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iOS 26.2 amorce l’ouverture des iPhone japonais aux boutiques tierces

Les murs de l’écosystème Apple continuent de s’effriter. Selon l’utilisateur de X @Tzzlala, les utilisateurs d’iPhone au Japon ayant téléchargé la première bêta d’iOS 26.2 peuvent désormais installer des boutiques alternatives comme AltStore PAL ou l'Epic Games Store sur leur iPhone.

iOS 26.2 Beta 1で代替アプリストアが日本でも利用可能になってる!!!!!!
AltStore PALとかEpic Games Store使える! pic.twitter.com/292ncTZrKJ

— しずく (@Tzzlala) November 4, 2025

Cela fait quelques années que le gouvernement japonais a Apple dans le collimateur : une loi inspirée du DMA a été votée en juin 2024 obligeant Cupertino à s’ouvrir à la concurrence sur sa plateforme. Les changements doivent être mis en place avant le 18 décembre 2025, ce qui explique le timing. Cependant, la loi ne se limitent pas aux boutiques alternatives.

iOS va également devoir prendre en charge les plateformes de paiement concurrentes dans les apps et donner le choix aux utilisateurs dans les apps par défaut. Cupertino n’aura plus le droit d’utiliser les données des utilisateurs auxquelles les développeurs tiers n’auraient pas accès, et ne pourra plus faire la promotion de ses propres applications sur l’App Store.

La possibilité d’installer des apps tierces est arrivée dans l’UE avec iOS 17.4 afin de se mettre au pas du DMA. Altstore a ouvert le bal, suivi par Epic, mais aussi Setapp ou encore Aptoide. Les rumeurs voulaient qu’Apple ait préparé un système pour ouvrir iOS à travers le monde en cas de passage de lois similaires au DMA : on peut imaginer que c’est celui qui a été utilisé aujourd’hui. L’installation d’apps tierces n’est pour le moment pas possible en dehors de l’Union européenne.

OS 26.2 devrait donc sortir avant le 18 décembre, probablement entre le 9 et le 16. C’est attendu : Apple laisse traditionnellement la fin d’année tranquille à ses développeurs. La mise à jour n’apporte pas de grosse nouveauté, et on y trouve principalement la traduction en direct des AirPods ainsi qu’un nouveau réglage pour ajuster le Liquid Glass de l’horloge sur l’écran verrouillé.

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Recharge des voitures : Tesla active son MultiPass en France

Tesla a activé le MultiPass pour ses clients français, cette idée originale qui transforme la carte NFC qui fait office de clé de voiture en carte de recharge pour les réseaux tiers. La fonctionnalité a été lancée en septembre dernier d’abord aux Pays-Bas et j’ai reçu une notification à l’heure du repas pour me signaler sa disponibilité pour mon compte. Mon collègue Cédric n’avait pas eu d’alerte, mais il a pu malgré tout activer la fonction, alors n’hésitez pas à faire un tour dans les notifications intégrées à votre app Tesla pour vérifier ce qu’il en est.

La carte fournie avec la voiture qui peut désormais servir à recharger sur les bornes tierces. Image MacGeneration.

Pour rappel, le principe du MultiPass est de transformer la carte NFC fournie avec toutes les Tesla en une carte de charge, compatible avec les bornes de charge publiques. Cela ne concerne pas les Superchargeurs de la marque, qui communiquent directement avec la voiture pour l’identifier et initier la charge automatiquement. Cela concerne en revanche la majorité des autres bornes, que ce soit les rapides que l’on trouve sur toutes les aires de service au bord des autoroutes ou les lentes que l’on peut dénicher dans les villes ou sur les parkings de supermarchés.

Ces bornes nécessitent un moyen de paiement, mais disposent rarement d’un lecteur de carte bancaire et on utilise alors une carte NFC pour s’identifier. De nombreux opérateurs fournissent de telles cartes, le plus connu en France étant sans doute Chargemap. Les conducteurs de Tesla n’en auront en théorie plus besoin, ils pourront utiliser la carte fournie avec leur voiture pour réaliser la même tâche. Le paiement sera alors prélevé de la même manière que pour les Superchargeurs. La carte Tesla pourra même fonctionner pour d’autres véhicules, elle n’est pas liée à une voiture en particulier… tout en gardant sa fonction de clé de voiture de secours (on utilise plutôt son smartphone au quotidien).

La notification (en anglais alors que mon iPhone est en français) pour activer le MultiPass à gauche, le message de l’app au centre et l’introduction à la fonctionnalité à droite. Image MacGeneration.
La suite de la description de la fonctionnalité à gauche et au centre, le MultiPass actif à droite. Image MacGeneration.

L’activation du MultiPass se fait dans l’app mobile de Tesla et nécessite de scanner l’une de ses cartes clés avec le lecteur NFC intégré au smartphone. On peut aussi choisir un moyen de paiement différent de celui utilisé pour les Superchargeurs, même si c’est celui qui est sélectionné par défaut. Si vous avez du crédit Tesla pour des charges gratuites, bonne nouvelle : vous pourrez aussi l’utiliser comme moyen de paiement sur les bornes tierces, comme Cédric a pu me le confirmer. Tout n’est pas parfait pour autant et cette carte ne devrait pas être aussi universelle qu’on l’aimerait.

Par rapport aux cartes dédiées à la charge, le MultiPass ne sera pas compatible avec toutes les bornes. Le fabricant indique sur son site que seules celles visibles sur l’écran de la voiture sont prises en charge et comme il en manque beaucoup, mieux vaut encore commencer par là et choisir une borne en fonction de ce que l’ordinateur de bord suggère. Côté tarifs, l’offre de Tesla est intéressante sur le papier, puisque le constructeur ne prélève pas de frais sur chaque session de charge alors que c’est systématiquement le cas avec les cartes dédiées. On aimerait néanmoins davantage de transparence dans ce domaine, où l’opacité est la norme : puisque le prix des bornes tierces n’est pas affiché dans la voiture, on ne saura pas combien on paye le kWh avant de recevoir la facture.

Le MultiPass devrait me permettre de charger sur ces bornes Allego, mais je n’ai aucune idée du prix que je vais payer. Image MacGeneration.

Malgré ces limites, le MultiPass est un plan B intéressant pour pouvoir charger hors du réseau de Superchargeurs. Au lieu d’acheter une carte dédiée, utiliser celle que l’on a déjà dans la voiture est une bonne idée et l’absence de frais supplémentaires prélevés par Tesla est une bonne nouvelle.

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La plateforme Shein est suspendue en France ?!

Le gouvernement français a décidé de passer à l’action face au géant chinois du prêt-à-porter en ligne. Le Premier ministre Sébastien Lecornu a annoncé ce mercredi l’engagement d’une procédure de suspension de la plateforme Shein en France, le temps pour cette dernière de se conformer pleinement à la législation nationale.
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Stream Ring : la bague IA qui clone votre voix pour vous aider à "penser"

Sandbar, une startup fondée par des anciens de Meta, a présenté la Stream Ring. Il s'agit d'une bague connectée qui enregistre vos mémos vocaux et les transcrit dans une application. Sa particularité est d'utiliser une IA qui analyse votre voix pour ensuite vous répondre en l'imitant, simulant ainsi un dialogue interne.
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Le Nintendo Store a maintenant son application iOS

Bonne nouvelle pour les joueurs Switch : Nintendo vient de mettre en ligne une app pour le Nintendo Store. On peut y retrouver les différents jeux de l’eShop, mais aussi consulter les produits matériels de la boutique (consoles, manette…). Elle est dès à présent disponible sur l’App Store et sur Android. On notera qu’elle est directement optimisée pour l’iPad.

Image iGeneration

Les achats passent toujours par une fenêtre web venant s’ouvrir dans l’app, mais cela reste plus pratique que de lancer Safari pour faire du lèche-vitrine. Un système de notification est en place, tout comme un fil d’actualité permettant de surveiller les dernières sorties. La liste de souhait est également facilement accessible, avec un filtre pour voir les titres en promotion.

Se connecter à son compte Nintendo permet d’accéder à quelques statistiques, comme ses heures passées sur les différents jeux ou les dates des parties. Il est même possible de remonter jusqu’à la 3DS et la Wii U en entrant son identifiant Nintendo Network. Les données vont jusqu’à 2020 et étaient auparavant un peu plus planquées dans les réglages du contrôle parental.

Image iGeneration

L’app n’est pas complètement nouvelle : elle a fait ses débuts il y a 5 ans… mais était exclusivement réservée au Japon sous le nom de My Nintendo. Ce second départ la rend disponible au Canada, aux États-Unis et dans une bonne partie de l’Europe.

Nintendo n’en finit pas de lancer de nouvelles applications ces derniers temps. Elle a revu l’app compagnon de sa Switch à l’occasion de la sortie de la deuxième génération, améliorant au passage son utilitaire dédié au contrôle parental. Elle a ensuite dévoilé Nintendo Music, une plateforme de streaming avec les OST de ses jeux. Nintendo Today est arrivée par la suite, permettant de suivre les dernières actualités de la marque.

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Osmo Mobile 8 : DJI présente son premier stabilisateur compatible avec le DockKit d’Apple

DJI vient de mettre à jour son Osmo Mobile, un gimball pour téléphones améliorant grandement la stabilisation des vidéos prises à l’iPhone. Cette huitième version arrive seulement 8 mois après la précédente, avec un atout de poids pour les utilisateurs Apple : la prise en charge de DockKit, une technologie de suivi de sujet native à iOS. Elle fonctionne par exemple directement dans l’app Appareil Photo, évitant d’avoir à télécharger le programme du constructeur.

Image DJI

Le concept de cet Osmo Mobile est similaire aux produits d’Insta360 que nous avions testé. On peut glisser le smartphone dans une pince magnétique avant de le mettre sur cette espèce de perche à selfie motorisée. La poignée va compenser les vibrations si vous filmez en marchant ou en courant pour une image toujours fluide. Des boutons sont présents pour bouger le téléphone, et on peut maintenant le faire tourner à 360°.

DJI recommande évidemment de passer par son application Mimo, bien intégrée à l’accessoire via sa connexion Bluetooth. On peut ainsi zoomer grâce à une molette spéciale ou activer un suivi de sujets maison, qui peut désormais suivre les chats et les chiens. DJI promet un suivi précis en se basant sur le grand-angle et le téléobjectif en simultané.

L’accessoire embarque un petit trépied ainsi qu’une barre d’extension. On y trouve aussi un petit module magnétique situé au niveau du téléphone : il fait office de lampe sur huit niveaux de luminosité et de récepteur pour microphones. Les créateurs pourront y relier un micro DJI Mic 3, Mic 2 ou Mic mini pour enregistrer de manière plus confortable. Il est également utilisé pour le suivi, un atout pour ceux filmant à l’aide d’une app non prise en charge.

L’accessoire une fois replié et sa pince. Image DJI

L’autonomie annoncée est de 10 heures, et DJI promet du mieux pour la stabilisation des gros téléphones grâce à de meilleurs contrepoids. L’accessoire est désormais disponible sur Amazon pour 159 €. L’ancienne version (sans DockKit mais partageant une grosse partie de la fiche technique) devrait rapidement tomber en promo. On la trouve actuellement pour 89 €.

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Les puces M5 Max et M5 Ultra attendues sur le Mac Studio en 2026

La prochaine génération de Mac Studio attendue pour 2026 sera équipée des puces Apple M5 Max et M5 Ultra, affirme Mark Gurman sur Bloomberg. En mars dernier, Apple avait lancé une nouvelle gamme de Mac Studio composée de puces M4 Max et M3 Ultra de deux générations différentes. Apple avait...

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L'Osmo Mobile 8 de DJI débarque avec suivi Apple DockKit

DJI lance aujourd’hui son Osmo Mobile 8. Cette nouvelle génération de nacelle pour smartphone n'arrive pas seule : elle embarque la rotation à 360° et, surtout, la compatibilité Apple DockKit. C'est cette intégration qui pourrait faire la différence pour les utilisateurs d'iPhone. Le stabilisateur est disponible dès maintenant à 159 €.
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L’Europe ouvre les algorithmes de TikTok, Instagram et Facebook aux chercheurs

Depuis le 29 octobre 2025, les chercheurs européens peuvent désormais exiger l’accès aux données et aux algorithmes des plus grandes plateformes en ligne — de TikTok à Instagram, en passant par Facebook et X. Cette avancée majeure rendue possible par le Règlement sur les services numériques vise à rendre ces géants du web plus transparents et responsables face à leurs effets sociaux.
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iOS 26.2 fait référence à un mystérieux Apple Creator Studio

La version bêta d'iOS 26.2 distribuée hier soir comporte une mystérieuse référence à quelque chose d'appelé « Apple Creator Studio », sans le moindre contexte d'après le développeur Aaron Perris qui fait régulièrement des découvertes en fouillant dans les entrailles des systèmes...

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La menace fantôme : les HomePod mini et HomePod 2 souffrent d'un problème d'activation inopinée sur la partie tactile

Apple a visiblement un problème avec les HomePod mini et les HomePod 2 : sur les deux enceintes connectées, de nombreuses personnes souffrent d'un problème lié à la partie tactile, qui s'active sans raison particulière. Un de nos développeurs a ce problème avec un HomePod 2 et votre serviteur a été touché avec un HomePod mini.

La zone tactile des HomePod, qui s'allume, peut s'activer sans raison. Image Apple.

Des activations fantômes

Les symptômes sont simples : des activations fantômes de la partie tactile. Le HomePod peut se mettre en pause, démarrer de la musique, augmenter le volume, etc. Et croyez-en mon expérience, quand un HomePod se déclenche seul au milieu de la nuit et mettant le volume à fond, ce n'est pas très amusant. Sans que le souci soit généralisé, il y a de nombreux messages mettant en avant ce problème, que ce soit sur Reddit ou sur nos forums.

La zone tactile peut tomber en panne et envoyer des activations fantômes. Image iGeneration.

D'un point de vue purement pratique, c'est un problème énervant car aléatoire, et surtout bloquant dans certains cas : la méthode officielle pour remettre à zéro un HomePod mini — ce qu'Apple vous demandera probablement de faire si vous appelez le SAV — consiste justement à utiliser la partie tactile… ce qui peut amener une boucle de remise à zéro.

Une solution peu pratique

Le site FixPod, qui est un de nos partenaires, nous a confirmé que le problème touchait autant les HomePod 2 que les HomePod mini. Pour le HomePod 2, ils proposent deux types de réparation : le débranchement de la partie tactile, pour 70 €, ou le remplacement de cette dernière pour 120 €. Dans le premier cas, le problème d'activation fantôme va logiquement disparaître, mais vous perdrez dans la foulée la possibilité de contrôler physiquement l'enceinte. Comme le HomePod 2 peut être contrôlé à la voix ou depuis un autre appareil, ce n'est pas un énorme problème.

Les HomePod 2 menacés par des pannes du pavé tactile et de l’alimentation

Les HomePod 2 menacés par des pannes du pavé tactile et de l’alimentation

Dans le cas du HomePod mini, seul le débranchement de la partie tactile est proposé, là aussi pour 70 €. Une modification qui n'est pas nécessairement intéressante financièrement : un HomePod mini neuf vaut 110 €, avec le risque éventuel que le nouveau modèle soit touché par le même problème. Comme pour le HomePod 2, un HomePod mini sans zone tactile reste fonctionnel. Pour les amateurs, il est possible d'effectuer la manipulation et le HomePod mini se démonte assez facilement… mais est très compliqué à remonter.

Le démontage est simple. Le remontage est compliqué. Image iGeneration.

Comme le problème semble assez courant, il semble difficile de recommander l'achat d'un HomePod actuellement, sans même prendre en compte le fait que le HomePod 2 et le HomePod mini sont des produits assez anciens dans la gamme Apple. De nombreuses rumeurs indiquent qu'Apple pourrait bientôt les renouveler… en espérant que la marque prenne en compte ce défaut.

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Drones DJI : pourquoi les États-Unis s'apprêtent à les bannir totalement

L'agence américaine des communications (FCC) vient de voter un texte clé. Il lui donne le pouvoir d'interdire les drones DJI, même ceux déjà vendus. L'interdiction totale se rapproche : si DJI ne passe pas un audit de sécurité (qui n'a pas lieu) avant le 23 décembre, c'est terminé pour la marque aux US.
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Jusqu'à 360 € de cash back sur le MacBook Pro M5 et des offres intéressantes sur les Apple Watch Ultra 2 et AirPods Max

Rakuten propose aujourd’hui plusieurs produits Apple avec un niveau de cash-back élevé. Le MacBook Pro M5 à 1 799 € permet de récupérer jusqu’à 359,80 € sous forme de cash-back. Même principe pour l’Apple Watch Ultra 2 à 659 € (jusqu’à 131,80 € de cash-back) et les AirPods Pro Max à 499,99 € (jusqu’à 100 €). L’expédition est assurée par Darty dans le cas du MacBook Pro.

Le MacBook Pro M5 à 1 799 €, avec jusqu’à 359,80 € en cash-back

Rakuten en collaboration avec Darty, propose le nouveau portable d’Apple au prix de 1799 €. Il s’agit de son prix public. Là où les choses deviennent intéressantes, c’est sur le niveau de cash-back qui est proposé. En fonction de votre statut chez Rakuten, plus vous êtes un client fidèle, plus ce montant est élevé.

Concrètement, voilà ce que cela donne :

  • 179,90€ en RP pour les membres Regular
  • 215,88€ en RP pour les membres Silver
  • 269,85€ en RP pour les membres Gold
  • 359,80€ en RP pour les membres Platinum
Image : MacGeneration

L’adhésion au club est bien entendu gratuite. Donc, si vous faites votre premier achat chez Rakuten, vous obtiendrez 179,90 € à utiliser pour un achat ultérieur. Précisons que, dans le cas présent, la transaction est assurée par Rakuten, mais le vendeur en charge de l’expédition, c’est bien Darty.

Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace

Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace

Jusqu’à 130 € de cash-back sur une Apple Watch Ultra 2 et 100 € sur des AirPods Pro Max

Autre exemple intéressant : l’Apple Watch Ultra 2. Vous pouvez l’obtenir pour 659 €, un prix qui est relativement intéressant. À titre de comparaison, l’Apple Watch Ultra 3 est vendu 899 € en Apple Store. Précision : il s’agit d’un modèle d’importation.

Sur l’achat de ce modèle, vous obtiendrez 65,90 € en cash-back si vous êtes membre Regular. Et pour les membres Platinum, c’est encore mieux : vous obtiendrez le double de cette somme pour une commande ultérieure. De quoi s’acheter quelques bracelets…

Autre exemple intéressant : les AirPods Pro Max (USB-C) qui sont proposés à 499,99 €, soit une remise de 80 € sur le prix public. Il s’agit là également d’un produit d’import. En fonction de votre statut chez Rakuten, vous aurez entre 50 et 100 € de cashback.

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Le code source de l'App Store en ligne a fuité

Il y a quelques jours, Apple a mis en ligne une version en ligne de son App Store, qui permet de naviguer dans les très nombreuses applications proposées pour les différents systèmes d'exploitation d'Apple. Et visiblement la personne qui a mis la nouvelle version en production — un lundi, pourtant — a fait une petite erreur. En effet, le code source était disponible.

Le code source ne devrait pas être visible. Image GitHub.

Apple utilise le langage TypeScript et le code source qui a fuité n'est que celui du front-end, c'est-à-dire la partie client du code. Sur le papier, ce n'est d'ailleurs pas un énorme problème : il y a simplement un développeur qui a oublié de cocher une case. En temps normal, le code en question est rendu illisible avec ce que l'on appelle de l'obfuscation. Ce néologisme anglais peut être traduit par opacification ou brouillage, et c'est une méthode extrêmement courante, qui permet aussi de réduire la taille des fichiers récupérés par le client.

Ce n'est pas un réel problème de sécurité

Le code récupéré est sur GitHub, et il n'a pas un intérêt évident au premier abord, sauf peut-être si vous avez envie de découvrir comment les développeurs d'Apple codent. Mais il y a tout de même des choses intéressantes, comme les commentaires. Si vous parcourez le code, vous verrez de nombreux TODO, des explications sur les optimisations SEO (pour le référencement), des liens vers des rapports de bugs chez Apple, etc. Les commentaires en question n'ont pas vocation à être publics, même si les risques de sécurité sont a priori assez faibles.

Ce n'est pas réellement un problème, mais les commentaires peuvent être instructifs.
L’App Store s’affiche en totalité dans un navigateur web

L’App Store s’affiche en totalité dans un navigateur web

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macOS 26.1 casse iCloud dans les machines virtuelles macOS

Méfiez-vous si vous utilisez une machine virtuelle macOS et que vous voulez utiliser macOS 26.1, une version sortie récemment. En effet, un bug empêche le fonctionnement d'iCloud dans les machines virtuelles, comme le note Der Flounder. iCloud a besoin d'un numéro de série valide pour fonctionner, et avec macOS 26.1, le numéro de série des machines virtuelles est vide.

Pas de numéro de série. Image The Eclectic Light.

C'est un problème documenté chez Apple, qui peut aussi poser des problèmes avec les applications qui emploient le numéro de série pour identifier l'utilisateur d'une façon ou d'une autre, ce qui peut arriver avec certains logiciels payants. Notons tout de même que macOS 26.1 reste utilisable dans l'absolu dans une machine virtuelle, tant que vous n'avez pas besoin d'iCloud ni de logiciels payants.

Pas de solutions, en attendant macOS 26.1.1 ?

Pour le moment, il n’y a pas de solutions évidentes pour régler le problème. Celui-ci affecte autant les machines virtuelles créées directement sous macOS 26.1 que celles mises à jour vers cette version. Le seul contournement possible est tout simplement de rester sous macOS 26.0.1 en attendant qu'Apple corrige le problème avec une éventuelle version 26.1.1.

macOS Tahoe 26.1 est disponible : voici toutes les nouveautés !

macOS Tahoe 26.1 est disponible : voici toutes les nouveautés !

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« Apple Creator Studio » : à quoi correspond cette mystérieuse référence trouvée dans iOS 26.2 ?

Outre un paquet de petites nouveautés, la première bêta d’iOS 26.2 sortie hier cache une mention intrigante. Le fouineur @aaronp613 a repéré une référence à un « Apple Creator Studio ». Qu’est-ce que ça peut bien être ? À ce stade, on ne peut faire que des suppositions.

Le mot « Studio » peut évoquer le Studio Display, l’écran externe de la Pomme, sachant en plus qu’un nouveau modèle serait en préparation. Mais le fabricant n’a pas l’habitude d’écrire en toutes lettres le nom de ses appareils dans ses systèmes avant leur sortie.

Il est donc plus vraisemblable que cet « Apple Creator Studio » fasse référence à un logiciel ou à un service. Peut-être un renommage ou une refonte de Pixelmator Pro, désormais propriété d’Apple ? Toutefois une autre rumeur évoque un portage de Pixelmator Pro sur iPad, alors c’est contradictoire.

Autre hypothèse : une offre par abonnement regroupant plusieurs applications créatives d’Apple. Actuellement, les versions iPad de Final Cut Pro et de Logic Pro coûtent chacune 4,99 €/mois ou 49 €/an. Sachant qu’Apple prépare manifestement l’arrivée de Compressor, Motion, MainStage et donc Pixelmator Pro sur cette plateforme, il ne serait pas surprenant de voir apparaître une formule unifiée, façon Creative Cloud.

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OWL : comment OpenAI a isolé Chromium pour bâtir ChatGPT Atlas

ChatGPT Atlas est le navigateur web d’OpenAI et comme tous ses concurrents sur le segment des navigateurs dopés à l’IA, il est basé sur Chromium. Cette base open-source développée par Google est un incontournable, elle permet de créer son propre navigateur sans avoir à repartir de zéro, une tâche dantesque qui n’aurait pas tellement de sens en 2025. Pour autant, le créateur de ChatGPT ne s’est pas contenté de reprendre Chromium et de lui glisser une barre latérale avec son chatbot. Son navigateur est nettement plus ambitieux que cela, comme OpenAI le détaille sur son blog.

Image MacGeneration, photo de base Jeremy Ines sur Unsplash.

Chromium sert uniquement de fondations pour afficher les pages web, ce qui reste l’activité principale dans un navigateur évidemment. L’entreprise a toutefois décidé de créer sa propre enveloppe, en utilisant du code natif sur chaque plateforme, et en chargeant le moteur de rendu de Google depuis cette enveloppe. Le principe est nommé en interne OWL, pour OpenAI’s Web Layer, et son idée est de séparer aussi strictement que possible Chromium du reste d’Atlas. Concrètement, l’enveloppe est une interface codée en SwiftUI et AppKit pour la version macOS et probablement iOS, les deux frameworks d’interface d’Apple (AppKit est l’historique, SwiftUI le plus moderne).

C’est elle qui se lance en premier quand on ouvre ChatGPT Atlas et c’est elle qui se charge ensuite de faire appel à Chromium. Si le sujet vous intéresse, je vous encourage à lire l’article d’OpenAI qui entre dans les détails vraiment techniques sur la méthode utilisée pour faire cohabiter les deux et notamment sur la communication entre la partie native d’Atlas et Chromium. C’est une relation d’autant plus complexe à gérer que le navigateur peut activer le mode agent de ChatGPT, qui va agir sur le curseur à la place de l’utilisateur et qui a nécessité des aménagements bien spécifiques.

Pour les utilisateurs, cette architecture complexe a plusieurs avantages, d’après les développeurs d’OpenAI. D’une part, un lancement qui paraît plus rapide, puisque l’on lance une app native et qu’elle est disponible presque instantanément. S’il faut ensuite charger Chromium et c’est une opération qui prend du temps, l’interface apparaît plus rapidement grâce à ce choix. Par ailleurs, si un bug sur une page web mène à un plantage de Chromium, ChatGPT Atlas ne plantera pas, tandis qu’un ralentissement n’aura pas forcément d’effet sur le navigateur dans l’ensemble.

ChatGPT Atlas a son interface bien spécifique, notamment pour ses réglages natifs, ici à droite. Image MacGeneration.

Ce choix a apporté d’autres avantages en interne. OpenAI n’a pas eu besoin de modifier en profondeur Chromium, puisque l’entreprise a créé sa propre interface au lieu d’ajuster celle de Google. D’un point de vue stratégique, c’est aussi une manière de limiter sa dépendance à cette base technique. Même si c’est improbable à court et moyen terme, on pourrait imaginer qu’un jour, une alternative plus complète ou mieux conçue voie le jour et le cas échéant, l’entreprise pourrait plus facilement basculer son navigateur sur cette nouvelle fondation.

Pour ses développeurs, cela signifie aussi qu’il n’est pas nécessaire de compiler Chromium à chaque modification d’Atlas, un gain de temps conséquent qui a permis d’avancer plus rapidement, argumente le créateur de ChatGPT. Cet article de blog est autant une manière de montrer que ChatGPT Atlas n’est pas qu’une version légèrement modifiée de Chrome qu’une manière d’attirer des développeurs pour gonfler ses équipes. La version iOS semble être la priorité suivante, mais OWL devrait continuer de servir pour les versions Android et Windows du navigateur web, cette fois avec d’autres langages et frameworks.

ChatGPT Atlas est découpé en trois, avec Chromium dans son coin. Image OpenAI.

Vous pouvez tester ChatGPT Atlas gratuitement, à condition toutefois d’avoir un compte ChatGPT, le navigateur est inutilisable sans cela. Un compte payant est nécessaire pour l’exploiter pleinement et notamment son mode agent, qui manipule les pages web à votre place. Je l’ai testé en guise de navigateur web par défaut pendant une semaine à la place de Safari et j’ai apprécié son interface soignée, même si les fondations fournies par Google sont rapidement visibles.

J’ai passé une semaine avec ChatGPT Atlas en guise de navigateur principal

J’ai passé une semaine avec ChatGPT Atlas en guise de navigateur principal

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Avec iOS 26.2, Apple prépare un appairage de 30 jours pour AirDrop

Apple prépare une nouvelle fonctionnalité d'appairage pour AirDrop avec iOS 26.2, a repéré 9To5Mac. Distribuée hier soir, la première version bêta de cette future mise à jour prévue pour décembre comporte des références à l'envoi d'un code de sécurité permettant de synchroniser deux...

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Pour les alertes, iOS 26.2 peut faire clignoter son écran en plus du flash

Entré en version bêta hier soir, iOS 26.2 apporte un nouveau réglage d'accessibilité à la fonctionnalité de clignotement pour les alertes. Jusqu'ici, on pouvait seulement faire clignoter le flash LED de l'iPhone lorsqu'on recevait une notification. iOS 26.2 gagne l'alternative de faire...

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TF1 et M6 s'allient à Amazon : vos achats vont cibler les pubs sur M6+ et TF1+

Amazon lance Amazon Publisher Cloud en France, une première en Europe. TF1 et M6 utiliseront cette technologie pour croiser leurs données de visionnage avec les "signaux chauds" d'Amazon (achats, navigation). L'objectif : une publicité ciblée plus performante sur leurs plateformes de streaming M6+ et TF1+.
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