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Les versions 26.1 des systèmes d'Apple permettent les mises à jour de sécurité urgente en arrière-plan
C'était prévu, les versions 26.1 des systèmes d'exploitation d'Apple — macOS, iOS, iPadOS — activent un nouveau type de mise à jour. Enfin, nouveau est un bien grand mot : c'est une remise à plat des mises à jour de sécurité urgente d'iOS 16. Elles offrent la possibilité à Apple de pousser plus facilement des mises à jour de sécurité en arrière-plan, sans devoir passer par des mises à jour complètes et parfois assez lourdes.

Selon la page dédiée d'Apple, les mises à jour en question peuvent s'installer en arrière-plan et corrigent des problèmes de sécurité avec des mises à jour plus légères que d'habitude. L'option pour les activer (ou les désactiver) est dans les réglages, dans la section Confidentialité et sécurité. Que ce soit sur iPad, iPhone ou Mac, vous verrez une option Améliorations de la sécurité en arrière-plan. Si vous choisissez de désactiver les mises à jour en question, Apple précise qu'elles seront appliquées avec la mise à jour mineure suivante (26.1.1 ou 26.2 par exemple).
 Apple travaille sur une nouvelle version des mises à jour de sécurité urgentes
Dans une autre page, Apple liste le périmètre de ces mises à jour. Premièrement, cette fonction permet de mettre à jour les bases de données liées à la sécurité, qui contient les applications considérées comme incompatibles avec un système précis par Apple, la liste des mises à jour d'EFI (pour éviter une éventuelle mise à jour malveillante), les données liées à Gatekeeper, la liste des extensions considérées comme incompatibles et la liste des malware connus bloqués par XProtect.
Beaucoup de mise à jour de firmware
Cette nouvelle fonction ne peut pas mettre à jour tous les composants du système d'exploitation. La liste comprend des données annexes, comme les polices, les services de dictées, toutes les données liées à la prise en charge des langues (correction automatique, dictionnaire, etc.) et beaucoup de données liées aux suggestions du système. Apple peut donc mettre à jour les suggestions proposées par Safari lorsque vous tapez dans la barre de recherches, par exemple. On trouve aussi la liste des certificats SSL, la prise en charge des différents formats RAW des appareils photo ou les mises à jour de firmware de nombreux accessoires Apple (clavier, souris, trackpad, écrans, adaptateurs secteur, etc.).

Globalement, la fonction devrait donc permettre à Apple de mettre à jour rapidement ses systèmes d'exploitation pour corriger des failles liées à des services annexes, mais pas une faille qui touche le noyau ou un composant important d'iOS, iPadOS ou macOS. Ce n'est donc pas une avancée majeure dans la sécurité des systèmes, mais c'est au moins une simplification dans certains cas : si certaines mises à jour étaient déjà exécutées en arrière-plan (par exemple la base de données de Xprotect), ce n'était pas le cas pour d'autres, comme la prise en charge des fichiers RAW.
« Balayer l'écran verrouillé pour ouvrir Appareil photo » : iOS 26.1 permet finalement de désactiver ce geste de l’iPhone
iOS 26.1, désormais disponible en version finale, introduit une option surprenante tant elle arrive tardivement. On peut finalement désactiver le geste de balayage vers la gauche sur l’écran verrouillé de l’iPhone qui ouvre l’appareil photo. L’option se situe ici : Réglages > Appareil photo > Balayer l’écran verrouillé pour ouvrir Appareil photo. Elle est également disponible sur iPadOS 26.1.

Ce geste reste activé par défaut, mais peut donc être coupé très facilement si vous le trouvez gênant. Il arrive en effet qu’il provoque une ouverture accidentelle de l’appareil photo. Ce raccourci a fait ses débuts dans iOS 10, en 2016, l’année de la sortie des iPhone 7 — l’iPhone X est arrivé un an plus tard.
Pourquoi avoir attendu neuf ans pour offrir cette option réclamée depuis si longtemps par certains utilisateurs ? On suppose que la multiplication des boutons sur les iPhone récents a joué un rôle dans cette décision. Le bouton Action apparu avec les iPhone 15 Pro a permis le premier d’ouvrir l’appareil photo d’un clic sur un bouton physique. Puis un bouton dédié a carrément été ajouté aux iPhone 16 et aux suivants.
Dans ce contexte, le swipe sur l’écran verrouillé est moins utile que par le passé. Maintenant, une nouvelle question se pose : Apple permettra-t-elle un jour de réattribuer ce geste pour une autre action ? À moins qu’il ne serve une fonction spéciale d’un éventuel iPhone à écran pliable ?
Debian pourrait abandonner le support des m68k et ppc en 2026

Debian Linux est une distribution Linux de référence, peut-être même la distribution Linux de référence, beaucoup d'autres étant bâties dessus comme Ubuntu.
Debian Linux supporte encore aujourd'hui les m68k et ppc, deux architectures qui ont marqué l'Histoire de la micro-informatique y-compris via les Macintosh.
Un choix radical et surprenant pour un technicien a été fait: à partir de 2026 des core utils (utilitaires au cœur du système), actuellement fournis par GNU et très stables, seront écrits avec le langage Rust. La réécriture est en cours. apt aussi y passera.
Il se trouve que Rust a un support variable coté PowerPC, tiers 1 ou tiers 2, mais surtout que le support m68k est "expérimental" (tiers 3), donc sans aucune garantie!
Indépendamment des qualités ou défauts de Rust, du zèle de ses fidèles pour essayer de l'imposer partout, souvent contre les évidences, je ne pense pas que des core utilities doivent restreindre les plateformes supportées au travers des limitations de son compilateur (et ses backends).
Il y a un autre point que Rust dans cette affaire, avec cette réécriture, c'est qu'elle est basée sur une licence de type MIT, plus permissive que la GPL des actuels core utilities, s'intégrant bien mieux dans un écosystème mélangeant logiciels libres, open-source de tous poils et logiciels commerciaux dont ceux sans accès aux sources.
Pour moi un progrès, c'est la licence que j'utilise pour mes projets!
Malheureusement les conséquences risquent d'être tragiques pour les possesseurs de vieux Mac désirant faire tourner Linux dessus, de très nombreuses distribution étant basées sur celle de Debian.
Rumeur Half-Life 3 : le trailer serait en approche !
Grosse promo sur le détecteur de fumée Netatmo compatible HomeKit !
Le HDR10+ Advanced arrive, pour lutter contre le Dolby Vision 2
Dans le monde des normes liées au HDR, il y a trois variantes largement employées : le HDR10 (la version basique), le Dolby Vision de chez Dolby et le HDR10+, essentiellement porté par Samsung, qui ne souhaite pas payer de licence à Dolby. Comme Dolby a annoncé récemment le Dolby Vision 2, Samsung riposte avec le HDR10+ Advanced, qui a été dévoilé récemment. Et dans l'idée, les deux normes sont assez proches.

Le HDR10+ Advanced, comme le Dolby Vision et le HDR10+ classique, travaille avec des métadonnées dynamiques. C'est un choix qui permet une image de meilleure qualité, notamment dans les films qui contiennent des scènes très sombres et d'autres très lumineuses. Si vous ne connaissez pas les subtilités du HDR en général, nous vous renvoyons vers notre article dédié.
 Le HDR décodé : trois articles pour tout savoir sur cette technologie d'affichage
De nombreuses nouvelles fonctions
Le HDR10+ Advanced, donc, ajoute d'abord les fonction Bright et Genre. Elles sont destinées à optimiser l'image pour les téléviseurs capables d'atteindre des pics lumineux importants (plus de 4 000 nits) et qui couvrent des espaces de couleurs plus larges que le DCI-P3. La fonction Genre permet au diffuseur d'indiquer le genre de contenu, ce qui va permettre au téléviseur d'adapter certains réglages. La fonction Intelligent FRC (Frame Rate Control, pour la fréquence d'image) permet d'ajuster les réglages en fonction du type de contenu : un film à 24 images/s ne doit pas être rendu comme du sport, qui peut avoir été filmé à 60 images/s. L'idée est ici de modifier les réglages des images interpolées (comprendre : les images créées artificiellement) en fonction du contenu, donc. Sans que le fabricant coréen le mette totalement en avant, certaines des optimisations reposent sur l'IA, et donc la capacité des puces des téléviseurs à traiter ce type de calculs précis.

Pour les jeux vidéo, Samsung s'attaque au cloud gaming, avec des optimisations spécifiques pour ce type de contenu, qui repose sur de la vidéo. Pour les téléviseurs qui ne sont pas OLED, le HDR10+ Advanced dispose d'une fonction de Local Tone-mapping qui doit permettre selon la marque coréenne d'optimiser le rendu en fonction de la zone de l'image et — qui sait — permettre d'éviter les problèmes comme les sous-titres entourés d'un halo de lumière. Un article de Forbes donne quelques détails sur les différentes fonctions.
Une technologie toujours en retrait
Samsung met évidemment en avant le fait que sa technologie n'est pas soumise à une licence (contrairement au Dolby Vision). Les téléviseurs Samsung de la gamme 2026, dont l'annonce est prévue au CES, devraient proposer la prise en charge du HDR10+ Advanced. Il a aussi un avantage sur le Dolby Vision 2 : il n'y a qu'une version de la norme, alors que son concurrent a une version standard et une version Max pour les téléviseurs haut de gamme.

Le principal problème du HDR10+ vient tout de même des fournisseurs de contenu. Les Blu-ray compatibles restent rares et les services de streaming, eux, ne s'y mettent que depuis peu. Netflix ne le propose que depuis 2025 et uniquement sur des contenus encodés en AV1, ce qui réduit la compatibilité. Quant à Disney+, l'annonce est récente. Samsung met surtout en avant Amazon Prime Video, qui propose de nombreux contenus. Reste que dans beaucoup de cas, il faudra passer par les applications installées sur les téléviseurs : de nombreux boîtiers TV ne prennent pas en charge la technologie. Chez Apple, par exemple, le HDR10+ classique nécessite la troisième version de l'Apple TV 4K.
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BundleHunt : 35 applications Mac à prix cassé, dont iStat Menus
Nouvel arrivage chez BundleHunt ! Le site déstocke 35 nouvelles applications Mac. Comme toujours, il faut fouiller un peu dans le bac pour trouver de bonnes affaires. Parmi les valeurs sûres, il y a Mountain Duck 5, qui permet d’intégrer au Finder des services de stockage en ligne, comme Dropbox ou Google Drive. Le logiciel est vendu sur BundleHunt 14,99 $ au lieu de 49 $.

On peut également citer iStat Menus (3,99 $ au lieu de 11,99 $), qui permet de garder un œil sur l’état de son Mac dans la barre des menus ; Yoink (1,99 $ au lieu de 8,99 $), une « étagère » qui facilite les déplacements des fichiers ; PowerPhotos (5,99 $ au lieu de 39,99 $), une boîte à outils dédiée à la gestion de multiples photothèques Apple ; ou encore Mosaic Pro (4 $ au lieu de 34,99 $), qui permet de réorganiser ses fenêtres facilement.
Des versions d’essai sont généralement disponibles sur les sites des éditeurs pour tester avant d’acheter. À noter qu’il faut ajouter quelques dollars de « frais de service » lors de la commande, mais les prix restent très attractifs. Ce bundle restera en ligne jusqu’au 31 décembre.
macOS Sequoia 15.7.2 et Sonoma 14.8.2 corrigent de nombreuses failles de sécurité
Si iOS 26.1 et macOS 26.1 étaient sous les projecteurs hier soir, Apple n’a pas oublié ses systèmes plus anciens. macOS Sequoia est passé en version 15.7.2, une version apportant principalement des correctifs de sécurité. Apple a détaillé tout cela dans un billet disponible sur son site. macOS Sonoma 14.8.2 est également en ligne pour les Mac plus anciens.

macOS 15.7.2 bouche pas moins de 54 failles diverses, allant du Wi-Fi à Spotlight en passant par Siri, Notes ou le Finder. De son côté, macOS 14.8.2 en bouche 46 détaillées ici et dont une partie sont similaires. Vous pouvez les installer de manière traditionnelle, à savoir en passant par les Réglages Système, rubrique Général, Mise à jour de logiciels.
Apple n’a pas chômé non plus avec iOS 26.1 et macOS 26.1, qui comportent de nombreux correctifs. Ici aussi les patch sont variés, touchant autant l’Appareil Photo que le réseau Localiser comme l’application Notes. La bonne nouvelle, c’est qu’aucune n’est présentée comme ayant été utilisée par des acteurs mal intentionnés. Les 105 failles bouchées par iOS 26.1 sont détaillées ici, tandis que les 56 de macOS 26.1 sont passées au crible à ce lien.
La liste comprend par exemple des corrections pour un problème qui permettait de désactiver la protection contre le vol d'appareil ou un bug WebKit laissant surveiller le texte tapé au clavier. tvOS, watchOS et visionOS 26.1 embarquent également leurs lots de correctifs : ne tardez donc pas trop à faire vos mises à jour.
Mis à part cela, les sorties d’hier soir amènent peu de nouvelles fonctionnalités. Sur iOS et macOS 26, Apple a ajouté un bouton permettant de réduire les effets de Liquid Glass. Les réveils sont désormais un peu moins faciles à désactiver sur iPhone, tandis que Musique a gagné un nouveau geste. On notera sinon le retour de Slide Over sur iPad ainsi que d’une app Vision Pro optimisée pour tablettes. macOS Sequoia 15.7.2 et Sonoma 14.8.2 ne gagnent aucune nouveauté à part les différents correctifs.
Des promotions sur de nombreux MacBook Pro M4 Pro et M4 Max, dès 2 070 €
Les MacBook Pro équipés de puces M4 Max sont en promotion sur Amazon, peut-être en prévision de l'arrivée de modèles dotés de puces M5 Pro et Max. Le MacBook Pro 14 pouces avec une puce M4 Max, 36 Go de mémoire vive et 1 To de stockage est à 3 370 € en noir ou en argent, au lieu de 3 800 €. C'est la configuration de base, car Amazon ne propose pas les options disponibles chez Apple, mais ça reste un modèle extrêmement performant.

Le MacBook Pro 14 pouces en M4 Pro est également proposé avec une réduction de 10 % dans sa variante avec 24 Go de mémoire et un SSD de 512 Go, en noir uniquement : 2 069 € au lieu de 2 300 €. Une remise du même ordre est proposée pour celui doté de 1 To de stockage : 2 494 € au lieu de 2 800 € (là encore en noir).

Si vous préférez un écran de 16 pouces, la version équipée d'une puce M4 Pro, de 512 Go de stockage et de 24 Go de RAM est à 2 494 € au lieu de 2 800 € (11 % de réduction) en noir. Si vous préférez 48 Go de RAM, il faudra se tourner vers le modèle argenté : 2 919 € au lieu de 3 300 €. Enfin, il y a une réduction du même ordre (11 %) sur le modèle 16 pouces avec une puce M4 Max, 36 Go de RAM et un SSD de 1 To : 3 639 € en noir au lieu de 4 100 €.
 Test des MacBook Pro M4 à M4 Max : une équipe de gros bras
Tous les MacBook Pro M4 Pro et M4 Max sont fournis avec un adaptateur secteur, contrairement au récent MacBook Pro 14 pouces M5.
 Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace
Free lance une nouvelle Freebox en partenariat avec Stranger Things
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Free lance une Freebox Ultra Stranger Things en édition limitée
Les box peuvent-elles être des objets de mode ? Free semble en être convaincu et le prouve avec une nouvelle version très spéciale de sa Freebox Ultra. À l’occasion de la sortie de l’ultime saison de Stranger Things sur Netflix, l’opérateur dévoile une Freebox Ultra aux couleurs de la série. Cette édition limitée a été conçue en France par les ingénieurs de Free en collaboration avec Netflix.

La box rouge et noire met en scène les jeunes héros à vélo, poursuivis par un Démogorgon. Le boîtier Server arbore un bandeau LED inspiré des guirlandes utilisées pour communiquer avec l’Upside Down. L’intensité de cette lumière peut être réglée, voire coupée, depuis l’application Freebox Connect. Même le packaging reprend l’identité visuelle de la série pour une expérience complète.
Free précise que l'habillage est rendu possible grâce à un sticker. En le retirant, la coque rouge laisse entrevoir les composants ainsi que le logo de Stranger Things. Attention, une fois retiré, l'autocollant ne pourra pas être recollé.

Sous le capot, rien ne change : cette Freebox Ultra conserve les caractéristiques techniques habituelles, dont le Wi-Fi 7 tri-bande, les quatre ports Ethernet 2,5 Gbit/s et le port 10G EPON.
Cette édition limitée est proposée aussi bien aux nouveaux abonnés qu’aux clients existants, en boutique, en ligne, par téléphone au 1044 ou via l’Espace Abonné (échange ou changement d’offre 49 €). Elle est associée à l’offre à 49,99 €/mois pendant un an puis 59,99 €/mois, qui inclut une connexion fibre jusqu’à 8 Gbit/s et plusieurs services de streaming (Netflix Standard avec pub, Amazon Prime, Disney+ Standard avec pub…). Elle est disponible jusqu’à épuisement des stocks et on ne sait pas combien d'unités ont été produites.

Ce n’est pas une première pour Free : l’an dernier, l’opérateur avait déjà célébré ses 25 ans avec une Freebox en édition spéciale dotée d’une coque rouge translucide.
 Free lance une édition spéciale de sa Freebox Ultra, avec du plastique translucide dans l'esprit de l’iMac
Cette poignée connectée en Thread à Matter permet de (dé)verrouiller une fenêtre à distance
Siegenia est un constructeur allemand de fenêtres et c’est aussi le premier, à notre connaissance en tout cas, à commercialiser une poignée de fenêtre motorisée et connectée. Elle est nativement compatible avec le standard Matter et intègre une puce Thread pour se relier à la domotique, si bien qu’elle devrait trouver place sans difficulté dans Maison d’Apple à condition d’avoir un HomePod mini ou 2 ou bien une Apple TV 4K en Ethernet. On pourra aussi l’exploiter dans d’autres écosystèmes Matter, tant que l’on a un réseau Thread associé.
La connexion permet de connaître le statut d’une fenêtre ou porte-fenêtre. On saura même à distance si elle a été correctement fermée ou si elle est ouverte, une information que l’on peut déjà obtenir avec un capteur d’ouverture naturellement. Sauf que Siegenia a aussi intégré un moteur dans cette poignée pour la verrouiller ou déverrouiller, y compris à distance. Attention, il n’est pas question de tourner la poignée elle-même, il faudrait un moteur bien plus puissant pour cela : son rôle est uniquement de bloquer la poignée et ainsi d’empêcher l’ouverture de la fenêtre à la main. Ce sera surtout utile si votre (porte-)fenêtre est équipée d’une poignée extérieure, vous pourrez ainsi la bloquer également depuis l’extérieur.
Deux piles AAA alimentent la poignée et le fabricant ne donne pas d’autonomie sur sa fiche produit, alors on imagine que cela dépend surtout du nombre d’opérations effectuées à distance. La poignée peut aussi être opérée comme un modèle traditionnel sans connexion, ce qui sera peut-être préférable pour maximiser la durée de vie des piles. Siegenia indique que la poignée devrait être compatible avec la majorité des fenêtres sur le marché et ses schémas laissent entendre qu’il s’agit d’un modèle physiquement assez classique sur la partie dans la fenêtre.
La poignée est en PVC et dans deux coloris : le traditionnel blanc ou de l’anthracite plus contemporain. Dans les deux cas, il faut compter autour de 90 € pour la poignée et malheureusement 48 € de frais de port vers la France, ce qui apporte la note totale à 138,66 € TTC pour une livraison à mon adresse.
Mise à jour le 04/11/2025 à 10h20 : le fabricant m’a confirmé le rôle du moteur, j’ai mis à jour l’article en conséquence.
Fin de l’ancienne architecture Home : comment migrer avant la "nouvelle" deadline
Pourquoi les mises à jour iOS et macOS sont toujours plus lourdes
iOS 26.1 est arrivé hier soir, et certains ont eu une (grosse) surprise : 14 Go à télécharger sur un iPhone 17 Pro Max. Cela fait cher le nouveau réglage teinté de Liquid Glass. Mais pourquoi ces mises à jour sont-elles toujours plus grosses ?
D’abord, rappelons que leur taille varie beaucoup. Si vous mettez à jour depuis iOS 26.0, le téléchargement pèse souvent plusieurs gigas. Depuis la release candidate (RC), il ne fait que quelques centaines de mégaoctets. Malgré tout, une tendance se confirme : les mises à jour d’Apple deviennent de plus en plus lourdes, quel que soit l’appareil ou la version d’origine.
 iOS 26.1, iPadOS 26.1 et watchOS 26.1 sont désormais disponible avec une option pour atténuer Liquid Glass
Traductions, graphismes, intelligence artificielle : tout s’accumule…
Ce n’est pas qu’une impression : l’iPhone stocke toujours plus de données locales. Les fonctions d’intelligence artificielle, les packs de traduction et les nouveaux éléments graphiques pèsent lourd. Sous iOS 18.2, Apple Intelligence occupait déjà près de 7 Go d’espace de stockage. Et ces modèles évoluent sans cesse. Autant d’éléments qui font grimper la taille du téléchargement.
 Apple Intelligence demande désormais 7 Go d’espace libre
Autre facteur : votre point de départ. Si vous sautez une ou plusieurs versions, l’iPhone doit récupérer davantage de composants d’un coup, d’où un téléchargement plus massif. Depuis une RC, la mise à jour 26.1 reste légère ; depuis iOS 26.0 ou une version antérieure, elle grimpe facilement à plusieurs gigas. Et sur les canaux bêta, les mises à jour peuvent atteindre 10 à 15 Go, car elles remplacent souvent des briques entières du système.
Bref, les mises à jour d’Apple prennent du poids. Et ce n’est pas près de changer. On peut toutefois se féliciter des efforts entrepris par Apple pour que leur installation, elle, ne prenne pas des heures.
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watchOS 26.1 : rien de neuf sous le cadran
Si iOS 26.1, iPadOS 26.1 et macOS 26.1 ont le droit à des nouveautés visibles, ne perdez pas votre temps avec watchOS 26.1 Cette mise à jour se contente de corriger de bogues et de boucher des failles de sécurité.
watchOS 26.1 peut être téléchargé gratuitement sur un iPhone équipé d’iOS 26.1, en ouvrant l’app Apple Watch puis en se rendant dans Général > Mise à jour logicielle, ou directement depuis l’app Réglages de la montre. Pour installer la nouvelle version, l’Apple Watch doit avoir au moins 50 % de batterie et être placée sur son chargeur.
Le Vision Pro a une app sur iPad
Les rares utilisateurs de visionOS ont plus de chance. Ils ont le droit à des petites nouveautés. En effet, outre les « améliorations et des corrections de bugs », cette version se démarque par l’arrivée de l’app Apple Vision Pro sur iPad et des mises à jour de la Galerie spatiale.
Voici les changements selon Apple :
Avec l’app Apple Vision Pro pour iPad, disponible après la mise à jour vers iPadOS 26.1, vous pouvez découvrir de nouveaux contenus et des expériences spatiales, ainsi qu’accéder rapidement aux informations sur votre appareil.
L’app Apple Vision Pro sur iPhone et iPad permet désormais d’activer AirPlay afin d’afficher les expériences provenant de l’Apple Vision Pro.
Les vidéos dans la galerie spatiale affichent désormais les commandes de lecture et la durée lorsqu’elles sont visionnées en mode immersif.
Apple repousse la fin de l’ancienne architecture HomeKit à février 2026
Apple a décidé de repousser la date limite pour basculer vers la nouvelle architecture de Maison. Alors qu’elle prévoyait initialement d’abandonner l’ancien système à l’automne 2025, la firme indique désormais que la prise en charge prendra fin le 10 février 2026, selon un document de support mis à jour.
 Apple ne laisse plus le choix : la nouvelle architecture HomeKit sera nécessaire à partir d’iOS 19
Les utilisateurs devront donc avoir migré vers la nouvelle version d’ici là pour éviter toute interruption de fonctionnement de leurs accessoires ou automatisations. Introduite en mars 2023 avec iOS 16.4, la nouvelle architecture HomeKit a longtemps coexisté avec l’ancienne. Apple avait préféré maintenir les deux en parallèle à cause de problèmes de stabilité rencontrés au lancement — des soucis qui ont depuis été corrigés.
Une fois l’ancien système désactivé, les appareils restés sur d’anciennes versions (avant iOS 16.2, iPadOS 16.2, macOS 13.1, tvOS 16.2 et watchOS 9.2) perdront l’accès complet à l’app Maison. Cette refonte apporte plusieurs nouveautés, comme la gestion des invités, la compatibilité avec les aspirateurs robots ou encore l’historique d’activité, tout en promettant de meilleures performances, notamment dans les foyers équipés de nombreux accessoires HomeKit et Matter.
La mise à jour peut être installée depuis l’app Maison, via Réglages du domicile > Mise à jour logicielle. Apple précise par ailleurs que les utilisateurs n’ayant pas encore effectué la transition pourront être automatiquement migrés vers la nouvelle version dans les mois à venir.