôt que de partir du même chiplet de seize cœurs en désactivant des unités.
Un des avantages de cette technologie, c'est qu'il est aussi possible de passer sur une technologie de gravure plus ancienne pour certains chiplets. Typiquement, un contrôleur mémoire ou la partie qui gère les écrans n'a pas besoin d'être gravé en 2 ou 3 nm, contrairement au CPU ou au GPU.
Un agencement façon LEGO, comme Intel
Les rumeurs sur les puces A20, qui seraient gravées en 2 nm, indiquent qu'Apple utiliserait du WMCM (Wafer-level Multi-Chip Module). C'est le choix d'Intel : les composants (les chiplets) sont agencés comme des briques LEGO, pour former un ensemble rectangulaire composé de plusieurs tuiles. C'est une solution intéressante dans les appareils mobiles, car la surface de la puce est faible, mais elle a un défaut : pour garder une forme rectangulaire, il est souvent nécessaire d'intégrer de faux chiplets pour remplir le vide. La solution d'AMD, a contrario, est de séparer les chiplets, avec généralement un chiplet central plus gros, pour la gestion de la mémoire et de la partie graphique.
L'agencement façon LEGO. Image WCCFTech.
Le principal défaut des chiplets vient de la liaison entre les éléments : elle doit être rapide. L'intégration dans un seul composant rectangulaire permet généralement de régler ce problème, avec des connexions sous les chiplets qui permettent un bus très large.
Plus de mémoire cache
Selon WCCFTech, une des nouveautés des puces A20 serait une mémoire cache plus importante. On passerait de 24 Mo à 32 Mo sur l'A20 Pro par exemple (face à l'A19 Pro) pour le cache SLC, qui est une sorte de cache de niveau 3. Ils indiquent aussi que les cœurs basse consommation seraient plus rapides (ce qui est déjà le cas depuis quelques générations) et que la gravure en 2 nm de TSMC va évidemment permettre de consommer moins (pas de conditionnel ici, c'est le principe même d'une amélioration de la gravure).
Il faut tout de même noter qu'une organisation en chiplet n'amène pas forcément de gains de performances, spécialement dans des systèmes sur puce comme les A20 et A20 Pro. Les avantages dans ces derniers sont essentiellement du côté d'Apple, avec un rendement mécaniquement plus élevé et donc un coût de fabrication plus faible. Et il y a aussi éventuellement la possibilité de graver certains des chiplets chez un autre fondeur, comme Intel, mais c'est peu probable pour un système sur puce attendu en septembre 2026.
Enfin, un des avantages d'une structure en chiplets pourrait être dans le futur l'intégration du modem dans le système sur puce. Pour un iPad, par exemple, il pourrait être possible de proposer d'un côté une puce A20 sans modem pour un iPad classique et de l'autre une puce A20 avec un modem intégré, dans un chiplet, pour un iPad cellulaire. La seule différence serait une tuile « vide » dans la première variante.
Si vous avez une carte BNP Paribas enregistrée dans l’app Cartes de votre iPhone, vous avez peut-être aperçu un nouveau logo dessus : à côté de Visa, il se peut que figure le logo CB. C’est ce qu’a remarqué un de nos lecteurs, Charles, en fin de semaine dernière. Concrètement, cela signifie que pouvez régler vos achats Apple Pay en passant par le réseau de paiement franco-français CB.
Une carte BNP Paribas cobadgée Visa/CB dans Apple Pay. Image iGeneration.
Si votre carte n’a pas encore gagné la compatibilité CB, la supprimer puis l’ajouter de nouveau peut accélérer les choses. Sinon, il suffit d’attendre : la mise à jour se fait automatiquement, tôt ou tard.
Avec les cartes cobadgées, c’est-à-dire compatibles avec deux réseaux de paiement, vous pouvez choisir celui à utiliser lors d’un achat en ligne. Juste avant de valider la transaction, touchez « Changer de mode de paiement » puis sélectionnez le réseau souhaité — CB, Mastercard ou Visa — parmi ceux associés à votre carte. « En magasin, c’est la marque présélectionnée par le commerçant qui sera utilisée, comme pour un paiement avec une carte sans contact », nous avait précisé précédemment le GIE CB, le groupement en charge du réseau.
Choix du réseau de paiement lors d’un paiement Apple Pay sur le web. Image iGeneration.
Pendant des années, la plupart des banques françaises ont négligé le réseau CB sur Apple Pay au profit de Visa et Mastercard. Or, le GIE CB présente son adoption comme un enjeu de souveraineté nationale, avec comme argument que les opérations sont traitées et stockées par un acteur français. Depuis quelques années, un rattrapage s’opère. Si le Crédit Agricole et SG prennent en charge CB sur iPhone depuis longtemps, La Banque Postale a rejoint le mouvement fin 2024 et le CIC au printemps dernier. Et voilà donc maintenant BNP Paribas.
Lors d’une conférence donnée mi-novembre, Philippe Laulanie, directeur général de CB, a indiqué que la dernière banque française à franchir le pas le fera au premier trimestre 2026. Et d’ajouter avec un soupçon d’amertume : « En France, il faut quand même dix ans pour venir sur une plateforme. Bon. Toujours est-il… Sachons nous féliciter ensemble. »
Comme les coques, les verres trempés font partie des protections les plus courantes sur iPhone. Lorsque nous avons lancé notre sondage début novembre, nous ne nous attendions pas à ce que plus de la moitié des répondants déclarent utiliser un film de protection. Évidemment, ce sondage n’est pas représentatif de l’ensemble des utilisateurs d’iPhone, mais il illustre tout de même la popularité de cet accessoire.
Si vous n’en possédez pas encore, ou si votre verre actuel a fini par se fissurer, plusieurs modèles de Spigen sont en promotion pour ce dernier jour de Black Friday (ou seul et unique jour de Cyber Monday). Il existe une myriade de protège-écrans, mais ceux de Spigen ont notre assentiment : ils sont assez robustes et simples à installer grâce au kit fourni.
Lot de 2 verres trempés Spigen Glas.tR EZ Fit Pro pour iPhone 17, iPhone 17 Pro, iPhone 16 Pro : 17,49 € (- 30 %)
Lot de 2 verres trempés Spigen Glas.tR EZ Fit Verre Trempé pour iPhone 17 Pro Max, iPhone 16 Pro Max : 22,49 € (- 10 %)
Lot de 2 verres trempés Spigen Glas.tR EZ Fit pour iPhone 15 Pro : 17,99 € (- 10 %)
Lot de 2 verres trempés Spigen Glas.tR EZ Fit compatible avec iPhone 16e, iPhone 14, iPhone 13, iPhone 13 Pro : 15,21 € (- 10 %)
Au niveau tarifaire, Spigen se place entre les verres no name et ceux de Belkin, une marque vendue dans les Apple Store. Certains modèles Belkin profitent d’ailleurs de réductions : le pack de 2 ScreenForce pour iPhone 16 revient à 11,99 € et celui pour iPhone 17 Pro à 9,99 € (- 33 %). À noter que les verres Belkin proposés en Apple Store ne sont pas les mêmes : il s’agit d’UltraGlass 2, plus chers et plus résistants.
Pour en revenir à Spigen, d’autres accessoires font l’objet de remises en ce moment, comme la coque en plastique compatible MagSafe pour iPhone 17 à 13,99 € et l’étui transparent pour AirPods Pro 3 à 13,59 €. On recommande la coque Ultra Hybrid MagFit pour iPhone 16e, à 16,79 € (- 13 %), qui offre une bonne protection et ajoute des aimants à ce smartphone. La charge sans fil reste limitée à une puissance de 7,5 W, mais on peut au moins aimanter l’iPhone 16e sur des chargeurs magnétiques.
Si vous connaissez Windows, vous connaissez aussi probablement un programme qui est installé sur de nombreux PC : WinRAR. Le logiciel qui permet de compresser en RAR (Roshal Archive) est en effet un mème, parce qu'il demande en théorie une licence (qui vaut 30 $) mais il peut être utilisé sans la payer indéfiniment.
La version d'essai infinie de WinRAR.
Ce que vous ne savez peut-être pas, c'est que WinRAR existe pour macOS, mais uniquement en ligne de commande. Il permet de compresser et décompresser, alors que The Unarchiver, lui, se contente de décompresser. Et pour les personnes allergiques au terminal, tenox a développé une petite extension pour le Finder de macOS. Elle est open source mais nécessite bien la version macOS de WinRAR.
Première étape, installer l'app RAR. Dans le Finder, faites Aller > Aller au dossier et tapez /usr/local/bin. Dans ce dossier, il faut copier le fichier rar et le fichier unrar issu de WinRAR.
Il faut copier le fichier ici. Image MacGeneration.
Une fois l'app installée, il faut aller en ligne de commande. Dans le terminal, tapez les deux lignes suivantes.
cd /Applications/RARExt.app/Contents/Resources/ ./register-extension.sh
Dernière étape, dans Réglage système > Général > Ouverture et extension, cliquez sur le ⓘ à droite de Services système et cochez la case RAR.
L'activation de l'extension. Image MacGeneration.
Maintenant, si vous faites un clic droit sur un fichier quelconque, vous pourrez choisir Actions rapides > RAR et sélectionner les (nombreux) paramètres. Et compresser en RAR facilement.
Les nombreuses options. Image MacGeneration.
Et si vous trouvez toutes ces étapes un peu rébarbatives, vous pouvez évidemment vous contenter du ZIP, intégré nativement dans macOS.
Le Cyber Monday 2025 frappe fort avec une promotion qui va faire parler : CyberGhost VPN casse ses prix à −83 %, plus quatre mois offerts. Pour tous ceux qui naviguent sur Mac et tiennent à leur vie privée, cette offre tombe à pic.
2,03 € HT par mois. Voilà le tarif auquel CyberGhost propose son VPN pendant le Cyber Monday 2025. Une réduction de 83 % agrémentée de quatre mois supplémentaires offerts, voilà qui mérite qu'on s'y attarde sérieusement. Pour quiconque possède un Mac et souhaite sécuriser sa navigation, le moment est venu de passer à l'action.
La confidentialité sur Safari, enfin prise au sérieux
Vous pensez que votre Mac vous protège suffisamment ? La réalité est plus nuancée. Même Safari, pourtant réputé pour sa discrétion, laisse filtrer quantité d'informations sur vos habitudes de navigation. Chaque recherche, chaque site visité, chaque vidéo regardée génère des données que d'autres collectent et monétisent.
CyberGhost change la donne en chiffrant l'intégralité de votre trafic. Concrètement, cela signifie que personne, ni votre fournisseur d'accès, ni les annonceurs, ni les sites web eux-mêmes, ne peut espionner ce que vous faites en ligne. Votre activité devient véritablement opaque, et c'est exactement ce qu'on recherche.
Compatible avec toute la gamme Apple
MacBook Air, iMac, MacBook Pro... peu importe la machine que vous possédez, l'installation fonctionne impeccablement. Cette compatibilité universelle avec l'écosystème Apple simplifie considérablement les choses, surtout si vous alternez entre plusieurs appareils au cours de la journée.
Pas de configuration byzantine, pas de réglages techniques obscurs. L'application s'intègre naturellement à votre environnement macOS et fait son travail en toute discrétion. On lance la connexion, et on oublie que c'est là. C'est précisément ainsi qu'un bon VPN doit fonctionner.
11 000 serveurs pour une couverture mondiale
La force de CyberGhost réside dans son infrastructure colossale : plus de 11 000 serveurs répartis dans une centaine de pays. Ces chiffres ne sont pas là pour impressionner la galerie mais garantissent des connexions rapides et stables, où que vous soyez.
Vous travaillez depuis un hôtel à New York ? Vous consultez vos comptes depuis un café à Berlin ? Vous regardez des contenus en streaming depuis votre canapé ? Dans tous les cas, un serveur proche assure des performances optimales. Cette densité géographique permet également de contourner les restrictions territoriales qui fragmentent Internet selon votre localisation.
La vitesse reste constante, sans ces ralentissements agaçants qui caractérisent certains VPN bon marché. Quand on paie pour un service, autant qu'il fonctionne correctement.
Une réputation solidement établie
Sur Trustpilot, CyberGhost affiche une note de 4,7 sur 5, calculée sur plus de 14 800 avis. Dans le secteur des VPN, où les promesses marketing dépassent souvent largement la réalité, ces chiffres ont du poids.
Cette confiance se construit sur la durée, grâce à un service qui tient ses engagements. Près de 15 000 personnes ont pris le temps de laisser leur impression, et l'écrasante majorité s'est déclarée satisfaite. Ce genre de plébiscite ne s'invente pas.
2,03 € par mois : faites le calcul
Venons-en au cœur du sujet. Avec cette promotion Cyber Monday, l'abonnement CyberGhost tombe à 2,03 € mensuels. Pour contextualiser, c'est moins qu'un café en terrasse. Protéger tous vos Mac pour ce montant dérisoire relève franchement de l'aubaine.
Mais comme toute promotion digne de ce nom, celle-ci ne durera pas éternellement. Le Cyber Monday tire son nom de sa fugacité : ces offres explosives disparaissent aussi vite qu'elles apparaissent. Les places à ce tarif sont comptées, et la demande s'annonce forte.
La vie privée n'attend pas
Pour les propriétaires d'un Mac qui hésitaient jusqu'ici, invoquant un coût trop élevé ou une utilité douteuse, cette offre balaie tous les arguments. À 2,03 € par mois (68,33 € TTC pour 28 mois !), le rapport qualité-prix devient tout simplement imbattable.
La sécurité numérique n'est plus un luxe réservé aux paranoïaques ou aux initiés. C'est une nécessité pragmatique dans un monde où vos moindres faits et gestes en ligne sont pistés, analysés, revendus. CyberGhost propose une solution simple, efficace, et aujourd'hui, ridiculement abordable.
Le Cyber Monday 2025 offre cette fenêtre de tir : autant en profiter pendant qu'elle est encore ouverte !
Récemment, et sans tambour ni trompette, Netflix a mis à jour son application pour smartphones et tablette et a modifié une règle : la possibilité d'effectuer une recopie vidéo vers un appareil Google Cast a été singulièrement limitée.
Notre iPhone ne propose plus de solutions pour caster. Image iGeneration.
Le service avait déjà supprimé AirPlay il y a quelques années, mais cette fois, c'est la technologie de Google qui est ciblée. La page qui explique le fonctionnement est très claire : la recopie vidéo ne fonctionne qu'avec les anciens modèles de Chromecast ou avec les TV qui intègrent Google Cast. La date du changement n'est pas indiquée, mais un sujet sur Reddit semble indiquer que c'est une modification qui date de début novembre 2025.
La (presque) mort de la recopie vidéo
Cette petite modification n'est pas si petite : si vous avez un boîtier multimédia (Nvidia Shield, Google TV, etc.), la recopie vidéo ne fonctionne plus. Quand Netflix parle d'anciens modèles de Chromecast, il s'agit a priori des modèles qui ne proposaient que le casting, sans intégrer de système d'exploitation. Les appareils actuels, que Google a vendu un temps comme Chromecast avec Google TV, n'y ont plus accès. Les téléviseurs avec Google Cast intégrés restent compatibles, mais Netflix ne précise pas si c'est lié à la présence d'Android TV (ou Google TV).
Dans tous les cas, le but de Netflix est simple : pousser les utilisateurs vers les apps Netflix pour téléviseurs. Les boîtiers exclus permettent en effet généralement d'installer une app Netflix (contrairement aux premiers Chromecast).
Rappelons enfin que Netflix bloque la recopie vidéo si vous avez une offre publicités. En l'état, la recopie ne survit donc que chez ceux qui payent un abonnement standard et possèdent un vieil appareil.
La hausse du prix de la mémoire vive, à cause de l'IA, touche de plus en plus de domaines. Cette fois, ce sont (encore) les Raspberry Pi qui souffrent, car la société qui conçoit les cartes n'est pas un gros acteur dans le domaine. Fin octobre, elle avait annoncé une hausse de quelques dollars sur les modèles intégrés dans un clavier (Raspberry Pi 500) et les Compute Module, destinés à l'industrie. Cette fois, toutes les cartes sont touchées avec des hausses de 5 $ à 25 $.
La puce RAM des Raspberry Pi 5, au centre de l'image. Image Raspberry.
Commençons par les hausses annoncées : le Raspberry Pi 4 avec 4 Go passe de 55 à 60 $, et la version 8 Go de 75 $ à 85 $. Ce sont les prix hors taxes en dollars, en France les cartes valent généralement aux alentours de 60 à 65 € (4 Go), donc elles devraient s'approcher de 70 € (4 Go, toujours). Sur les cartes Raspberry Pi 5, on passe de 50 $ à 55 $ (2 Go), de 60 à 70 $ (4 Go), de 80 à 95 $ (8 Go) et de 120 à 145 $ (16 Go). Une variante 2 Go qui vaut 56 € actuellement devrait donc dépasser 60 €.
Pour tenter de contrer (un peu) les prix élevés sur la RAM, une nouvelle variante est proposée : une carte Raspberry Pi 5 avec 1 Go de RAM seulement, pour 45 $ (51,6 € en France). Ce n'est pas une solution très satisfaisante dans l'absolu, mais probablement le meilleur compromis actuel. Pour certains usages, 1 Go de RAM peuvent suffire (si vous oubliez l'interface graphique). Mais les cas d'usage restent assez rares : les applications qui nécessitent la puissance supplémentaire du Raspberry Pi 5 mais seulement 1 Go de RAM restent assez rares. Dans de nombreux cas, se tourner vers une carte plus ancienne avec 1 ou 2 Go de RAM sera plus intéressant.
Enfin, le prix des versions d'entrée de gamme du Raspberry Pi 4 (1 ou 2 Go de RAM), des Raspberry Pi 3 et des Raspberry Pi Zero ne bouge pas pour le moment. Seule la version 16 Go du Compute Module (Raspberry Pi 5) prend 20 $, dans le reste de la gamme.
CodeWeavers réduit le prix de CrossOver+ à l’occasion du Cyber Monday et son offre est très intéressante : une licence valable un an est vendue à 18,5 € au lieu de 74, soit 75 % de réduction sur le tarif de base. Si vous cherchez une solution simple pour jouer à des jeux Windows sur votre Mac, ou pour installer des apps Windows sur le Mac de manière plus générale, c’est certainement la meilleure option aujourd’hui. Surtout à ce prix, qui ne sera proposé que jusqu’à la fin de la journée.
Image MacGeneration/CodeWeaver.
Sous le capot, CrossOver repose sur Wine pour pouvoir lancer des programmes Windows sur un autre système d’exploitation, dont celui d’Apple. Wine est un programme open-source, que vous pouvez exploiter gratuitement sur votre Mac, à condition toutefois de bricoler un petit peu. C’est particulièrement vrai pour les jeux vidéo, qui nécessitent souvent des réglages spécifiques qu’il n’est pas toujours évident de connaître.
Si vous ne voulez pas vous embêter avec tout ça, CrossOver est une bonne option, puisqu’elle simplifie considérablement le travail. L’app intègre tout le nécessaire pour lancer des jeux Windows sous macOS et gère le Game Porting Toolkit fourni par Apple ainsi que des ajustements spécifiques à certains titres. À l’arrivée, on peut lancer le jeu vidéo d’un clic depuis son interface et tout fonctionne correctement dans la majorité des cas. L’éditeur propose aussi une large base de données qui contient plusieurs milliers d’applications référencées et qui permet de savoir, avant même d’installer quoi que ce soit, si l’utilisation du programme sera possible.
CrossOver en action sur mon Mac, prêt à lancer un jeu exclusivement proposé sous Windows. Image MacGeneration.
Outre la remise sur l’abonnement d’un an, CodeWeaver propose 45 % de réduction sur les renouvellements, si vous étiez déjà abonné. Enfin, la licence perpétuelle CrossOver Lite voit son prix réduit de 25 % : 363 € au lieu de 484. Cela reste cher, surtout face à un an à 18 €, mais à vous de voir la formule que vous souhaitez privilégier.
Bon nombre de remises sur des logiciels et services référencées la semaine dernière à l’occasion du Black Friday restent disponibles aujourd’hui.
Le Panel Hub S1 Plus d’Aqara, une tablette destinée à prendre la place d’un interrupteur et le remplacer par une interface tactile bien plus complète, vient de gagner une fonction intéressante. Avec la dernière mise à jour de son firmware, on peut le transformer en un relai pour un HomePod et lui ajouter à ce titre la compatibilité avec Siri ou encore AirPlay 2. Ses microscopiques haut-parleurs n’auront aucun intérêt pour diffuser de la musique, mais la possibilité de faire appel à l’assistant vocal d’Apple depuis cet appareil d’une autre marque est aussi rare qu’intrigant.
Le centre de notifications interne indique bien le passage à la nouvelle version et l’ajout de la fonctionnalité, avec un nouveau bouton dédié dans l’équivalent du centre de contrôle. Image iGeneration.
Puisque j’utilise depuis le début de l’année cet écran à la place de l’un des interrupteurs de mon séjour, j’ai voulu tester la nouveauté. La mise à jour nécessaire, la version 4.5.1_0058.0017 très exactement, a été correctement installée et j’ai pu activer la fonctionnalité dans la foulée dans l’app Maison. Après son redémarrage, la tablette affiche bien un bouton dédié à la nouveauté dans son centre de contrôle, mais je n’ai malheureusement jamais réussi à l’utiliser. Précisons que j’ai bien un HomePod, brique obligatoire de cet étrange dispositif lancé en 2021 et qui a rencontré un désintérêt poli de la part des fabricants.
Pour rappel, Apple propose depuis plus de quatre ans que des accessoires de domotique fassent le relai de sa propre enceinte connectée. Concrètement, l’accessoire répond aux commandes vocales « Dis Siri » et peut faire office de destination AirPlay 2, mais sans intégrer réellement les deux fonctionnalités. Un HomePod présent sur le même réseau se chargera de transmettre vos demandes vocales et les réponses de l’assistant d’Apple. C’est certainement une grande partie de l’explication pour comprendre l’échec de la fonctionnalité, qui est jusque-là restée l’exclusivité d’un unique thermostat vendu uniquement en Amérique du Nord.
Aqara a décidé de doubler le nombre d’appareils compatibles avec Siri, en ajoutant la fonctionnalité à son écran. La nouveauté avait été annoncée lors de l’IFA qui s’est tenu en septembre dernier à Berlin et le fabricant a commencé à déployer la mise à jour à la fin du mois de novembre. Si je vois bien tous les changements dans l’app Maison ainsi que sur la tablette elle-même, j’ai un message qui mentionne une configuration en cours depuis plusieurs jours. C’est probablement pour cette raison que Siri ne répond pas à mes demandes et j’ai demandé à Aqara une explication. Je mettrai à jour cet article si j’ai une réponse satisfaisante de la part du fabricant.
Mon écran Aqara est en cours de configuration depuis plusieurs jours d’après l’app Maison (gauche). J’ai tenté de le redémarrer et de changer son réseau Wi-Fi, cela n’a rien changé, alors que j’ai bien activé les options associées à Siri (droite). Image iGeneration.
Quoi qu’il en soit, est-ce une bonne idée pour sauver la tablette d’Aqara ? Pour rappel, j’avais apprécié l’idée dans mon test, tout en trouvant que l’appareil était bien trop fermé sur l’écosystème d’Aqara, alors même qu’il est censé être compatible avec Matter. Près d’un an après, mon avis n’a pas changé et je n’utilise plus du tout cet écran vendu près de 300 €, dont l’intégration du standard de domotique reste toujours aussi frustrante à cause de ses limites et bugs. L’ajout de Siri ne change pas fondamentalement la donne pour moi, puisque j’utilise surtout Home Assistant.
Si vous comptez sur l’assistant vocal d’Apple au quotidien, c’est toujours un argument supplémentaire, d’autant que vous bénéficierez de fonctions associées. On peut en effet le configurer comme un interphone (envoi de messages audio depuis son iPhone à tous les HomePod du logement, et maintenant aussi à l’écran d’Aqara) ainsi qu’en relai d’une sonnette connectée.
Amazon affiche de nombreuses promos sur les produits de la sympathique marque Elago ce matin. On y trouve tout un tas de supports pour chargeurs Apple : la basique MS1 pensée pour un galet MagSafe passe de 26 € à 19 €, tandis que la plus ronde MS2 est à 21,83 € (-16 %). Le modèle en aluminium tombe de 36 à 30 €. Il y a aussi de quoi faire avec les chargeurs d’Apple Watch, certains modèles classiques en côtoyant d’autres plus originaux, comme celui-ci en forme de Macintosh que l’on peut obtenir pour 16,79 € (-16 %).
La marque propose également quelques accessoires originaux, comme ce support de galet d’Apple Watch transformant l’écran de votre montre en moniteur (-24 %). Ce pot à crayon devrait vous permettre de plus facilement ranger votre Apple Pencil en cas de longue période d’inutilisation (12,21 €, soit -24 %). Vous pourrez sinon protéger l’accessoire à l’aide d’une jolie coque à 13,33 € au lieu de 15,99 €. Notons au passage cette coque porte-clef pour AirTag affichée à moins de 13 € reprenant le look de la manette de SNES.
Elago propose quelques coques pour AirPods qui feront de bons cadeaux de Noël. On trouve des coques sous forme de cassette ou de console Nintendo coûtant quelques euros de moins qu’en temps normal, sachant que le tarif de base n’est pas particulièrement élevé. Le modèle transparent simple est aussi en promo pour ceux souhaitant rester dans la sobriété.
Quelques accessoires MagSafe sont également en promo. Cette ventouse magnétique sera bien pratique pour regarder des vidéos dans le train ou en avion et ne coûte que 15,95 € (-16 %). La marque a aussi un porte-carte magnétique pas très cher, vendu 15,95 € dans sa version Nintendo et 2 € de moins dans une déclinaison plus sobre. On remarquera aussi la présence d’un modèle transparent à 17,53 € et d’un autre origami vendu 5 € de moins qu’en temps normal.
Enfin, la marque propose des coques pour les télécommandes d’Apple TV perdant 16 %. Certaines ont des styles plus originaux que d’autres. La marque a également une coque pour Apple TV 4K 2022 la transformant en vraie fausse SNES. Vous ne devriez pas peiner à trouver un cadeau rigolo et pas cher pour un proche fan d’Apple.
L’abonnement Freebox Ultra s’enrichit avec l’ajout d’un service de replay sans surcoût. Jusque ici, l’offre incluant la chaîne Canal+ uniquement en direct. Désormais, les abonnés peuvent accéder à un service de rattrapage pour cette chaîne.
Si vous ne pouvez pas être devant votre écran au moment de la diffusion d’un film ou d’une série sur Canal+, vous pouvez voir le programme en replay depuis l’application Canal+. C’est pratique et en phase avec les usages actuels. Free précise toutefois qu’il s’agit d’un « replay de courte durée », ce qui laisse entendre que les contenus ne resteront disponibles qu’un laps de temps limité après leur passage à l’antenne. Le FAI ne donne pas plus de détails sur cette fenêtre de disponibilité dans son communiqué.
Ce nouveau service est accessible dès aujourd’hui pour les nouveaux abonnés Freebox Ultra et sera déployé dans les jours à venir pour les clients actuels, qui en seront informés par e-mail. « Canal+ La Chaîne », en direct et en replay donc, est aussi proposée sous forme d’option à 15,99 €/mois pour les abonnés Freebox Pop et Ultra Essentiel.
L’abonnement Freebox Ultra coûte 49,99 €/mois pendant un an, puis 59,99 €/mois. Il inclut notamment une connexion internet 8 Gbit/s symétrique avec une box Wi-Fi 7 tribande, un répéteur Wi-Fi 7 sur demande et plusieurs services de streaming (la chaîne Canal+, Netflix standard avec pub, Disney+ standard avec pub…).