Alors qu'une nouvelle offensive terrestre israélienne a commencé dans la nuit à Gaza, l'une des grandes voix de la Palestine, Elias Sanbar est l'invité de Parlons-en. Ancien ambassadeur de son peuple à l'Unesco, négociateur des accords d'Oslo, historien, traducteur et auteur, dernièrement, de "La Palestine expliquée à tout le monde" (éd. Nouvelle édition, Seuil, 2025), il est de ceux qui plaident, inlassablement, pour réinscrire la question palestinienne dans le temps long.
Alors qu'une nouvelle offensive terrestre israélienne a commencé dans la nuit à Gaza, l'une des grandes voix de la Palestine, Elias Sanbar est l'invité de Parlons-en. Ancien ambassadeur de son peuple à l'Unesco, négociateur des accords d'Oslo, historien, traducteur et auteur, dernièrement, de "La Palestine expliquée à tout le monde" (éd. Nouvelle édition, Seuil, 2025), il est de ceux qui plaident, inlassablement, pour réinscrire la question palestinienne dans le temps long.
Le sommet conjoint de la Ligue arabe et de l'Organisation de la coopération islamique (OCI), qui se tient ce lundi à Doha, vise à hausser le ton face à Israël, après le bombardement mené en plein cœur de la capitale qatari la semaine dernière. Quelle est la position des pays arabo-musulmans, après près de deux ans d'offensive israélienne à Gaza ? Ces pays semblent, jusqu’ici, frileux à s’engager plus en avant pour la cause palestinienne. Comment l'expliquer ? Le sommet de Doha peut-il changer la donne ? On en parle avec Bertrand Besancenot, diplomate, ancien ambassadeur de France au Qatar et en Arabie saoudite, et Armin Arefi, grand reporter au Point, spécialiste du Proche et du Moyen-Orient.
Depuis des mois, des soldats nord-coréens se battent en Ukraine aux côtés des forces russes. Vladimir Poutine n'a pas manqué de remercier depuis Pékin son ami Kim Jong-un pour son aide précieuse. Et c'est dans la tête du dirigeant nord-coréen que nous nous plongeons aujourd'hui dans "Parlons-en". Kim Jong-un, qui dirige d'une main de fer l'un des pays les plus fermés au monde. On en parle avec Pierre Rigoulot, historien, et Jean-Yves Colin, expert Asie du Nord à Asia Centre.
Le séisme qui a endeuillé l’Afghanistan dimanche a replacé ce pays au centre de l’attention médiatique. Alors qu’au moins 1 400 personnes ont perdu la vie, la plupart des rescapés sont livrés à eux-mêmes, en dépit des images diffusées par les Taliban. Aujourd’hui dans "Parlons-en", nous revenons sur le sort des Afghans – et surtout des Afghanes – et la politique liberticide mise en place depuis quatre ans avec le retour au pouvoir des fondamentalistes.
Nous vous proposons une série baptisée "Dans la tête de...", afin de tenter de comprendre la politique des dirigeants de la planète. On commence avec l'homme fort de Chine, Xi Jinping, actuellement en pleine séquence diplomatico-militaro-politique. Dimanche et lundi, le Sommet de Tianjin a réuni une vingtaine de dirigeants. Ce mardi, a eu lieu une rencontre avec Vladimir Poutine, et mercredi, le grand défilé militaire doit se tenir pour marquer les 80 ans de la fin de Seconde Guerre mondiale. Xi Jinping est un président que l'on connaît peu, alors qu'il est au pouvoir depuis douze ans. C'est aussi un homme qui veut être celui qui dit non : non à Donald Trump et non à l'ordre mondial, tel que le pensent les pays occidentaux.