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Reçu aujourd’hui — 13 décembre 2025

L'ajuste note - Puyo a quelque chose à vous dire au sujet des notes

Par :Puyo
13 décembre 2025 à 07:05
Succéder à un talent comme Yukishiro au poste de rédacteur en chef de Gamekult est le genre de responsabilité que seul un vétéran de la première heure pouvait endosser. Pas tout à fait de la première heure, c'est vrai : à la naissance de Gamekult, le petit Nicolas jouait encore avec le petit Thomas (Méreur, pas Cusseau) sur leur humble site amateur quand, un beau jour de 2002, Puyo est catapulté sur Gamekult pour y vivre une aventure de 20 ans. Qui peut en dire autant ? « Sbebiwan », me souffle-t-on dans l'oreillette. Bon, soit. Mais quand même. On a beau se répéter que nul n'est indispensable, tout le monde sera d'accord pour dire que personne n'a incarné plus intimement l'institution Gamekult que Puyo. Mais assez de flatteries, place au patron.

iOS 26.2 réactive l’installation automatique des mises à jour pour certains

13 décembre 2025 à 07:00

Apple a proposé hier la version finale d’iOS 26.2 au téléchargement sur iPhone et iPad, et cela s’accompagne d’un changement d’interface subtil qui pourrait surprendre les utilisateurs. Lors de la configuration après l’installation, le système incite fortement à basculer vers les mises à jour automatiques d’iOS, modifiant parfois les préférences établies sans action explicite de […]

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Entre petites bêtises et sélection élitiste, plongée dans la formation de Kamory Doumbia, Daouda Guindo et Hamidou Makalou, les trois joueurs maliens de Brest

13 décembre 2025 à 07:00
Daouda Guindo et Kamory Doumbia (3e et 4e en partant de la gauche, accroupis) sont issus de la même promotion. (Académie Jean-Marc Guillou de Bamako.)Kamory Doumbia, Daouda Guindo et Hamidou Makalou, joueurs de Brest, qui se déplace à Rennes ce samedi dans le cadre de la 16e journée de Ligue 1 (17 heures), sont tous issus de l'académie Jean-Marc Guillou à Bamako. Retour sur leurs premiers pas.

Au Royaume-Uni, grâce à « l’effet Zack Polanski », les Greens talonnent désormais le Labour

13 décembre 2025 à 06:56
Le profil atypique du nouveau chef des écologistes britanniques, qui se revendique d’un « écopopulisme », et son choix de mettre l’accent sur la justice sociale permettent à son parti, aux scores électoraux historiquement bas, d’occuper l’espace libre à la gauche des travaillistes.

© STEFAN ROUSSEAU/ MAXPPP

Le Français Lele-Sadjo face au casse-tête américain Diego Pacheco : « Je monte sur le ring comme si j'allais au tribunal, pour me faire justice »

13 décembre 2025 à 06:30
Kevin Lele-Sadjo à l'entraînement. (J-B. Autissier /L'Équipe)Dans la nuit de samedi à dimanche, en Californie, le Français Kevin Lele-Sadjo, 35 ans, va défier l'Américain Diego Pacheco, plus grand de vingt centimètres et plus jeune de onze ans. Un duel de cogneurs invaincus qui enflamme la catégorie des super-moyens.

GPTPets - Des animaux virtuels pour égayer vos sessions ChatGPT et Claude

Par :Korben
13 décembre 2025 à 06:26

Vous bossez toute la journée sur ChatGPT ou Claude et vous commencez à trouver ça un peu tristounet ? Youpi, y’a une extension Chrome qui va égayer tout ça avec des petits animaux virtuels qui se baladent sur votre interface comme quand on était en 1999.

Ça s’appelle GPTPets et c’est le genre de truc complètement inutile donc forcément indispensable comme disait Jérôme Bonaldi. Le principe c’est d’avoir un petit compagnon animé qui vit sa vie sur la barre de saisie de votre IA préférée, genre un chat qui fait la sieste, un chien qui remue la queue, un panda qui mange du bambou, une brigitte qui insulte ses paires… bref vous voyez le genre.

L’extension propose 8 animaux différents avec des petites animations bien mignonnes et ça marche pas que sur ChatGPT, non non. Claude, Gemini, Grok… tous les grands noms de l’IA générative sont supportés, donc peu importe votre dealer habituel, vous pouvez avoir votre petit compagnon.

Le truc c’est que ça reste discret. Les bestioles se posent sur la barre d’input et font leur vie sans vous gêner. C’est juste là pour mettre un peu de vie dans ces interfaces qui sont quand même assez austères de base.

Derrière ce projet, y’a Tanmay Hinge, un artiste et développeur de jeux qui s’est dit que nos sessions de prompt méritaient un peu plus de fantaisie et après des heures passées à causer avec une IA, avoir un petit chat de soutien émotionnel pixelisé qui roupille à côté du curseur, ça fait du bien.

C’est gratuit, c’est léger, et ça s’installe en deux clics depuis le Chrome Web Store . Voilà, si vous cherchez à rendre vos sessions d’IA un poil plus sympathiques, c’est par ici que ça se passe .

Merci à Lorenper pour le partage !

Suprise ! Un micro caché dans un petit KVM chinois à 30 balles

Par :Korben
13 décembre 2025 à 06:09

Je ne connaissais pas le NanoKVM mais c’est un petit boîtier KVM chinois vendu entre 30 et 70€ qui permet de contrôler un PC à distance. Sauf qu’un chercheur en sécurité slovène a découvert qu’il embarquait un micro planqué capable d’enregistrer tout ce qui se dit autour. Ça craint !

En effet, Matej Kovačič a ouvert son NanoKVM et y a trouvé un minuscule composant de 2x1 mm dissimulé sous le connecteur. Un truc tellement petit qu’il faut une loupe ou un microscope pour le dessouder proprement. Et pourtant, ce micro MEMS est capable d’enregistrer de l’audio de “qualité surprenamment élevée” comme il le dit et le pire c’est que l’appareil est fourni avec tous les outils nécessaires (amixer, arecord) pour l’activer via SSH et même streamer le son en temps réel sur le réseau.

Alors comment c’est arrivé là ?

En fait le NanoKVM est basé sur un module LicheeRV Nano qui est prévu pour plein d’usages embarqués différents, dont certains nécessitent de l’audio. Quand Sipeed l’a transformé en KVM grand public, ils ont juste… gardé le micro. Sans le documenter. Sans le désactiver. Sympa hein ?

Et le chercheur a aussi trouvé que les premières versions arrivaient avec un mot de passe par défaut et SSH grand ouvert. L’interface web n’avait aucune protection CSRF, et la clé de chiffrement des mots de passe était codée en dur et identique sur TOUS les appareils vendus. En bonus, le bidule communiquait avec des serveurs chinois pour les mises à jour, sans aucune vérification d’intégrité du firmware téléchargé. Et cerise sur le gâteau, y’avait des outils de hacking préinstallés comme tcpdump et aircrack. Aïe aïe aïe…

Depuis la publication du rapport, Sipeed a quand même bougé et ils ont corrigé pas mal de failles, mis à jour la documentation pour mentionner (enfin) la présence du micro, et annoncé que les futures versions n’auraient plus ces composants audio. Les firmwares récents désactivent aussi les drivers correspondants.

Et comme le projet est à la base open source, des membres de la communauté ont commencé à porter dessus des distributions Linux alternatives (Debian, Ubuntu). Faut ouvrir le boîtier et reflasher la carte microSD, mais au moins vous savez exactement ce qui tourne dessus…

Bref, comme quoi ça vaut toujours le coup de démonter ses appareils et de jeter un œil à ce qu’il y a dedans. Merci à Letsar pour l’info !

Source

MediaBunny - L'avenir du traitement vidéo dans le navigateur

Par :Korben
13 décembre 2025 à 05:35

Vous avez déjà essayé de faire du traitement vidéo dans le navigateur

Bienvenue en enfer ! Et dire que pendant 20 ans, la seule solution viable c’était de compiler FFmpeg en WebAssembly, attendre 10 secondes que 40 Mo de code se chargent, puis regarder votre RAM fondre comme neige au soleil.

Heureusement, MediaBunny débarque et compte bien changer les choses !

En effet, cette bibliothèque TypeScript vous permet de lire, écrire et convertir des fichiers vidéo et audio directement dans le navigateur. MP4, WebM, MKV, MP3, WAV, Ogg, FLAC, vous nommez simplement le format, et MediaBunny le gère. Et la bibliothèque ne pèse que 5 Ko en version minifiée. Ça semble peu mais en fait, au lieu d’essayer de porter un outil desktop vers le web, Vanilagy (le créateur) a construit MediaBunny from scratch pour exploiter ce que le navigateur savait déjà faire.

La clé, c’est donc l’API WebCodecs qui existe depuis Chrome 94 sorti en 2021, mais que presque personne n’utilise. Cette API donne accès direct à Javascript à l’accélération matérielle de votre GPU pour encoder et décoder la vidéo que ce soit du H.264, H.265, VP8, VP9 et tout ça en temps réel. Et MediaBunny se branche dessus et vous donne une interface propre pour manipuler vos médias.

Vous voulez extraire les métadonnées d’une vidéo MP4, convertir un WebM en MP4 ou encore extraire une piste audio d’une vidéo ? En 3 lignes de code c’est plié, et tout ça en local dans votre navigateur.

MediaBunny supporte plus de 25 codecs vidéo, audio et sous-titres. H.264, H.265, VP8, VP9, AV1 pour la vidéo. AAC, Opus, Vorbis, MP3, FLAC pour l’audio. WebVTT pour les sous-titres…etc.

Et l’outil étant pensé avec un design modulaire qui permet de faire du tree-shaking , vous pouvez embarquer uniquement le code dont vous avez besoin, ce qui allège encore plus le bouzin. MediaBunny est d’aillerus l’évolution technique de deux projets du même auteur : mp4-muxer et webm-muxer. Ces bibliothèques faisaient déjà du bon boulot pour écrire des vidéos MP4 et WebM côté client, mais MediaBunny va beaucoup plus loin en supportant la lecture, l’écriture et la conversion pour tous les formats courants.

Si ça vous chauffe, pour installer MediaBunny, c’est du classique :

npm install mediabunny

Et voici un exemple d’utilisation basique pour lire un fichier vidéo :

const input = new Input({
 source: new UrlSource('./bigbuckbunny.mp4'),
 formats: ALL_FORMATS, // .mp4, .webm, .wav, ...
});

const duration = await input.computeDuration();

const videoTrack = await input.getPrimaryVideoTrack();
const { displayWidth, displayHeight, rotation } = videoTrack;

const audioTrack = await input.getPrimaryAudioTrack();
const { sampleRate, numberOfChannels } = audioTrack;

// Get the frame halfway through the video
const sink = new VideoSampleSink(videoTrack);
const frame = await sink.getSample(duration / 2);

// Loop over all frames of the video
for await (const frame of sink.samples()) {
 // ...
}

D’autres exemples sont disponibles ici.

Le code est dispo sur GitHub sous licence MPL-2.0, ce qui vous permet de l’utiliser dans des projets commerciaux sans problème et la documentation complète est sur mediabunny.dev avec des guides pour tous les cas d’usage.

HTTP Breakout Proxy - Le reverse engineering sans prise de tête

Par :Korben
13 décembre 2025 à 05:21

Pendant que Burp Suite avale 500 Mo de RAM au démarrage, HTTP Breakout Proxy lui, tient dans un binaire de quelques Mo qui disparaît dès que vous fermez le terminal.

Alors HTTP Breakout Proxy c’est quoi ?

Hé bien les amis, c’est un proxy HTTP/HTTPS écrit en Go qui intercepte le trafic réseau en temps réel et vous propose une interface web pour analyser tout ce qui passe. Requêtes, réponses, headers, body, timing… Tout est capturé et affiché proprement dans votre navigateur.

Vous le lancez avec ./http-breakout-proxy, il écoute sur 127.0.0.1:8080, et vous ouvrez l’interface dans votre browser. Ensuite, si vous voulez débugger une API par exemple, vous lancez le proxy, vous configurez votre client HTTP pour passer par localhost:8080, et vous voyez tout passer en direct.

C’est vrai que Burp est devenu un monstre à tout faire avec scanner de vulnérabilités, fuzzer, crawler, extensions… Y’a aussi Charles Proxy que j’aime bien mais qui pèse dans les 100 Mo et nécessite une JVM complète. Et même mitmproxy , pourtant réputé léger, a accumulé tellement de fonctionnalités qu’il faut lire 50 pages de doc pour comprendre comment l’utiliser.

Avec HTTP Breakout Proxy, il y a moins de features c’est vrai mais ça va plus vite et c’est gratuit. Maintenant, au niveau technique, le projet utilise l’interception MITM classique. Vous installez le certificat racine fourni par le proxy, et il peut déchiffrer le trafic HTTPS qui passe par lui. Ensuite, l’interface web affiche tout en temps réel via Server-Sent Events. Vous avez du filtrage par regex, du color-coding configurable pour repérer visuellement les requêtes importantes, et même des charts Gantt pour visualiser le timing des connexions…etc.

Que demande le peuple ? Ah oui, y’a aussi l’export vers curl ou Python requests, ce qui est pratique quand vous voulez rejouer une requête dans un script. Et bien sûr la possibilité de mettre la capture en pause pour analyser tranquillement ce qui s’est passé.

Voilà, c’est minimaliste mais ça marche hyper bien et quand on est pas un pro de la sécurité, c’est bien d’avoir des outils de ce style pour explorer un truc vite fait. Et merci à Lorenper pour le partage !

A découvrir ici !

Transformez n'importe quel lien en QR code LEGO fonctionnel

Par :Korben
13 décembre 2025 à 05:05

Vous avez des LEGO qui traînent chez vous et vous cherchez un projet un peu original à faire avec ? Hé bien j’ai trouvé un truc sympa pour vous occuper ce week-end : Construire un QR code fonctionnel en briques LEGO.

Ça s’appelle Brick QR Code et c’est un générateur en ligne qui transforme n’importe quelle URL en instructions de montage LEGO. Vous entrez votre lien, le site génère le pattern, et hop vous avez tout ce qu’il faut pour construire un QR code scannable avec vos petites briques colorées.

Un QR code c’est juste une grille de carrés noirs et blancs, et ça tombe bien parce que les LEGO 1x1, c’est totalement ça. Le site vous donne les instructions étape par étape, un modèle 3D pour visualiser le truc, et surtout une liste de pièces compatible BrickLink pour commander exactement ce qu’il vous manque.

Pour que ça marche, il faut respecter quand même quelques règles de base. D’abord, la taille minimum d’un QR code c’est 21x21 studs, mais ça peut monter plus haut selon la longueur de votre URL. Ensuite, et c’est super important, il faut absolument une bordure blanche autour du code sinon votre téléphone n’arrivera pas à le scanner. C’est le piège classique dans lequel tout le monde tombe au début.

D’ailleurs, le fait que ça soit en LEGO ne pose aucun problème de lecture. Malgré la surface un peu irrégulière des briques avec les studs qui dépassent, les smartphones modernes scannent ça sans broncher. Y’a même des gens qui font ça depuis 2009 et qui confirment que ça fonctionne nickel.

Après, c’est surtout un projet fun à faire pour le délire. Vous pouvez coller ça sur la fenêtre de votre bureau pour impressionner vos collègues, l’offrir à quelqu’un avec un lien vers une playlist ou un message perso, ou juste le faire parce que c’est cool de construire un code qui marche vraiment. Et puis c’est quand même plus classe qu’un QR code imprimé sur du papier, non ?

Voilà, si vous voulez vous lancer, prévoyez une baseplate d’au moins 32x32 studs pour avoir de la marge avec la bordure, et assurez-vous d’avoir assez de pièces 1x1 dans deux couleurs bien contrastées. Le noir et blanc c’est le plus fiable, mais techniquement n’importe quel combo de couleurs avec un bon contraste devrait passer.

A découvrir ici : Brick QR Code

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