Les Game Awards ont dressé un portrait en demi-teinte d'une année vidéoludique qu'on pourrait presque qualifier de "vache maigre", remplie visiblement de suites, si bien qu'un petit indé français a tout raflé. Cocorico ! Rassurez-vous, Geoff et sa bande prouvent une fois de plus qu'il n'en ont que pour les brouzoufs et pas pour le talent, car, et je le redis une fois de plus parcequ'on l'oublie, mais notre médium favori vit actuellement une période...
Les Game Awards ont dressé un portrait en demi-teinte d'une année vidéoludique qu'on pourrait presque qualifier de "vache maigre", remplie visiblement de suites, si bien qu'un petit indé français a tout raflé. Cocorico ! Rassurez-vous, Geoff et sa bande prouvent une fois de plus qu'il n'en ont que pour les brouzoufs et pas pour le talent, car, et je le redis une fois de plus parcequ'on l'oublie, mais notre médium favori vit actuellement une période...
Ceux qui me connaissent le savent, il y a des mots à ne pas prononcer en ma présence sous risque de s’engager dans une apologie interminable. Les mots interdits sont au nombre de huit mais je suis sympa, je vous en donne deux : "Hunt" et "Showdown". Après plus de 500 heures à jouer les cowboys et faire du prosélytisme pour la cause du "meilleur jeu multi de la décennie, range ce Kalof que je ne saurais voir", j’attendais d’un œil curieux le...
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