Connue depuis deux décennies, la protéine PINK1 responsable de nombreux cas de maladie de Parkinson précoce n'avait jusque-là jamais pu être observée précisément, empêchant de la cibler par des traitements adaptés. C'est maintenant chose faite.
Connue depuis deux décennies, la protéine PINK1 responsable de nombreux cas de maladie de Parkinson précoce n'avait jusque-là jamais pu être observée précisément, empêchant de la cibler par des traitements adaptés. C'est maintenant chose faite.