Supernatural adventure Shadows of the Afterland gets a fully voiced demo upgrade
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Mozilla Firefox 144 released with Google Lens image search and Perplexity AI integration, tab group and translation improvements, and other new features.
You're reading Firefox 144 Released with Google Lens Support, Profile Manager + More, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without permission.
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256ème émission Libre à vous ! de l’April. Podcast et programme :
Rendez‑vous en direct chaque mardi de 15 h 30 à 17 h sur 93,1 FM en Île‑de‑France. L’émission est diffusée simultanément sur le site Web de la radio Cause Commune.
Vous pouvez laisser un message sur le répondeur de la radio, pour réagir à l’un des sujets de l’émission ou poser une question. Le numéro du répondeur : +33 9 72 51 55 46.
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Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
✍ Mélina Loupi, le samedi 11 octobre 2025.
Intel diffuse depuis plusieurs années une variété de logiciels open source largement utilisés dans le secteur technologique. Récemment, Kevork Kechichian, à la tête de la division Data Center chez Intel, a indiqué que l’entreprise souhaite que ses contributions apportent un avantage plus direct à ses propres produits, et non principalement à ses concurrents.
✍ Vincent Hermann, le jeudi 9 octobre 2025.
L’ONG a fêté ses 40 ans le 4 octobre. Elle a profité d’un évènement dédié pour faire plusieurs annonces, dont la nomination de son nouveau président, Ian Kelling. La FSF a également provoqué une petite surprise en annonçant un projet de téléphone libre, nommé sobrement LibrePhone.
✍ Benjamin Douriez, le mardi 7 octobre 2025.
Face aux critiques, Microsoft consent à prolonger d’un an le support pour Windows 10. Mais sous conditions. Le point sur les différentes solutions pour éviter de jeter les PC concernés.
✍ Thierry Labro, le mardi 23 septembre 2025.
L’open source est un colosse aux pieds d’argile: si, à ses balbutiements, il louait la noble ambition de libérer la créativité, les Big Tech ont compris avec internet, puis avec le lancement de leurs propres produits, qu’elles n’avaient pas intérêt à laisser le logiciel libre se développer. Aujourd’hui, elles contrôlent financièrement et humainement tous les acteurs majeurs. Même l’UE doit s’extirper du guêpier dans lequel elle s’est fourrée.
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Ah, la ligne de pêche Maginot commande ! Que ce soit pour gérer ses fichiers, récupérer des commits, lancer une compilation, se connecter à un serveur, redémarrer un service, consulter les logs, voire contrôler la musique, afficher des images, cette interface reste en 2025 exceptionnellement boomer rapide et même parfois confortable.
Sans compter que le terminal est l'endroit où lancer des applications dédiées, pour lire ses mails ou un million d'autres choses.
Bref rappel avant se lancer dans de longues comparaisons
Control
+ Alt
+ F3
par exemple, vous vous retrouverez devant une invite de commande.L'invite de commande pourra bénéficier d'un shell personnalisé. Le bureau permettra l'usage d'un terminal.
Le shell est un interpréteur de commande. On peut simplement lancer une commande pour consulter l'état du système (top
, ps
), déplacer un fichier (mv
), … Ou combiner des commandes, écrire des scripts basés sur des conditions et des variables, … Donc comme l'explicite le manuel GNU, un shell unix est la fois un interpréteur de commande et un langage de programmation.
La plupart des distributions utilisent par défaut "Bash", mais il est possible de changer de shell, par exemple interactivement en utilisant la commande chsh
("change shell"), ou en modifiant les paramètres d'un terminal en particulier, ou d'un multiplexeur, ou encore plus globalement en modifiant le shell par défaut d'un user
(faites un peu attention dans ce cas — les shells ne sont pas tous compatibles, ne tombez pas !).
Les scripts précisent aussi quel shell invoquer… Si je prends un tuto sur un shell au hasard, voici ce que je vais trouver
#!/bin/bash
# This script will take an animated GIF and delete every other frame
# Accepts two parameters: input file and output file
# Usage: ./<scriptfilename> input.gif output.gif
Attention : ce script référence explicitement /bin
. Pas 100% sûr que bash y soit installé. Une solution peut être d'utiliser env
.
#!/usr/bin/env bash
Hormis interpréter les commandes tapées, le shell affiche également un prompt invitant à taper une commande. Quelque chose comme cela :
[goat@arch:~]$
Pour la partie prompt, certains shells vont autoriser un peu de paramétrage, ou l'on peut même installer des plugins pour enrichir les possibilités, comme avec powerline ou même le liquid prompt présenté ici même par son auteur Dolmden.
On peut aussi trouver un prompt comme starfish qui soit utilisable avec les différents shell.
Pour l'histoire, le premier shell Unix date de 1971, puis le Bourne Shell (sh
), du nom de son auteur, apparait en 1977. Beaucoup de fonctionnalités sont déjà présentes : il est scriptable (on peut définir un script avec des conditions dont la si laide esac
, définir des boucles, …), les processus peuvent être contrôlés, il est possible de définir des alias
, …
Bourne Shell implémente la norme POSIX que d'autres shells respectent. La licence du Bourne Shell est débatue (avec une certaine vigueur sur Wikipédia!) , en tout cas son code est ici.
KORN shell n'était, au départ, pas open source - le code n'est libéré que dans les années 2000. Korn Shell implémente les fonctionnalités du Bourne Shell mais ajoutera d'autres éléments, comme des raccourcis vi/emacs, ou comme les tableaux
$ typeset -A age
$ age[bob]=42
$ age[alice]=31
$ print ${age[bob]}
42
GNU BASH : /bin/bash
B.A.S.H. = Bourne Again Shell (superbe jeu de mots avec Born Again Shell). Bash implémente la norme POSIX… et un peu plus.
GNU bash connait une première release en 1989. Il reprendra à son compte des fonctionnalités trouvées jusqu'ici dans de précédents shells, y compris Korn Shell. Bash reste le shell interactif par défaut sur de nombreuses distributions. Il fut le shell sous MacOS.
Anecdote - quel est le plus gros programme bash que vous connaissiez ? nb, qui propose de gérer vos notes en mode texte (org, markdown, etc), est principalement composé d'un script .sh de … 26736 lignes. Je vous laisse partager vos trouvailles en commentaire !
DASH : le Debian Almquist shell est renommé ainsi en 1997. Debian l'adopte par défaut pour les scripts, tandis que le shell interactif des utilisateurs reste bash. Ubuntu y passe par défaut sur la 6.10. Dash est léger et performant. Moins de dépendances égal plus de sécurité.
ZSH sort en 1990. Toujours compatible avec la norme POSIX, Zsh va améliorer de bien pratiques fonctionnalités d'auto-complétion : appuyez sur
<TAB>
et Zsh complète pour vous.
Mais bien plus largement, Zsh va atteindre le paroxysme en terme de fonctionnalités. Tout existe dans Zsh.
Zsh est connu pour proposer de très nombreuses possibilités de configuration. Ses plugins se comptent par centaine — y compris plusieurs gestionnaires de plugins… Mais un outil très utilisé pour le configurer sort du lot : Oh my zsh, qui permet de gérer plus de 300 plugins ainsi que de nombreux thèmes.
Fish pour "Friendly Interactive Shell", date de 2005. C'est un shell non POSIX - certaines fonctionnalités ne seront pas compatibles. Un script bash ne marchera pas forcément.
Ce shell se veut demander peu de configuration - il est prêt à l'emploi. Choix appréciable quand on peut déjà passer tant de temps à configurer d'autres choses (distro, bureaux, nano, terminaux..) !
Il suffit de l'installer pour avoir
Fish est également scriptable et se veut proposer un syntaxe plus saine. À vous de tester (mais vous ne codez qu'en Rust, n'est-ce pas ?)
Le gros point de Fish à mon sens, c'est de proposer une configuration par défaut déjà utilisable, comme le fait de se baser sur les pages man
ainsi que sur l'historique pour proposer l'auto-complétion. Oubliez les heures passées à configurer - je ne sais pas si Fish a le plus de chevaux dans le moteur, mais avec lui vous êtes déjà prêts à partir.
Petite fonctionnalité sympa, taper fish_config
ouvre une page ouaibe. On peut alors prévisualiser les thèmes, personnaliser le prompt, visualiser les fonctions et variables, consulter l'historique et les raccourcis claviers. Fish a un mode vi
.
Fish a été réécrit en Rust entre 2022 et 2024.
Ok donc nous avons un shell à choisir, y compris le prompt et il faudra le lancer dans un terminal, mais avant ça, si on avait un gestionnaire de fenêtre dans le gestionnaire de fenêtre ? C'est bien comme cela qu'est présenté GNU Screen, qui gère des fenêtres, typiquement de terminaux. C'est un multiplexeur, en français : la possibilité d'ouvrir plusieurs terminaux dans un seul terminal. GNU Screen sait lister les terminaux ouverts, passer de l'un à l'autre, en tuer… Comme souvent, le wiki arch détaille bien notre affaire concernant screen
. Mais GNU Screen est un vieux de la vieille, qui date de 1987.
Plus souvent cité de nos jours, Tmux (2007) propose des raccourcis à la Emacs ou à la Vim, un menu graphique, des splits verticaux ou horizontaux.
Il existe d'autres multiplexeurs. On peut citer par ex. Zellij, orienté développeurs, qui affiche une barre de statut, peut afficher les raccourcis claviers…
Le choix d'un terminal pourra définir l'apparence de votre interface, comment vous gérez le multi-fenêtre et/ou multi-onglet, la capacité à rechercher, copier-coller, les raccourcis clavier, peut être même comment accéder aux emplacements, vous connecter en ssh.
Certains terminaux proposent un mode inspiré de Guake (première release 2007), lui même inspiré du terminal dans Quake : le terminal est toujours ouvert et dispo, mais caché et l'appui d'un raccourci clavier le fera apparaître. Le temps de taper trois commandes et le même raccourci le fera disparaître. À voir ce qui se fait encore sous Wayland, je vois par ex. qu'il y a encore une extension GNOME.
Première piste : tout simplement utiliser la terminal qui vient avec son bureau, si l'on en utilise un. Évidemment le premier avantage sera une bonne intégration, mais en pratique ?
Nous verrons aussi plus bas certains terminaux qui sont le terminal par défaut de gestionnaires de fenêtre, mais il s'agit simplement d'un choix par défaut et pas d'une affiliation ni d'une intégration particulière, donc pas de raison de les mentionner ici.
Le terminal par défaut a changé sous GNOME 42 (euh bah oui c'était y'a un moment), pour devenir GNOME Console (anciennement Kings Cross Station d'où kgx
— j'ai cherché l’exécutable un moment…). Assez peu de fonctions particulières mais : devient rouge lorsqu'on est connecté en root ou violet en ssh
, envoie une notif quand une longue commande se termine, sympa. Un bouton de recherche un peu étonnant peut s'avérer pratique. Clairement la logique est d'afficher peu de boutons, peu de choix, et d'investir sur des options par défaut qui fonctionnent. Je ne vais pas retenir Console pour mon usage mais je trouve qu'effectivement c'est un terminal élégant.
Pour changer le shell de Console, il faudra passer par l'éditeur dconf et modifier l'option org.gnome.Console.shell
.
Certaines distributions ont préféré maintenir gnome-terminal, plus complet, mais gnome-terminal est resté Gtk3 (alors que kgx est bien Gtk4).
Petite note sur kgx et gnome-terminal : ces terminaux sont basés sur la libvte dont dépendent d'autres terminaux GTK. Voici quelques exemple cités par une page du wiki gnome :
On pourrait y ajouter Lxterminal (merci à Impromptux).
Le choix logique pour le bureau KDE. En termes de fonctionnalités, c'est l'artillerie lourde. Multi-profils, signets, multiplexeur, prévisualisation d'images. Konsole est intégrée dans plusieurs applications KDE.
Pour changer le shell de Konsole, vous pouvez passer par le menu Settings > Configure Konsole > Profiles .
C'est le moment de mentionner Qtermwidget : ce widget fut originellement basé sur Konsole et servit à développer Qterminal.
Terminal par défaut du bureau Xfce. Il dépend et hérite de libvte
. Il est en Gtk3.
Il est possible de changer le shell dans les préférences.
Ce terminal sort en 2013, il fait partie du bureau Enlightenment Je pense que c'est le premier terminal à pouvoir afficher des images. Il est possible d'avoir des informations en survolant une URL. Une barre de progression s'affiche durant l’exécution de commandes. Les performances sont au rendez-vous. (Subjectif - serait-ce tout simplement la meilleure appli e17?)
Mais plutôt que d'utiliser le terminal intégré à son environnement de bureau, pourquoi ne pas utiliser directement celui intégré à son éditeur de texte? Un bon éditeur de texte en effet a forcément son bon terminal. Même Vim? Et oui. C'est donc une solution de lancer le terminal depuis l'éditeur de texte, par exemple pour reproduire les fonctionnalité d'une IME vivre sa vie entière en mode texte.
Démarrons tout de même par Emacs, où la prise en charge du terminal est plus ancienne.
Emacs a… 4 terminaux, pourquoi faire simple. 4 terminaux ? Non pas vraiment : 2 shell et 2 terminaux. Il peut y en avoir plus.
En fait, puisqu'on peut, malgré la rumeur, bel et bien éditer du texte dans emacs, pourquoi ne pas gérer ses commandes au même endroit ? On peut même s'amuser à gérer ses fichiers dans dired
, ses processus, finalement un peu tout l'aspect système.
Mastering Emacs le développe mieux que moi mais vous aurez donc plusieurs possibilités sous Emacs :
2 SHELLS
eshell
, le plus emacsien des 2 : un shell 100% implémenté en elisp (!!!). On peut faire beaucoup de emacs dedans , mais tout ne fonctionnera pas. Ne lancez pas journalctl
dedans ^^
shell
. Même chose, ne lancez pas journalctl
…2 TERMINAUX
term
/ ansi-term
. Cette fois c'est vraiment un terminal, mais… lent. vterm
. Ok cette fois c'est vraiment un terminal, et ça utilise une bibliothèque en C derrière, donc ouf un vrai terminal Emacs existe bel et bien. Attention vterm a besoin d'une bibliothèque.Oui je pense qu'il y a vraiment des utilisateurs du terminal sous Emacs. Et il est possible de trouver de petits benchmarks sur les réseaux comme par exemple reddit.
Qui a dit que vim n'était pas bloated et ne pouvait pas gérer cela? (À sa défense vim ne gère pas encore l'email.. ) Vim prend en charge le terminal depuis la version 8.1. Pour changer le shell dans vim, ajouter cette commande dans le fichier de config
:set shell=/usr/bin/zsh
Pourquoi utiliser le terminal de son bureau, ou de son éditeur de texte, alors que l'on peut utiliser un million d'autres ? Bienvenue dans la jungle. Ne m'en voulez pas si votre petit favori n'est pas listé ici, mais rajoutez sa description en commentaire - il a existé de bien trop nombreux concurrents, et même en se limitant aux projets actifs la liste est bien trop longue. La liste ici pourrait compléter cette dépêche.
Je rappelle que sont listés ici les terminaux qui sont proposés par défaut sous certains gestionnaires de fenêtre, le parti pris étant que dans ce cas il n'y ait pas d'intégration particulière, contrairement par exemple au terminal KDE.
Enfin la liste se veut à moitié lister les terminaux populaires actuels, à moitié lister quelques terminaux plus pour un intérêt historique, mais cette dépêche n'étant pas une thèse cette volonté sera assez peu rigoureuse.
Blackbox terminal n'est pas affilié à GNOME ni un terminal officiel mais est développé avec cet environnement en tête. Il utilise Gtk4.
Là c'est un cas à part : pour reprendre sans recul le readme.md :
A modern terminal emulator built for the container era.
Seamlessly navigate between your host system and local containers like Podman,
Toolbox, and Distrobox with intelligent detection and a beautiful, responsive
GNOME interface.
L'intérêt est donc d'intégrer les conteneurs de toutes sortes pour y accéder rapidement (et les définir rapidement).
Il semblerait qu'il puisse devenir le terminal par défaut sous Ubuntu (25.10?).
La philosophie de st, dont la première release, 0.1, est de 2017, c'est de rester simple et léger - le point que son site discute, c'est le nombre de lignes de codes limité que devrait avoir un terminal. Son auteur serait fainéant ? Ce terminal sous licence MIT/X Consortium s'apparente à mon sens à un reliquat du passé : il tourne sur X et uniquement sur X (oui, oui je sais pour Xwayland). Néanmoins il m'a paru logique de le citer ici.
Kitty a une place importante car il a légué quelque chose aux successeurs… Il implémente en effet des extensions venant étendre le protocole historique.
Ce terminal tourne sous Python et requiert OpenGL. Malgré son âge (première release 2017), c'est le choix par défaut pour Hyprland.
Kitty offre une tonne de raccourcis claviers, gère les onglets/fenêtres, peut afficher des images, sait afficher des notifications et bien d'autres choses. En terme de philosophie, il se veut orienté power-user.
Alacritty se veut un terminal simple et est écrit en Rust. Il est sortit en 2017. Alacritty respecte XDG en cherchant en priorité un fichier de config $XDG_CONFIG_HOME/alacritty/alacritty.toml
.
C'est le terminal par défaut pour au moins deux gestionnaires de fenêtre Wayland très différents l'un de l'autre : Wayfire et Niri.
control
+ shift
+ space
et vous passez dans le mode "normal" de vi (par opposition au mode insertion). Les touches au lieu de permettre de taper du texte, permettront alors de se déplacer, sélectionner du texte, le copier… ctrl
shift
o
pour afficher des "hint" sur les URL, ce qui permet de les activer en 1 touchectrl
shift
f
) , recherche viPas d'onglet, pas de split — utiliser un multiplexeur au besoin.
Ce serait un peu le successeur de St, au sens où il est codé en C et les premières fonctionnalités mises en avant sont la légèreté et la performance, mais en natif Wayland. Pour autant Foot n'est pas avare sur certaines fonctionnalité. Sa première release est de 2019. C'est le terminal par défaut pour Sway, Dwl.
Il faudra le configurer à l'aide d'un fichier texte, et foot respectant XDG, ce sera ici $XDG_CONFIG_HOME/foot/foot.ini
. Foot propose pas mal de raccourcis claviers, dont le même Hint mode que Alacritty : taper Ctrl
Shift
O
.
Au cas où il ne serait pas assez léger, Foot propose un mode serveur.
De nouveau un terminal en Rust. Wezterm se veut complet, et cross-platform. Il affiche des images, gère les hyperliens, la connexion en SSH avec un client intégré, fait office de multiplexeur.
Il se configure en Lua.
Ghostty est sous licence MIT. LWN l'a présenté. Il s'agit d'une application récente, début en 2022, v1.0 fin 2024.
Une barre gtk4 permet d'afficher les onglets, d'en créer un nouveau. Sympatique fonction, ghostty +list-keybinds --default
montre toutes les options (et un raccourci permet d'éditer le fichier de config). On peut aussi lister les thèmes avec ghostty +list-themes
.
Peut afficher des gifs, comme Kitty.
Ghostty se veut un compromis entre la vitesse, les fonctionnalités, l'interface, et cross-platform. Il se veut agréable sans avoir besoin de modifier le paramétrage par défaut. Et il est petit, le paquet Debian par exemple fait 113 Ko.
Vous pouvez changer le shell sous Ghostty :
~/.config/ghostty/config:
command = /usr/local/bin/fish --login --interactive
De plus Ghostty intègre des fonctionnalités "Shell-integration".
(2022)
https://github.com/raphamorim/rio
vi mode, hyperlinks, images,
Le shell peut être modifié dans la config, plusieurs exemples sont fournis
[shell]
program = "pwsh"
args = ["-l"]
Alors là on bascule du côté obscur de l'IA !… et du proprio. Warp est d'abord une entreprise, qui a souhaité réimaginer un outil des développeurs - le terminal. Ce terminal, écrit en Rust, ne sera pas open source : https://github.com/warpdotdev/Warp/discussions/400
À la première ouverture, Warp suggère d'ouvrir un compte « pour bénéficier de toutes les fonctionnalités ». Ensuite, on ne se trouve pas directement dans une console mais Warp propose plutôt d'ouvrir / cloner un projet. Un raccourci permet cependant de lancer une session normale…
… Si ce n'est qu'outre des commandes, on peut taper des phrases ! En passant par Claude pour les interpréter… L'IA peut également suggérer des commandes en se basant sur votre historique. Tout ceci peut être désactivé dans les paramètres. Les fonctionnalités IA requièrent une connexion Internet.
J'ai par exemple testé "Install Wave term from the internet". Warp a commencé par vérifier s'il y avait une commande de disponible "yay", mais cette commande n'était pas dispo sur mon système. Il a alors intelligemment testé d'autres gestionnaires de AUR et a trouvé que paru était installé. De là, il a découvert waveterm dans les dépôts AUR et m'a suggéré d'utiliser paru -S waveterm-bin (control+entrée pour valider, et gogogo). Une fois ces folies passées, on revient à une expérience normale où la commande se déroule (pensez à lire les AUR avant d'installer aveuglément !)
Quand vous parcourez un projet, Warp peut indexer ces projets pour améliorer les suggestions.
Au lieu d'utiliser votre clavier pour taper, Warp peut reconnaître votre voix. Outre des commandes ou des phrases, il est possible de commencer par un "/" pour taper une "slash command".
Il y a également des fonctionnalités d'équipe, notamment une fonctionnalité de collaboration en temps réel. Certaines fonctionnalités sont payantes.
Warp propose un certain nombre de fonctionnalités classiques : personnalisation du prompt, apparence, raccourcis claviers, …
L'entreprise fournit un benchmark où Warp s'en sortirait aussi bien que Kitty ou Alacritty sur vtebench
Waveterm est un peu la réponse open source à Warp (Apache 2.0).
Quand on l'ouvre la première fois, c'est la foire ! à gauche, le panneau invite de commande qui occupe un tiers de l'écran.
Tiers du milieu : en haut la consommation du CPU (hein?). Au milieu, un bout de page internet (hein?). En bas, un explorateur de projet. Tiers à droite : en haut, des raccourcis clavier qui s'affichent. Au milieu, un bout de doc sur Wave. En bas, une invite pour Wave IA. Bien sûr il s'agit d'une démo et il sera possible de personnaliser ce qui est visible au démarrage. Il est également possible lorsqu'on utilise un des "blocs" de le passer en mode "pleine fenêtre" puis le réduire par la suite.
Bon, testons l'invite IA en demandant d'installer… Warp! Il commence par m'expliquer les différentes méthodes d'install en fonction de l'OS (ah ! il n'a pas détecté…). J'explique que j'utilise Arch et il me dit d'utiliser un AUR helper ou de cloner le dépôt du AUR. Mais il ne détecte pas si j'ai paru ou yay ou autre.
On peut utiliser d'autres modules IA. Wave inclut également un explorateur de fichiers.
Les paramètres se gèrent bloc par bloc - on paramètre d'un côté les blocs que l'on souhaite au démarrage, de l'autre pour un bloc donnée, par exemple les préférences.
https://linuxfr.org/news/gameshell-apprendre-les-rudiments-du-shell-en-s-amusant
Cours plus complet sur le Bourne Shell
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