Après les manifestations réprimées dans le sang qui ont accompagné les élections du 29 octobre en Tanzanie, un nouveau jour de mobilisation pour la fête de l’indépendance du 9 décembre a été empêché par une forte présence policière. Des membres de l’opposition et des avocats tanzaniens racontent leurs craintes que la répression s'accélère encore.
Après les manifestations réprimées dans le sang qui ont accompagné les élections du 29 octobre en Tanzanie, un nouveau jour de mobilisation pour la fête de l’indépendance du 9 décembre a été empêché par une forte présence policière. Des membres de l’opposition et des avocats tanzaniens racontent leurs craintes que la répression s'accélère encore.